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lobby - Page 1313

  • Marion Maréchal Le Pen recadre Florian Philippot

    Via le JDD :

    "Maintenez-vous, malgré les vives critiques de Florian Philippot, votre proposition de revenir sur le remboursement intégral et illimité de l’avortement?

    Je ne vois pas ce qui pourrait me faire changer d’opinion. J’aurais aimé un peu plus de respect de la part de Florian Philippot. Il parle de moi dans les médias en disant "cette personne" ; je trouve cette appellation assez inadéquate. Il y a un minimum de bienséance et de respect mutuel à avoir. Rien ne pouvait justifier une telle agression.

    Florian Philippot suggère que vous êtes minoritaire…

    Quand on définit la ligne du FN ou qu’on décide d’un changement stratégique, on le fait dans les instances du parti ; on ne le fait pas tout seul sur BFMTV! J’accepte l’idée qu’au FN, certains puissent être issus de parcours différents. Je rappelle que Florian a pris des positions sur lesquelles il était minoritaire au sein du Front, notamment sur la campagne gouvernementale de lutte contre le SIDA qui m’apparaissait, à moi, très gênante, pour les enfants mais aussi pour les homosexuels. La majorité, au FN, ne partage pas du tout ce choix.

    Comment apprécier ce qui est majoritaire ou pas, au sein de votre parti?

    La seule unité de mesure, c’est l’élection de Marine Le Pen au congrès de 2011. Elle a été élue sur un programme qui est sans ambiguïté sur ce sujet de l’IVG. Qu’elle veuille écarter un certain nombre de sujets pendant la campagne, c’est son droit. Mais ce congrès demeure l’unité de mesure majeure. Et je rappelle que je suis arrivée première à ce congrès. C’est donc que je ne suis ni minoritaire ni isolée."

    Puis à propos de François Fillon :

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    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Désétatiser le modèle social

    En écartant Alain Juppé et en désignant très majoritairement François Fillon comme candidat présidentiel les 4 millions d'électeurs, chiffre record, ayant participé aux primaires de la droite et du centre, ont confirmé, et même renforcé, la détermination de desserrer l'étreinte étatiste de la société française.

    Une telle volonté prolongeait l'effort trop timide de la RGPP. Cette Révision générale des politiques publiques avait permis par exemple, entre 2005 et 2011, de ramener de 700 à 373 le nombre des corps et administrations de l’État. On ne doit donc pas trop s'étonner de voir combien cela irritait les profiteurs et les idéologues héritiers du jacobinisme, qui se sont employés à liquider la RGPP après 2012.

    On doit bien mesurer, d'abord, que le statut de la fonction publique dans notre pays a été organisé par deux ministres communistes : Thorez en 1946, Le Pors en 1983. On comprend dès lors que l'enjeu reste une fois de plus la non-repentance, au sein de la gauche française dans son ensemble, de ce marqueur idéologique qui semble toujours l'imprégner comme la tache indélébile de Lady Macbeth. Si cela ne s'appelle pratiquement plus communisme, cela reste marxiste et s'affirme égalitaire, ce qui revient au même.

    Or, c'est déjà sous la Troisième république que l'on a commencé à se préoccuper en France de la fonctionnarisation de la société et de l'économie. On se plaignait de la fiscalité subséquente. De la protestation contre les abus, et l'inquisition fiscale, résultant de l'impôt sur le revenu, voté en juillet 1914, naquit une première Ligue des contribuables. On n'avait certes, pourtant, encore rien vu mais on ne faisait que constater l'application d'une loi parfaitement universelle.

    On attribue ainsi à la fois à Courteline et à Clemenceau la remarque bien significative sur "la France ce curieux pays où l'on sème des fonctionnaires et où l'on récolte des impôts". Est-ce pourtant curieux ? Non. Rien n'est, en fait, plus conforme à la raison la plus mathématique : le recours à l'emprunt n'étant qu'un expédient, toute dépense publique se résout, tôt ou tard, en impôts. Et le propre des emplois publics consiste à se trouver rémunéré sur les budgets de l'État ou des collectivités locales.

