Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1296

  • BRUSSELABAD, C’EST BEYROUTH OU CHICAGO ?

    Pieter Kerstens

    La Belgique, terre d’accueil, caverne d’Ali Baba ou vache à lait ?

    2.738.486 des habitants du plat pays sont d’origine étrangère, (soit plus de 25% de la population) dont 1/3 provient du Maghreb. Depuis 1970 plus de 1.060.000 ont été naturalisés et tous les ans 30.000 immigrés obtiennent la nationalité belge, ce qui place notre pays au 5e rang (sur 27) des naturalisations en Europe ! Parmi tous ceux qui deviennent « belges » beaucoup conservent leur nationalité d’origine, ce qui autorise certains abus …comme on l’a vu avec les terroristes musulmans de Paris et de Bruxelles.

    Mais ce qui est scandaleux réside dans le fait que, parmi les dizaines de milliers de dossiers de demandeurs d’asile que reçoit l’Office des Etrangers tous les ans, plus de 80% sont fantaisistes ou farfelus ! Et pendant les mois que dure l’instruction de leur dossier, ces étrangers vivent aux crochets de la société et leurs enfants squattent nos écoles (submergées) alors que souvent les parents touchent nos subsides, pendant que 1,5 million de nos compatriotes survivent avec moins de 600€ par mois !

    « Bruxelles c’est Chicago ! »

    L’ex-bourgmestre (maire) de Schaerbeek, Roger Nols s’en était déjà plaint en son temps. Et c’est aussi ce qu’affirmait la propriétaire de deux joailleries de la Chaussée de Waterloo qui avait été la victime de 10 attaques à main armée et stoppait par conséquent ses activités.

    Mais depuis, a-t-on réellement l’impression que la situation s’est franchement améliorée ? Et pendant tout ce temps, les partis traditionnels ont-ils fait preuve d’efficacité ?

    NON, loin de là : l’insécurité est partout et toujours en nette progression et qui en est responsable ?

    QUI occupe en majorité les cellules de nos prisons ? Des Ardennais ? Des Mormons ?

    Et que peut-on constater tous les jours dans nos quartiers ? L’invasion de notre économie, le métissage de notre population et une violence permanente dans nos écoles, dans les transports publics et dans nos rues.

    Trois aspects de notre quotidien, imposés par les charlatans du mondialisme, les gourous du multiculturel et les obsédés du « vivre ensemble ».

    Ceci est le résultat de laxisme, d’irresponsabilité, d’hypocrisie, d’incompétence, de suffisance, de clientélisme, de lâcheté et de corruption additionnés, de la part des pourriticards du Régime.

    D’une manière ou d’une autre, il faudra mettre la mafia socialo-libero-démocrato-écologiste hors d’état de nuire, cette fratrie maléfique qui a gangrené toutes les administrations et les partis politiques d’Europe.

    Dans certains pays de notre continent, des élections proches permettront de brandir un carton rouge afin de renvoyer ces incapables dans les poubelles de l’Histoire !

    Curieusement, certains adeptes de l’Atlantisme tout azimut avaient ouvert un œil  en 2010. David Cameron, Nicolas Sarközy et Angela Merkel avaient déclaré que « l’approche Multikulti a échoué, totalement échoué !»

    C’était un bon début et ce diagnostic nous, nationalistes, l’avions établi depuis fort longtemps. Seulement, nous attendons toujours les mesures que pourrait envisager l’État-major aux commandes du Conseil de l’Union Européenne afin de stopper l’immigration/invasion, de réparer les dégâts infligés à nos peuples par le « Multikulti », d’effacer les effets désastreux de la politique de « l’excuse » envers la pègre immigrée et d’en finir avec le « politiquement correct ». Et comme sœur Anne, on ne voit rien venir….

