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lobby - Page 1315

  • Veut-on entraver tout débat sur l’IVG ?

    Au pays des droits de l’homme et de la liberté d’expression, un sujet demeure tabou : l’avortement et la souffrance qu’il engendre. Le Professeur Nisand, pourtant défenseur dès la première heure de la possibilité d’avorter, parle à ce sujet d’un véritable négationnisme. Celui-ci est organisé au plus haut niveau de l’Etat.

    Tolérance zéro sur la liberté d’expression

    En effet, après avoir créé un « délit d’entrave à l’avortement » étendu à toute pression morale ou psychologique, délit flou et interprété de façon extensive contrairement au principe d’interprétation stricte de la loi pénale, le gouvernement a inventé un « délit d’entrave à l’accès à l’information sur existantes pour les femmes qui souhaiteraient garder leur bébé ou sur la souffrance que beaucoup de femmes connaissent après un avortement serait accusée de tromper les femmes et menacée des foudres de la justice.

    Le gouvernement veut ainsi mettre en œuvre la « tolérance zéro » qu’il avait annoncée. Peu lui importe que cela implique de violer allègrement les libertés d’expression et d’information, fondements essentiels d’une société démocratique. Rappelons que le Cour européenne des droits de l’homme insiste régulièrement sur le fait que ces libertés valent non seulement pour les informations ou idées accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent. Elle souligne aussi que cela fait partie du pluralisme, de la tolérance et de l’esprit d’ouverture sans lesquels il n’y a pas de société démocratique. [....]

    Claire de La Hougue

    La suite sur Causeur

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Veut-on-entraver-tout-debat-sur-l

  • Grâce à Laurence Rossignol, on parle de l'avortement à la télévision

    Sur BFM TV :

     

    VIDEO: Laure, militante pro-vie d'http://ivg.net  réagit au projet du gvt de s'attaquer aux sites anti-@MichelJanva

     
     

    VIDEO : Les sites anti- sont de plus en plus populaires et arrivent en tête des résultats de recherche. @MichelJanva

     

    Michel Janva

  • Dimitri Casali : « Nos élites ne défendent plus l’intérêt général parce qu’elles ont honte de la France ».

    Atlantico : L’idée même d’un débat sur la notion d’identité française est depuis plusieurs années critiquée par bon nombre de personnalités politiques et intellectuelles. Pourquoi l’identité française est-elle perçue négativement par certaines de nos élites ? Quels sont les ressorts de cette opposition ?

    Dimitri Casali : Il existe depuis une vingtaine d’années une véritable détestation des valeurs constitutives de l’identité française au sein même de nos élites politiques et médiatiques. La culture, l’histoire de France, la langue (écoutez le président Hollande et sa manie de redoubler le sujet au début de chacune de ses phrases) et ses symboles nationaux sont constamment dévoyés ou dénigrés. A l’exemple de Christiane Taubira traitant notre hymne de «karaoké d’estrade», de Thierry Tuot, haut conseiller d’Etat, prônant la fin de l’intégration ou encore l’acteur Lambert Wilson, s’exprimant à propos de la Marseillaise sur la radio RTL, et rabâchant les âneries habituelles bourrées de contrevérités historiques : «les paroles sont épouvantables, sanguinaires, d’un autre temps, racistes et xénophobes».

    Alors que dans le monde entier, notre hymne incarne, non pas un chant d’asservissement, mais un chant de liberté et de libération.

    Ces inepties dissimulent mal l’ignorance crasse et l’inculture de nos élites politiques ou médiatiques. La vérité est que nos élites ne défendent plus l’intérêt général parce qu’elles ont honte de la France. A l’inverse, je suis très frappé de voir à quel point les élites britanniques sont fières de leur nation !

    Depuis 20 ans, à l’opposé de leurs prédécesseurs qui ont reconstruit la France au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les hommes qui nous gouvernent sont convaincus que la France est née uniquement des valeurs universelles positives qu’elle incarne aujourd’hui. Ce qui est historiquement faux. Depuis 20 ans, nos dirigeants révisent le passé pour ne célébrer ou critiquer que des événements ou des personnages incarnant soit le bien, soit le mal. Dès lors, ils éliminent toute la complexité de l’Histoire. Une nouvelle fois, ils «égalitarisent» pour éviter à tout prix tout culte de la personnalité ou du héros qui pourrait mettre en relief leur propre médiocrité. On nie Jeanne d’Arc pour Hollande, la laissant au seul Front National, on gomme Napoléon pour Chirac, on ignore Louis XIV à nouveau pour Hollande. Le manichéisme est érigé en nouveau paradigme avec d’un côté le bien, avec les valeurs de la France, les déclarations des droits, et de l’autre le mal avec nos grands conquérants, le colonialisme, Vichy. Cette attitude est imposée par la perspective de donner une version politiquement correcte à toutes les nouvelles composantes de notre population. Il y a désormais une version binaire de l’Histoire avec une bonne histoire «blanche et immaculée» d’une part, s’opposant à une histoire noire, mauvaise et partiale, d’autre part…

    Dans son livre Désintégration française, Dimitri Casali revient sur les causes du déclin français. Un déclin qui trouve sa source notamment dans l’effondrement de notre système éducatif et de notre modèle d’intégration.