    Le caractère curieux de cette situation ne résulte pas de l'enchaînement logique ainsi décrit, mais au contraire de l'état d'un secteur de l'opinion, de plus en plus minoritaire, qui ne comprend pas la pente fatale sur laquelle est entraîné le char démagogique de l'État.

    Au stade actuel de la maladie, le thermomètre indique un taux de 57 % de la richesse nationale absorbée par la dépense publique. Et, corrélativement l'effectif global de 5,6 millions d'emplois public dépasse de toute évidence la cote d'alerte.

    Dans la campagne présidentielle qui va se développer pendant 5 mois, l'aveuglement devant la nocivité d'une dépense publique excessive va probablement être mobilisé au service des campagnes de gauche, – ou, ce qui revient au même, en affluent d'une propagande qui assimile joyeusement le fonctionnariat au prétendu "modèle social français", et qui s'en satisfait.

    La proposition de la droite de diminuer en 5 ans de 500 000 postes le nombre des emplois publics en France, en jouant sur les départs à la retraite fait donc naturellement bondir les tenants de la gauche étatiste.

    On doit comprendre aussi que, depuis la réforme de 1983 conçue par le communiste Anicet Le Pors, le terme de fonction publique recouvre des réalités juridiquement fort différentes, ne bénéficiant pas des mêmes avantages, selon qu'il s'agit d'agents de l'État, des collectivités territoriales ou des divers personnels hospitaliers. C'est ensemble que ces trois catégories employaient  (1)⇓ fin 2014, 5,64 millions d'agents (5,43 hors contrats aidés), sur une population active estimée à 28,8 millions de personnes.

    Il n'est donc pas seulement urgent de répondre aux gens qui accusent la droite de vouloir "supprimer 500 000 fonctionnaires", comme s'il s'agissait d'un projet d'assassinat collectif de type soviétique.

    Il faut se mobiliser, et tenir bon, autour de l'objectif d'intérêt national de désétatiser le modèle social. Il en va du redressement de la France et de la cause de la Liberté.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1. La fonction publique de l'État comptait, en 2014, 2,47 millions d'agents (43,87 %), la "fonction publique territoriale" 1,98 million (35,17 %) et les divers personnels travaillant dans les hôpitaux publics 1,18 million (20,96 %). Ces chiffres n'englobent pas les "Organismes privés à financement public prédominant", les "Entreprises publiques", les "Organismes publics hors fonction publique" et les "Emplois aidés de la fonction publique".

    http://www.insolent.fr/

  • L’agonie d’une utopie

    Seuls, tous ceux qui n’ont d’autres soucis que leurs petits plaisirs individuels, trouvent encore leur compte dans l’aphorisme récréatif du « il est interdit d’interdire« . Seuls, les bobos urbains et les mondialistes connectés croient encore à cet adage célèbre qui tourne en boucle comme un manège enchanté autour de leur petit monde. Qui les tient très éloignés des préoccupations, plus terre-à-terre, du tout-venant. Cela ne serait rien, s’ils n’avaient pas voulu, pour se dédouaner, avec l’aide des apprentis sorciers du « vivre ensemble« , nous fabriquer un monde sentimental fait de faux-semblants, dans lequel nous pataugeons encore. Et qui leur permet, à l’abri derrière leur bonne conscience, pour faire oublier l’évidence de leur fatuité, de faire la morale au monde entier et d’être très généreux avec l’accueil des autres, tant que ces derniers ne gênent que les quartiers déjà submergés par la misère. 
    Même si cette idéologie post-soixante-huitarde, craque de toutes parts et a de moins en moins d’écho dans le peuple, elle reste dominante et majoritaire dans les médias, dans les plus hautes sphères de l’État et parmi tout le personnel politique. Ce petit monde, vivant en vase clos dans un univers fantasmé, est incapable du moindre recul pour comprendre les changements qui s’opèrent dans la société ; ses analyses, de plus en plus incompréhensibles, confuses, quand elles ne sont pas inaudibles, tombent à plat. Et elles confortent le bon sens populaire, toujours réticent aux expériences intellectuelles aventureuses, qui a déjà, depuis quelques temps, repéré la faille : seule une information fallacieuse l’avait empêché de s’exprimer.

