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lobby - Page 1080

  • Sectes ? par Xavier EMAN

    Sectes.jpg« Secte », le mot qui dénigre, qui stigmatise, qui terrorise et qui criminalise… Qu’est-ce qu’une secte ? On ne sait trop car aucune définition juridique n’en est donnée en France à cause du sacro-saint principe de laïcité… De ce fait, c’est un terme-valise utilisé aujourd’hui de façon exponentielle pour qualifier tout groupe humain qui – à tort ou à raison, pour le meilleur ou pour le pire… – refuse les normes de l’époque, ses règles et ses conditionnements, toute structure qui vise à s’affranchir des  injonctions de la société, à mettre en pratique des modes d’existence alternatifs, divergents…

    L’école à la maison ? Soupçons de sectarisme…

    Manque d’enthousiasme face aux 98 vaccins imposés aux nourrissons avant deux mois ? Obscurantisme sectaire…

    Écologisme radicale ? Soupçons de dérive sectaire…

    Communautarisme religieux ? Flagrante dérive sectaire…

    Médecines naturelles ? Suicide sectaire…

    Retour à la terre ? Soupçons d’enfermement sectaire…

    Anti-consumérisme et anti-productivisme ? Délire sectaire…

    La « secte » est devenue le concept magique permettant de transformer tout dissident en cinglé extrémiste, pathétique paumé à entonnoir sur la tête, dangereux à la fois pour lui-même et pour son entourage… C’est aussi l’épouvantail facile et idéal pour une société qui, quotidiennement, structurellement, volontairement, empoisonne, acculture, aliène et lobotomise sa population mais qui pousse l’indécence jusqu’à présenter toute tentative d’évasion de cette matrice comme l’expression d’une terrible pathologie mentale.

    L’individu lambda, sous Prozac, qui regarde tous les soirs Cyril Hanouna et consulte un psy, qui joue au Loto et se fait poliment marcher dessus dans le métro et agresser dans la rue, n’est pas membre d’une « secte », c’est un individu libre et égal, un bon citoyen et un électeur précieux.

    Par contre, celui qui décide d’exploiter un bout de terrain agricole sans le bourrer de saloperies chimiques, qui casse sa télévision, refuse les médocs en séries et les poulets en batterie, préfère l’autonomie au salariat et envoie chier les règlements ineptes pondus par des technocrates bruxellois, lui est un dangereux psychopathe qu’il convient d’éradiquer au plus vite… Pour peu qu’il possède un vieux fusil pour défendre sa maison et sa famille et l’on sombre alors dans le terrorisme potentiel ! Péril national, menace code rouge triple priorité…

    Faites confiance à l’État et méfiez-vous des sectes !

    Xavier Eman

    • D’abord mis en ligne sur A moy que chault !, le 14 mars 2018.

    http://www.europemaxima.com/sectes-par-xavier-eman/

  • CONTRE L’OLIGARCHIE, LA PLOUTOCRATIE : LEVONS-NOUS POUR FONDER UNE VRAIE DÉMOCRATIE

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    La France a-t-elle déjà connu une vraie démocratie ? En apparence, mais pas en réalité. Si on compare nos régimes politiques successifs, dès l’origine en 1789, avec ceux de la Hollande, les nations scandinaves, le Canada, le Royaume-Uni et, a fortiori, la Suisse, qui oserait le prétendre ? Tous les Français le savent, le disent et en tirent les conséquences : ils ne vont plus voter, ils n’achètent plus la presse, ne regardent plus les informations à la télé, ils ne sont plus syndiqués, n’ont même plus recours à la Justice…

    Beaucoup de jeunes quittent la France, qui ne leur laisse pas de place, et émigrent sans espoir de retour. Et il y a le matraquage à l’école, dans les médias, sur ce que l’on ne doit pas dire sur les femmes, les choix sexuels, la nation, l’immigration, la religion, l’islam, la différence hommes/femmes, l’Europe… La menace, c’est le lynchage médiatique, la réprobation sociale, la condamnation pénale. La mise au placard professionnel. Et ce système de régression est verrouillé. Impossible de le changer car le système des partis veille. Croyait-on que la IVe République en était l’exemple ? Mais qu’est devenue la Ve République, sitôt passé de Gaulle ? Un duopole où surnagent des politiciens de métier, des communicants ; le tout dans la soumission aux banques, à Bruxelles. Un théâtre d’ombres. Un seul parti à deux faces. Et cette ambiguïté a fini par s’incarner en 2017.

