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l'emploi - Page 48

  • Réforme du Travail: aux sources du malaise français, le code civil par Philippe Simonnot

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    49.couv_-214x300.jpgAux sources du malaise social français, n’y aurait-il pas le Code civil, vieux de plus de deux siècles, qui a fait de la France l’ultime champion (avec la Corée du Nord !) de l’anticapitalisme ?

    Le Code civil, issu de la Révolution française, a certes voulu donner ses lettres de noblesse au salariat, mais non sans réticences, regrets, hésitations, remords. Aussi étrange que cela puisse paraître, aujourd’hui que le salariat s’est étendu à presque toutes les couches de la société, les rédacteurs du Code civil craignaient que l’établissement du salariat ne conduisît au rétablissement de l’esclavage. Il eût été bien étrange que la Révolution compromît l’héritage du bon roi Louis X, qui avait proclamé qu’au royaume des Francs, chacun doit naître Franc, et donc libre de toute servitude.

    Le Code civil apprend ainsi à distinguer deux sortes de travail : le travail manuel et le travail intellectuel. Le second est sorti du champ. Il ne peut faire l’objet d’un échange marchand. Il est rétribué par des « honneurs ». Seul le travail manuel relève du marché.

    La suite sur Causeur

  • LOI TRAVAIL : UNE MESURETTE DÉRISOIRE

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    Un communiqué du Parti de la France :

    A la veille des premières manifestations orchestrées par la gauche et l’extrême gauche contre les ordonnances Macron, le Parti de la France déplore le caractère artificiel à la fois des mesures gouvernementales mais aussi des réactions d’hystérie syndicale qu’elles suscitent.

    Une fois de plus, le gouvernement est dans la posture. Il est sans doute légitime de vouloir réformer le code du travail et de le simplifier. Légitime également de souhaiter refonder les conditions du dialogue social. Mais une « loi travail » digne de ce nom, au moment où 10 % de nos compatriotes connaissent les affres du chômage, consisterait avant tout à sortir la France de sa bureaucratie socialiste, à briser les carcans qui étranglent nos entreprises – en particulier les petites et moyennes -, à redonner aux Français le goût et les moyens de la responsabilité, de l’initiative et de l’ambition économique tout en permettant à l’État de développer les stratégies industrielles et sociales nécessaires à la réussite française et à notre cohésion nationale.

    Par ailleurs le Parti de la France rappelle la nécessité d'établir une politique de préférence nationale à l'embauche, de patriotisme social et de régulation du commerce international. 

    Ni les ordonnances du gouvernement, ni les réactions claniques des syndicats ne sont à la hauteur des enjeux.

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  • Apocalypse en Grande-Bretagne : tous les chômeurs auront bientôt disparu

    Encore un effet du Brexit ? Le taux de chômage du Royaume-Uni a atteint son plus bas niveau en se maintenant à 4,3% de la population active, à la fin du mois de juillet. Sur la période de mai à juillet, le pays comptait ainsi 1,46 million de chômeurs. Cela représente 75.000 personnes de moins que la période précédente et 175.000 de moins en un an. C'est le niveau le plus bas depuis 1975. Hasard ? Le Royaume-Uni avait intégré la CEE en 1973.

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Au-delà de la réforme du code du travail, pour une contestation sociale fondatrice.

    Ainsi, la contestation sociale de l'ère Macron commencerait ce mardi 12 septembre, au gré des 4.000 manifestations prévues contre la nouvelle loi Travail (en fait, une réforme du code du travail) portée par Mme Pénicaud, et, selon leur importance et leur capacité de nuisance à l'égard du gouvernement, elles ouvriraient le bal d'une incertitude qui pourrait bien déstabiliser, sinon le régime, du moins le président de la République, plus cité (et hué) dans les slogans que son premier ministre, moins exposé et, surtout, moins audible. Mais est-ce la loi elle-même qui jette les manifestants dans la rue, ou une inquiétude sourde des classes ouvrières et tertiaires devant un lendemain qui semble se présenter comme le triomphe du libéralisme européen et la montée du « précariat », de cette situation qui fait des travailleurs de simples fétus de paille ballottés au fil du vent ou, plutôt, du Marché dit « libre et sans entraves » ?