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  • Trump a gagné ! N’en déplaise au Boboland & aux groupies d’Hillary…

    Qu’on l’aime ou pas (ce qui est le droit de tout un chacun), Donald J. Trump est bien le vainqueur de ces élections. Il sera même le président de tous les Américains ! À meilleure preuve le choix (possible pour la première) de deux démocrates aux postes-clés des Affaires étrangères & du NSC avec, respectivement Tulsi Gabbard & Michael T. Mike Flynn aux commandes. Le reste a-t-il vraiment de l’importance, sauf à vouloir noircir, à tout prix, du papier ?

    Q. Avant d’entrer dans le vif du sujet, une question liée à l’actualité en Terre promise : que répondez-vous à ceux qui nient la nature terroriste (sic) des incendies en Israël ?

    Jacques Borde. Qu’ils racontent n’importe quoi ! Ces gens-là se payent notre tête. Ni plus, ni moins !

    1- des incendiaires clairement identifiés comme des Islamistes radicaux ont bien été appréhendés et déférés devant la justice.
    2- des responsables takfirî ont, à la fois, justifié et revendiqué la paternité idéologique (sic) de ces actes.
    3- les enquêtes sont supervisés sous l’autorité du Sherut Ha’Bitaron A’Klali (SHABAK)1 qui est responsable de la lutte anti-terroriste au plan intérieur. SR qui, par ailleurs n’a pas pour habitude de s’occuper – faute de moyens et d’hommes, contrairement aux légendes conspirationnistes et à… Hollywood, les SR hiérosolymitains ne roulent pas sur l’or – de questions qui ne ressortent pas de son expertise.
    4- déjà, en décembre 2010, des incendies terroristes avaient ravagés le pays. Et des coupables avaient été identifiés, arrêtés et condamnés.

    Q. Restons encore au Levant : pensez-vous que l’agenda de Trump sur la Syrie soit sérieux ?

    Jacques Borde. Oui, j’y crois. D’ailleurs, avant même son entrée en fonction (janvier 2017) Trump a commencé à prendre ses marques sur ce dossier…

    Q. De quelle manière ?

    Jacques Borde. Oh, un exemple ! Selon The Independent, son fils, Donald Trump Jr., a participé, le 11 octobre 2016 à Paris, à des pourparlers avec les Russes et quelques autres.

    Mais avec du lourd : étaient présents à cette rencontre, le fondateur du Center of Political & Foreign Affairs (CPFA) Fabian Baussard, et Randa Kassis, qui rappelle que ni les États-Unis ni la France ne pourront trouver de solution à la crise syrienne sans l’aide de la Russie.

    Par ailleurs, comme l’a rappelé le Wall Street Journal, Randa Kassis est en faveur d’une transition politique en Syrie mais avec le maintien du président Assad au pouvoir. Ajoutons, pour être complet que Randa Kassis a également déclaré à Al-Jazeera que la Russie était intervenue en Syrie pour « protéger » ce pays.

    À ces éclairages, comment ne pas croire que l’administration Trump puisse effectivement renverser la table sur le dossier syrien. Sinon pourquoi rencontrer des gens de la stature de Kassis et Baussard affichant de tels engagements ?

