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  • Enseigner la haine du Blanc, par Caroline Parmentier

    Intersectionnalité-anti-Blancs-600x300.jpg

    8994-20171124.jpgAprès le festival « afroféministe » Nyansapo, après le camp d’été « décolonial », le stage de profs interdit aux Blancs. Le faux antiracisme s’affirme de plus en plus ouvertement comme ce qu’il est : un authentique racisme anti-blanc.

    Jean-Michel Blanquer porte plainte contre la tenue d’un stage d’enseignants interdit aux Blancs, organisé en Seine-Saint-Denis par SUD-éducation 93. Parmi ces fauteurs de guerre civile, on retrouve toute la clique habituelle des racistes et des islamo-collabos : le syndicat SUD, le CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), les compagnons de route des Indigènes de la République, Nacira Guénif, vice-présidente de l’Institut des cultures d’islam ou encore Marwan Muhammad (qui revendique le droit de se battre en France « pour que notre pays devienne musulman dans les trente ou quarante prochaines années »). Muhammad tiendra une conférence sur l’islamophobie dans l’éducation nationale. Il ne manque que Danièle Obono.

    Intitulé « Au croisement des oppressions – Où en est-on de l’antiracisme à l’école ? » et prévu les 18 et 19 décembre, le stage syndical de SUD-éducation 93 prévoit des ateliers et réunions réservés aux « personnes racisées » c’est-à-dire non accessible aux Blancs : « Outils pour déconstruire les préjugés de race, de genre et de classe » et « Atelier récit d’expérience : quelle vie professionnelle pour les enseignant-e-s racisé-e-s ? ». En écriture inclusive of course. Il est particulièrement rassurant d’apprendre que 70 professeurs dont on imagine la bonne influence et le genre de savoir transmis aux élèves, sont déjà inscrits.

    « On parle de non-mixité raciale, de blanchité, de racisés […] les mots les plus épouvantables du vocabulaire politique sont utilisés au nom soi-disant de l’antiracisme alors qu’ils véhiculent évidemment un racisme », a réagi le ministre de l’Education devant l’Assemblée nationale. « C’est pourquoi, puisque ce syndicat a décidé de parler aussi de racisme d’Etat, j’ai décidé de porter plainte pour diffamation à l’encontre de SUD-éducation 93. »

    Le syndicat national SUD a apporté tout son soutien à sa section de Seine-Saint-Denis, assurant que « le ministre de l’Education n’a pas à intervenir sur le contenu des stages syndicaux ». Inutile de préciser que le premier syndicat de droite qui aurait appelé à une réunion interdite aux Noirs, aurait été immédiatement interdit et dissout, ses responsables lynchés dans les médias et traduits en justice. Marine Le Pen qui a salué l’intervention salutaire du ministre, a demandé des « sanctions exemplaires » contre « les professeurs fautifs ».

    L’article annonçant le stage ségrégationniste a été publié sur le site internet de SUD-éducation 93 le 19 octobre, mais il a fallu attendre le 20 novembre, un mois plus tard, pour qu’il suscite des réactions, d’abord via les réseaux sociaux. Repéré dans un tweet par Nassim Seddiki, secrétaire général du Printemps républicain, il a été repris par le toujours très vigilant Fdesouche, qui en a fait un article qui a largement circulé. Dans cette gauche qui s’écharpe sur le racisme antiraciste, la Licra condamne les ateliers interdits aux Blancs mais également l’utilisation du terme « racisé » dans le programme : « Nous refusons d’étiqueter les enfants des écoles de la République et leurs enseignants en fonction de critères dignes d’une exposition coloniale. »

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 23 novembre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • La technique de l’évolution « sociétale »

    Par François Reloujac 

    Comment les animateurs et les maîtres de la société moderne organisent les processus irréversibles. 

    Au début de l’été, trois événements successifs ont mis au premier rang de l’actualité des problèmes de société : il s’agit, successivement de la décision du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) relatif à la « procréation médicalement assistée » (PMA), de l’annonce du décès de Simone Veil, ancien ministre de la Santé qui a défendu devant le Parlement la loi dépénalisant l’avortement et enfin de la décision de la Cour de cassation sur la reconnaissance de « paternité » en France d’enfants nés à l’étranger d’une « gestation pour autrui » (GPA). Trois événements présentés comme en rapport avec des « avancées sociétales ». Un petit retour sur l’histoire suffit pour en comprendre le mécanisme mis en jeu pour transformer la société.

    Le progressisme toujours si bon et si humain !

    Avec la loi Neuwirth, en 1967, il s’agissait de défendre le « droit » pour les femmes à « maîtriser leur fécondité », cette « maîtrise » ayant été présentée comme permettant de faire disparaître les avortements ! Lors du vote de cette première loi « sociétale », on estimait officiellement que les avortements clandestins provoquaient en France la mort d’environ 300 femmes par an et rendaient stériles environ un à deux milliers d’autres. Ces chiffres, donnés alors pour sûrs, n’étaient que des approximations, aucune statistique n’étant établie sur ce critère des victimes d’avortements clandestins. Pour horrible que fut le chiffre, il ne s’agissait là que d’un phénomène marginal. De 1967 à 1974, sous la pression de personnes jouissant d’une certaine popularité, la question de l’avortement a nourri les journaux. Trois cent-quarante-trois femmes jeunes ou moins jeunes – mais, toutes, riches et célèbres – ont bravé la loi en revendiquant s’être fait avorter et en réclamant le même droit pour toutes. Dans un même temps, la pilule était autorisée pour les mineures sans l’autorisation des parents. Hélas, lorsqu’une jeune femme oubliait de prendre « sa » pilule, et qu’elle se retrouvait enceinte, ce n’était pas l’affaire de son « partenaire » d’un soir ; elle n’avait plus qu’à assumer, seule, les conséquences de son « oubli » et donc de sa maternité ou à se faire avorter.

    Dans une optique « progressiste », plutôt que de s’interroger sur la responsabilité de la loi dans l’accroissement du nombre des avortements, on a cherché à corriger la conséquence présentée comme non souhaitée : on a « dépénalisé » ! Les deux arguments principaux avancés pour faire voter cette loi par un Parlement majoritairement hostile au projet méritent d’être analysés, car, n’en doutons pas, ils serviront encore pour de nouvelles « avancées sociétales ». Ce sont l’émotion causée par le scandale du nombre des décès par avortement, d’une part, et le fait que l’avortement sans risque n’était ouvert qu’aux seules femmes riches qui avaient les moyens d’aller se faire avorter à l’étranger, d’autre part. Il fallait donc que, sans discrimination, ce nouveau « droit » fût ouvert à toutes.