    En novembre 1997, le Premier ministre, Lionel Jospin, interpellé à l’Assemblée nationale, avait, en digne héritier du modèle soviétique – et trotskyste -, fini par refuser d’admettre, hors de lui, «un signe égal entre le nazisme et le communisme…» Et ses 80 millions de morts, alors ! Un bel exemple d’aveuglement idéologique. De Gaulle et Mitterrand portaient, eux, un jugement bien plus savant, à la fois éclairé et éclairant, sur notre histoire. L’un déclarant : «Pour moi, la France commence avec Clovis», l’autre en 1982 : «Un peuple qui n’enseigne plus son histoire est un peuple qui perd son identité» ou encore, au sujet de la repentance, «Je considère que c’est une demande excessive, de gens qui ne sentent pas profondément ce que c’est d’être Français et l’honneur de l’Histoire de France. C’est l’entretien de la haine, et ce n’est pas la haine qui doit gouverner la France.» Imprégnés l’un et l’autre d’une immense culture historique, ils possédaient une hauteur de vue qu’ignorent leurs pâles successeurs.

    Aujourd’hui, nos élites capitulent sur nos fondamentaux culturels à la moindre offensive comme on le voit avec François Hollande. Faire aimer la France, ce serait par conséquent et avant tout faire aimer leur propre histoire à nos dirigeants eux-mêmes…

    Dans votre ouvrage, vous fustigez une école incapable d’apprendre à lire, écrire, compter ainsi qu’un collège unique qui représente «un creuset des inégalités». Vous estimez également que la nouvelle réforme du collège va accentuer la médiocrité. Comment justifiez-vous votre analyse ? Quelles sont, selon, vous les causes profondes qui ont mené à ce diagnostic que vous dressez aujourd’hui ?

    Apprendre à lire, écrire et compter certes, mais l’Ecole échoue aussi dans sa mission chaque fois qu’elle ne sait pas faire de ces élèves des Français, c’est-à-dire des citoyens fiers de leur appartenance à la Nation, enrichie de leurs histoires personnelles. De 1881 à 1981, nos Hussards de la République avaient réussi à faire de la France un des pays les plus instruits au monde, où le système éducatif était un des moins inégalitaires de la planète et où l’ascenseur social devait le moins à la naissance. La nouvelle réforme s’annonce catastrophique. Nous étions encore 10e au classement PISA en 2000, nous sommes désormais 25e ! La réforme de l’école n’est pas faite au nom de l’égalité mais au nom de l’égalitarisme, du nivellement par le bas et de la médiocrité.

    Elle choisit d’accompagner la désintégration de la société plutôt que de se poser en digue protectrice. Les anciennes disciplines classiques sont réduites pour promouvoir des Enseignements Pratiques Interdisciplinaires (les fameux EPI), mais aussi l’abaissement du Latin et du Grec, la réduction des classes bilangues, la suppression des classes européennes, toutes des filières d’excellence… Alors que pendant plus de cent ans la recherche de l’excellence et la méritocratie ont caractérisé la France. Les plus aptes à gouverner, à inventer, à diriger le pays avaient suivi un enseignement classique souvent éloigné de leur poste de dirigeants. Citons en exemple Georges Pompidou, petit-fils de valet de ferme, Jean Jaurès, fils de petit paysan, Aristide Briand, fils de tenancier de bar à vin, Edouard Herriot, petit-fils de caporal, tous issus de milieux modestes et ont fait de brillantes études, pour la plupart élèves de l’Ecole normale supérieure. Cet «élitisme républicain» permit de donner une base au recrutement des classes dirigeantes par la méritocratie. Durant leurs classes préparatoires, tous ont fait leurs humanités en acquérant une excellente culture générale que ce soit en histoire, en sciences ou même en latin… D’Henri Bergson à Georges Charpak, tous ont pu faire des études supérieures grâce aux examens et aux concours, des bourses mises en place par l’école républicaine. Il s’agissait de permettre aux meilleurs de s’en sortir et d’être des exemples pour les autres, de sorte qu’ils pouvaient dire avec fierté : je suis fils d’ouvrier artisan, et j’ai passé des concours que j’ai réussis !

    Un autre des symptômes les plus évidents de cette maladie qui ronge la France est cet acharnement, cette hargne qu’ont nos élites à déconstruire notre passé pour faire croire à nos enfants que les Français ont tous été d’horribles esclavagistes au XVIIIe siècle, d’infâmes colonisateurs au XIXe siècle et uniquement des collabos au XXe siècle…. On joue la carte de la culpabilisation, voire de la criminalisation de l’Histoire de France. Les sujets, tel que l’Islam, la traite négrière, la colonisation, sont obligatoirement étudiés, – les autres comme le christianisme médiéval, l’humanisme et les Lumières – sont réduits à la portion congrue.

    Non seulement ces thèmes se retrouvent à tous les niveaux mais on leur adjoint dès l’école primaire «l’histoire des mouvements de population», ce qui inclut l’esclavage et  la traite négrière, les colonisations et décolonisations, les immigrations économiques, les réfugiés, les migrations liées aux Printemps arabes et celles des Roms. Et tous cela au détriment de notre histoire de nos grands personnages et évènements. Même un évènement comme le débarquement en Normandie du 6 juin 1944 ne sont plus appris…

    Vous faites le constat que le système d’intégration français, basé sur l’assimilation et à l’opposé du multiculturalisme britannique, est en panne. Par quels moyens pourrait-il être relancé ?

