Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1113

  • Presse à scandales : pour quelle réalité ?

    Le Point vient de publier un long article à charge contre la communauté de Riaumont, qui serait impliquée dans un vaste scandale de pédophilie. Il semble assez complexe de démêler le vrai du faux, l'article se nourrissant du scandale pour pratiquer l'amalgame. On peut estimer en effet que celui qui a écrit ce qui suit maîtrise mal le sujet :

    "Cette dernière [la Congrégation pour la doctrine de la foi] a pour objectif de réintégrer au sein de l'Église les traditionalistes et partisans du rite tridentin, qui consiste notamment à faire la messe en latin [sic]."

    On y lit aussi, à la fin de l'article, que l'abbé Régis Spinoza est

    "un ancien de Riaumont mis en cause dans une affaire de maltraitance dans une enquête ouverte par le parquet de Bourges".

    Il est facile de pratiquer l'amalgame, puisque l'on se souvient en effet que l'Institution l'Angélus, près de Bourges, a été fermée l'an dernier, notamment sur la base d'accusations d'abus sexuels. Or, un an après, sans nouvelle donnée par la presse qui s'était pourtant repue du scandale, il semble que ces accusations ne reposent en fait sur rien. Nous avons interrogé Me Alexandre Varaut, avocat de l'abbé Spinoza, afin de savoir comment évolue l'affaire de l'Angélus :

    Où en est l'affaire de l'Angélus, démarrée en juin 2017 ?

    Cette affaire a démarré en fanfare avec une perquisition menée simultanément par la gendarmerie, l’URSSAF, la répression des fraudes, etc…

    Dans les jours qui ont suivi, le procureur de la République a donné deux conférences de presse évoquant notamment de possibles accusations d’agressions sexuelles qui ont mis le feu aux poudres.

    Malheureusement, de telles accusations contre un prêtre catholique dirigeant une école privée hors contrat rencontrent toujours leur public …

    Il faut bien reconnaître que le procureur de Bourges a très rapidement rectifié  cette erreur initiale et s’est refusé à des poursuites injustifiées contre l’abbé Spinoza sur ces questions de nature sexuelles. Près d’un an après ce sont des accusations abandonnées.

    Quelles charges sont retenues contre l'abbé Spinoza, directeur de cette institution ?

    L’abbé est aujourd’hui poursuivi pour deux raisons.

    La première relève de la qualification de violence sur quelques enfants. Il s’agit en réalité de simples gifles.

    Il faut bien comprendre que nous sommes dans le cadre d’un internat et que l’abbé Spinoza n’est pas simplement un directeur mais aussi un éducateur par délégation des parents. Il doit donc agir parfois comme les parents l’auraient fait et cela a pu aller dans certaines circonstances exceptionnelles jusqu’à une gifle, ce qui n’a jamais entrainé la moindre blessure physique. Il est vrai que l’époque admet de moins en moins ces corrections, même lorsqu’elles sont données par les parents.

    Il est par ailleurs reproché à l’abbé Spinoza d’avoir utilisé des bénévoles de manière excessive et en place de travailleurs salariés. C’est une accusation qui est factuellement contestée. Elle montre aussi combien le bénévolat est mal accepté et suspecté.

    Quelles sont les prochaines étapes juridiques ?

    L’abbé Spinoza a été mis en examen il y a près d’un an pour ces faits de travail dissimulé et de violence et il espère toujours être entendu par les juges d’instruction pour s’en expliquer. Il y a eu durant ces derniers mois un nombre incroyable d’actes d’instruction comme s’il s’agissait d’une grave affaire criminelle et bien évidemment aucun n’est venu corroborer la moindre accusation, bien au contraire.

