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lobby - Page 1082

  • Éric Zemmour : « Macron a tendu un piège aux catholiques et les laïcards sont tombés dedans »

  • La France rurale, territoire sacrifié au profit de la banlieue

    6a00d83451619c69e201b7c95ff5e7970b-250wi.jpgDe Mylène Troszczynski, député européen du groupe ENL, sur Boulevard Voltaire:

    "Au moment où Emmanuel Macron s’apprête à dévoiler un plan qui préconise l’injection de 48 milliards d’euros au titre de la rénovation urbaine des banlieues, la France rurale n’en finit plus de sombrer et d’être reléguée au rang de territoire sacrifié.

    Depuis des décennies, les gouvernements de droite et de gauche dépensent par milliards dans les banlieues.Réaménagements urbains, réorganisation de la Justice, augmentation des effectifs policiers, création de maisons de quartier, rien n’y a été oublié, et pourtant, la banlieue n’aime toujours pas la France. À ces efforts s’ajoutent les réparations après les émeutes ou les attaques de commissariats, l’argent perdu par l’État ou par les commerçants en raison des trafics, les prestations ou les coûts indirects multiples. On cherche toujours, dans ces territoires à l’impossible reconquête, le « grand enrichissement » que promettait y voir éclore Fleur Pellerin, ministre de la Culture, soucieuse de démentir la substitution de population.

    En dépit de ses efforts colossaux, la France qui travaille et qui ne casse rien n’en finit plus de payer pour les quartiers perdus.100 milliards d’euros y ont été engloutis depuis quarante ans… et nous avons les émeutes, nous avons la violence, nous avons les pompiers caillassés, nous avons les trafics et nous avons les islamistes ! Ce n’est pas faute d’avoir essayé. En 1985 les « CAP’S », puis avec Juppé les « ZFU », déjà Borloo lançait le « PNRU », Amara « Espoir banlieues » et Ayrault les « emplois francs ». Nous avons aujourd’hui les « zones d’éducation prioritaire  » et leurs classes à douze élèves, 5.000 euros pour l’embauche d’un « jeune » de banlieue. Et pourtant, la situation s’aggrave.

    En réalité, le pouvoir a fait un choix. L’arrivée de vagues migratoires est une chance économique. Les populations issues des banlieues permettent de répondre aux besoins du marché de l’emploi peu qualifié des grandes villes et de contrôler une masse salariale bon marché et peu syndiquée. Il faut donc entretenir ces zones urbaines à proximité des grandes métropoles… à tout prix.

    Pendant ce temps, la France des campagnes et des petites villes meurt. Les perdants de la mondialisation, eux, travaillent, paient et roulent à 80 km/h désormais. Ils n’ont rien à dire et doivent rester invisibles. D’ailleurs, la sémantique vise à les rendre inaudibles. Moralement condamnés depuis longtemps, ils sont dans le camp du repli et de l’ignorance. Les grands gagnants de la mondialisation, tenants de la société ouverte et du vivre ensemble, exercent le pouvoir à leur profit, excluant par leurs choix des territoires entiers pourtant jusqu’alors créateurs d’emploi et de richesses.

    Mais le grand mythe d’une société ouverte où « tout est possible » sera emporté par les peuples et nos gouvernants devraient considérer la contestation qui monte dans toute l’Europe et qui ne manque pas d’advenir en France, car la ruralité ne supportera pas éternellement le joug du modèle économique et social qui la relègue socialement et culturellement depuis trop longtemps."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 48 MILLIARDS NE SUFFIRONT PAS : LA BANLIEUE N’AIME TOUJOURS PAS LA FRANCE

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    Au moment où Emmanuel Macron s’apprête à dévoiler un plan qui préconise l’injection de 48 milliards d’euros au titre de la rénovation urbaine des banlieues, la France rurale n’en finit plus de sombrer et d’être reléguée au rang de territoire sacrifié.