    A bien y regarder, cette nouvelle loi Travail n'est rien d'autre que la suite (certains diraient la pente...) logique de la loi Travail de 2016, appelée aussi « loi El Khomri », qui avait soulevé une vague contestataire, forte mais bien vaine et stérile, faute d'une stratégie et d'une vision sociale claire et prospective des syndicats et des opposants. Aujourd'hui, elle semble pourtant moins contestée, à défaut d'être moins contestable, ce dont il est légitime de discuter : la méthode employée par l'actuel pouvoir a évité une part des erreurs du précédent quinquennat, particulièrement maladroit et malhonnête sur ses principes comme sur ses projets, faisant souvent passer des vessies pour des lanternes, au risque de discréditer toute parole politique près des électeurs et particulièrement de ceux qui étaient censés être les siens. Durant l'été, le gouvernement a travaillé, proposé et discuté avec les partenaires sociaux sans se les mettre à dos, mais en position de force et avec la ferme intention de ne pas être amené sur un terrain qu'il ne possédait pas : cette stratégie s'est avérée plutôt efficace, et elle a désarmé certaines oppositions syndicales qui ne pouvaient plus arguer du « mépris » de leur interlocuteur. Habile, le gouvernement a aussi profité d'une certaine lassitude d'un monde ouvrier de plus en plus désabusé qui se retrouve, aux yeux des médias et des observateurs, sans autres représentants politiques que les mouvements qualifiés de « populistes », qu'ils soient « insoumis » ou « frontistes », ces derniers semblant avoir déserté le terrain social pour en laisser l'exclusivité à M. Mélenchon...

    Dans la rue, il risque bien de n'y avoir que peu d'ouvriers et beaucoup plus de fonctionnaires : cette représentation biaisée du monde du Travail n'est pas une bonne nouvelle car l'opinion publique risque bien de se laisser abuser, ne croyant voir en cette manifestation qu'une « confiscation » de la cause ouvrière par des militants professionnels et donnant ainsi raison à un gouvernement trop content d'avoir de tels adversaires, faciles à décrédibiliser. Les autres démonstrations, celles du 21 (à nouveau sous l'égide de la CGT) et du 23 septembre (derrière La France Insoumise), risquent aussi d'accréditer l'idée que le seul choix serait entre MM. Macron et Mélenchon, ce qui constitue, en somme, une impasse politique, l'un servant de faire-valoir à l'autre (et réciproquement), sans grand bénéfice pour les travailleurs, producteurs ou fonctionnaires, et occultant ainsi les vrais débats et les vrais enjeux de la réforme, les uns comme les autres dépassant pourtant la simple question du code du travail, devenu un symbole plus qu'autre chose...

    Et pourtant, la question sociale mérite, encore et toujours, d'être posée ! Mais sa résolution, qui n'est jamais définitive, ne peut être le fait de M. Macron ni de M. Mélenchon, et, en République française, elle paraît bien insoluble comme l'ont montré les deux siècles qui nous séparent de la date maudite de 1791, véritable acte de naissance de la condition prolétarienne en France et acte de décès, dans le même temps, de toute protection sociale d'envergure du monde des producteurs et des travailleurs, manuels comme intellectuels. Bien sûr, l'on nous rétorquera que le décret d'Allarde et la loi Le Chapelier de cette année de la Révolution française n'ont plus cours mais leur esprit, lui, demeure et semble même triompher avec les temps contemporains et les principes développés par cette « libéralisation capitaliste » qui n'est rien d'autre que la prise du pouvoir par ce que d'aucuns pourraient nommer, un peu rapidement et sans nuance (mais pas sans un vaste fond de vérité) « la Bourgeoisie », celle-là même dont Charles Maurras, ici bien inspiré, expliquait qu'elle « ne comprend pas la question ouvrière, et cela, faute de la voir ».

    Car les inquiétudes du monde du Travail sont bien réelles et, trop souvent, bien fondées : la mondialisation, si elle semble désormais en déclin (ce qui reste néanmoins à confirmer), joue plutôt contre les travailleurs français et contre les entreprises « de proximité », au risque d'aggraver le précariat et de fragiliser un peu plus le tissu social du pays, déjà bien détricoté au profit des grandes métropoles, ce processus renouant avec la logique terrible de « Paris et le désert français » évoqué jadis par Jean-François Gravier dans un livre homonyme célèbre paru en 1947. La loi du libre Marché est trop souvent celle du plus fort, et elle profite à cette oligarchie économique et financière qui raisonne selon cette effroyable logique franklinienne selon laquelle « le temps c'est de l'argent », formule terrible qui sacralise l'argent au détriment de cette humanité raisonnable qui nous conseille d'être attentif aux autres avant que de vouloir s'enrichir à leurs dépens, et à celui d'un monde désormais saturé de pollutions et d'objets jetables... 