     Pendant plus de 200 ans l’ «intégration à la française» a réussi au-delà de nos espérances. Intégrer les immigrés belges, polonais, italiens, portugais, serbes, juifs d’Europe de l’est ou musulmans de première génération et deuxième génération n’a jamais été le résultat d’une conversion miraculeuse à la francité. Cela s’est passé au contraire par des expériences extrêmement douloureuses au moins dans les premiers temps. Mais l’on peut dire globalement que creuset français a merveilleusement fonctionné pendant ces deux siècles, et pourrait continuer de le faire si l’on restait ferme sur nos valeurs fondamentales. Tous ces immigrés – simples ouvriers, réfugiés politiques, artistes, hommes de sciences et intellectuels de tous bords –, hommes ou femmes, avaient choisi de devenir Français. Aujourd’hui, on ne cesse de parler du «vivre-ensemble» mais la réalité est que justement plus personne ne veut vivre ensemble – notion floue qui se résume à une mosaïque identitaire recouvrant l’occultation de tout ce qui pourrait contrarier certaines communautés.  Attentats islamiques, banlieues aux bords de l’implosion, école, immigration, Etat en déliquescence, économie, corporatisme, c’est toute la République et la notion de «vivre-ensemble» qui sont à reconstruire. Les événements que traversent notre pays vont certainement changer la face de la fin du quinquennat de François Hollande.

    La politique d’immigration menée par nos gouvernements successifs a conduit à la reconstitution des sociétés d’origine sur le sol d’accueil, rendant ainsi l’intégration traditionnelle chimérique. Désormais, l’inquiétude identitaire au sujet de l’immigration massive est devenue un des thèmes majeurs de questionnement de notre société. C’est le sujet le plus important de l’Histoire de France, tous siècles compris. Moins marqué politiquement, il va désormais au-delà des familles idéologiques. Cependant, son traitement est de moins en moins sensible à l’auto-culpabilisation que l’on nous assène depuis une vingtaine d’années. Plus que jamais, l’enseignement de l’Histoire de France est fondamental pour ancrer nos principes fondateurs dans la tête de tous nos concitoyens, pour inscrire l’amour de son pays, sentiment irraisonné comme le sont tous les sentiments, dans le cœur de chacun. Plus que jamais, il est nécessaire de s’inscrire dans le flux d’une histoire qui plonge dans le plus lointain passé, donne sens au présent, et éclaire l’avenir. Par sa richesse culturelle, intellectuelle, spirituelle, la France possède les clés pour empêcher sa fragmentation en communautés opposées.

    À tous, il faut faire découvrir les grandes œuvres françaises, ouvrir les portes de Versailles, de l’Hôtel des Invalides, du Louvre. À tous, je souhaite que la France puisse devenir ce qu’elle est pour moi : une seconde mère, (moi, qui suis d’origine italienne) à laquelle un lien indéfectible m’attache. De sorte que tous, dans les crises que nous traversons, choisiront de la défendre. Le pays a besoin de retrouver sa foi, son dynamisme, son enthousiasme. Enseignons à nos enfants ce qu’est leur pays, son Histoire, ses institutions et ses valeurs. Beaucoup de Français ont sacrifié leur vie pour ça. Nous devons nous en souvenir et être fidèles à la mémoire de ces millions de morts. Cocteau disait : «les vrais tombeaux des morts sont les cœurs des vivants». Notre Histoire, plus que la morale laïque ou l’éducation civique, sera la clé de l’intégration. Transmettons l’envie de réussir à tous les jeunes de France, d’où qu’ils viennent. Apprenons à nos élèves à être fiers d’eux-mêmes car la vraie mémoire est celle qui regarde résolument vers l’avenir. L’historien Michelet l’a écrit : « Plus l’homme entre dans le génie de sa patrie, mieux il concourt à l’harmonie du globe ; il apprend à connaître cette patrie, et dans sa valeur propre, et dans sa valeur relative, comme une note du grand concert, il s’y associe par elle, en elle il aime le monde. La patrie est l’initiation nécessaire à l’universelle patrie… »

    Dimitri Casali 4/09/2016

    Dimitri Casali, historien, spécialiste de l’enseignement de l’Histoire, est l’auteur de Désintégration française(JC Lattès, 2016), du Nouveau manuel d’histoire (La Martinière, 2016), de L’Empire colonial français (Gründ, 2015), d’Ombres et Lumières de l’Histoire de France (Flammarion, 2014), du manuel Lavisse-Casali Histoire de France, de la Gaule à nos jours (Armand Colin, 2013), et de L’Histoire de France interdite. Pourquoi ne sommes-nous plus fiers de notre histoire (Lattès, 2012). Il collabore régulièrement avec la presse écrite, la radio, la télévision.

    Source : Atlantico.fr

    http://www.polemia.com/dimitri-casali-nos-elites-ne-defendent-plus-linteret-general-parce-quelles-ont-honte-de-la-france/

  • Jean-Paul Gourévitch : L’islamo-business, ou comment on finance les djihadistes…

    L’islamo-business, c’est plus de 1.000 milliards de dollars par an. Que représente-t-il exactement et à quoi sert-il ? Jean-Paul Gourévitch dresse dans son nouveau livre un état des lieux de la galaxie islamiste…

    Explications.

    http://www.bvoltaire.fr/jeanpaulgourevitch/lislamo-business-ou-comment-on-finance-les-djihadistes,285317

  • Réalisme culturel : Pourquoi Robert Ménard a raison sur la question de la France blanche et chrétienne

    Le maire de Béziers, Robert Ménard, a déclenché bien malgré lui une fausse “polémique” dont la presse d’état a le secret de l’orchestration. Interrogé sur LCI, l’élu a fait cette observation factuelle et parfaitement banale : “Être Français c’est aussi, comme le disait le général De Gaulle, être européen, blanc et catholique, bien sûr.”.

    Le réalisme racial contre l’égalitarisme

    Relevons que l’édile divers-droite a bien dit “aussi”, laissant entendre que ces qualités n’étaient pas exclusives. Cette phrase, qui se bornait a rappelé les origines ethniques et religieuses fondatrices de la France comme pays, a été présentée comme une atteinte intolérable à la pudibonderie raciale qui a cours dans les salons de la bonne bourgeoisie.