    Q. Et au niveau de ses propos, Trump est bien sur cette ligne ?

    Jacques Borde. Idem. Relisez donc ceux-ci : «Nous recourrons à la force militaire seulement en cas de nécessité vitale pour la sécurité nationale des États-Unis. Nous mettrons fin aux tentatives d’imposer la démocratie en dehors des États-Unis et de renverser les régimes, ainsi que de nous impliquer dans des situations dans lesquelles nous n’avons aucun droit de nous ingérer ».

    Personnellement, je n’y trouve rien à redire.

    Q. Passons aux question intérieures. Au niveau de la prise du pouvoir, selon vous, Trump risque-t-il une procédure d’impeachment ?

    Jacques Borde. Ah, oui. La dernière tarte à la crème des anti-Trump.

    Premier point, Donald Trump remportera le vote des Grands électeurs, qui doit avoir lieu le 19 décembre, et sera investi le 20 janvier 2017. Il en a entre 302 et 308, je crois ! Je ne pense pas que les manœuvres de Jill Stein, l’ancienne candidate du Green Party, y changent grand-chose.

    Quant à aller vers un impeachment, il faudrait que celui-ci soit voté par les Républicains, qui viennent justement de le rallier.

    « Le fait qu’il ait nommé le président du Comité national républicain, Reince Priebus, comme chef de cabinet en est la preuve : il n’y a plus d’opposition avec le parti » estime le Pr. Corentin Sellin, spécialiste des États-Unis, interrogé par BFMTV.com.

    « Il a rencontré Mitt Romney, il a nommé Nikki Haley, gouverneur de Caroline du Sud, qui s’était opposée à lui, comme nouvelle ambassadrice américaine aux Nations-unies. Il a été malin dans ses nominations, et tout le parti est désormais autour de lui. Par ailleurs, avec son discours protectionniste et isolationniste, il a élargi l’électorat du Parti républicain dans des proportions incroyables, ce que n’aurait pas pu faire le vice-président élu Mike Pence par exemple » poursuit Corentin Sellin.

    « De fait, est-ce que l’on imagine une Chambre des Représentants républicaine et un Sénat républicain voter l’impeachment ? La réponse est non. Et à court terme, ils n’ont aucune raison de le faire. Pas plus que les Démocrates, qui ont plutôt intérêt à comprendre pourquoi ils ont perdu l’élection et à reconstruire leur parti » ajoute-il.

    Donald J. Trump sera bien Président des États-Unis.

    Q. Mais cette contestation des voix et de savoir à qui elles reviennent, ça n’est pas embarrassant pour Trump ?

    Jacques Borde. Si. Sauf que, à bien y réfléchir, ça l’est autant pour Hillary R. Clinton et sa bande, pardi !

    Car, comme l’a souligné Donald J. Trump, lors de sa campagne, des doutes pèsent lourdement sur le camp démocrate, ce dans trois États remportés par HiLIARy.

    Cf ? « Une grave fraude électorale en Virginie (ouest), dans le New Hampshire (nord-est) et en Californie (…). Pourquoi les media ne donnent pas d’informations là-dessus ? Grave parti pris,gros problème ! ».

    Quitte à recompter des voix, le camp républicain pourrait aussi demander à ce qu’on se penche sur les dérapages des bourgs pourris2 qui ont permis à Clinton et les siens de s’offrir ses Grands électeurs. À un moment donné, il va falloir en finir avec ce cinéma politico-médiatique. Non ?

    Q. Et le conflit d’intérêt comme menace potentielle pour Trump ?

    Jacques Borde. Depuis son élection, Donald Trump, qui multiplie ses rencontres avec des dirigeants internationaux dans ses appartements de la Trump Tower, à New York, est accusé (par ses adversaire, il s’entend et encore pas tous) de continuer à faire fructifier ses affaires.

    Un des dernières accusations en date : l’échange téléphonique entre Donald Trump et le président argentin, Mauricio Macri, qui l’appelait pour le féliciter. Selon la presse argentine, Trump aurait profité du coup de fil pour lui demander de l’aide à propos d’un projet immobilier à Buenos Aires. Mais l’information a aussitôt été démentie par la présidence argentine.