    Les racines de cette idéologie cachée ? Une société européenne aristocratique chez Coudenhove-Kalergi en 1923 (Pan-Europa), puis 1945 : ses idées seront reprises par Monnet et Schuman. Sur le plan juridique, le droit de l’Union européenne prime sur les nations, y compris leurs Constitutions. CJUE, CEDH, Cour de cassation, Conseil d’État veillent au respect de l’ordre juridique et institutionnel. Un carcan non républicain. Les traités contiennent des références inutiles et donc malencontreuses (dans un texte juridique) à l’OMC et à l’OTAN, ce qui est une façon de ployer (pour toujours) la supranationalité européenne à d’autres supranationalités en matière de défense et d’économie. Sur le plan philosophique, l’idée est le déconstructivisme : rien n’est cohérent, tout est relatif ; les élèves de Heidegger (un nazi) ont tenu le haut du pavé : Sartre, Derrida, Bourdieu, Foucault… Les soixante-huitards qui prétendaient qu’il est interdit d’interdire quand ça les arrangeait entendent tout de même interdire les « fachos » : soit quiconque n’est pas de leur bande… Ils se sont taillé, par copinage, et non par talent, des fiefs, des sinécures, dans la politique, les médias, le CNRS.

    Et pourtant, depuis Athènes, Aristote, Périclès, Rousseau, 1789, 1945, nous savons bien que les pays libres fonctionnent mieux, sont plus prospères, et que leurs citoyens sont plus dignes… Emmanuel Macron veut modifier la Constitution ? Craignons le pire : des demi-mesures, un acte manqué qui augmenteront encore l’anomie française. Un peu de proportionnelle, alors que les Allemands sont à 50 % ? Surtout pas trop, nous disent des chroniqueurs méprisants du « peuple » : ne revenons pas au systèmes des partis. Alors que nous y sommes depuis 45 ans. Et le référendum ? Là aussi, « danger » : régime « plébiscitaire », risque démagogique, « populisme ». Fi ! Tous les hérauts du système en place, qui en vivent, ne veulent pas courir le risque de perdre leurs prébendes, leurs réseaux et, pire, de rendre son pouvoir au vulgum pecus.

    Il n’existe qu’un seul moyen de créer, enfin, en France, une vraie démocratie : le référendum d’initiative démocratique. Or, depuis la réforme constitutionnelle de 2008, pas une seule fois ce mécanisme n’a été mis en œuvre. Et il ne le sera jamais tant que ses conditions sont aussi mesquines. Est-il de plus grande perversion que de créer des institutions démocratiques inapplicables ? Or, la phrase qui précède est une arme puissante. Qui osera défendre ce système et s’opposer à ce qu’il fasse sens ? Il suffira de modifier légèrement l’article 11 alinéa 3 de la Constitution et le cercle vertueux s’enclenchera : le peuple reprendra sa liberté, et donc sa dignité.

    http://www.bvoltaire.fr/contre-loligarchie-ploutocratie-levons-fonder-vraie-democratie/

  • La SNCF deux fois plus dangereuse que son homologue britannique…

    L’un des lieux communs de la gauche de la gauche prétendant défendre le service public (mais surtout leur privilèges) est que la privatisation du système ferroviaire britannique l’a rendu plus dangereux que son homologue français. Or, c’est tout simplement… faux ! Le système ferroviaire britannique est le 3e plus sûr de l’Europe des 30 (Union Européenne plus Suisse et Norvège), derrière la Norvège et l’Irlande et à égalité avec le Luxembourg. La SNCF pointe au 11e rang, ce qui est loin d’être glorieux, alors qu’en l’an 2000 elle passait encore pour être le meilleur système ferroviaire au monde.

