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lobby - Page 1013

  • Marine Le Pen refuse de pleurer sur le sort des migrants de l’Aquarius… et elle a raison !

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    Jeudi matin, face à Marine Le Pen, on a vu Jean-Jacques Bourdin prendre, une fois de plus, parti pour ses amis de la gauche bien-pensante, s’offusquant, dans un premier temps, de voir la haine transpirer des propos de Moix, Campion et Zemmour. Ah ! Zemmour qu’il aimerait voir interdit d’antenne à jamais, lui, le journaliste à qui-tout-est-permis-sauf. Mais ce n’était pas tout. Pour s’émouvoir du sort des « réfugiés » de l’Aquarius, il a absolument tenu à faire dire à Marine Le Pen combien, elle aussi, compatissait au sort de ces malheureux rescapés des flots. Et de citer le cas de cette pauvre femme ayant fui avec ses cinq enfants âgés de 9 à 22 ans parce que son mari avait été enlevé et qui pensait trouver refuge sur cet accueillant sol européen.

    Eh bien, non ! Marine Le Pen ne s’est pas mise à pleurer. Elle a rappelé sa position sur ces navires allant à la pêche aux migrants. « Ce sont les complices des passeurs. Ils font de la traite d’êtres humains. Ils vont chercher les migrants à vingt kilomètres des rives de la Libye pour des raisons d’idéologie politique et font appeler les ONG par les passeurs pour qu’ils viennent les prendre à leur bord. »

    Jean-Jacques Bourdin insiste. Mais cette femme, Malaka, voulait sauver ses enfants, menacés par les ravisseurs de leur père, rappelle-t-il. Et Marine Le Pen de lui répliquer sans frémir que « l’agence de communication Aquarius a dû sélectionner des personnes qui puissent faire pleurer dans les chaumières ». Avec une conclusion évidente : pourquoi cette famille n’a-t-elle pas sollicité un visa dans un consulat à Tripoli ou Benghazi ? Un visa qui, au vu de ses explications, lui aurait certainement été accordé rapidement et lui aurait évité de mettre en péril sa vie et celle de ses enfants, en payant le prix fort. Enfin, si péril il y avait car les passeurs savaient, bien sûr, que l’Aquarius rôdait dans les parages…

    Et c’est bien là le drame de cette migration maritime, qu’encouragent nos dirigeants, et notre « champion de la Terre » en premier. Le jour où passeurs et ONG seront considérés à égalité sans possibilité d’opérer leur sinistre besogne pour les premiers et leur fausse compassion pour les seconds, quel migrant aurait l’audace d’affronter une traversée de la Méditerranée problématique ?

    Les consulats sont omniprésents sur le continent africain. Passer outre leur fonction, c’est entrer dans l’illégalité, la clandestinité, parfois et trop souvent, la mort anonyme par noyade ou déshydratation. Alors, oui, Marine Le Pen, entre autres, a raison de souligner qu’encourager ces navires complices de traite humaine, c’est donner l’illusion que l’Europe continuera à accueillir toute la misère du monde. Et à subir une invasion, en majorité musulmane, d’hommes à 95 %, à qui l’Europe ne pourra pas offrir un toit ou un travail sans léser ses propres citoyens.

    Floris de Bonneville

    http://www.bvoltaire.fr/marine-le-pen-refuse-de-pleurer-sur-le-sort-des-migrants-de-laquarius-et-elle-a-raison/

  • Chronique de la France Orange mécanique

    Chronique de la France Orange mécanique

    Hyperviolence :

    Un jeune homme de 17 ans a été violemment passé à tabac par un groupe muni de barres de fer. Il souffre d’un traumatisme crânien. La scène a été filmée par des riverains. La scène se déroule mercredi soir dans le quartier de la Muette à Garges-lès-Gonesse, dans le Val-d’Oise.

    Le jeune homme souffre d’un traumatisme crânien, son pronostic vital a été réservé pendant 48 heures. Hospitalisé dans un établissement parisien, il se trouve actuellement dans un état grave, et ne peut être entendu par les policiers. 30 jours d’ITT (incapacité totale de travail) lui ont été délivrés.