    Depuis des décennies, les gouvernements de droite et de gauche dépensent par milliards dans les banlieues. Réaménagements urbains, réorganisation de la Justice, augmentation des effectifs policiers, création de maisons de quartier, rien n’y a été oublié, et pourtant, la banlieue n’aime toujours pas la France. À ces efforts s’ajoutent les réparations après les émeutes ou les attaques de commissariats, l’argent perdu par l’État ou par les commerçants en raison des trafics, les prestations ou les coûts indirects multiples. On cherche toujours, dans ces territoires à l’impossible reconquête, le « grand enrichissement » que promettait y voir éclore Fleur Pellerin, ministre de la Culture, soucieuse de démentir la substitution de population.

    En dépit de ses efforts colossaux, la France qui travaille et qui ne casse rien n’en finit plus de payer pour les quartiers perdus. 100 milliards d’euros y ont été engloutis depuis quarante ans… et nous avons les émeutes, nous avons la violence, nous avons les pompiers caillassés, nous avons les trafics et nous avons les islamistes ! Ce n’est pas faute d’avoir essayé. En 1985 les « CAP’S », puis avec Juppé les « ZFU », déjà Borloo lançait le « PNRU », Amara « Espoir banlieues » et Ayrault les « emplois francs ». Nous avons aujourd’hui les « zones d’éducation prioritaire  » et leurs classes à douze élèves, 5.000 euros pour l’embauche d’un « jeune » de banlieue. Et pourtant, la situation s’aggrave.

    En réalité, le pouvoir a fait un choix. L’arrivée de vagues migratoires est une chance économique. Les populations issues des banlieues permettent de répondre aux besoins du marché de l’emploi peu qualifié des grandes villes et de contrôler une masse salariale bon marché et peu syndiquée. Il faut donc entretenir ces zones urbaines à proximité des grandes métropoles… à tout prix. 

    Pendant ce temps, la France des campagnes et des petites villes meurt. Les perdants de la mondialisation, eux, travaillent, paient et roulent à 80 km/h désormais. Ils n’ont rien à dire et doivent rester invisibles. D’ailleurs, la sémantique vise à les rendre inaudibles. Moralement condamnés depuis longtemps, ils sont dans le camp du repli et de l’ignorance. Les grands gagnants de la mondialisation, tenants de la société ouverte et du vivre ensemble, exercent le pouvoir à leur profit, excluant par leurs choix des territoires entiers pourtant jusqu’alors créateurs d’emploi et de richesses.

    Mais le grand mythe d’une société ouverte où « tout est possible » sera emporté par les peuples et nos gouvernants devraient considérer la contestation qui monte dans toute l’Europe et qui ne manque pas d’advenir en France, car la ruralité ne supportera pas éternellement le joug du modèle économique et social qui la relègue socialement et culturellement depuis trop longtemps.

    http://www.bvoltaire.fr/48-milliards-ne-suffiront-banlieue-naime-toujours-france/

  • Plus de 100 000 demandes d’asile en France en 2017

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    En 2017, l’Office française de protection des réfugiés et des apatrides (OFPRA) a enregistré un nombre record de 100 755 demandes d’asile. Soit une hausse de 17,5% par rapport à 2016.

    Selon Pascal Brice, directeur de l’Ofpra, cela s’inscrit dans un mouvement de hausse depuis plusieurs années

    Et le directeur de nier l’idée d’un « afflux massif », en comparant avec la situation allemande. Cependant, on notera qu’il y a eu en 2015 un essor plus important puisque nous sommes passés d’environ 64 000 demandes à plus de 80 000 en 2015 – et donc à plus de 100 000 en 2017.

    Surtout, il faut rappeler qu’en 1951, au moment de la signature de la convention de Genève sur le droit d’asile, la France recevait environ 300 demandes par an.

    Il s’agissait alors de Sud-Américains fuyant des dictatures militaires et de dissidents politiques de l’Est fuyant le communisme. C’est dans les années 70 que les demandes ont considérablement évolué. En effet, c’est en 1967 que le protocole de New-York a étendu le droit d’asile de la convention de Genève à l’ensemble des pays et conflits, sans restrictions géographiques. Alors que la convention de Genève de 1951 restreignait le statut de réfugié aux Européens. Maintenant, les demandes d’asile proviennent massivement d’Afrique et du Moyen-Orient.

    Les services peuvent-ils faire face à un tel volume ?