    Si on en croit le Safety Interim Report 2017 publié par l’Union Européenne elle-même, les 28 pays étudiés (Chypre et Malte, sans réseau ferroviaire, sont absents), le taux d’accident sur la période 2011-2015 est le suivant (l’unité de base est le million de train au kilomètre) :

    Moins de 0,06 accidents : Irlande (0,04), Norvège (0,06), Luxembourg et Royaume-Uni (0,07), Suisse (0,08).

    Moins de 0,15 accidents : Pays-Bas (0,10), Danemark (0,12), Finlande et Suède (0,13), Allemagne (0,14) et France (0,15).

    Moins de 0,32 accidents : Tchéquie (0,17), Belgique, Italie et Slovénie (0,18), Autriche (0,20), Espagne (0,21), Eurotunnel (0,32).

    Moins de 0,88 accidents : Portugal (0,54), Lettonie (0,75), Bulgarie (0,77), Croatie (0,80), Hongrie (0,86), Estonie (0,88).

    Moins de 1,27 accidents : Roumanie (1,05), Lituanie (1,12), Grèce et Pologne (1,13), Slovaquie (1,27).

    Notons l’état désastreux du réseau ferroviaire ex-communiste.

    En ce qui concerne les risques personnels encourus sur la période 2011-2015 est le suivant (l’unité de base est la centaine de milliards de passagers au kilomètre). On notera que la France est tout simplement… dernière ! :

    Aucun mort : Belgique, Croatie, Eurotunnel, Finlande, Irlande, Lettonie, Lituanie, Norvège, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni, Slovaquie.

    Moins de 0,005 morts : Pologne et Suisse (0,001), Autriche (0,002), Allemagne et Luxembourg (0,003), Danemark et Hongrie (0,004), Suède (0,005).

    Moins de 0,014 morts : Grèce (0,014).

    Moins de 0,025 morts : Slovénie (0,025).

    Moins de 0,043 morts : Italie et Roumanie (0,042).

    Moins de 0,079 mots : Tchéquie (0,044), Bulgarie (0,066), Estonie (0,07), Espagne et France (0,078).

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/la-sncf-deux-fois-plus-dangereuse-que-son-homologue-britannique/90022/

  • Renaud Camus a droit à la liberté d’expression !

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    Par Renaud Camus, écrivain ♦ Lisez bien ce texte. Renaud Camus y annonce la fondation du Conseil national de la résistance européenne. C’est une opinion. Dans un pays libre la liberté d’expression est protégée. Pas en France, nouvelle Corée de l’ouest. A la demande d’officines « antiracistes » et immigrationnistes subventionnées (LICRA, DILCRAH, SOS-Racisme), le parquet a engagé des poursuites contre le penseur du Grand Remplacement.
    Faut-il interdire ce texte ? A chacun de mesurer l’état des libertés en France en le lisant. Et de comprendre la nécessité d’abroger les lois liberticides en commençant par la loi Pleven.
    Polémia

    L’immigration est devenue invasion, l’invasion submersion migratoire. La France et l’Europe sont cent fois plus colonisées, et plus gravement, qu’elles n’ont jamais colonisé elles-mêmes. La colonisation irréversible, c’est la colonisation démographique, par transfert de population.

    Certains disent qu’il n’y a pas colonisation parce qu’il n’y a pas conquête militaire. Ils se trompent. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français en leur nuisant de toutes les façons imaginables, des trop fameuses incivilités jusqu’au terrorisme, qui n’en est que le prolongement. Tous les auteurs d’attentats ont fait leurs premières armes dans la délinquance de droit commun. Il n’y a d’ailleurs pas de terroristes. Il y a un occupant qui, de temps en temps, exécute quelques otages, nous, comme l’ont toujours fait tous les occupants. J’appelle occupants tous ceux qui se déclarent tels, ou s’affichent tels par leur comportement.

