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lobby - Page 1292

  • Entrave à l'avortement : Alliance VITA dénonce l’irresponsabilité du gouvernement

    Alliance VITA dénonce la précipitation avec laquelle le gouvernement, relayé par le PS, s’acharne sur la question de l’avortement par l’instauration d’un nouveau délit d’entrave numérique, en accusant des « faux sites Internet » de tromper les femmes. 

    Ce texte, qui sera examiné le 1er décembre en procédure accélérée, indique qu’il s’agit de sites Internet qui « détournent les internautes d’une information fiable et objective ». Alliance VITA, dont le service d’écoute SOS Bébé (www.sosbebe.org) a été cité par le gouvernement, dénonce la manière dont il tente de censurer les opposants à la banalisation de l’avortement en ciblant les sites qui informent les femmes sur les alternatives à l’IVG.

    Pour Alliance VITA, la question de l’objectivité de l’information est réellement en jeu. Caroline Roux, coordinatrice des services d’écoute, souligne que :

    « En réalité, l’information des pouvoirs publics en matière d’IVG s’est dégradée depuis 15 ans. Ils ont renoncé à indiquer aux femmes, qui consultent en vue d’une IVG, les aides aux femmes enceintes auxquelles elles auraient droit. Le gouvernement sur son propre « site officiel » n’en fait aucune mention. De plus sur ce site, un prétendu expert affirme qu’il n’y a pas de séquelles psychologiques à long terme après un avortement. Cela va à l’encontre de notre expérience et de ce que vivent un certain nombre de femmes. Le sondage IFOP « les Français et l’IVG », publié fin septembre, révèle la sensibilité des Français sur ce sujet.  La Haute Autorité de Santé regrette le manque d’évaluation sur ce point.  L’immense majorité des femmes souhaite une véritable politique de prévention de l’IVG. Il est donc irresponsable de cacher la réalité d’un acte qui n’a rien d’anodin dans la mesure où c’est, à chaque fois, le destin de vies humaines qui est en jeu. Et nous accompagnons des femmes qui en endurent souvent des conséquences difficiles, dans la solitude. » 

    Tugdual Derville, délégué général :

    « Au-delà du scandale que constitue, dans le contexte que nous connaissons, le fait de décider un état d’urgence législatif sur un sujet nécessitant discernement, recul et vrai débat, il est irresponsable de mettre sur la sellette notre service d’écoute.Depuis plus de 20 ans, il fait un travail de service public déserté par les pouvoirs publics. Notre site SOS Bébé a été cité à maintes reprises par les médias depuis qu’a éclaté la polémique lancée par Madame Rossignol, sans que nous ayons été appelés par ses services pour connaître les informations qui seraient en cause, ou s’intéresser à notre expérience de terrain. Nous avons demandé un rendez-vous à la ministre qui n’a toujours pas répondu. L’urgence est d’instaurer un débat dépassionné sur les conditions d’une véritable politique de prévention de l’avortement, spécialement pour les femmes confrontées à des grossesses inattendues. »

    Alliance VITA a lancé une pétition contre, d’une part, la censure gouvernementale et d’autre part, pour une meilleure information sur les aides financières et sociales aux femmes enceintes. Celle-ci a déjà recueilli plus de 30 000 signatures. L’association dévoilera prochainement sa nouvelle campagne nationale de sensibilisation destinée à pallier le défaut d’information gouvernemental sur ce sujet sensible.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Intégration des migrants : hébergement, formation et emploi ! Rien que ça…

    Une chose est sûre : les très grosses entreprises si friandes d’immigrés ne sont pas près d’augmenter les salaires…

    Depuis 1996, grâce aux directives européennes du travailleur détaché, nous connaissions « le plombier polonais ». Grâce au « dispositif d’intégration » destiné aux réfugiés, place désormais au peintre en bâtiment afghan, au carreleur soudanais et à l’électricien érythréen.

    Poignées de main et sourires chaleureux, Emmanuelle Cosse et Myriam El Khomri, le 3 novembre, à Champs-sur-Marne, venues rendre visite à ces migrants, étaient aux anges. Il s’agissait de louer le « dispositif d’intégration par l’hébergement, la formation et l’emploi ». La préférence immigrée plus qu’assumée : revendiquée.

