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  • De quoi Alexandre Benalla est il le nom ?

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    Jean-François Touzé

    membre du Bureau politique du Parti de la France

    Alexandre Benalla est une racaille. Une racaille comme il y en a tant dans les milieux de la sécurité. Une racaille entrée dans la lumière du Président de la République sans, pour autant, quitter l'ombre des basses besognes de la mafia institutionnelle.

    En soixante ans d'existence la Cinquième République nous a habitués à ces «chargés de mission » qui, par la grâce du SAC gaulliste, des réseaux giscardiens, des cellules mitterrandiennes ou des cabinets noirs chiraco-sarkozistes, bénéficiaient, pour les uns de cartes barrées de tricolore, pour les autres de coupe-files officiels, pour tous de l'impunité d’État.

    Savoir, dans ces conditions ce que faisait Benalla le 1er mai place de la Contrescape dans le cinquième arrondissement de Paris, et qui lui a fourni le brassard «police" qu'il arborait fièrement ce jour là en tabassant ce manifestant gauchiste sur les petits bobos duquel il va de soi que nous ne verserons pas de larmes, importe finalement assez peu. Tout comme reste relativement indifférent l'éclairage qui sera donné (ou pas) par la commission des lois transformée avec une étonnante rapidité en Commission d'enquête.

    La question est de savoir combien de temps encore les Français, une nouvelle fois instruits de la réalité de la République pourrie des coquins et des copains, continueront ils à s'en remettre à ce Système dépravé ?

    La question est de savoir combien de temps encore ils accepteront les méthodes et les mœurs de cette classe politicienne moralement dissolue ?

    La question est de savoir combien de temps encore ils reculeront le jour de l'échéance ultime qui permettra l’émergence d'un pouvoir de force et d'autorité ouvertement assumées en se tournant enfin vers la Droite nationale ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/07/20/de-quoi-alexandre-benalla-est-il-le-nom-6067435.html

  • Christine Tasin & Daniel Conversano : Vive L'Europe qui résiste à l'islamisation ! (juillet 2018)

  • Les « invités » sur les radios : la droite nationale discriminée, par Guy Rouvrais

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    On s’en rendait compte en écoutant les émissions d’information, le matin, sur les grandes stations de radio : dans les interviews, les représentants du gouvernement et ses affidés se taillaient la part du lion. L’opposition, et surtout celle de la droite nationale, étant réduite à la portion congrue et, en tout cas, sa présence sur les ondes ne reflétant pas son importance chaque jour plus marquée dans le pays. Ce que l’on ressentait est objectivement confirmé par une étude du site Politiquemedia, publiée dans Le Figaro (18 juillet), l’enquête portant sur les interviews diffusées du 21 août 2017 au 13 juillet 2018.

    Les membres du gouvernement ont eu droit à 592 interventions, ceux qui le soutiennent, les élus de LREM, à 361, il faut leur ajouter les 43 de Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement qui détient, en outre, le record de passages par rapport à toutes les autres personnalités politiques. Au total, donc, les représentants du pouvoir ont vu le micro se tendre vers eux 996 fois, presque 1 000 ! A côté, les Républicains ont bénéficié de 464 invitations, le PS de 330, les Verts de 56, ce qui, pour ces derniers, les écologistes, signe leur influence déclinante dans le pays. Mais, là où gît le scandale, c’est le traitement discriminatoire infligé au Rassemblement national avec 152 prestations seulement, c’est-à-dire deux fois moins qu’un PS agonisant ne représentant plus rien et dont le candidat, Benoît Hamon, a recueilli 6 % des voix à la présidentielle tandis que Marine Le Pen en obtenait 3,5 fois plus, 22,1 % au premier tour, et plus de cinq fois au second avec 34 % des suffrages. Manifestement, les balances des médias sont totalement mais aussi délibérément faussées.

    Mais est-ce étonnant quand on sait que selon une consultation Harris Interactive pour le magazine Médias, 74 % des journalistes votent à gauche ? Ce sondage date de 2012 mais, à l’évidence, rien n’a changé depuis, ou, plutôt, si, mais en s’aggravant, l’ascension du Rassemblement national et le « risque » de son accession au pouvoir, ou même de l’emporter aux élections européennes, leur fait un « devoir » de se mobiliser. Au nom de leur choix partisan ? Pas du tout, vous répliqueront-ils, mais des droits de l’homme, l’alibi permanent de leur sectarisme.

