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lobby - Page 1082

  • Têtes à clash n°31 : 80 km/h, doit-on cesser d’emmerder les Français ?

  • 220 000 avortements par an, cela ne leur suffit pas

    6a00d83451619c69e2022ad39eb1d3200b-250wi.jpgLe Planning familial se plaint, dans Marie-Claire, que certains médecins osent refuser de pratiquer des avortements. Non, l'avortement ne sera jamais un acte anodin :

    "[...] Des médecins refusent de pratiquer des IVG, sans le dire directement mais en multipliant les rendez-vous ou les actes médicaux pourtant optionnels. Tout cela sans réorienter vers un.e professionnel.le compétent.e, comme la loi le prévoit. À force de ne pas répondre à la demande des femmes dans les temps, les délais sont parfois trop courts. Elles sont loin les années 70, pourtant aujourd’hui encore, des femmes se rendent aux Pays-Bas, en Angleterre ou en Espagne pour avorter. En cause : des délais d’attente trop longs, une découverte tardive de leur grossesse. Parfois encore elles ne peuvent pas avoir recours à l'interruption médicale de grossesse, ou subissent des violences conjugales à compter de l'annonce d’une grossesse pourtant désirée au départ.

    Les inégalités d’accès à l’avortement sont encore énormes en France : inégalités territoriales, inégalités sociales, inégalités économiques. Sur le numéro vert national géré par le Planning ou dans les lieux d’accueil, on entend encore trop de femmes nous raconter les questions intrusives ou jugeantes au moment de leur demande d’IVG : "Vous ne pouvez pas assurer cette grossesse ?" ; "Avez déjà fait une IVG ?" ; "Vous aviez une contraception ?"  Elles nous parlent trop souvent du soi-disant "petit coeur qui bat" qu’on leur fait écouter, sans leur demander leur avis, au moment d’une échographie. Il arrive aussi régulièrement que des structures refusent de prendre en charge des femmes sans papier ou étrangères, et qu’on leur demande de payer en amont l’IVG – pourtant, elle est considérée comme un "soin urgent".

    Nous recevons aussi des femmes à qui l’on a dit que l’IVG médicamenteuse ne fonctionnerait pas en raison de leur poids, ou qu’elles doivent revenir avec leur conjoint… Il s’agirait d’un choix à faire à deux ! Les jeunes filles mineures nous disent parfois que leur anonymat n’a pas pu être préservé car une facture est arrivée à la maison, ou que leur avortement avait été conditionné à la pause d’un implant pendant l’intervention.

    Pendant l’été, la continuité du service public n’est pas toujours assurée en raison du manque de professionnel.le.s. Cela amène des femmes sur certains territoires notamment en zones rurales, à parcourir de longues distances pour avorter. Dans le Loiret, des femmes devront aller avorter dans un autre département cet été. Un hôpital en Ardèche n’assure plus les IVG en ce moment même. Par mesure d’économies, la restructuration de services conduit à ce que des centres IVG dédiés, avec des professionnel.le.s. formé.e.s et volontaires pour accueillir les femmes dans de bonnes conditions, se voient obligés de se regrouper avec d’autres services (de chirurgie ou ambulatoires ou de maternités).

    D’autres freins à l’accès à l’IVG viennent des anti-choix : la première source d’information est Internet, et ceux-ci sont très présents pour délivrer de fausses informations, sous couvert de sites se faisant passer pour “officiels” : les femmes qui les ont eus au téléphone se disent choquées de leurs propos, et de leur manière de leur imposer de changer d’avis sur l’avortement. Il faut lutter tous les jours contre cette désinformation et mieux faire connaître les sites pro-choix, et s’appuyer sur le nouveau délit d’entrave à l’IVG étendu à Internet.