    Le ministre de la santé de l’époque a mis en avant au Parlement le nombre horrible des « mortes » du fait des avortements clandestins : 60 000 ! Pour un nombre d’avortements clandestins estimé lui à moins de 120 000 ; à comparer aux 300 annoncés sept ans auparavant, et aux 220 000 enfants tués dans le sein de leur mère du fait des avortements annuels aujourd’hui ! On semble avoir oublié comment avait été forgé le chiffre de 60 000 décès annoncé au Parlement : on y avait inclus, puisque les décès consécutifs à des avortements clandestins n’étaient pas comptabilisés en tant que tels, tous les décès pour cause inconnue. C’est-à-dire, puisque l’on ne distinguait pas entre les sexes dans les statistiques des décès que de nombreux hommes étaient ainsi réputés avoir succombé à un avortement clandestin ; le « genre » avant la lettre !

    La même technique a été mise en œuvre pour justifier chacune de ces « avancées » dont personne ne voulait réellement. Le PACS a été voté pour empêcher de baptiser « mariage » le couple formé par des homosexuels avant d’en arriver au « mariage pour tous » (qui constitue un double déni puisqu’il ne s’agit pas d’un mariage au sens propre du terme, d’une part, et que, d’autre part, tout le monde pouvait se marier avant cette loi), au nom de l’égalité entre les couples. En imposant le « mariage » entre homosexuels, on a dit que jamais cela n’ouvrirait aux homosexuels le droit à la procréation médicalement assistée acronymisé PMA : un euphémisme pour ne pas dire insémination artificielle avec donneur anonyme ; et moins de cinq ans plus tard le Comité consultatif national d’éthique a ouvert la porte à cette nouvelle « avancée » !

    Lors du débat qui a précédé le vote de cette loi dite du « mariage pour tous » on avait promis que cela ne conduirait pas à la gestation pour autrui (GPA), c’est-à-dire à la location de l’utérus des femmes au profit d’homosexuels en manque d’enfants (marché qui pourrait être très lucratif). Mais la Cour de cassation a trouvé le moyen de considérer qu’une GPA réalisée à l’étranger ne fait pas obstacle, à elle seule, à la transcription sur les registres de l’état-civil français en ce qu’il désigne le père, ni à l’adoption de l’enfant par l’époux (sic) du père. Le deuxième argument utilisé pour faire voter la loi Veil sera bientôt réactivé : il faudra permettre à ceux qui n’ont pas les moyens d’aller acheter un enfant à l’étranger de le faire en France.

    Quand la fin justifie les moyens

    Le système est bien rodé. Dans une méthode téléologique soigneusement mise en œuvre, chaque « avancée sociétale » est toujours incomplète pour ouvrir la porte à une nouvelle « avancée » une fois que la précédente est entrée dans les mœurs. Ainsi la pilule contraceptive a été présentée comme permettant de lutter contre les avortements clandestins, alors que tout le monde savait qu’il entraînerait inéluctablement leur augmentation. Ceux qui, à l’époque ont voulu mettre en garde contre cette dérive ont été traités d’affreux antiféministes. Comme le nombre des avortements a effectivement augmenté, on a dépénalisé ce crime… tout en refusant de le considérer comme un acte médical et donc de le rendre remboursable par la Sécurité sociale. La légalisation ouvrait la porte à une nouvelle « avancée » puisqu’il était inconcevable que les femmes riches puissent y recourir dans de « bonnes conditions » et que les femmes pauvres ne puissent le faire qu’au risque de leur vie. L’avortement est devenu, égalité oblige, un acte remboursable, puis gratuit, ouvert aux mineures sans l’autorisation de leurs parents. Le PACS devait permettre d’éviter le « mariage » entre des homosexuels jusqu’à ce que l’on s’aperçoive d’une nouvelle discrimination entre les couples homosexuels et les couples hétérosexuels. L’on en est arrivé au « mariage pour tous » qui n’est plus une « institution » mais un contrat entre personnes « qui s’aiment » ! On a ainsi ouvert trois nouvelles inégalités : une première entre les couples hétérosexuels qui ont droit, en cas d’infécondité, à la procréation médicalement assistée et les couples homosexuels qui en sont privés ; une deuxième qui réserve le « mariage » uniquement à deux personnes au lieu de trois ou quatre ; une troisième qui autorise deux êtres qui s’aiment à se marier, quel que soit le sexe de l’un et de l’autre, mais qui maintient encore une privation de droit en fonction de l’âge. On voit aujourd’hui ce qui se passe à propos de la « PMA » – qui ouvrira la porte à la GPA –, on verra demain ce qu’il en sera avec le nombre des « mariés » et surtout, avec l’âge des mariés. Si, dans de rares cas, une femme d’âge mûr cherchera à convoler avec un jeune homme presque encore imberbe, on verra surtout se multiplier les mariages entre des hommes d’un certain âge avec des jeunes filles à peine nubiles. Et ceux qui s’opposeraient à ce nouveau « droit », que l’on recrutera essentiellement dans les milieux réputés rétrogrades, seront appelés des « pédophobes ».

    On comprend pourquoi les députés allemands de confession islamique ont voté, en juillet 2017, en faveur du « mariage » entre homosexuels. On comprend aussi pourquoi l’Union des communautés et organisations islamiques d’Italie ont réclamé une législation en faveur de la polygamie, « du fait que la loi italienne autorise les unions civiles homosexuelles ». En effet, si, comme l’écrit William Kilpatrick, « le mariage ne doit plus se limiter à l’union d’un homme et d’une femme, pourquoi ne pas permettre l’union d’un homme et de quatre femmes ? » Ce serait « une avancée sociétale » !  