    Quand vous voyez ou entendez quatre journalistes, sachez donc que trois sont de gauche et le quatrième peut être un libéral aligné sur la gauche culturelle comme beaucoup de ceux-là… C’est pourquoi, au-delà même de la sous-représentation des nationaux dans les interviews matinales, et en plus de ce scandale, ces gens-là diffusent du politiquement correct comme M. Jourdain de la prose. Dans leurs journaux radiophoniques, tout en prétendant à une information objective, ils parlent naturellement des « prisonniers politiques » pour désigner les terroristes corses détenus, du « délit de solidarité » pour l’aide apportée aux clandestins, et pour eux il va de soi qu’il faut dire « menace populiste » pour évoquer la montée du sentiment national chez les peuples d’Europe.

    Ces « matinales » sont suivies par plus de 17 millions de nos concitoyens entre 7 h et 9 h ; même ceux qui ne sont guère attirés par la politique et n’ouvrent leur poste que pour la météo d’abord, sont imprégnés par ce qu’ils saisissent à la volée de propos politiques. On en reparle au bureau, et il y a des reprises dans les autres médias au cours de la journée. C’est dire si ce qui relève de la propagande plus que de l’information à ce degré de distorsion entre les formations installées et la droite nationale bafoue l’équité et piétine la liberté d’expression en restreignant celle des patriotes.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 19 juillet 2018

    https://fr.novopress.info/211626/les-invites-sur-les-radios-la-droite-nationale-discriminee-par-guy-rouvrais/

  • Sébastien Meurant : « Il y a un lien entre immigration et délinquance »

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    Rapporteur spécial au Sénat du projet de loi Asile et immigration, Sébastien Meurant, sénateur LR du Val d’Oise, est revenu sur la politique française en matière d’immigration et d’asile.

    Que pensez-vous de la loi Asile et immigration ?

    La loi qui a été votée n’est pas du tout à la hauteur des enjeux.
    Or, ce sont des enjeux majeurs pour l’avenir de la France et de l’Europe. Nous l’avons vu récemment avec les élections successives. Ce qui s’est passé en Italie est également très intéressant. C’est un enjeu qui risque de faire éclater l’Europe.
    Avant tout, si on se place du point de vue français qui m’intéresse en premier lieu, c’est un enjeu civilisationnel. Sur un certain nombre de territoires, la France et les lois de la République ne sont plus respectées. Cet état de fait est directement lié à l’immigration.
    Le texte voté ne répondra à rien de tout cela. Pire, il élargit le regroupement familial. Cette loi favorisera l’envoi de mineurs qui seront exploités. On subventionne tout un tas d’associations dont le fonds de commerce est cette misère humaine. Nous sommes donc aujourd’hui complices du trafic d’êtres humains. C’est dramatique et tragique.
    L’État français est complice de cela. Nous savons très bien qu’en envoyant des signaux forts, comme le disait l’Italie ou comme l’avait proposé un Général italien, en une semaine les flux irréguliers en Méditerranée sont réglés.
    La France qui a une politique ambiguë est complice de cela. On ne veut pas accueillir l’Aquarius, mais on va accueillir les personnes qui sont dans l’Aquarius et qui veulent quitter l’Espagne pour venir en France. Et c’est bien normal qu’ils le veuillent puisque notre modèle social, qui prend l’eau de toutes parts, est une pompe aspirante énorme. C’est humainement compréhensible. En revanche, politiquement c’est suicidaire.
    Demain, l’Afrique doublera sa population. Que fait-on ?
    Devons-nous continuer à nous voiler la face en mettant de l’argent et des moyens qui sont évidemment insuffisants, car la misère dans le monde est grande ? Nous jouissons en France d’un modèle extrêmement généreux. Or, ce modèle-là est déficitaire et la perpétuation de ce système se fait à l’encontre des Français, car il y a un appauvrissement généralisé.
    Ce refus de voir la réalité est politiquement terrible. Je suis allé voir France terre d’asile. Cette association de 35 personnes en 1997 et aujourd’hui à plus de 900 personnes. Ce sont des fonds publics. Le rôle des parlementaires est d’aller voir comment sont utilisés les fonds publics, notamment en matière migratoire.
    La réalité est que l’immigration conduit à un appauvrissement du pays et à une augmentation de la délinquance. Évidemment, l’immigration n’est pas gratuite. Lorsqu’on supprime des classes dans certaines zones rurales, on en crée dans certaines zones périphériques. Évidemment lorsqu’aucun parent ne parle français, c’est plus difficile pour les enseignants. Il faut donc mettre des moyens, mais malheureusement, nous n’avons plus ces moyens actuellement.

    Faites-vous un lien entre immigration est délinquance ?

