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  • Brexit or not Brexit ?

    6a00d83451619c69e2022ad35a0aee200c-800wi.jpgD'Olivier Bault dans Présent :

    "Deux jours après que Theresa May eut présenté son nouveau plan pour un Brexit en douceur à ses ministres, celui pour la sortie de l’UE appelé aussi « ministre du Brexit », a annoncé sa démission dimanche peu avant minuit. David Davis, car c’est de lui qu’il s’agit, a expliqué dans sa lettre de démission, rendue publique, qu’il avait déjà accepté pas mal de propositions de Theresa May avec lesquelles il n’était pas d’accord, mais c’était parce qu’il pensait qu’un vrai Brexit restait possible. Un vrai Brexit, c’est un processus qui doit permettre rapidement au Royaume-Uni de recouvrer sa souveraineté, de voter lui-même toutes ses lois et de passer les accords commerciaux qu’il voudra avec n’importe quel autre pays. Mais avec le plan présenté par son Premier ministre vendredi – un plan pour lequel il n’avait pas été consulté, alors qu’il est le principal négociateur pour son pays –, David Davis estime qu’il n’y aura pas de vrai Brexit.

    Il s’agit en effet d’une nouvelle mouture du « nouveau partenariat douanier » déjà proposé par Theresa May, qui est une forme d’union douanière qui ne dit pas son nom pour ne pas choquer la majorité d’électeurs ayant fait le choix de la sortie de l’UE il y a deux ans. Avec le plan de May, le Royaume-Uni, pour préserver la liberté des échanges et l’absence de frontière physique en Irlande, adopterait toutes les règles de l’UE. Le parlement de Westminster pourrait certes refuser certaines règles adoptées à Bruxelles, mais cela impliquera alors une limitation de l’accès au marché européen pour les marchandises britanniques. Dans les faits, cela voudrait aussi dire que Londres doit se conformer aux jugements de la Cour de Justice de l’UE, chose que les partisans du Brexit veulent éviter à tout prix.

    A la suite du ministre du Brexit, deux secrétaires d’Etat ont démissionné, suivis lundi après-midi par le ministre des Affaires étrangères Boris Johnson, qui avait, comme David Davis et contrairement à Theresa May, fait campagne pour le Brexit avant le référendum de 2016. Selon Johnson, avec le plan de May le Royaume-Uni se dirige « vers un statut de colonie ».

    Au Parlement, le député conservateur Jacob Rees-Mogg mène la fronde à la tête d’une soixantaine de partisans d’un vrai Brexit et il a déjà annoncé, en ce qui le concerne, qu’il voterait contre le plan de Theresa May. Ne jouissant d’une majorité de quelques voix que grâce au soutien des unionistes nord-irlandais depuis les élections anticipées ratées de 2017, c’est le gouvernement tout entier qui pourrait tomber. [...]"

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  • JOUISSEZ-VOUS DU « PRIVILÈGE BLANC » ?

  • Abolition du "délit de solidarité » : une décision inique du Conseil constitutionnel.

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    La réaction du Parti de la France : 