    Site Politique magazine

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/11/21/la-technique-de-l-evolution-societale-6001537.html

  • L’arrestation de six nouveaux “réfugiés”-terroristes syriens en Allemagne survient au plus mauvais moment pour Angela Merkel

    réfugiés terroristes Syriens Allemagne
    C’est justement alors que les négociations pour former un nouveau gouvernement venaient de capoter sur la question de l’immigration que les Allemands apprenaient l’arrestation de six nouveaux « réfugiés » syriens soupçonnés de préparer une série d’attentats pour la date-anniversaire de l’attentat au camion sur un marché de Noël de Berlin. Un attentat qui a fait douze morts et plus de cinquante blessés en 2016 et qui a été commis par Anis Amri, un Tunisien lui-même arrivé illégalement en Italie en 2011 en tant que « réfugié ». Eh oui, désormais même les grands médias de gauche le reconnaissent, certes un peu tard, tel le “New York Times” : il y avait bien des terroristes parmi les migrants.

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  • Le Figaro accable Ratko Mladic et tait l’épuration des serbes de Bosnie autour de Srebrenica

    Nous rediffusons cette mise au point de 2008 alors que Le Figaro vient de publier un article à charge sur Ratko Mladic, en taisant les massacres commis par les musulmans ayant conduit à l’offensive sur Srebrenica, en reprenant les chiffres de morts farfelus du TPI, institution inique dirigée par l’Otan alliée des islamistes à l’époque.

    Ratko-Mladic-criminel-ou-heros.jpg« Le Tribunal Pénal International passe par pertes et profits les massacres avérés de milliers de civils serbes par les troupes musulmanes de Bosnie dirigées par Naser Oric, et ignore toujours l’existence des camps de concentrations musulmans où croupirent des civils serbes, femmes et enfants inclus.

       Naser Oric fut acquitté, jeudi 3 juillet 2008 , par la chambre d’appel du Tribunal Pénal International de La Haye, après avoir été condamné en première instance en juin 2006 pour crimes de guerre. Si en 1992, estiment les magistrats, des civils serbes ont été passés à tabac et tués en Bosnie, « les preuves de la culpabilité de Naser Oric sont absentes », comme si celui qui était le commandant en  chef de l’armée bosniaque de 1992 à 1995 n’était pas au courant que ses hommes s’attaquaient à des milliers de civils, comme si il ne s’était rien passé après 1992 !

       Le Tribunal Pénal International, (création ad hoc américaine) après avoir sur le tard (2003 !) commencé à interpeller quelques criminels de guerre musulmans pour tenter de regagner de la crédibilité après avoir systématiquement arrêté les « criminels » du seul camp Serbe, vient de démontrer que son parti pris à l’égard des bosno-musulmans dans la continuité des choix de l’Otan, fait de La Haye le théâtre d’une des plus grandes parodies de justice de l’histoire moderne.

       De nombreux témoins de l’époque, du chef de la sécurité civile Patrick Barriot au général Lewis MacKenzy, premier commandant des forces de paix l’ONU à Sarajevo, en passant par le courageux général Morillon, avaient pourtant clairement décrit le rôle criminel du sanguinaire Naser Oric, sous les ordres de l’islamiste Alija Izetbegovic, conduit à la présidence de la Bosnie indépendante par l’Otan et son allié François Mitterand, sous l’influence de Bernard Henry Lévy.

    Naser Oric commandait  l’armée Bosno-musulmane lors du siège de Srebrenica  par les Forces Serbes, qui tenaient légitimement à régler leur sort aux djihadistes (qui s’assumaient comme tel) responsables d’une épuration ethnique, rélle et planifiée, elle

    8 000 morts lors de la reprise de Srebrenica ? Seuls 2079 corps identifiés par la Commission internationale pour les personnes disparues. Seulement des civils désarmés ? Non,  5500 hommes de la 28 eme division d’infanterie bosno-musulmane lourdement armés étaient dans le secteur…qui avaient refusé de rendre les armes, et majoritairement neutralisés lors de combats réguliers ! (Certes, des executions sommaires qu’il convient de punir, mais s’élevant à quelques dizaines et non avalisées par la hierarchie..)

      L’Association des anciens combattants de la Républika Srpska  révéla  détenir une liste de 954 combattants musulmans bosniaques tués au cours de la guerre civile en Bosnie avant fin 1994, qui figurent pourtant dans le compte des victimes  de Srebrenica datant de juillet 1995. La liste fait partie des rapports faits en fin 1994 au commandement du second corps d’armée bosno-musulman par le chef de la 28ème division en garnison à Srebrenica,  Naser  Oric lui-même.  Par ailleurs, l’Association de la Republika Srpska des prisonniers de camps cite l’exemple de Munira Subasic, présidente de l’Association des femmes musulmane de bosnie , qui a déclaré son fils comme une des victimes de Srebrenica. Or, son fils a été trouvé aux Etats-Unis sous un nom différent »

     » On peut être sans nouvelles des « civils disparus depuis deux ans » de Srebrenica, mais ça ne les empêche pas de voter aux élections de Bosnie de 1997 ! La liste ci- dessous constitue une partie de la liste des 3010 « civils disparus » qui ont participé aux élections de Bosnie et qui figurent dans la liste des votants de l’OSCE  » . DR Dragan Kalinic, président du Parlement de la République Serbe lors de sa présentation de ce « paradoxe » à l’OSCE et à l’UE….

                Alors que Le Monde décrit Oric comme un simple résistant « Naser Oric et ses compagnons d’armes résistent. » (source), se gardant bien de fournir à ses lecteurs des informations capitales pour cerner le rôle du criminel pendant la guerre, en faisant porter la responsabilité des « 7000 » morts de Srebrenica sur les seuls Serbes (oubliant que la plupart furent des soldats tués en  représailles aux nettoyage ethnique du noël orthodoxe 1993, et que le chiffre de 7000 ne repose sur aucune preuve) il est temps de donner la parole aux vrais connaisseurs du dossier :

    « Le 6 mai 1992 deux petits hameaux, Blj et Gniona, avaient été saccagés et brûlés comme un signal, deux jours avant que le le juge Goran Zekic, président du SDS (parti politique des Serbes de Bosnie) et député ne soit tué par les milices musulmanes. Le 7 mai suivant, sept Serbes qui cherchaient à s’échapper de Srebrenica furent pris en embuscade et assassinés. Le 15 mai, les villages de Viogor, Orahovica, Karno, Civeci et Radosevi furent attaqués. De cette façon, de mai 1992 à janvier 1994, jusqu’à 192 villages furent pillés et incendiés. Pendant cette période, 8000 maisons serbes furent attaquées et 5400 complètement détruites. Le nombre de tués était de plus de 1000, y compris des femmes, des enfants et des vieillards et 90% furent tués principalement durant les six premiers mois à partir de mai 1992 en dépit qu’ils fussent des civils » (source:  témoignage de Milivoje Ivanisevic intitulé Chronique de notre cimetière paru dans le journal hollandais De Groene Amsterdammer du 13 mars 1996, et rapport de la République serbe de Bosnie pour le TPI)