    Le délai d’instruction d’une demande, qui était de sept mois, est désormais passé à trois mois grâce à un recrutement important de personnel, l’objectif fixé par le président de la République étant de deux mois – sans compter cependant les délais de recours.

    Cet accroissement de la demande semble marquer ainsi une profonde transformation du droit d’asile, devenu un moyen d’accès au territoire comme un autre.

    Les demandes ne risquent pas de décroître compte tenu du désarmement moral des Européens. Le principal problème qui demeure est la gestion des déboutés du droit d’asile, sachant que la plupart demeurent sur le territoire sans autorisation.

    https://fr.novopress.info/

  • Incroyable : les noms de 2 626 agents du renseignement aux mains d’une islamiste

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    Trouvé sur Le Point : L’information est connue des autorités depuis un an mais était traitée avec la plus stricte confidentialité. En avril 2017, une jeune femme, Mina B., fichée S, est entendue dans le cadre d’une enquête judiciaire portant sur ses liens avec la mouvance radicale. Lors de son audition, Mina s’épanche. La police va alors découvrir des informations si sensibles qu’elles feront l’objet d’une seconde enquête préliminaire…
    Lire la suite sur ContreInfo

  • UNIVERSITÉ DE NANTERRE : COMMENT ON A ÉCHAPPÉ DE PEU À LA TUERIE…

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    Encore plus sauvage que le Vietnam et les soldes du Black Friday réunis, Nanterre 2018 demeurera dans les mémoires des démocrates. Là, en effet, les combats font rage comme jamais depuis ce lundi. Évidemment, l’endroit n’est pas le premier trou perdu venu, puisque c’est de « cette université emblématique de la région parisienne qu’est partie la contestation en Mai 68 », nous rappelle L’Obs, avec cette mâle assurance propre aux correspondants de guerre.

    Tout commence donc à sept heures du matin, quand « une trentaine d’individus pénètrent par effraction dans un bâtiment. » Afin d’y organiser la résistance face à l’arbitraire, il va de soi. Seulement voilà, il y a comme toujours un traître dans la place, un certain Jean-François Balaudé, lequel prétend être le président de l’établissement. Et le représentant de la Cinquième colonne en question d’avouer : « On a demandé l’intervention des CRS, car ce n’étaient pas des étudiants de l’université. »

    Présents sur les lieux, les intrépides reporters de L’Obs expliquent : « Les jeunes se sont retranchés sur un toit. » Tandis que les forces de l’ordre, n’écoutant que leur courage – ou les ordres de leur hiérarchie –, préféraient sagement se replier. Mais c’était pour mieux revenir. En effet, deux cents étudiants qui tenaient une assemblée improvisée, finissent par être délogés par les mêmes CRS. Bilan de cette véritable guérilla urbaine ? Trois blessés légers, dont deux policiers. Sans oublier ces blessures qui, elles, ne cicatrisent jamais, ces traumatismes psychologiques subis par ceux ayant vu la mort les frôler de trop près.

    Ainsi, Jean-François Lé Val, élu du personnel au conseil d’administration, se dit extrêmement « choqué » : « Ça fait trente-huit ans que je suis ici, je n’ai jamais vu les CRS intervenir comme ça. » Plus terrifiant encore, Anne-Frédérique Perol, bibliothécaire, se dit « sidérée ». Mais ce n’est rien, par rapport au calvaire enduré par Zoé Vaillant, professeure de géographie : « Le président de Nanterre commémore Mai 68, mais quand on demande le dialogue, il envoie les CRS ! »

    On remarquera, fait aggravant, que les sections d’assaut de l’ordre noir plus haut évoquées n’ont pas jugé bon de mettre sur place les cellules de soutien psychologique qui auraient permis d’aider les victimes à reconstruire des vies désormais brisées à jamais. Même ce geste humanitaire, l’État policier de Macron et de ses sbires l’a refusé, dévoilant ainsi son véritable visage.

    Tout démocrate digne de ce nom ne peut donc que s’indigner devant les explications du fantoche Balaudé, tentant de justifier cette rafle ayant manqué de se transformer en bain de sang : « J’ai considéré qu’on n’était pas du tout dans le contexte de la mobilisation contre la loi ORE, la plateforme de revendication des jeunes occupant le bâtiment était beaucoup plus large, de style autonome. » Nous y voilà… De « style autonome » ? Comme on évoquait autrefois des « suspects de type méditerranéen »… Pourquoi cette « stigmatisation » ?