    Si des agitateurs racistes noirs peuvent se déchaîner dans les rues de Beaumont-sur-Oise en se revendiquant expressément de leur appartenance raciale pour appeler à l’émeute contre les institutions – parce que “blanches” selon eux -, le seul fait de rappeler sa propre appartenance européenne est identifiée par le système comme un délit idéologique.

    Cela témoigne de la peur de l’oligarchie de voir s’effondrer son système politico-idéologique, assis sur le diptyque “égalitarisme/universalisme”, sous la pression du mouvement d’émancipation – devrais-je dire de libération ? – européen. C’est-à-dire blanc.

    L’explosion de la poudrière ethnique, raciale et religieuse qu’est devenue la France signifierait en effet la défaite historique du principe fondateur de la Révolution Française : l’égalité. Principe mythique duquel dégoulinent tous les prurits socialistes, marxistes, anarcho-nihilistes depuis si longtemps.

    L’assignation culturelle et identitaire devenant le nouveau principe organisationnel du politique, le soleil se coucherait sur cette vieille lune et ses adeptes.

    Louis Aliot contre Robert Ménard

    Sur ces entrefaites, le Vice-président du Front National, Louis Aliot, a cru bon de réagir pour dénoncer les propos de Robert Ménard.

    «Il est maire de Béziers. Je l’ai écouté et il a cité une autre phrase, du général de Gaulle. Moi je suis un peu en opposition avec ces phrases-là parce que la France ce n’est pas que ça», indique le vice-président du FN. «Lui qui est un enfant de l’empire, il devrait quand même, au-delà de la phrase raciste ou dans tous les cas racialiste du général de Gaulle, y ajouter ce que nous sommes. C’est-à-dire un pays avec des DOM-TOM, tout l’outre-mer qui est avec nous, les harkis… Tous ces gens-là font partie de la communauté nationale», poursuit Louis Aliot. Et le compagnon de Marine Le Pen de livrer sa propre vision de la France:«La France ce n’est pas une couleur de peau, c’est à la fois un état d’esprit, l’amour de son pays, et aussi la conscience que l’on est prêt à mourir pour elle. Je préfère, moi, des gens, même de couleur, et qui sont tombés pour la France ou qui tomberont si malheureusement il y avait une guerre, que des gens blancs qui n’ont que de la haine pour leur pays».

    Ce commentaire apporte plusieurs observations. Balayons tout d’abord d’un revers de main les éternelles marges dont on se prévaut pour bâtir un système : le mirage des allogènes se portant au secours des Blancs égorgés par leurs congénères n’est pas à la veille de prendre corps.

    Venons-en à l’essentiel. Louis Aliot ne laisse planer aucune ambiguïté. Il se dit “en opposition avec ces phrases-là”, c’est-à-dire celles traditionnellement attribuées au Général De Gaulle :

    «Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leur djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées !»

    Il est évident que Louis Aliot, familialement contaminé par le cosmopolitisme impérial de la Troisième République, applique un raisonnement déjà convaincu de sénilité il y a un demi-siècle comme le rappelait en des termes éclairants Charles De Gaulle.

    Hélas, ce raisonnement repose sur l’idée fallacieuse que la guerre de décolonisation se poursuivrait dans les mêmes termes qu’hier et qu’elle devrait être remportée en Métropole, à défaut d’avoir été obtenue dans les colonies. Les mêmes causes entraînant les mêmes effets, on ne voit pas comment ce qui a échoué hier, quand la France était incomparablement plus puissante et dominante, réussirait aujourd’hui. Surtout à l’heure où le réveil de l’islam touche la totalité de la planète et que la culture française a déjà progressivement disparu de territoires métropolitains entiers.

    Cette nostalgie post-coloniale incapacitante empêche de raisonner en termes politiques, c’est-à-dire en termes concrets. Agitez une poignée d’îles lointaines avec émotion ou brandir le souvenir d’auxiliaires maghrébins de l’armée française pour traiter de la submersion migratoire actuelle de l’Hexagone – par des masses venues des quatre coins du tiers-monde ! – relève, convenons-en, de la mauvaise plaisanterie. Voire de l’autisme.

    Sans surprise, ce nationalisme contractualiste hérité de la révolution française – “la France est un état d’esprit” – est déréalisant, abstrait, inopérant, idéaliste jusqu’à la niaiserie. Ce produit a dépassé sa date de péremption.

    En réalité avec ce genre de discours, il n’est pas tant question de la France comme réalité charnelle – ethnique, raciale, spirituelle donc – mais comme simple vecteur d’une ambition idéologique. S’il n’est question que de loyauté vis-à-vis d’une “idée” et qu’il est entendu que les idées sont fluctuantes, rien ne distingue en pratique ce “nationalisme” désincarné du plus plat socialisme républicain.

    L’enjeu ne tournerait qu’autour du paiement des impôts et de cours d’éducation civique. Or, il est évident que, dans tout le monde blanc, c’est la survie même de la race blanche et de sa culture qui en jeu. Le reste étant contingent.

    L’enjeu : le monde blanc

    Cette incapacité à admettre les limites de sa propre autorité sur la réalité est un piège mortel. Cette folie mégalomaniaque qui consiste à refuser de distinguer le “moi” de “l’autre” pour vouloir le réduire à soi et le façonner à son image est sourde d’erreurs et de réactions identitaires violentes par contrecoup.