    Nous n’allons pas attendre plus longtemps : il n’est pas question pour nous, européens, blancs et chrétiens, de laisser impunément massacrer nos fils et nos compagnes par des assassins fanatiques, dont les agissements sont connus par ceux chargés de l’Ordre Public. La complicité et la complaisance dont les gouvernements et les ministres successifs ont fait preuve depuis 40 ans envers les immigrés et les islamistes (à Molenbeek, à Schaerbeek, à Forest, à Saint-Gilles, à Anderlecht ou à Bruxelles) sont un véritable scandale ! Il faut le dire et le répéter partout et tout le temps : « OUI, la mafia socialaud-libérale-écolo-centriste savait ce qui se mijotait dans les mosquées, connaissait les multiples connections et les recruteurs du Djihad et fermait les yeux sur les multiples trafics criminels des musulmans. »  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’infection libérale par Georges FELTIN-TRACOL

    Voici l’éditorial du n° 54 de Réfléchir & Agir présent en kiosque. Abonnez-vous ! Réabonnez-vous !

    Sur son blogue, le 5 juin 2016, Julien Rochedy, ancien directeur du FNJ, aujourd’hui en rupture avec le néo-Front, s’exclame : « Nous sommes donc, désormais, des libéraux » quand bien même son libéralisme serait « post-moderne » et anti-mondialiste. L’économiste et essayiste Hervé Juvin vante dans Le Mur de l’Ouest n’est pas encore tombé les mérites supposés du national-libéralisme. Fin mai 2016 se tenait à l’initiative de Robert Ménard le « Rendez-vous de Béziers » au cours duquel furent adoptées des propositions libérales et identitaires.

    Encore à la remorque des libéraux !

    Ces trois exemples démontrent que les « droites nationales » n’ont toujours rien compris au combat des idées, qu’il ne faut pas adopter le vocabulaire de l’ennemi et qu’une indécrottable paresse intellectuelle les pousse à approuver la facilité, un libéralisme censé s’opposer à l’étatisme et au socialisme alors qu’il en est le principal fourrier. Les calamités du gouvernement PS n’excusent pas, ni ne justifient ce ralliement stupide aux visions obsolètes d’Adam Smith, de Frédéric Bastiat, de David Ricardo, de Ludwig von Mises, de Friedrich Hayek, de Milton Friedman ou de Murray Rothbard.

     

    On ne peut pas à la fois défendre les identités populaires, exiger le rétablissement des frontières, vouloir contrôler les flux migratoires et célébrer la libre-circulation des capitaux et des marchandises. Système individualiste global aux effets dévastateurs multiples, le libéralisme est incompatible avec la conception communautaire, organique et holiste de notre entre-soi collectif. L’ineffable Thatcher avait bien affirmé un jour que la société n’existe pas…

    Indispensable troisième voie

    Le refus du libéralisme ne signifie pas admettre le socialisme marxiste et l’étatisme; il suggère au contraire de redécouvrir, d’adopter et de reformuler les théories dites de troisième voie, du justicialisme argentin à l’écologie décroissante, des réflexions les plus pertinentes du christianisme social à la pratique réussie des coopératives ouvrières de production, véritables agents de l’indispensable démondialisation.

    En effet, comme le libéralisme, la mondialisation financialiste et marchande n’est pas une fatalité : il revient aux Albo-Européens aidés par les peuples des autres continents à reprendre en main leur destin et de se détourner au plus vite du chant pathétique et dangereux des sirènes du libéralisme.

    Georges Feltin-Tracol

    http://www.europemaxima.com/linfection-liberale-par-georges-feltin-tracol/

  • Vers la préférence étrangère dans nos centres d’hébergement pour sans-abri ?

    Additionnez crise économique et « vague migratoire » (terme poético-médiatique) et c’est le tsunami assuré dans nos centres d’hébergement.

    Tout le monde l’accepte : les gouvernements passent et des SDF continuent de mourir de froid
    l’hiver en France, les centres d’hébergement restent insuffisants et saturés. Comme une vieille
    rengaine, qui titille notre conscience l’espace d’un instant.

    Mais l’équation, cette année, va être périlleuse, elle est même insoluble. Additionnez crise économique et « vague migratoire » (terme poético-médiatique) et c’est le tsunami assuré dans
    nos centres d’hébergement.

