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lobby - Page 1157

  • Fatigués d'être hystérisés ?

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    N'êtes-vous pas fatigués d'être hystérisés ? C'est Maxime Tandonnet dans le Figaro qui a qualifié de la sorte le résultat des immenses et incessantes campagnes de conditionnement auxquelles les médias sont convenus de nous soumettre présentement. De façon parfaitement coordonnée, uniforme et massive, telles les armes de destruction qu'était censé posséder Saddam Hussein et que, lui, ne possédait pas. 

    Il ne s'agit plus de nous inculquer une doctrine politique, ni de nous enrôler dans le sillage d'un quelconque parti - unique le cas échéant. Les partis, déjà moribonds avant lui, ont été heureusement balayés, dégagés, par Macron ; et les idéologies politiques semblent avoir été remisées au musée des doctrines mortes. 

    Non, il s'agit désormais de nos vies privées, personnelles et sociales.  

    Il y a tout en haut de l'échelle liberticide des campagnes médiatiques en action l'obsession du « genre » ; arbitraire obsession car, hormis les minorités de tous types qui aspirent à obtenir pour leurs déviances le statut de norme, jamais, depuis sans-doute les origines de l'humanité, les garçons et les filles de par la nature et la naissance, n'ont eu grand mal à se reconnaître pour tels et à opérer entre eux ce genre de rapprochements par lesquels les sociétés se fondent et se perpétuent. Les modes opératoires ne sont pas pour eux très longtemps mystérieux et s'exécutent depuis des siècles de siècles sans grand effort de psychologie. Aujourd'hui, à l'inverse, selon la doxa le père dit à l'enfant : « tu seras une femme, mon fils. » 

    Qu'importe que la théorie du genre, sous ses diverses extrapolations soit ou non formellement enseignée à l'école ? Elle y est diffuse, omniprésente, dominante, non vraiment dans l'esprit des gens normaux comme vous et moi, mais parce qu'elle est continûment présente dans tous les moyens de communication de masse, ce qu'on appelait en un temps déjà ancien sous influence marxiste-léniniste, les mass-médias, qui finissent aujourd’hui par envahir l'air ambiant social. 

    Alors il y a, sans rire, un secrétariat d'Etat chargé de l'égalité homme-femme ; il y a la folie de l'écriture inclusive, qui n'est qu'un défi au bon sens ; il y a l'infâme hashtag Balance ton porc dont on ne sait dire lequel des trois vocables qui le composent est le plus vulgaire, le plus avilissant ; il y a la perpétuelle dénonciation des violences faites aux femmes, la chasse au harcèlement sexuel, l'élaboration de lois ad hoc. Etc.  Demain les hommes ainsi stigmatisés à raison du comportement dégoûtant de quelques-uns d'entre eux sortiront-ils encore dans la rue sans honte ? Oseront-ils s'y montrer ? Ce n'est pas sûr.  

    Samedi dernier, sur le plateau d'On n'est pas couché, Alain Finkielkraut, en rupture avec ces exagérations, ces vulgarités ou ces folies, a rappelé avec nostalgie à des harpies féministes qui n'ont pas peur des Beurs, que la galanterie est une des traditions françaises. Et, questionné sur l'écriture inclusive, destinée à soi-disant féminiser la langue, il saisit l'occasion pour adresser au journal Le Monde une demande en forme de sommation qui, tout à la fois, fait sourire et fait mouche : puisque Le Monde s'en est déclaré chaud partisan, qu'il publie désormais ses articles en écriture inclusive ! Finkelkraut a ajouté que l'ex grand quotidien du soir - devenu, selon lui, une feuille de choux qui ne se consacre plus qu'à de la propagande - y perdrait tous ses lecteurs et qu'on en serait ainsi débarrassés.  

    Il arrive que l'excès, l'exagération finissent par agacer. Cela semble être le cas des campagnes féministes que les médias relaient et amplifient sans limites. A preuve, les éloges et le soutien inattendus de Yann Moix et Christine Angot envers Alain Finkelkraut lors de ce passage à ONPC que nous venons d'évoquer. Il en est ressorti satisfait. Et nous aussi. 

    Tout n'est donc peut-être pas permis en France. Pas encore. Il faut se hâter ...  

