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lobby - Page 1011

  • Lancement des Gay Games avec le soutien du gouvernement et l’argent des contribuables

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    Ce matin, à Paris, sur le parvis de l’hôtel de Ville, quelques politiciens se pressaient pour l’inauguration des Gay Games, jeux olympiques LGBT.

     

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    C’est tout de même paradoxal de voir un lobby qui pleurniche du matin au soir sur la discrimination dont il serait victime et qui a ensuite pour obsession d’organiser des événements communautaristes pour faire sa promotion.

    Ce rassemblement international bénéficie d’un total soutien gouvernemental.

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  • L'accueil des migrants ? Mais puisqu'on vous dit que tout va bien...

    Des nouvelles d’Espagne (Catalogne) : l’intégration des migrants se passe bien, et la police a la situation bien en main. pic.twitter.com/MnGtqYo9NL

    — Philippe Vardon (@P_Vardon) 2 août 2018

    L'attaque de la garde civile espagnole par 600 migrants à la chaux vive est un signal d'alerte extrêmement grave : il est temps de dire stop à un chaos migratoire de plus en plus violent et de sortir enfin de l’immigration de masse. #Ceuta #PJLAsileImmigrationpic.twitter.com/zkfrRdffev

    — Eric Ciotti (@ECiotti) 27 juillet 2018

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Martine Aubry instrumentalise l’accueil de 42 réfugiés triés sur le volet

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    Vous vous souvenez de l’odyssée de l’Aquarius, ce navire qui, en juin 2018, était resté bloqué en mer pendant plusieurs jours, avec 629 migrants ? L’Italie et Malte avaient refusé qu’il accostât dans leurs ports, avant que l’Espagne ne l’accueillît : belle publicité pour le tout récent Premier ministre socialiste, qui appelait à travailler « pour une nouvelle Europe où les égoïsmes nationaux ne [prévaudraient] pas ». Quant à la France, tout en dénonçant le « cynisme » et l’« irresponsabilité » de Rome, elle avait trouvé mille prétextes pour expliquer que ce n’était pas à elle de gérer cette affaire, acceptant finalement de recevoir quelques dizaines de migrants, qui pourraient prétendre au statut de réfugiés.

    C’est fait ! Et l’on veut que ça se sache. Martine Aubry, lors d’une cérémonie officielle à la mairie de Lille, a déclaré devant quarante-deux Soudanais : « Nous savons ce que vous avez vécu […]. Vous êtes ici chez vous, vous êtes des Lillois, et nous sommes extrêmement heureux de vous avoir parmi nous. » Pas sûr que tous les Lillois soient aussi satisfaits qu’elle, mais cette ancienne dirigeante socialiste sur le déclin se devait de donner l’exemple.

    Afin de justifier le délai très raccourci pour leur accorder le statut de réfugié – qui leur permettra de recevoir une carte de résident pour dix ans –, le secrétaire général adjoint de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) a précisé que « nous sommes allés au devant de la demande, en Espagne, entendre les demandeurs d’asile qui nous ont fait part des motifs pour lesquels ils avaient quitté leur pays, ce qui a permis de pré-instruire leurs dossiers ». Ils ont bien de la chance d’avoir obtenu un traitement de faveur !

    Jusqu’au préfet de la région, qui a cru bon de leur souhaiter la bienvenue en ces termes discutables : « La France qui vous accueille va vous paraître étrange, [face] à ceux qui vous accueillent les bras ouverts, il y a aussi ceux qui vous accueillent à bras fermés, mais la France est ainsi, aimez-la […] et cet amour, la France saura vous le rendre. » On croirait entendre la Conférence des évêques, séparant le bon grain de l’ivraie, les bons des mauvais Français, diront des esprits malintentionnés. Dans cette région où le Rassemblement national fait des scores importants, devinez qui sont les mauvais.

    Ce qu’il y a de révoltant, dans cette affaire, c’est son instrumentalisation. Pour des raisons qui ne sont pas toujours désintéressées, on s’édifie en modèle. Vous vous rendez compte, on a accueilli quarante-deux Soudanais, qui ne demandent qu’à s’intégrer ! Peut-être, mais ils ont apparemment été triés sur le volet. L’un d’eux, un étudiant, explique : « Je suis vraiment très heureux, c’est un jour très spécial pour moi. Je remercie tout le monde. Venir en France était mon rêve pour plusieurs raisons, pour l’éducation, le développement du pays, la technologie… » Était-il vraiment en danger dans son pays ?