    En marge de ce lynchage, des coups de feu ont été entendus. Deux jeunes hommes, âgés de 16 et 18 ans, se sont présentés dans la soirée de mercredi. Ils ont été blessés par des plombs tirés à l’aide d’un fusil de chasse, leur pronostic vital n’est pas engagé. Dans le même temps, l’enquête confiée à la sûreté départementale du Val-d’Oise a rapidement permis l’interpellation de trois individus mercredi soir vers 20 heures, à quelques minutes des lieux de l’agression. Placés en garde à vue, les suspects, âgés de 14, 16 et 20 ans, nient les faits. Une information judiciaire a été ouverte pour “tentative d’homicide”, “violences volontaires aggravées” et “participation à un attroupement armé”.

    Le motif de ce déferlement de violence reste inconnu. D’après une source policière, il pourrait s’agir d’une expédition punitive sans raison particulière d’une bande issus du quartier de la commune de Paris. Le quartier de la Muette, où se sont déroulés les faits, est régulièrement le théâtre de tensions ces dernières semaines.

    https://www.lesalonbeige.fr/chronique-de-la-france-orange-mecanique/

  • Heureusement que le racisme anti-blanc n’existe pas, par Caroline Parmentier

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    « Pendez les Blancs », exhorte le rappeur Nick Conrad dans un clip de 9 minutes : « Je rentre dans des crèches je tue des bébés blancs. Attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tout âge, petits et grands. Fouettez-les fort, faites-le franchement. Que ça pue la mort que ça pisse le sang. »

    La vidéo, tournée à Noisy-le-Grand en Seine-Saint-Denis, s’ouvre sur une scène où le rappeur allume un cigare, décontracté. Derrière lui un Blanc pendu se balance au bout d’une corde. Puis démarre le morceau : « Pendez les Blancs ». Dans un des plans suivants, Nick Conrad enfonce un revolver dans la bouche d’un Blanc séquestré dans un coffre de voiture, avant de lui tirer dessus.

    La grande leçon de l’affaire « Pendez les Blancs », c’est que même avec ces paroles, même avec ces images – on se demande ce qu’il faudrait de plus ? –, le racisme anti-blanc n’existe pas. Hors de question de prononcer ce mot au gouvernement : c’est un tabou. Gérard Collomb « condamne sans réserve ces propos abjects et ces attaques ignominieuses » : « Mes services œuvrent au retrait sans délai des contenus diffusés. Il appartiendra à l’autorité judiciaire de donner les suites appropriées à ces odieux appels à la haine. » Le parquet de Paris ouvre une enquête pour « provocation publique à la commission d’un crime ou d’un délit ». Benjamin Griveaux, secrétaire d’Etat et porte-parole du gouvernement, dénonce « avec la plus extrême fermeté les paroles haineuses et écœurantes ». Mais rien de leur côté, sur le racisme caractérisé de ce rappeur noir. Rien sur la provocation à la haine et à la violence raciale. Dans notre doxa, le racisme ne peut provenir que de l’homme blanc et colonialiste, il ne faut pas tout mélanger. Eric Coquerel, député de la France insoumise, s’est chargé de rappeler les règles sur BFM TV. Il a nié l’existence du racisme anti-blanc et condamné le rap raciste car celui-ci donne l’impression que le racisme anti-blanc existe alors qu’il n’existe pas… Avant d’accuser Zemmour de racisme.

