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  • UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    Face aux difficultés du Royaume-Uni à négocier sa sortie de l’UE, le ministre des Affaires étrangères britannique, Jeremy Hunt, a comparé l’Union européenne à l’Union soviétique :

    «La leçon de l’histoire est claire : si vous transformez le club européen en une prison, le désir d’en sortir ne diminuera pas, il grossira et nous ne serons pas le seul prisonnier à vouloir s’échapper». «L’Union européenne a été conçue pour préserver les libertés, c’est l’Union soviétique qui empêchait les gens de partir».

    La prochaine échéance pour les négociations sur le Brexit est fixée au sommet européen du 18 octobre.

    https://www.lesalonbeige.fr/ue-urss-est-il-permis-de-sortir-de-lunion-europeenne/

  • Tabou diplomatique

    Georges Feltin-Tracol

    Cet été, les lignes ont semblé bouger dans les Balkans, en particulier entre la Serbie et le Kossovo. Le président de la République de Serbie, Aleksandar Vučić, entama une discussion avec Hashim Thaçi, le chef de l’État kossovar. Depuis 2008, année où le Kossovo a acquis une soi-disant indépendance, la Serbie n’a jamais accepté cette sécession. Avec l’augmentation des flux migratoires extra-européens dans la région, l’intransigeance de la Serbie pose maintenant de graves problèmes puisque Belgrade refuse de fermer une frontière qui n’existe pas à ses yeux. Par ailleurs, le Kossovo, digne valet de l’atlantisme, se transforme progressivement en un narco-État plus ou moins en cours d’islamisation.

    Avant de rompre les négociations d’un commun accord dès le 7 septembre dernier, Aleksandar Vučić et Hashim Thaçi ont espéré que leurs États respectifs adhéreraient le plus tôt possible à l’Union pseudo-européenne. Ils étaient mêmeprêts à s’affranchir du tabou diplomatique suprême : l’intangibilité des frontières. Le Nord du Kossovo peuplé de Serbes autour de Mitrovica rejoindrait la Serbie qui en échange céderait au Kossovo des territoires du Sud-Ouest à majorité kossovare (la vallée de Presevo et les villes de Medveda et de Bujanovac). À peine envisagée, cette solution de bon sens fondée sur le critère ethno-linguistique souleva bien desmécontentements. L’Église orthodoxe serbe s’interrogea sur le devenir de ses lieux saints, de ses monastères et des enclaves serbes non contigues à la Serbie. La Russie souhaiterait maintenir le conflit gelé, utile abcès de fixation régionale. Le Premier ministre kossovar, Ramush Haradinaj, s’indigna déjà de rendre la moindreparcelle de terre albanaise aux Serbes. Quant à la gauche populiste souverainiste de Vetëvendosje ! (« Autodétermination ! »), deuxième force politique du pays, elle s’éleva contre cet éventuel échange au nom de la Grande Albanie ethnique qui n’exista que de 1941 à 1944...

    Alors que Washington et Paris penchaient vers ce règlement territorial, Bruxelles et Merkel ainsi que les « machins » internationaux s’inquiétaient de ce précédent susceptible d’avoir de fortes répercussions en Bosnie-Herzégovine voisine. Milorad Dodik, le président de la République serbe de Bosnie, réclame en effet depuis longtemps le rattachement des contrées serbes bosniennes à la patrie serbe. Les diplomates occidentaux n’apprécient guère les rectifications territoriales significatives. Ainsi maintes entités étatiques africaines ne sont-elles pas viables du fait de cette règle absurde qui ignore les réalités ethniques et tribales.

    Pourtant, la République française ne rechigne jamais à annexer un espace frontalier si s’en présente l’occasion. En 1918, elle s’empara de l’Alsace-Lorraine et orchestra une incroyable épuration ethnique en expulsant massivement de nombreuses familles germanophones. En 1947, le traité de Paris contraignit l’Italie à céder Tende, la Brigue et les crêtes de Tinée et de Vésubie à l’Hexagone. Neuf ans auparavant, le gouvernement français agressa l’Allemagne en lui déclarant la guerre parce que Berlin contestait l’intangibilité des frontières au nom du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes…

    La cession réciproque de territoires entre la Serbie et le Kossovo marquerait un arrêt formidable du multiculturalisme post-moderniste au profit d’une perception géopolitique plus concrète. D’une aire balkanique aux entités composites, instables et artificielles, on passerait enfin aux Balkans de communautés de peuples enracinées.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°92, diffusée sur Radio-Libertés, le 28 septembre 2018.