    Nous sommes donc bien sereins pour la suite des évènements même si nous savons que nous aurons à lutter contre beaucoup de préjugés hostiles à l’enseignement catholique privé et malheureusement à quelques règlements de compte de la part d’anciens amis pas toujours très glorieux…

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • DISSOLUTION DE TOUTES LES BANDES GAUCHISTES ET DE LEURS COMPLICES : UN TRACT DE SYNTHÈSE NATIONALE À DIFFUSER

    2018 05 tract sn gau.jpg

    Imprimez ce tract, reproduisez-le et diffusez-le autour de vous, soutenez notre campagne pour la dissolution des bandes gauchistes, c'est un acte de résistance nationale...CLIQUEZ ICI

    2018 05 GAUCHISTES.jpg 

  • L’extrême gauche doit rendre des comptes, par Ivan Rioufol

    manifestation-avait-occasionne-de-serieux-degats-photo-f-destoc-1479278308-600x396.jpg

    “Je vais toujours au conflit”, aime à rappeler le chef de l’Etat. A l’entendre, il refuse l’esquive. Mardi, néanmoins, c’est depuis Sydney (Australie) que le président a été tenu informé des prévisibles déferlements de violence qui ont submergé, à Paris, les défilés syndicaux du 1 er mai. Une extrême-gauche déchaînée, représentée par 1200 anarchistes encagoulés du black bloc, a mis à sac le quartier Austerlitz. 31 commerces ont été dégradés, dont deux incendiés. Des voitures ont été brûlées. Il n’y a eu cependant que quatre blessés légers, dont un CRS qui a reçu un pavé dans le dos. 109 personnes ont été placées en garde à vue. Emmanue Macron avait sûrement d’excellentes raisons de se rendre à Sydney. Reste les images, cette arme que chérit le président : elles ont montré la prise de possession d’un quartier par des milices fascistoïdes se moquant bien de l’autorité d’un Etat dont le chef était absent. Les forces de l’ordre sont apparues craintives face à ces jeunes déterminés à casser du flic.

    Le choix préfectoral de laisser la horde briser librement tout ce qui lui tombait sous la main ne s’explique que par la peur de l’affrontement direct. Cette même crainte est à l’origine de l’évacuation très partielle de la ZAD de Notre Dame des Landes, défendue par des militants également déterminés. Bref, ce qui se laisse voir est un Etat pusillanime, qui recule devant des minorités se disant dominées et justifiant leur violence comme une réponse à la “violence sociale”. Parmi les slogans des black blocs : “A bas la hess”, mot venant de l’arabe et qui désigne la misère. Le scénario catastrophe serait bien sûr que les cités se joignent à cette insurrection de la haine.

    Reste aussi cette autre évidence : c’est à l’extrême gauche que se trouve, pour la démocratie, la source des dangers. En son sein fermentent le nouvel antisémitisme et la violence politique. Pierre-André Tagueiff avait constaté, dès le début des années 2000 “de notables convergences, dans les thèmes idéologiques et dans les pratiques militantes, entre islamistes et néo-gauchistes” (1). Depuis, les exemples des black blocs, des antifas ou des zadistes, c’est-à-dire des mouvements alternatifs qui cousinent dans la lutte brutale (mais sans armes à feu pour l’instant) contre le capitalisme et la société libérale, sont venus compléter un tableau peu ragoûtant.

    Pourtant, c’est le spectre de l’extrême droite qui continue d’être agité par ceux qui, à gauche, n’osent observer les monstres qu’ils couvent. En mars 2013, lors d’une forte mobilisation familiale organisée par la Manif pour tous, Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, avait accusé “des militants d’extrême droite qui jetaient des boulons”. Samedi, Libération a fait sa une sous le titre : “Cette ultradroite qui inquiète les services secret”. Le quotidien, râclant les fonds de tiroir, est revenu sur l’arrestation de Logan N., en juin 2017, dont Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, avait dit : “Ce n’est franchement pas la bande la plus sérieuse qu’on ait arrêtée ces derniers temps >. Quant à Jean-Luc Mélenchon, il a tweeté mardi : “Insupportables violences contre la manifestation du 1 er mai. Sans doute des bandes d’extrême droite”. Les parrains de l’extrême gauche ont des comptes à rendre.

    (1) Judéophobie, la dernière vague, Fayard

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 2 mai 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/210697/lextreme-gauche-doit-rendre-des-comptes-par-ivan-rioufol/

  • Dossier spécial Mai 68 : Ce menaçant Monsieur Cassin [1]

    Par Rémi Hugues 

    Dans le cadre de la sortie de son ouvrage Mai 68 contre lui-même, Rémi Hugues a rédigé pour Lafautearousseau une série dʼarticles qui seront publiés tout au long du mois de mai.

