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  • Du prétendu antiracisme à l’idéologie totalitaire. Le terrorisme intellectuel existe bien en France. Entretien avec Maître Jérôme Triomphe

    Avec Armel Joubert des Ouches 
    Mardi 13 mars 2017, Me Jérôme Triomphe, avocat au barreau de Paris, était l’invité de l’association « Mémoire du futur » à Rennes. Devant plus de 150 personnes, il a donné une conférence sur le thème « Du prétendu antiracisme à l’idéologie totalitaire ». S’il existe une sorte d’urgence à évoquer ce thème, c’est en raison de l’actualité et notamment la condamnation, en décembre dernier, des Identitaires qui, à Poitiers, avaient occupé le chantier d’une mosquée avant d’étendre leur banderole au sommet d’un bâtiment. Damien Rieu était porte-parole de Génération Identitaires. Directeur de la communication à la mairie de Beaucaire, il a été, comme cinq autres militants, condamné à un an de prison avec sursis et 40 000 euros d’amende.

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  • PHILIPPE VARDON : CHRISTIAN ESTROSI REJOINT DANS L’OUTRANCE ET LA CARICATURE JEAN-LUC MÉLENCHON

    Réagissant aux violences perpétrées le 1er mai à Paris, Christian Estrosi a dénoncé « la montée des populismes & nationalismes »… Philippe Vardon lui répond au micro de boulevard Voltaire.

    http://www.bvoltaire.fr/christian-estrosi-rejoint-loutrance-caricature-jean-luc-melenchon/

  • Réforme des Institutions : le Parlement roule pour lui-même

    2863492456_1f57e99d2f_z.jpgUne république du parlement, morte depuis 1958 fait semblant d’exister encore face à la république du président et c’est à ce jeu stupide et hypocrites que jouent les parlementaire lorsqu’ils critiquent la réforme macronnienne.

    L’opposition suscitée par le projet de révision constitutionnelle provoque donc de fortes réactions négatives des oppositions, des parlementaires et de tous les caciques républicains qui souhaitent un jour obtenir leur par du gâteau. Nous devons nous réjouir de cela. En effet, quel plaisir pour nous de voir ces gens qui pour certains profitent de budgets publics depuis des années sans jamais agir fortement pour la République (au sens du bien commun), être prêt à retourner ciel et terre pour maintenir leurs avantages et leurs privilèges illégitimes.

    Le Sénat, une institution qui par son seul nom devrait inspirer le respect le plus profond et être composé de la meilleure part du genre humain n’est qu’un conglomérat de vieillards somnolents qui prétendent défendre « les territoires», mais qui défendent surtout leur dortoir doré. Ces gens qui ne représentent ni le peuple, ni les provinces mais seulement les intérêts des élus se veulent indispensables, mais qu’ont-ils fait pour ce qu’ils appellent démocratie depuis 1958 ou même 1870 ? Dans les moments les plus difficiles, ils ont abandonné le peuple et la patrie, lorsque des tentatives de réformes institutionnelles intelligentes ou justes ont été proposées, ils les ont combattues, y compris celles qui étaient les plus en accords avec les principes démocratiques. Et maintenant, les voilà qui pleurent sur la perte de l’influence de leur gérousie ?

    Et comment critiquent-ils Macron ? Par des comparaisons déplacées avec la monarchie :« Macron c’est le Roi Soleil » selon le député communiste Chassaigne. Qu’un Stalinien fidèle à l’étendard aussi rouge que le sang des 100 millions de victimes de son idéologie mortifère puisse imaginer que ce serait une insulte, cela montre bien à quel point ces gens là se moquent du peuple et méconnaissent l’Histoire de notre patrie. D’autres voient dans la politique de Macron un « néobonapartisme », là encore on veut se servir de l’Histoire pour insulter d’une manière parfaitement ridicule et on refuse de voir que le présidentialisme est là depuis l’origine de la Ve.