    La décision du Conseil constitutionnel de supprimer le « délit de solidarité » qui, jusqu’à présent, permettait de poursuivre les facilitateurs d’entrée illégale sur le territoire français, au motif qu'il serait contraire au principe de fraternité, ouvre une brèche supplémentaire dans un arsenal juridique français anti-clandestin bien faible et déjà largement miné par le laxisme des magistrats.
    En reconnaissant la fraternité comme principe constitutionnel en référence à l'article 2 de la déclaration des droits de l'homme et au nom du préambule de la Constitution en son article 72-3, et en l’étendant à l’humanité entière, les pseudo-Sages de la rue de Valois, conduits par leur Président, Laurent Fabius, foulent aux pieds le concept même de Nation qui veut que la fraternité s'exerce d’abord et avant tout à l’égard de nos compatriotes conformément au principe chrétien « Mon prochain est mon proche ».
    Surtout, ils rayent d’un trait rouge et particulièrement lourd de conséquences les textes qui disposaient que quiconque aide directement ou indirectement à l’entrée, à la circulation ou au séjour d'un clandestin encourait 30 000 euros d'amende et cinq ans de prison.
    Désormais passeurs, associations d’aides à l’entrée irrégulière, « no border » pourront agir en toute impunité tandis que les réseaux de soutien aux islamistes seront plus libres de détecter parmi les nouveaux arrivants leurs futures recrues.
    Pour le Parti de la France qui, au pouvoir, mettra en œuvre une politique de fermeté absolue pour juguler la déferlante migratoire (interdiction des associations d’aide à l'entrée illégale, lutte sans merci contre les passeurs et leurs complices, action de nos services spéciaux contre les organisateurs, étanchéité de nos frontières, fin de l'immigration économique, réforme du droit d'asile, expulsion des clandestins et délinquants, révision du code de la nationalité avant de procéder à un vaste et ambitieux plan de remigration, réappropriation de la France par les Français…), le Conseil constitutionnel dans sa conformation actuelle, vient, par cette décision d’une extrême gravité, de s'inscrire au premier plan institutionnel des organisations anti-nationales.
    Nous saurons nous en souvenir.
    Parti de la France cliquez ici
  • Aboubakar Fofana : il aurait donc fallu que la presse cache ses démêlés avec la justice ?

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    Par Gabrielle Cluzel

    Cette excellente chronique qui revient sur les récentes émeutes de Nantes[Boulevard Voltaire, 9.07] ne dit que des vérités premières. On ne peut qu'approuver, partager.  LFAR

    Sur les émeutes de Nantes, les articles de presse se suivent et se ressemblent. On finit par les lire en diagonale, sans y prendre garde. Et pourtant certains sont de jolis morceaux d’anthologie.

    Ainsi celui du site RMC.BFMTV, qui annonce la constitution partie civile, ce lundi, de la famille d’Aboubakar Fofana.

    Passons sur l’introduction passablement surréaliste – « un calme relatif a a régné dans les quartiers de Nantes dans la nuit de samedi à dimanche. Seulement quelques (sic) véhicules ont été incendiés (…) ». Combien au juste ? Le site préfère rester vague. Comme sa racine l’indique, « relatif » permet… de relativiser. Avec souplesse, comme on tire délicatement sur un élastique. À partir de quel moment le calme relatif devient une émeute objective ? Tout est affaire d’appréciation. Sans doute doit-on comprendre, que les nuits précédentes, le curseur « intensité » ayant été mis assez haut, ce modeste incendie (18 voitures précisément, lit-on ailleurs, sur Le Télégramme) semble comparativement bien peu de chose.

    C’est surtout le titre qui attire l’œil et laisse perplexe : « On a sali la mémoire d’Aboubakar Fofana en faisant allusion à son passé ». Les propos ont été tenus pas l’avocat, citant la famille.

    Si l’on compatit à la peine des proches, si l’on comprend que ses démêlés avec la justice – il était « sous le coup d’un mandat d’arrêt » , « recherché pour vol en bande organisée, recel et association de malfaiteurs » (L’Obs) – ne soient pas ce qu’ils souhaitent retenir du jeune homme décédé, comment peut-on affirmer que citer des faits – qu’en l’occurrence nul ne remet en cause – serait « salir la mémoire » ? La mémoire n’est-elle pas, par définition, la conservation du passé ?

    Et donc en toute logique, si le CRS incriminé avait eu des antécédents de « violence policière », il aurait aussi fallu miséricordieusement les cacher pour ne pas porter atteinte à sa réputation ? À moins que cette censure de précaution ne vaille que pour certains ? Comment la presse pourrait-elle faire son métier, si elle occulte ce qui est avéré ?

    Décidons donc une bonne fois que par principe, toute fusillade, arrestation, altercation, tout règlement de compte, barrage de police forcé, n’impliquera plus désormais que des enfants de chœur, des rosières et des premiers communiants, ce qui rendra évidemment la compréhension des faits divers – tous confits dans l’eau bénite – plus complexe mais permettra de ne fâcher personne.