    « Pour l’heure, le fait qu’il continue à parler business avec ses interlocuteurs pose un problème moral. Mais si le 20 janvier il n’a pas totalement séparé ses affaires de la politique, c’est là que le conflit d’intérêts interviendra véritablement » note Corentin Sellin. « A partir de cette date, il faut qu’il n’ait plus aucune responsabilité exécutive au sein de la Trump Organization, qu’il ne soit plus bénéficiaire de ses entreprises, et que son business ne profite pas de l’administration. Et il ne devra plus tirer de revenus de ses affaires ».

    Q. L’impeachment, comment ça marche ?

    Jacques Borde. Aux États-Unis, le pouvoir de démettre le président de ses fonctions appartient au Congrès, qui rassemble la Chambre des Représentants et le Sénat. Prévue par l’article II de la Constitution américaine, qui stipule que « le président, le vice-président et tous les fonctionnaires civils des États-Unis seront destitués de leurs charges sur mise en accusation et condamnation pour trahison, corruption ou autres crimes et délits majeurs », la procédure de destitution peut être enclenchée à n’importe quel moment au cours du mandat, le président américain ne bénéficiant d’aucune immunité.

    Pour être mise en route, la procédure d’impeachment doit être votée à la majorité simple, à la Chambre des Représentants. Cette majorité entraîne l’ouverture d’un procès au Sénat, où la majorité des deux tiers, cette fois-ci, est nécessaire pour que la destitution soit effective.

    Dans les faits, l’impeachment n’a été utilisé que très rarement, dans l’histoire des États-Unis, puisqu’il est réservé à des situations totalement exceptionnelles, en cas de crime ou de trahison. Ce qui concernant Trump, qui n’a jamais exercé d’office politique auparavant, semble plus qu’aléatoire comme démarche.

    La procédure a été enclenchée à trois reprises contre un président en exercice.

    1- Andrew Johnson en 1868 ;
    2- en 1974, contre le président républicain Richard Nixon, empêtré dans le scandale du Watergate. Mais le processus n’a finalement pas abouti, Nixon ayant pris les devants en démissionnant ;
    2- Bill Clinton en 1998, accusé de parjure, le Sénat avait finalement décidé l’acquittement.

    Q. Puisque vous en parlez : quid des Clinton, sont-ils tirés d’affaire ?

    Jacques Borde. Probablement, non. Certes, Donald J. Trump est, jusqu’à présent, resté évasif quant aux actions pénales contre le clan Clinton, mais l’arrivée de Jefferson B. Jeff Sessions III, au poste d’Attorney general3 est la pire nouvelle que pouvaient attendre les Clinton…

    Q. Pourquoi donc ?

    Jacques Borde. Parce que l’enquête sur les activités de la Fondation Clinton, soupçonnée de détournement de fonds et de réception d’argent étranger, reste d’actualité. Et l’aile la plus dure du Parti républicain n’a pas l’intention d’abandonner.

    Aucune fraude de sa part geint le fan club d’Hillary ! Sauf que la Fondation a réussi à se payer un… yacht grâce aux dons. Étrange, relativement aux statuts d’icelle…

    Pour le Pr. Édouard Lozanski, président de l’Université américaine de Moscou, « Les Républicains conservateurs estiment que la famille Clinton a violé la loi à plusieurs reprises et doit enfin répondre de ses actes. Une telle occasion pourrait ne plus se représenter à l’avenir. Toutefois, Donald Trump ne s’est pas clairement exprimé sur l’affaire. Sa déclaration était assez évasive ». Mais, en fait, « Cela dépendra de celui qui sera nommé au poste de procureur général, car c’est ce dernier qui supervise l’activité du FBI. S’il s’agissait de Jeff Sessions, alors les Clinton seraient menacés. Je pense que Sessions sera justement nommé: c’est un sénateur républicain en exercice et il sera soutenu par les membres de son parti ».