    D’ailleurs, le sinistre Balaudé ne trompe personne, n’hésitant pas à signer son crime, lorsqu’il prétend : « Je souhaite repartir en dialogue avec mes personnels et mes étudiants. »

    Plus sérieusement, on lui conseillerait plutôt de repartir en vacances.

    http://www.bvoltaire.fr/universite-de-nanterre-on-a-echappe-de-a-tuerie/

  • Loi immigration: Macron renforce le droit à l’immigration, celle-ci de plus en plus aux mains des mafias

    La loi asile et immigration, loin de restreindre les droits de l’entrisme en France de la part des clandestins, les renforcent. En effet elle élargit le regroupement familial en direction des mineurs, au-delà de leurs parents qui y avaient déjà droit, à leurs frères et sœurs. Même chose pour les filles menacées d’excision qui pourront faire bénéficier leurs parents d’un titre de séjour au nom du droit d’asile, en France, alors que le plus souvent ce sont eux qui décident de l’excision de leur fille!.. Il suffirait de menacer sa fille d’excision pour avoir le droit de s’installer en France!

    Les filières clandestines véhiculent des femmes et des enfants pour les prostituer en Europe

    Les « mineurs isolés » arrivent de plus en plus nombreux depuis les zones musulmanes, d’Afrique surtout, mais aussi d’Asie, de même que les jeunes femmes qui, elles, se retrouvent souvent sur les trottoirs des villes européennes, lesquelles sont prises en main au Nigéria ou ailleurs par des mafias très organisées qui les expédient en Europe pour pouvoir les exploiter, avec leur consentement ou sur tromperie, un peu à la manière dont dans les années 90 les femmes d’Europe de l’Est: Ukrainiennes et Russes, répondant à de fausses promesses d’emploi étaient prises en main, notamment par la mafia albanaise [musulmane] qui était la plus terrible de toutes. L’entrisme des mineurs semble répondre à des aspirations semblables de la part de mafias africaines et européennes complices, et ce ne sont pas les lois qui encouragent l’homosexualité et la dépravation des mœurs en Europe qui risquent de les décourager. La part que les ONG et les gouvernements occidentaux prennent dans ces manœuvres en encourageant l’immigration est d’autant moins rassurante. Car les frontières ouvertes laissent passer, non seulement les terroristes de l’Islam mais également la pègre dans les mains de laquelle de nouveaux esclaves sont précipités, que ce soit dans les fonds marins, sur les trottoirs, dans des caves ou ailleurs.

    Crimes: au-delà des attentats islamiques, la part de la pègre immigrée

    S’il est difficile mais non impossible aux dirigeants européens de dissimuler les attentats islamiques de la part de l’immigration musulmane ancienne ou récente, en revanche c’est silence et bouche cousue en ce qui concerne les crimes occasionnés par la pègre qui rentre toutes portes ouvertes par nos frontières délaissées; rien de plus facile à dissimuler, il suffit de ne pas évoquer le sujet.

    « A Benin City, la capitale nigériane de départ de l’immigration clandestine, on ne prononce jamais le mot « prostitution ». Dans le langage courant, les jeunes filles qui partent vers l’Italie ou la France ne vont pas faire le trottoir. Elles partent « se débrouiller ».  Les vagues de réfugiés qui affluent vers l’Europe comptent de nombreux mineurs. En Italie, comme en France, les lois ont beau imposer leur prise en charge, leur situation demeure précaire. »

    Par exemple, au cours d’une des vingt-deux opérations de sauvetage réalisées les 22 et 23 août au large des côtes italiennes, sur 542 personnes, ils étaient 142 mineurs à descendre du bateau de la marine militaire locale. Pour une écrasante majorité, ils voyagent seuls comme en témoigne à RFI le commandant Antonio Dovizio : « Il y a 130 mineurs non accompagnés, souvent ils entreprennent cette traversée sans leurs parents et c’est une vraie situation d’urgence. » En Italie, selon la loi, le pays doit accueillir tous les mineurs isolés, quelle que soit leur nationalité il est impossible de les expulser. En 2014, pour prendre en charge les 13 000 jeunes concernés, Rome a débloqué 90 millions d’euros. » Source: La Libre Afrique