    Le changement de peuple, la substitution ethnique, le Grand Remplacement, sont l’événement le plus important de l’histoire de notre pays depuis qu’il existe, puisqu’avec un autre peuple l’histoire, si elle continue, ne sera plus celle de la France. La France a toujours à merveille assimilé des individus qui désiraient l’être, elle ne peut pas assimiler des peuples, et encore moins des peuples hostiles, vindicatifs, voire haineux et conquérants. Il faut une vanité sans nom, et une méconnaissance totale de ce que c’est qu’un peuple, pour imaginer qu’avec une population changée la France serait encore la France. Tous les mots sont menteurs mais le plus menteur de tous est celui de français, hélas. Il n’y a pas de djihadistes français, par exemple. S’ils sont djihadistes ils ne sont pas français.

    Croire qu’il n’y a en France que des Français est une illusion totale. Il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés.

    On ne met pas fin à une colonisation sans le départ du colon : l’Algérie en son temps nous l’a assez montré, hélas — bonne occasion pour nous de souligner, au demeurant, la différence de civilisation.

    On ne met pas fin à une occupation sans le départ de l’Occupant. Il n’est d’autre issue que la remigration. Les mêmes qui la déclarent impraticable veulent faire venir en Europe quarante millions de migrants, quand ce n’est pas deux cents millions. Ils proclament l’homme entré dans une ère de migration générale. Qu’il migre et remigre, alors. Ce qui est possible dans un sens doit bien l’être dans l’autre, avec plus de moyens et de douceur.

    L’heure n’est plus à la politique, aux élections, aux partis. 2022 est trop loin, le changement de peuple sera alors trop avancé, les remplaçants seront les arbitres de la situation, à moins qu’ils n’en soient tout à fait les maîtres. Et il n’y a, de toute façon, aucune chance de l’emporter jamais à un jeu dont l’adversaire possède toutes les cartes et dont il a fixé toutes les règles. Le pouvoir, ses banques, ses juges et ses médias veulent la substitution ethnique. Ils ne nous en protègent pas, ils l’organisent et la promeuvent. Ils ont drogué le peuple à l’accepter, par l’enseignement de l’oubli, la déculturation, la censure, la répression et les injections permanentes de haine de soi. Ils n’importent pas des travailleurs, d’autant qu’il n’y pas de travail et qu’il y en aura de moins en moins. Ils importent de futurs consommateurs, qu’ils ne se donnent même plus la peine de faire passer pour des réfugiés puisque l’immense majorité de ces migrants vient de pays où il n’y a pas la moindre guerre : orphelins, malades, jeunes gens aventureux ou conquérants, adolescents qui se sont disputés avec leurs parents ou qui ont eu maille à partir avec la police, commerçants qui ont fait de mauvaises affaires.

    Vous dites que ces futurs consommateurs n’ont pas d’argent. Détrompez-vous, demain ils auront le vôtre, car les prétendus transferts sociaux ne sont, à la vérité, pas grand-chose d’autre que des transferts ethniques. L’Europe est le premier continent qui paie pour sa propre colonisation.

    Un spectre hante l’Europe et le monde. C’est le remplacisme, la tendance à tout remplacer par son double normalisé, standardisé, interchangeable : l’original par sa copie, l’authentique par son imitation, le vrai par le faux, les mères par les mères porteuses, la culture par les loisirs et le divertissement, la connaissance par les diplômes, la campagne et la ville par la banlieue universelle, l’indigène par l’allogène, l’Europe par l’Afrique, l’homme par la femme, l’homme et la femme par des robots, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une posthumanité hagarde, indifférenciée, standardisée, interchangeable à merci.

    De toutes les manipulations génétiques le Grand Remplacement, sorte de GPA appliquée à l’ensemble de la planète, est la pire. Le génocide par substitution, selon l’expression d’Aimé Césaire, est le crime contre l’humanité du XXIe siècle. Il est d’ailleurs bien singulier que les écologistes arrêtent à l’homme leur louable souci de biodiversité.