    Or, c’est bien Jeff Sessions qui vient de prendre les commandes au Department of Justice (DoJ). Le ciel se couvre au-dessus de la Clintonie…

    Notes

    1 Pour Service de Sécurité générale. Équivalent israélien de la DGSI et du FBI.
    2 Allusion aux pratiques de l’Angleterre pré-victorienne…
    3 Ministre de la Justice.

    Jacques Borde

    http://www.voxnr.com/7051/trump-a-gagne-nen-deplaise-au-boboland-aux-groupies-dhiliary

  • Syrie: les journalistes ont vendu leur âme au diable!

  • I MEDIA S03E43 Allemagne : Migrant violeur dans l’ombre médiatique

  • Crise au FN au sujet de l’avortement : David Rachline indique la porte aux élus solidaires avec Marion Maréchal Le Pen

    Cela ne fait plus de doute : l’avortement est au centre des débats politiques, provoquant au passage une véritable crise profonde au sein du Front National.

    Ce mercredi 7 décembre sur iTélé, David Rachline, directeur de campagne de Marine Le Pen, en est venu à menacer les élus et responsables locaux du parti qui affichent leur désaccord avec la position de Marine Le Pen, leur indiquant la direction de la porte.

    – David Rachline : On n’est pas tous obligés d’être d’accord au millimètre près. En revanche, c’est vrai que lorsqu’on est un responsable local, on s’attend à ce que les responsables locaux soient en phase avec la présidente du mouvement. On n’oblige personne à être responsable local du Front national. […] Chacun a son opinion mais il n’y a qu’une seule candidate, il n’y a qu’un seul projet pour l’élection présidentielle, et il n’y aura qu’un seul programme qui sera appliqué une fois que nous serons au gouvernement. […] On risque rien, mais simplement il est utile pour nous de rappeler quelle est la ligne politique que défend Marine parce qu’elle est candidate à la présidentielle et je vous dis : pour ce qui est des responsables locaux, on force personne à être responsable local, pour ceux qui sont en désaccord.

    – iTélé : Vous forcez personne, ça veut dire qu’il y en a qui peuvent partir ?

    – David Rachline : J’ai été clair, je pense.

    http://www.medias-presse.info/crise-au-fn-au-sujet-de-lavortement-david-rachline-indique-la-porte-aux-elus-solidaires-avec-marion-marechal-le-pen/65927/

  • De mal en Pisa

    Ce n’est une  surprise pour personne,  Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur très impopulaire au sein des forces de l’ordre , a été nommé par François Hollande Premier ministre en remplacement d’un Manuel Valls ayant officialisé sa candidature à la primaire socialiste. Pour succéder à M. Cazeneuve place Beauvau, Bruno Le Roux, jusqu’alors président du groupe PS à l’assemblée, s’est imposé dans l’esprit de François Hollande. Interdit de territoire russe du fait de son zèle à relayer la propagande et les mesures de rétorsions initiées par Bruxelles et le gouvernement Obama contre la Russie, M. Le Roux,  comme le chef de l’Etat, Marisol Touraine, Arnaud Montebourg , Najat Vallaud-Belkacem, de nombreuses figures du monde médiatique, est un Young Leaders. C’est-à-dire un membre d’un programme, précisait Benjamin Dormann dans Atlantico en mai 2012, «créé en 1981 dans le but de donner un nouveau souffle aux relations transatlantiques », « l’un des programmes phares de la French-American Foundation (FAF) ».

