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Identité et immigration : que répondre aux catholiques pro-migrants ? (Julien Langella)
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« Mohamed » en tête des 20 prénoms masculins les plus donnés en Seine-Saint-Denis
Grâce aux chiffres de l’INSEE, il est possible de connaître les 20 prénoms masculins qui ont été le plus donnés l’an dernier dans le département et qui seront encore très répandus dans les maternités en 2019.
En haut du classement des prénoms masculins les plus populaires dans la Seine-Saint-Denis, les Mohamed seront donc de plus en nombreux sur les bancs de l’école “française”…
Voici le top 20 :
1 – MOHAMED
2 – ADAM
3 – IBRAHIM
4 – RAYAN
5 – ISMAËL
6 – NOAH
7 – AMIR
8 – IMRAN
9 – ALI
10 – LIAM
11 – GABRIEL
12 – ISSA
13 – YANIS
14 – AYOUB
15 – KAÏS
16 – ENZO
17 – LUCAS
18 – MOUSSA
19 – ISAAC
20 – HAMZA -
Boulevard voltaire lance une pétition nationale pour soutenir Eric Zemmour
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire ! »
Cher lecteur, vous le savez sans doute, c’est pour cette phrase célèbre que notre Boulevard s’appelle Voltaire. Elle devrait être la devise, bien sûr, de toute presse libre et indépendante.
Aujourd’hui, sous prétexte de combattre une supposée « incitation à la haine », une pétition circule, initiée par Hapsatou Sy, exigeant qu’Éric Zemmour soit interdit de médias. Nous ne pouvons qu’être profondément indignés par cette initiative. C’est en argumentant et non en le bâillonnant que l’on s’oppose à son adversaire dans un débat d’idées.
Peu importe que vous soyez d’accord ou non avec Éric Zemmour. À travers lui, c’est toute la liberté d’expression dans notre pays qui est gravement menacée. Nous avons toutes les raisons d’être inquiets, et c’est maintenant qu’il faut réagir.
Oui, nous voulons qu’Éric Zemmour ait le droit de s’exprimer !
Signez et faites signer ! cliquez ici
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Aude Mirkovic : « Contrairement à ce qui est prétendu partout, l’extension de la PMA n’est pas une promesse de campagne d’Emmanuel Macron ! »
Mardi matin, le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a rendu public un avis favorable à l’extension de la légalisation de la PMA (procréation médicalement assistée) pour les femmes seules et en couples de femmes. Aude Mirkovic, porte-parole de l’association Juristes pour l’enfance, explique au micro de Boulevard Voltaire que cet avis est contraire à la conviction majoritaire des citoyens qui se sont massivement prononcés contre l’extension de la PMA lors des États généraux de la bioéthique.
Le CCNE a donné son feu vert concernant la PMA. Quelle est votre réaction, suite à cet avis rendu hier ?
Le Comité d’éthique n’a pas le pouvoir de donner un feu vert ou un feu rouge. Il rend des avis consultatifs. Il donne un avis, comme son nom l’indique, qui n’a rien d’obligatoire.
Le comité d’éthique a rendu, ce matin, sa contribution en vue des États généraux. Il aborde un certain nombre de points, qui sont au programme, de la révision de la loi bioéthique, et en particulier la question de la PMA.
À propos de l’extension de la PMA, c’est-à-dire de l’ouverture de la PMA aux femmes célibataires et aux couples de femmes, le Comité d’éthique reconduit l’avis favorable qu’il avait donné en juin 2017.
Quand bien même il s’agirait de donner un feu vert, ce feu vert est extrêmement réservé. Le Comité d’éthique rappelle ce qu’il avait déjà dit en juillet 2017, à savoir qu’il existe un nombre important de difficultés qui ne sont pas résolues, comme l’effacement du père pour l’enfant, la marchandisation des gamètes qui s’ensuivrait et la question de la prise en charge.