       Dans son article La véritable histoire de Srebrenica paru dans The Globe and Mail du 14 juillet 2005, le général Lewis  MacKenzie évoquait la personnalité de Naser Oric :

    Cela se passe début juillet 1993 :

       « Il n’a pas fallu longtemps aux musulmans bosniaques pour comprendre que l’ONU n’était pas en mesure de tenir sa promesse de « protéger » Srebrenica. Avec une certaine aide extérieure, ils ont commencé à infiltrer des milliers de combattants d’armes dans la zone protégée. Au fur et à mesure que les combattants bosno-musulmans  étaient mieux équipés et entraînés, ils se sont mit à sortir de Srebrenica, à incendier les villages serbes et à tuer leurs occupants, avant de regagner rapidement la sécurité de la zone protéger de l’ONU (quel courage). Ces attaques ont atteint un sommet en 1994, et ont continué jusqu’au début de 1995, après que la compagnie d’infanterie canadienne ait été remplacée par un contingent hollandais plus important. Les Bosno-Serbes avaient peut être l’armement le plus lourd, mais les Bosno-musulmans étaient leurs égaux en capacité d’infanterie, indispensables sur le terrain rugueux de Srebrenica. Quand la neige a fondu au printemps de 1995, il est devenu évident pour Naser Oric, l’homme qui commandait les combattants bosno-musulmans, que l’armée bosno-serbe allait attaquer Srebrenica pour faire cesser ses attaques de villages serbe. » 

       Soit une légitime défense. Le commandant des forces de paix insiste sur le fait que l’armée serbe, lors de la libération de Srebrenica, avait pris soin de séparer les femmes et les enfants des militaires bosno musulmans ayant du sang sur les mains, ce geste démontrant clairement qu’il n’y avait pas de volonté de génocide. Il poursuit sur la querelle des chiffres :

    «  Les éléments fournis au tribunal pour crimes de guerres de La Haye soulèvent de sérieux doutes sur le chiffre « jusqu’à » 8000 bosno-musulmans massacrés. Ce chiffre inclus « jusqu’à » 5000 enregistrés comme manquant (nda : le plus souvent réfugiés vers de nord, aucun élément ne prouve leur présence dans le « charnier »). Plus de 2000 corps ont été exhumés à Srebrenica et dans les environs, et ils comprennent les victimes de trois années d’intenses combats dans la région (nda : et non celles du pseudo génocide). L’arithmétique ne peut tout simplement pas confirmer le chiffre de 8000 tués. Naser Oric, le chef militaire bosno-musulman à Srebrenica, est actuellement inculpé à La Haye de crimes commis pendant la « défense » de la ville. Les preuves à ce jour montrent qu’il a été responsable du meurtre d’autant de civils serbes à l’extérieur de Srebrenica  qu’il y a eu de gens massacrés par l’armée bosno-serbe à l’intérieur de la ville »

       Pour connaître la vérité sur Srebrenica, lire le receuil de documents de l’association Vérité et Justice Le dossier caché du « génocide » de Srebrenica incluant l’analyse du groupe de recherche américain,le rapport officiel des serbes de Bosnie censuré jusqu’alors, et des témoignages d’hommes de terrains, dont des hauts gradés.

       Il serait trop long de citer tous les témoignages accablant contre Naser Oric, délibérément ignorés par la presse française. Eve Crépin, infirmière française de terrain témoigna face à Clara Del Ponte lors du Procès Milosevic, pour rendre à Naser Oric ce qui est à Naser Oric, et à Radko Mladic ce qui est à Radko Mladic :                                                      

    «  Des milices musulmanes furent créées à Sarajevo et dans ses environs dès l’année 1991, avant la proclamation de l’indépendance de la Bosni-Herzegovine. Elles avaient pour but de terroriser la population serbe de Sarajevo et de ses environs, par exemple Tarcin. Dès 1992, les milices musulmanes de Naser Oricont semé la terreur autour de Srebrenica. C’est à partir de Srebrenica que les troupes de Naser Oric,commandant des forces de l’armée bosniaque dans cette enclave, ont massacré des centaines de civils serbes dans les villages alentours[1]Le 7 janvier 1993, jour de Noël orthodoxe, les troupes de Naser Oricattaquèrent des villages et des fermes serbes. Une cinquantaine de civils serbes furent tués au cours de ce massacre. Srebrenica a été déclarée zone de protection des Nations Unies en 1993. Mais rien n’a changé. La zone n’a pas été démilitarisée par les forces bosniaques. Elle a continué de servir de base arrière aux troupes musulmanes jusqu’en juillet 1995. Entre 1500 et 2000 serbes ont été tués entre ces quatre années. Tous les comptes rendus d’autopsie de ces victimes existent. Ils ont été présentés au Tribunal Pénal International pour l’ex-Yougoslavie en 2000par le docteur Zoran Stankovic. Concernant Gorazde, un massacre de la population serbe fut perpétré le27 août 1992 par des milices musulmanes.

       De nombreux camps de détention pour Serbes furent ouverts en Bosnie par les Musulmans (Celebici et Tarcin). Certains sont restés ouverts jusqu’aux accord de Dayton en 1995. Le camp de Celecebi[2], en Herzegovine, a commencé a fonctionné dès le 20 mai 1992. Des organismes comme le CICR, la Direction du Centre pour les Droits de l’Homme à Genève et les organes d’information de l’ONU, étaient au courant de l’existence de ce camps (nda : Le Monde préférait reprendre les intoxications d’Izetbegovic sur les camps serbes qui n’ont jamais existés !). Plus de 500 citoyens civils serbes de la région de Konjic ont été emprisonnés, torturés dans ce camp. Tous les certificats, radiographies, analyses ou comptes rendus d’autopsie effectués pour ces victimes existent et attestent de ces faits[3].