    « Reçu à l’Elysée avec les membres du Conseil constitutionnel au début de l’année 1968, il aurait déclaré au Général de Gaulle : je considère que la position que vous avez prise, les propos que vous avez tenus au sujet du conflit israélo-arabe, ne sont pas acceptables de la part du Chef de l’État. Je vous le dis respectueusement mais fermement. […] Monsieur le Président, je suis inquiet, très inquiet pour l’avenir. En réalité, l’ancien " ami fidèleʼʼ, était devenu un opposant, qui écrivait après le discours prononcé par Charles de Gaulle à Montréal le 24 juillet 1967 : ʽʽIl n’appartient pas à des Français de peser sur les décisions d’une population qui a, sans notre concours, prouvé sa capacité de vivre et qui est très à même de savoir disposer de son sortʼʼ. » 

    Daniel Amson, De Gaulle et Israël, Paris, PUF, 1991, p. 53-54. 

    Cet épisode, où René Cassin avertit d’une façon véhémente le général de Gaulle qu’il est inquiet pour son avenir, est jusqu’ici passé inaperçu parmi ceux qui, historiens ou sociologues, se sont essayés à identifier les causes profondes de l’irruption de Mai 68. Cassin signale à de Gaulle qu’il a largement franchi la ligne rouge et qu’il va bien assez tôt en payer le prix, ce qui suggère que ce personnage a pu être l’un des instigateurs occultes du mouvement de mai-juin 1968.

    Dans la famille des élites globales mobiles, Cassin est le juriste. Expert ès droits de l’homme, spécialiste du droit international, il fut chargé par elles de rédiger la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (DUDH), proclamée le 10 décembre 1948 à Paris par la toute jeune Organisation des nations unies (ONU). 

    Les origines 

    René Cassin voit le jour à Nice le 5 octobre 1887. Il naît dans « une famille de classe moyenne juive prospère qui avait fait fortune au milieu du XIXe siècle »[1]. Sa famille est typique de ce qu’on appelait alors les « israélites français », ces juifs assimilés à culture républicaine. Cela faisait longtemps qu’elle vivait sur le sol hexagonal : « Les Cassin étaient venus à Nice entre 1840 et 1860, mais leurs ancêtres vivaient dans le sud de la France depuis des générations. »[2] Les Cassin sont au fond des juifs libéraux, soucieux de conserver leurs racines religieuses tout en se montrant résolus à se fondre dans le moule républicain. « Comme son père, René accomplit les rites juifs de passage à la responsabilité personnelle, la bar-mitzvah. Son oncle Honel Meiss lui apprit à lire les passages des prophètes et de la Torah »[3]. René, en outre « républicain et libre penseur comme son père, […] est assez détaché de la tradition pour faire sa vie avec une femme qui n’est pas juive. »[4]           

    Très bon élève, il obtient son baccalauréat à 17 ans. En 1904 il s’inscrit en droit et en histoire à la faculté d’Aix-en-Provence. C’est un étudiant brillant : en 1908 il « monte » à Paris pour achever ses études de droit qu’il finance en travaillant pour le Recueil des lois et décrets. En 1914 il termine ses études titulaire d’un doctorat de droit civil. Sa thèse porte sur la théorie des obligations. 

    Parcours politique et professionnel 

    Politiquement, René Cassin se situe à gauche. Il fut d’ailleurs l’ « un des rares notables de gauche à rallier de Gaulle »[5]. À la manière d’un Pierre Mendès-France ou d’un Romain Gary, il n’a « jamais adhéré au gaullisme partisan »[6]. Son meilleur ami est Paul Ramadier, qui est un militant socialiste et un journaliste à LʼHumanité. Lui penche pour le radicalisme. Mais son engagement politique est plutôt tardif. En 1931 il s’inscrit à la section du Ve arrondissement de Paris du parti radical. « Cassin ne fit pas seulement acte de loyauté envers le parti radical-socialiste, mais aussi envers son président, Édouard Herriot, qui l’avait nommé huit ans plus tôt à la délégation française à la SDN. »[7], c’est-à-dire la Société des nations, ancêtre de l’ONU. 