    L'on ne protégera pas le monde des travailleurs sans protéger le Travail comme une valeur plus importante et plus humaine que l'argent : l'exemple des SCOP dans lesquelles le directeur gagne moins du double du salaire des ouvriers de celles-ci, loin des folies (dignes d'un Don Salluste !) de certains grands patrons mercenaires, n'est pas à négliger, s'il n'est pas le seul à appliquer, comme le soulignent aussi les partisans d'un corporatisme rénové et adapté à notre temps. Mais, pour remettre de la mesure dans l'économie et préserver au mieux les intérêts des travailleurs, sans démagogie ni déni des réalités économiques et budgétaires, encore faut-il un État politique digne de ce nom qui n'oublie pas que son premier rôle social est de protéger ceux qui, de naissance ou d'adoption, sont ses administrés et, plus encore, ses citoyens. Et, puisque la République se confond trop avec l'oligarchie qui la dirige ou la manipule, il faudra bien poser la question institutionnelle de la magistrature suprême de l’État susceptible de pouvoir, par statut et par devoir, incarner la justice sociale : au regard de l'histoire de notre pays, il semble bien que ce soit la Monarchie qui réponde le mieux aux exigences à la fois politiques et sociales d'un monde du Travail aujourd'hui déboussolé et divisé...

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1449:au-dela-de-la-reforme-du-code-du-travail-pour-une-contestation-sociale-fondatrice&catid=51:2017&Itemid=62

  • LA LOI TRAVAIL AURA-T-ELLE LE MÊME DESTIN QUE LA LOI MACRON ?

    Selon notre cher Président Macron, « les Français détestent les réformes » — un avis qui n’a pas manqué de susciter la polémique dans l’Hexagone. Le chantier auquel s’attaque l’actuel locataire de l’Élysée n’est pas une mince affaire, lui qui a vu la loi El Khomri être clouée au pilori par la rue et les frondeurs. Et en ce qui concerne la capacité de notre Président à réformer le pays, les doutes sont légitimes, lui qui — alors ministre de l’Économie — a fièrement fait passer une loi portant son nom, mais dont l’efficacité n’est toujours pas au rendez-vous.

    En attendant d’évaluer l’ampleur des manifestations des 12 et 23 septembre prochains, Macron est parvenu sans vraiment d’encombres à mettre en orbite le premier étage de la fusée réforme du Code du travail. L’enjeu est de taille, car un échec ou un demi-succès condamnerait l’exécutif à une gestion peu audacieuse qui aurait l’inconvénient de ressembler de trop près aux calamiteuses années Hollande.

    Le gouvernement et le Président savent qu’ils jouent déjà leur quinquennat sur ce texte et font en sorte de déminer le terrain pour un passage en douceur. Mais un atterrissage réussi au niveau politique ne signifie pas toujours un succès économique.

    En témoigne la loi Macron de 2015 — quelque peu chahutée par certains — qui a finalement été adoptée, mais dont la mise en pratique laisse toujours à désirer ; la faute à un exécutif pas assez impliqué dans le travail d’élaboration des décrets et arrêtés d’application.

    Un pouvoir peu regardant laisse place au bon vouloir des acteurs présents sur le terrain. Ainsi, l’intéressante réforme du permis de conduire présente dans la loi Macron n’a fait qu’effleurer les problèmes auxquels elle voulait s’attaquer. La raison ? Des textes d’application très lâches et parfois même en contradiction avec la philosophie et les objectifs de la loi.

    Afin de rendre le permis moins cher, l’accent avait été mis sur la réduction des délais pour passer l’examen pratique. Les différents dispositifs ont porté leurs fruits avec un délai moyen qui est passé de 90 jours, en 2014, à environ 62 aujourd’hui. Mais si le système est plus performant, il n’en reste pas moins parasité par le monopole des auto-écoles traditionnelles.

    En 2016, l’Autorité de la concurrence a d’ailleurs émis un avis dans lequel la méthode d’attribution des places d’examen est sévèrement critiquée. Cette dernière favorise en effet les auto-écoles les plus anciennes au détriment des besoins réels. Le système se perpétue et il est toujours aussi cher de passer le permis, sauf si l’on fait appel aux auto-écoles en ligne.

    Mais à cause d’un passé trop récent, les places destinées à ces auto-écoles sont peu nombreuses. Le cercle vicieux n’est toujours pas brisé. Un rappel utile pour tous les réformateurs quels qu’ils soient. La France peut se réformer, encore faut-il faire appliquer les textes avec efficacité.

    http://www.bvoltaire.fr/loi-travail-aura-t-meme-destin-loi-macron%E2%80%89/

  • Une étude commandée par Mark Zuckerberg montre que la fin de l’amnistie pour les jeunes clandestins libérerait 700.000 emplois pour les Américains

    fin amnistie jeunes clandestins 700000 emplois Américains Mark Zuckerberg
    Ce n’était pas le but de la manœuvre. Lorsque le groupe FWD.us, un groupe de lobbying immigrationniste créé par Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, s’est penché sur les souffrances qu’entraînerait la fin du programme DACA pour les jeunes émigrés clandestins, il a constaté bien malgré lui que les effets sur l’économie américaine ne seraient pas tous néfastes. En tout cas pour les Américains, puisque l’arrêt de l’amnistie systématique permettrait à 700.000 emplois de se libérer à leur profit.
    Le programme DACA (Deferred Action for Childhood Arrivals – action différée pour les arrivées d’enfants) permet de donner à des jeunes clandestins un permis de travailler malgré leur statut illégal. Quelque 850.000 jeunes sont concernés par cette amnistie temporaire, leur nombre ayant fortement augmenté au cours des derniers mois de la présidence de Barack Obama dont l’administration s’est efforcée de multiplier les permis temporaires accordés : quelque 120.000 sur cette seule période.