       Le camp de Tarcin[4](silo de Tarcin à côté de Sarajevo) était un camp de détention créé par les Musulmans pour les habitants serbes des environs de Sarajevo. Ila été ouvert en mai 1992 et n’a été fermé qu’en janvier 1996, après la signature des accords de Dayton. Environ 550 civils de nationalité serbe dont 11 femmes ont été détenus dans ce camp. Beaucoup de victimes de ce camp y sont mortes soit de tortures, soit de faim. Les survivants seront  marqués  à vie par ce qu’il y ont subi. Les témoignages recueillis sont insupportables »                                      

       Le témoignage édifiant de Eve Crépin est tiré du document préfacé par le Général Pierre-Marie Gallois« Le procès de Milosevic ou l’inculpation du peuple serbe », L’Age d’Homme, 2005, page 201.

       Ce témoignage fait parti du dossier d’instruction contre Naser Oric, mais les « juges » à la solde de l’Otan préfèrent croire Naser Oric, « aucune preuve » malgré les tombes, les milliers de familles qu’il suffit d’aller interroger, et les uniformes bien identifiables des hommes de Oric.

    Autre témoignage, vidéo cette fois. Un journaliste du Toronto Star, le 16 juillet 1995 décrit une vidéo analysée par la rédaction du journal canadien, montrant des scènes d’épuration ethniques aux alentours de Srebrenica :

       « Sur la vidéo, des maisons en train de brûler, des cadavres, des têtes tranchées, et des gens s’enfuir. [Le Commandant] Oric pendant tout ce temps souriait, admirant son oeuvre. ‘Nous leur avons tendu une embuscade’, dit-il lorsque un nombre de Serbes morts apparut à l’écran. La séquence suivante montrait des corps de personnes qui avaient été tués à coup d’explosifs : ‘On a envoyé ces types dans la lune’, dit-il fièrement. Lorsqu’ arrive la scène d’une cité fantôme, aux murs criblés de balles, sans aucun corps apparent, Oric se hâte d’annoncer : ‘Nous avons tué là 114 Serbes‘. Plus tard, il y avait des célébrations, avec des chanteurs chantant ses louanges d’une voix hésitante » Notez que Oric dit bien que ses « troupes » ont mutilé et abattu des villageois, pas des troupes serbes.

      ‘Nous avons du utiliser les armes blanches cette nuit-là’, explique Oric lorsque les scènes d’hommes morts découpés au couteaux se suivent sur son Sony 21 pouces…Etendu sur un divan bien rembourré, une pièce de tissu de l’armée US fièrement exposé sur le coeur, …le commandant musulman est l’homme fort de cette ville [de Srebrenica], que le Conseil de Sécurité des Nations Unies a déclaré ‘zone de sécurité’ protégée« 

    Le colonel français Patrick Barriot sur le terrain à l’époque, témoigna devant Clara del Ponte de ces faits d’armes jamais jugés des Bosno-musulmans :

    « Aussitôt que l’armée fédérale yougoslave (JNA) se fut retirée de la région , au mois de mai 1992, le commandement des forces musulmanes de Srebrenica fut confié à des repris de justice tels que Naser Oric et Zulfo Tursunovic. Srebrenica fut transformée en base de repli des combattants bosniaques qui effectuaient des incursions dans les villages serbes alentour. De mai 1992 à janvier 1994, près de 200 villages serbes furent mis à sac et plus de 1000 civils massacrés y compris femmes, enfants et vieillards. Le 7 janvier 1993, jour de Noel orthodoxe, les troupes bosniaques massacrèrent les habitants du village de Kravica. Le nombre de Serbes massacrés dans les environs de Srebrenica de 1992 à 1995 est au moins égal aux nombres de Musulmans bosniaques tués lors de la prise de la ville en juillet 1995. (…),Dans la nuit du 11 au 12 juillet, entre 10 000 et 15 000 Musulmans armés (chiffre confirmé par Naser Oric) ont quitté Srebrenica pour tenter de rejoindre à travers bois Tuzla et Kladanj. Durant la nuit, ces hommes se sont violemment affrontés aux forces serbes positionnés dans la forêt autour de Srebrenica. Environ 1800 soldats musulmans sont morts au cours des combats. Les forces serbes ont  perdu de leur côté plus de 500 hommes (rapport de 1 à 3).  »  Le procès de Milosevic ou l’inculpation du peuple serbe , L’Age d’Homme, 2005, page 58.

      A noter que, lors de la prise de la ville, les forces serbes ont évacué en bus vers Kladanj, en territoire musulman, femmes, enfants et vieillard. Les hommes ont été appellé à déposer les armes. Ceux qui l’ont fait ont été amenés à Bratunac pour vérification d’identité afin de déterminer si ils étaient impliqués dans les massacres de civils des années précédentes. Des échanges de prisonniers ont eu lieu avec le gouvernement islamiste de Alija Izetbegovic. Le « mythe des 7000 morts » du « génocide » a été construit en rassemblant un gros millier de corps des musulmans n’ayant pas voulu déposer les armes…du théatre 100% Izetbegovic, ayant déjà été capable de tirer des obus sur son propre peuple (marché de Markalé à Sarajevo ) afin de faire porter le chapeau aux Serbes… 

       Il faut relire attentivement la Déclaration islamique d’Alija Izetbegovic, chef de Nasir Oric et premier président de la Bosnie indépendante, pour comprendre le caractère djihadiste du comportement de l’armée islamique bosniaque, préparée doctrinalement à l’extermination totale des non-musulmans.

    1] Ces troupes ont pillé, détruit, mis à feu et à sang plus d’une centaine de localités autour de Srebrenica. Les habitants des villages y ont été brûlés, égorgés, décapités, éventrés avec des objets contandants. Ces exactions ont fait des dizaines de milliers de réfugiés et près d’un millier de civils tués. (nda : pas assez pour Clara del PonteLe général Morillon lui-même a assisté à l’exhumation des fosses communes.

    [2] Les auteurs de ces horreurs sont les membres du HOS (les « chemises noires » neo-nazies, qui regroupent des Croates et des Musulmans. L’existence de ce camp s’inscrivait dans un vaste programme d’épuration ethnique de la région de Konjic qui a commencé le 10 avril 1992 à l’encontre des civils serbes, femmes, enfants, vieillards ou hommes. La présence d’Alija Izetbegovic ( nda :soutenu à l’époque par Mitterand et BHL) et d’un général de l’armée bosniaque dans ces camps est prouvée. En outre, plusieurs milliers de Serbes ont été obligés de partir de la région de Konjic.