    Rappelons ces mots de M. Macron : « La démocratie comporte toujours une forme d'incomplétude, car elle ne se suffit pas à elle-même.  Il y a dans le processus démocratique et dans son fonctionnement un absent. Dans la politique française, cet absent est la figure du roi, dont je pense fondamentalement que le peuple français n'a pas voulu la mort. La Terreur a creusé un vide émotionnel, imaginaire, collectif : le roi n'est plus là ! On a essayé ensuite de réinvestir ce vide, d'y placer d'autres figures : ce sont les moments napoléonien et gaulliste, notamment. Le reste du temps, la démocratie française ne remplit pas l'espace. On le voit bien avec l'interrogation permanente sur la figure présidentielle, qui vaut depuis le départ du général de Gaulle. Après lui, la normalisation de la figure présidentielle a réinstallé un siège vide au coeur de la vie politique. Pourtant, ce qu'on attend du président de la République, c'est qu'il occupe cette fonction. Tout s'est construit sur ce malentendu. » Alors, si vous étiez honnête dans cette confession, soyez un bon néobonapartiste M. le Président et au sujet de ces parlementaires abusifs, reprenez le célèbre mot de Murat au lendemain du 18 brumaire lorsque les députés des Cinq-Cent et des Anciens refusaient de voter le passage au Consulat : « Foutez-moi tout ce monde-là dehors ! »

    http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/politique/2638-reforme-des-institutions-le-parlement-roule-pour-lui-meme

  • Bagnolet tenu par la drogue, par Caroline Parmentier

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    9105-20180504.jpgTrois semaines de violences, trois blessés par balle, des dizaines de voitures incendiées dans des règlements de comptes liés au point de « deal » de la Capsulerie, l’un des principaux de la Seine-Saint-Denis. Le maire socialiste ainsi que le député de la France Insoumise Alexis Corbière appellent l’Etat à l’aide et réclame des renforts de police.

    « 308 Noire CD », « Mondéo Bleu nuit EC »… à l’entrée de la cité, un aide-mémoire pour les guetteurs, tagué sur les murs, recense les plaques des voitures de police. Les habitants des immeubles qui s’aventurent encore dans le coin sont contrôlés et fouillés par… les dealers. Vous êtes à la Capsulerie, à Bagnolet. A deux stations de métro de Paris. Le quartier est tenu en coupes réglées par les trafiquants de drogue.

    L’escalade de la violence et de l’impunité inquiète les élus et les habitants, qui supplient les autorités d’agir avant qu’il n’y ait un « mort » ou une « balle perdue ». « Je n’ai pas le souvenir d’avoir connu une telle situation dans notre ville », déclare le maire en évoquant la « guerre de territoires » entre trafiquants.
    La France Insoumise aime la police quand ça l’arrange.

    Le point de drogue de la Capsulerie est connu depuis des années pourtant pour être le Pôle emploi de la cité. Les « blédards » qui dirigent les trafics emploient des rabatteurs, souvent mineurs, qui guident les consommateurs du métro jusqu’au « Plan », le point de vente de la Capsulerie. Pendant ce temps les guetteurs surveillent et les ravitailleurs réapprovisionnent le trafic. Certains sont même chargés d’apporter des rafraîchissements l’été ou des boissons chaudes l’hiver. Toute une petite entreprise qui tourne à flux tendu et emploie des milliers de jeunes en majorité issus de l’immigration âgés de 16 ans à 24 ans, au pied des barres d’immeubles.

    Brusquement Alexis Corbière, nouveau député du 93, généralement plus enclin à soutenir les antifas et à considérer qu’« un bon flic est un flic mort », déplore une « présence policière insuffisante », et « un seul commissariat subdivisionnaire dans la ville ». Il réclame l’ouverture de commissariats permanents et des renforts sécuritaires… La France Insoumise aime la police quand ça l’arrange. Ses représentants qui demandent aujourd’hui à être protégés contre le banditisme communautariste, sont les mêmes qui ont longuement travaillé et qui continuent à travailler à son implantation.