    Il suffit d’ouvrir les yeux et les oreilles et de visiter les prisons. Évidemment, on peut faire un lien entre immigration, délinquance et pauvreté. On peut également faire un lien avec les attentats terroristes islamistes. Évidemment qu’il y a un lien. Je rappelle simplement ce que monsieur Valls avait déclaré en octobre 2015. Il déclarait que nous ne faisions pas de tri entre migrants. Et peu de temps après, en novembre, il déclarait que des terroristes s’étaient glissés parmi les migrants.
    La réalité qui n’est autre que celle-ci, même si elle déplaît à certaines personnes. Croyez-vous que cela va s’améliorer si on ne change rien ?
    Cette question-là est majeure pour l’Europe, un continent vieillissant qui subit une immigration de masse. Ce qui se passe en Italie et en Allemagne est très intéressant.
    L’échec de Merkel en 2015, et de l’Europe, est d’avoir annoncé que nous allions accueillir 1 million de personnes sans demander aux pays membres. Or, une fois entrées dans l’espace Schengen, ces personnes vont où elles veulent. Et actuellement, l’Europe n’assure pas la sécurité des peuples européens. Nous avons confié à la Turquie l’essence même de ce que peut faire l’Europe, la sécurité, avec 6 milliards d’euros pour assurer la gestion des flux.
    La raison d’être de l’Etat est d’assurer la sécurité intérieure et extérieure du pays. Les deux sont liées. On voit que des personnes venant de l’extérieur peuvent perpétrer des meurtres de masse. Il suffit de revenir 20 ou 30 ans en arrière, c’était inenvisageable. On ne peut pas continuer comme cela. On ne peut pas continuer à accueillir comme cela des gens de l’extérieur qui veulent nous imposer leur façon de vivre, avec une vision de la femme incroyable et une religion qui pour certains est une religion du pré-Moyen-âge.
    Les questions de l’identité, de la religion, de la sécurité sont des questions majeures et essentielles.
    La loi immigration qui vient d’être votée ne changera rien. Elle peut apparaître avec la complicité des médias et de la gauche comme trop restrictive alors qu’en réalité, elle est plus permissive que ce qui existe. On est dans la communication et le » en même temps ». On essaie de séduire un peu la gauche et un peu la droite. Il ne faut pas prendre les Français pour des gogos.

  • Affaire Benalla : un sbire de Macron pris la main dans le SAC ? – JT TVL 19 juillet 2018

    1) Politique / Affaire Benalla : un sbire de Macron pris la main dans le SAC ?

    Alexandre Benalla, un membre de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron, est accusé de violences en marge des manifestations du 1er mai. Le parquet de Paris a annoncé l’ouverture d’une enquête préliminaire ce jeudi, plus de deux mois et demi après les faits.

    2) Politique-media / Loi contre les Fake-News : un rejet de plus  

    Le projet de loi contre les fake news s’est fait un nouvel ennemi. Mercredi, la commission des loi du Sénat a rejeté les deux propositions de texte et dénonce un danger pour la liberté d’expression.

    3) Economie / Bruxelles s’attaque à Google

    4) L’actualité en bref

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste en dessous)

    Vidéo RuTube :
    https://www.tvlibertes.com/2018/07/19/24407/affaire-benalla-sbire-de-macron-pris-main-sac-jt-tvl-19-juillet-2018

  • La gueule des pilleurs et saccageurs fêtant la coupe du monde de foot… Vidéo-reportages amateurs

    Pillage-intermarché-paris-191x300.jpgDeux vidéos comme exemples : La première a été tournée lors du pillage d’un magasin Intermarché situé avenue de la Grande armée à Paris .  Mais bien d’autres images semblables sont rapportées par la presse ou Internet. Et dans les principales villes de France aussi.

    La seconde ci-dessous a été prise sur le vif du pillage d’un magasin de scooters  prés de l’Arc de Triomphe, « Toujours par les mêmes »indique le tweet  de Donatien Véret.

    Des Images qui semblent ne jamais prendre fin en France nouvelle, quand l’incendie s’éteint d’un côté il renaît de l’autre plus vif que la fois précédente. Entre les blaks blocks gauchistes et écologistes chers au régime qui ont semé la pagaille et les cocktails molotov à propos de Notre-Dame des Landes, les mécontents des actions de la police qui ont fait éclater plusieurs jours durant leur « juste » colère à Nantes, et les gais lurons du championnat de foot, maillot de l’équipe de France sur le dos,  un peu partout où la France fêtaient leur victoire sportive à leur façon. Tous les prétextes sont bons: colère ou liesse! La France est grande et généreuse!

    Le pouvoir d’Emmanuel Macron ne sévit que contre ceux qui disent la vérité à travers une traque des prétendues « fausses nouvelles » [fakes news], c’est-à-dire les vérités qui dérangent Jupiter. D’autant plus que le régime à travers ses caisses de résonances médiatiques comptait sur la victoire de la Coupe du monde de foot en Russie pour redorer son blason qui se ternit à vive allure selon tous les derniers sondages d’opinion.

    Lire la suite sur Media presse.info

  • Une taupe démasquée au Camp Jeune Nation…vigilance !