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  • L'autre visage des migrants 1/3

  • Joachim Véliocas : « Selon mes estimations, plus de 600 mosquées posent problème »

    Mercredi, le gouvernement a décidé de fermer quatre mosquées jugées radicales. Coïncidence de dates ? Joachim Véliocas vient de publier une enquête intitulé Mosquées radicales. Ce qu’on y dit. Ce qu’on y lit.

    Selon lui, si le ministère de l’Intérieur fermait toutes les mosquées qui « posent problème », celui-ci s’exposerait à des troubles ingérables.

    http://www.bvoltaire.fr/joachimveliocas/selon-mes-estimations-plus-de-600-mosquees-posent-probleme,292297

  • Le grand gagnant de la primaire est… Marine Le Pen !

    Le système des primaires recrée une république oligarchique et censitaire.

    De nombreuses voix ont judicieusement dénoncé, sur Boulevard Voltaire, la dénaturation de la Constitution gaullienne de 1958 qu’opère le système de la primaire, avec le contournement du suffrage universel direct.

    Certes, les médias ont essayé de nous convaincre que ce système passionnait les Français car le deuxième débat aurait rassemblé cinq millions de téléspectateurs. Certes, on nous prédit la participation de 3 à 4 millions de votants. Mais cela ne représente qu’une petite minorité du corps électoral : 10 % maximum.

    Surtout, les sondeurs et les politologues, comme M. Fourquet dans Le Figaro, commencent à reconnaître le décalage sociologique important entre cette minorité mobilisée par la primaire et le corps électoral entier. Une minorité où les retraités et les classes supérieures aisées sont surreprésentées.

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  • Comment répondre aux mensonges autour des attentats islamistes (argumentaire III) ?

    Les Identitaires publient des fiches argumentaires sur leur site web. Voici un extrait d’un troisième document qui propose de répondre aux mensonges autour des attentats islamistes. Il s’agit de répondre à l’assertion selon laquelle la majorité des musulmans sont modérés

    Ils disent souvent « La majorité des musulmans sont modérés ». Mais pourquoi le disent-ils ?

    Répétée tel un exorcisme, cette affirmation n’a jamais été prouvée. Elle vise à faire croire qu’il n’y aucune sympathie dans la communauté musulmane pour les motivations des terroristes ou les thèses islamistes. Cet argument permet de dissocier l’immigration et le djihadisme, en
    opposant «musulmans» et «islamistes». Pourtant, l’équation est simple : sans immigration musulmane, pas d’islamistes en France.

    Pourquoi c’est faux ? Dans les études d’opinion : 54% des musulmans de France sont pour une application «totale» ou «partielle» de la charia en France. Presque 30% d’entre eux souhaitent son application intégrale.

    Découvrir cette fiche-argumentaire : http://www.les-identitaires.com/2016/10/argumentaire-iii-majorite-musulmans-moderes

    http://fr.novopress.info/

  • Alain Juppé, ce sera donc Jacques Chirac en pire !

    Alain Juppé revendique l'héritage de Jacques Chirac. Qui mieux que celui qui a été condamné dans l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris pouvait s'en prévaloir ?

    6a00d83451619c69e201b8d2367e82970c-320wi.jpg"Quarante ans après le discours fondateur de Jacques Chirac à Égletons en octobre 1976, acte fondateur du RPR, Alain Juppé est venu en Corrèze samedi, et dans cette même ville tenir un meeting. «C'est un moment particulier pour moi d'être ici car c'est Jacques Chirac qui a fait ce que je suis», entame-t-il devant plusieurs centaines de personnes (...)

    Et sur les terres électorales de celui qu'il désigne comme son «mentor», «presque un père», ajoute-t-il encore en insistant sur «la relation quasi filiale» qu'il a avec l'ancien président, Alain Juppé reçoit le soutien appuyé de Claude Chirac, accompagné de son époux, Frédéric Salat-Baroux, ex-secrétaire général de l'Elysée (...)

