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lobby - Page 1384

  • Le président de Goldman Sachs annonce qu’il va falloir annuler le Brexit « d’une façon ou d’une autre »

    Voilà une information significative , rapportée par le parti patriote : « UPR » , sur son site. Il n’aura pas fallu longtemps pour qu’un représentant de l’oligarchie mondialiste ne se manifeste à propos du Brexit. Voilà , où nous en sommes.

    La démocratie ne peut en aucun cas venir contrarier les décisions de l’Olympe de la finance internationale. Sûr de lui et sans complexe, le patron de Goldman Sax , dont le pédigrée édifiant est fourni à la fin de cet article, annonce tout simplement qu’on ne devra pas tenir compte du référendum de Grande Bretagne. Il précise , bien entendu , que c’est pour le bien des générations avenir qu’il faut agir. car lui, et ses congénères, plus que tout autre, sait où est le bien du peuple. Et celui-ci , n’est pas suffisamment compétent ou savant pour décider de son propre avenir. Autrement dit, cette poignée d’hommes qui a travaillé sur plusieurs générations pour obtenir le pouvoir suprême dans le nouvel ordre mondial, n’entend pas se laisser déposséder par un vulgaire référendum populaire.

    Factuellement, voilà ce qu’il en est :

    L’ancien Commissaire européen à la concurrence, ancien directeur général de l’OMC, actuel président de l’European Policy Center et actuel président de Goldman Sachs International a diffusé le tweet suivant suite à la victoire du Brexit au référendum britannique :[...]

    Olivier Dejouy

    La suite sur Le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-president-de-Goldman-Sachs 

     

  • Christian Combaz : Anne Hidalgo, ce maire qui n’aime pas les pauvres !

    Anne Hidalgo prétend désormais interdire l’entrée de Paris aux véhicules et aux deux-roues anciens (15 ans et plus) qui polluent trop. Christian Combaz, qui roule à moto (une Honda de 1994), proteste contre cette mesure qui ne vise, selon lui, qu’à brimer encore une fois les pauvres. L’occasion de souligner qu’en France, « la loi n’est plus faite par le peuple mais contre lui ».

    http://www.bvoltaire.fr/christiancombaz/anne-hidalgo-ce-maire-qui-naime-pas-les-pauvres,265181

     

  • GPA : Petra de Sutter ne lâche rien, mais nous non plus !

    De Ludovine de La Rochère :

    Petra de Sutter s’apprête à donner une conférence, ce jeudi 30 juin, dans l’enceinte du Parlement européen. Sénatrice écologiste belge et membre de la Commission des Questions sociales du Conseil de l’Europe, elle est mise en cause dans le cadre d’un conflit d’intérêt : en effet, elle est rapporteur sur la GPA (Gestation Par Autrui) pour ladite commission du Conseil de l’Europe alors qu’elle pratique elle-même des GPA dans son service hospitalier de Gand (Belgique) - elle est gynécologue-obstétricien - et qu’elle conseille même une clinique de GPA en Inde, autrement dit une société commerciale de location de femmes et trafic d’enfants. Rien d’étonnant donc, à ce que Petra de Sutter milite en faveur de la GPA.

    Bien introduite là où il faut, elle a déjà tenté deux fois, en quelques mois, de faire avancer le GPA au sein du Conseil de l’Europe. D’après elle, la GPA prétendument « gratuite » serait plus acceptable que la GPA payante. Il faudrait donc encadrer la pratique de la GPA - en clair, la légaliser - pour que les mères porteuses ne soient pas rémunérées, ce qui serait le gage d’une pratique « éthique »… et tant pis si les cliniques touchent, elles, le gros lot, sur le dos des femmes. Et tant pis si cela ouvre la porte à une généralisation et banalisation de la GPA partout dans le monde. Fort heureusement, notre mobilisation collective a permis de faire échouer ces tentatives.