    L’avortement est un acte courant de la vie des femmes : une sur trois y aura recours au cours de sa vie. Alors oui, on a encore à se mobiliser en France pour que l’avortement devienne réellement un droit effectif pour toutes les femmes, quelle que soit leur situation sociale et économique, pour que l’avortement soit vraiment considéré comme une priorité de service public, au même titre que d’autres soins, pour que l’information soit accessible partout et facilement. Nous exigeons que le droit fragile des femmes à disposer de leur corps soit effectivement appliqué pour toutes."

    A côté de ce discours idéologique, il existe des témoignages poignants de femmes que l'on a forcé à avorter. Nombreuses. Pour celles-là, le Planning familial n'a que mépris.

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  • Les technocrates ne changent pas

    6a00d8341c715453ef022ad39eb71a200b-320wi.jpgCe 3 juillet, les 550 délégués du Medef ont désigné le successeur de Pierre Gattaz. Une fois de plus la grosse presse unanime s'était engouffrée, depuis plusieurs jours, dans le recours, pour désigner son rôle, à une appellation vide de sens. Elle invite à voir dans le président de ce mouvement, car tel est le nom du Medef, le patron des patrons[1]. Rappelons qu'en réalité, il ne s'agit que du porte-parole de la plus grosse organisation représentative des entreprises, ne répercutant que les opinions de ses adhérents.

    Or, en cette occasion, sur RTL, François Lenglet gratifia de son propre commentaire les auditeurs de ce qui se veut la première radio de France. Habituellement, les chroniques relativement vivantes de ce commentateur agréé, sans doute talentueux mais légèrement arrogant, présentent une des rares fenêtres d'évocation des débats économiques offertes à un grand public désinformé.

    Et, ce matin-là, sans aucun lien réel avec l'événement du jour, il crut nécessaire de faire l'apologie de celui qu'il désigne pour un précurseur en la personne d'Auguste Detœuf (1883-1947).

    Le chroniqueur saluait en lui "un grand patron de l'entre-deux-guerres".

    Detœuf avait en effet fondé Alsthom, en 1928, qui donnera aussi naissance à Alcatel, l'ex-champion français des télécoms. Deux entreprises aujourd'hui en déconfiture après avoir eu leur heure de gloire.

    Detœuf faisait surtout figure de pilier du fameux centre polytechnicien d'études économiques, le groupe X-Crise.

    Il s'agit en fait d'un penseur et d'un praticien de ce qu'on appelle couramment la technocratie. À partir de la constitution du gouvernement Darlan en 1941, et, pendant quelques années, on en assimila le règne à une forme de synarchie, que les historiens actuels jugent en général quelque peu mythique[2].

    Detœuf penseur avait cru pouvoir prononcer comme un éloge funèbre des libertés économiques, supposant acquis leur acte de décès. Il prononça dans ce sens une conférence du 1er mai 1936 intitulée : "La fin du libéralisme". Lenglet reprend cette rhétorique à son compte. Et il conseille au nouveau président du Medef de s'en inspirer.

    "Le libéralisme a fait merveille", par le passé, mais, poursuit-il, "le libéralisme nous a donné de bien mauvaises habitudes. Il a sanctifié l'égoïsme. En bénissant le succès personnel, comme l'élément unique et nécessaire du bien-être général, il a détruit la notion de bien-être social".

    Detœuf, au contraire de l'idée fausse qu'il attribue au libéralisme, adhère à l'idée d'un étatisme à la fois rationnel et "sacrificiel". La convergence des monopoles sauvera, pensent les réseaux de technocrates, l'industrie française.

    Leur théorie repose à la fois sur l'idée d'un État "neutre"habilité à un tel titre à arbitrer la lutte des classes et sur l'illusion de son rôle de "stratège".

    Leur pratique, à partir de l'époque du front populaire et de la création de la SNCF en 1937, sera celle de l'étatisation, puis, à partir de 1945, de la planification appelée des vœux des divers courants d'idées dominants de la décennie 1936-1946, curant fortement représentés à Vichy.

    Or, si la France a entrepris un redressement économique salutaire, en particulier dans les premières années de la Cinquième république, elle ne le doit certainement ni aux théoriciens et ni aux praticiens de la technocratie.