    Seule Marine Le Pen a souligné clairement le phénomène-qui-n’existe-pas : «De nombreux compatriotes subissent un racisme anti-blanc dont aucun expert autoproclamé ni média ne parle. »

    C’est d’ailleurs en s’appuyant sur ce déni imposé à tous que Nick Conrad, qui a participé par le passé au Téléthon sur France Télévisions et se décrit comme un « artiste noir, parisien, fier et raffiné », peut affirmer avoir fait une « fable » pour « inverser les rôles de l’homme blanc et de l’homme noir et proposer une perception différente de l’esclavage ». Aucun regret et encore moins de remords chez celui qui peut se payer en plus la gueule du monde en s’étonnant que son « procédé pédagogique » n’ait pas été saisi. Avant d’en appeler à la fameuse immunité de l’art : « Je ne peux pas renier ce que j’ai écrit, ça touche le racisme, c’est la beauté de ce morceau, ça reste de l’art. » « Moi aussi, dans ma vie, il m’a été donné de voir des scènes choquantes », ajoute-t-il, faisant référence à la violence des tableaux de Delacroix au Louvre… On vous a bien dit que c’était un Parisien raffiné.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 27 septembre 2018

    https://fr.novopress.info/

  • En Allemagne, la politique d’asile tourne au chaos

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Les chiffres sont alarmants. Le ministère fédéral de l’Intérieur a admis que 643 000 personnes sont actuellement recherchées par la police allemande, dont environ 450 000 étrangers.

    En réponse à une question de l’AFD, le gouvernement allemand n’a pas pu nier ces chiffres pour la première fois. C’est le site internet lesobersvateurs.ch qui révèlent l’information. Le directeur parlementaire du groupe AfD, Jürgen Braun, explique : “C’est l’expression d’une surcharge totale des autorités de sécurité : notre pays souffre des effets d’une ouverture non planifiée et irresponsable des frontières”.

    Il s’agirait de dizaines de milliers de salafistes et de personnes dangereuses.

    Les 450.000 étrangers sont recherchés soit pour arrestation, soit pour expulsion, soit pour déterminer où ils se trouvent ; ce sont là des estimations minimales prudentes de la part des experts en sécurité.

    Jürgen Braun déclare : “Des centaines de milliers d’étrangers se sont cachés. Personne ne sait où ils se trouvent. Si seulement quelques-uns d’entre eux forment des groupes, comme par exemple le soir du nouvel an à Cologne, les forces régulières de police ne peuvent plus y faire face”.

    La chienlit du contrôle des frontières ne semble pas prête de s’arrêter.

    Depuis septembre, le nombre d’étrangers inscrits dans le système de recherche de la police pour être arrêtés a triplé. Il s’agit des personnes recherchées car elles doivent quitter le pays. Le scandale est que les autorités ne les trouvent pas.

    Le gouvernement fédéral a admis indirectement que le rapatriement des demandeurs d’asile déboutés ne fonctionne pas. D’abord, le traitement de nombreux cas est impossible. Ensuite, les vols vers les pays d’origine sont souvent impraticables. L’AFD a à nouveau réclamé la fermeture des frontières, seul moyen réel pour elle d’assurer la sécurité intérieure.

    https://fr.novopress.info/

  • Google finance le quotidien communiste L’Humanité

    Google finance le quotidien communiste L’Humanité

    Lu sur l’OJIM cette alliance entre des marxistes et le grand capital :

    En 2016 (source Lettre A) le fonds Google avait financé deux projets numériques du journal communiste. Le premier Cerise prenait la forme d’un réseau social. Le second Partage social club (PSC) se présentait comme une plate forme de partage de vidéos et d’informations. Ni l’un ni l’autre n’ont connu le succès escompté.

    En 2018 Google remet au pot sous la forme d’une aide pour la réalisation d’Humagora, le futur support digital du journal. La responsabilité en a été confiée à Valère Staraselski qui n’a aucune expérience en la matière mais présente l’avantage d’avoir été le directeur de la culture de la Caisse centrale d’activités sociales (CCAS) du comité d’entreprise EDF. La CCAS a servi de tiroir caisse pendant de nombreuses années au PCF et à la CGT, l’ami Valère saura se montrer loyal.

    Humagora se présenterait sous la forme d’un site de débats style FigaroVox. Google remettra la main à la poche (comme sans doute l’État).

    https://www.lesalonbeige.fr/google-finance-le-quotidien-communiste-lhumanite/

  • PMA et Hapsatou : la France n’est plus à une contradiction près !