    En trois jours, rien qu’à Calais, ce sont 6.000 migrants qui ont été « mis à l’abri », terme flou qui signifie qu’un gouvernement généreux avec l’argent du contribuable a réussi à pousser les murs avant l’hiver, pour disperser sur tout le territoire une invasion migratoire assumée. Saupoudrer pour mieux tromper. Les autorités « rechignent », d’ailleurs, à communiquer de façon précise sur les lieux d’accueil pour éviter les « tensions au niveau local ».

    Lire la suite

  • Pour l'Autriche avec le cœur et l'âme. Avec l'aide de Dieu !

    L'affiche de campagne de Norbert Hofer ne plait pas à tout le monde :

    6a00d83451619c69e201b7c8a969c2970b-320wi.jpg"Alors que la course à la Hofburg s’ouvre sous les meilleurs auspices pour Norbert Hofer – il est crédité de 51% des intentions de vote, contre 49% pour Alexandre van der Bellen – les forces mondialistes en Autriche se mettent en ordre de bataille.

    Depuis quelques jours, la nouvelle campagne d’affichage du FPÖ soulève polémiques et insultes. Ce sont les « évêques » des Eglises protestantes qui ont ouvert le bal en stigmatisant ses références chrétiennes, tandis que les apparatchiks parlementaires des Verts ont réitéré les insultes vieilles de soixante-dix ans (...)

    Le 21 octobre, le FPÖ a présenté sa dernière campagne d’affichage avant le scrutin prévu pour le 4 décembre. Après la Toussaint, deux affiches seront placardées dans toute l’Autriche, sur les thèmes : «Décider dans votre sens» et «Pour l’Autriche avec le cœur et l’âme». Chacune d’elles, en portant la devise «Que Dieu me vienne en aide», affirme ainsi un «fort enracinement dans le système de valeurs de la culture chrétienne occidentale», ce qui le distingue de son rival agnostique van der Bellen. Le secrétaire général du FPÖ et directeur de campagne Herbert Kickl a déclaré que le candidat à la fonction suprême entendait défendre la référence à Dieu. Il a également prévenu que s’il remporte l’élection, Hofer prononcerait lors de sa prestation de serment cette prière chrétienne et prendrait ses décisions à la lumière des principes généraux du christianisme. «Nous voulons une patrie qui conserve et conservera ses spécificités autrichiennes», a-t-il souligné. Par ailleurs, Norbert Hofer aurait une forte conscience personnelle de l’histoire occidentale chrétienne (...)

    Le 26 octobre, les représentants des églises protestantes, parmi  lesquels l’évêque luthérien Michael Bünker, lançaient leurs attaques. La prière «Que Dieu me vienne en aide» a provoqué leur indignation qu’ils ont exprimée en une formule magique : «Dieu ne se laisse pas instrumentaliser pour des intérêts personnels ou à des fins politiques.» (...)"

    Philippe Carhon

  • Crise de la police : il faut réarmer pénalement la France

    Mercredi 26 octobre, deux manifestations de policiers étaient organisées : l’une par les syndicats de police, l’autre sans ces syndicats.
    Boulevard Voltaire était présent à cette seconde manifestation, qui se déroulait devant l’Assemblée nationale, et a rencontré ces policiers qui contestent ceux qui sont censés les défendre. Quelques élus étaient présents et ont bien voulu répondre à notre micro.

    http://fr.novopress.info/

  • Affaire Lorànt Deutsch : quand les enseignants s'érigent en grands prêtres de l'Histoire

    Deux professeurs d'Histoire ont mis leur veto à la tenue d'une conférence de Lorànt Deutsch. Philippe Delorme expose ici [Figarovox, 26.10] que si les enseignants considèrent ne pas devoir « faire aimer la France » - « position surprenante » - ils ne doivent pas transformer son histoire en « cauchemar national ». Il a raison.  LFAR

    « Nous ne sommes pas là pour faire aimer la France à nos élèves ». Telle est la déclaration surprenante que viennent de faire deux professeurs d'Histoire de Trappes, dans les Yvelines. Ils cherchaient par là à justifier leur veto à la tenue d'une conférence de Lorànt Deutsch dans leur ville. Accusé de trop aimer « les rois et les grands personnages », le comédien s'est donc vu interdire l'accès de cette cité de la banlieue parisienne, dont la majorité des habitants sont issus de l'immigration. Pourtant, à travers ses livres à succès - dont ses deux Métronome -, Lorànt Deutsch a prouvé que les Français ont soif de connaître leur passé. Et cette évidence seule devrait interpeller nos deux censeurs trappistes…