    En dépit de ce conflit d’intérêt évident et de ses échecs répétés, Petra de Sutter essaye maintenant de faire avancer le sujet à Bruxelles. Le procédé mérite attention :

    • La conférence proposée s’intitule : « GPA : législation, droits humains et éthique ». Elle se présente donc aussi proprement que possible, faisant mine de prendre en compte les droits humains et l’éthique. Comme si la GPA pouvait aller de pair avec le respect des droits de l’Homme et de l’éthique !
    • Outre la sénatrice belge, les intervenants sont une photographe, également mère porteuse (Pauline van Berkel), une directrice adjointe du Centre for private International Law de l’Université d’Aberdeen(Katarina Trimmings), une spécialiste des droits de l’enfant de l’International Social Service (Mia Dambach) et une membre du European Women’s Lobby (Elina Nilsson).

    Autrement dit, un savant mélange des genres comprenant une photographe faisant un très beau travail sur le nouveau-né qui, au passage, l’utilise pour donner une idée positive de la GPA ; une juriste représentant un organisme qui travaille activement à faciliter le trafic d’enfants pour répondre aux désirs des adultes sous couvert de droit international privé et d’intérêt de l’enfant (on connaît la chanson !), une personne représentant un organisme officiel et reconnu de défense de l’enfant (la meilleure des couvertures !) et, enfin, la représentante d’une association internationale féministe opposée, jusqu’à présent, à toutes formes de GPA.

    C’est ainsi que, sous des dehors respectueux des apparences et du débat, Petra de Sutter, Pauline de Berkel et Katarina Trimmings, vont longuement pouvoir parler, au sein même du Parlement, du respect des droits humains et de la nécessité – on peut vous écrire leurs discours d’avance – de « régler le problème des enfants nés de GPA » et emmenés par « ces parents qui les aiment » si loin de leur mère et de leur pays que cela pose des problèmes inextricables. Et « ces problèmes sont si compliqués pour l’enfant, qu’il faut absolument, Mesdames-Messieurs, donner… un cadre légal à la GPA ». C’est par exemple tout le combat de Katarina Trimmings et de ses collègues du Centre for Private International Law auprès de la Cour de justice de l’Union européenne, de la Convention de La Haye et autres instances internationales.

    Une fois posé le cadre qui permet de faciliter la pratique de la GPA sous prétexte de l’intérêt de l’enfant, reste la question de la GPA payante versus la GPA gratuite. Et là, que dira Petra de Sutter à Elina Nilsson : que louer une femme gratuitement tout en achetant son enfant, c’est formidable ? qu’arracher un enfant à sa mère, c’est le plus beau des gages d’amour de la part de ses futurs « parents » ? Qu’avoir une mère donneuse d’ovocyte et une mère porteuse, c’est le double bonheur, même si l’enfant ne connaîtra jamais ni l’une ni l’autre ? Et tout ça au profit de qui ? De l’acheteur ou de la femme et de l’enfant ?

    Voici donc les questions que le Parlement européen accepte de voir débattre en son sein !

    Espérons que la représentante féministe sera ferme et déterminée pour défendre les femmes comme les enfants de toute avancée de la GPA, quelle que soit sa forme.

    Car la GPA, c’est comme l’esclavage : on ne l’encadre pas, on l’interdit !"

    Michel Janva

  • Les mondialistes perdront par déni d’humanité…

    Au-delà du Brexit, ce référendum marque un coup d’arrêt sur 40 ans de manipulation mondialiste.

    Les gratte-ciel continuent à tanguer depuis l’onde de choc du Brexit. Pour la première fois, les élites politiques, culturelles, financières et médiatiques ont conscience qu’elles peuvent perdre. Cependant, et au lieu de se remettre en cause et de tirer les leçons de leur échec, les mondialistes ressemblent à des enfants capricieux privés de dessert. Depuis vendredi, certains tapent du clic sur la table afin d’exiger un nouveau référendum. Pour eux, la démocratie est censée être du côté des gentils — ce qu’ils sont persuadés d’être —, et le gentil, eh bien, ça gagne toujours à la fin ! D’autres, souvent jeunes, déversent leur mépris sur ces « vieux » qui ont majoritairement voté pour le Brexit, et aimeraient qu’ils se voient retirer leur droit de vote. Face à la beauté et la dignité de ce que « la citoyenneté européenne » a réussi à produire, on ne peut être qu’admiratif et envieux…

  • Réussites bruxelloises?