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    Très attendue, la sortie prochaine du nouveau livre de Georges Feltin-Tracol :

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  • Quand on est Progressistes…comme ils disent

    agora.jpgGérard  Collomb, qui brigue la marie de Lyon en 2020,  a présenté le 1er octobre sa démission…qui a été refusée par Emmanuel  Macron.  Un proche conseiller du chef de l’Etat  indiquait  à France info  que  « face aux attaques dont le ministre fait l’objet (…) le président lui a renouvelé sa confiance, et lui a demandé de rester pleinement mobilisé sur sa mission pour la sécurité des Français. » C’est raté car une nouvelle fois,  rapporte l’article de synthèse du Point, « Collomb a piétiné l’autorité présidentielle en maintenant sa démission. » Un petit sketch qui avait pour but de réaffirmer la légitimité du ministre de l’Intérieur dont le bilan est pour le moins très mauvais, mais aussi de ne pas accentuer l’impression  d’effritement d’un  exécutif très impopulaire…Entouré d’un impressionnant dispositif policier, M. Collomb  était pourtant encore vendredi dernier dans son rôle en se déplaçant  à Echirolles dans la banlieue plurielle  de Grenoble (Isère), zone urbaine en proie à une  violence qui ne cesse de croître. Signe qui ne trompe pas, le prix de l’immobilier s’est effondré ces dernières années dans la capitale de l’Isère et les biens ne se vendent plus. Outre la gestion calamiteuse du maire écolo-gauchiste Eric Piolle – qui l’année de son élection  en 2014 s’était  conduit en « provocateur à l’ordre public », en «encourageant  les manifestants » à empêcher une réunion publique  du FN – c’est bien  l’insécurité galopante qui fait fuir les potentiels propriétaires. Pour autant, malgré l’annonce d’un  renforcement de la presence policière à Echirolles, le ministre de l’Intérieur n’a pas convaincu les habitants.  Combien sont-ils nos compatriotes  lassés des promesses qui ne débouchent sur rien, faute d’une réelle volonté, du  courage  politique  pour prendre VRAIMENT le problème  à bras le corps?  

    Lundi,  Gérard  Collomb était à Marseille devant la gare Saint-Charles pour dévoiler la  plaque commémorative à la mémoire  de Laura Paumier et Mauranne Harel, deux  cousines âgées de 21 et 20 ans, égorgées  un an auparavant par un délinquant multirécidiviste, un tunisien immigré clandestin ayant fait allégeance à l‘Etat Islamique,  Ahmed Hanachi (voir ici  et ici .)  A Grenoble comme à  Marseille,  et  plus largement dans les milliers de zones de non droit, dans les territoires perdus de la République,  c’est encore et toujours le laxisme d’Etat qui est le premier  responsable  de l’ensauvagement, d’une babélisation lourde de menaces. Les petits gimmicks, les têtes éplorées, les discours convenus ne sauraient cacher cette réalité révoltante.

    Cacher son impuissance  derrière de ronflantes formules est un exercice  qu’affectionnent  les figures du Système comme M. Collomb promettant à Grenoble de « hisser (sur tout le territoire)  le drapeau de la République » et qui lançait mi-septembre  ladite « reconquête républicaine »  dans certains quartiers. « Tiens ! La République les avait donc perdus ? » avait lors réagi  Bruno Gollnisch,  « mais quand je le disais à l’Assemblée ou au Conseil Municipal de Lyon, que me répondait-il avec  ses amis ? » Or,  rappelait encore dernièrement  le député national,  «la violence n’est pas le fruit du  hasard . Il y a des responsables, et ils sont politiques!»

    Parler vrai, ne  pas manier la langue de bois ou de coton,  dire  la vérité,  regarder la réalité en face, refuser le déni du réel,  croire aux bienfaits des protections, des frontières, de la famille, défendre en un mot une souveraineté et une identité  françaises,  telles sont pourtant les tares que nos adversaires imputent  généralement  à l’opposition nationale

    Une nouvelle illustration en a été donnée lundi matin sur RTL  par  Marlène Schiappa à la tête  du Secrétariat à l’Égalité entre les femmes et les hommes. La militante LGBT a repris ici  les éléments de langage de Sos racisme (un bon indicateur de son niveau…) pour  minorer le scandale de la photo de M. Macron à Saint-Martin enlaçant  un jeune braqueur torse nu  faisant  un doigt d’honneur -nous laissons à l’humoriste Patrice Eboué la responsabilité de son  explication amusante de ce goût de M Macron pour les torses nus!