    Retrouvez l'ensemble de ces chroniques en cliquant sur le lien ci-dessous

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • L'industrie française sacrifiée sur l'autel de l'Europe

    Les fusions Siemens-Alcatel et STX - Fincantieri, révèlent le manque flagrant de vision industrielle d'Emmanuel Macron. Mais ces deux cas dessinent la politique européenne en la matière. Loin de favoriser l’émergence de nouveaux champions, elle risque de leur mettre des bâtons dans les roues.

    « Avec cette opération, on ne construit pas un champion européen, mais un champion allemand », s'insurgeait le cacique LR Xavier Bertrand à propos de la fusion des activités ferroviaires d'Alstom et de son rival allemand Siemens.

    On « assiste à la braderie des intérêts français aux profits d'intérêts étrangers », renchérissait, lapidaire, Jacques Myard. L'ex-député connaît le dossier, puisqu'il avait demandé en 2014 la création d'une commission d'enquête parlementaire au moment de la cession de la branche énergie d'Alstom à l'américain General Electric, par - déjà - Emmanuel Macron.

    Pour lui, l'affaire est claire en cédant 70% du chiffre d'affaires d'Alstom aux Américains, Macron a affaibli l'entreprise... avant de l'achever sur l'autel de ses « utopies européennes. » « Est-ce la relation franco-allemande qui a dicté cette fusion ? », s'interroge de son côté Xavier Bertrand.

    La question mérite d'être posée, tant les conditions de ce « rapprochement entre égaux » pose question. Alors que le français a un carnet de commandes bien plus fourni (34,8 milliards contre 7,8 milliards d'euros), c'est l'allemand qui prend contrôle de l'ensemble, avec 50 % des parts. Tout ça pour la création d'un « Airbus du rail », un beau slogan qui aurait supposé un équilibre entre les partenaires. Il est vrai que les perspectives du marché ferroviaire sont mauvaises, avec peut-être 30 % de baisse d'ici 2020 et une concurrence accrue, notamment du chinois CRRC ou du canadien Bombardier.

    Mais plutôt qu'une politique à la gribouille, entre achats de TGV inutiles, refus d'acheter les titres Alstom détenus par Bouygues, histoire d'empocher des centaines de millions de plus-value et peser sur la stratégie du groupe et vente d'Alstom à Siemens, une vision industrielle aurait été salutaire.

    Seulement, voilà, Macron n'en a pas, l'industrie ne l'intéresse pas, alors que Merkel, si. Dans ces conditions, pourquoi ne pas céder l'un de nos derniers fleurons (enfin ce qu'il en reste) pour amadouer la chancelière en vue de ses grands projets fédéralistes européens, à base de Défense ou de budget communs ? Il est en effet frappant de constater que c'est le jour même de son discours à la Sorbonne, vantant l'Europe et le couple franco-allemand qu'a été signée la cession d'Alstom.

    Le manque de vision industrielle et l'utopie européenne de Macron se retrouvent ailleurs. Si le gouvernement a provisoirement nationalisé STX, les chantiers navals de Saint-Nazaire, ce n'était en effet que reculer pour mieux sauter. La décision a été prise pour préserver cet outil « stratégique », après l'échec des négociations avec l'italien Fincantieri. Là encore, le gouvernement ambitionne de créer... un Airbus naval. Le compromis trouvé est un modèle de tartufferie, puisque Fincantieri détient maintenant 50 % de STX, plus 1 % « prêté » par l'État français pour douze ans. Mais avec un droit de veto français pour les décisions stratégiques, le naval s'en tire mieux que le ferroviaire. On ne saurait dire si c'est en rapport avec l'importance respective de chaque domaine ou si plus simplement, Macron est fort avec les faibles et faible avec les forts.

    Le dogme libéral de PEU contre les champions européens

    En arrière-plan se dessine une alliance entre Naval Group (l'ex-DCNS basée notamment à Lorient), STX France et Fincantieri. Cerise sur le gâteau, la sortie de crise s'accompagne d'un accord de coopération militaire entre la France et l'Italie, une brique de plus dans le projet de Défense européenne chère au Roitelet-Soleil. Première étape envisagée un pétrolier ravitailleur commun aux deux marines.

    Reste que dans un cas comme dans l'autre, la Commission européenne va devoir donner son aval, ce qui n'est pas évident. En effet, l’UE se caractérise par une absence totale de politique industrielle le Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne (TFUE) ne la mentionne que dans un unique article, qui indique que toute action pour l'industrie ne saurait porter atteinte à la concurrence.