    Ceux-ci ont effectivement colonisé à leur profit les allées du pouvoir et les conseils d'administration. Depuis un demi-siècle , ils ont mis en place un véritable capitalisme de connivence, dont les dirigeants polytechniciens de Alsthom comptèrent longtemps parmi les plus ardents représentants, avant de sombrer.

    Aujourd'hui, succédant aux disciples polytechniciens de l'Utopie saint-simonienne, est venu plutôt le temps des esprits ultra-conformistes. Recrutés et formatés au sein de l'École nationale d'administration, ils donnent le ton et servent de caisse de résonance de la pensée unique[3].

    En face des technocrates et des continuateurs de l'orientation prise par X-Crise, dans les années 1930, c'est au contraire leur adversaire le plus déterminé, c'est Jacques Rueff (1896-1978) qui exerça une influence majeure dans les réformes économiques positives réalisées en France à partir de 1958, particulièrement pendant la période (trop courte) où Antoine Pinay fut ministre des Finances du général De Gaulle, lui-même ouvertement admirateur de Rueff.

    Dès 1934, Jacques Rueff avait répondu par avance à Detœuf et à la majorité de ses condisciples osant expliquer "Pourquoi je reste libéral"[4]. En 1949, alors que l'influence du Commissariat Général au Plan battait son plein, il avait publié une remarquable "Épître aux dirigistes"[5]Il bataillera plus encore contre les fausses équations monétaires de Keynes. On présenta, jusqu'aux années 1970, les combinaisons d'erreurs keynésiennes comme l'unique alternative tolérée au quasi-monopole des idées de Marx. Démonétisées un temps, elles ont repris de leur superbe avec l'arrivée de Mario Draghi et des enfants chéris de Goldmann Sachs, en 2011, à la tête de la Banque centrale européenne.

    Non cette faune technocratique ne sauvera pas plus la France qu'elle ne construira l'unité de ce qu'elle appelle l'Europe.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] Le nouveau président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux est présenté de manière assez dithyrambique in La Croix du 4 juillet.
    [2] Lire à ce sujet Olivier Dard La Synarchie, Le mythe du complot permanent, Perrin, coll. Terre d'Histoire 1998, Tempus, 2012, 408 pages, publié en réponse à divers ouvrages écrits par des auteurs de tendances très différentes (Roger Husson alias Geoffroy de Charnay, Henry Coston, Jean Cottereau, Jean Saunier, Henri Azeau et André Ulmann, Roger Mennevée, Pierre Virion etc) mais convergents sur ce point, car accréditant tous l'assimilation de la technocratie à l'idée de Synarchie telle que rêvée par Saint-Yves d'Alveydre.
    [3] cf. à ce sujet l'article édifiant de Hadrien Mathoux dans Marianne du 2 juillet : "Le jury de l'ENA décrit des candidats moutonniers, incapables de penser par eux-mêmes."
    [4] titre de sa conférence donnée le 8 mai 1934 dans le cadre de X-Crise.br />[5] ed. Gallimard, 1949, 124 pages.

    http://www.insolent.fr/

  • La mosquée de Poitiers, financée par le Qatar, porte le nom arabe de la bataille de Poitiers

    6a00d83451619c69e2022ad37ed771200d-250wi.jpgC'est sur cette mosquée, encore en construction, que des membres de Génération Identitaire étaient monté.

    Dans une vidéo en arabe, sur la chaîne qatarie Al Rayyan, en 2015, Boubaker Al-Hadj Amor, figure de l’UOIF, révèle le vrai nom de la “Grande Mosquée de Poitiers” : Balat al-Chouhada... le nom islamique de la bataille de Poitiers en 732 !

    « Pourquoi avez-vous nommé cette mosquée “Pavé des Martyrs”? L’avez-vous appelé du nom de la bataille qui a eu lieu ici ? »

    « Oui, grâce à Dieu, cet endroit est sur la ligne principale passée par l’armée islamique. C’était une route pavée par les Romains, et l’armée islamique est passée par cette route. Alors, grâce à Dieu, cet endroit est à côté de la ligne principale. C’est pour cela qu’on l’a nommée “Mosquée Pavé des Martyrs” ».