     Pour Mme Schippa,  si Marine a dénoncé cette nouvelle atteinte  par M.  Macron à  la dignité attachée à la fonction  présidentielle, c’est parce qu’«Elle est leader d’un grand parti raciste d’extrême droite. Ce qui la choque, ce n’est pas que le président pose à côté d’un jeune. Ce qui la choque, c’est la couleur de peau de ce jeune. Soyons très clairs. À chaque fois que le président pose avec des personnes de couleur noire, Marine Le Pen s’offusque»  Parions avec Mme Schiappa  que les centaines de milliers d’électeurs Antillais  et  Guyanais qui ont hissé Marine en tête au premier tour de la présidentielle sont tout aussi offusqués que Marine…La France n’est pas réductible à boboland Marlène 

    Car  qui oblige M.  Macron a dégrader l’image de la France qu’il représente,  qu’on le veuille ou non, en posant  avec des travestis en résille  dans le salon de l’Elysée où à Saint-Martin  avec des jeunes prenant des poses de racailles de gangs? Quel est le rapport avec la couleur de peau des individus en question ? La couleur  de peau  doit-elle être une excuse à toutes les turpitudes, à moins de manifester par là une forme inconsciente de racisme à rebours? La couleur de peau  devrait-elle empêcher  par exemple  la mise en examen  d’un  héros récent  de la cause antiraciste et antiflics,   Théo Luhaka,  pour « escroquerie en bande organisée au préjudice d’un organisme chargé d’une mission de service public » dans une affaire de détournement d’aides publiques? 

    Bref, Marlène Schiappa se place dans  le sillage du socialiste et ex de l’UNEF Aurélien Taché,  élu   député du Val d’Oise  sous l’étiquette  LREM. Celui-ci    affirmait sur twitter à propos de la photo prise à Saint-Martin que  « ceux qui polémiquent ne supportent tout simplement pas que la France, à tous les niveaux, change de visage…c’est précisément la raison de mon engagement derrière lui. Merci Emmanuel Macron. » M. Taché explique donc franchement (pour satisfaire ses électeurs?) qu’il s’est rangé derrière M. Macron pour accélérer la submersion migratoire, ce qui est en effet un objectif partagé par un certain nombre de forces politiques, d’organismes, de cercles  ou de personnalités. Mais il entend aussi lutter,  au  sein de LREM, contre les progressistes...pas assez progressistes. Pour preuve son tweet assassin contre sa collègue  Agnès Thill. « Réputée pour être lmadame anti-PMA de la majorité  rapporte Le Figaro, l’élue a jugé paradoxal l’ouverture de la procréation médicalement assistée à toutes les femmes. Nous lançons le plan (contre la) pauvreté et nous allons créer des femmes seules avec enfants. »

    « Quand on est progressiste, ce n’est pas en maintenant une discrimination légale qu’on lutte contre la pauvreté Agnès Thill mais avec une politique sociale émancipatrice (…) », lui a répliqué sèchement   Aurélien   Taché.  François Cormier-Bouligeon est à son tour entré dans la danse pour «(voler)   au secours de sa collègue» et  moucher  l’impudent. «Tu n’es peut-être pas le mieux placé cher Aurélien Taché pour faire la leçon sur le progressisme au vu de tes positions plus proches du communautarisme que de la laïcité » – «Aurélien Taché avait été critiqué en mai dernier pour avoir défendu la responsable voilée de l’UNEF (…). » Piqué au vif M.  Taché a répliqué:  «Défendre les libertés pour toutes et tous, quelle que soit l’orientation sexuelle, l’origine ou la religion, c’est cela le progressisme. En exclure les musulman(e)s… cela porte un autre nom et c’est un délit, pas une opinion. ».  Réponse  de M Cormier-Bouligeon :   «Ton accusation est grave et insultante. Elle démontre la mauvaise foi de ton positionnement qui indigne nombre de nos collègues. Assigner une partie de nos concitoyens à l’observance des pratiques les plus obscurantistes est contraire à l’idée même d’émancipation. »