    Tony Di Martino et Alexis Corbière ont demandé une audience au ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, pour « lui montrer l’étendue de la situation » et des violences des dernières semaines, trois jours après la remise au gouvernement du rapport Borloo promettant de nouveaux milliards pour les banlieues. Les élus de Seine-Saint-Denis ne sont pas les seuls dans cette situation. Stéphane Gatignon, maire de la commune de Sevran, avait démissionné le 27 mars, « usé » par le mépris de l’Etat. Depuis, les maires de plus d’une dizaine de villes, de Grigny (Essonne) à Vaulx-en-Velin (banlieue de Lyon), en passant par Roubaix (Nord) ou Allonnes (Sarthe), dénoncent à l’unisson un « abandon de l’Etat ».

    Commençons par faire cesser les trafics et par rétablir l’Etat de droit. Ensuite on pourra discuter d’y allouer plus de moyens !

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 30 avril 2018

    https://fr.novopress.info/210657/bagnolet-tenu-par-la-drogue-par-caroline-parmentier/

  • La victoire des Black Blocs - Journal du Mercredi 02 Mai 2018

  • Goldman Sachs s’interroge sur la viabilité économique de la guérison (trop ?) rapide des maladies

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    Avis aux laboratoires pharmaceutique : il serait temps de réfléchir à la viabilité économique de remèdes obtenant trop rapidement la guérison des maladies. C’est en tout cas ce qu’a voulu faire Goldman Sachs en adressant en avril un rapport à ses clients à propos de ce casse-tête éthique : les solutions thérapeutiques reposant sur l’intervention sur les gènes posent un réel problème financier. Les « soins one shot », consistant à réparer des gènes défectueux, pourraient représenter une difficulté pour certains « développeurs de médicaments à la recherche d’un cash-flow continu ».

    Le docteur Knock y avait certes réfléchi avant le monde de la haute finance : il avait même poussé le raffinement plus loin en créant des malades de toutes pièces, clientèle captive pour ses consultations à répétition et ses onéreuses potions. Mais le principe, tout fabricant de statines, d’antidépresseurs et autres petites pilules à avaler à vie le connaît et l’applique… Comme l’abonnement de téléphonie mobile, la cure de longue durée est une rente de situation.

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  • Le nouveau régime libre-échangiste

    Par  Mathieu Bock-Côté 

    Ce que Mathieu Bock-Côté écrit ici dans son blogue du Journal de Montréal [ 26.04] nous paraît de première importance, plus, peut-être, que jamais. Il s'agit d'une recension d'un ouvrage de Simon-Pierre Savard-Tremblay qui s'intitule Despotisme sans frontières, qui vient de paraître et dont le titre dit presque toutMathieu Bock-Côté en fait une remarquable synthèse, juste, forte et savamment équilibrée. Nous n'y ajouterons presque rien. Il faut la lire. Nous aussi avons écrit que le libre-échange des biens, des hommes et des idées, qui date de la nuit des temps, doit se régler selon les circonstances, les époques et les lieux. En fonction des biens-communs particuliers des peuples et des Etats. Mais il devient despotique et destructeur lorsqu'il se mue en idéologie ou prétend s'imposer comme dogme universel. Il nous semble que c'est ce que démontre ici brillamment Mathieu Bock-Côté. Et cela est important parce qu'il s'agit de notre destin et même de notre survie.   LFAR   

    Il est courant, aujourd’hui d’affirmer que la mondialisation est en crise et que son système s’est profondément déréglé. L’heure est à la révolte contre la mondialisation, et elle s’exprime de nombreuses manières, comme on l’a vu avec le référendum grec contre l’austérité, la résistance wallonne contre le CETA, la victoire du Brexit ou l’élection de Donald Trump. Cette révolte est à la fois portée par la gauche et par la droite, si ces catégories veulent encore dire quelque chose dans les circonstances. Mais contre quoi se révolte-t-on, exactement? Contre un mouvement historique irrépressible, condamnant cette révolte à n’être qu’un baroud d’honneur? Ou contre un régime politique qui ne dit pas son nom mais qui s’est mis en place sur une cinquantaine d’années et qui a transformé radicalement notre rapport au monde ?