    On a légiféré contre les fake news. C’est insuffisant. Il faudrait encore, pour une partie de la population supposée stigmatisée, éradiquer tout ce qui n’est pasclean news, sweet news, sugar news, pretty news ? Informer en vérité va devenir décidément terriblement compliqué.  

     Ecrivain, journaliste

    Son blog

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Aboubakar Fofana : comment les médias désinforment pour protéger les criminels

  • Bernt Herlitz, assistant dentaire, définitivement condamné en Suède pour avoir signalé des migrants se faisant passer pour mineurs

    Bernt Herlitz assistant dentaire condamné Suède signalé migrants mineurs
     
    La plus haute cour de Suède compétente en matière sociale vient de rendre son jugement dans l’affaire de Bernt Herlitz, assistant dentaire, qui avait perdu son emploi l’an dernier pour avoir signalé à l’Agence des migrations suédoise des cas de « réfugiés » se faisant passer pour des mineurs. Lesdits migrants avaient en commun d’avoir des dents de sagesse pleinement formés, ce qui permettait de constater avec certitude qu’ils avaient menti sur leur âge. Après diverses péripéties juridiques, Herlitz se voit définitivement condamné à verser près de 500.000 couronnes suédoises – près de 50.000 euros – pour avoir violé le secret professionnel.
     
    L’affaire commence en 2016. Herlitz, qui vit avec sa femme et sa fille de six ans dans l’île suédoise de Gotland, travaille tout comme son épouse pour l’institution publique locale d’hygiène dentaire de Visby, le Folktandvården, où de nombreux migrants viennent se faire soigner. Ensemble, ils assistent un séminaire professionnel sur l’évaluation de l’âge dans le domaine judiciaire et sportif.

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  • Theresa May face à la fronde des partisans d’un vrai Brexit, par Olivier Bault

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    Deux jours après que Theresa May eut présenté son nouveau plan pour un Brexit en douceur à ses ministres, celui pour la sortie de l’UE appelé aussi « ministre du Brexit », a annoncé sa démission dimanche peu avant minuit. David Davis, car c’est de lui qu’il s’agit, a expliqué dans sa lettre de démission, rendue publique, qu’il avait déjà accepté pas mal de propositions de Theresa May avec lesquelles il n’était pas d’accord, mais c’était parce qu’il pensait qu’un vrai Brexit restait possible. Un vrai Brexit, c’est un processus qui doit permettre rapidement au Royaume-Uni de recouvrer sa souveraineté, de voter lui-même toutes ses lois et de passer les accords commerciaux qu’il voudra avec n’importe quel autre pays. Mais avec le plan présenté par son Premier ministre vendredi – un plan pour lequel il n’avait pas été consulté, alors qu’il est le principal négociateur pour son pays –, David Davis estime qu’il n’y aura pas de vrai Brexit.

    Il s’agit en effet d’une nouvelle mouture du « nouveau partenariat douanier » déjà proposé par Theresa May (voir Présent du 18 mai), qui est une forme d’union douanière qui ne dit pas son nom pour ne pas choquer la majorité d’électeurs ayant fait le choix de la sortie de l’UE il y a deux ans. Avec le plan de May, le Royaume-Uni, pour préserver la liberté des échanges et l’absence de frontière physique en Irlande, adopterait toutes les règles de l’UE. Le parlement de Westminster pourrait certes refuser certaines règles adoptées à Bruxelles, mais cela impliquera alors une limitation de l’accès au marché européen pour les marchandises britanniques. Dans les faits, cela voudrait aussi dire que Londres doit se conformer aux jugements de la Cour de Justice de l’UE, chose que les partisans du Brexit veulent éviter à tout prix.

    A la suite du ministre du Brexit, deux secrétaires d’Etat ont démissionné, suivis lundi après-midi par le ministre des Affaires étrangères Boris Johnson, qui avait, comme David Davis et contrairement à Theresa May, fait campagne pour le Brexit avant le référendum de 2016. Selon Johnson, avec le plan de May le Royaume-Uni se dirige « vers un statut de colonie ».