    Une querelle intestine qui rappelle que LREM est  sur le plan des principes et des idées, une auberge espagnole au même titre que LR, même si Aurélien Taché est réputé très proche de M Macron, membre de sa garde rapprochée. Ce député est d’ailleurs l’auteur d’un rapport sur l’intégration préconisant notamment d’autoriser les immigrés clandestins demandeurs d’asile à obtenir un emploi au bout de six mois, avant qu’ils aient obtenu le statut de réfugié. D’ores et déjà France Inter révélait hier  que le ministère du travail  « s’apprête à lancer un appel à projet. Objectif: aider 5000migrants, ayant obtenu l’asile, à s’insérer en France », avec à l’appui «un plan de 15 millions d’euros pour permettre aux réfugiés de trouver un emploi. » Voilà au moins une annonce qui fait l’unanimité chez les progressistes… comme ils disent.

    https://gollnisch.com/2018/10/02/quand-on-est-progressistes-comme-ils-disent/#respond

  • Un acharnement idéologique à nier que l’embryon est un être humain

    Un acharnement idéologique à nier que l’embryon est un être humain

    Communiqué de Choisir la vie :

    En 2015, alors qu’elle était encore Ministre de la Santé, Marisol Touraine instaurait, le 28 septembre, une Journée mondiale du droit à l’avortement et créait un numéro vert national destiné à informer les femmes sur l’avortement et à en promouvoir toujours davantage l’accès.
    En 2018, si Madame Touraine a quitté ses fonctions, la nouvelle ministre de la santé, Agnès Buzyn, entend bien poursuivre dans cet acharnement idéologique à défendre ce droit à l’IVG et à s’opposer à toute entrave à celui-ci.
    Ainsi, alors même qu’il y a seulement quelques jours, le Docteur Bertrand de Rochambeau, président d’un syndicat de médecins gynécologues, avait le courage affirmer que l’avortement constituait la suppression d’une vie et donc un homicide et rappelait le droit de chaque médecin d’user de la clause de conscience pour refuser de pratiquer cet acte, plus que jamais, Madame Buzyn et Madame Schiappa, secrétaire d’état à l’égalité femmes-hommes, entendent défendre ce droit à l’avortement et rappeler la liberté des femmes à choisir de disposer de leur corps.
    La campagne étatique d’affichage à l’occasion de la journée du droit à l’avortement le 28 septembre, comme chaque année, a passé sous silence les conséquences physiques et psychologiques de l’IVG et a continué de nier que l’embryon est un être humain.
    C’est pourquoi, Choisir la Vie, qui quotidiennement, à travers son antenne d’écoute se place du côté des femmes enceintes en difficulté et des enfants, entend, par sa nouvelle campagne d’affichage, riposter à la campagne étatique en démontrant que l’enfant in utéro n’est “ni une déception, ni une punition, ni une erreur, ni un obstacle mais un être humain”.
  • Sexisme : quand France Inter ne s’interdit rien contre Charlotte d’Ornellas, par Caroline Parmentier

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    « Les petites cathos d’extrême droite ça m’excite (…) Nous ferons l’amour bestialement comme deux bergers allemands » etc. Où sont les Mee too et les Balance ton Porc pour protester aujourd’hui contre la chronique répugnante de Daniel Morin sur France-Inter contre Charlotte d’Ornellas ?

    Sur France-Inter qui nous a bassinés pendant des mois avec le sexisme et le harcèlement (et sous les gloussements un peu gênés de deux journalistes femmes sur le plateau qui se gardent bien d’intervenir), le chroniqueur Daniel Morin se livre le 27 septembre à un ahurissant numéro sur le mode « Fais-moi mal, chienne » contre la journaliste de Valeurs Actuelles, ancienne collaboratrice de Présent, « à droite, droite, droite » où tout y passe : l’armure de Jeanne d’Arc, les culottes de peau autrichiennes, les bergers allemands et les nazis, sur fond de halètements et de « Maréchal nous voilà ».