    Quarante-deux réfugiés, qui ne posent pas de problème : cela valait la peine d’être exploité ! C’est facile, c’est pas cher et ça peut rapporter gros en notoriété, dans l’univers du politiquement correct. Les maires des petites bourgades auxquelles on a imposé, sans concertation, d’héberger des clandestins de Calais ne pratiquent sans doute pas une telle autosatisfaction. Car la question de l’immigration ne se réduit pas à quelques poignées de migrants qu’on accueille en grande pompe pour se donner bonne conscience (et donner mauvaise conscience aux autres) : c’est le phénomène d’une immigration incontrôlée contre lequel les autorités publiques, volontairement ou par impéritie, ne font rien, sinon se contenter de belles paroles.

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/martine-aubry-instrumentalise-laccueil-de-42-refugies-tries-sur-le-volet/

  • Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite

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    « Consommer est devenu le but suprême
    de l’existence des individus,
    ce qui comble d’aise
    les maîtres du “village terrestre”
    peuplé d’hédonistes
    (les travailleurs)
    et de psychopathes
    (les parasites sociaux) »

    Entretien avec Bernard Plouvier, auteur de Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite, éditions de L’Æncre (propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

    1939234220.jpgVous abordez dans votre livre des thèmes très divers, tel les origines de l’Homo sapiens, le domaine territorial de la race blanche, dite « caucasienne », les constantes de la société humaines et les variables culturelles, mais également l’ambiguïté du « libéralisme » et du « melting pot » des USA, l’expérience mondialiste et l’économie globale qui permet aux ploutocrates de confisquer les États… Le titre de cette collection « Nouveau siècle, nouveaux enjeux » semble parfaitement s’appliquer au thème de ce livre ?

    Nous autres, Européens autochtones, vivons indéniablement une période de « fin de civilisation », qui ressemble à s’y méprendre à celle vécue par les contemporains de la fin de l’Empire romain d’Occident. Cette constatation, assez peu réjouissante, mérite à la fois que l’on établisse un bilan des réalisations anciennes et que l’on apporte quelques réflexions comparatives sur les valeurs qui s’estompent et celles qui émergent.

    Au Ve siècle, l’enrichissement général des citoyens de l’Empire romain avait conduit au relâchement de l’effort collectif et deux nouvelles religions moyen-orientales – la chrétienne et celle des adorateurs de Mithra – avaient supplanté le culte des dieux de l’État. De nos jours, la fraction la plus inventive de l’humanité contemporaine s’est lancée dans la course effrénée aux petites joies individuelles, au lieu d’œuvrer comme auparavant pour la collectivité.

    Au Ve siècle, le pouvoir spirituel avait asservi puis anéanti la puissance politique. De nos jours, les maîtres de l’économie écrasent les autres pouvoirs : exécutif, législatif, judiciaire, médiatique et même spirituel.

    Consommer est devenu le but suprême de l’existence des individus, ce qui comble d’aise les maîtres du « village terrestre » peuplé d’hédonistes (les travailleurs) et de psychopathes (les parasites sociaux).

    L’économie globale et la mondialisation de la vie économique et culturelle sont deux notions nées aux USA durant la IIe Guerre mondiale. Du fait de l’implosion des sociétés communistes, elles sont devenues la réalité quotidienne de presque tous les peuples de la planète : rêve pour les uns, cauchemar pour les autres… c’est affaire de sensibilité et d’idéal.

    Il est évident que Franklin Delano Roosevelt, le grand concepteur, n’aurait nullement apprécié notre monde où les grands actionnaires des multinationales et des trusts nationaux d’Asie manipulent, du fait de la toute-puissance de l’argent, les pantins de la politique et des media.

    Quelle est votre définition du « cosmopolitisme », un mot qui, au XVIIIe siècle, à l’époque des Lumières, représentait le nec plus ultra : cela revenait alors, pour l’élite, à s’informer des autres cultures que celle de son pays d’origine ?