    La « bataille du Pavé des Martyrs », comme la désignent les historiens arabes, ou bataille de Poitiers, a vu la victoire en 732 de Charles Martel sur l’armée d’Abd er-Rahman, signant la fin des incursions musulmanes au nord des Pyrénées, et préparant la Reconquista au sud.

    « Nous voulons que ce centre soit une mosquée et un centre de rayonnement culturel ». « Le but de ce centre est de créer les conditions d’une rencontre avec l’islam et parler de cette religion sainte et pour qu’il soit un centre de prédication. Inch’Allah. »

    L’imam de Poitiers admet aussi avoir bénéficié de fonds étrangers pour poursuivre la construction de la mosquée, interrompue plusieurs années durant en raison d’un manque de financement par les fidèles locaux.

    « Ce que nous avons construit, c’est grâce à Dieu et avec l’aide de l’organisation “Qatar Charity” ».

    La Qatar Charity a pour objectif de favoriser le prosélytisme religieux, notamment en Afrique, et soutient soutient dans le monde entier des projets de mosquées, d’écoles coraniques et d’instituts de mémorisation du Coran. Qatar Charity a été accusée par les Etats-Unis, Israel et plusieurs pays du Golfe de soutenir le terrorisme. Oussama Ben Laden a utilisé l’organisation pour financer les activités de sa nébuleuse Al-Qaida dans les années 90. Des groupes djihadistes au sein de l'opposition syrienne ont aussi bénéficié de son soutien.  

    L’imam de Poitiers évoque aussi soutien du maire PS :

    « Bien sûr, le maire, grâce à Dieu, est mon collègue à l’université. Il a encouragé la construction de ce centre, et nous avons pu, grâce à Dieu, obtenir la licence. Le problème est que la licence est de dix ans et a expiré en 2013. Mais, grâce à la relation de fraternité et d’amitié entre le maire et moi, il m’incite toujours à accélérer l’achèvement du projet. Que Dieu nous bénisse. Inch'Allah. »

    Son successeur socialiste Alain Claeys faisait lui partie des personnalités, qui ont soutenu l’imam et ses fidèles à la suite de l’occupation, en 2012, du chantier de la mosquée par des membres de Génération identitaire. 

    Boubaker El-Hadj Amor est le grand architecte du projet de la Grande mosquée, bâtie sur un terrain de 7 000 m2 et dotée d’une salle de prière pour 700 fidèles et d’un minaret haut de 22 mètres, pour un coût global de plus de 3 million d’euros. Cet ingénieur a mobilisé tous les réseaux de l’union islamiste, vitrine légale des Frères musulmans en France, pour participer à son financement. Son argument pour les convaincre :

    « J'ai fait valoir l'histoire de Poitiers. Un lieu de culte et de paix sur les ruines de la bataille de 732 : tout un symbole ».

    Mais ce sont les Identitaires qui sont condamnés par les collaborateurs de l'envahisseur.

    Michel Janva

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  • La croisade anti-gender des vrais écologistes