    C’est particulièrement choquant et sexiste et tout le monde rigole autour de la table. Le respect des femmes sur France Inter, radio du service public qui passe son temps à donner des leçons, c’est à la tête de la cliente. On imagine un instant si la cible n’avait pas été blanche, catho et de droite. Et le même genre de sketch avec par exemple Rokhaya Diallo ou Raquel Garrido dans le rôle de la « salope ».

    Dans le même temps, Eric Zemmour pour une phrase désobligeante (et coupée au montage) sur le prénom d’Hapsatou Sy, doit être interdit partout d’antenne et de plateau ! Est-ce que Marlène Schiappa et toute la classe médiatique et politique qui a volé au secours d’Hapsatou Sy comme un seul homme, va demander l’interdiction de Daniel Morin ? Il ne risque absolument rien ni du CSA ni des chiennes de garde, il a tous ses totems d’immunité. Vous voulez appeler au meurtre (comme Laurent Ruquier appelant à abattre Donald Trump sur la chaîne publique France 2 sans jamais avoir été sanctionné) vous voulez appeler au viol ou au racisme anti-blanc et anti-catho, vous voulez diffamer, insulter ? Soyez journaliste de gauche sur une radio d’Etat.

    Photo : La photo officielle de Daniel Morin sur le site de France-Inter. Il s’était mis du rouge à lèvres en signe de solidarité pour la Journée de la Femme comme le tartuffe obsédé sexuel, Denis Baupin…

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 1er octobre 2018

  • Zemmour réagit à la polémique Nick Conrad : « Les Blancs ne sont qu’une expression pour dire les Français »

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    Le clip « Pendez les Blancs » du rappeur Nick Conrad a suscité un tollé et a engendré de nombreuses réactions. Sur LCI, Eric Zemmour a dénoncé la « culture du rap francophobe (...) qui appelle au meurtre des Français » et qui se répand dans les banlieues. Ecoutez ! 

    La vidéo du rappeur Nick Conrad n'en finit plus de faire réagir. Invité de la matinale de LCI vendredi 28 septembre au matin, Eric Zemmour s'est lui aussi exprimé sur la chanson et le clip tournés à Noisy-le-Grand, accusés de racisme anti-blanc. « Ce n’est pas un acte isolé, c’est une culture. Ça fait longtemps : 10 ans, 15 ans que les rappeurs appellent à tuer les flics, appellent à tuer les Français, appellent à détruire la France. Je peux vous sortir des listes de chansons longues comme le bras. Ce n’est que le dernier » , a-t-il expliqué. 

    « Il y a une culture du rap francophobe qui déteste la France, qui déteste les Français, qui appelle au meurtre des Français. Les blancs ne sont qu’une expression pour dire les Français (...). Il y a une culture de la haine de la France qui s’est répandue dans d’innombrables banlieues. Alors heureusement, tous les banlieusards, même ceux qui sont de culture musulmane ne sont pas touchés, grâce à Dieu »  a ajouté celui qui a été sous le feux des critiques pour avoir critiqué le prénom d'Hapsatou Sy, la chroniqueuse de Thierry Ardison.

    Toujours sur les banlieues, assurant que la France se dirigeait vers une nouvelle guerre civile, Eric Zemmour a conclu ainsi ses propos : « Il y a aujourd’hui dans toutes nos banlieues une contre-société qui a créé un contre-peuple, avec une contre-civilisation qui repose sur l’islam. C’est ça la vérité de nos banlieues que l’on ne veut pas dire et que l’on ne veut pas croire. » 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La Commission européenne contre la coopération italiano-tunisienne en matière d’immigration

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Jeudi dernier, le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, a effectué sa première visite en Tunisie. Cette visite fait suite à l’adoption d’un décret anti-immigration en début de semaine dernière par le gouvernement italien. Deux mesures de ce décret sont particulièrement notables : la restriction de la délivrance du permis de séjour et la réduction considérable de la durée maximale de la rétention administrative des clandestins.

    Suite à l’adoption de ce décret, Matteo Salvini s’est rendu à Tunis où il a rencontré le président Tunisien Béji Caïd Essebsi. La discussion a porté sur la limitation de l’immigration clandestine en provenance de la Tunisie et sur le rapatriement des ressortissants tunisiens.

    Rappelons que, selon le ministère italien de l’Intérieur, 4.487 Tunisiens sont arrivés clandestinement en Italie depuis le début de l’année. En termes d’arrivées de clandestins en Italie, la Tunisie est ainsi classée première en 2018, avant l’Érythrée.