    Bruno Le Roux est aussi connu, mais ceci découle de cela, pour son hostilité assez hystérique au camp national et patriotique. Au nombre de ses déclarations outrancières, il affirmait notamment, dans le journal Les Echos, en compagnie de l’ancienne patronne du Medef,  Laurence Parisot,  qu’« Il y a au FN une base de fachos, de racistes, d’antisémites ». Il avait aussi appelé à ce qu’Eric Zemmour soit chassé des médias. Bref un ministre de l’Intérieur de combat qui n’a pas été choisi au hasard en cette période électorale…

    Il n’y a pas de hasard non plus, l’Education nationale a beau être le premier budget de l’Etat, la dernière enquête PISA de l’OCDE sur les performances scolaires des jeunes de 15 ans dans 72 pays du monde , confirme la médiocrité du classement de la France . Cela se vérifie entre autres,  est-il souligné,  pour le niveau de ses élèves en sciences, notre pays se situant derrière le Royaume-Uni et l’Allemagne. Comme les précédentes enquêtes, la dernière datait de 2013, il est indiqué que la France se distingue par le poids de l’origine sociale des enfants sur les résultats : environ 40% des élèves en France issus d’un milieu défavorisé sont en difficulté, contre 34% pour la moyenne de l’OCDE.

    Invité à réagir sur RTL à cette enquête, le philosophe Luc Ferry, ex ministre de l’Éducation nationale (2002-2004), dont il nous arrive de partager les vues, a jugé que l’effort fourni par l’élève était un critère essentiel. « On est entré, dit-il,  dans une société d’hyperconsommation où la concurrence des jeux de toute sorte par rapport à l’école est très grande. (…) Dans les pays asiatiques, ils travaillent comme des fous furieux. L’idée qu’un enfant ne travaille pas dix heures par jour paraît surréaliste dans une famille de Shanghai ou de Hong Kong. Chez nous, quand on arrive à les faire travailler une heure par jour, c’est déjà une performance ».

    La capacité de travail est  à l’évidence un élément déterminant, a fortiori pour les élèves  issus de milieux modestes, pour accéder à l’ascenseur social. Un environnement familial, culturel propice est bien évidemment également  un atout de taille. Aussi, il est certes loisible de contester le jugement assez péremptoire de M. Ferry selon lequel il  est « absolument faux » de dire que « l’école ne fait que s’effondrer depuis quarante ans », mais nous pouvons le suivre quand il précise les raisons de la médiocrité des résultats sont également à chercher en amont. « Si l’éducation n’a pas été correcte avant l’entrée dans l’école, les professeurs sont en très grande difficulté. On ne peut pas corriger des inégalités sociales aussi incroyablement profondes simplement par le système scolaire ».

    Partant  de ce constat des inégalités croissantes entre élèves ayant accès aux bons établissements des centres-villes et les autres moins épargnés par la babélisation, le multiculturalisme et la crise, Luc Ferry préconise  implicitement, sans prononcer le mot,  une dispersion de l’immigration sur l’ensemble du territoire . Pudeur sémantique  que n’avait pas un blogueur hébergé par le magazine Marianne qui notait en 2010 qu’ « il y a ce que PISA se garde bien ou, en tout cas, oublie de dire : les pays les plus en difficulté, en dépit des moyens qu’ils allouent, comme l’Allemagne ou la France, ou encore l’Angleterre sont aussi des pays de très forte immigration ».

    Ajoutons que dans notre esprit,  le rôle de l’Etat est d‘instruire les enfants mais certainement pas de les éduquer, rôle dévolu aux parents , la nuance est de taille, surtout à l’aune de la propagande qui sévit dans les manuels scolaires. Et si cette instruction nationale ne  peut évidemment corriger toutes  les inégalités sociales, elle peut cependant  contribuer à donner l’amour de la France, de nos valeurs civilisationnelles. M. Ferry le notait dans Le Figaro il y a déjà deux ans  en estimant qu’il fallait  « réécrire de fond en comble les calamiteux programmes d’éducation civique du primaire, car c’est chez les petits que tout se joue. À ce niveau, tout est encore possible, les enfants nous écoutent, ils ne sont pas entrés dans l’âge de la révolte, voire de la haine ». Il plaidait aussi, comme le Front National avant lui,  pour une refonte de l‘enseignement de l’histoire: « L’Europe n’est présentée que sous les aspects de la colonisation et de la traite négrière (…). Vous ne pouvez pas voir la civilisation européenne que de ce point de vue-là (…)  on est dans l’Europe de la repentance».  Est-il besoin de préciser que la droite au pouvoir n’a fait qu’accompagner, voire installer cette idéologie masochiste anti-française depuis l’élection du calamiteux Jacques Chirac dont il fut le ministre de l’Education?