    Un dogme libéral qui a empêché plus d'une fois l'émergence d'acteurs industriels majeurs. Ainsi, en 2016, la Commission européenne a-t-elle empêché le mariage d'Airbus et d'Ariane par crainte de créer un numéro un mondial qui écrase les concurrents américains, russes et chinois. Siemens-Alcatel se retrouvant pratiquement seul sur le marché des locomotives, des trains à grande vitesse ou des tramways, STX - Fincantieri se retrouvant aussi en position dominante sur certains secteurs, risquent de voir leurs ambitions contrecarrées par Bruxelles. Margrethe Vestager, commissaire à la Concurrence, pourrait ainsi ne permettre ces rapprochements que sous réserve de définir leur « marché géographique pertinent » respectif.

    En clair, ces entreprises seraient libres d'aller se frotter à la concurrence dans le monde sous réserve d'une plus grande ouverture du marché européen aux Chinois, Américains ou Japonais. Une bataille dans laquelle les pays européens les plus industrialisés, à commencer par l'Allemagne, auraient logiquement les meilleurs atouts pour s'en sortir.

    Richard Dalleau monde&vie 19 octobre 2017

  • NON, L’UNION EUROPÉENNE N’EST PAS L’EUROPE…

    La civilisation européenne est la synthèse de l’héritage des Grecs, des Romains et des chrétiens.

    Le légitime rejet que doit nous inspirer ce monstre technocratique et mondialiste qu’est l’Union européenne ne doit pas pour autant nous amener à jeter le bébé avec l’eau du bain… Ce serait tout aussi inconséquent que d’arrêter de croire en la France sous prétexte qu’elle est gouvernée par une oligarchie qui dessert ses intérêts.

    En réalité, il existe deux visions de l’Europe radicalement antinomiques.

    D’un côté, une Europe transatlantique et marchande : celle-ci n’est qu’un marchepied vers le gouvernement mondial. Elle est prête à s’ouvrir à tous vents – y compris à la Turquie face à qui l’unité européenne s’est construite – et renie son identité culturelle et spirituelle.
    À l’inverse, il existe une Europe civilisation. Celle-ci correspond à une réalité historique, géographique, culturelle et spirituelle. Elle est digne d’être défendue au même titre que la France et les patries charnelles que sont nos provinces historiques.
    Le premier texte dans lequel on trouve le mot Europe est un texte d’Hésiode qui date du VIIIe siècle avant Jésus-Christ. L’auteur évoque « ceux qui vivent dans le riche Péloponnèse, et ceux de l’Europe et tous ceux des îles baignées par les vagues ». Hérodote, le premier des vrais historiens, dit que les Grecs « divisent la terre en trois parties, Europe, Asie, Libye (aujourd’hui Afrique) ». Quant au terme d’Européens, il apparaît pour la première fois dans la chronique d’un auteur anonyme qui y décrit la bataille de Poitiers (732) dans laquelle les « Européens ont réussi à repousser une attaque des musulmans sur leur territoire ».
    Paul Valéry s’attellera à donner une définition de l’Europe : « J’appelle européenne toute terre qui a été successivement romanisée, christianisée et soumise aux disciplines et à l’esprit des Grecs. »
    Et plus tard Jean-Paul II pour qui l’Europe, ce sont « des peuples celtiques, germaniques, scandinaves…, façonnés par l’héritage antique surtout romain, et sur lesquels s’est greffé le christianisme ».
    Ainsi, selon une opinion générale, la civilisation européenne est la synthèse de l’héritage des Grecs, des Romains et des chrétiens.
    Quant à l’unité européenne, si la chrétienté a façonné une unité culturelle et spirituelle, les rares moments où l’Europe a été unie dans l’Histoire, en tant qu’entité civilisationnelle et politique, l’ont été dans des conditions d’adversité essentiellement face à l’islam : Poitiers, les croisades, la Reconquista, Vienne, Lépante. Et aucune nation seule n’aurait fait le poids face à ces invasions redoutables. Il s’ensuit que cette unité européenne était et est toujours une question de survie.
    La donne n’a aujourd’hui pas changé. Sauf que l’Europe ne sait plus désigner l’ennemi et, surtout, elle est face à un ennemi intérieur plus redoutable encore : son propre doute, son manque de courage, son nihilisme, le refus d’assumer son histoire. Le vers est dans le fruit.
    La question essentielle qui se pose aujourd’hui n’est donc pas avant tout juridique mais existentielle. Il s’agit d’une question de survie. Pour survivre, les peuples d’Europe doivent savoir d’où ils viennent pour puiser dans leur histoire, le courage pour affronter les défis qui mettent en péril son existence même. 
    Comme le disait Soljenitsyne, « aucun armement, si grand soit-il, ne viendra en aide en Occident tant que celui-ci n’aura pas surmonté sa perte de volonté. Pour se défendre, il faut être prêt à mourir, et cela n’existe qu’en petite quantité au sein d’une société élevée dans le culte du bien-être terrestre ».