    C’est à cette question que Simon-Pierre Savard-Tremblay a cherché à répondre dans Despotisme sans frontières, un très intéressant opuscule qu’il vient de faire paraître chez VLB. Et sa réponse est claire: la mondialisation telle que nous la connaissons est un régime qu’il faut nommer comme tel et combattre comme tel. C’est-à-dire que la mondialisation s’est installée au fil des décennies à coup d’accords internationaux de plus en plus secrets et de plus en plus contraignants, généralement au nom de l’idéal d’un libre-échange globalisé, qui serait l’expression naturelle et bienheureuse de l’humanité enfin délivrée du politique, des frontières et des souverainetés, qui diviserait l’humanité contre elle-même et la soumettrait au règne de l’arbitraire. Elle représenterait une mutation du cosmopolitisme le plus radical, prenant le relais, à sa manière, de l’internationalisme prolétarien. Le nouveau régime du libre-échange domestique les États, qui n’ont désormais plus qu’une mission centrale: aménager leur pays de manière à le rendre le plus compatible possible avec les exigences de la mondialisation. En fait, c’est la démocratie qui est domestiquée, puis neutralisée, car condamnée à l’insignifiance. L’État ne gouverne plus: il n’est que gestionnaire.

    Mais SPST insiste : le libre-échange tel qu’on le pratique aujourd’hui n’est pas le libre-échange en soi, qui ne saurait se laisser enfermer dans une définition aussi idéologiquement contraignante. Il y a une différence fondamentale entre favoriser le commerce entre les nations et créer un environnement juridique supranational favorable au règne des corporations, qui consacre en fait l’hégémonie de ces dernières, au point même de leur permettre de poursuivre les États devant les tribunaux lorsqu’ils jugent qu’une politique ou un règlement les empêche de tirer un profit optimal de leurs investissements. Et on ne saurait assimiler au protectionnisme la remise en question du moindre accord de libre-échange, quel qu’il soit. Notre monde ne doit pas choisir entre l’ouverture et la fermeture, comme le prétendent les idéologues mondialistes que notre auteur ne cesse de remettre en question. Les hommes politiques auraient tout avantage à se délivrer de cette propagande qui étouffe la réflexion dans une fausse alternative entre le bien et le mal. On ne saurait assimiler le bien politique à la perspective glaçante du sans-frontiérisme.

    SPST insiste: il ne s’oppose pas au libre-échange en soi mais à une forme de radicalisation du libre-échange qui vise à homogénéiser juridiquement et socialement la planète en programmant la dissolution des États et des nations. «Le «nouveau libre-échange» vise à ce que les pays du monde aient des législations quasi identiques pour que le capital puisse circuler d’un territoire à l’autre en ayant droit au traitement princier» (p.13). Mais à la différence des critiques habituels de la mondialisation, qui basculent tôt ou tard dans une forme de fantasme socialisant, SPST demeure sur terre et pose un objectif politique réaliste: le retour graduel, mais résolu, à l’État-nation, au nom d’un projet qu’il nomme à la suite de plusieurs la démondialisation. Il cherche à nous montrer de quelle manière on pourrait s’y engager et nous rappelle qu’il n’est en rien contraire à une grande coopération entre les peuples. SPST contribue ainsi, notons-le en passant, à une redéfinition nécessaire du souverainisme québécois, pour lui permettre d’entrer dans une nouvelle époque. Les souverainistes ne gagneront rien à toujours vouloir se plier à la définition médiatique de la modernité.