    Ce tweet a été publié le 16 juillet à 12 h 34  sur le compte de Yann Benedetti :

    « Une salope de journaleux de TV Presse Prod infiltrée au Camp Jeune Nation pour un reportage pré-vendu à C8, débusqué et chassé avec tout son attirail de James Bond, dont 2 montres et 3 stylos caméras ! C’est la même équipe qui avait dupé les identitaires niçois du Front National. »

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    Il ne faut pas oublier que Civitas a aussi été victime de ce genre de tentatives d’infiltrations. J’avais dit alors ce qu’il y avait à dire sur le sujet. Vigilance, vigilance et encore vigilance. La pratique d’infiltration va revenir en masse depuis que de plus en plus de gens de nos milieux refusent de donner la moindre interview aux torchons que sont, en vrac, ViceBuzzfeed (aujourd’hui défuncté) et autre Streetpress ou Slate. Partis, écoles, églises, associations, personne n’est à l’abri. C’est pour cela que les informations doivent être échangées afin d’éviter que les taupes n’aillent creuser leur galerie ailleurs…

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/une-taupe-demasquee-au-camp-jeune-nationvigilance/95045/

  • VAGUE D'AGRESSIONS SEXUELLES APRÈS LA VICTOIRE DES BLEUS

  • Polémique sur la limitation de vitesse : Édouard Philippe perd le premier round

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    Édouard Philippe, ce boxeur amateur, s’est pris un crochet qui le conduira peut-être à réfléchir. On vient d’apprendre que le nombre de morts sur les routes de France a baissé de 9,3 % en juin par rapport à l’année précédente : on roulait pourtant encore à 90 km/h. Nous n’aurons pas le mauvais goût de ne pas nous réjouir de cette baisse de la mortalité routière, qui confirme une tendance générale observée depuis 2017. Il n’empêche que cette courbe descendante prouve que le nombre de morts peut diminuer sans une mise en œuvre généralisée des 80 km/h.

    En dépit des protestations des associations d’automobilistes et de motards, des appels de nombreux parlementaires et élus locaux, le Premier ministre a imposé cette limitation sur 400.000 kilomètres de routes secondaires, sans compter toutes les routes départementales et vicinales. C’est à croire qu’il veut imposer sa marque et défendre cette mesure envers et contre tous pour montrer qu’il n’est pas une potiche, bien que le président de la République ait usurpé la plupart de ses prérogatives.

    À moins qu’il n’ait cédé à la facilité en se dispensant d’étudier les véritables solutions pour réduire le taux d’accidents, à commencer par l’entretien des routes et une politique de prévention et d’éducation efficace dans la lutte contre l’alcool et la drogue au volant. Il est vrai que, lorsqu’on diminue les subventions attribuées aux départements et qu’on soutient un président qui a une position fluctuante sur l’usage du cannabis, il est difficile de proposer de telles mesures.

    « L’objectif, ça n’est pas d’emmerder le monde » a-t-il souligné à la fin du mois de juin, « c’est de faire en sorte qu’il y ait moins de morts et moins de blessés graves ». Et pourtant, il emmerde le monde, notamment les Français des territoires ruraux, qui n’ont souvent aucun moyen de transport alternatif. Rien ne prouve, au demeurant, que la limitation de vitesse à 80 km/h permettra de sauver des vies supplémentaires, malgré les spots publicitaires à la télévision. De mauvais esprits pensent même qu’elle pourrait inciter à des imprudences, pour effectuer un dépassement par exemple, et causer autant, voire davantage d’accidents.

    Le plus grave, dans cette affaire, c’est la volonté d’imposer d’en haut une limitation uniforme, quand le bon sens indique qu’il faudrait adapter la vitesse aux conditions locales, que les élus de proximité connaissent mieux que des énarques dans leurs bureaux. Et si le Premier ministre ne fait pas confiance aux élus, il pouvait missionner les Préfets pour chapeauter cette opération.

    L’obstination dans l’erreur n’est pas une qualité. Édouard Philippe a beau se dire prêt à assumer l’impopularité sur ce sujet, il gagnerait un capital de sympathie s’il déléguait aux départements la mission de réguler la vitesse. Ce juppéiste, devenu conseiller stratégique de François Fillon après la primaire, a bien accepté, sans état d’âme, de devenir le Premier ministre d’Emmanuel Macron : il ne perdrait pas sa dignité, s’il venait à changer d’opinion sur la limitation de vitesse, et prouverait, par la même occasion, qu’il n’est pas un simple fantoche qui veut passer pour un dur.

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/polemique-sur-la-limitation-de-vitesse-edouard-philippe-perd-le-premier-round/

  • Aude Mirkovic - La légalisation de la PMA sans père entrainerait une totale refonte de la filiation