     Avocat Vice président du SIEL
  • Incroyable fake news : les « quinze identitaires interpellés » étaient des antifas !

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    30/11/2017 – FRANCE (NOVOpress) : C’est une « fake news » de premier ordre qui s’est répandue depuis Paris dans toute l’Europe… Samedi dernier, un grand nombre de médias ont annoncé que « quinze identitaires » avaient été interpellés pour possession d’armes à l’occasion de la manifestation interdite « Face aux islamistes : Défendons l’Europe ! » Ce fut le cas de journaux allemands et autrichiens à grande audience (Spiegel et Standard) mais aussi de journaux français comme L’Obs, Le Monde expliquant :

    « Ces interpellations ont eu lieu “différents endroits“ de la capitale, a précisé la préfecture de police : “Quelques-uns ont été interpellés après être rentrés dans une librairie“ anarchiste proche de la place de la République, a précisé une source policière. “Il n’y a pas eu de casse“, a-t-elle ajouté. »

    C’est toujours ça…

    « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose », écrit Génération identitaire dans un communiqué : « Le mal est fait et l’essentiel du lectorat passera à côté. » Car dès dimanche, Génération identitaire avait demandé aux médias propageant cette « fake news » de rectifier les faits, « demandes adressées aux médias concernés preuves à l’appui ». Car« bien entendu, aucun de nos membres n’a été arrêté ce jour-là pour quelque motif que ce soit ».

    A l’origine de la propagation du bobard : l’Agence France Presse ! L’AFP a en effet titré sa dépêche : « Manifestation de Génération Identitaire interdite à Paris : 15 gardes à vue pour port d’arme ». Ce qui était  « suffisamment (volontairement?) flou, écrit l’organisation, pour laisser penser que ce sont des membres de Génération Identitaire qui étaient concernés ».

     Comment «L’Obs», l’AFP, le «Spiegel» et le «Standard» ont confondu militants de Génération identitaire... et d’extrême gauche http://bit.ly/2hYtP3g 

    Comment «L’Obs», l’AFP, le «Spiegel» et le «Standard» ont confondu militants de Génération identi...

    Le site américain Breitbart accuse le «Spiegel» et le «Standard» de propager des fake news. Une mauvaise traduction semble être à l'origine de l'intox.

    liberation.fr

    https://fr.novopress.info/208630/incroyable-fake-news-les-quinze-identitaires-interpelles-etaient-des-antifas/

  • Prédation sexuelle à l'UNEF - Journal du Jeudi 30 Novembre 2017

  • Voici la carte du grand remplacement qui n'existe pas

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    L'étude estime à 53% le taux de musulmans parmi les migrants arrivés en Europe entre 2010 et 2016. Pour la France, Pew Research Center estime que les musulmans représentent actuellement 8,8 % de la population – une légère hausse comparée aux 7,5 % de sa précédente étude, en 2011. En fonction de l’importance de l’immigration, l’étude prévoit un chiffre compris entre 12,7 et 18 % en 2050, soit un nombre total de musulmans allant de 8,6 à 13,2 millions dans l’Hexagone.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • A Hambourg comme dans le reste de l’Allemagne, près de la moitié des « réfugiés mineurs non accompagnés » sont de faux mineurs

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    Selon un nouveau rapport concernant les « réfugiés » mineurs dans la ville de Hambourg, ils étaient au moins 49 % à avoir menti sur leur âge cette année (à la fin septembre) contre 47 % l’année dernière. C’est le service des secours aux enfants et aux jeunes (KJND) qui contrôle l’âge des demandeurs d’asile avec leur passeport ou d’autres documents les identifiant. En cas de doute sur la véracité de l’âge indiqué par le demandeur d’asile, celui-ci est envoyé à l’hôpital pour des tests (rayons X, tomographie…) afin de déterminer son âge approximatif. Et c’est ainsi que les services allemands ont pu constater que 49 % des 482 « mineurs » non accompagnés arrivés à Hambourg entre janvier et décembre de cette année étaient en fait clairement majeurs.
    En 2016, la proportion avait été de 47 % des 1.813 « réfugiés mineurs » non accompagnés accueillis dans la ville. Au niveau national, la proportion est de 43 % selon le ministère fédéral des Affaires familiales, soit au moins 24.116 faux mineurs sur un total de 55.890. Il faut bien insister sur le « au moins », car les faux mineurs reconnus sont bien évidemment uniquement ceux qui ont fait l’objet d’un contrôle plus poussé.