    [3] Voir l’article de Libération du 17novembre 1998 intitulé « Le TPI à l’écoute des victimes serbes »

    [4] Alija Izetbegovic était au courant de l’existence de ce camp puisque c’est lui qui délivrait les autorisations de visite du camp aux représentants de la Croix-Rouge.

    http://islamisation.fr/2017/11/22/le-figaro-accable-ratko-mladic-et-tait-lepuration-des-serbes-de-bosnie-autour-de-srebrenica/

  • Haziza, qui avait insulté La Manif Pour Tous, suspendu suite à une plainte pour agression sexuelle

    Astrid de Villaines, journaliste de LCP-AN, a déposé une plainte, dimanche 19 novembre, contre Frédéric Haziza présentateur phare de La chaîne parlementaire qu’elle accuse d’agression sexuelle. Une enquête préliminaire a été ouverte et a été confiée à la brigade de répression de la délinquance contre la personne de la police judiciaire. Les faits seraient survenus le 20 novembre 2014. Alors qu’Astrid de Villaines souhaitait rejoindre son bureau, le présentateur lui aurait bloqué le passage.

    «Je suis donc passée devant lui, face à face. Monsieur Haziza a alors tendu son bras droit, autour de ma taille. Sa main s’est alors retrouvée au niveau de mes fesses, côté gauche, en l’appuyant fortement. Dans le même temps, monsieur Haziza m’a pincé la fesse gauche».

    Immédiatement convoqué dans le bureau du rédacteur en chef de l’époque, le présentateur et journaliste aurait d’abord nié les faits.

    «Monsieur Haziza nous a déclaré (devant elle et le rédacteur en chef) ne pas m’avoir touché les fesses, mais juste les genoux et n’a pas reconnu les faits devant mon rédacteur. Je précise que monsieur Haziza a déclaré devant mon rédacteur, vouloir m’acheter une viennoiserie afin que cet incident s’achève. Je précise avoir quitté la salle après ces propos déplacés».

    Dans sa plainte, Astrid de Villaines ajoute que le présentateur avait eu des «gestes ou des allusions déplacées» les années précédentes. Saisi par le Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de LCP, la direction a adressé un avertissement à l’encontre de Frédéric Haziza. Gérard Leclerc, président de la chaîne à l’époque, confirme

    «qu’une procédure avait été ouverte et qu’une sanction avait été décidée à l’encontre du journaliste».

    Certains salariés, citant des précédentes affaires d’agressions sexuelles ayant entraîné des licenciement dans l’entreprise, jugent que la sanction prononcée contre le présentateur avait été très faible. BuzzFeed a recueilli le témoignage de deux autres femmes envers lesquelles Frédéric Haziza aurait eu des comportements inappropriés.

    Mardi soir, LCP a annoncé la suspension du journaliste.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • SOUS PRÉTEXTE DE LUTTE « ANTIRACISTE », LES STAGES D’ENDOCTRINEMENT DE SUD ÉDUCATION !

    Certes, on connaît l’esprit boutique de SUD Éducation, un syndicat rouge piment qui confond politique et éducation, endoctrinement et enseignement, mais l’annonce de leur prochaine session de stages, en décembre prochain, montre qu’ils se surpassent.

    Le thème retenu par SUD Éducation 93 (département de Seine-Saint-Denis) est : « Au croisement des oppressions : où en est l’antiracisme à l’école ? »

    Énoncé parfaitement erroné puisque le préambule – ou le menu, si vous préférez – montre qu’il ne s’agit absolument pas de savoir où en est l’antiracisme, mais au contraire de prouver que le racisme se cache dans tous les secteurs de la société française, et en particulier dans l’Éducation. Jugez-en :

    « Programmes d’Histoire servant le roman national, sur-orientation dans les filières professionnelles des élèves desdendant·e·s des immigrations en particulier postcoloniales, islamophobie et instrumentalisation de la laïcité, politiques migratoires durcies qui concernent de nombreux élèves et leurs familles, violences policières qui touchent les élèves à l’extérieur et dans l’école… L’analyse du racisme d’État dans la société et en particulier dans l’Éducation nationale s’impose. »

    C’est donc un dogme : la France est raciste, son enseignement discriminatoire, son école un lieu de relégation et sa police tortionnaire. J’oubliais l’islamophobie, cheval de bataille de la gauche extrême.
    En revanche, SUD Éducation est incollable en « écriture inclusive ».

    La suite du propos est tout aussi édifiante : « Comment déconstruire chez et avec les enseignant·e·s les discriminations raciales ? Comment travailler avec les élèves pour leur donner des outils de lutte en vue d’une transformation sociale ? »

    Naïve, je croyais que le souci des syndicats d’enseignants était de donner aux élèves et à leurs professeurs de meilleurs outils pour progresser dans l’acquisition des savoirs, et non pas pour « transformer » la société…

    Bref, au menu du 18 décembre, séance plénière matinale sur le thème « Qu’est-ce qu’un·e élève racisé·e ? » Animateurs : Nacira Guénif et Marwan Mohammed, sociologues. Au programme de l’après-midi : « La question de l’islamophobie dans l’Éducation nationale, enjeux et débats. » Disc-jockeys : « Marwan Muhammad, ancien porte-parole du CCIF et un·e membre (sic) du cercle des enseignant·e·s laïques. »

    Et au menu du 19 : « Les inégalités ethnoraciales à l’école », avec Lila Belkacem, sociologue et formatrice à l’ESPE de Bonneuil. Et fin de session avec les « Récits de lutte » par Malika Chemmah de RESF (Réseau éducation sans frontières) et Fatima Ouassak du Front des mères.

    En sandwich entre les séances, des ateliers tous plus passionnants les uns que les autres (« Comment enseigner une histoire décoloniale ? »« Atelier pratique de conscientisation – bell hooks », « Enseignant·es blanc·he·s : interroger nos représentations et nos postures dominantes », etc.), dont certains en « non-mixité ». Car si, à SUD Éducation, on pratique scrupuleusement l’écriture inclusive, il est clair qu’on ne se mélange pas quand il s’agit de déconstruire non seulement les « préjugés de race », mais aussi ceux de genre. Et pas question, non plus, d’inviter madame Dupont pour parler de sa difficulté à enseigner la Shoah ou de son mal-être quand elle se fait traiter de « sale Blanche ».