    Le remplacisme s’estime désormais assez fort pour prendre en main directement la gestion du parc humain, sans intermédiaire. En France, Emmanuel Macron, qui en est dans le monde, avec Justin Trudeau, le représentant le plus achevé, a déjà neutralisé la microcosme, renvoyé dans leurs foyers les principaux acteurs de la vie politique française depuis trente ans, peuplé l’Assemblée de fantoches à sa solde, composé un gouvernement de rencontre, fait éclater tous les grandes partis. Il ne gouverne pas, il gère, comme il le ferait une banque ou une société anonyme.

    Il sort de la politique par l’économie, par la finance et la gestion d’entreprise. Nous voulons en sortir par l’histoire. La question de l’indépendance ou de l’asservissement d’une grande nation, de la survie ou de la disparition d’une grande civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’histoire. Charles de Gaulle — que nous célébrons aujourd’hui près de sa tombe, pour l’anniversaire de sa mort —, Charles de Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique. Jean Moulin à Lyon ce n’était pas de la politique. Jeanne d’Arc à Chinon non plus, ni Gandhi à Calcutta, ni aucun de ceux qui se sont levés pour l’indépendance de leur pays et pour la dignité de leur peuple.

    Ce dont nous avons besoin aujourd’hui ce n’est pas un nouveau parti, pas même une union des droites : le refus du totalitarisme remplaciste n’est pas moins de gauche que de droite. Ce dont nous avons besoin c’est le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand Non à l’islamisation et à la conquête africaine. Ce qu’il faut c’est un Conseil National de la Résistance, de la résistance européenne, car toutes les nations européennes sont invitées à mener à nos côtés le combat pour le salut de notre civilisation commune, celte, slave, germanique, gréco-latine, judéo-chrétienne et libre-penseuse.

    Mon ami Karim Ouchikh, président du SIEL, et moi, Renaud Camus, avons décidé de constituer précisément cela, un CNR, ou CNRE. Nous proposerons publiquement de se joindre à nous à toutes les personnalités qui nous semblent animées du même désir de sauver notre pays et nous élargirons ainsi notre comité, par cooptation. Mais tous les Français et tous les Européens qui pensent comme nous sont invités à se mettre en relation avec nous et à nous apporter leur soutien. L’objectif est de constituer une force telle qu’il soit, dans l’idéal, inutile de s’en servir.

    Cela dit, si par malheur il se trouvait que la seule alternative qui nous fût laissée soit la soumission ou la guerre, la guerre alors, cent fois. Elle n’aurait d’ailleurs rien de civil, malgré le nombre des collaborateurs et des traîtres. Elle s’inscrirait plutôt dans la grande tradition des combats pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, pour la libération du territoire et pour la décolonisation. Il faut sortir enfin de l’ère coloniale, dont nos colonisateurs nous disent tant de mal tout en nous colonisant. Il faut arrêter une bonne fois, si possible au-dessus de la Méditerranée, le balancier fou des colonisations et contre-colonisations.

    Vive la France libre. Vive la civilisation européenne.

    Renaud Camus 13/04/2018

    Source : Conseil national de la résistance européenne

    Crédit photo : Allocution de Renaud Camus aux assises de la remigration le 15/11/2014 (source : Bloc identitaire)

    https://www.polemia.com/renaud-camus-a-droit-a-la-liberte-dexpression/

  • Cepalislam

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    L'islam n'est que le facteur aggravant de l'effondrement civilisationnel de ce continent.

    Quelques milliers de djihadistes potentiels sur le territoire, c'est du pipeau, ça se règle sans problème lorsqu'il y a une volonté politique et des couilles. Le vrai problème c'est ceux qui ont fait venir tous les redouanes de France et de Navarre et qui continuent à le faire en 2018.

    La photo illustre parfaitement ce qu'est devenu ce continent : un mall vide éclairé au néon et ou un chef d'état reçoit un Hashim Tahci, maffieux notoire tout en participant sans vergogne au Russia bashing rituel.

    Un territoire livré aux banksters anglosaxons et aux multinationales globalisées, aux barbares africains et aux sayanims infiltrés.

    Des millions d'hommes et de femmes dépossédés de tout pouvoir sur leur destin et trahis à chaque instant par des minables invertébrés soumis aux lobbies les plus puissants du moment.