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    La France, terre de contrastes ou plutôt de contradictions. Notre pays n’en est plus à une près. On pourrait même dire qu’elle les cumule et, au fond, que c’est peut-être sa principale caractéristique. Prenez ce sujet de la PMA. Sujet fondamental, s’il en est. Tout le monde savait bien qu’Emmanuel Macron et le mouvement En Marche ! étaient favorables à la procréation médicalement assistée pour les couples de femmes : ceux qui étaient sensibles au sujet, partisans ou opposants, comme ceux qui y étaient indifférents.

    Sujet fondamental, disions-nous, plus important qu’un taux de CSG ou d’imposition sur le revenu. Alors, quelle fut la place de la PMA (et de la GPA, car la suite est écrite d’avance, on le sait bien) à l’occasion du second tour de l’élection présidentielle de 2017 dans le choix des Français qui se disent attachés à la forme traditionnelle de la famille ? Car, rappelons-le, nous avions face à face un candidat favorable à la PMA et une candidate farouchement opposée. On se souvient même que quelques évêques (moins qu’en 2002 !) avaient clairement indiqué pour quoi il ne fallait pas voter… Comme quoi, les questions fondamentales de société ne sont pas centrales dans l’isoloir ! Et pourtant, on devrait comprendre qu’on peut modifier, corriger une loi dans les domaines économique, social, etc. En revanche, il est bien plus difficile de revenir sur ce qu’il est convenu d’appeler un « progrès sociétal ».

    Autre contradiction intéressante, autour de la question des origines. La semaine dernière, polémique monstre autour de « l’affaire du prénom ». Hapsatou est-il un prénom français ? On aurait pu débattre calmement du sujet. L’affaire a tourné à l’hystérie et fut l’occasion de dresser le bûcher sur la place publique où l’on y a jeté le petit juif de Montreuil. Donc, Hapsatou est un prénom français. Mettons. Et si on disait que c’est un prénom français d’origine sénégalaise, comme Édouard est un prénom français d’origine anglaise (lire, à ce sujet, la tribune d’Alain de Benoist dans ces colonnes, le 26 septembre) ? Si les parents de Mme Sy ont voulu donner ce prénom à leur fille, c’est sans doute pour lui rappeler ses origines, ses racines, pour la rattacher à une lignée, une histoire familiale. Et, d’ailleurs, il serait contraire aux « droits humains » d’interdire à tous ces enfants de la République de pouvoir se rattacher à leur culture d’origine en leur imposant un prénom français (vieux style, dirons-nous) et en leur enseignant cette billevesée que les Gaulois sont leurs ancêtres. Alors, admettons encore.

    En revanche, priver un enfant de père ne semble pas du tout un problème. Exemple : mardi soir, reportage dans l’émission « C dans l’air » de la 5 sur un couple de lesbiennes qui ont bénéficié de la PMA en se rendant au Danemark, ce pays luthérien cher à Emmanuel Macron. Pas de père, donc, mais un « donneur ». « On a des photos de lui, on a beaucoup de critères physiques, on a ses goûts, ce qu’il fait dans la vie… Ce qu’on n’a pas, c’est son prénom, son âge… », explique l’une des deux femmes. La seconde poursuit : « Nous, ce qu’on a choisi en faisant une PMA au Danemark, c’est de sortir de l’équation cette notion de « père ». Charline aura un donneur mais n’aura pas cette filiation avec un homme, ce qui n’est pas grave. Par contre, si un jour elle a besoin d’avoir accès à ses origines… elle aura accès au dossier. » La filiation en option, comme pour une voiture.

    Voilà donc dans quelle nouvelle contradiction la société française est entrée. Il est quasiment criminel de reprocher à une maman d’avoir appelé sa fille Hapsatou pour lui rappeler ses origines. Il n’est pas « grave » qu’un enfant n’ait pas de filiation avec un homme.