Ces points sont à nouveau nommés aujourd’hui par le Comité d’éthique comme des points de butée. Malgré cela, il persiste à donner un avis favorable. Cet avis met en lumière de nombreux inconvénients liés à l’extension de la PMA.Pour rappel, le Comité d’éthique avait demandé aux citoyens de donner leur avis. Beaucoup étaient contre la PMA. Le CCNE a-t-il décidé de passer outre les avis qu’il avait lui-même demandés ?
Le Comité d’éthique n’est pas là pour donner l’avis des citoyens, mais celui de ses membres. Le Comité d’éthique a le culot de présenter la reconduction qu’il fait de son avis favorable comme s’inscrivant dans la lignée des États généraux. Comme si les États généraux avaient donné une impulsion supplémentaire à cet avis favorable, alors qu’au contraire, les citoyens se sont exprimés de façon massive contre l’extension de la PMA.
Je rappelle qu’il ressort du rapport du Comité d’éthique sur les États généraux que près de 80 % des participants des débats en région se sont montrés hostiles. 89,7 % des contributions écrites sur le site dédié aux États généraux étaient défavorables.
C’est quand même un peu gonflé de présenter cet avis favorable à la PMA comme s’inscrivant dans la lignée des États généraux. C’est un mensonge.Cela veut-il dire que les mobilisations vont recommencer ? Repartons-nous pour des années de Manif pour tous ?
Ce n’est pas obligatoire. Contrairement à ce qui est prétendu partout, la PMA n’est pas une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. Il s’est déclaré favorable à la PMA à titre personnel. Lors de la campagne électorale, dans une fameuse interview donnée au magazine Têtu, il avait dit qu’il attendrait l’avis du Comité d’éthique, et que si le débat avançait favorablement, il légaliserait la PMA.
Le débat a eu lieu puisque les États généraux ont eu lieu. Le moins qu’on puisse dire, c’est que le débat n’a pas abouti favorablement. Au contraire, les États généraux ont manifesté une forte opposition des Français à la PMA sans père.
Nous attendons qu’Emmanuel Macron respecte son engagement. Et s’il ne le fait pas, en effet, nous sommes prêts.
Il y a, d’ailleurs, beaucoup de gens qui ont voté pour Emmanuel Macron alors qu’ils étaient contre la PMA, alors même que certains avaient manifesté contre le mariage en 2013, en raison de son lien avec la PMA. Ils ont compté sur le fait que la PMA n’était pas une promesse de campagne et qu’elle était suspendue aux résultats des États généraux.
Si Macron ne respecte pas ses engagements, il n’y a donc aucun doute sur le fait que ces électeurs n’auront aucun problème à redescendre dans la rue également.
Si le projet de PMA n’est pas retiré, nous allons vers de fortes mobilisations. Et nous sommes ouverts à tous types de mobilisations, car nous n’allons pas laisser passer cela. -
Activités gratuites pour les voyous de banlieue
Suite à l’affaire dite “Théo”, le maire LR d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, a organisé l’année dernière une journée « Jeunes / Policiers municipaux » en lien avec l’association Prox’Aventure composée de policiers bénévoles. 1551 jeunes avaient participé.
La 2ème édition de journée se déroulera ce mercredi 26 septembre de 9h à 17h au Stade du Moulin Neuf à Aulnay-sous-Bois. Activités gratuites :
https://www.lesalonbeige.fr/activites-gratuites-pour-les-voyous-de-banlieue/
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La politique continue de faire fi de la volonté du peuple
De la diplomatie secrète à la manipulation médiatique
par Karl Müller
«Les conséquences en sont grotesques et amères. Là, où les guerres économiques, et d’autres choses encore pires sont imminentes, l’existence de millions d’humains est mise en question. Les PR et les médias ne servent pas uniquement à cacher le machiavélisme en politique, la violation continue du droit, l’ignorance politique derrière la dignité humaine et les droits de l’homme. Il s’agit également d’y habituer les gens petit à petit. Et la stratégie implique encore autre chose: les représentants des relations publiques savent que cette ignorance est évidente pour chacun qui sait réfléchir un peu. Mais les gens réfléchissant et empathiques doivent se sentir impuissants. Voilà, homme qui pense, tes idées et sentiments ne nous intéressent pas, tu es insignifiant, nos moyens pour le maintien du pouvoir sont plus forts, nous te rions au nez, le mépris est notre boulot, nous sommes en position de force, les ‹masses› nous suivront! Combien de temps encore?»