    Cet ouvrage est une belle réussite. La matière en elle-même est extrêmement complexe et SPST parvient à la rendre intelligible en la ramenant vers ce qu’on pourrait appeler les fondamentaux de la science politique: il pose la question du régime, il se demande qui commande, il cherche à identifier les intérêts sociaux qui tirent avantage des institutions, et ceux qui sont laissés dans les marges. En d’autres mots, l’objet de son livre est moins économique que politique, et c’est ce qui fait sa force. Personne ne croit qu’on sortira demain de la mondialisation, et qu’il faille la rejeter en bloc. Mais il s’agit, pour chaque nation, de reconstruire sa souveraineté, de lui redonner de la substance, car elle-seule est garante de la possibilité d’une expérience démocratique authentique. En fait, SPST veut nous convaincre que le nouveau régime du libre-échange s’accompagne d’une civilisation dégradée, qui abime notre humanité, nous déracine et nous condamne à la sécheresse existentielle: celle du consommateur absolu. Il s’agit, pour emprunter ses mots, «de recréer un mode de vie sain qui nous reconnecte à notre humanité» (p.126). Il veut nous convaincre, et nous convainc.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Racisme anti-blanc : Quand la France accueille sur son sol l’organisation d’un colloque international interdit aux blancs

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Du 4 au 6 mai prochain, se tiendra une conférence de portée internationale à Saint-Denis ayant pour thème « l’Internationale décoloniale » et fait incroyable, elle sera interdite aux blancs.

    L’objectif de ce rassemblement raciste et communautariste est de « traiter des questions des non blancs vivant dans le Nord Global». Par « non blancs » entendre africains et asiatiques vivant dans les pays à population de souche blanche telle que les pays Européens et les Etats-Unis.

    Les organisateurs ont une vision racialiste puisqu’ils opposent frontalement la race des blancs qualifiés d’oppresseurs coloniaux et les non- blancs désignés sous l’expression « frères et des sœurs ».

    Pour eux le racisme est partout, enraciné dans « les institutions économiques, sociales, politiques, culturelles ». Plus grave encore, d’après les organisateurs le racisme « se manifeste dans la culture [du pays d’accueil] […] en imposant l’assimilation ».

    Les débats porteront sur la dénonciation de l’Etat policier et sur les rapports entre les communautés noires indigènes, roms, asiatiques et islamiques.

    Parmi les thèmes des conférences, relevons en trois :

    «Racismes intra-communautaires ou comment les combattre et construire une alliance stratégique entre les communautés ? « Vers une nouvelle civilisation : dépasser le paradigme de la modernité » ou encore « Quelles alliances avec la gauche blanche ? ».

    Parmi les intervenants notons la présence de militants racialistes et féministes membres des Blacks Panthers

    Il y aura aussi Rokhaya Diallo, mais plus inquiétant encore, des enseignants français comme Norman Ajari de l’université de Toulouse, Ludivine Bantigny maître des conférences à l’université de Rouen, Ibrahim Bechrouri chargé de cours à Paris 8. Enfin, Houria Bouteldja fondateur du parti des Indigènes de la République et Michèle Sibony membre de l’union juive française interviendront.

    Au-delà de la volonté de débattre de l’oppresseur blanc, il y a un objectif clairement politique :

    Oui le but de sceller une alliance entre les mouvements décoloniaux d’Occident et de « Forger des outils de lutte et de résistance face à la montée des nationalismes suprématistes ».

    Nous sommes là bien loin du vivre du ensemble pacifique, du fantasme du Grand Remplacement et du défi du grand métissage voulu par certains. On touche là les limites de la repentance des Européens, puisqu’il s’agit d’une véritable guerre ouverte contre les populations de race blanche. Si les Européens veulent perdurer, ils n’auront qu’un seul choix : reconnaître, dénoncer et combattre le racisme anti-blanc.

    https://fr.novopress.info/

  • Gouvernants de la République ou Rois de l’esbroufe

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    Bernard Plouvier

    Notre distingué Président et sa souriante épouse voyagent beaucoup. Après tout, pourquoi pas ? Il paraît que les voyages forment la jeunesse. Et si le chef de l’État en profite pour ramasser des commandes qui profitent à l’industrie ou aux services du pays, c’est une excellente chose.