    Et la généalogie, dit-on, est une passion française…

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/pma-et-hapsatou-la-france-nest-plus-a-une-contradiction-pres/

  • Retraites, frais, déplacements : le budget de l’Assemblée nationale explose

    Selon un document confidentiel du parlement, consulté parLe Parisien , les dépenses de l’Assemblée nationale ont largement dépassé les prévisions du budget 2019. Le Palais Bourbon devra ainsi, selon le quotidien, puiser dans ses réserves près de 47 millions d’euros l’an prochain – sur un total de 318 millions d’euros -, contre 28,4 millions d’euros prévus à la fin de l’année 2017.

    «Les charges prévisionnelles de l’exercice 2019 sont supérieures à la dotation de l’État et aux recettes propres de l’Assemblée», pointe ce document cité par Le Parisien. Le quotidien relève notamment l’acquisition de l’Hôtel de Broglie en 2016 pour 63 millions d’euros. En décembre 2017, les députés avaient voté à une large majorité en faveur de la conservation de ce site de 7 000 m² où seront aménagés des bureaux-couchettes et des espaces de travail pour les élus et leurs collaborateurs.

    […] Mais le document consulté par Le Parisien fait surtout apparaître les effets pervers de la réforme des retraites votée l’an dernier. Car si la baisse des pensions ne touchera que les futurs retraités, la réduction de l’assiette des cotisations est d’ores et déjà entrée en vigueur. Un déficit aggravé que l’Assemblée nationale doit aujourd’hui combler grâce à une subvention interne d’équilibre d’environ 40 millions d’euros. […]

    Le Figaro

    http://www.fdesouche.com/1079649-retraites-frais-deplacements-le-budget-de-lassemblee-nationale-explose

  • Le crétinisme au Pouvoir

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    Bernard Plouvier

    D’abord, il y eut la chienlit gauchiste. Et L’occident devint plus grossier, moins beau et plus stupide : orgies sexuelles et promotion de l’avortement de complaisance (vite remboursé SS dans le cas français), flambée de la consommation de tabac, d’alcools, d’antidépresseurs et de stupéfiants, institutionnalisation de la paresse par les syndicats et les politiciens les plus démagogues, féminisation outrancière des postes de prise de décisions, montée en puissance du lobby des « bizarres » en tous genres (comprenne qui pourra : les rédacteurs-en-chefs ont tous peur des poursuites pénales et on peut les comprendre !).

    Car, dans cette Europe post-soixante-huitarde, les lois restreignant la liberté d’information et d’expression se sont multipliées (Loi Pleven de 1972 et Loi Fabius-Gayssot de 1990, pour le cas français). Et cette répression fait le lien avec l’autre période de décomposition accélérée : celle des années 1980-90, amenant la tyrannie globalo-mondialiste, imaginée par le Roosevelt des années 1937-45, mise en place par un consortium de gérants d’empires multinationaux et de super-États.

    Et l’Occident fut le miroir aux alouettes de populations parmi lesquelles se distinguèrent un certain nombre de sous-doués et de sous-évolués, parfois violents et avides, introduits à la fois pour consommer (avec le produit des taxes et impôts soutirés aux contribuables occidentaux) et, par la force des choses, pour métisser les populations occidentales, rétives aux charmes de la surconsommation et de l’hédonisme béat, du seul fait d’un fort sens critique chez 20 à 25% des membres de ces populations.

    De fait, l’Occident actuel est malade de démence.

    Nos soi-disant élites de gouvernement (une dénomination qui ne peut que faire hurler de rire un honnête homme) ne sont que des monuments d’arrogance, de perversité et d’incompétence, parlant sans réfléchir, sous le coup des émotions de l’opinion publique, qu’ils font semblant de partager parce que cela est « bon pour les sondages », mais agissant uniquement dans le cadre étroit des ukases venus du monde de la Finance.

    Et l’on retrouve les mêmes caractéristiques chez les petits maîtres des administrations publiques et chez les autoproclamés « killers en col blanc » des multiples postes directoriaux des grandes entreprises privées… des « killers » qui ne tiendraient pas debout trois minutes lors d’une agression dans une zone de non-droit (il en existe plus de 2 000 sur le sol de ce qui fut notre belle France) !       