Cinq mois après le crime présumé, le gouvernement des Etats-Unis a décidé d’introduire des sanctions économiques strictes contre la Russie dès le 22 août 2018. La justification de leurs nouvelles sanctions se fonde sur l’accusation d’une transgression de la «ligne rouge» du législateur américain en utilisant la neurotoxine («arme chimique») «novitchok» pour tenter d’assassiner l’ancien double agent Skripal (ayant également travaillé pour le service de renseignement militaire de l’armée soviétique GRU).
Les nouvelles décisions ont été prises au moment de la publication de deux soi-disant rapports d’investigation du Scotland Yard britannique. Selon ces documents, deux suspects auraient été identifiés, deux agents du service de renseignement militaire russe GRU séjournant en Russie. La Première ministre britannique Theresa May devrait décider, selon ces rapports, d’une demande d’extradition adressée à la Russie. Si la Russie refusait, ceci aggraverait encore davantage les relations britanniques et russes.
Concernant les prétendus résultats d’investigation de Scotland Yard on lit: «Selon les rapports non confirmés, les auteurs présumés du crime ont été identifiés après plusieurs mois de recherches. Des centaines de détectives ont comparé le matériel d’innombrables caméras vidéo avec les données de voyageurs étant entrés ou ayant quitté la Grande Bretagne autour de la date de l’attentat du 4 mars.» («Neue Zürcher Zeitung» du 7/8/18).Différentes conclusions
Quelles conclusions sont possibles? Certains diront: maintenant, il est évident que les Russes sont les auteurs de la tentative d’assassinat. Alors, il est juste que le gouvernement des Etats-Unis en tire les conséquences, et que Donald Trump, l’inepte sympathisant de Poutine, soit forcé à faire le nécessaire: introduire des sanctions encore plus strictes contre la Russie.
D’autres se demanderont de quel droit le gouvernement américain décide de nouvelles sanctions, alors que dans le cas Skripal rien du tout n’est prouvé jusqu’à ce jour et que toutes les anciennes assertions se sont avérées fausses» (p. ex. que le «novitchok» n’existerait qu’en Russie). Si même la «Neue Zürcher Zeitung» parle de «rapports non confirmés» et d’«auteurs du crime présumés», et utilise des termes extrêmement flous comme «le matériel d’innombrables caméras vidéo», «des centaines de détectives», «les données de passagers», on peut s’imaginer tout ce qu’on veut, mais il n’y a rien de concret qui soit convaincant ou qui vaille comme preuve. Les réactions russes officielles ne sont donc pas si déraisonnables, parlant d’une «guerre économique» de l’administration américaine contre la Russie et appelant le procédé du gouvernement contraire au droit international.1918: Le président américain Wilson s’opposa à la diplomatie secrète
Au début novembre 1918, il y a bientôt 100 ans, c’était la fin de la Première Guerre mondiale. Les Etats de l’Europe étaient détruits, les gens étaient las des souffrances de la guerre… et se demandaient à juste titre: comment fut-il possible que l’on ait réussi à nous impliquer dans une telle tuerie de masse?