    decroissance-antigender-juin2014.jpgLes écologistes « officiels », ceux d’Europe-Ecologie Les Verts, les Barbara Pompili et autres Cécile Duflot, sont à la pointe de tous les combats pour la destruction de l’humanité. PMA et GPA, enseignement du gender, libéralisation totale de l’immigration, etc. Et c’est sans compter l’histoire des Verts allemands avec la pédophilie… 
    Mais les vrais écologistes, aussi différents des écologistes d’Etat que le pays réel l’est du pays légal, sont de furieux opposants aux offensives libertaires des Cohn-Bendistes. Au nom de l’écologie justement, la vraie ! 
    En janvier, à propos de l’adoption plénière et de la suppression légale de la filiation biologique, le rédacteur en chef de L’Ecologiste Thierry Jacaud condamne « un mensonge anthropologique officiel incroyable dont on imagine aisément les ravages sur les enfants ». Il voit dans les projets du gouvernement « une négation sidérante de la nature, l’aboutissement consternant de notre société industrielle qui détruit la nature non seulement dans la réalité mais aussi dans les esprits »
    En mars, mêmes critiques radicales dans La Décroissance contre la « puissance de la technoscience » et « la folie du “droit à” ». En juin, La Décroissance publie une bande-dessinée qui ridiculise les libertaires (« Appelez moi Mondame ! Il n’y a plus de “il” et de “elle” mais un “ille”. Tout doit être neutre ! Le sexe c’est nul ! C’est mal ! Beuurk ! ») et leur terrorisme de la pensée. C’est d’anthologie. Et la conclusion est magistrale… 
    Selon le rédacteur en chef Vincent Cheynet, « la déconstruction culturelle, notamment des représentations sexuelles, est l’identité et la locomotive de la gauche ». Or, « la casse des identités, à commencer par la première d’entre elles, l’identité sexuelle, livre la personne en position de proie idéale au marché » (page 5). 
    Dans L’Ecologiste (avril-mai-juin 2014), Cheynet montre que « l’idéologie des genders est l’ultime produit du libéralisme »« il est très logique que le système médiatique à la botte des intérêts de la mégamachine ait pris fait et cause pour elle ». Il renverse les accusations habituelles des pro-gender : « Si la “réaction” consiste à refuser l’apport de la science pour céder à une approche émotive, affective et archaïque, on peut alors considérer les tenants des “gender studies” comme de véritables réactionnaires ». Son interrogation finale se passe de réponse : « Le Meilleur des mondes avance-t-il aussi masqué sous les trais de l’écologie libérale-libertaire ? » 
    En 1980, dans Le Feu vert, Bernard Charbonneau (1910-1996), grand penseur écologiste, dénonce les tares de son courant de pensée avec un rare courage pour l’un de ses fondateurs. « En niant la différence [homme-femme] (…), obéit-on à une passion de liberté et d’égalité ou au contraire est-on dupe du développement d’une société qui devient une vaste fabrique d’ersatz standardisés ? » À propos de la « condamnation de la famille »« chez les écologistes, elle a lieu en général sans débat, ceux qui ne sont pas d’accord se contentent de se taire »
    Les anti-gender de droite et les catholiques trouveront dans les arguments écologistes une critique radicale de l’indifférentisme sexuel de la gauche. « Radicale », c’est-à-dire qui attaque le problème à la racine : le libéralisme, dont les deux discours, l’un économique (revendiqué à droite par ignorance du sens du mot « libéral »), l’autre culturel (celui de la gauche), ne sont que les deux faces d’une même pièce. Si les anti-gender de droite et les catholiques n’intègrent pas cette critique écologiste à leurs réflexions, leur combat est d’ores et déjà perdu, condamné à apparaître comme une réaction épidermique, un « Non ! » stérile et isolé de tout projet politique plus vaste de ré-enracinement de l’homme. Car l’indifférentisme sexuel de la gauche n’est que l’une des flammes du brasier mondialiste qui veut réduire en cendres toutes les différences : sexuelle, ethno-culturelle et politique. 
     

  • Le prétendu "complot de l'ultra droite" : les suspects remis en liberté

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    Le chef de file présumé d'un groupe d'"ultradroite", dont les autorités redoutaient "un passage à l'acte violent" contre des musulmans, a finalement été remis en liberté (sous contrôle judiciaire) tout comme un autre suspect. Une fois de plus, nous avons donc là une affaire qui accouche d'un pêt de lapin.

    Le "terrible groupe" intitulé "Action des forces opérationnelles" (AFO), dont personne dans notre milieu n'avait jamais entendu parler jusqu'aux arrestations ultra-médiatisées, il y a quelques jours, de ses membres présumés est donc hors d'état de nuire aux Système.  Ouf ! Les bobos peuvent partir en vacances tranquillisés...  