    « Plus de 10.000 enfants migrants non accompagnés ont disparu en Europe sur les 18 à 24 derniers mois, a affirmé le 31 janvier 2016 l’agence de coordination policière Europol. Elle craint que nombre d’entre eux soient exploités, notamment sexuellement, par le crime organisé. » source: Arte info 

    Pourquoi cette multitude de jeunes mineurs peuvent ainsi partir seuls, sans leurs parents ? Combien d’autres mineurs dits « isolés » sont-il rentrés en France et en Union Européenne ? Difficile de connaître les chiffres. Les photos de l’immigration qui abondaient au début de cette invasion [2014-2015] sont devenues rarissimes. Que font les reporters ? Existe-t-il une loi du silence dans les médias mainstream, ceux qui ont les moyens de payer des reportages ? Ou bien les photographes sont-il soumis à des menaces ? Les lois sur les images, le droit à l’image etc, est-il en cause ? Pour avoir une idée de cette loi du silence, il suffit de savoir que Marine Le Pen doit répondre devant la Justice d’avoir transmis une photo du terrorisme islamique, lequel terrorisme est apparemment couvert par le secret d’ Etat sous prétexte de ne pas diffuser d’image violentes. En réalité c’est la peur que provoqueraient ces réalités qui doit être à tout prix occultée: dormez braves gens, la République s’occupe de vous!

    Marine Le Pen a été mise en examen pour « diffusion d’images violentes », a annoncé le parquet de Nanterre ce jeudi. Ce délit est passible de 3 ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende. La présidente du Front national avait diffusé des images d’exactions de Daech sur son compte Twitter en décembre 2015. Source: Le Parisien

    On a compris: désormais les islamistes pourront égorger ou torturer, plus aucune image ne paraîtra sauf à ce que les informateurs en répondent devant les tribunaux. Le cas de Marine Le Pen restera emblématique du muselage de l’information en France en ce début de XXIème siècle. Et M. Macron nous promet que cela n’est qu’un début. Bref, l’immigration clandestine islamique, conséquence du terrorisme islamique, est recouverte d’un voile pudique.

    Appel d’air à l’immigration

    Le silence de plomb qui recouvre ces questions n’empêche personne de se les poser: que deviennent les mineurs isolés… même lorsqu’ils ne sont plus mineurs ? combien coûtent-ils à la collectivité ? Ce renforcement du regroupement familial étranger autour des mineurs devrait être un nouvel appel d’air à l’immigration, en toute légalité cette fois-ci. La clandestinité, loin  d’être réprimée, sera ainsi encore un peu plus récompensée et encouragée. Car les mineurs, comme les femmes, qu’ils soient pris en main par l’aide sociale ou par la pègre, ou bien qu’ils constituent eux-mêmes la pègre, pèsent lourdement sur la France.

    Les clandestins de Briançon, trop nombreux, occupent la gare SNCF

    On entend souvent évoquer la frontière italienne méditerranéenne, comme source de passage des clandestins en France. Mais ceux-ci rentrent aussi en abondance par les Alpes.

    « Il n’y a plus de places libres au Refuge solidaire de Briançon. Il n’y a plus de places non plus dans le squat « Chez Marcel ». Alors les associations ont décidé d’occuper le hall de la gare SNCF pour mettre à l’abri une centaine d’exilés, le temps d’une nuit. Le temps aussi de trouver des solutions de repli.

    Ce week-end, la pression migratoire s’est accentuée à la frontière franco-italienne. Une centaine d’Africains a réussi à franchir le col de Montgenèvre pour rejoindre Briançon. Impossible de tous les loger. Car la capacité d’accueil du Refuge solidaire n’est que de 15 places officiellement…et une soixantaine de places officieusement !