    Le cosmopolitisme à la sauce mondialiste équivaut au mixage des cultures et au brassage des populations, de façon à liquider l’option nationale, jugée pernicieuse. L’Europe est ainsi envahie d’extra-Européens, souvent incultes, toujours faméliques et avides, également nantis pour la plupart d’une religion médiévale, c’est-à-dire grosse de l’expression d’un fanatisme anachronique, mais également porteurs d’un racisme revanchard dont l’expression est évidente, sauf pour les pitres qui façonnent l’opinion publique et ceux qui font semblant de nous gouverner.

    La propagande mondialiste reflète, c’est évident, les choix de nos maîtres, qui leur sont dictés par leur intérêt. Le grand village terrestre ne doit plus être composé que d’individus qui consomment beaucoup, au besoin à crédit, et pensent gentiment ce qu’imposent les fabricants d’opinion publique.

    Dans leur désir d’uniformiser l’humanité, pour augmenter la rentabilité du négoce en facilitant le travail des producteurs, des distributeurs et des revendeurs de biens de consommation, nos maîtres font l’impasse sur de nombreuses données génétiquement programmées de l’espèce humaine, non susceptibles d’éducation ou de rééducation. En outre, il nient allègrement une évidence : la profonde inégalité des êtres humains et des civilisations passées.

    Par intérêt également, ils autorisent le développement de conduites sociales aberrantes pour peu que cela leur fournisse un marché lucratif (pornographie, conduites addictives, coutumes alimentaires absurdes conformes à des préceptes religieux antiques ou médiévaux).

    Que cela envahisse le continent phare du melting pot, celui des trois Amériques (pour reprendre une expression rooseveltienne), ne nous regarde pas en tant qu’Européens, mais il est grotesque de le tolérer dans notre continent, qui fut le continent civilisateur durant deux millénaires et demi.

    Pourquoi ne pas aimer ce monde nouveau, apparu il y a une vingtaine d’années, lors de l’effondrement des sociétés communistes et du triomphe de l’american way of life ?

    Dépourvus de culture historique et philosophique, nos nouveaux maîtres créent une société mono-culturelle, multi-raciale parfaitement artificielle, qui ne peut en aucun cas créer une civilisation stable, donc durable, ni innovante au plan intellectuel et spirituel.

    L’étude des espèces animales démontre que l’égoïsme et l’individualisme sont nocifs à moyen terme pour l’espèce, mais aussi pour les individus. Sans discipline, sans hiérarchie fondée sur les qualités et les mérites individuels, sans cohésion du groupe fondée sur l’utilité sociale, il ne peut y avoir de sécurité donc de survie, encore moins d’expansion pour l’espèce considérée.

    Ce qui effare le plus un observateur européen contemplant la société actuelle est de constater que les Européens de souche ont, par veulerie et par esprit de facilité, renoncé à leur histoire. De la position de civilisateurs de la planète, ils sont passés en un demi-siècle au statut de colonisés, achetant des produits de médiocre qualité et d’infime durée de vie, fabriqués le plus souvent en Asie, et se gavant d’une sous-culture élaborée aux USA et au Japon.

    L’étude de quelques grandes civilisations européennes défuntes démontre que l’homogénéité ethnique est l’une des conditions fondamentales de l’implantation, puis du rayonnement d’une civilisation originale. La perte du sens de l’effort collectif, l’incorporation de populations ou de croyances issues d’autres continents sont les conditions idéales pour amener la dégénérescence, puis la mort d’une civilisation, c’est-à-dire l’instauration d’un nouvel « âge des ténèbres ».

    On ne peut guère compter sur le milieu des universitaires, où règnent en maîtres le conformisme et le misonéisme, ni sur les media, par définition aux ordres du Pouvoir, pour provoquer une réflexion critique chez nos contemporains, alors même que l’avenir de l’Europe dépend essentiellement de la prise de conscience de l’originalité et de la richesse de leur passé par les Européens de souche, qui seuls doivent décider de l’avenir du continent et de sa race.

    Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite, édition L’Æncre, collection « », à nouveau siècle, nouveaux enjeux, dirigée par Philippe Randa, 452 pages, 35 euros.

    Pour commander ce livre, cliquez ici.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Éoliennes : 30 millions de tonnes de béton pour sauver la biodiversité

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    Par Jean-Louis Butré, Président de la Fédération Environnement Durable ♦

     À l’horizon 2025, 30 millions de tonnes de béton armé vont être coulés dans le sol de la France pour implanter 20.000 éoliennes programmées par Nicolas Hulot. Comment accepter un tel double langage d’un ministre de l’Environnement qui a déclaré solennellement vouloir protéger la biodiversité de la France et lutter contre l’artificialisation des sols à grands effets d’annonces médiatiques et de shows écologiques ?