    Enfin, et c’est magnifique, SUD explique à ses candidats que ce stage peut leur être offert par nos soins au titre de la formation professionnelle, mais que si « l’administration peut demander une attestation à l’issue du stage, [mais] elle ne peut exiger ni convocation, ni information sur l’objet du stage ».

    Je vous laisse méditer cela…

    http://www.bvoltaire.fr/pretexte-de-lutte-antiraciste-stages-dendoctrinement-de-sud-education/

  • Franc-maçonnerie: «un satanisme qui ne dit pas son nom»

    Cyril Dougados, fût durant 17 ans frère maçon au 33ème degré de la Grande loge nationale Française. Il témoigne de ce qu'est la franc-maçonnerie et de sa conversion au Christ.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Front National, la persécution bancaire continue

    L’information est publiée le 21 novembre dans le quotidien économique La Tribune.  La Société Générale a décidé unilatéralement et sans sommation de clôturer les comptes du parti à la flamme. La source, une lettre interne du parti, a été reproduite par la radio officielle de la Matrice (France Inter) et le journal d’investigations qui arrangent le régime, Mediapart.

    Selon le trésorier du FN, Wallerand de Saint-Just (qui j’espère pour le parti est plus compétant comme trésorier que comme avocat…) : « La Société générale était la banque du Front national depuis plusieurs dizaines d’années et, au mois de juillet, elle nous a indiqué qu’elle éjectait tous nos comptes et le compte du mandataire financier du Front national. Elle n’a donné aucune raison. J’ai fait tous les recours internes, ils n’ont absolument pas abouti ». Le directeur de la communication du parti, David Rachline, s’est exprimé de son côté sur Sud Radio : « Il semblerait que cette banque ne veuille plus de nous, on se demande pourquoi. C’est un véritable scandale », confirmant au passage que « les banques et certains membres de l’oligarchie » qui useraient de « leur pouvoir financier pour faire en sorte que certains partis politiques ne puissent pas faire campagne ». C’est sûr que cela ne risque pas d’arriver au Mechancon, roue de secours de la haute finance apatride pour la période post-macronienne.

    En effet, en 1993, dernière année où les candidats aux législatives pouvaient être financés par des entreprises, les communistes et les candidats d’extrême gauche ont bénéficié des prébendes de la haute finance apatride. Les petits marquis gauchistes du PS avaient ainsi été grassement subventionnés : Marie-Noëlle Lienemann a bénéficié de 581 000 francs de dons de sociétés industrielles et financières – Soit plus que la totalité des 577 candidats FN (environ 500 000 francs pour le parti à la flamme, dont 90 000 francs pour le seul Charles de Chambrun et 55 000 francs pour Jacques Peyrat… – 318 000 francs pour Michel Berson, 208 000 francs pour Claude Germon, 240 000 francs pour Julien Dray, 50 000 francs pour Harlem Désir, 250 000 francs pour Henri Weber, 280 000 francs pour Michel Rocard, 290 000 francs pour Henri Emmanuelli, 135 000  francs pour Dominique Strauss-Kahn, 257 000 francs pour Jean-Christophe Cambadélis, 204 000 francs pour Jean-Pierre Chevènement, 451 000 francs pour Pierre Moscovici, 400 000 francs pour Lionel Jospin, 122 000 francs pour Eric Ghebali, 439 000 francs pour Jean Auroux, 466 000 pour Yves Le Drian, 575 000 francs pour Jacques Mellick, 50 000 francs pour Alain Geismar, 84 000 francs pour Isabelle Thomas … Les candidats du PCF furent pour certains d’entre eux, bien subventionnés par le capital honni : 435 000 pour Pierre Goldberg, 204 000 francs pour Jean-Claude Gayssot, 90 000 francs pour Alain Cuerq, 265 000 francs pour Jean-Pierre Bréard, 417 000 francs pour Patrick Braouezec, 196 000 francs pour Muguette Jacquaint, 100 000 francs pour Daniel Mongeau, 100 000 francs pour Guy Hermier, 269 000 francs pour Roger Mei, 310 000 francs pour Paul Lombard, 200 000 francs pour Marcel Larmanou…

    C’est peut-être parce que les gauchistes sont les laquais du capital que sur le site d’extrême gauche des Cahiers du Football, on peut lire : « Le seul moyen de plus entendre le FN pleurnicher, c’est un coup sec derrière la nuque. »  Tout fier de lui Gone n Rosette (jeu de mot entre le surnom des Lyonnais et un groupe musical californien spécialisé dans l’écorchement des oreilles et par ailleurs ayant fait quelques bonnes chansons telles Civil war ou Paradise City) et bien entendu approuvé par le sous-Pol Pot local. C’est bien simple, fier comme un Clément Méric partant gaiment au lynchage de « fachos » le 5 juin 2013…

    Pour en revenir aux persécutions financières de la droite nationale, cela ne date pas d’hier. Il y a quelques temps, c’est Alain Soral qui s’était vu clôturer de manière totalement arbitraire ses compte à la Banque Postale (à la grande satisfaction du torchon Street Press qui rembourse verbalement la location de la laisse). Plus anciennement, quand Jean-Marie Le Chevallier a été élu maire de Toulon en 1995, il a découvert que la ville était en banqueroute et ne pouvait plus assurer le paiement du salaire des employés municipaux. Il avait été obligé d’emprunter à la seule banque qui avait accepté, une banque allemande qui avait fixé un taux de 18 % ! Il aurait d’ailleurs mieux valu qu’il déclare la ville en cessation de paiement dès le premier jour, cela lui aurait ensuite éviter de s’esquinter le mandat à réparer les prévarications des autres. Stay calm comme disent les Anglais, quand tu es légalement élu, compte sur la matrice pour te savonner la planche…

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/front-national-la-persecution-bancaire-continue/83748/

  • L’ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE SE COUCHE DEVANT LE LOBBY LGBT

    Et le coq chanta 3 fois !

     

    C’est peut-être ça « l’effet Toubon »…

    Coïncidence ? Hier, c’était la « Journée des droits de l’enfant » avec son inévitable publication du rapport du défenseur des droits, Mr Jacques Toubon, et c’était aussi le jour qu’a choisi le diocèse catholique de Rodez pour tomber dans les bras du lobby LGBT.