    Le rôle d'un professeur d'Histoire est-il de « faire aimer la France » ? Peut-être pas en effet. Et personnellement, je suis farouchement opposé à la réécriture d'un « roman national » comme celui de Jules Ferry, au nom duquel ont été formatées des générations de jeunes patriotes républicains, prêts à se sacrifier la fleur au fusil. Mais la mission d'un professeur n'est pas non plus d'entretenir la détestation ni la haine du pays où - quelles que soient leurs origines - ses élèves sont appelés à grandir et à vivre. Or, depuis plusieurs décennies, l'Histoire de France telle qu'elle est transmise, apparaît comme une inexpiable repentance, battant inlassablement la coulpe sur la poitrine de nos ancêtres. Inquisition, traite négrière, colonialisme, régime de Vichy, guerres d'Indochine et d'Algérie… Le « roman national » d'autrefois s'est transformé en un véritable « cauchemar national ». Le professeur d'Histoire n'est ni le grand prêtre d'une liturgie officielle, ni le juge des actions passées.

    Devoir de mémoire: voilà le maître-mot de ces contempteurs de notre héritage. Mais la mémoire n'est pas l'Histoire. Car elle est sujette à manipulation, à déformation. Elle est pétrie de sentiments, de parti-pris manichéen et d'affectivité, et elle pêche souvent par anachronisme. Cette mémoire doit donc être « digérée » par les historiens, dont la tâche est d'abord d'établir les faits dans leur vérité. Cependant, si nos contemporains chérissent la « mémoire », ils se hérissent devant la notion de « vérité ». Pour beaucoup d'entre eux, tout est relatif et question de point de vue. Toutefois, sans établir préalablement les « faits têtus » du passé - selon l'expression de Lénine -, comment prétendre ensuite les analyser ou les comprendre ? Certes, l'Histoire n'est pas une science, mais c'est un art délicat qui exige une méthodologie scientifique.

    Ainsi, s'il ne doit pas « faire aimer » la France - ni la faire détester bien sûr -, le professeur d'Histoire digne de sa fonction aura pour premier devoir d'en éclairer la réalité et la complexité, dans une exigence d'objectivité, même si cela reste un but inatteignable. Or, il faut bien convenir que la vision véhiculée aujourd'hui par nombre d'enseignants est non seulement biaisée, mais également tronquée. Pour beaucoup d'entre eux, la nation française naît en 1789. Auparavant, tout ne serait qu'obscurité et oppression. À cet égard, il est dommageable que les nouveaux programmes scolaires insistent à l'excès sur l'époque contemporaine, et particulièrement sur les épisodes les plus sombres de la Seconde guerre mondiale.

    L'authentique « récit national », qui reste à composer devra s'inscrire dans la longue durée. Assurément chronologique, sinon strictement linéaire. Certes, le destin de la France n'était pas établi depuis l'éternité des siècles. Il doit être largement ouvert sur l'universel, et parler de « nos ancêtres les Gaulois » n'a guère de signification. Il n'empêche que notre présent est le résultat de deux millénaires et davantage d'une lente maturation, d'une aventure commune où se sont succédé les pages de gloire et celle d'infamie, une Histoire avec ses grandeurs et ses faiblesses, à l'image de ce qu'est la nature humaine. Car toute Histoire est avant tout Histoire des hommes. Des humbles, des anonymes qui ont tissé la trame des jours. Mais aussi de ces « grands hommes » - chefs d'État, capitaines illustres, savants et religieux, découvreurs, femmes d'exception -, qui peuvent offrir autant d'exemples à méditer.