    Notre fringant Président continue les actions de guerre à l’encontre de l’État syrien, débutées par son lamentable prédécesseur. C’est déjà plus gênant. Nul ne sait sur quoi pourrait déboucher l’imbroglio syrien. L’on a déjà connu quelques expériences malheureuses en Libye, en Irak, en Afghanistan. Avant de guerroyer dans un autre continent, sans intérêt ni profit pour l’État français, notre demi-dieu pourrait prendre l’avis du Bon Peuple, qui règle la facture.

    En outre, Superman joue des muscles face à la Russie de Poutine et, là, ça devient sinon inquiétant, du moins grotesque. La colossale puissance militaire russe n’a que faire du moucheron français, qui a bien du mal à tirer une bordée de missiles sans connaître le ridicule de ratés. Alors, Seigneur-Macron pourrait peut-être cesser de se conduire en jeune arrogant et réfléchir quelques secondes à une constante universelle : le sens des proportions.

    À moins que notre sémillant Président n’aboie que sur ordre des affairistes de Wall Street et des faucons (voire de vrais c…) de Washington. Dans ce cas, cela sent fâcheusement la forfaiture. L’Armée française n’est au service que de la seule Nation française. Le Droit constitutionnel n’a que faire de la Finance cosmopolite et de ses ukases. Notre force armée n’est pas un outil de la mondialisation de la vie politique. C’est un « objet régalien », dépendant exclusivement de l’intérêt de la Nation. Pas besoin de sortir d’une grande école pour le savoir : il suffit de jeter un œil sur nos Lois Fondamentales.

    On nous présente le Président, jeune et dynamique, comme « un homme autoritaire ». Excellent ! Après mollasson Ier, ce ne peut être qu’une fort bonne chose. Notre Premier ministre est un boxeur amateur ; encore mieux ! Il ne devrait pas se laisser marcher sur les pieds, comme la Mollasse sus-citée. Certes, le ministre de l’Intérieur est un vieillard chenu, qui tremblote et bafouille parfois, mais il ne doit pas manquer d’éminences grises, maçonniques ou non, pour prendre les décisions à la place de papounet.

    Vient le 1er mai et ses cortèges syndicaux. Et là, on tique derechef. Car l’on voit Paris en proie aux émeutes gaucho-anarcho-mélanchonniennes… à moins que le millionnaire en euros, qui joue les gros bras, ne soit aussi dépassé que nos excellences. Car à l’évidence, personne n’a réagi lorsqu’au cours de la matinée, l’on a signalé deux centaines de cagoulés au milieu des forts-en-gueule syndicaux. Il est évident qu’ils n’avaient pas mis leurs cache-nez et passe-montagne par peur du froid (d’ailleurs, Macron, le roi des Fake News, nous parle en permanence du « réchauffement climatique », donc, pas besoin d’une protection spéciale contre rhumes et autres états viraux).

    Dès la fin de matinée, on savait que deux centaines de voyous étaient là pour casser du flic et des vitrines. Et nul n’a envoyé de renforts de police anti-émeute, ni de camions à eau en grand nombre.

    Alors une question grave se pose. A-t-on affaire à d’authentiques gouvernants ou à des charlots qui donnent des leçons à l’extérieur et font preuve d’une coupable inertie dans leurs devoirs intérieurs ? En clair, Macron and Cy (marque mondiale déposée) serait-elle une simple association d’esbroufeurs ?

    Dans ce cas, effectivement, les gosses de riches qui forment l’essentiel des gaucho-anarcho-trotskistes vont pouvoir rejouer « Mai 68 », soit la farce alcoolo-sexuelle qui a détruit l’État napoléonien et l’a remplacé par la bouillie actuelle. On peut penser ce que l’on veut de Maurice Papon, mais ce grand préfet de police n’était pas le minus Grimaud. Avec un Papon, pas de mai 68. Pour une raison simple : Papon, gaulliste après avoir été pétainiste, avait le sens de l’État.