    Les statistiques sont  formelles, depuis le référendum  de 2005 sur la constitution européenne,  les NON  Français et néerlandais, toutes les consultations populaires  qui ont porté sur l’Europe se sont traduites par un camouflet pour Bruxelles. La veille des résultats du référendum britannique, fort des derniers résultats des sondages commandés par des groupes financiers, Bernard-Henry Lévy se réjouissait pourtant un peu vite sur twitter d’une «déroute des souverainistes», et des «xénophobes» (sic). BHL a depuis mangé son chapeau, et exprime, à l’instar des autres figures de  la vaste tribu des euromondialistes, sa colère, voire  sa soif de revanche.  Loin de ce déchaînement outrancier, Bruno Gollnisch enregistrera pour sa part aujourd’hui, sur le mode apaisé qui le caractérise, sa traditionnelle vidéo d’entretien  depuis le Parlement européen. Elle sera consacrée exclusivement au Brexit, au décryptage du déferlement de commentaires (horrifiés et  apocalyptiques) qu’il a  généré, aux perspectives qu’il ouvre…

    Au nombre de celles-ci, Le Monde s’inquiète  du résultat de la présidentielle française l’année prochaine, affirmant que déjà en 2002, « la tragédie américaine (le onze septembre 2001, NDLR)  avait donné une redoutable résonance historique (à Jean-Marie Le Pen, NDLR) au triptyque gagnant de l’extrême droite, islam, immigration, insécurité (…). Quinze ans plus tard, l’Histoire semble se répéter, au profit désormais de Marine Le Pen (…). Comme lui, elle peut espérer, en silence ou presque, tirer bénéfice des soubresauts internationaux et de leur impact en France. Mieux que lui, même, puisque ce n’est pas un mais plusieurs traumatismes qui ont secoué le pays ces derniers mois : les attentats islamistes à Paris, en janvier et en novembre 2015, la lancinante crise des réfugiés qui frappent aux portes de l’Europe, enfin le référendum britannique et la victoire du Brexit  le 23 juin.»

    C’est ce mardi également que débute  le premier sommet européen depuis le Brexit en présence bien évidemment du Premier ministre britannique David Cameron. Il y sera bien évidemment question du calendrier de sortie du Royaume-Uni d’une UE à laquelle, ayant gardé sa souveraineté monétaire et non membre de l’espace Schengen, il était bien moins soumis que la France  y compris par toutes sortes de dérogations. Cette sortie du Royaume-Uni, possible en vertu de  l’article 50 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, devra incomber en octobre au successeur de M. Cameron, a annoncé  ce dernier. Trop long ( ?) pour François Hollande et le chef de l’exécutif italien Matteo Renzi,  qui veulent un départ rapide tout comme  le président  de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker  qui ,sur le ton de la menace, a prévenu que cette sortie de l’UE ne sera pas un «divorce à l’amiable. »

    Le gouvernement d’Angela Merkel campe lui sur une position plus souple vis-à-vis de Londres et semble même parfois remettre en cause les résultats des urnes. Le directeur de la chancellerie, Peter Altmaier, a ainsi été jusqu’à dire que «la classe politique (britannique) devrait avoir la possibilité de réfléchir une  nouvelle fois aux conséquences d’un retrait.»

    La crainte d’une contagion possible du vote britannique, de voir d’autres peuples européens réclamer leur liberté est en tout cas bien réelle. Mme Merkel  a annoncé le souhait des dirigeants de  l’Allemagne, de la France et de l’Italie de «donner une nouvelle impulsion» au cours des prochains mois «au projet européen», notamment  dans les domaines de «la défense, la croissance, l’emploi et la compétitivité.» Des formules mille fois entendues. Marine, le FN en France, le Parti National Slovaque (SNS ) en Slovaquie, le FPÖ en Autriche, Geert Wilders au Pays-Bas ont tous évoqué la possibilité d’un référendum dans leur pays respectif. Même le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, plutôt favorable jusqu’alors au maintien dans l’Europe,  a expliqué que le départ programmé du Royaume-Uni avait changé  la donne : «L’UE représente le désordre, la Hongrie représente l’ordre »