    Car en définitive, à quoi sert l'enseignement de l'Histoire ? Certainement pas à soumettre de jeunes cerveaux à l'inutile apprentissage de listes de dates qu'ils s'empresseront d'effacer. Encore moins à cultiver les antagonismes communautaires, non plus d'ailleurs qu'à distiller une propagande en faveur d'un hypothétique « vivre ensemble ». À l'instar des sciences exactes - comme les mathématiques ou la physique -, l'Histoire servira d'abord à faire acquérir aux élèves les bases d'un raisonnement rigoureux, les outils nécessaires pour jeter un regard critique sur les informations contradictoires dont l'univers médiatique les abreuve. La capacité de trier le bon grain de l'ivraie, la vérité du mensonge.   

    Philippe Delorme      

    3785409502.jpgHistorien et journaliste, auteur de nombreux ouvrages, Philippe Delorme vient de publier Théories folles de l'Histoire (éd. Les Presses de la Cité, 2016).   

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La théorie de la conspiration n’est pas fasciste

    Nicolas Bonnal

    EuroLibertés cliquez ici

    1002027237.jpgOn confond dans nos médias subtils néonazisme et théorie de la conspiration, croyant ainsi condamner ceux qui, venus de droite, de gauche, du gaullisme ou du communisme, ne supportent plus ce système et son information.

    Au lieu d’écouter les experts, on ferait mieux de s’adresser au monstre directement. Voici ce qu’Hitler écrit de la conspiration et des conspirateurs (Mein Kampf, pp. 253-255) : « Seuls, de tout petits groupements, après des années de filtrage, pourraient acquérir le caractère de véritables organisations secrètes. Mais l’exiguïté même de pareilles formations leur enlèverait toute valeur pour le mouvement national-socialiste. »

    Le bric-à-brac ésotérique sur Thulé et le nazisme est arrivé après la guerre, destiné sans doute à diaboliser intellectuellement l’objet de toutes les haines postmodernes. Mais voici en tout cas ce que veut Hitler : des militants et pas des conspirateurs : « Ce dont nous avions besoin, ce n’étaient pas de cent ou deux cents conspirateurs audacieux, mais de centaines de milliers de militants fanatiques épris de notre idéal. Il fallait travailler non pas dans des conciliabules secrets, mais par de puissantes démonstrations de masses, et ce n’était point par le poignard ou le poison ou le revolver que le mouvement pouvait vaincre, c’était seulement par la conquête de la rue. »

    La théorie de la conspiration vide la rue, remplit les boîtes aux lettres, empêche la prise du Pouvoir. C’est pourquoi elle est encouragée par le Pouvoir qui la met en vedette en mimant la sévérité professorale.

    Or : « Nous devions faire comprendre au marxisme que le national-socialisme était le maître futur de la rue, et qu’il serait un jour le maître de l’État. »

    Hitler insiste sur les dégâts moraux de la théorie et surtout de la pratique de la conspiration : « Le danger des organisations secrètes est encore actuellement dans le fait que leurs membres perdent souvent toute notion de la grandeur de leur tâche, et qu’ils croient que le sort d’un peuple peut être décidé par un meurtre. »

    Opération JFK mal vue, donc…

    Pour Hitler, le problème est simple : la conspiration est réservée aux flemmards et la grandeur réside dans le mouvement social actif qui a disparu aujourd’hui, du côté des partis au Pouvoir comme du côté des contestataires.

    « Pour préserver aussi le militant de toutes les tentations de nourrir son activité par de petites conspirations, on devait, dès le début, l’initier complètement à la grande idée du mouvement et l’entraîner si entièrement à la tâche de la défense de cette idée, que son horizon s’élargirait aussitôt… De cette façon, la lutte contre l’État actuel était élevée au-dessus de l’atmosphère de petits actes de vengeance et d’activités de conspirateurs. »

    De ce point de vue, on pourra dire que la théorie de la conspiration, et sa pratique par nos légistes n’est pas « fasciste » : avis à nos nuées d’experts TV donc. Elle reflète nûment l’involution d’une société repue, ludique et fatiguée.