    La rencontre à Tunis entre les deux responsables politiques s’est déroulée en présence de plus de cent de chefs d’entreprise italiens. En ce sens, le président tunisien a reçu l’assurance que l’Italie soutiendrait financièrement et économiquement la Tunisie.

    Toutefois, Matteo Salvini se heurte à ses opposants européens. En effet, la Commission européenne a d’ores et déjà jugé sa proposition de budget « hors des clous ». Il est probable que ce jugement résulte en partie du fait que Matteo Salvini a menacé de réduire la contribution de l’Italie au budget européen, si l’Union ne s’engage pas dans la même voie de régulation migratoire.

    https://fr.novopress.info/212114/la-commission-europeenne-contre-la-cooperation-italiano-tunisienne-en-matiere-dimmigration/

  • Le Monde a osé apposer le mot « haine » sur le combat de Patrick Jardin : c’est indécent

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    Pour toute une intelligentsia bien-pensante, il n’est qu’une opinion acceptable sur les attentats islamistes, et en particulier celui du Bataclan. Et cette doxa a été rapidement et définitivement érigée en dogme avec l’opuscule d’Antoine Leiris, qui a perdu sa femme au Bataclan : Vous n’aurez pas ma haine.

    Leur article commence donc par là, par le dogme, histoire de montrer toute l’hétérodoxie de Patrick Jardin : « Il est l’anti-Antoine Leiris. » Et, à partir de là, la cause est entendue, l’enquête est close, le jugement est fixé, définitif dès la première phrase et peut donner son titre à l’article du Monde, cet Osservatore parisiano du dogme : « Après le Bataclan un père sur le chemin de la haine. » Ce père, c’est Patrick Jardin.

    Ce père a emprunté un parcours différent, n’a pas immédiatement crié son pardon et son amour des assassins islamistes, ce père a voulu enquêter, démêler l’écheveau des causes et des responsabilités qui ont amené ces centaines de crimes, les ont rendus possibles en France. Ce père s’est mobilisé, avec d’autres victimes, pour que Médine ne chante pas au Bataclan. Et il a obtenu gain de cause, preuve qu’il y avait là une indécence et un irrespect sacrilèges qui auraient peut-être mérité une enquête du Monde, non ? Une chose est sûre : quand votre enfant est tombé, avec des dizaines d’autres, sous les coups d’une idéologie et d’individus animés par la haine, il y a des choses qui ne se font pas, des mots qui ne s’emploient pas. On ne met pas dans le même sac de la « haine » les barbares islamistes et les victimes. C’est indécent. Écœurant.

    Mais qui sont-elles donc, ces deux journalistes, pour avoir la prétention d’assener une telle sentence ?

    On est sidéré qu’elles ne soient même pas capables de reconnaître ce qu’il y a de résilient (pour employer les mots qu’aime d’ordinairement Le Monde, mais seulement quand la résilience va dans le sens attendu) dans les combats que mène Patrick Jardin : recherche de la vérité, enquête, écriture d’un livre, recherche de soutiens et d’engagement auprès de personnalités et de mouvements politiques. Faut-il leur rappeler, à nos deux journalistes péremptoires, que c’est cela, un chemin de deuil et de vie, aussi ? Et qu’elles n’ont le droit de porter aucun jugement ? Qu’elles se discréditent en réduisant la démarche de Patrick Jardin à ce seul affect ? Comme il est facile d’apposer le mot « haine » sur ce parcours… Comme c’est bien commode, car cela empêche aussi d’écouter ce qui, dans son discours, relève de la raison, du questionnement légitime, de l’analyse d’une situation historique qui dépasse son drame personnel. Et tout cela est à son honneur.

    Ne peut-on pas leur suggérer, enfin, que ce qui est le plus suspect, dans de tels drames, c’est bien plutôt – tous les psychologues le savent bien – le pardon immédiat et précipité ?

    On aurait aimé un peu plus de respect, de pudeur devant ce père qui, en perdant sa fille, a tout perdu. Il faut vraiment ne pas avoir eu, dans son entourage, des parents ayant subi de tels drames pour oser écrire ce qu’elles ont écrit. Ou être aveuglé par ses préjugés, son idéologie. Patrick Jardin est sur le chemin de la vérité et de la reconstruction. Le Monde sur celui de l’indécence et de la confusion.