    C’est d’abord son parcours de juriste qui prime, notamment tout ce qui touche au droit international, qu’il voit comme le meilleur outil pour œuvrer à la paix. Incontestablement, l’épreuve de la Grande guerre a compté dans son soutien en faveur d’une instance internationale de délibération et de règlement des litiges. Mobilisé le 1er août 1914, il est blessé suffisamment tôt pour ne connaître « ni Verdun, ni la Somme, ni les gaz, ni le pilonnage des tranchées. »[8] Réformé, sa carrière de professeur de droit peut commencer. De 1916 à 1919 il est chargé de cours de droit civil et pénal à l’université d’Aix. Il est reçu en 1920 à l’agrégation de droit privé et de droit criminel. Il est d’abord affecté à la faculté de Lille, jusqu’en 1929, puis celle de Paris. 

    L’entre-deux-guerres et la SDN 

    L’expérience vécue par René Cassin durant la Première Guerre mondiale l’amène à prendre à bras le corps la cause des anciens combattants et des mutilés de guerre. Dans les années 1920 il lance un mouvement international des anciens combattants dont le siège se trouve à Genève. À partir de 1924 il devient également membre de la délégation française à la SDN, jusqu’aux accords de Munich (1938) qui signent l’échec du projet. Au sein de la SDN, Cassin intègre « un groupe d’hommes qui développaient des perspectives internationalistes, de formation juridique pour la plupart »[9] et formaient ainsi une coterie d’élites globales mobiles favorables à une gouvernance mondiale guidée par les principes humanistes de la république universelle, ou éthique des droits de l’homme. 

    « Dès le début, Cassin est un partisan de la Société des Nations. […] [I]l avait l’inébranlable conviction que la seule façon d’empêcher le retour de la guerre était de forger un ordre international qui proscrirait le recours aux armes quand grandiraient les tensions internationales. Il partageait le point de vue de lord Grey, ministre britannique des Affaires étrangères, qui répétait que si seulement il y avait eu, dans l’été 1914, un lieu, une institution où les grandes puissances auraient pu exposer leurs griefs, la guerre n’aurait jamais éclaté. C’est cette même conviction qui fait que, après 1918, Cassin et beaucoup d’autres anciens combattants se tournent vers Genève et la jeune SDN. »[10] Mais la SDN disparaît vite et l’ascension d’Hitler menace la paix. Pour René Cassin, quand la Seconde Guerre mondiale éclate, les Alliés sont engagés dans une « croisade des droits de lʼHomme »[11], suggérant implicitement que ce conflit avait une nature religieuse. (A suivre).  

    [1]  Antoine Prost, Jay Winter, René Cassin et les droits de lʼhomme : le projet dʼune génération, Fayard, Paris, 2011, p. 25.

    [2]  Ibid., p. 26.

    [3]  Ibid., p. 33.

    [4]  Ibid., p. 41.

    [5]  Serge Berstein, Pierre Birnbaum (dir.), De Gaulle et les élites, Paris, La Découverte, 2008, p. 39.

    [6]  Ibid., p. 68.

    [7]  Antoine Prost, Jay Winter, op. cit., p. 108.

    [8]  Ibid., p. 43.

    [9]  Ibid., p. 94.

    [10]  Ibid., p. 81-82.

    [11]  Ibid., p. 137.

  • Manifestation : les enjeux de la “fête à Macron” - Journal du Vendredi 04 Mai 2018

  • Tous les fruits gâtés de mai 1968 s’accumulent en pourritures

    6a00d83451619c69e20224e036f480200d-250wi.pngEditorial d'Hilaire de Crémiers dans Politique Magazine à propos de la manifestation parisienne du 1er mai :

    "Il n’est pas douteux que la Préfecture de police et le ministère de l’Intérieur ont donné des ordres pour éviter au mieux ce qu’il est convenu d’appeler « les dommages collatéraux ». C’est-à-dire des passants, autrement dit des manifestants « honnêtes » (!) ou des « curieux » se hasardant sur les lieux, qui pourraient être bousculés ou blessés à l’occasion de charges policières ou de heurts frontaux. Ce qui provoquerait aussitôt des hurlements d’indignation, l’indignation ne fonctionnant comme toujours qu’à sens unique ! La grande voix de Libération, entre autres, ne manquerait pas de se faire redoutable : le bourgeois anarchiste et gauchard adore le désordre, tant, bien sûr, que les coups ne l’atteignent pas.