    Le plus beau dans l’histoire est qu’il existe une troisième cause à notre déchéance occidentale, que seule l’actualité nous fait redécouvrir, car on l’oubliait de plus en plus : le petit monde des fonctionnaires à-demi fous d’orgueil, opérant dans les Organismes supranationaux qui fonctionnent en roue libre (c’est-à-dire sans contrôle par les vrais maîtres, ceux du Pouvoir économique).

    En résumé, les pitres des organismes dépendant vaguement du « machin » (l’ONU en langage gaullien), soit, entre autres exemples, l’Unesco ou l’OMS (l’Organisation Mondiale de la Santé).

    Ce dernier « sous-machin » avait vomi tellement d’études qui faisaient hurler de rire les médecins placés au contact des réalités, avait tant multiplié d’avis idiots qu’on avait pris l’habitude d’en oublier l’existence… en langage actuel, on dirait : « de le zapper ».

    Grave erreur ! On savait- déjà que l’abandon du BCG – ce vaccin contre la tuberculose qui avait fait disparaître les formes très graves de la maladie : tuberculoses pulmonaires aiguës et méningo-encéphalites – était une stupidité sans pareille. On savait surtout que l’ordre d’abandonner la vaccination jennérienne (contre le groupe de virus Vaccine-Variole) serait, un jour plus ou moins lointain, la cause de résurgence d’une des pires calamités de l’humanité, de l’Antiquité au XIXesiècle : les pandémies de variole.

    Cela commence ! En Grande-Bretagne, trois cas de variole simiesque, importée d’Afrique, font la Une des journaux et l’on ignore tout de l’état sanitaire des zones africaines et moyen-orientales où la civilisation moderne a disparu en même temps que partait l’homme blanc.

    Il serait temps qu’en Occident, on prenne conscience de la profonde capacité de nuisance de nos soi-disant dirigeants qui ne sont que des fumistes… n’oublions pas Montaigne : « Aussi haut qu’on soit assis, on ne l’est jamais que sur son c… » !

    Il serait grand temps que le citoyen-électeur prenne le temps de réfléchir, de s’abstraire par simple bon sens d’une propagande qui jure constamment avec la réalité des faits.

    Délirons moins et chassons les parasites qui font semblant de nous gouverner. Après tout, les électeurs de Russie, de Hongrie, d’Autriche et d’Italie nous ont montré le chemin.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • « Misère du sectarisme idéologique »

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    4284888988.jpgMathieu Bock-Côté montre ici comment la gauche n'aime pas débattre avec la droite. Elle préfère la dénoncer, examinant à la loupe tout dépassement des lignes du politiquement correct pour mieux s'en offusquer et disqualifier le « fautif. [Le Figaro, 14.09]..  LFAR

    D'aucuns se sont montrés surpris devant le refus affiché de Pierre Rosanvallon d'éventuellement débattre avec Alain Finkielkraut. Dans l'esprit du commun des mortels, rien n'est plus naturel que la dispute entre intellectuels, et plus encore avec un philosophe comme Finkielkraut qui a consacré une partie importante de son existence à mettre en scène la vie des idées de la manière la plus féconde qui soit, avec son émission «Répliques».

    Et pourtant, quiconque lira Notre histoire intellectuelle et politique, le nouvel ouvrage de Rosanvallon, ne sera pas surpris. Avec une condescendance aussi mandarinale que caricaturale, il s'y pose en surplomb du débat à la manière d'un grand ordonnateur de la vie intellectuelle, et prétend surtout définir les paramètres et le périmètre du débat public, en décidant qui y sera admis comme un contradicteur légitime, et surtout qui ne le sera pas.

