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  • Une magistrate exprime ses doutes sur l’affaire Kerviel

    ÉCONOMIE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
    Chantal de Leiris a été vice-procureur du Parquet de Paris. Enregistrée à son insu, elle avance « Quand vous en parlez, tous les gens qui sont un peu dans la finance, ils rigolent, sachant très bien que la Société Générale savait. [...] La Société Générale savait, savait, c’est évident, évident ».

    L’enregistrement a été réalisé par une policière
    Nathalie Le Roy, policière de la brigade financière, qui a elle-même exprimé ses doutes. Elle affirme qu’il ne s’agissait que d’apporter une pièce nouvelle au dossier. Elle serait lâchée par sa hiérarchie depuis qu’elle a témoigné.

    Jérôme Kerviel avait été condamné pour ses prises de risque non autorisées à la Société Générale
    En première instance puis en appel, il avait été condamné à 5 ans de prison, dont trois fermes pour abus de confiance. La peine avait été confirmée par la Cour de cassation en avril 2014. Ces révélations tombent à pic pour l’ancien trader. Elles sont été publiées hier alors que se tient aujourd’hui une audience pour demander la révision de son procès.

    http://fr.novopress.info/197115/magistrate-exprime-ses-doutes-laffaire-kerviel/

  • Aubervilliers, le Cologne des femmes asiatiques ?

    Cinq voyous âgés de 18 à 19 ans et un mineur s’étaient spécialisés dans les agressions de jeunes femmes chinoises à proximité du métro.
    La semaine dernière, Le Parisien nous apprenait l’arrestation d’un gang ultra violent qui sévissait depuis deux mois à Aubervilliers. Cinq voyous âgés de 18 à 19 ans et un mineur s’étaient spécialisés dans les agressions de jeunes femmes chinoises à proximité du métro.
    Le mode opératoire est toujours le même, un premier arrive par derrière pour empêcher la victime de crier, un second la cogne pendant que ses copains lui arrachent son sac.
    28 plaintes ont été déposées, un record – mais en réalité leur porte-parole estime qu’on peut multiplier ce chiffre par 4 ou 5 – et une grande partie des victimes a fini aux urgences avec bras cassés, cranes ouverts, luxation de l’épaule…

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  • Il est vital pour la nation française d’abolir la binationalité

    Les polémiques soulevées par le projet de François Hollande de réforme constitutionnelle amènent à examiner le dispositif actuel de la multinationalité dans notre pays et à poser la question de son poids sur le destin politique et sociologique de la France.

    La France compte plusieurs millions de binationaux originaires d’Afrique subsaharienne du Maghreb et de Turquie. Cette situation entraine des risques réels et importants pour la France du fait d’allégeances à des pays étrangers et d’influence électorale.

    Il apparait donc vital de supprimer la binationalité pour les ressortissants de ces pays et d’abolir la binationalité voire la multinationalité des élus de la République.

    Une politique laxiste de naturalisation

    Les naturalisations sont accordées selon trois procédures (résumées en annexe) destinées, en principe, à présenter des garanties qui seraient de nature à éviter des naturalisations abusives, notamment l’assimilation à notre société.

    En réalité il est aisé de constater que la plupart des immigrés des pays tiers n’ont cure de l’adhésion aux principes essentiels de la République et que celle-ci ne montre guère de volonté pour les appliquer et les faire respecter alors que la supposée adhésion se révèle être de la pure haine.

    Par ailleurs l’application du droit du sol et des naturalisations par déclaration, notamment des conjoints de « Français », ouvre la porte à des flots annuels de citoyens français de pure forme administrative dont beaucoup d’entre eux ne sont ni assimilés ni même intégrables.

    Un nombre de naturalisations variable mais élevé

    Les acquisitions de la nationalité française ont connu un pic en 2004 selon l’INSEE : 168.826. Retombées à 131.452 en 2007, elles ont nettement progressé sous Sarkozy pour atteindre le chiffre de 143.275 en 2010. Elles ont alors chuté significativement jusqu’à 96.088 en 2012 et 97.318 en 2013.

    La volonté affichée de Valls est de repasser le seuil des 100.000 naturalisations annuelles (l’équivalent de villes comme Caen ou Nancy) dès 2015 et dans les années qui viennent. L’espoir est de parvenir à constituer à moyen terme un vivier puis un socle électoral qui permette d’éviter toute alternance politique et de perpétuer le pouvoir du socialisme et du politiquement correct, bien entendu dans un « esprit de respect des valeurs démocratiques et républicaines ».