    Huit milles éoliennes couvrent déjà la France. Pour implanter les vingt mille éoliennes terrestres prévues à l’horizon 2025 par la Transition Énergétique, Nicolas Hulot a autorisé sans l’avouer que 30 millions de tonnes de béton qui ne seront jamais enlevées, soient déversées dans le sol français, par 1,2 million de « camions-toupies ».

    En effet un socle d’éolienne terrestre est fabriqué en coulant dans le sol 1 500 tonnes de béton sur une armature composée d’un treillis de ferraille mise dans une cavité creusée par des bulldozers et des pelleteuses. Une telle quantité de béton armé est nécessaire pour la « fixer » car elle peut maintenant culminer en bout de pales à 235 mètre de haut et supporter une nacelle de plus de 70 tonnes.

    Des accidents spectaculaires qui se multiplient dans toutes les régions du monde depuis les premières machines arrivent en fin de vie, montrent que lorsqu’elles explosent elles projettent à plus de 500 m de distance des morceaux de pales ou de nacelles pesant dans certains cas plusieurs centaines de kilogrammes.

    Le socle d’une éolienne a un diamètre d’environ 10 mètres et une épaisseur de l’ordre du mètre. Les 1 500 tonnes de béton armé qui le composent sont enterrés à plus d’un mètre de profondeur. Pour implanter 20.000 éoliennes, c’est un train de 12.000 km (le tiers de la circonférence terrestre) de camions toupies qui vont déverser 30 millions de tonnes de béton dans le sol de la France. Pour une seule éolienne, 60 camion toupies de 25 tonnes de béton chacun sont nécessaires pour la réalisation de ce socle.

    Dans la grande majorité des cas, les routes n’existant pas, il faut aussi les construire et pour cela détruire des chemins traditionnels, raser les haies, couper de arbres. On peut affirmer que les socles d’éoliennes sont l’équivalent de véritables blockhaus plantés dans les champs n’importe où et plus particulièrement dans les zones vierges en ou la nature était intacte.

    Le béton ne sera jamais enlevé. Qui va payer ce saccage écologique ?

    Au bout des 15 ans, durée de vie d’une éolienne, seul le démontage est prévu, et encore pour un montant insuffisant (le septième de la somme en réalité nécessaire). Là aussi, ce sont les propriétaires de terrains, les agriculteurs et les communes qui seront grugés (*) alors qu’elles qui avait cru faire une bonne affaire. Même si l’éolienne est démantelée, le béton, lui, ne sera jamais enlevé.

    En effet, en France il n’existe aucune obligation légale pour enlever ce béton du sol, ce qui est écologiquement absolument scandaleux, montrant encore une fois que l’éolien est une affaire d’argent et qu’il été totalement abandonné par les divers gouvernements depuis 2001 aux lobby des promoteurs du vent qui si fichent comme l’an quarante de la biodiversité et dont seul objet et de faire le plus vite possible le maximum de profits sans se soucier des problèmes futurs.

    C’est pour cette raison en outre que la Fédération Environnement Durable (FED) demande un moratoire éolien. Un ministre ne peut prôner la protection de l’écologie et passer son temps à la bafouer.

    Jean-Louis Butré 03/08/2018

    (*) Le cout du démantèlement pour une éolienne est de 350.00 euros. Le promoteur est tenu de mettre de côté 50.000 euros. Si un agriculteur a gagné 150.000 euros sur 15 ans de loyer pour avoir accepté de louer son terrain, il risque en réalité de se retrouver grugé s’il doit payer le démantèlement. La perte pourrait s’élever pour lui à 150 000 euros.