    700.000 emplois américains libérés si les jeunes clandestins étaient traités comme tels
    L’étude commandée par Zuckerberg affirme que l’élimination de DACA aurait des conséquences néfastes pour les 800.000 « Dreamers » (rêveurs) qui font actuellement partie du programme, et aussi pour leur proches, y compris les « millions d’Américains qui vivent, travaillent et étudient avec ces jeunes chaque jour ».
    Mais au passage, on apprend que la révocation du programme entraînerait chaque mois l’ouverture de 30.000 emplois – accessibles, donc, aux Américains. Le président de FWD.us a présenté la chose comme un drame pour le monde de l’emploi, avec des « conséquences graves » pour l’économie.
    Vraiment ? Alors que les Etats-Unis comptent entre 12 et 30 millions d’immigrés clandestins – les estimations sont forcément imprécises ! – et que chaque année, un million d’immigrés illégaux font leur entrée sur le territoire américain, bien des observateurs notent que cela a des effets directs sur les travailleurs américains, contraints à plus de déplacements et de mobilité, en même temps qu’une pression à la baisse s’exerce sur les salaires, entraînant leur stagnation.

    Une étude commandée par Mark Zuckerberg justifie malgré elle la fin de l’amnistie
    L’ouvertures de postes ne pourrait que bénéficier aux Américains dont le taux de chômage et d’inactivité est bien plus important que ce que soutiennent les statistiques officielles, si l’on tient compte de tout ceux qui ne travaillent pas, pour diverses raisons, sans être officiellement comptabilisés comme demandeurs d’emploi.
    Sans surprise, ce sont les partisans des frontières ouvertes et des grosses entreprises qui demandent le maintien du programme DACA que d’administration Trump ne semble pas vouloir lever dans l’immédiat. A telle enseigne que plusieurs « attorneys general » des Etats – leurs ministres de la justice – brandissent aujourd’hui la menace d’une procédure à l’encontre de l’administration centrale afin que Trump décide de révoquer le programme. Ils menacent également de ne pas défendre le programme s’il était contesté judiciairement.

    Anne Dolhein

    http://reinformation.tv/fin-amnistie-jeunes-clandestins-700000-emplois-americains-mark-zuckerberg-dolhei-74153-2/

  • Travail : les 60 réformes de la discorde de Jupiter - Journal du jeudi 31 août 2017

  • Travailleurs détachés : le plombier polonais se rebiffe

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Pologne demande à Macron de « s’occuper de son pays », ravagé par le chômage et le terrorisme

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    Source Breiz Atao cliquez là

    Fidèle au comportement habituel des dirigeants français, Emmanuel Macron a fait montre d’une débauche d’arrogance à l’endroit du gouvernement polonais.

    Embourbé dans un chômage de masse sans précédent, le président français a cru bon d’accuser la Pologne d’être responsable de la situation économique de la France en pointant du doigt la question des travailleurs détachés. Un dossier qu’il sait largement symbolique mais utile en termes de communication pour rallier l’électorat FN voire mélenchoniste.

    Le nombre de ces travailleurs détachés s’élevait à 285.000 en 2015. Le nombre de chômeurs, toutes catégories confondues, se situe quant à lui à 6,6 millions et à 3,5 millions pour la catégorie « A » (cliquez ici). Autant dire que le rôle de ces Européens sur le marché du travail français est négligeable.

    Pour la présidente polonaise du Conseil des ministres Beata Szydlo, le président français fait preuve d’« arrogance », qu’elle a attribué à son « inexpérience »« Je lui conseille de se concentrer sur les problèmes de son propre pays », a-t-elle déclaré. Et d’ajouter « Il réussira alors peut être à avoir les mêmes résultats économiques et le même niveau de sécurité de ses citoyens que ceux garantis par la Pologne », faisant allusion à la menace terroriste.

    La diversion d’Emmanuel Macron est d’autant plus grossière que son gouvernement continue d’organiser une immigration de masse en provenance d’Afrique, notamment musulmane, malgré le coût net qu’elle engendre pour les contribuables français. Pire, il continue d’exiger des pays d’Europe Centrale qu’ils organisent la colonisation de peuplement afro-islamique chez eux.

    Tout porte donc à croire qu’il est plus aisé, en France, de cibler quelques dizaines de milliers de travailleurs polonais plutôt que les masses de clandestins africains qui servent de variable d’ajustement dans le bâtiment ou l’hôtellerie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/