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l'emploi - Page 87

  • Et toi, tu passes ta vie dans les bouchons…

    Le flot est incessant, interminable, infini. Tout autour, ils sont là, nos contemporains, enfin ceux qui bossent. Mines de zombies, lymphatiques ou aggressifs, ils passent une bonne partie de leur vie dans les embouteillages à attendre afin de rejoindre leur boulot, telle une procession de moutons vers l’enclos. Bien peu se questionnent sur leur présence sur ces autoroutes ou périphériques bondés. Le visage crispé, le cerveau vide, ils considèrent ça normal quelque part sans toutefois y trouver un quelconque plaisir, comme les zombies du supermarché dont nous avons parlé ici. Parce que, franchement, se retrouver quotidiennement dans les bouchons sans réaliser que l’on vit dans un monde de fous (et un monde de merde) relève de la métaphysique… bouchons-home9.jpg9.jpg

    On passera sur le fait que la majorité des emplois actuels sont du vent et ne servent concrètement à rien hormis à enchaîner encore plus l’homme moderne à sa servitude. Mais cela ne suffit pas, tous les jours, il faut passer un temps fou avant de le rejoindre, cet emploi. Pendant ce temps, qui est, quoi qu’on en dise, « un temps de cerveau disponible », la société continue insidieusement à pourrir l’esprit des gens. Dans les bouchons, on écoute la radio du Système, ses mensonges, sa publicité ou alors de la musique de supermarché, produit marchand et non artistique visant simplement à promouvoir les valeurs du libéralisme qu’il soit sexuel ou sociétal. Ce temps perdu dans la bagnole, c’est du pain béni pour le Système et sa propagande, d’autant que l’individu perd aussi l’occasion de davantage aspirer à autre chose qu’à son destin d’homo economicus. Plus le temps de faire du sport, de s’instruire ou de se divertir intelligemment. Non, le soir venu, après le boulot inutile et aliénant, après les heures passées dans la caisse, on est las, complètement las. On a envie de ne rien faire. On est à nouveau disponible pour s’abrutir devant la chose la moins fatigante qui soit : la télé. On n’a plus le temps de voir les gens, de tisser ou d’entretenir des liens sociaux véritables hors les collègues du boulot (qui sont souvent des imbéciles). Et l’on s’étonne de la fin des communautés réelles aujourd’hui ?

    Et puis, qui dit communauté, dit avoir un enracinement commun, une vision de la vie proche, vivre dans le même lieu. Aujourd’hui, l’habitat est éclaté comme jamais, la France se couvre de lotissements périurbains sans âme peuplés par des gens sans identité les quittant tous à la même heure pour rejoindre des « pôles d’emploi » où tout le travail est concentré. N’y a-t-il pas un problème entre l’étalement urbain infini et la multiplication de zones entières vides d’activités professionnelles ? Alors que dans le passé, on vivait et travaillait dans la même zone, ce qui simplifiait la vie et permettait à la communauté d’exister, aujourd’hui, on vit rarement près de son travail et, de ce fait, on perd un temps infini dans des trajets occupant au final une bonne partie de notre temps journalier.

    Tout le monde (ou presque) utilisant sa voiture, plus par commodité que par désaveu de transports en commun où règnent souvent saleté et insécurité, le marché des carburants par lequel on tient tant les Etats que les simples particuliers, se tient bien, merci pour lui. En plus de l’essence utilisée pour les trajets en eux-mêmes s’ajoute celle que l’on crame inutilement dans les bouchons, tout le monde n’y perd pas, n’est-ce pas ? D’autant que la volonté des pouvoirs publics à juguler le fléau des bouchons qui sévit depuis 40 ans dans certaines zones est loin, on s’en doutait, d’être une priorité. En plus d’être gérée par des traîtres, la France l’est aussi par des incapables sans aucune vision d’avenir et sans aucun remède pour le présent. Prenons l’exemple lillois. Cela fait bientôt 20 ans que l’on parle, que l’on fait des rapports, que l’on se réunit pour traiter du problème épineux de la circulation dans la métropole… Et que fait-on ? On laisse de côté les rapports existants depuis belle lurette sur les moyens possibles de désengorger réellement la métropole et on décide de baisser la vitesse pour soi-disant fluidifier le trafic, de qui se moque-t-on ? Sans compter les larmes de crocodile à propos de la pollution… L’écologie, ça sert avant tout à faire culpabiliser le chaland et à lui faire accepter de nouvelles taxes. La planète et tout et tout, on s’en tape royalement en réalité.

    Il ne nous reste plus qu’à repartir travailler en empruntant ces routes encombrées par des gens prêts à se trucider pour une place ou quelques mètres et dont l’âme de voyeur est souvent réveillée par le moindre accident mais qui, en cas de réel problème, vous laisseront crever sur le bord de la route et qui jamais, au grand jamais, ne vous porteront assistance en cas de panne. Notre époque est merveilleuse !