    Aucun volontarisme psychologique ne peut abolir les déterminismes ethniques, culturels, raciaux ou religieux. Peu importe l’intensité avec laquelle on agitera un drapeau tricolore, cela n’abolira jamais les différences de QI entre subsahariens et Français de souche.

    A cet “internationalisme” du pauvre aux ambitions aussi grandiloquentes que loufoques, un retour à une plus saine réalité éviterait bien des déconvenues futures. De ce point de vue là, lorsque Robert Ménard indique que le mantra du “vivre ensemble” relève du “vaudou”, comment ne pas lui donner raison ? Les Blancs fuient les afro-musulmans en France – et en Europe de l’Ouest -, telle est la froide réalité.

    Entamée avec Nadine Morano en septembre 2015, cette polémique n’a de cesse de devenir une question existentielle. Le choix, assez simple, se résume à deux alternatives : une poudrière ethnique tiers-mondisée coiffée d’une “république” de type libanaise aux accents cocardiers d’une part ou la défense farouche du monde blanc et européen, partout et tout le temps, sans regard pour les détails d’ordre géographique, d’autre part.

    Entre le fétichisme et le réalisme, il va falloir que chacun choisisse.

    http://borislelay.com/

  • Le rôle de la presse d’état dans l’émergence du néo-totalitarisme européen

    Quelle responsabilité s’exerce sur le journaliste, ou sur un journal, à l’encontre de son lectorat, ou de l’histoire ? S’ils ont trompé l’opinion publique en divulguant des informations erronées, ou de fausses conclusions, si même ils ont contribué à ce que des fautes soient commises au plus haut degré de l’État, avons-nous le souvenir d’un seul cas, où le dit journaliste ou le dit journal ait exprimé quelque regret ? Non, bien sûr, cela porterait préjudice aux ventes. De telles erreurs peut bien découler le pire pour une nation, le journaliste s’en tirera toujours.

    Alexandre Soljénitsyne, Le Déclin du courage, Harvard, 8 juin 1978

    Aujourd’hui, le livre traitant de l’opposition identitaire active sur l’internet est officiellement paru (voir ici). La première règle de ce genre d’exercice de propagande est d’en confier la rédaction à des “chercheurs” de gauche plus ou moins radicale. C’est-à-dire à des militants très hostiles. Inutile de dire que la presse d’état, financée par les contribuables captifs, a déployé pour l’occasion tout l’arsenal à sa disposition pour gonfler au maximum les ventes.

    Il s’agit notamment de contrer des écrivains comme Eric Zemmour dont les succès d’édition ne se démentent pas. Avec Alain Finkielkraut, il est devenu une figure publique obsédant les militants de l’invasion allogène : des islamistes à la gauche bourgeoise en passant par les sans-frontiéristes tendance “no border”. Il s’agit aussi de sortir de leur torpeur les godillots du socialisme afin qu’ils fassent “le bon choix” en 2017 plutôt que de se démobiliser.

    Le livre proprement dit prétend “décrire” les gens qui s’expriment sur internet et dont les idées s’opposent à celles de l’idéologie dominante, clef de voûte du système et des médias qui la propagent. Dans le journal d’état “Libération” – financé par l’oligarque Patrick Drahi -, un des auteurs du livre, Dominique Albertini, réalise une synthèse du contenu. C’est sobrement intitulé “Fachosphère : Arme d’intoxication massive” (source).

    Comme vous le savez, la presse corrompue par les subsides du gouvernement “n’intoxique” jamais le public.

    2016-09-22-10_20_54-nouvelle-notification

    2016-09-22-10_24_03-non-daech-nutilise-pas-les-flux-de-migrants-pour-sinfiltrer-en-europe-liber

    2016-09-22-10_28_58-non-le-passeport-syrien-ne-prouve-pas-que-daech-sinfiltre-parmi-les-migrants

    Le journal d’état “Libération”, bénéficiant de 8 millions d’euros de subventions de la part du pouvoir en 2015 (source), se charge donc – aux côtés d’autres médias gouvernementaux (voir ici) – d’attaquer la presse libre d’opposition.

    En voici un extrait particulièrement révélateur :

    Se jugeant mal traitée par les médias traditionnels, l’extrême droite a vu en Internet un terrain à investir pour toucher directement le public. Parmi ses principaux acteurs, certains ambitionnent de concurrencer les«médias du système», d’autres s’attribuent un rôle de lobby et tententd’influer sur le débat public.

    Vous aurez noté que pour se qualifier elle-même, la presse d’état use du doux euphémisme de “médias traditionnels”.

    Ce passage traduit la prise de conscience par les fonctionnaires de l’information, depuis un certain temps déjà, de ce qu’ils sont l’objet d’un profond rejet de la part de fractions grandissantes du peuple. Cette crise de légitimité et de représentativité traverse toute l’Europe de l’Ouest ainsi que l’Amérique du Nord, c’est-à-dire tous les pays où la gauche socialiste contrôle idéologiquement les médias avec l’appui de l’oligarchie financière et politique.

    Depuis plus de deux siècles, l’ensemble des gauches était habitué à avoir l’initiative et à imposer ses catégories idéologiques dans l’esprit des masses. Déjà ébranlé par la défaite du communisme, le socialisme occidental pensait pouvoir prospérer comme alternative. Depuis une dizaine d’années, il a entamé son reflux. Avec la rupture générationnelle en cours – et ethno-raciale en raison de l’immigration – les socialistes contemplent l’érosion rapide de leur ascendant sur le peuple.

    Face à cela, il n’y a que deux options : reconnaître ses erreurs ou rechercher une cause “exogène”. Vous aurez compris que face au caractère profondément religieux des progressistes, seule cette dernière option est possible. Il s’agit donc de reprendre la guerre civile contre la renaissance de l’opposition identitaire, peu importe les moyens, y compris en s’adjoignant des alliés conjoncturels.