Le président américain Woodrow Wilson utilisa ces sentiments des peuples et formula ses 14 thèses, ayant trouvé leur entrée dans les manuels d’histoire. Déjà la première retient que «les accords de paix doivent être conclus de manière transparente et publiquement.» Puis, dans la deuxième phrase de ce premier point: «Des ententes internationales secrètes n’auront plus leur raison d’être, la diplomatie devra toujours se pratiquer honnêtement et aux yeux de tout le monde.» Ceci correspondait au désir et à la volonté de millions de personnes. Jusqu’à ce jour, on recherche les causes de la guerre mondiale, les controverses se maintiennent, les archives sont toujours fermées. Il y eut de nombreuses ententes secrètes entre les gouvernements et les discrets milieux influents impliqués.Wilson n’agit pas comme il avait parlé
Malheureusement, Wilson n’agit pas comme il avait parlé. Au contraire: vu dans la rétrospective, il faut supposer que ses dires n’étaient que de la propagande de guerre, habilement appliquée pour tirer les habitants de l’Europe (et des Etats-Unis) de son côté. Wilson avait engagé un spécialiste de la propagande: Edward Bernays. «Edward Louis James Bernays, né à Vienne le 22 novembre 1891 et mort à Cambridge (Massachusetts) le 9 mars 1995 est un publicitaire austro-américain.» Selon Wikipédia «il est considéré comme le père de la propagande politique institutionnelle et de l’industrie des relations publiques, ainsi que du consumérisme américain.» Puis on lit: «En 1917, durant la Première Guerre mondiale, Bernays fait partie du ‹Committee on Public Information› crée par le président Wilson pour retourner l’opinion publique américaine et la préparer à l’entrée en guerre.» Sa campagne fut conduite sous le slogan «Make the world safe for democracy» – Amère dérision!
L’apparence doit être démocratique, mais tout doit être sous notre contrôle
Wilson et Bernays savaient que les méthodes du XIXe siècle étaient obsolètes. Il n’était plus possible de dire aux peuples que la politique n’était pas leur affaire et ne concernait que les gouvernements. La politique avait besoin de nouvelles formes de «légitimation». Depuis la fin de l’absolutisme, la référence au droit divin du souverain n’était plus opportune. L’argumentation de Hegel, selon laquelle l’Etat (prussien) ne devait être pas moins que l’apogée de l’«incarnation» de l’esprit du monde (Weltgeist hégélien) convainquait, elle aussi, de moins en moins les gens. «L’apparence doit être démocratique, mais tout doit être sous notre contrôle», devint le nouveau principe, attribué bien plus tard à Walter Ulbricht de la RDA. Les moyens appropriés pour le réaliser étaient les relations publiques (public relations, PR) et les médias qui reprirent les contenus des PR et les divulguèrent sans vergogne. Il en est ainsi jusqu’à l’heure actuelle.
En position de force, combien de temps encore?
Les conséquences en sont grotesques et amères. Là, où les guerres économiques, et d’autres choses encore pires sont imminentes, l’existence de millions d’humains est mise en question. Les PR et les médias ne servent pas uniquement à cacher le machiavélisme en politique, la violation continue du droit, l’ignorance politique derrière la dignité humaine et les droits de l’homme. Il s’agit également d’y habituer les gens petit à petit. Et la stratégie implique encore autre chose: les représentants des relations publiques savent que cette ignorance est évidente pour chacun qui sait réfléchir un peu. Mais les gens réfléchissant et empathiques doivent se sentir impuissants. Voilà, homme qui pense, tes idées et sentiments ne nous intéressent pas, tu es insignifiant, nos moyens pour le maintien du pouvoir sont plus forts, nous te rions au nez, le mépris est notre boulot, nous sommes en position de force, les «masses» nous suivront!
Combien de temps encore? -
Nadine Morano sur la même ligne politique que Valérie Pécresse
Nadine Morano pourrait se voir qualifiée, comme Macron, d’adepte du “en même temps”. Ses propos ce matin sur BFM partent effectivement dans tous les sens et ont le mérite de plaire à peu près à tout le monde. Les plus à droite retiendront sa défense courageuse des policiers et des forces de sécurité face aux insultes de Yann Moix, les plus souverainistes retiendront sa défense de Viktor Orban et de sa politique migratoire.
Ce qui est plus inquiétant, c’est qu’elle annonce que la position de LR pour les européennes est arrêtée et qu’elle considère qu’il :
“n’y a pas de différend entre Valérie Pecresse et nous. Il n’y a que des divisions artificielles.”