    Rüdiger et Ann

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Vers l'égalité homme-femme dans la misère

    Avec le régime socialiste, c'est l'égalité pour tous, et, à défaut d'y arriver par le haut, ce sera par le bas :

    "L’égalitarisme est la négation de la différence. Nier la différence, la combattre et refuser de l’accepter c’est la définition même de l’intolérance. [...]

    « Najat Vallaud-Belkacem plaide ainsi, après lecture de ce rapport, «pour une révision de l’un des fondements de la fiscalité des ménages : la conjugalisation de l’impôt». Actuellement, un ménage marié additionne ses revenus, les divise par deux, puis paie ses impôts selon le barème qui s’applique à ce résultat. Une méthode qui permet de payer beaucoup moins d’impôts, surtout quand l’un des deux époux ou pacsés (souvent la femme) ne travaille pas et que l’autre gagne beaucoup. »

    Déjà, au passage, vous remarquerez ce glissement sémantique sur la notion de coefficient conjugal ou même la notion de « conjugalisation de l’impôt »… C’est beau comme de la novlangue, en direct du ministère de la Police de la pensée.

    Voyez-vous mes chers amis contrariens, ces enfoirés de couples dans lesquels madame ne travaille pas doivent être attaqués. Je ne sais point trop quel danger ils peuvent représenter, je croyais naïvement qu’élever convenablement ses enfants pouvait être bénéfique pour le pays, que dès lors que l’un dans le couple s’arrête de travailler, c’est assez normal que les impôts du couple prenne en considération le nombre de personnes à charge par rapport aux revenus. Et quand il n’y a que papa qui travaille, forcément, cela fait moins d’argent par tête de pipe que si les deux travaillaient… D’où l’idée géniale et juste… de criminaliser ces familles car forcément, dans l’esprit de ces grands malades qui nous dirigent, l’homme emprisonne évidemment sa pauvre épouse à la maison pour s’occuper de la marmaille car il ne peut être qu’un prédateur pour la femme ! Il ne vient à l’esprit de personne que cela peut aussi être un choix d’une femme devenant mère que de s’occuper de ses enfants, ce qui me semble naturellement beaucoup plus digne d’intérêt que de se taper 35 heures payées au lance-pierre pour être vendeuse au smic dans un temple de la consommation… alors qu’il faut payer pendant de ce temps des modes de garde pour vos enfants !

    Favoriser l’emploi des femmes en période de… plein chômage !

    Je ne peux qu’adhérer au fait d’aider l’emploi des femmes, tout en sachant que l’on pourrait aussi philosopher très longuement sur le fait qu’il ne faut pas confondre travail par nécessité pécuniaire et travail par passion, et que si l’on peut considérer que l’oisiveté est un vice, la réponse n’est pas forcément le travail forcé et indispensable pour le salaire de subsistance qu’il procure, mais le travail-passion qui libère les énergies et la créativité pour le bien commun en dehors de toute considération financière. C’est une approche philosophique. Pas économique, je le concède.

    Bref, favoriser l’emploi des femmes, bravo. Lutter contre toutes les formes de discrimination, bravo. Mais soyons sérieux juste quelques instants. Cela est faisable lorsque les usines tournent à plein et que le marché du travail n’est pas sinistré. Aujourd’hui, il n’y a tout simplement pas de travail. Pour personne. Pour les femmes, comme pour les hommes.

    Ce constat permet d’aboutir à la conclusion suivante : l’égalité homme-femme dans la misère est assez facile à obtenir….

    Le gouvernement envisage donc sérieusement de pénaliser les couples où seul l’un des deux travaille. Voilà une idée brillante. En rendant plus pauvres ces familles et en les faisant payer plus d’impôts, on va forcer madame à retourner au turbin ! Point de choix mesdames. La Belle Kacem vous force à aller bosser car c’est jûûûste et votre liberté est à ce prix. Une femme qui glande c’est insupportable, élever ses enfants n’est pas considéré comme un travail à part entière. Élever les gosses des autres en revanche, ça, c’est du travail ! [...]

    Voilà la réalité pour ces grands malades. Aller taxer encore plus. Trouver sans cesse de nouvelles idées et voir ce qui peut passer dans l’opinion à chaque fois en habillant la pilule des plus beaux atours d’une justice quelconque. Cela peut être pour l’environnement, parce que l’environnement c’est bien hein… Cela peut-être pour l’égalité, parce que l’égalité c’est bien hein… Mais à chaque fois, le résultat est le même. On tape sur les familles et sur les classes moyennes puisque de toute façon, c’est là que nous sommes les plus nombreux !