    Femmes et enfants ont été hébergés à la paroisse mais face à l’urgence de la situation, les associations ont décidé d’installer des matelas et des vivres à l’intérieur de la gare SNCF afin de mettre l’Etat face à ses responsabilités.  « C’est peut-être illégal mais c’est légitime car nous n’avons pas le choix » répètent les bénévoles sur place. C’est dans ce contexte particulier que le nouveau sous-préfet de Briançon prend ses fonctions ce lundi. Si la préfecture n’a pas encore réagi face à l’occupation de ce bâtiment public, les élus de droite Arnaud Murgia (conseiller départemental) et Romain Gryzka (conseiller municipal) jugent ces actes « inacceptables » et demandent l’évacuation de la gare. » Source: Le Dauphiné Libéré du lundi 9 avril 2018

    Que viennent faire dans notre pays ces femmes et ces enfants qui n’y ont pas été invités ? Les ONG « mettent l’Etat face à ses responsabilités », disent les « bénévoles »… un bon moyen pour l’État de se faire une douce violence, pardi! 

    Mais les mafias européennes [souvent d’ailleurs composées de gens d’origine immigrée] s’en donnent à cœur joie elles aussi:

    En Italie, « selon les enquêteurs, Misericordia, un réseau de coopératives gérant de nombreuses œuvres sociales à travers l’Italie, aurait laissé le contrôle de la fourniture des repas à des associations liées au clan Arena. Le 15 mai dernier, les carabiniers ont arrêté le principal responsable de la structure, Leonardo Sacco, membre du clan mafioso. Cet homme de 35 ans gérait les dizaines de millions d’euros versés chaque année par l’Etat italien au centre d’accueil. L’Obs

    « La sève » catholique de M. Macron

    Voilà où conduisent les Droits de l’homme dont les ONG immigrationnistes sont les fers de lance dans notre pays et dans toute l’Europe. Dans une Europe qui doit tout aux banques dont elle s’est rendue entièrement dépendante, quelle place reste-t-il pour la protection des peuples européens ? En France comme en Allemagne et ailleurs en Europe, les dirigeants promus par les consortiums et les capitaux apatrides œuvrent au remplacement des Européens d’origine par des déracinés de culture musulmane. M. Macron qui n’a pas trouvé nécessaire de souhaiter de bonne fêtes de Pâques aux chrétiens, mais qui ne manque jamais de souhaiter un bon Ramadan aux musulmans, a eu beau dire, devant la conférence des Evêques de France ce lundi  que  « ce ne sont pas les racines » chrétiennes « qui importent », « c’est la sève, en précisant qu’il est « convaincu que la sève catholique doit contribuer encore et toujours à faire vivre notre Nation », qui pourrait le croire ? Par ses actes et par ses lois il prouve à tout propos qu’il œuvre pour l’extinction de la sève catholique, avec l’arme de la laïcité qui promeut le remplacement de la religion et de la civilisation chrétienne par celle de l’Islam. Cette nouvelle loi sur l’immigration, une fois encore, le prouve. D’ailleurs, comme l’expliquait le général Gomart, l’invasion n’avance pas au hasard.

    Voir aussi:

    http://www.medias-presse.info/loi-immigration-macron-renforce-le-droit-a-limmigration-celle-ci-de-plus-en-plus-aux-mains-des-mafias/89968/

  • Pour un syndicalisme réellement national

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    Arnaud Malnuit

    Pour les amateurs de comptes ronds, surtout s’agissant des anniversaires de la droite nationale, on peut effectivement signaler qu’en 2018 on célèbre les 45 ans de la première participation du Front National à des élections (en l’espèce les élections législatives), les 40 ans de l’assassinat de François Duprat, les 30 ans du décès accidentel de Jean-Pierre Stirbois.

    C’est-à-dire lors que la droite nationale se dotait de sa propre structure et qu’elle affirmait qu’elle était aussi la droite populaire et sociale.