    La nature du système

    Cet exemple d’offensive médiatique est l’occasion de parler de la nature du système que nous combattons. Face à ce système totalitaire en voie de formation, ce qui fait de nous une presse libre d’opposition c’est que nous ne bénéficions d’aucun soutien financier gouvernemental, que nous subissons la censure du pouvoir et qu’au surplus, la répression étatique tente de nous faire taire, peines de prison à la clef.

    J’utilise le terme “totalitaire” au sens strict, même s’il a été galvaudé par les Mensheviks (socialistes) occidentaux pour dénoncer le national-socialisme allemand et se démarquer de l’URSS, essentiellement sous l’influence des trotskistes et anarchistes.

    Pourquoi ce terme ? Parce que l’idéologie profonde du système actuel et les méthodes auxquels il recourt s’en rapproche progressivement, de façon organique.

    Dans “Totalitarian Dictatorship and Autocracy”, Carl Friedrich et Zbigniew Brzezinski décrivent six éléments fondamentaux du totalitarisme :

    • une idéologie officielle embrassant la totalité de la vie ;
    • un parti unique de masse et soumis à un chef charismatique ;
    • un contrôle policier recourant à la terreur et dirigé par une police secrète ;
    • un monopole des moyens de communication de masse ;
    • un monopole des armes ;
    • une planification et un contrôle centralisé de l’économie.

    Ces six éléments s’inscrivent dans le cadre de la Guerre Froide. Certains aspects d’allure primitive peuvent faire penser que rien de tel n’existe aujourd’hui en Europe, comme un “parti unique” par exemple. Le “front républicain” contre un parti isolé – le FN – témoigne au contraire de ce que nous sommes à un stade intermédiaire. Dans les états communistes du Bloc de l’Est, le parti communiste savait s’associer à des partis fantoches pour préserver l’image du multipartisme démocratique.

    En ex-République Démocratique d’Allemagne (RDA), tous les partis autorisés par le régime étaient également réunis au sein d’un “front”, le “Front National de la République Démocratique d’Allemagne”. Sous la direction du “Parti Socialiste Unifié”, communistes et socialistes dominaient les partis non-officiellement communistes comme le Parti Libéral-Démocrate ou l’Union Chrétienne-Démocrate qui, après 1990, fusionnera sans épuration avec la CDU actuellement au pouvoir.

    En France, comme en Europe de l’Ouest, la démocratie est formelle. Les bureaucraties des partis, la bureaucratie d’état et l’oligarchie financière occidentale tiennent toutes les clefs du système.

    L’émergence du néo-totalitarisme

    Certains pourraient être tentés de dire qu’il s’agit là d’un système “autoritaire”. Il faut récuser cette interprétation. A la différence d’un système autoritaire où seul le pouvoir institutionnel est verrouillé, les systèmes totalitaires sont guidés par une idéologie officielle qui est activement mise en œuvre par l’état avec pour but la restructuration complète de la société comme de la psychologie profonde des individus.

    Cette idéologie, aujourd’hui, c’est l’égalitarisme socialiste et son dernier rejeton : le socialisme racial. Habituellement dénommé “antiracisme”, il vise à la création utopique d’une “humanité nouvelle” au sein de laquelle les peuples d’Europe, les peuples blancs, auront été détruits. Que les cadres de ce socialisme soient eux-mêmes généralement d’ascendance blanche est sans intérêt : les Khmers Rouges ont détruit près de deux millions de Khmers qu’ils avaient identifiés comme des éléments irrécupérables.

    La dimension raciale et normative de cette ultime phase du socialisme comme “projet historique” le condamne à la radicalisation à mesure que croît le nombre d’extra-européens qu’il importe en Europe.

    En analysant les six critères susmentionnés, on observe que le processus est plus ou moins avancé dans chaque domaine. Le fait que le gouvernement interdise désormais officiellement l’expression d’idées décrétées comme idéologiquement déviantes et qu’il ait créé un organe étatique spécial pour traquer l’opposition – la “DILCRA” – en donne le ton. Ce à quoi il faut ajouter le travail incessant de la police politique – DGSI – et des tribunaux.

    Alors qu’il évoque mon cas, non sans m’avoir préalablement “fascisé” à outrance, Albertini écrit :

    Ses outrances lui ont valu de nombreuses condamnations – notamment deux ans de prison en avril […] Une peine dont Le Lay n’a même pas effectué le premier jour : il a pris la tangente et se trouverait désormais au Japon, hors de portée de la justice française […] En octobre 2014, le consulat de France au Japon a refusé le renouvellement de son passeport. On est depuis sans nouvelles de l’ultraradical Breton.«Des mesures judiciaires contraignantes ont été prises et [il] est activement recherché», indique une source judiciaire.

    “Mesures judiciaires contraignantes” : cet autre euphémisme qualifie la répression brutale d’une opinion non autorisée par l’état, et rien d’autre. Comme on le voit, le rôle des “journalistes” du système consiste désormais à déplorer le manque d’allant de la répression contre les opposants, surtout lorsqu’ils sont exilés.

    Contradictions du système et radicalisation

    Globalement, comme je l’ai dit, nous aurons une version modérée du soviétisme, celle des “Menchéviks”. C’est ce vers quoi avance le système à un rythme de plus en plus soutenu.