    Juppé, héritier de Chirac, voilà le fil rouge de la visite. Toute la journée, Alain Juppé a multiplié les pensées pour l'ancien président et les références à l'homme politique. «Chirac, c'est la capacité d'écoute et c'est un peu l'exemple que je cherche à suivre», a-t-il résumé" 

    L'excuse donnée par Alain Juppé comme quoi il n'y aurait pas eu d'enrichissement personnel dans l'affaire des emplois fictifs de Paris est un argument hypocrite, mensonger et dévastateur car les Français l'acceptent et offrent naïvement leur pardon électoral. Pas d'enrichissement personnel direct certes, mais comment oser prétendre cela lorsque l'on sait que ce système a permis à Jacques Chirac d'accéder au poste de premier ministre en 1986 puis à la présidence de la république pendant 12 ans (1995-2007). Douze années pendant lesquelles ses amis, ont accédé aux fonctions ministérielles, postes à responsabilité et cumuls de mandats avec tout ce que cela implique de revenus mirobolants et avantages à vie... 

    Philippe Carhon

  • I MEDIA S03E38 France Télévisions : De plus en plus chère et de moins en moins d’audiences

  • Cette Union européenne des élites privilégiées qui ruine les peuples

    Hallucinant mais tellement prévisible :

    "Seize anciens commissaires européens de la Commission José Manuel Barroso, qui ont quitté leur poste en 2014, perçoivent toujours des versements mensuels de plus de 8000 euros, rapporte l’hebdomadaire allemand Die Zeit.

    Cela s’appelle l’allocation transitoire. Elle permet d’éviter des conflits d’intérêts et d’empêcher les commissaires d’accepter des postes clés dans les secteurs de l’industrie immédiatement après avoir quitté leur poste à la Commission européenne. Le problème ? Ces allocations sont l’équivalent de leur salaire d’antan qui était alors faramineux (...).

    On y apprend que la plupart de ces commissaires concernés ont depuis belle lurette retrouvé de hauts postes extrêmement bien rémunérés« en tant que lobbyistes, gestionnaires ou membres d’autres bureaux politiques » (...)"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le délit d'entrave numérique à l'avortement est contraire aux droits de l'homme

    Selon Andreea Popescu, ancien juriste à la CEDH :

    "[...] Les femmes sont-elles vraiment incapables de cerner l’information qui circule sur internet ? Qui décidera si telle ou telle information est fausse ou erronée et selon quels critères ? L’État ? De quel droit ? De quel droit il restreindra la liberté de toute personne de communiquer et de recevoir des informations et le droit des femmes d’avoir accès librement à des informations ? Quel est le vrai but de cette proposition ?

    Sous prétexte de fausseté, comme l’avoue le Rapport relatif à l’accès à l’IVG du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes, il semble que le but est de censurer, de réduire au silence, de dissuader et d’annihiler les groupes qui s’opposent à l’avortement et qui proposent aux femmes enceintes d’autres solutions que l’avortement. Sont visés notamment les services d’écoutes IVG et les autres acteurs qui encouragent et promeuvent des solutions alternatives à l’avortement. Parmi eux, nous mentionnons : les structures d’orientation et d’information, comme les associations, les structures hospitalières (publiques ou privées), les centres médico-sociaux, les gynécologues, les médecins généralistes, les pharmaciens et tout autre personne qui par tout moyen de communication et d’action, notamment par internet, par les plateformes téléphoniques, par voie électronique proposent aux femmes d’autres solutions que l’avortement.

    Ainsi, en adoptant le « délit d’entrave numérique à l’IVG » on établit, d’une certaine manière, le monopole de l’État sur la question de l’avortement en France et on réprime toute information, expression, manifestation et opposition de la part des minorités morales. Sa portée est tant politique que morale. Et il est contraire aux droits de l’homme.

    [...] Il est bien entendu hors de question de protéger la violence sous couvert des droits de l’homme. Néanmoins, compte tenu de la jurisprudence bien établie de la CEDH, cette proposition est une restriction grave des droits de l’homme, notamment du droit à la liberté d’expression du discours contre l’avortement et du droit de la femme d’avoir accès à des informations et finalement d’éclairer son consentement face à un choix si radical comme l’avortement. Et cela pour les raisons développées en ce qui suit.

    1. Le droit à la liberté d’expression - le droit de communiquer et de recevoir des informations (article 10 de la Convention)

    [...]

    2. Le droit des femmes à l’accès aux informations en vertu de leur droit à l’intégrité physique et morale (article 8 de la Convention)

    [...]

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/11/le-d%C3%A9lit-dentrave-num%C3%A9rique-%C3%A0-lavortement-est-contraire-aux-droits-de-lhomme.html