    L’historien Henry Rousso  évoquait hier dans  Libération, sa «colère» et son «inquiétude» après le vote des Britanniques et affirmait que « l’Europe des patries, fantasmes des souverainistes, n’a de fait jamais existé » (sic).  L’Europe que Jean-Marie Le Pen défendait lors de son discours du 1er mai en 1988  rappelait dans le même numéro le quotidien de Patrick Drahi, celle d’avant Maastricht et la chute des dictatures communistes à l’Est. Le président du FN réclamait alors  «la construction d’une Europe politique, économique et militaire», «cadre de la civilisation européenne». N’en déplaise à M Rousso, les dérives liberticides de l’ UE, la fuite en avant mondialiste, doivent laisser la place à une Europe de la libre coopération entre Nations souveraines, aux coopérations inter-étatiques. Ce sont elles qui sont constructives et bénéfiques  comme l’attestent  notamment les programmes Airbus, Ariane, le Cern , qui ne sont pas des réussites bruxelloises comme veulent nous le faire croire les  euro-atlantistes de la classe politicienne.

    http://gollnisch.com/2016/06/28/reussites-bruxelloises/

  • La méthode Sarkozy pour ne pas respecter un vote démocratique fait des émules

    Visiblement la méthode Sarkozy pour annuler un référendum donne des espoirs aux mauvais perdants que sont les eurocrates :

    "Le Monde explore les pistes apparues sur la question, qui donnent un espoir aux partisans d’un maintien du Royaume-Uni dans l’Union européenne (UE) (...)

    Pour que ce retrait soit effectif, le pays qui souhaite quitter l’UE doit d’abord notifier sa décision au Conseil européen. S’ouvre alors une période de négociation qui doit déboucher sur un accord régissant les futures relations entre l’Etat membre et l’Union européenne. Si la concertation échoue, la sortie de l’UE est actée deux ans après la notification de retrait – un délai qui peut être prolongé avec l’approbation de tous les Etats membres.

    En résumé, un vrai compte à rebours sera déclenché au moment où Londres va, pour de bon, appuyer sur le bouton « out ». D’où la volonté des autorités britanniques de gagner du temps. Le premier ministre David Cameron, qui a annoncé qu’il quitterait son poste à l’automne, a laissé à son successeur le soin d’activer l’article 50 (...)

    « Quel que soit le premier ministre en charge, je crois qu’il ne sera pas assez stupide pour appuyer sur le bouton », résumait dimanche, auprès du Monde, un diplomate bruxellois (...)

    Un coup de théâtre est-il à envisager durant cette période ? Un diplomate bruxellois interrogé par Le Monde se prend à espérer : « Avec le temps, les “Brexiters” vont se rendre compte de l’erreur qu’ils ont faite, et le référendum sera annulé. Personne ne s’en plaindrait ici. » (...)

    Le référendum de jeudi dernier était consultatif et non contraignant juridiquement (...)

    Aussi, certains réclament que le Parlement se saisisse désormais du dossier avant qu’il n’aille à Bruxelles, et vote contre la sortie de l’UE.« Réveillez-vous. Nous n’avons pas à faire cela. Nous pouvons mettre fin à cette folie et faire cesser ce cauchemar par un vote au Parlement », a ainsi réagi le député travailliste David Lammy.

    Au moins 479 députés sur les 650 que compte la Chambre des communes s’étaient prononcés pour le « Remain » lors de la campagne. Mais le Parlement peut-il prendre une décision qui irait à l’encontre du choix fait par 17,4 millions d’habitants ? Ce serait possible « en théorie », a résumé auprès de l’agence Associated Press le constitutionnaliste Alan Renwick, de l’University collège de Londres, « mais en pratique, c’est absolument impossible ».