    Si les informations sont relativement claires sur les chiffres de flux des naturalisations il n’en va pas de même des chiffres cumulés de personnes devenues françaises à la suite de naturalisations. Si l’on croit l’étude de l’INSEE de janvier 2015 les chiffres seraient les suivants :

    -2,3 millions de personnes nées à l’étranger auraient acquis la nationalité française ;
    -1,7 million de personnes sont nées à l’étranger avec la nationalité française. Cela peut concerner aussi bien des enfants de Français établis à l’étranger que des enfants d’immigrés retournés dans leur pays temporairement ou définitivement dans des proportions non indiquées ;
    -0,6 million de personnes sont nées en France avec la nationalité étrangère et sont, dans quatre cas sur cinq, des enfants de moins de 14 ans dont les parents sont étrangers et qui acquerront de droit la nationalité française au plus tard à leur majorité;
    -Enfin l’étude de l’INSEE indique que sur les 58,2 millions de personnes nées en France, 57,6 millions ont la nationalité française, certaines pouvant avoir une double nationalité, ce qui veut dire qu’elles ont été elles-mêmes naturalisées. Combien?  L’étude ne l’indique pas.

    Il apparaît clairement une incertitude considérable au titre des chiffres cumulés de naturalisations que nous retrouvons dans ceux des doubles nationalités.

    Les multinationalités

    Le droit français autorise la double nationalité et n’exige aucune déclaration. Longtemps, les chiffres sur les personnes potentiellement concernées sont restés approximatifs et le demeurent largement aujourd’hui.

    Dans l’enquête Trajectoires et Origines, réalisée en 2008 et 2009, c’est-à-dire il y a plus de 6 années, les chercheurs de l’Institut national d’études démographiques (INED) auraient établi que les binationaux représenteraient 3,3 millions de personnes (5% de la population de la France métropolitaine âgée de 18 à 50 ans), dont 90% sont immigrés ou descendants d’immigrés. « C’est le seul chiffre fiable, explique l’INED, car il n’existe aucun fichier ni recensement des Français à double nationalité. » Selon l’Institut, les ressortissants à double nationalité sont très fréquents chez les immigrés du Maghreb (66%), les Turcs (55%) et les Portugais (43%), mais rares chez les personnes originaires d’Asie du Sud-Est.

    C’est avec précaution qu’il faut retenir ce chiffre qui semble autocopié et répété en boucle par les journalistes, et ce pour plusieurs raisons :

    -Il est regrettable que ce chiffre de 3,3 millions ne puisse être trouvé dans le chapitre de l’enquête dédié à la question de la binationalité ;
    -Claude Goasguen a, pour sa part, cité publiquement le chiffre de 4 à 5 millions de binationaux ;
    -Sous toutes réserves citons Wikipedia : Selon Gilbert Meynier, spécialiste de l’histoire de l’Algérie sous la domination française, le nombre de résidents d’origine algérienne en France en 2012 pouvait être estimé à 4 millions, dont 2 millions de binationaux.

    En définitive les chiffres avancés au titre de la binationalité en France offrent deux caractéristiques : ils sont flous et leur taille ne peut que nous convaincre de la réalité de l’ampleur de la binationalité.

    Cette situation entraîne des risques réels et importants pour la France

    Cette situation engendre trois types de risques graves pour notre pays.

    Tout d’abord ce débordement de binationalité crée des droits illégitimes, certes, mais réels, qui pèsent et pèseront encore plus sur nos comptes sociaux et nos finances publiques. A titre d’exemple, rappelons le projet de naturalisation de 200.000 « chibanis » qui ne manquera pas d’avoir des répercussions sur les déficits de l’assurance maladie.

    Il se pose également une question grave d’allégeance des binationaux, en particulier lorsqu’elle concerne l’oligarchie dirigeante.

    Comment pouvons-nous avoir un secrétaire d’Etat chargé du commerce extérieur qui est binational franco-allemand alors que l’Allemagne est notre principal partenaire commercial ?