    Peu importe le type de famille concerné, qu’elle soit recomposée, « classique » ou encore homoparentale, on frappe sur elles car elles représentent la grande masse solvable de ce pays. Alors elles seront ruinées.

    Ils sont malades, idéologiques, quasi religieux. Ils sont liberticides, agressifs, changent le sens des mots, s’attaquent à tous les aspects de notre vie privée et rentrent chez nous de force. En un mot : ils sont dangereux. Je parle de ceux qui nous dirigent, fussent-ils socialistes, votant des propositions de loi UMP ou inversement !"

    Michel Janva

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Une société qui empêche les femmes de s'occuper de leurs enfants est-elle démocratique ?

    Jean-Frédéric Poisson, Président du PCD et député des Yvelines, s’indigne de la volonté du ministre des Droits des femmes Najat Vallaud Belkacem de réviser « l'un des fondements de la fiscalité des ménages: la conjugalisation de l'impôt ».

    "Nous y voilà ! Le gouvernement a trouvé une nouvelle manière d’augmenter les impôts et de détruire la famille : ne plus accorder aucun avantage aux couples mariés, taxer au maximum chaque membre du couple, et empêcher les femmes qui le désirent de se consacrer à l’éducation de leurs enfants.

    Redresser la situation économique de notre pays, ce gouvernement en est incapable : en revanche, trouver de nouvelles manières de ruiner le pouvoir d’achat des ménages, s’introduire dans la vie de famille et dans les choix de vie des couples, il sait faire !

    A t’il oublié l'article no 8 de la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH), qui proclame le droit de toute personne au respect “de sa vie privée et familiale”, et qui stipule que “nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires” sauf si si celles-ci sont “nécessaires, dans une société démocratique” ? Une société démocratique qui impose aux femmes qui veulent prendre du temps pour leurs enfants d’aller travailler est–elle encore une société démocratique ?

    J’appelle le gouvernement à faire preuve de plus de considération pour le travail des femmes qui choisissent de s’occuper à plein temps de leurs enfants. Je tiens également à lui rappeler que la société profite grandement de ce temps consacré à l’éducation des enfants, qui favorise la solidité de la famille, la stabilité sociale mais aussi la baisse de la délinquance, de la désespérance des jeunes et de l’échec scolaire.”

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Najat Vallaud-Belkacem veut que toutes les femmes quittent leur foyer

    A défaut de rendre le travail obligatoire pour les femmes, le ministre va prendre des mesures fiscales incitatives, pour les empêcher de rester au foyer. C'est cela sa conception de la liberté, une vision totalement individualiste de la société :

    "De nombreuses réformes sont déjà lancées en ce sens : développement des places en crèches, refonte du congé parental, lutte contre les temps partiels trop réduits... Nous allons par ailleurs faire de l’année 2014, l’année de la mixité des métiers. Une plateforme d’action associera tous les acteurs économiques sur ce chantier. [...]

    L’emploi des femmes est encore vécu comme un travail et un salaire d’appoint, et le système fiscal renforce cet état de fait car il repose sur le principe de la conjugalisation. Il est donc très coûteux de travailler pour le deuxième apporteur de ressources du ménage qui est souvent la femme. Seuls trois pays dans l’OCDE pratiquent la familialisation obligatoire de l’impôt sur le revenu : la France, le Portugal et le Luxembourg... L’individualisation de l’impôt favorise, à l’inverse, l’emploi des femmes.

    La pression fiscale doit rester stable ce qui n’exclut pas des incitations positives à la bi-activité. [...]"

  • Salaires : 500.000 smicards de plus en un an

    3,1 millions de salariés, soit 13% des salariés, étaient rémunérés au Smic au 1er janvier 2013, soit un demi-million de plus qu'un an plus tôt.

    Selon cette estimation publiée mercredi par le ministère du Travail, ils étaient au 1er janvier 2013 environ 1,9 million dans les entreprises privées, 540.000 dans l'administration, 340.000 dans les associations ou encore 100.000 dans l'intérim. Depuis le début de l'année, le Smic horaire s'élève à 9,43 euros, soit 1 430,22 euros bruts mensuels (autour de 1 100 euros nets) pour les salariés aux 35 heures.

    La Dares, chargée des statistiques du ministère, précise que cette estimation du nombre des salariés rémunérés au Smic est à prendre "avec prudence", compte tenu notamment de la "fragilité de la méthode d'estimation".

    Ouest-France

  • France : Le chômage à son plus haut niveau depuis 1997

    Le taux de chômage au sens du Bureau international du travail (BIT) a augmenté de 0,1 point au troisième trimestre en France, pour atteindre 10,5 % en France métropolitaine, son plus haut niveau depuis fin 1997, et 10,9 % avec les départements d’outre-mer, selon les données publiées, jeudi par l’Insee.