    Des gendarmes égorgés comme des brebis, des militaires appelés à la rescousse des Kurdes ou entraînant au Levant des hommes qu'ils combattent au Mali et sur notre sol...

    Castaner, cet apparatchik minable monté au sommet de la pyramide à force de sucer des queues et qui rigole à l'enterrement d'un homme comme Beltrame illustre parfaitement le type anthropologique d'untermensch dominant dans les élites managériales libérales contemporaines. A gerber.

    Aliénation, mensonge, propagande, trahison, lâcheté générale, dévirilisation, décivilisation, une queue de comète comme dit Onfray.

    Vous avez dit soumission ?

     Lu sur le blog Hoplite

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • ILS VEULENT LA GUERRE

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    Une fois de plus l'hydre yankee, en agressant avec l'aide de ses larbins européens la Syrie, montre sa volonté de gérer le monde.

    Les puissances financières et le lobby militaro-industriel ont donc réussi à pousser le crétin qui sert actuellement de président aux Etats-Unis à se conduire comme un vulgaire Bush de base. En déclenchant cette nuit les bombardements sur Damas, le grotesque Trump a au moins le mérite de remettre les choses en ordre en nous rappelant que l'ennemi de l'Europe reste et restera l'Amérique.

    De plus en se conduisant ainsi, Trump, Macron et l'Angleterre s'imposent comme étant, une fois de plus,  les meilleurs alliés de l'islam conquérant.

    Le devoir des nationalistes français et européens est de dénoncer cette nouvelle agression de l'hyper puissance contre un état indépendant et de refuser toutes collaborations avec le bellicisme américain. Le Système veut la guerre : GUERRE AU SYSTEME !

    Synthèse nationale

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Regroupement familial pour mineurs « réfugiés », par Pierre Malpouge

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    C’est nouveau, ça vient de sortir : même les « migrants » mineurs entrés seuls dans l’Union européenne (UE) ont désormais le droit de réclamer le regroupement familial (grand principe républicain légalisé et institutionnalisé en 1976 par Valéry Giscard d’Estaing, alors président de la République, par son Premier ministre de l’époque, Jacques Chirac, et par son ministre du Travail, Michel Durafour).

    Ainsi en a décidé jeudi la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) qui, « grand remplacement » en marche oblige et n’étant plus à un « appel d’air » près, a décrété que les mineurs « réfugiés » non accompagnés – y compris ceux qui prétendent être mineurs mais qui ne le sont pas – peuvent demander à être réunis avec leurs familles. Et cela même s’ils ont atteint la majorité lorsque le processus arrive à son terme.

    Dans la série naïveté bien-pensante et « humanitaire » quand tu nous tiens, cette décision de la CJUE a toutes les chances de conduire à une augmentation des flux déjà considérables d’arrivées massives de « réfugiés » mineurs – et/ou prétendument mineurs – sur le sol européen. Soit une disposition scandaleuse et dangereuse qui, pour reprendre les propos tenus par les députés LR Fabien Di Filippo et Valérie Boyer lors de l’examen, le 21 février dernier, de la loi asile et immigration portée par Gérard Collomb, va ouvrir un peu plus de « nouvelles filières d’immigration », avec le risque de « voir des mineurs envoyés en tête de pont et mis dans les bateaux de réfugiés ». Des mineurs qui pourront faire venir leurs pères, leurs mères, leurs frères et leurs sœurs partout en Europe. Une extension et une incitation au regroupement familial qui ont tout d’une bombe migratoire.

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 13 avril 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Le projet de loi immigration : Des mesures de durcissement bidon cachant plusieurs dispositions qui accentueront l’invasion

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n°197 – avril 2018)

    Le projet de loi du gouvernement intitulé « pour une immigration maîtrisée et un droit d’asile effectif » se présente comme un texte équilibré. Il affirme viser à la fois l’ouverture et la fermeté, en améliorant l’accueil des personnes en situation régulière et en éloignant du territoire les personnes en situation irrégulière.