    En fait de "dangereux groupe terroriste", il s'agissait de neuf hommes et d'une femme, âgés de 32 à 69 ans, dispersés dans toute la France, auxquels on prêtait l'ambition de lutter les armes à la main contre l'islamisation de notre pays. Pour confirmer sa thèse, le Pouvoir s'appuyait sur quelques armes (anciennes pour la plupart) retrouvées, fort opportunément, chez quelques-uns des suspects. Rien que du classique... 

    Evidemment, après ces arrestations, des responsables religieux et associatifs musulmans en France avaient exprimé leur "profonde préoccupation".

    Il serait peut-être temps d'arrêter de délirer sur ces prétendus complots terroristes d'extrême droite. Chacun sait que la réalité est toute autre. Depuis trois ans les vrais terroristes, ceux qui tuent vraiment, ne sont pas bretons, ni poitevins, ni berrichons. Il n'y pas besoin d'être un fin limier pour s'en rendre compte. Et même si parfois certains illuminés de chez nous se répandent de manière débile sur les réseaux sociaux, cela ne justifie en rien l'arrestation arbitraire de patriotes sincères...  

    La vérité, c'est que pendant que l'on s'égosille sur un prétendu "terrorisme" nationaliste, on laisse s'installer en France des hordes de vrais terroristes islamistes qui un jour ou l'autre, eux, n'hésiteront pas à passer à l'acte comme ils l'ont d'ailleurs déjà fait à plusieurs reprises. Et cela, ce n'est pas du bidon... Hélas.

    Synthèse nationale

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La transition électrique va coûter cher aux Français !

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    Le débat public sur la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) vient de se terminer le 30 juin 2018. Il s’appuiera sur les cinq scénarios publiés par RTE (Réseau de Transport d’Électricité). Ces derniers prévoient de diminuer la part du nucléaire de 75% à 50% dans le mix électrique français sans évoquer le coût pour les citoyens.
    Une étude indépendante de l’association Sauvons le Climat estime que le coût supplémentaire sera annuellement de 350 euros à 850 euros pour chaque foyer français.

    Chaque foyer français paie déjà en moyenne un surcoût de 154 € par an sur sa facture d’électricité (par la contribution « CSPE ») pour financer principalement les producteurs d’électricité éolienne et photovoltaïque.

    Ces dépenses considérables des Français n’auront même pas d’influence sur leurs émissions de CO2.

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  • Macron dépassé par la Hongrie d’Orban, par Ivan Rioufol

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    Le sol se dérobe sous Emmanuel Macron et Angela Merkel. Leurs voix ne portent plus, à force de rester dans l’entre-soi des encouragements mutuels. La chancelière est, ce lundi, à la merci de son ministre de l’intérieur, Horst Seehofer (CSU) : il menace de faire éclater l’alliance historique (1949) avec la CDU s’il n’obtient pas d’ici mercredi des engagements sur un revirement de la politique migratoire. Lors de l’émouvant hommage rendu, dimanche, à Simone Veil avant son entrée au Panthéon avec son mari Antoine, le président a évoqué “les vents mauvais (qui) à nouveau se lèvent”. Macron visait-là les mouvements populistes.

    Or, ce sont eux qui résistent au nouvel antisémitisme porté par l’islam politique en Europe. La “France des collabos”, évoquée par Macron pour se réhausser, est aujourd’hui celle qui se tait ou pactise devant la “peste verte”. Dans une note confidentielle écrite il y a deux semaines, l’ambassadeur de France en Hongrie, Eric Fournier, a fustigé “la presse française et anglosaxonne” : le diplomate soupçonne les médias, qui accusent la Hongrie d’antisémitisme, de vouloir détourner l’attention du “véritable antisémitisme moderne”, celui des “musulmans de France et d’Allemagne”. Pour avoir osé écrire cette vérité interdite, l’ambassadeur a été limogé samedi par Macron. Parlant de Orban le 15 avril lors d’un entretien télévisé, le chef de l’Etat avait déjà dit : “Je ne partage rien de ses valeurs”. Mais c’est le premier ministre hongrois qui trouve, de plus en plus, l’écoute de ceux qui s’inquiètent de leur survie dans un monde ouvert et relativiste.