    Mais les souvenirs ne s’arrêtent pas là, en effet, à la lecture du numéro de Pour un ordre nouveau datant de décembre 1972 (et dont certains exemplaires ont été disponibles à nouveau la vente grâce à nos amis de Synthèse nationale), au-delà de l’annonce de la création du Front Nationale est évoquée l’Union Générale des Travailleurs (UGT) qui se voulaient une réponse aux syndicats marxistes (la CGT étant sous le contrôle du PCF, FO abritait des trotskistes et la CFDT défendait l’autogestion version Yougoslavie titiste), s’inspirant des syndicats créés en Italie à l’instigation du Mouvement Social Italien. Cette UGT n’eut jamais de réelle existence et il fallut attendre les tentatives de création de syndicats par le FN au milieu des années 1990 pour voir la droite nationale retenter de créer un syndicalisme alternatif. Tentatives tuées dans l’œuf grâce à des lois votées en faveur des bureaucraties syndicales, avec le concours conjoint de la droite et de la gauche.

    Ces dernières années, le FN canal officiel a préféré défendre les centrales existantes et pire les soutenir, alors que ces dernières n’ont de cesse de proclamer qu’elles excluent leurs membres et responsables défendant des idées patriotiques…

    N’oublions pas non plus que ces centrales syndicales vivent de ce modèle social antifrançais que j’ai évoqué dans une précédente chronique.

    Sans parler de la CGT soutenant la régularisation des clandestins…

    Alors oui, il importe de créer un vrai syndicalisme national dont le premier mot d’ordre serait la préférence nationale à l’embauche et l'exclusivité nationale pour les prestations sociales. Un syndicalisme qui ne s’opposerait pas aux petits patrons, aux dirigeants de PME, aux indépendants. Mais qui au contraire les soutiendrait contre les multinationales et nos gouvernants qui bradent notre pays… Un syndicalisme qui proposerait d’autres modes d’actions que la grève pour ne pas nuire à ces PME et aux salariés pleinement touchés par ces conflits sociaux.

    Source Parti de la France cliquez ici 

  • Euthanasie, PMA, avortement : il faut rappeler que la loi peut être illégitime

    6a00d83451619c69e201b8d2e9c6f5970c-250wi.jpgDans Vérité et politique, Guillaume de Thieulloy livre une réflexion surles dérives totalitaires d'une démocratie déconnectée de toute notion de vérité. Il défend l'idée d'une loi naturelle supérieure aux lois positives et s'oppose à une vision du parlement capable de dire le vrai et le faux, le bien et le mal. Alors même que la plupart des parlementaires, y compris ceux y défendant de bonnes idées, considèrent que le Parlement est à la source de tout droit... Il rappelle opportunément que cette dérive est inscrite dans la déclaration des droits de l'homme :

    "Il suffit de lire sérieusement la déclaration des droits de l'homme et du citoyen, du 26 août 1789, pour s'en apercevoir. Lisons, en particulier, l'article 6 : "La loi est l'expression de la volonté générale." Tout le monde, ou presque, en est aujourd'hui persuadé. Pourtant, voilà qui ne va vraiment pas de soi ! La volonté générale peut parfaitement décider d'opprimer une minorité, contre les droits humains les plus élémentaires. Dira-t-on que cette violation du droit est le droit lui-même ? Pour ma part, je préfère suivre saint Thomas d'Aquin déclarant, à la suite de saint Augustin, qu'une loi inique n'est pas une loi : elle peut, bien sûr, être promulguée comme une loi ; elle peut avoir apparemment la force d'une loi. Mais elle ne peut pas obliger en conscience. Nous n'avons nullement le devoir d'y obéir. Nous pouvons même avoir, au contraire, le devoir d'y résister.Prenons un exemple concret et bien connu, dont nous avons déjà parlé. Les lois de Nuremberg, promulguées par le IIIe Reich en 1935, ont toutes les apparences d'une loi : elles ont été votées par un parlement régulièrement élu. Mais, aujourd'hui, nous ne tenons pas les personnes qui les ont appliquées pour des citoyens modèles ; au contraire, nous applaudissons comme des héros ceux qui ont refusé de les exécuter. Tout simplement, parce que ces lois étaient illégitimes et allaient contre le droit et contre une loi supérieure à la loi civile."

    Un rappel opportun à l'intention d'Emmanuel Macron, qui rejetait hier soir toute injonction de l'Eglise, estimant lui aussi qu'il n'y a rien au-dessus de la loi, et alors qu'une légalisation de l'euthanasie semble programmée, tout comme l'extension de la PMA et du commerce des utérus.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html