    Sur un an, sa hausse est de 0,6 point. Calculé selon la méthode BIT, le nombre de chômeurs atteignait 3 011 000 au troisième trimestre.

    Ces chiffres sont meilleurs que ceux anticipés par l’institut, qui tablait en octobre sur 10,6 % en métropole (11 % outre-mer compris) au 3e trimestre. Il prévoyait alors ensuite une stabilisation du chômage au quatrième trimestre 2013 à ce niveau, sans entrevoir l’inversion promise par François Hollande.

    En hausse depuis mi-2011, le chômage est à un niveau inégalé depuis plus de quinze ans, mais n’atteint pas le record absolu de 10,8 %, enregistré en 1994 et 1997.

    • Le taux de chômage des 15-24 ans est stable, à 24,5 %, sur le trimestre comme sur un an.
    • Celui des 25-49 ans est lui aussi stable sur le trimestre et en hausse de 0,5 point sur un an, à 9,5 %.
    • Celui des 50 ans et plus a augmenté de 0,5 point sur le trimestre, à 8 %, en hausse de 1,1 point sur un an.

    Le deuxième « thermomètre » du chômage, celui du nombre d’inscrit à Pôle emploi, a été publié le 28 novembre. Le nombre des demandeurs d’emploi sans activité en métropole a nettement baissé en octobre, tout en restant à un niveau historiquement élevé (3,27 millions).

    François Hollande y a vu le signe que l’inversion promise de la courbe du chômage avant la fin de l’année est « amorcée ». En incluant les chômeurs exerçant une activité réduite, la tendance restait toutefois fortement négative le mois dernier : avec 39 600 inscrits supplémentaires, un nouveau record de 4,88 millions a été enregistré par Pôle emploi en métropole.

    LeMonde.fr

    http://fortune.fdesouche.com/336965-france-le-chomage-son-plus-haut-niveau-depuis-1997#more-336965

  • Le dimanche sans soleil

    Le rapport Bailly enterre encore un peu plus le congé dominical

    « Travailler plus pour gagner plus » scandait Nicolas Sarkozy lors de la campagne présidentielle de 2007, excitant la convoitise de quelques-uns et la frustration de beaucoup.

    Deux ans plus tard, la loi du 10 août 2009 autorisait, par la grâce du préfet, les entreprises de commerce et de distribution installées dans les zones d’intérêt touristique ou à l’intérieur de périmètres d’usage de consommation, une ouverture sept jours sur sept. On jurait alors que le dimanche d’autrefois restait la règle, le travail dominical l’exception. Et on moquait les petits clercs qui osaient s’offusquer, oubliant un peu vite que la loi Lerolle du 13 juillet 1906 avait érigé en règle, dans un contexte clairement anticlérical, une relâche hebdomadaire fixée le dimanche, au nom du repos et de la famille.

    Quelque années ont passé depuis et l’alternance politique n’a pas altéré l’esprit de la loi libéralisant le travail dominical, tant s’en faut. Au nom de l’égalité, le pouvoir « socialiste » entend désormais étendre les zones et périmètres visés par la loi de 2009, afin que ceux qui en sont exclus ne puissent alléguer d’une inégalité de traitement. Lundi dernier, l’ancien directeur de La Poste, Jean-Paul Bailly, a donc remis ses conclusions au Premier ministre Jean-Marc Ayrault, accompagné de suggestions qui, nous prévient-on déjà, en toucheraient une sans faire bouger l’autre. Le jour dominical resterait donc naturellement sanctuarisé, mais les dérogations restrictives aux effets parfois déloyaux devraient être assouplies. En un mot, une loi viendra remettre à plat le système et augmenter le quota d’autorisations annuelles d’ouvertures le dimanche, qui plus est au plus grand nombre. [...]

    Théophane Le Méné - La suite sur Causeur

  • Le parti socialiste contre les salariés

    Le gouvernement socialiste de Jean-Marc Ayrault veut une nouvelle fois s’attaquer aux salariés. Le rapport remis au premier ministre par l’ancien patron de La Poste Jean-Paul Bailly ce 2 décembre 2013, vise à élargir encore un peu plus le travail le dimanche. Et pourtant, comme le note le rapport, ce sont déjà 6,5 millions de salariés qui travaillent le dimanche.

    Les arguments sont toujours les mêmes : apporter plus de souplesse pour mieux payer les salariés et favoriser l’économie. Deux arguments entièrement faux pour les raisons suivantes :

    -         on sait que si les salariés travaillant le dimanche sont dans un premier temps un peu mieux payés, très vite, une telle disposition disparaît et le travail le dimanche devient même, dans beaucoup de cas, une contrainte et une obligation sous peine, soit de ne pas être embauché, soit même d’être licencié.

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