    Le 15 mars, Orban a déclaré ceci, en désignant Bruxelles et les mondialistes : “Ils veulent qu’en quelques décennies, de notre propre gré, nous donnions notre pays à d’autres : des étrangers venus d’autres coins du monde, qui ne parlent pas notre langue, ne respectent pas notre culture, nos lois ni nos modes de vie, qui veulent remplacer les nôtres par les leurs (…) Bruxelles ne défend pas l’Europe (…) Nous avons renvoyé le sultan et ses janissaires, nous avons renvoyé l’Empereur Habsbourg et ses soldats, les Soviets et leurs camarades et maintenant nous allons renvoyer George Soros et ses réseaux. Nous lui demandons de retourner en Amérique“.

    Au prétexte que Soros est Juif, le procès en antisémitisme est ouvert contre Orban par ceux qui ne veulent surtout pas l’entendre. Or c’est Orban qui, en avril dernier, a déclaré à l’adresse de Benyamin Netanyahou, premier ministre d’Israël et soutien du Hongrois : “La Hongrie fera preuve de tolérance zéro contre l’antisémitisme (…) La Hongrie a commis un crime durant la seconde guerre mondiale en échouant à protéger les Juifs, mais cela n’arrivera plus”. En considérant la Hongrie comme un “modèle” dans sa “gestion des mouvements migratoires illégaux”, l’ambassadeur Fournier n’a certes pas craint d’aller à contre-courant du récit macronien. La réponse brutale du chef de l’Etat est conforme à ce qu’il a déjà montré de son autoritarisme mal venu. Mais c’est lui, Macron, qui est en train de perdre pied.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 2 juillet 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Angela Merkel veut refouler des immigrés vers l’Autriche alors qu’il faudrait les renvoyer hors d’Europe

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    Face à la pression de l’aile la plus à droite de sa coalition gouvernementale qui menaçait de claquer la porte, la chancelière allemande Angela Merkel aurait accepté lundi soir de clore définitivement sa politique migratoire généreuse de 2015-2016, lorsque son pays avait accueilli 1,2 million de demandeurs d’asile.

    Le compromis trouvé après des semaines de conflit, menaçant l’avenir politique d’Angela Merkel, ne prévoit pas de remigration vers le pays d’origine mais de renvoyer les demandeurs d’asile déjà enregistrés ailleurs dans l’UE vers le pays d’entrée et à défaut de les refouler vers… l’Autriche voisine, gouvernée par une coalition hostile à l’immigration.

    « A aucun moment nous n’avons été consultés« , s’est agacée au Luxembourg la chef de la diplomatie autrichienne, Karin Kneissl, selon des propos rapportés par la presse autrichienne.

    Par communiqué, le gouvernement autrichien s’est dit « prêt à prendre des mesures pour protéger » ses « frontières sud en particulier« , avec l’Italie et la Slovénie, pour faire la même chose que l’Allemagne.

    Les concessions octroyées par Angela Merkel sous la pression de sa droite dure pourraient bien remettre en cause les grands principes du tout récent sommet de l’UE sur les migrants: promesse de privilégier des solutions européennes face aux tentations nationales et aide à l’Italie..

    http://www.medias-presse.info/angela-merkel-veut-refouler-des-immigres-vers-lautriche-alors-quil-faudrait-les-renvoyer-hors-deurope/94157/

  • Guérilla urbaine à Nantes

    6a00d83451619c69e2022ad37e69a9200d-250wi.jpgAprès la mort d’un délinquant lors d’une interpellation, la ville de Nantes a connu de violentes échauffourées. Une guérilla urbaine qui rappelle les émeutes de Villiers-le-Bel et qui pourrait bien contaminer toutes les banlieues françaises qui n’attendent qu’une étincelle pour mettre le feu.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html