    Il n’en est rien en réalité : la fermeté affichée est un trompe-l’œil. Ce texte s’inscrit au contraire dans la longue chaîne des décisions qui, depuis près de soixante ans, visent à susciter et à organiser l’immigration massive en France.

    Nous citerons ci-après les principaux articles du projet de loi et certains passages importants, avec le numéro de page correspondant, de l’étude d’impact annexée au projet de loi. Nous renvoyons d’autre part à cette précédente chronique, dans laquelle figure une présentation générale du dispositif de l’asile.

    1. Les flux d’immigration ne cessent d’augmenter

    Il faut rappeler tout d’abord le contexte dans lequel ce projet s’inscrit : le rythme de l’immigration s’est encore accéléré depuis que M. Macron a été élu.

    • L’immigration régulière

    Les immigrés non européens entrés de façon régulière en France métropolitaine pour s’y installer (regroupement familial, étudiants, immigration de travail, asile) ont été 267.000 en 2017. Ce nombre, en augmentation de 14 % par rapport à l’année précédente, constitue un record, jamais atteint jusqu’à présent (voir cette chronique).

    • Les demandes d’asile

    Les demandes d’asile sont elles aussi en augmentation constante. En 2017 elles se sont élevées à 92.830 (73.689 premières demandes + 19.141 mineurs accompagnant le demandeur). Ce nombre, en augmentation de 18 % par rapport à l’année précédente, est là aussi un record (pages 29 et 58 de l’étude d’impact).

    Encore faut-il ajouter à ces chiffres les « demandeurs placés sous procédure Dublin », c’est-à-dire les personnes demandant l’asile en France alors qu’elles sont entrées en Europe dans un autre pays que la France (les accords de Dublin prévoient d’une part que c’est le premier pays dans lequel l’étranger a été enregistré qui doit traiter la demande d’asile, et d’autre part que l’étranger concerné, s’il a gagné un autre pays d’Europe, doit être reconduit dans le pays qui traitera sa demande).

    Le nombre des « dublinés » entrés en France en 2017 et ayant présenté une demande d’asile est de près de 30.000 personnes. Le nombre total de nouvelles demandes d’asile présentées en France, mineurs accompagnants compris, atteint donc en 2017,  121.200 (p. 10).

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  • Frappes en Syrie : le message est clair

    6a00d83451619c69e201b8d2eae606970c-320wi.jpgLe 10 avril, le commis aux affaires courantes du régime Macron, Édouard Philippe, avait dit : « Ce recours à ces armes [chimiques] n'est pas neutre, il dit des choses sur le régime et notre réaction à l'usage de ces armes dira des choses de ce que nous sommes ».

    La réaction a eu lieu cette nuit, et elle dit effectivement ce qu’ils sont :

    • le département « France » de l’oligarchie atlantiste, particulièrement manipulé, dans cette affaire, par la « gouvernante anglaise »,
    • une voyoucratie au regard du droit international,
    • les appuis directs et indirects, plus ou moins subtils, de l’islamisme international, qu’ils prétendent combattre par ailleurs.

    Ces gens-là sont inconséquents, et tous ceux qui leur sont servilement subordonnés le sont également. Qui en effet garantit que la république française – nous ne voulons pas dire la France, car nous nous refusons absolument à considérer que c’est la France qui a agressé la Syrie cette nuit– que la RF, donc, sera toujours dans le camp des vainqueurs. Quelles excuses auront à présenter tous ceux qui ont collaboré sans se poser de question à cette forfaiture, lorsqu’ils comparaitront devant un Nüremberg bis, sans parle de leur parution devant le Souverain Juge ?

    Nous soulignons le mot servilement, pour ne pas faire d’amalgame entre ceux que l’on pourrait facilement remplacer par des robots tant ils ont renoncé à l’exercice de leurs facultés intellectuelles, et ceux qui ont pu chercher à limiter l’ampleur des frappes et à raisonner les représentants de l’oligarchie.