    Sur la théorie de la conspiration, lire Protocoles des sages de Sion : un paradoxe politique, théorique et pratique : « C’est un faux, c’est pour une très faible part un plagiat, c’est surtout un extraordinaire ouvrage de politique, théorique et pratique. Cet ouvrage comprend quatre textes : « Réflexions sur les « Protocoles » des Sages de Sion » de Bernard Plouvier, suivi des Éditions définitives des textes intégraux des livres de Serge Nilus (« « Protocoles » des sages de Sion »), Maurice Joly (« Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu »), suivi d’une victoire de Me Éric Delcroix (« L’abrogation de l’article 14 de la loi du 29 juillet 1881 »). Pour en savoir plus, cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les rubriques "décodages" des médias sont à comprendre par antiphrase

    Le Rouge & Le Noir a interrogé Claude Chollet, président de l’Observatoire des Journalistes et de l’Information Médiatique (OJIM). Extrait :

    "Que penser de la multiplication des rubriques « décodages » dans les médias (Les décodeurs du Monde, Libé Desintox, Le vrai du faux de France Info …) ? Leurs « décodages » sont-ils objectifs ?

    Il faut prendre ces titres par antiphrase. Décoder veut dire recoder, désintoxiquer veut dire intoxiquer, dire le vrai veut dire le faux. Nous sommes en plein roman orwellien : l’amour c’est la haine, la paix c’est la guerre, la vérité c’est le mensonge. Les faux décodeurs du Monde ont publié un savoureux article où ils dénonçaient (voir l’Empire du Bien de Philippe Murray) les mauvais esprits qui spéculaient sur la santé chancelante d’Hillary Clinton… jusqu’au malaise public de celle-ci. On pourrait multiplier les exemples où à partir d’un minuscule morceau de réalité ces redresseurs de tort vont toujours dans le même sens : tordre le réel pour le rendre conforme."

    Michel Janva

  • France Télévisions : trop de salaires élevés et trops de cadres

    Ce rapport de la Cour des Comptes va faire réaliser aux Français à quoi sert la redevance :

    6a00d83451619c69e201bb094bbe67970d-200wi.png"La Cour des comptes aimerait bien savoir ce que font réellement les 550 personnes les mieux payées de France Télévisions (...)

    Passée relativement inaperçue, la sixième des 23 recommandations des magistrats enjoint la direction à passer en revue "le contenu effectif des postes occupés par les salariés les mieux rémunérés de l’entreprise". Cette évaluation, jugée "indispensable", concernerait 550 salariés percevant un salaire supérieur "à 8.000 euros brut par mois", précise l'institution. Citant un travail similaire entrepris par la BBC, cet audit permettrait d'évacuer les doutes et "interrogations", précise la Cour des comptes à Business Insider France.

    Dans le détail, 547 salariés ont bénéficié en 2015 d’une rémunération de plus de 96.000 euros annuels bruts, dont 191 une rémunération supérieure à 120.000 euros annuels bruts (...)

    La Cour des comptes relève un sur-encadrement chez France Télévisions. Selon les magistrats, ce taux s'est élevé à 79 % chez les personnels techniques et administratifs (PTA) en 2014,  soit 4746 des 6013 permanents.

    Les journalistes ne sont en pas en reste : le nombre de journalistes affectés à des fonctions de coordination et d’encadrement est de 26 % en 2015 par rapport aux journalistes "de terrain", c’est-à-dire affectés aux reportages et au contenu de l’information. 

    "Cette disproportion est encore plus marquée au sein de la direction de l’information où ils atteignent 40 %, dont 149 rédacteurs en chef ou rédacteurs en chef adjoint", précisent les magistrats dans leur rapport (...)

    En partant des deux taux relevés par la Cour des comptes, les cadres représentaient 62,77 % des effectifs en 2014.

    Il y  a donc trois fois plus de cadres chez France Télévisions que dans les entreprises françaises, la moyenne se situant entre 17 % et 18 % de la population active française"

    La propagande politique d'Etat coûte cher au contribuable...

    LogoFTV_chaineVol

    Philippe Carhon

  • Ce que l'opposition wallonne au CETA a dévoilé...