    En attendant insiste donc M. Ferry, « Il faut dispatcher dans la France profonde des gens qui se retrouvent dans de véritables ghettos ». Une ventilation  qui ne résoudra rien, si ce n’est d’étendre le problème  affirme Bruno Gollnisch,  si l’immigration de peuplement se poursuit, s’il n’est pas mis un terme au regroupement familial, si la babélisation-communautarisation qui empêche l’assimilation au modèle français n’est pas endiguée. Mais à part le Front National qui a le courage, la  clairvoyance de le dire ? Il n’est pas anodin non plus que ce phénomène  de tiers-mondisation de la France se traduise à l’autre  bout de la chaîne par une émigration , qui va s’accélérant,  très inquiétante,   des hauts revenus pour de raisons fiscales mais aussi de  nos jeunes diplômés et cerveaux.

    Julien Gonzalez-Lambert,  délégué général adjoint d’un syndicat professionnel , relevait dans Les Echos la semaine dernière, chiffres à l’appui (« la France ils l’aiment mais ils la quittent»), que «Tous ces Français partent et partiront pour des raisons économiques, réglementaires, culturelles ;emportant avec eux une partie des réponses aux problèmes de notre pays, l’affaiblissant d’autant par les emplois et richesses créés ailleurs, le privant de ressources fiscales». Un problème qui n’a pas échappé à Marine qui présentera à nos compatriotes également  dans les semaines à venir  ses propositions pour l’école et ses analyses en matière sociale et économique,   pour redonner un avenir français à nos  jeunes contraints à l’exil.

    http://gollnisch.com/2016/12/08/de-mal-pisa/

  • Le PS instaure le droit de vote des étrangers aux Primaires citoyennes !

    C’est un vieux rêve du Parti socialiste qui se concrétise : accorder aux étrangers le droit de vote. Si le PS n’est pas parvenu à l’imposer pour les scrutins nationaux, faute de majorité des deux tiers au Parlement, son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, l’a instauré sans rencontrer d’opposition pour les Primaires citoyennes, le nom donné à la primaire de la gauche socialiste qui aura lieu les 22 et 29 janvier prochain.

    Tous les étrangers pourront désigner le candidat du PS à l’élection présidentielle, à la seule condition… qu’ils soient de gauche ! Le règlement des Primaires citoyennes prévoit en effet que peuvent voter les étrangers, qu’ils soient ou non issus des pays de l’Union européenne, dès lors qu’ils sont « adhérents aux partis ou organisations de jeunesse des partis organisateurs »,c’est-à-dire membres du Parti socialiste ou de ses satellites.

    Le Grand Remplacement de l’électorat disparu du Parti socialiste, c’est maintenant !

    http://fr.novopress.info/

  • Les femmes deviennent indésirables dans les lieux publics... islamisés

    Ces terrasses de café et ces rues ont un point commun : les femmes semblent effacées. Nous ne sommes pas au Moyen-Orient mais en France à Sevran. Dans un bar, il n'y a que des hommes peu accueillants. Le patron n'a pas envie de discuter et d'autres hommes sont choqués de voir ces femmes. "Dans ce café, il n’y a pas de mixité", assure sèchement un homme. 

    Pas d'amalgame : ils sont tous modérés.


    Société : quand les femmes sont indésirables dans les lieux publics

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html