    Donc, les cortèges se rassemblent librement. Il est connu d’avance par les réseaux sociaux et par les renseignements que l’ultra-gauche sera de la partie et mènera la danse. Le petit monde cagoulé du black bloc est au rendez-vous sans problème. Pas question de procéder à des arrestations préventives, contrairement à tous les usages de naguère. Et voitures de brûler, devantures d’exploser, magasins et établissements d’être saccagés, pillés, détruits. Et policiers et gendarmes d’être blessés : s’ils pouvaient être massacrés, ils le seraient.

    Le bon vieux défilé syndical, où le service d’ordre de la manifestation faisait lui-même la police, n’existe plus. C’est la raison pour laquelle, en dehors de la CGT et de Sud, il ne se pratique presque plus. Les risques de débordements sont trop importants. L’heure est à l’affrontement brutal. Des minorités s’essayent de plus en plus à créer soit des zones de non-droit, soit des journées insurrectionnelles. Jeux plus ou moins infantiles, plan concerté, excitation de l’imagination, désir d’un « jusqu’auboutisme » qu’on croit libérateur ; mélange de tout cela, sans doute. Jeunesse désœuvrée et livrée à toutes les propagandes ; société éclatée, privée d’autorités naturelles, toutes systématiquement détruites par la loi elle-même ; « communautarismes » flagrants qui s’étendent sur des villes entières et qui refusent la nation, qui récusent la France et tout ce qu’elle représente, et où l’islamisme règne en maître ; enseignement et médias qui ne cessent d’inspirer le mépris de l’histoire, de l’ordre, de la vraie famille, de la société traditionnelle…

    Facultés, bientôt lycées, quartiers, villes – même avec leur maire et leur député de gauche, d’archi-gauche qui ont l’inconscient culot de s’en étonner ! –, maintenant zones entières de départements et de régions en sécession pratique où aucune police et aucun service d’Etat ne peut pénétrer. La aucun service d’État ne peut pénétrer. La situation est tenue en main, dit-on dans les hautes sphères pour se rassurer. Voire ! La fameuse convergence des luttes souhaitées par le bourgeois Mélenchon qui se fait plaisir à jouer le tribun de gauche, se feront tout autrement que ce que des imaginations politiciennes croient inventer. Qui, dans les banlieues, croit encore dans la République bourgeoise ?

    Pour le moment, Macron, en rappelant à l’ordre, pense ramasser une fois de plus la mise à son profit. C’est le calcul républicain. Mais chacun devine que tout peut échapper. A force de glorifier la révolution comme principe même de gouvernement, tous, de droite comme de gauche, ne font que rendre la France complice de sa propre destruction. Jusqu’où ?"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pays-Bas : 85% des infiltrés sont toujours au chômage après deux ans et demi de présence sur le territoire

    immigration_suede_images.jpg

    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    C’est ce que vient de révéler le quotidien néerlandais De Telegraaf. Après deux ans et demi, seuls 15% des infiltrés ont un emploi.

    Jan van de Beek, chercheur sur les migrations, explique à notre confrère que « les emplois particulièrement peu qualifiés ne sont pas attrayants pour les migrants, car les avantages qu’ils reçoivent sans rien faire sont parfois tout aussi élevés que les revenus qu’ils peuvent tirer d’un emploi « bas de gamme » ».