    Ainsi le CETA sera-t-il, un jour prochain, signé ! Peut-on vraiment s'en réjouir ? Mais il aura fallu la courte et efficace résistance de quelques Wallons, parlementaires régionaux, mais aussi des Bruxellois et des germanophones, pour que les Européens apprennent que, une fois de plus, l'Union européenne et ses commissaires, députés et financiers, s’apprêtaient à livrer un peu plus les Européens aux multinationales et, surtout, aux juges des fameux tribunaux arbitraux qui pourraient, en définitive, menacer les Etats et les parlements dans leur rôle de décideurs politiques.

    parti socialiste europe.jpgQuelques remarques, néanmoins : tout d'abord, l'absence de la gauche radicale dite de gouvernement dans la contestation de ce traité de libre-échange, en particulier celle de M. Tsipras en Grèce, mais aussi celle qui dirige aujourd'hui le Portugal. Ainsi, tous les beaux discours de cette gauche antilibérale semblent destinés à finir au tombeau des grandes illusions quand l'heure (ou la simple possibilité) d'agir, concrètement, arrive : cela doit servir de leçon à ceux qui, « alibéraux et illibéraux » sincères, ont mis leurs espoirs dans ces partis qui, en définitive, préfèrent le Pouvoir à leurs convictions ou à leurs promesses. La même remarque vaut pour les populistes dits « eurosceptiques » qui n’en sont pas moins de bons libéraux dans la pratique (avec quelques nuances néanmoins)…

    Ensuite, cet accord, pour l'heure « débloqué », montre toute l'hypocrisie des partis et des institutions de l'Union européenne qui, jadis, faisaient campagne pour que l'UE s'impose entre les géants, hier les Etats-Unis et le Japon, aujourd'hui les mêmes Etats-Unis et la Chine : qui ne se rappelle de cette affiche du Parti Socialiste (français) sur laquelle un sumo japonais et un superman états-unien, tous les deux imposants, semblaient être les deux principaux adversaires d'une Europe qui, donc, se devait d'être forte à son tour pour éviter l'écrasement de ses nations ? Or, en signant ce traité, comme d'autres d'ailleurs (moins médiatisés mais tout aussi dangereux, et pas forcément pour les seuls Européens...), l'Union européenne perd toute raison d'être économique, tout simplement, puisqu'elle entre dans le même espace économique, le même marché unique que ses « concurrents », avec les mêmes règles décidées parfois bien au-delà de l'Europe ! 

    Dernière remarque (pour l'heure) qui n'est pas l'ultime, loin de là : l'Union européenne se signale de plus en plus comme une sorte « d'Europe légale » de plus en plus coupée de « l'Europe réelle », celle des nations, des régions de celles-ci, des peuples (au sens civique du terme), des personnes et de leurs modes de vie, de leurs diversités. Jean Monnet, « le pire fondateur de l'Europe » comme ironisent certains, avait voulu cette forme de démocratie représentative qui n'est rien d'autre, dans ce cas-là, que le gouvernement des experts et des groupes de pression qui les payent... Les réactions indignées des députés européens (mais qui connaît « ses » députés européens en France et ailleurs?) et des commissaires européens contre les 3 millions de Belges francophones qui ont osé, un temps, demander quelques éclaircissements (et le mot me semble particulièrement juste) sur ce traité et qui « décideraient » pour 500 millions d'Européens (bientôt 440 après le Brexit) me font sourire : ont-ils, ces messieurs les grands maîtres de l'UE, demandé leur avis aux citoyens, et, dans les campagnes électorales européennes de 2014, ont-ils évoqué ce même traité qui, pourtant, engage la vie et surtout le travail de leurs électeurs et peuples constitués ? Et, ces derniers jours, les pressions, pas forcément amicales, des dirigeants et des médias européens sur les Wallons donnent une drôle d'image de la « démocratie européenne »...

    Néanmoins, malgré l'accord de dernière minute des Belges entre eux sur le CETA, il n'est pas certain que la messe soit dite : la résistance wallonne, même défaite, peut être vue comme un signe, voire un signal... La fin de la mondialisation, annoncée par François Lenglet il y a quelques années, pourrait bien être au bout de ce traité mal né et mal accepté : car jamais, au grand jamais, l'histoire n'est finie...

    http://nouvelle-chouannerie.com/