    Source : Metamag

    https://www.polemia.com/eoliennes-30-millions-de-tonnes-de-beton-pour-sauver-la-biodiversite/

  • Petit rappel : Quand Wikipédia masque l'apologie pédophile de "Libération"

    Pédophilie[modifier le code]
    Il y a quelques jours j'ai enlevé la section suivante :
    "En mai 1977, Libération publie un article faisant explicitement l'apologie de la pédophilie. "Naissance du "front de libération des pédophiles"" est un véritable acte de foi en faveur des pédophiles, qui constituaient une partie des lecteurs de Libération. L'article sera à nouveau publié le 1er mars 19791.
    Pendant dix-neuf mois, Libération va publier des articles, dessins et photographies à caractère pédophile (entre autre dans l'édition du 5 novembre 19782). Le caractère choquant de ces publications entraînera des poursuites judicières![réf. nécessaire].
    Cependant, le 1er mars 1979, Libération publie fièrement "Les outrages de Libération"3, article qui relate ses démêlés avec la justice française. Une justice sclérosée et "bourgeoise", qui s'attaque injustement à un journal "novateur". Pour l'occasion, Libération republie une grande partie des articles et autres dessins qui ont défrayé la chronique![réf. nécessaire].
    En 1981, Libération publie un témoignage, "câlins enfantins", dans son édition du 20 juin. Un homme rapporte ses relations pédophiles avec une enfant, sur une durée de près de trois ans.
    En 1982, Libération persiste et signe le 20 octobre. Hocquenghem écrit ceci : « La pédophilie n’a jamais été en tant que telle un délit dans le code pénal »4 ; la pédophilie ne serait donc pas répréhensible ?
    L'histoire ne s'arrête pas là, car le 1er mars 2001, vingt ans après ces prises de position plus que controversées, publie une apologie d'une éducation pédophile5, en soutien à Daniel Cohn-Bendit, pédophile notoire6."
    ↑ Naissance du "front de libération des pédophiles"
    ↑ Dessins (partiellement censurés) paru dans l'édition du 5 novembre 1978
    ↑ Les outrages de Libération
    ↑ Libération du 20 octobre 1982
    ↑ Libération du 1er mars 2001
    ↑ Cohn-Bendit a publié ceci, en 1975, dans Le Grand Bazar: « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais: "Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas les autres gosses?". Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même ».
    J'aimerai qu'on discute à plusieurs de la pertinence d'un éventuel paragraphe sur le traitement de la pédophilie dans Libé. En l'état, le paragraphe est un travail original. On ne peut pas dire dans Wikipédia, q'un article de Libé fait l'apologie de la pédophilie mais par contre on peut dire qu'untel (s'il est notable) a déclaré que tel article de Libé était faisait l'apologie de la pédophilie.
    De plus, faut virer les liens vers des sites qui violent le droit d'auteur.
    Et bien sûr neutraliser le ton employé pour qualifier Cohn-Bendit. L'article en l'état à un ton journalistique ou d'association de luttre contre la pédophilie (c'est respectable, mais le ton ne convient pas à une encyclopédie ; et les informations doivent être vérifiées pour éviter qu'on ne se fasse manipuler par un groupe de pression.).
    ~Pyb | ✉ 12 juin 2007 à 09:34 (CEST)
    Nota : les 4 premières sources viennent du même site (celui-ci) et sont en accès restreint. Je ne lis pas dans la 5è une apologie de la pédophilie (loin de là !), et la 6è références voit son sens honteusement déformé dans l'usage qui en est fait. A mon avis, ce truc est à virer dans le doute, ou à neutraliser, mais le maintenir dans l'article serait se rendre complice de diffamation. Esprit Fugace causer 12 juin 2007 à 09:47 (CEST) 
    On ne neutralise pas ce qui est diffamatoire, mais on le supprime. OccultuS (Pogawędzić) 12 juin 2007 à 09:52 (CEST) 
    C'est le problème des sources sur WP en général. On supprime les liens externes, mais on laisse les réf. aux articles. (pcp de vérifiabilité). La question est : si personne de notable n'a attaqué Libé là-dessus, doit-on tout effacer ou seulement neutraliser ? voir aussi Histoire de l'activisme pédophile. Peut-être peut-on mettre 2-3 lignes ici et faire un renvoi vers les articles Cohn-bendit et Histoire de l'activisme pédophile ? MaCRoÉ©o bla bla 12 juin 2007 à 11:17 (CEST) 
    Le souci est que les articles sont parfaitement lisibles en ligne, sur le site cité plus haut. En tout cas, il est possible de citer, de manière neutre, le fait que Libération a donné la parole à des pédophiles faisant l'apologie de leur propre penchant sexuel, à une époque où la défense de la pédophilie pouvait apparaître "progressiste". C'est sourcé dans cet article, publié en 1970 par... Libération ! Jean-Jacques Georges (d) 28 août 2010 à 11:39 (CEST) 
    Je suis très perplexe quant à la remarque précédente ... Ce n'est pas parce que les tenants de cette idéologie s'auto-prétendaient "progressistes" que leurs propos passés doivent être amnistiés, ni que le comportement de Libération doit être oublié (comprendre: supprimé de l'article). Qui a le pouvoir de donner ce label magique "progressiste" amnistiant tout ... si ce n'est les progressistes eux-mêmes? Avec de tels raisonnements malhonnêtes, on pourrait justifier n'importe quelle idéologie, même les plus destructrices.
    Libération a donné voix à ces gens là, l'article wiki doit en faire mention, que ça plaise ou non.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP78.251.165.121 (discuter), le 29 juillet 2011 à 17:49 (CEST). 
    Il semblerait que la version actuelle de l’article ne fasse plus aucunement mention du sujet ; je suis d’accord avec la dernière intervention sur la nécessité de l’évoquer. — SniperMaské (d) 27 février 2012 à 18:40 (CET)
     