    Nos excellences actuelles, de quoi ont-elles le sens, pour qui et pour quoi roulent-elles ? Est-ce la politique du laissez-faire & du laissez-passer, la prosternation devant le veau d’or multinational ? Ou bien, est-on en présence d’une équipe décidée à faire appliquer les Lois de la République ? On le saura bientôt.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • ÉOLIEN : DÉTRUIRE LA NATURE POUR PROTÉGER LA NATURE ?

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    Le Lévézou est un haut plateau situé en plein cœur de l’Aveyron. Une terre qui culmine à plus de 1.000 mètres d’altitude. De nombreuses rivières alimentent des barrages hydroélectriques construits dans les années 50. Ces barrages avaient englouti des vallées entières, souvent les meilleures terres, recouvrant quelques hameaux et détruisant des écosystèmes. Mais la production d’électricité était une priorité nationale à l’époque, un projet d’intérêt public.

    Les habitants avaient dû l’accepter et ceux dont les terres avaient été noyées furent indemnisés ou relocalisés. Par ailleurs, de nouvelles activités, touristiques étaient nées grâce à ces lacs.

    Terre ventée, également, ce qui a attiré l’avidité des promoteurs de centrales éoliennes. Dès le début des années 2000, les premiers mâts se sont dressés. Au début, personne ne s’est opposé. Ces éoliennes amenaient des revenus à quelques agriculteurs, des rentrées fiscales aux communes, et l’image de ces machines était positive.

    Mais dès qu’elles furent dressées, les nuisances apparurent. Vrombissement permanent certains jours, effet stroboscopique, malaises peut-être dus aux infrasons, hécatombe d’oiseaux et de chauves-souris, flashs lumineux qui transforment le plateau en boîte de nuit, etc. Surtout, modification profonde du paysage. Aujourd’hui, c’est une centaine de mâts qui se dressent et certains villages, comme Bouloc, sont cernés, installés sur d’autres communes, qui n’en subissent pas les nuisances mais en perçoivent les revenus.

    Mais l’appétit des promoteurs n’est pas rassasiée pour autant et de nouvelles centrales sont en construction. Par exemple à Arques. Pour installer ses machines, le promoteur a décapé une zone humide de 5.000 m2. La police de l’eau appelée pour constater sa présence « omise » par l’étude d’impact est arrivée trop tard. La couche superficielle qui aurait permis de juger de la présence d’une zone à protéger a disparu et la tourbe vendue. Il n’y a pas de petit profit.

    Un peu plus loin, dans la commune de Ségur, les travaux d’une autre centrale nécessiteront de drainer le terrain. La tourbière, vieille de 5.000 ans, située en aval ne serait donc plus alimentée et mourra petit à petit. On attend une réaction de la préfecture pour protéger ce qui peut l’être encore.

    Ces zones humides, on le sait, sont des pièges à carbone. Elles accueillent une faune et une flore endémique exceptionnelle, rare et fragile. Elles ont mis des milliers d’années à se former. Et l’avidité de groupes financiers et industriels, soutenus par l’État, vient les détruire en une journée.

    Au prétexte de lutter contre les gaz à effet de serre, on détruit des zones de stockage de ces gaz, alors même que, lorsqu’elles fonctionnent, ces machines remplacent l’électricité produite par des centrales nucléaires qui n’émettent pas de gaz à effet de serre… Et quand le vent s’arrête (le facteur de charge peine à dépasser les 20 % en 2017), ce sont des centrales thermiques, émettrices de gaz carbonique, qui doivent prendre le relais.

    Au nom de l’écologie on injecte des tonnes de béton dans le sol, on défigure les paysages de France, on permet le massacre d’oiseaux et de chiroptères, et maintenant on détruit des tourbières.

    Allô, Nicolas, pourquoi tu tousses ?

    http://www.bvoltaire.fr/eolien-detruire-nature-proteger-nature/