    Ceci étant posé, les premières informations disponibles tendent à montrer que :

    • la frappe a été limitée, une centaine de missiles de croisière (avec les premières polémiques sur l’efficacité réelle ou supposée de la DCA syrienne fortement russisée),
    • il semble que, du côté du département France de l’Empire, il n’y ait pas de velléité de poursuivre, comme tend à le montrer un communiqué de l’Élysée diffusé dans la matinée.

    Ceci nous conduit donc à formuler l’hypothèse suivante : bien que condamnée véhémentement par Moscou et ses alliés, l’attaque a été, si ce n’est co-décidée avec Moscou, du moins largement revue à la baisse face à la fermeté de V. Poutine, pour permettre à l’Empire de ne pas perdre la face après ses déclarations fracassantes. Ceci expliquerait notamment l’absence de réaction contre-offensive de la part de Moscou contre les vecteurs des frappes. On ne peut d’ailleurs que louer la stabilité émotionnelle et la mesure des autorités russes face à l’hybris occidentale. Cette différence abyssale traduit selon nous la différence radicale de conception de l’État et des relations internationales entre ces deux parties.

    Par ailleurs, gardons à l’esprit que, Outre-Atlantique, ces actions font partie d’un jeu très complexe où Trump essaie de prendre, très laborieusement et à sa façon particulièrement déstabilisante, la main sur l’administration et contre l’État profond, comme l’évoquait notamment Charles Sannat, repris dans cette note.

    Quelle que soit la suite, l'appel à la mobilisation contre une guerre injuste est plus que jamais d'actualité.

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Déclaration de Vladimir Poutine suite aux frappes occidentales en Syrie

    Demandant la réunion d’urgence du Conseil de sécurité, Vladimir Poutine a fustigé les frappes portées cette nuit par Washington, Paris et Londres. Ce «geste d’agression» a été fait sans attendre les résultats de l’enquête et sans recueillir de preuves tangibles, a dénoncé le Président russe. Sputnik publie la version intégrale de sa déclaration.

    Déclaration du Président russe Vladimir Poutine

    Le 14 avril, les États-Unis soutenus par leurs alliés ont frappé des sites militaires ainsi que ceux de l'infrastructure civile de la République arabe syrienne. Sans l'aval du Conseil de sécurité de l'Onu, en violation de la Charte de l'Onu, des normes et des principes du droit international, un acte d'agression a été commis à l'encontre d'un État souverain qui se tient à l'avant-garde de la lutte antiterroriste.

    À nouveau, tout comme il y a un an, lorsque les États-Unis ont attaqué la base aérienne de Shayrat, en tant que prétexte a été utilisée une mise en scène d'usage de substances toxiques contre les civiles, cette fois à Douma, banlieue de Damas. Après avoir visité le lieu de l'incident fictif, les experts militaires russes n'ont pas découvert de trace d'utilisation de chlore ou de toute autre substance toxique. Pas un seul habitant n'a confirmé le fait de l'attaque chimique.

    L'Organisation sur l'interdiction des armes chimiques a dépêché ses spécialistes en Syrie afin d'élucider la situation. Or, un groupe de pays occidentaux l'a méprisé de façon cynique en entreprenant une action militaire sans attendre les résultats de l'enquête.

    La Russie condamne avec une extrême fermeté l'attaque contre la Syrie où des militaires russes aident le gouvernement légitime à combattre le terrorisme.

    Par leurs actions, les États-Unis aggravent davantage la catastrophe humanitaire en Syrie, apportent des souffrances aux civils, laissent faire les terroristes qui déchirent depuis sept ans le peuple syrien, provoquent une nouvelle vague de réfugiés en provenance de ce pays et de la région en général.

    L'escalade en cours autour de la Syrie produit des effets destructeurs sur l'ensemble du système des relations internationales. L'histoire remettra tout à sa place et elle a déjà attribué à Washington une lourde responsabilité pour avoir mis en œuvre sa justice sanglante en Yougoslavie, en Irak et en Libye. 

    La Russie convoque une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'Onu afin de discuter des actions agressives d'États-Unis et de leurs alliés.

    https://fr.sputniknews.com/international/201804141035945175-poutine-declaration-frappes-occidentales-syrie/