    L’avocat Geoffrey Robertson n’est pas de cet avis. « Notre démocratie n’autorise pas la prise de décision par référendum. Ce rôle appartient aux représentants du peuple, et non au peuple lui-même », écrit-il dans une tribune sur le site du Guardian. Selon lui, les députés devraient ainsi être appelés à voter pour ou contre le Brexit, au moment où le futur premier ministre engagera la procédure de sortie."

    Philippe Carhon

  • La CGT entre deux manifs

    Au lendemain de la journée du 23 juin, dominée dans l'Hexagone par une manifestation pour le retrait de la loi travail, on pouvait légitimement se demander ce que la énième pseudo-mobilisation des masses ouvrières annoncée pour le 28 juin cherche encore à démontrer, sinon sur son propre déclin tout au long de ce pluvieux et décevant printemps.

    Le dixième défilé avait accepté, symboliquement, de tourner en rond, partant à 14 h 15 de la place de la Bastille, revenant moins d’une heure après à son point de départ.

    La veille 22 juin, Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT avait cru pouvoir affirmer : "il va y avoir du monde". Mais, comparé aux 80 000 personnes du 14 juin ou aux chiffres du 26 mai, la police n'estimait plus les effectifs qu'à 20 000, un nombre de piétons encore en recul.

    Il apparaît cependant, désormais, que la CGT en appelle discrètement, contre Valls, à François Hollande : "Il faut qu’il prenne les affaires en main", proclame Philippe Martinez. Il est vrai qu'en appeler au roi de la capitulation pourrait bien se révéler un habile calcul.

    Il est vrai que jusqu'au dernier moment on a pu imaginer que le gouvernement et son préfet de police maintiendraient, lors de cette folle semaine, l'interdiction de défiler. Et le secrétaire général de FO Jean-Claude Mailly a même pu déclarer que "si Manuel Valls n’avait pas fait ses déclarations intempestives publiques, il n’y aurait pas eu de manifestation aujourd’hui."

    La signification pseudo-syndicale de ces manifestations, qui durent depuis trois mois, s'est cependant effacée au fil des semaines. Leur dimension s'affirme en effet exclusivement politique : il s'agit, uniquement désormais, de dissocier la gauche d'inspiration marxiste, celle qui se réclame encore de la lutte des classes, et qui englobe une fraction du parti socialiste, de la gauche dite de gouvernement.

    Parmi les sept organisations participant à cette mobilisation certes une partie des adhérents de la CGT, de Force ouvrière, voire certains membres de Solidaires, sont concernés par le projet de loi dont on demande le retrait, mais les quatre autres centrales ou mouvements, la FSU, l'UNEF, la FIDL ou l'Union Nationale des Lycéens ne sauraient se prévaloir de la représentation d'aucun salarié du privé.

    Pour assurer qu'il ne se produirait plus, contrairement aux journées précédentes, ni débordement, ni incident, le service d’ordre de la CGT verrouillait scrupuleusement le défilé. Ses militants ont toutefois essuyé leur lot d'insultes – "traîtres", "collabos",réservées jusqu'ici aux (prétendus) "jaunes" de la CFDT.

    À Rennes encore cependant, une manifestation sauvage a donné lieu à des incidents, prouvant l'utilité des mesures de précaution.

    "Si le gouvernement s’entêtait, on verra cet été, a déclaré Jean-Claude Mailly, mais on verra surtout à la rentrée."

    La CGT et FO vont donc changer de terrain et faire davantage pression sur les parlementaires avant le vote en deuxième lecture à l’Assemblée nationale, début juillet. Elles n’attendent plus rien de Manuel Valls, "anxiogène" et "pyromane", selon les mots du dirigeant de FO, encarté au parti socialiste et, en fait, lié au clan Aubry.

    Cette mobilisation réitérée contre une loi en cours de débat parlementaire obéit donc bel et bien, pour la CGT, à une préoccupation politique. Elle le confirme en se donnant son dernier rendez-vous le 28 juin, jour du vote au Sénat. FO se joint à elle, à la fois sous l'emprise de son appareil de formation trotskiste-lambertiste, mais aussi en raison d'un aspect technique : implantée dans le secteur public, FO est trop faible dans les entreprises privées pour pouvoir vraiment participer à des négociations se situant au-dessous du niveau des branches, et pour cela l'article 2 de la Loi El Khomri ne peut pas lui convenir dans sa version actuelle.