    Sans surprise, Rosanvallon s'inquiète à plusieurs reprises de la confusion des catégories intellectuelles dominantes, et, surtout, du brouillage supposé du clivage entre la droite et la gauche, la première empruntant sournoisement les habits de la seconde pour se légitimer. Son livre correspond à une volonté de remettre de l'ordre dans l'intelligentsia et chacun à sa place en resserrant les critères de la respectabilité, souvent au nom de la science dont on croit avoir le monopole.

    D'ailleurs, dans le livre de Rosanvallon, ils sont plusieurs à ne pas être considérés comme des intellectuels dignes de devenir des interlocuteurs. Rares sont les auteurs en désaccord avec lui dont il discute sérieusement la pensée. Il préfère les étiqueter. Un tel est un essayiste, l'autre n'est qu'un journaliste. Et ainsi de suite. Mais on ne personnalisera pas à outrance cette controverse, qui révèle surtout l'incroyable sectarisme d'une certaine gauche idéologique, pour qui le désaccord intellectuel fondamental a l'allure d'un scandale moral.

    On retrouve ici une constante historique: pour débattre avec la gauche, il faut être de gauche, et marquer son appartenance au camp du bien en affichant régulièrement des signes ostentatoires de vertu. Être de gauche, c'est d'abord vouloir être de gauche et faire ce qu'il faut pour le demeurer, en suivant la cadence donnée par l'avant-garde progressiste. Et il suffit de ne pas suivre le rythme pour devenir suspect. Le mot gauche conserve un pouvoir d'hypnose qui pourrait passionner un ethnologue se penchant sur l'intelligentsia. La gauche n'aime pas débattre avec la droite mais la dénoncer. Dans son univers mental, la droite n'est pas l'autre camp, mais un lieu de déchéance morale, reconnaissable à son odeur: y circulent des idées nauséabondes.

    Si on naît parfois conservateur, la plupart du temps on le devient, souvent lorsqu'on est heurté par le réel. Plusieurs des intellectuels qui, aujourd'hui, contribuent sans le dire ainsi à la pensée conservatrice en France viennent de «gauche». Mais du point de vue de ses anciens camarades, celui qui «passe à droite» ne change pas de camp parce qu'il a changé d'idées: il s'abîme. On ne passe pas à droite, on y dérive, comme si on rejoignait lentement le néant de la pensée.

    Dans le même esprit, lorsqu'on contredit trop ouvertement le politiquement correct, on dérape, manière comme une autre de reconnaître que la pensée officielle évolue dans un corridor très étroit surveillé par des contrôleurs médiatiques distribuant des contraventions idéologiques. D'ailleurs, les médias se questionnent de manière récurrente pour savoir s'il faut donner la parole à la droite. Est-ce qu'on ne contribuerait pas ainsi à sa normalisation médiatique? Il en est de même à l'université, où les cabales idéologiques sont régulières.

    Ce qui est en jeu, c'est le monopole de la parole publique légitime. Mais de Raymond Aron à Alain Finkielkraut, en passant par Jean-François Revel, Marcel Gauchet, Pierre Manent, Régis Debray et Pierre-André Taguieff, les grands intellectuels, d'où qu'ils viennent, sont non pas ceux qui tiennent d'abord à appartenir à un camp mais à penser l'histoire qui se fait en voyant ce qu'ils voient, pour reprendre la formule désormais consacrée.

    Une véritable éthique du débat public devrait nous amener non pas à débattre sous le signe du même, mais en mettant en scène les dimensions contradictoires mais également nécessaires de l'existence humaine qui doivent féconder la cité.

    L'homme a besoin tout à la fois de la liberté et de l'égalité, de l'enracinement et du cosmopolitisme, de l'ordre et de la dissidence: il s'agit d'articuler intelligemment ces pôles anthropologiques sans en abolir aucun, et en reconnaissant leur légitimité mutuelle. Dans cet esprit, le clivage gauche-droite, si on s'y enferme trop étroitement, étouffe la pensée. Qui s'y plie se condamne à une pensée rétrécie. Même les plus belles intelligences, lorsqu'elles s'y enferment, virent au sectarisme idéologique.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/