    Je rappellerai d’ailleurs qu’à la fin de l’année 1991, alors que l’URSS était en voie d’implosion, l’Internationale Socialiste regroupant les partis socialistes européens exerçait de fortes pressions sur le politburo soviétique pour qu’il ne dissolve pas le régime. Des comptes rendus font état de discussions très tendues, notamment entre le socialiste français Roland Dumas et Mikhail Gorbatchev, sur la nécessité de transformer la Russie soviétique en un état socialiste afin d’éviter que la chute du communisme “ne détruise l’idée socialiste à l’Ouest”. Le but était alors de faire fusionner, à terme, l’URSS et l’UE.

    Les socialistes ouest-européens ont tout fait pour sauver l’URSS : de cela, vous n’entendrez jamais parler dans la presse d’état dont la coloration idéologique est connue.

    L’Union Européenne et son “politburo” qu’est la Commission Européenne constitue la tête de cette “union des républiques socialistes d’Europe” qui avance à marche forcée. Les 27 commissaires ne sont pas plus élus que les douze membre du Politburo soviétique. Le “parlement européen” est une chambre d’enregistrement au même titre que l’ancien Soviet Suprême de l’URSS.

    En France, le vieux jacobinisme révolutionnaire républicain a fusionné avec le socialisme contemporain pour forger ce qui est désormais “la République”. Chaque jour le régime se glorifie et s’autojustifie, signe précisément de la crise sous-jacente de légitimité.

    La répression s’accentue mais demeure limitée aux profils les plus visibles. Il n’y a pas encore d’opposition de masse, même si l’agitation grandit. D’où la fébrilité croissante du régime qui durcit considérablement les opérations de police politique contre un nombre limité d’opposants. Mais sa dynamique l’entraîne à étendre chaque jour le champ des cibles. C’est le dysfonctionnement du système et les défaillances de l’état qui vont accentuer le processus.

    Il n’est pas nécessaire pour un système totalitaire de devoir aller jusqu’aux meurtres de masse. Les exemples yougoslave, polonais, est-allemand, hongrois démontrent qu’un travail de quadrillage, de renseignement, de harcèlement et de propagande peut suffire à piloter le système. Mais les crises intensifient les phases de persécution politique.

    Jusqu’où ira le système socialiste occidental ? Difficile à dire. Probablement pas aussi loin que l’URSS, née dans la guerre civile et les expériences économiques radicales. Mais sa nature le contraint à une forme de radicalisation dont l’intensité reste à voir.

    Si l’homme de la rue sait que le système est irréformable et condamné, nul ne sait quand il tombera. Comme en URSS, il laissera un champ de ruines derrière lui, tant économiquement que socialement et politiquement. Au surplus, loin d’avoir “aboli les conflits raciaux et ethniques”, il les aura exacerbé comme jamais. En fait, il les aura créé.

    Pour avoir dit la vérité, nous – ceux que la presse d’état qualifie de “fascistes” comme c’était l’usage dans les démocraties populaires – aurons averti. Tout en sachant qu’il faut d’abord que le système tombe avant d’être justifiés par les faits.

    Il faut parler aux gens, à ceux du quotidien. Il faut expliquer ce qu’ils ressentent d’instinct. C’est ce que nous faisons et c’est la résonance qui existe entre nous et des parts de plus en plus importantes des populations qui angoisse le système.

    La chute du socialisme à l’Ouest est inéluctable mais pas sans coût, tant pour les opposants que pour le peuple de façon générale.

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  • Rééduquer les masses contre la superstition égalitariste et son rejeton antiraciste

    L’Occident, c’est-à-dire le monde européen et anglo-américain, s’est délibérément enivré du poison de l’égalitarisme au nom d’un utopisme qui confine, désormais, au nihilisme. On ne peut nier que c’est là le produit d’une sécularisation malheureuse et hérétique du christianisme, sur plus de quatre siècles, qui a fait le lit du virus socialiste.

    Quiconque s’intéresse au cas français peut contempler les ravages de la superstition égalitariste, car c’est bien d’une superstition rageuse qu’il s’agit. Ce principe, faux de bout en bout, a ouvert la voie aux pires démagogues bourgeois qui ont progressivement remplacé l’ancienne aristocratie tout en singeant son penchant pour la fossilisation sociale. Peu importe la créolisation complète de la France –  et de l’Europe – pour peu que ces escrocs en retirent leurs dividendes annuels. Pire : c’est devenu un article de foi.

    Quand une classe politique subordonne l’avenir de son peuple au point de le mener à l’anéantissement complet, la voie révolutionnaire devient incontournable. Et généralement celle empruntée.

    L’homme ouest-européen est aujourd’hui un parfait crétin qui s’aveugle volontairement sur les réalités humaines les plus élémentaires et les plus irréductibles. Le fanatisme religieux qui aiguillonne toujours la bourgeoisie croulante qui préside aux destinées de la France arrime chaque jour davantage ce pays aux profondeurs de l’Afrique.

    Cette destruction du bon sens est observable partout. Il y a deux générations, un paysan gaulois dépourvu de certificat d’études comprenait d’instinct l’immensité qui le séparait d’un nègre. Aujourd’hui, une croûte de vieux bavards surnageant sur 71 ans de paix, opérant à tous les niveaux de la vie intellectuelle, répandent leurs insanités sur l’heureux développement que constituerait à leurs yeux le mélange du sang européen avec celui de toutes les peuplades puantes du tiers-monde. De l’Afghanistan au Congo, de la Colombie aux marges de l’Irak.

    La plus grande tâche qui se place devant nous est celle du réapprentissage des réalités raciales. Je suis à ce titre un athée militant de la superstition égalitariste. Ce mythe s’articule sur des pulsions particulièrement tenaces parce que primitives et émotionnelles. Mais plus tenaces sont les réalités que ce mythe prétend abolir.