    Pascal Célérier

    http://www.bvoltaire.fr/le-monde-a-ose-apposer-le-mot-haine-sur-le-combat-de-patrick-jardin-cest-indecent/

  • Quand la mémoire flanche

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    Alger, 1957 ...

    par Louis-Joseph Delanglade

    Pendant la campagne présidentielle, de passage à Alger, M. Macron avait cru bon de condamner moralement la présence « coloniale » française en Algérie - condamnation évidemment inadmissible notamment au vu du contexte.

    Un peu plus tard, dans une interview au Figaro, il avait rééquilibré son propos : « Nous devons réconcilier des mémoires fracturées : celle des harkis, celle des pieds-noirs, celle des Français d'origine algérienne, celle des binationaux . » Cette fois, il s’agissait de traiter sur un pied d’égalité, en leur accordant à toutes la même légitimité aux yeux de l’Etat, des « mémoires » dont le rapport à la France n’est pas le même : harkis et pieds-noirs ne sont ni des immigrés ni des binationaux ; la mémoire des premiers fait partie de la mémoire française, celle des seconds est une mémoire étrangère et la conception mémorielle égalitariste de M. Macron n’est pas satisfaisante. 

    1596702414.jpgOr, voici que ce dernier vient de commettre une double faute en reconnaissant la responsabilité de l’Etat français dans la disparition à Alger en I957 de Maurice Audin. La première faute est de faire passer pour une innocente victime celui qui, au nom de son engagement communiste, n’aura été qu’un porteur de valises pour le compte du F.L.N., organisation terroriste avant l’heure en guerre contre la France. La dixième division parachutiste commandée par le général Massu (photo avec De Gaulle) n’a fait que son devoir en gagnant la bataille d’Alger, mission dûment confiée par le pouvoir politique. Quand on sait les atrocités commises par les combattants du F.L.N., quand on veut bien comprendre que ces atrocités constituaient un mode de combat, on voit mal comment nos soldats auraient pu répondre efficacement, sauf à utiliser tous les moyens. Celui qu’il faut bien appeler un traître a sans doute été arrêté et interrogé pour obtenir des renseignements visant à éviter des dizaines d’attentats perpétrés contre des civils. M. Macron n’avait donc pas à demander pardon à Mme veuve Audin. 

    3719122623.jpgLa seconde faute aura été le moment choisi, quelques jours seulement avant le 25 septembre, « journée nationale d’hommage au harkis » (photo). Il se trouve que, outre quelques décorations et quelques millions d’euros de mesures en leur faveur (le tout bien mérité, convenons-en), Mme Darrieusecq, secrétaire d'Etat auprès du ministre des Armées, a annoncé pour décembre « une initiative mémorielle d’envergure […] une reconnaissance pleine et entière » de l’engagement puis du calvaire de ces soldats français en Algérie et en France même. Très bien. Mais comment ne pas penser que M. Macron, encore et  toujours soucieux de « travailler sur l'apaisement des mémoires » semble vouloir ainsi faire l’équilibre entre un Audin complice des terroristes et tortionnaires du F.L.N. et ces soldats français trahis et abandonnés par certains de leurs chefs ?  S’il y a eu faute de l’Etat voire de l’Armée, ce n’est pas pendant la bataille d’Alger, c’est plutôt lors du dénouement tragique de 1962.

    M. Macron se souvient mal et mal à propos. A force de vouloir faire du « en même temps » une sorte de méthode opératoire, il participe à un nivellement mémoriel inacceptable.

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  • Une première : dans la Somme, des lycéens se révoltent contre la propagande cosmopolite de leur professeur gauchiste

    51dxodet24l._sx308_bo1204203200_-3868940.jpgDans la Somme, un professeur de lycée gauchiste a, « dans le cadre de ce qu’on appelle un parcours de lecture », choisi Le Porteur de cartable, un roman d’un certain Akli Tadjer.
    Dans ce livre honteux, l’auteur raconte « l’histoire à Paris de deux enfants, Omar, petite main pour les indépendantistes algérien [sic] et Raphaël, rapatrié d’Algérie ».

    Porteur de cartable est une allusion à porteur de valises, comme on appelait ainsi les Français – souvent communistes – qui trahissaient leur patrie pour soutenir l’organisation sanguinaire et terroriste FLN…

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