    Oui, la pédophilie, le sacrifice enfant, est dénoncé mais elle étouffé par les média http://www.dailymotion.com/video/xox8wf_alain-soral-satanisme-elites-sataniques-09-2011_news
     
    Le message qui précède, non signé, a été déposé par Cengiz Bagci (discuter), le 3 mars 2012 à 18:08 (CET). 
    source

    http://www.oragesdacier.info/2018/08/petit-rappel-quand-wikipedia-masque.html

  • Calais (62) : des migrants attaquent les habitants dans leurs propres maisons ainsi que dans leurs véhicules, deux femmes blessées (MàJ : condamnations)

    30/07/2018

    Les riveraines se montrent encore choquées et angoissées par ces violences. «  On a eu très peur. On a cru que c’était la fin pour nous  », explique la conductrice, au bord des larmes.

    Mercredi 25 juillet, peu avant 22 heures, une vingtaine de migrants, très fortement alcoolisés, ont proféré des insultes à l’encontre de plusieurs habitants du quartier du Beau-Marais.

    Deux femmes, qui circulaient à bord de leur voiture, rue Guynemer, se sont retrouvées encerclées par un groupe d’une dizaine de réfugiés juste avant le rond-point à l’extrémité de la rue. « Cinq à six d’entre eux se sont mis à taper sur la carrosserie avec des branches et des cailloux », raconte la passagère. La vitre droite cassée, cette dernière a reçu des coups au visage avec un morceau de bois.

    Les deux prévenus ont été reconnus coupables des faits qui leur étaient reprochés. Jemal Ebro et Yared Hagos écopent respectivement de 18 mois de prison ferme et d’un an de prison ferme ; tous deux assortis d’un mandat de dépôt.

    (…) Nord Littoral

    26/07/2018

    Des échauffourées ont éclaté mercredi soir à Calais, avenue Guynemer dans le quartier du Beau-Marais. Les forces de l’ordre et les pompiers sont intervenus.

    Une vingtaine de réfugiés très fortement alcoolisés ont proféré des insultes, tapé aux portes et jeté des projectiles sur des habitations de l’avenue Guyemer, dans le quartier du Beau-Marais. Des riverains sont intervenus pour les calmer. Intervention également des forces de l’ordre et des pompiers pour les disperser. Les migrants ont brisé les vitres de véhicules dont certains étaient en circulation. Deux migrants ont été interpellés. Deux femmes, blessées légèrement, suite aux éclats de verre ont été prises en charge et transportées à l’hôpital. Un migrant de nationalité érythréenne a également été transporté.

    Radio6.fr

    http://www.fdesouche.com/1048807-calais-62-des-echauffourees-ont-eclate-entre-migrants-et-habitants-deux-femmes-blessees

  • Droit d’auteur. L’Union européenne contre la liberté d’expression ?

    Jean-Yves le Gallou analyse un projet de directive européenne :

    "Le 5 juillet dernier, le Parlement européen a désapprouvé le mandat de négociations confié à la commission des affaires juridiques quant à la directive sur le droit d’auteur dans le marché unique numérique. Cette directive vise à renforcer la protection du droit d’auteur. Un objectif louable sur le papier. Mais cette directive pose d’énormes problèmes sur deux points. Premièrement, elle vient inévitablement limiter la liberté d’expression. Deuxièmement, plusieurs articles remettent en cause le fonctionnement d’internet tel que nous le connaissons depuis des décennies et risquent de mettre en place des usines à gaz extraordinairement dangereuses.