Le traitement de l’immigration de masse serait donc un sujet annexe. En effet, voici par exemple la réaction de Valérie Pécresselundi 17 septembre suite au vote de Nadine Morano au parlement européen :
“Viktor Orban réduit les libertés du peuple hongrois, de la presse, de l’université, de l’indépendance de la justice. C’est une question de droits de l’homme, de démocratie. Il est dans l’ADN de ma famille politique de voter les sanctions contre la Hongrie. Je l’aurais fait et je trouve injustifiable qu’une majorité de députés les Républicains au parlement européen ne l’ait pas fait”
Enfin, en bonne élève de Nicolas Sarkozy qui s’est assis sur le référendum français de 2005 et a foulé du pied la démocratie, elle déclare sans aucune honte qu’elle :
“aimerait que le Royaume-Uni refasse un autre referendum en faisant un vrai débat sur les conséquences du Brexit. Je suis sûre que le peuple britannique changerait d’avis”
N’importe quel observateur politique pourrait lui confirmer que le débat a eu lieu. Non vraiment, LR n’a pas changé…
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Immigration illégale et « fermeté » : les grosses ficelles de Merkel et Macron – Jean-David Cattin (Les Identitaires)
À l’approche des élections européennes sur fond de forts progrès des partis populistes et identitaires, Macron et Merkel, inquiets voire paniqués, se sont mis d’accord sur la stratégie à adopter : faire croire qu’ils vont faire preuve de « fermeté » en matière d’immigration illégale.
Depuis leur rencontre le 7 septembre à Marseille les deux chefs d’État rivalisent de propos « fermes » sur l’immigration. Angela Merkel vient même de conclure avec le gouvernement algérien un accord de retour portant sur 3 à 5 000 de ses ressortissants. Une goutte d’eau dans l’océan des migrants, clandestins ou pas, installés en Allemagne depuis 2014.
De son côté, Emmanuel Macron a lui promis des reconduites « pour celles et ceux interceptés en situation irrégulière et qui n’ont pas vocation à obtenir l’asile ». « Tout en respectant nos valeurs ». En réalité, la première année du mandat du président Macron a vu un nombre d’expulsions de clandestins exactement au même niveau que les « bonnes années ». L’immense majorité des clandestins n’est jamais inquiétée.
Au regard de ces déclarations, de cette théâtralisation de mesures insuffisantes, l’axe de campagne des dirigeants de la France et de l’Allemagne pour les élections européennes de 2019 est cousu de fil blanc.
Du reste, la recette commence à être connue. Dans cet article du Figaro daté du 17 octobre 2010, on pouvait déjà lire : « Angela Merkel durcit un peu plus son discours pour faire entendre sa voix dans le débat sur l’immigration qui agite son pays. Ce week-end, la chancelière a simplement et radicalement enterré le modèle d’une Allemagne multiculturelle, où pourraient cohabiter harmonieusement différentes cultures. Cette approche « Multikulti » – « nous vivons côte à côte et nous nous en réjouissons » – a « échoué, totalement échoué », a-t-elle lancé devant le congrès des Jeunesses de sa formation conservatrice. »
Hasard ? Six scrutins régionaux se profilaient alors à l’horizon.
Cinq ans plus tard, emporté par son sentimentalisme et son messianisme de fille de pasteur protestant, elle ouvrait grand les portes de l’Allemagne à plus d’un million de « migrants ». Voilà ce que valent les promesses de campagne d’Angela Merkel et de tous ses semblables qui n’ont la « fermeté » en bandoulière que lors des périodes électorales.
Dorénavant, Merkel a changé de braquet et c’est d’un jour à l’autre qu’elle souffle le chaud et le froid sur la question migratoire. Quelques jours avant l’accord de retour des clandestins algériens, elle inventait des « chasses aux étrangers » suite aux meurtres de jeunes Allemands. Elle a même démis de ses fonctions le chef du renseignement intérieur qui l’avait alors contredit sur l’existence de ces prétendues chasses.