    Dans l’Aveyron, l’affaire avait fait un peu de bruit ces derniers jours : des parents des très privés collèges Saint Joseph de Rodez et Sainte-Marie de Cassagnes-Begonhès se sont émus de la programmation du spectacle débat « X, Y et Moi ? » destiné aux élèves.

    Pas de quoi fouetter un chat, selon les responsables diocésains qui se sont excusés bien bas auprès de la troupe… du « trouble » occasionné par certains réfractaires entraînant « un climat de défiance auprès de nombreuses familles »…Un vrai baiser de Judas !

    Les chefs d’établissement concernés, conjointement avec la direction diocésaine et l’évêque de Rodez se justifient « des qualités de ce spectacle qui a le mérite d’inviter (les élèves) à réfléchir sur l’égalité et la complémentarité hommes / femmes. »… et le coq chanta 3 fois !

    La dite troupe théâtrale Cie L’An 01 qui anime des « Festivals des fiertés promet « du lourd »: « Sous le prétexte d’une fausse conférence autour de la couleur rose et de son histoire au fil des siècles, nous souhaitons, avec humour et provocation, proposer une redistribution des rôles et des codes masculins et féminins au-delà d’une classification imposée par certains outils d’expression de notre société. Il s’agit d’ouvrir notre esprit critique et de se repenser en tant qu’individu (…) D’où viennent ces inégalités ? Elles perdurent depuis des siècles et sont d’origines religieuse ou socioculturelle. Outre ces origines, la sociabilisation des enfants peut également être à l’origine de ces clichés, preuve : les rayons et catalogues de jouets de 2015, qui présentent encore les poupons, dînettes et aspirateurs roses pour filles, les bateaux pirates et les voitures pour garçons. » 

    Curieusement, le même jour, le défenseur des droits de l’enfant rendait son rapport version 2017. Au menu cette année : situation des enfants migrants, l’accès à la santé et à l’école, la maltraitance infantile, l’instauration d’une sanction pour les parents-auteurs de fessées, les viols des mineurs et un peu, mais un tout petit peu seulement la Gestation pour Autrui et la PMA (unique recommandation de Mr Toubon sur ce dernier thème : que « le débat soit marqué de rationalité »).

    Entre mille, Mr Toubon a choisi sa priorité ; selon lui, « il est urgent de réformer l’éducation à la sexualité » pour résoudre les problèmes de harcèlements sexuels dans les cours d’école.

    À son grand désarroi en effet, « encore un quart d’irréductibles établissements avouent ne pas proposer du tout ce type d’enseignement ». Et d’enjoindre l’enseignement catholique de s’aligner sur le public en la matière.

    Non mais sans rire, qui peut imaginer une seconde éradiquer les problèmes de violences sexuelles en mettant à la disposition des écoliers des « boîtes à outils » qui leur enseignent « les différentes positions associées aux différentes pratiques sexuelles » (Site recommandé par l’éducation nationale « onsexprime.fr ») ou des livres pour les plus jeunes comme « Tomber la culotte » ou « Papa porte une robe » ou encore faire intervenir des associations pro LGBT ?
    En tout cas le diocèse de l’Aveyron lui, il y croit, même qu’hier il était premier de classe !

    http://www.bvoltaire.fr/lenseignement-catholique-se-couche-devant-lobby-lgbt/

  • HOLD-UP : LE BLOCAGE POSSIBLE DE TOUS LES COMPTES BANCAIRES EST ENVISAGÉ PAR LA BCE

    Marc Rousset

    1737457534.2.jpgTout va très bien ! Il n’y a pas de crise en vue ou de souci à se faire !

    La sempiternelle croissance retrouvée est bien là devant nous, en personne, et elle nous sourit à tous ! Dormez bien sur vos deux oreilles, braves gens, et imprégnez-vous de ce qu’écrivent vos quotidiens économiques ou de ce que vient de déclarer le professeur Olivier Blanchard, l’ancien chef économiste du FMI, actuellement au MIT à Boston, au-delà de quelques doutes très formels de principe, lors d’un entretien récent avec Le Figaro.

    Malheureusement, si les hommes de gauche, du Système et de la pensée unique voient ce qu’ils croient, certains hommes de droite croient ce qu’ils voient. De nombreux indices et différentes réflexions économiques laissent penser qu’un krach est probable dans un proche avenir, d’autant plus que de nombreux organismes officiels nationaux et internationaux laissent parfois transparaître, au-delà des déclarations officielles lénifiantes systématiques, des raisons de douter.

    C’est ainsi que les travaux de réflexion et d’analyse de la BCE de Francfort dans un document de 58 pages publié le 8 novembre 2017 ne peuvent que conforter ceux qui voient se profiler un très grave krach financier à l’horizon.
     
    La BCE accepterait, suite à l’impécuniosité des banques et des gouvernements, qu’une partie des dépôts bancaires soit confisquée pour éviter la faillite et la banqueroute de certaines banques. Il est écrit noir sur blanc, dans ce document de travail : « Les déposants pourront avoir accès à une partie seulement de leurs avoirs en banque, afin de leur permettre d’assumer leurs dépenses quotidiennes, dans les cinq jours qui suivront leur demande. »

    Et tous les comptes seraient concernés, pas seulement ceux des déposants disposant de plus de 100.000 euros, contrairement à ce qui est affirmé, cru et répété urbi et orbi dans les médias. Ce fut déjà le cas à Chypre en mars 2013 ; les comptes de dépôt des particuliers furent bloqués afin d’éviter la panique et la course aux guichets, le retrait de leurs avoirs par des déposants et, donc, l’écroulement des établissements bancaires.

    Lorsque l’on sait qu’il y a déjà eu une directive européenne DRRB (directive sur le redressement et la résolution des banques) autorisant à « chypriser » les comptes au-dessus de 100.000 euros, que la loi Sapin 2 autorise déjà très officiellement le gouvernement français à pouvoir bloquer les comptes de l’assurance-vie en cas de crise, il est alors possible de pouvoir douter et s’interroger sérieusement sur une probable crise à venir, compte tenu des dernières réflexions en cours à la BCE. Il n’y a pas de fumée sans feu.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/