    Non seulement la préposée à l’Education nationale, qui est chargée de démolir celle-ci pour ne pas décourager ses jeunes coreligionnaires, est franco-marocaine mais, comme le souligne Malika Sorel-Sutter dans son livre Décomposition française, elle a été nommée par le roi du Maroc au Conseil de la communauté marocaine à l’étranger ayant pour objet le « suivi et l’évaluation des politiques publiques du Royaume envers ses ressortissants à l’étranger ». Allons-nous passer sous une tutelle marocaine ?
    Malika Sorel-Sutter rappelle un discours public du premier ministre de Turquie, Erdogan, en visite d’Etat en France, tenu au Zénith le 6 avril 2010 devant 6.000 concitoyens : « Le fait de demander l’assimilation est un crime contre l’humanité, personne ne peut vous dire : renonce à tes valeurs ». Erdogan leur enjoignait de « demander la double nationalité pour être les diplomates de la Turquie en Europe (…).La France vous a donné le droit à la double nationalité : pourquoi vous ne la demandez pas ? Ne soyez pas réticents, ne soyez pas timides, utilisez le droit que la France vous donne. Prendre un passeport français ne vous fait pas perdre votre identité turque ». Quelle arrogance et quel mépris !

    La vérité est que l’on constate la triste réalité de conflits d’intérêts nationaux au plus haut niveau de l’Etat et la prédominance d’identités étrangères au détriment de la nôtre.

    Enfin se pose la question vitale de l’influence de ces binationaux sur notre destin national au travers de leur poids électoral. Il convient de ne pas oublier que Hollande, malgré son faible score en termes absolus, n’a triomphé en 2012 sur son adversaire que grâce à l’appoint des banlieues.

    Il est vital d’abolir la binationalité

    Comme le souhaite Bernard Debré il est indispensable pour l’avenir de notre nation d’abolir purement et simplement la double nationalité, sauf pour les pays partenaires de l’Union européenne et pour nos concitoyens expatriés, ce qui exige un changement profond du Code de la nationalité et du corpus juridique afférent à celle-ci.

    Il doit être demandé aussi bien aux candidats à la naturalisation qu’aux binationaux originaires des pays tiers enregistrés par l’administration française s’ils gardent ou non leur nationalité d’origine. Ils devront démontrer et justifier juridiquement la perte de leur première nationalité et l’acceptation officielle de celle-ci par leur pays d’origine.

    Au cas où ils refuseraient de renier leur autre nationalité ou ne pourraient démontrer sa perte, ils perdraient ou ne pourraient acquérir la nationalité française. Ils deviendraient des résidents étrangers.

    Il faut souligner que pour les Africains et plus particulièrement les Maghrébins il est très difficile voire impossible de renoncer à leur nationalité d’origine. Cet état de choses relève de leur lien indéfectible avec l’islam.
    C’est particulièrement le cas des Marocains pour des raisons de religion et de statut de sujets du roi. C’est ce qu’a expliqué Hassan II, roi du Maroc, à Philippe de Villiers : « Les Marocains resteront à jamais des Marocains et des musulmans. Ne nous demandez pas de perdre notre identité (…) comme vous dissolvez la vôtre. Je récuse le détournement de nationalité. Vos gouvernants ignorent la notion d’allégeance. Je suis l’émir des croyants. »
    C’est aussi le cas des Algériens dont le Code de la nationalité prévoit bien 4 cas de renonciation à la nationalité algérienne afin de rester en conformité avec le droit international mais qui, en réalité, constituent autant d’obstacles.

    C’est la raison pour laquelle il apparaît parfaitement concevable que certains des pays d’origine des binationaux français manifestent plus de solidarité avec la France sur cette question de binationalité que de l’hostilité.

    Enfin il apparaît indispensable de se fonder sur la notion de réciprocité, plusieurs des pays concernés n’acceptant que très difficilement que des étrangers, surtout européens, acquièrent leur nationalité.

    Supprimer la binationalité des élus

    Le député Thierry Mariani a publiquement déclaré que les élus ne devraient avoir que la seule nationalité française. Cette proposition relève du simple bon sens. Mais est-ce suffisant ? Est-il conforme à l’intérêt national qu’un étranger naturalisé au cours de son existence puisse exercer des fonctions de chef de l’Etat, de ministre ou de premier ministre, et de parlementaire ?

    André Posokhow

    Voir Annexe ci-après :

    Les modes d’acquisition de la nationalité française

    1°-L’acquisition de plein droit (compétence du ministère de la Justice)

    a) A la naissance :

    -Pour l’enfant né en France ou à l’étranger dont l’un au moins des parents est français (droit du sang) ;
    -Pour l’enfant né en France lorsque l’un de ses parents au moins y est lui-même né (double droit du sol) ;
    -Pour l’enfant né en France de deux parents apatrides (simple droit du sol).

    b) A la majorité :

    -Pour l’enfant né en France de deux parents étrangers sous plusieurs conditions dont celle d’une résidence continue ou discontinue en France de 5 années dès l’âge de 11 ans.