    Au Parlement, le député conservateur Jacob Rees-Mogg mène la fronde à la tête d’une soixantaine de partisans d’un vrai Brexit et il a déjà annoncé, en ce qui le concerne, qu’il voterait contre le plan de Theresa May. Ne jouissant d’une majorité de quelques voix que grâce au soutien des unionistes nord-irlandais depuis les élections anticipées ratées de 2017, c’est le gouvernement tout entier qui pourrait tomber. Theresa May pourrait alors être remplacée par un autre leader des Tories chargé de mener le pays vers un Brexit « dur », y compris sans accord avec l’UE. Mais le problème, en réalité, c’est que malgré le vote des Britanniques, une majorité du parlement ne veut pas du Brexit, pas plus que Mme May, ou alors, si Brexit il doit y avoir, ils le souhaitent le plus partiel possible. Pour obtenir gain de cause contre la fronde dans son propre parti, le Premier ministre va toutefois devoir se tourner vers l’opposition, ce qui en retour pourrait bien alimenter les rangs des frondeurs Tories et fragiliser encore plus son assise au sein du Parti conservateur. Des frondeurs que viennent de rejoindre deux poids lourds du parti. Un vrai Brexit est encore possible.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 10 juillet 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Pologne : des militants patriotes interrompent la première marche des fiertés à Czestochowa

    La première marche LGBT à se dérouler dans la ville polonaise de Czestochowa a été interrompue par des contre-manifestations organisées par des militants nationalistes, conservateurs et catholiques, malgré la présence de la police qui a ensuite séparé les deux rassemblements.

    https://fr.novopress.info/

     
  • Yves-Marie Adeline : Macron, un président aussi puissant qu’un roi ?

    Par Yves-Marie Adeline 

    Dès hier dans Boulevard Voltaire, Yves-Marie Adeline a réagi au discours d'Emmanuel Macron devant le Congrès. Il le fait en rappelant qu'il ne serait possible de « redonner force à notre vieil État français » qu'« qu’avec une dynastie au sommet de l’État » Nous ne disons rien d'autre. C'est pourquoi nous lui laissons ici la parole.  LFAR

    Il paraît qu’à l’ombre des grands chênes ne poussent que de petits glands.

    Dans son souci de redonner force à notre vieil État français, De Gaulle avait imaginé un président aussi puissant qu’un roi, mais qui laisserait le soin quotidien des affaires à un Premier ministre, dont la fonction elle-même évoque la Monarchie : il n’y a pas de Premier ministre dans une République normale. Ainsi le Président sous la Ve République donne-t-il les grandes orientations, tandis que le Premier ministre a la charge de gouverner le pays en tenant compte des orientations présidentielles.

    En procédant à une sorte de mariage entre la Monarchie et la République, De Gaulle a enfin guéri l’État français de la faiblesse dont il souffrait depuis la chute de Napoléon III. Mais à vrai dire, le projet gaullien ne pouvait durer qu’avec une dynastie au sommet de l’État, à défaut de quoi le chef de l’État redeviendrait après lui un simple chef de parti politique qui a gagné une élection. Finalement, c’est l’esprit républicain qui l’a emporté, et l’on voit désormais s’estomper la figure résiduelle du premier ministre, tant il est vrai qu’aujourd’hui à Versailles, le Président Macron n’a guère prononcé qu’un discours de politique générale. Il vient d’ailleurs de proposer aux parlementaires de pérenniser cette pratique qui relève du gouvernement, pas d’un chef d’État.

    Il est bien dommage que les peuples se désintéressent des questions touchant aux institutions, car c’est bien là qu’ils y découvriraient l’origine d’une bonne partie de leurs maux.  

    Ecrivain 
  • L’islamo-gauchisme s’installe sur les réseaux sociaux, sous le faux-nez d’AJ +

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html