En matière d’ « en même temps », Macron a là une concurrente de choix tout en restant le maître incontesté du genre. Le 29 août, il « endossait le rôle d’opposant principal à Salvini et Orbán ». Le 17 septembre, il plastronnait aux côtés du Chancelier conservateur autrichien promettant de la « fermeté » et des expulsions. Un Chancelier dont d’importants membres de son gouvernement sont justement des proches alliés ou admirateurs de Salvini et Orbán.
Ce grand écart permanent saute de plus en plus aux yeux des Allemands comme des Français et de tous les Européens. La réalité rattrape à grands enjambées ceux qui voudraient se servir de la question migratoire pendant les élections pour l’oublier ensuite durant leur mandat. Elle devient le sujet central car elle est le sujet vital. Leur « en même temps » craque de tous côtés. Ces imposteurs ne peuvent plus que perdre du terrain.
Jean-David Cattin
Texte repris du site de : Les Identitaires
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Le comité national d’éthique dit oui à la PMA pour toutes – Journal du mardi 25 septembre 2018
Société / Le comité national d’éthique dit oui à la PMA pour toutes
Ce mardi matin, le comité national d’éthique a rendu son avis sur les principaux thèmes de bioéthique. Sans surprise, il a validé la procréation médicalement assistée aussi bien pour les couples de femmes que pour les femmes seules.Immigration / L’Aquarius prend l’eau
Il aura défrayé la chronique tout l’été, l’Aquarius, le navire de l’association immigrationniste SOS Méditerranée continue de faire parler de lui. Alors que le Panama menace de lui retirer son pavillon, le bateau pourrait bien voir ses derniers jours arriver.Société / Vegan contre bouchers : ça va saigner ?
International / L’UE veut contourner l’embargo américain sur l’Iran
Alors que l’arrivée de Donald Trump à la tête des Etats-Unis a intensifié la mise au ban de l’Iran, l’Union Européenne envisage de créer une nouvelle entité pour continuer de commercer avec Téhéran.L’actualité en bref
Serveur TVL
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L’invasion n’avance pas au hasard. Le général Gomart patron du renseignement militaire, l’explique.
Général Gomart
Rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles. Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) est chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire. Le général 4 étoiles a expliqué, en ouverture du colloque Geoint, qui s’est tenu à la Société de géographie, à Paris, les 11 et 12 septembre derniers, comment rien du trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français.
La DRM, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de renseignement géospatial interarmées). Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.). C’est ainsi que la DRM peut aujourd’hui présenter aux dirigeants français une situation précise de la présence des migrants subsahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des passeurs de migrants. Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en MéditerranéeEunavfor Med, lancée en mai dernier.
Le général Gomart a ainsi pu confier lors du colloque que les militaires français ont repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte). Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent. Il les voit également préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable. (Source: Le Point 13/09/2015)
Avant tout départ en mer les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, explique-t-il, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses immigratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…
le Geoint est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géolocalisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques », précise le général. (Source)
L’invasion est donc une affaire qui n’avance pas au hasard.
Voilà, il n’y a aucun mystère. Lorsque les passeurs vont acheter un zodiac au siège du Consulat honoraire de Bodrum, chez Madame le consul Françoise Olcay, les renseignements français le savent… Sans le reportage de France 2, le consul serait toujours en poste. Il est à noter que Madame Olcay a perdu son poste de consul, mais qu’elle continue d’alimenter le trafic vers la France en poursuivant son commerce illégal et que les autorités françaises le savent, de même qu’elles savent que la Turquie délivre de faux passeports, que les capitaineries ferment les yeux etc. etc.
Et si le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, comment ne pourrait-il pas le voir en Europe et plus encore en France ? Mais qui sait sur qui la surveillance s’exerce en France ? Sur les opposants à l’immigration ?
Cette invasion est voulue.
articles de référence:
- Un consul de France en Turquie avoue favoriser le trafic de clandestins vers l’UE
- Le Point 13/09/2015 « Depuis la Libye, un million de migrants prêts à franchir la Méditerranée ». Compte-rendu de la conférence du général Gomart.
emiliedefresne@medias-presse.info