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  • Harcèlement sexuel : l’UNEF, arroseur arrosé ?

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    Après le Mouvement des Jeunes socialistes, c’est au tour du Syndicat étudiant UNEF d’être frappé par une vague de dénonciations de harcèlements sexuels. Dans une tribune du Monde, des jeunes filles dénoncent le “système de prédation” mis en place sous la présidence de Jean-Baptiste Prévost, entre 2007 et 2011.

    Ancien Président de l’UNEF, conseiller de Najat Vallaud-Belkacem, c’est sous son “règne” à la tête de l’UNEF qu’aurait commencé à se développer ce système qualifié par certaines anciennes syndicalistes de “phallocrate” Un système qui tenait du “harem” selon certaines. Voire carrément du “droit de cuissage” pour d’autres. 

    Après les MJS, c'est l'UNEF qui est touchée par des scandales sexuels Et en tête de la liste des accusés, Jean-Baptiste Prévost, ancien conseiller de Najat Vallaud-Belkacem et actuel ambassadeur à Malte.
     http://www.atlantico.fr/pepites/apres-mjs-c-est-unef-qui-est-touchee-scandales-sexuels-3239597.html 

    Après les MJS, c'est l'UNEF qui est touchée par des scandales sexuels

    Et en tête de la liste des accusés, un nom qui écorche l'œil, celui de Jean-Baptiste Prévost, ancien conseiller de Najat Vallaud-Belkacem et actuel...

    atlantico.fr 
  • La phobie des frontières de la superclasse mondiale

    Leur objectif, c’est la disparition des frontières et tout particulièrement des frontières physiques qui pourraient limiter la libre circulation du capital, des marchandises et des hommes. Le baron Edmond de Rothschild l’a défini avec la plus grande clarté voilà plus de quarante ans : « L’obstacle qui doit disparaître, le verrou qui doit sauter, c’est la nation ». Voilà qui est net, et honnête. 
    Plus fondamentalement encore, agissant sur des marchés internationaux, les grandes firmes œuvrent en faveur de la disparition des frontières, entre les pays ou intérieures, psychologiques et matérielles, qui continuent d’exister entre des communautés d’origines et des cultures différentes. Tout ce qui permet l’enracinement est contraire aux intérêts des groupes multinationaux. La « discrimination positive » contribue à détruire les sociétés organiques au profit d’individus déracinés, soumis à leurs seules pulsions... satisfaites par toujours plus de consommation. 
    L’immigration est donc l’un des instruments les plus forts de la superclasse mondiale. D’abord elle pousse à la baisse les coûts de production, permet d’augmenter les marges, donc la rentabilité du capital, satisfaisant à la fois les actionnaires et les managers qui n’oublient pas de se rémunérer. Ensuite elle augmente les marchés solvables : un Africain installé en Europe consomme plus que celui qui reste en Afrique. 
    Et c’est, comme le souhaitait M. de Rothschild, un moyen efficace de détruire la nation. 
    Jean-Yves Le Gallou, Immigration, la catastrophe. Que faire ?

  • La presse aux ordres s'offusque que Donald Trump retweet les vidéos proposées par Jayda Fransen

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    Donald Trump a relayé aujourd'hui sur son compte Twitterune série de vidéos publiées par une responsable politique britannique d'extrême droite. Ces trois vidéos, tweetées par Jayda Fransen, vice-présidente du parti d'extrême droite Britain First, montrent des exactions commises par des musulmans.

    Plutôt que de s'indigner et d'enquêter sur les crimes commis sur les vidéos publiées, la presse internationale s'offusque que le Président américain ose révéler au monde entier ce que les médias omettent de faire par islamophilie pathologique.

    Source Thomas Joly cliquez ici et Le Figaro cliquez là

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    Jayda Fransen avec le Président Jean-Marie Le Pen dimanche 1er octobre dernier à Rungis (94) lors de la XIe Journée de Synthèse nationale cliquez ici

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