    Cette loi, au bout du compte, n'est cependant plus qu'un prétexte.

    L'ont compris à leur manière tous ceux qui ne répondent pas aux appels à la mobilisation générale. Il serait temps que cette écrasante majorité silencieuse s'exprime à son tour.

    http://www.insolent.fr/

  • L’Académie de médecine réclame l’instauration d’« une médecine sexuée »

    FRANCE (NOVOpress) : L’Académie nationale de médecine vient de publier une étude alarmiste sur la « parité en santé », dans laquelle elle appelle à passer de toute urgence d’une « médecine indifférenciée à une médecine sexuée ». Attirant l’attention des pouvoirs publics sur le dogme de « la parité en santé », elle affirme que « la recherche scientifique et la médecine ne peuvent plus ignorer les différences biologiques entre les sexes » :

    Médecine-sexuée-300x215.jpg« Les hommes et les femmes ne sont pas égaux devant la maladie et doivent donc être traités différemment. Plusieurs pays européens ont déjà adapté en conséquence leur recherche scientifique et leurs stratégies thérapeutiques, prenant ainsi au moins dix ans d’avance par rapport à la France, où sous prétexte de parité, on évite de reconnaître les différences entre les hommes et les femmes, au mépris des évidences. »

    Ou encore :

    « La primauté donnée au genre sur les réalités du sexe risque de créer une injustice de plus, dont il est du devoir des scientifiques et des médecins de prendre conscience pour alerter et agir. »

    L’Académie nationale de médecine explique que « l’incidence et la progression de nombreuses maladies diffèrent d’un sexe à l’autre, de sorte que le sexe peut à lui seul être un facteur protecteur, parfois plus important que les traitements existants, et que l’efficacité des stratégies thérapeutiques ou préventives dépend en grande partie du sexe ».

    Elle émet donc un certain nombre de recommandations, comme de « concevoir et/ou interpréter les études sur l’Homme ou l’animal en tenant compte du sexe », car « l’étude d’un seul sexe ou le regroupement d’échantillons des 2 sexes risquent de ne pas permettre d’identifier une proportion importante de gènes ou les réseaux qui contribuent différemment pour l’homme et la femme au développement de maladies ou de comportements complexes. En effet, même si les réponses sont équivalentes, la cellule, selon qu’elle est mâle ou femelle, réagit souvent différemment », ou d’« intégrer dans la formation des médecins et des professionnels de santé les différences liées au sexe autres que celles seulement liées à la reproduction ».

    Fondée en 1820 par ordonnance de Louis XVIII, l’Académie nationale de médecine est l’héritière de l’Académie royale de chirurgie fondée en 1731 par Louis XV et de la Société royale de médecine fondée en 1778 sous Louis XVI. Elle est chargée de « répondre aux demandes du gouvernement sur tout ce qui intéresse la santé publique ».

    http://fr.novopress.info/

  • Du Brexit au Frexit !

    Communiqué de presse de Bruno Gollnisch,
    député européen (FN)

    Brexit : le peuple britannique a démontré ses capacités de résistance à une campagne de pressions sans précèdent, qui jouait sans vergogne de toutes les peurs injustifiées et de prédictions aussi calamiteuses que fantaisistes.

    Une majorité inflige aujourd’hui un camouflet sévère et mérité aux Euro-mondialistes qui depuis des années dévoient la coopération européenne, en édifiant méthodiquement la bureaucratie d’un « Super-État », véritable prison des peuples, tout en ouvrant les frontières à tous les flux de personnes, de marchandises et de capitaux, fussent-ils dévastateurs.

    Le Front National a été le premier à dénoncer cette évolution et à proposer une autre politique. Puisse-t-il enfin être entendu !

    http://gollnisch.com/2016/06/24/du-brexit-au-frexit/

  • Si tu veux la paix, défend la famille (Ludovine de la Rochère)