    La fin de Wikipédia ?

    L’article 11 concerne les éditeurs de presse – comprendre les médias européens – et vise à les protéger contre « l’utilisation de leur contenu ». Tout cela parait parfaitement louable de prime abord. Mais, en réalité, les conséquences seraient absolument dramatiques. Il s’agit en effet de conditionner la citation d’un passage d’un article à l’autorisation préalable du média cité ! C’est absolument délirant puisque le droit de citation a toujours été reconnu par la jurisprudence française et que le fonctionnement d’internet repose sur les citations et les échanges de liens.

    La démonstration la plus flagrante de l’absurdité de cette mesure, c’est bien sûr l’impact qu’elle aurait sur l’encyclopédie en ligne Wikipédia. Ce site internet parfaitement connu de tous les internautes repose en effet en grande partie sur la citation de sources médiatiques ! L’entrée en vigueur d’une norme européenne contraignante à ce niveau signifierait tout simplement que Wikipédia serait rendue caduque. [...]

    Alliés inattendus des défenseurs de la liberté d’expression et du fonctionnement classique d’internet, les grandes multinationales du numérique (Google, Amazon, Facebook, Apple, etc.) se sont levées contre ce projet de directive européenne. En cause, l’article 13 qui rendrait obligatoire un filtrage a priori des contenus protégés par le droit d’auteur. Concrètement, Youtube ou Twitter, par exemple, seraient responsables de tout contenu protégé par un droit d’auteur quelconque publié sur la plateforme. Dans les faits, c’est quasiment impossible, sauf à développer des algorithmes surpuissants ou – totalement illusoire – valider chaque contenu à la main.

    Si l’on regarde le fonctionnement de Youtube aujourd’hui, il existe deux méthodes employées par l’entreprise américaine possédée par Google : premièrement, il existe bien un contrôle a priori par le biais d’un algorithme repérant les contenus protégés les plus évidents. Ce contrôle n’est pas parfait mais est déjà un premier filtre. Deuxièmement, Youtube n’hésite pas à répondre très rapidement aux demandes des ayant droits en appliquant même une présomption de culpabilité aux utilisateurs ayant été signalés par des ayants droit.

    Un dispositif qui pénalise déjà énormément la liberté d’expression.

    L’article 13 signerait l’arrêt de mort de tous les sites participatifs. Non seulement ceux hébergeant du contenu posté par les utilisateurs (Youtube, FlickR, SoundCloud, etc.) mais aussi tous les sites hébergeant des forums de discussions sur lequels des utilisateurs échangeraient des images non-libres de droit ! L’Union européenne voudrait mettre en place une dystopie kafkaïenne qu’elle ne ferait pas autrement !

    La liberté d’expression en péril

    En fait, au travers de ce projet de directive, on ne peut s’empêcher de penser à la censure inique a laquelle a été soumise TV Libertés de la part de Youtube. Le dispositif actuel de protection du droit d’auteur a déjà permis de justifier honteusement la censure d’un média alternatif avec plus de 2 500 vidéos produites sans jamais poser le moindre problème.

    Imaginez ce qu’il se passerait si cette directive ultra-contraignante était votée ! L’ironie de la situation, c’est que des censeurs comme Youtube sont désormais obligés de reconnaître que la défense absolue du droit d’auteur peut-être un gros frein à leur activité ainsi qu’à la liberté d’expression en règle générale !C’est une drôle de leçon que l’Union européenne est donc en train de leur donner.

    Malheureusement, la défense du droit d’auteur est un beau principe utilisé par l’Union européenne pour tenter de verrouiller totalement l’information en donnant tous pouvoirs aux grands médias pour détruire juridiquement ceux qui auraient l’audace de reprendre leur contenu, même pour le critiquer ! Internet a toujours fonctionné par l’échange de liens et les citations. Le législateur européen a décidé de s’attaquer à ce principe fondamental. Tout comme les élites ont voulu réguler l’échange de fichier en « peer to peer » avec la loi Hadopi, souhaitons que leur volonté totalitaire se heurte une nouvelle fois au réel."

    Michel Janva

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