    Rappelons que, selon la terminologie employée par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et par la quasi-totalité de la classe politique israélienne, on désigne par « infiltré » tout étranger qui s’est introduit illégalement sur le territoire national.

    https://fr.novopress.info/

  • Emmanuel Macron face à l’immigration : l’esbroufe pour masquer le vide [Partie 2]

    macron-martin-conseil-etat-rapport-588x330.jpg

    Par Robert Martin ♦ Un de nos lecteurs nous a récemment contactés. Fonctionnaire retraité ayant assuré un rôle important au sein du dispositif judiciaire entourant la demande d’asile en France, il est théoriquement soumis à un devoir de réserve, nous avons donc respecté son anonymat en modifiant son nom. Néanmoins, face aux actions d’Emmanuel Macron et notamment à sa loi Asile et Immigration, il a décidé de nous communiquer plusieurs textes. Nous avons décidé de publier en 5 parties un grand texte solidement documenté sur le projet de loi d’Emmanuel Macron et, plus globalement, sur les mesures qu’il faudrait adopter pour gérer efficacement la crise migratoire.
    Après une première partie dédiée à l’analyse globale du texte Asile et Immigration, Robert Martin commentera ici le rapport du Conseil d’Etat sur ce projet de loi.
    Polémia

    Ma première inquiétude fut de découvrir que le Conseil d’Etat avait désigné comme rapporteur de ce texte, un conseiller d’état, Thierry Tuot, auteur il y a cinq ans d’un rapport controversé intitulé « La Grande Nation : pour une société inclusive » et connu pour ses positions favorables à une immigration ouverte.

    Ainsi, selon Le Point, ce haut fonctionnaire abandonna son devoir de réserve et, à plusieurs reprises, il a semblé que l’analyse juridique cédait la place au discours militant, allant jusqu’à publiquement regretter qu’il ne soit pas possible au Conseil d’État de « refuser d’examiner le texte », ce qui aurait, selon lui, « constitué un geste politique fort ». Et de dénoncer « la propagande du gouvernement qui, sous le couvert d’une meilleure intégration des étrangers, entend faire passer sans les assumer une série de mesures durcissant les conditions d’entrée et de séjour de ces derniers. »
    Cependant, malgré ces dérapages verbaux, le rapport pour avis rendu le 15 février 2018 sur ce projet de loi fut considéré par tous comme étant équilibré.

    L’avis rendu par le Conseil d’Etat le 15 février 2018

    Premier commentaire

    Le Conseil d’Etat souligne, dans les paragraphes 4 à 10 de son rapport, les faiblesses majeures du texte gouvernemental donnant ainsi l’impression de ne pas évoquer les vrais problèmes auxquels notre pays est confronté en matière de mouvements migratoires.

    Rapport du Conseil d’Etat :
    « 4. Le Conseil d’État observe que les migrations, particulièrement celles qui concernent le territoire national et plus largement l’Europe, ont connu au cours de la dernière décennie des changements très importants : l’origine et la nature des flux, leur répartition géographique, les motifs conduisant à rechercher l’entrée sur le territoire national reflètent des évolutions très significatives, sur lesquelles l’exposé des motifs et l’étude d’impact demeurent souvent allusifs. »

    Commentaires :
    Le Président de la République a évoqué rapidement dans son débat sur RMC les thèses du journaliste américain Stephen SMITH développées dans son livre publié le 7 février 2018 La ruée vers l’Europe — La jeune Afrique en route pour le Vieux continent. Un livre qui décrit bien le nouveau paysage européen marqué avant tout par une immigration massive venant d’Afrique. Une migration vers l’Europe inéluctable du fait du doublement de la population africaine d’ici à 2050.

    Stephen Smith prend également « à rebrousse-poil » les théories établies du co-développement, battant en brèche la croyance selon laquelle aider les pays africains à se développer économiquement permet d’empêcher la migration des populations vers l’Eldorado Europe.

    Ce ne sont plus les populations les plus démunies d’Afrique qui partiront pour l’Europe, mais celles des classes moyennes, plus en mesure de faire le grand saut vers le paradis économique du vieux continent.
    Nous passerons des demandeurs d’asile désireux de « sauver leur peau », aux expatriés pour raisons économiques.

    Or, notre modèle d’analyse des demandes d’asile n’est absolument pas adapté à cette nouvelle catégorie de migrants.