    Parallèlement, je suis donc un optimiste résolu en ce sens que l’arrogance des demi-marxistes occidentaux adeptes de l’islamo-négrification de l’Europe doit nous rappeler qu’ils ont les yeux plus gros que le ventre. La vieille race européenne qui s’étend sur tout l’hémisphère nord – en plus de l’Océanie et de parts de l’Amérique du Sud – disposent d’atouts colossaux, malgré une politique migratoire – donc raciale – parfaitement destructrice.

    Mais si les dommages sont significatifs, ils ne le sont pas au point changer les lois de la nature voulues par le Créateur.

    Nous devons travailler inlassablement au réveil de nos populations pour qu’elles redécouvrent la boussole sans laquelle il n’est pas de navigation possible en ce monde. Cette boussole, c’est celle de l’inégalité de potentiel et de réalisation des individus comme des groupes humains. Il a fallu bien des combats intellectuels et politiques – et de morts – pour que chacun finisse par admettre que la terre est ronde. Il n’en va pas différemment des réalités raciales et culturelles.

    Cette réalité doit servir d’étoile polaire à un ensemble politique qui reste à édifier. Le point faible de cet édifice est l’Europe péninsulaire tandis que l’imbécilité nord-américaine pousse la Russie dans les bras des Chinois. Nos querelles d’arrière-boutique, en Europe, nous ont ramené au rang de nains géopolitiques, offrant à des pays économiquement sous développés comme la Turquie orientalo-asiate des leviers exorbitants.

    La fumisterie qu’est la superstition des droits-de-l’homme, qui codifie toute l’escroquerie, parvient à convaincre jusqu’à des docteurs ou des ingénieurs de ce qu’un aborigène est leur égal, malgré ses 60 points de QI !

    A la différence de nombre de tenants de cette superstition destructrice, j’ai eu le privilège de fréquenter cette humanité archaïque sortie des déserts d’Australie et de devoir assurer l’entretien de leurs chambres d’hôtel gracieusement offertes par le prolétariat anglo-saxon de ce pays, sous l’égide éclairée des puritains convertis à l’antiracisme. Il suffit de voir une de ces tribus déféquer dans ses lits et manger à même le sol pour comprendre, en moins de 10 minutes, qu’on ne comble pas 60 000 ans avec des chèques et des bons sentiments.

    La raison et la sagesse ne gouvernent plus l’Europe, seulement une litanie sans fin d’émotions de communiantes. Cette pâtisserie sentimentale a aboli le sens commun et met en confiance le barbare afro-musulman qui croit soudainement pouvoir revendiquer des droits sur nous.

    Quand ce simulacre prendra fin, Mohammed et Mamadou tomberont soudainement du haut de leurs illusions. Ces masses, gouvernées par leur psychologie infantile, ont déjà perdu la tête à l’idée alléchante et naïve de ce qu’ils seraient sur le point de nous dominer. De la complainte poussive de la victime les voilà hurlant leurs récriminations, préalables à l’émeute meurtrière.

    Il ne faudra pas grand chose pour que la déconvenue soit au rendez-vous et que les espoirs de fainéantise éternelle ne fondent comme neige au soleil. Le pullulement de cette basse humanité au cœur de l’Europe n’est du qu’aux subsides colossaux que leur accorde l’oligarchie dégénérée qui gouverne les démocraties occidentales.

    L’anarchie continuant de se répandre, les efforts du fanatisme antiraciste finiront par épuiser tous leurs effets au sein des masses. Nos efforts pour en finir avec la terreur antiraciste seront progressivement couronnés de succès à mesure que la réalité et le bon sens conforteront nos avertissements.

    Paradoxalement, nous devons avoir la patience de ceux qui voient plus loin que les hystériques de notre époque. L’effondrement du système actuel comme de ses valeurs préfigure de la victoire de nos conceptions.

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  • Paris dégage un fort parfum coréen du nord…

    Quelle conception incongrue de l’autorité a ce pouvoir, cet univers socialistes dans toutes ses facettes !

    Aujourd’hui, c’était la piétonnisation des voies sur berges. Le maire de Paris, seul contre tous, notamment l’instance consultative qui a émis un avis négatif, l’a décidée et la préfecture, toujours courageuse, l’a admise mais constatera ce que l’expérience a donné. Les Parisiens sont des cobayes.

    Anne Hidalgo ne reculera pas mais on n’avancera plus.

    Dimanche, si on voulait avoir le droit de circuler en voiture, il fallait le faire avant 11 heures et après 18 heures.

    Commode pour tous ceux qui avaient, par exemple, prévu de quitter Paris dans la matinée et de revenir tôt dans l’après-midi !
    La détestation des voitures pour lutter contre la pollution a beau apparaître comme une cause à la mode et en partie légitime, elle est dénaturée, dévoyée, dégradée quand elle tombe, pour être respectée, dans un totalitarisme qui, pour être parisien et prétendument progressiste, dégage cependant un fort parfum coréen du nord. Les moyens pervers altèrent les plus nobles finalités, à supposer qu’en l’occurrence elle soit telle.

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  • Le genre : ça n'existe pas mais ça a besoin d'argent

    Mercredi 28 septembre à 16h30, dans le cadre des travaux menés sur les études de genre, la Délégation aux droits des femmes organise une table ronde sur la budgétisation sensible au genre, avec :

    Cette audition sera retransmise en direct sur le portail vidéo de l'Assemblée.

    Le rapport d'information sur les études de genre sera présenté par Maud Olivier, lors de la réunion de la Délégation du mercredi 12 octobre à 16h15. 

    Michel Janva