    Pour détendre un peu le lecteur, voici un article consacré à la grande naïveté de notre politique d’examen des demandes d’asile et au « professionnalisme » des associations pro-migrants.

    Lire la suite

  • BLACK BLOCS : LES CRIS D’ORFRAIE ARRIVENT UN PEU TARD !

    manifestation-anti-loi-travail-nombreuses-degradations-a-rennes-youtube-thumbnail.jpg

    Suite au carnage matériel – dans l’attente qu’ils tuent un jour, puisqu’ils aspirent à casser du flic et à la guerre civile – perpétré par les Black Blocs, mardi 1er mai à Paris, les ténors politiques y sont allés de leur couplet réprobateur et de leurs invectives contre le gouvernement.

    « Gérard Collomb mais aussi Emmanuel Macron se sont rapidement retrouvés sous les feux de l’opposition, et notamment des Républicains » (Le Huffpost).

    Une pluie de tweets s’est donc abattue sur l’exécutif, accusé de n’avoir pas mesuré l’ampleur de la situation. « Terribles images aujourd’hui pour notre pays. Faillite de l’État régalien », s’est insurgé Laurent Wauquiez. « Jamais de telles violences n’avaient été commises à Paris lors d’une manifestation », a exagéré Éric Ciotti, omettant les nombreux saccages perpétrés par la diversité de banlieue dans la capitale, et ce, depuis plusieurs années. Nadine Morano a frappé encore plus fort : « Ni anticipation, ni réactivité efficace, changement de direction de la manifestation dans l’improvisation totale, effectifs sous-dimensionnés, ordres inadaptés. Démissionnez ! »

    C’est bien, mais que n’ont-ils été aussi fermes lorsqu’ils avaient le pouvoir, ces gens de droite ! On n’oubliera pas, par exemple, la non-intervention de Jacques Chirac, alors président de la République, pendant les émeutes de 2005.

    Cependant, à la défense du ministre de l’Intérieur, les Black Blocs sont des groupes éphémères qui se volatilisent aussitôt leurs forfaits accomplis. C’est en amont qu’il fallait traiter ce coup de force annoncé par les intéressés, qui « promettaient une journée d’enfer pour Macron » (Le Parisien).

    On pourrait, par exemple, envisager de ficher les extrémistes de gauche, comme on le fait pour les musulmans radicaux, et les surveiller plus activement. Il faudrait aussi admettre que la violence d’État est parfois nécessaire pour éviter « que nous ne roulions à travers la guerre civile, aux aventures et aux usurpations les plus odieuses et les plus ruineuses » (général de Gaulle, allocution du 24 mai 1968).

    Quant aux forces de l’ordre, accusées de tous les maux dans cette affaire, elles ont fait preuve d’un sang-froid remarquable, eu égard à leur faible marge de manœuvre. Comme d’habitude, elles ont nettoyé le « merdier » laissé par les pouvoirs publics et, quelque part, par les médias et intellectuels bon teint qui regardent avec une certaine bienveillance l’extrême gauche et agitent la peste brune comme le père Fouettard. Ce que n’a pas manqué de faire Jean-Luc Mélenchon en pointant spontanément des « bandes d’extrême droite », malgré les portraits de Marx et Che Guevara brandis par cette horde.

    Pour finir, le McDo qui a été détruit est très fréquenté par les familles emmenant leur progéniture au Jardin des Plantes. C’est, décidément, une constante chez les ultra-gauchistes de frapper l’enfance, après avoir canardé le bâtiment Laennec de l’hôpital Necker-Enfants malades, en juin 2016, où sont soignés notamment des bébés prématurés !

    http://www.bvoltaire.fr/black-blocs-cris-dorfraie-arrivent-tard/

  • Jour du dépassement : la propagande tranquille du terrorisme mondialiste

    Jour Dépassement Propagande Tranquille Terrorisme Mondialiste
    Ils sont impayables ! Le mondialisme assène ses âneries en matière d’environnement d’un petit ton tranquille qui rend d’autant plus dangereux son terrorisme. La propagande sur le « jour du dépassement » et la « dette écologique » est un cas d’école.

    Lre la suite