    2°-L’acquisition par déclaration

    a) Les jeunes nés en France de parents étrangers (compétence du ministère de la Justice) :

    -Possibilité pour les jeunes âgés de plus de 16 ans d’acquérir eux-mêmes la nationalité française par déclaration durant leur minorité ;
    -Les enfants âgés de 13 à 16 ans non révolus peuvent également acquérir la nationalité française s’ils justifient d’une résidence en France de 5 années dès l’âge de 8 ans ;

    b) Les conjoints de Français (compétence du ministère de l’Intérieur) :

    L’étranger marié à une Française ou un Français peut obtenir la nationalité française par déclaration quatre ans après le mariage. Il doit notamment pouvoir justifier d’une communauté de vie affective et matérielle et d’une connaissance suffisante de la langue française.

    3°-L’acquisition par décret du premier ministre, sur proposition du ministre de l’Intérieur, chargé des naturalisations

    Toute personne étrangère majeure possédant un titre de séjour peut déposer une demande de naturalisation française.
    Certaines conditions légales doivent être remplies comme résider en France de manière habituelle et continue avec sa famille depuis 5 ans, être assimilé à la société ainsi que par l’adhésion aux principes et valeurs essentiels de la République française, être de bonnes vie et mœurs, c’est-à-dire ne pas avoir subi certaines condamnations.

    André Posokhow, Consultant, 13/01/2016

    http://www.polemia.com/il-est-vital-pour-la-nation-francaise-dabolir-la-binationalite/

  • «Décomposition française» de Malika Sorel-Sutter

    Decomposition-Fr.-189x300.jpg♦ Malika Sorel-Sutter vient de faire paraître un ouvrage d’une densité exceptionnelle dédié à la France :Décomposition française/ Comment en est-on arrivé là ?.

    Il est symptomatique de constater que nombre des protestations qui s’élèvent à très haute voix contre l’immigration-invasion et ses conséquences sur l’identité française, les principes républicains, le statut de la femme et la décadence de l’école proviennent de femmes qui ont mis tant d’espoir dans notre pays : Jeannette Boughrab, Lydia Guirous, Malika Sorel-Sutter.

    Au travers de la dénonciation véhémente de « l’opération liquidation » de la nation française que nous subissons, elle manifeste une grande passion pour la France, une peine profonde pour ce que celle-ci est devenue et une connaissance certaine de la problématique de l’immigration-invasion et de la complicité de la caste politique à l’égard de celle-ci.

    Un attachement profond pour la France

    Les raisons de cet attachement sont particulièrement émouvantes. Petite fille élevée dans le sud de la France dans un environnement français, elle a suivi ses parents en Algérie. Elle y a vécu à l’heure française dans le souvenir des senteurs de Provence. L’Histoire de France résonnait en elle. Son diplôme d’ingénieur en poche, elle a quitté l’Algérie pour rejoindre la France qui s’était mise à hanter son cœur. Le choc du retour a été « un grand espoir déçu » qui explique son engagement, ses livres et son appartenance au Haut Conseil de l’Intégration, dissous, et c’est révélateur, par Hollande.

    Les épisodes et les dates charnières

    Aux yeux de M. Sorel-Sutter la véritable date charnière est l’année 2005 qui a connu 20 jours d’émeutes urbaines. Celles-ci ont constitué une coupure au sein des illusions nationales sur l’espoir d’une intégration culturelle massive des immigrés et de leurs descendants.

    C’est également en 2005, grande étape de la marche vers le communautarisme, qu’a été créé le Conseil représentatif des associations noires (CRAN) aux premiers états généraux duquel la fine fleur de l’oligarchie avait assisté et donné sa caution.

    Les constats

    Sorel-Sutter procède longuement, de façon très documentée et avec quelle fureur incisive, à plusieurs constats que nous ne pouvons que résumer ici.

    • La laïcité, une digue qui cède

    La laïcité qui établit une séparation entre le spirituel et le temporel et les hiérarchise devrait constituer un rempart inexpugnable contre la progression de l’islam et de l’islamisation de la France. Pourtant elle a été et est toujours bafouée par la classe politique qui n’a de cesse de proclamer les « valeurs de la République » pour le plus grand malheur de celle-ci.
    La langue française, véhicule de la culture française et de la vision occidentale du monde, cède le pas devant les enseignements des langues et cultures d’origine (ELCO).
    Les familles n’ont pas été protégées contre la prééminence du Coran sur les lois de la République, avec des conséquences désastreuses pour le statut des femmes et l’extension du voile sous toutes ses formes.

    L’Etat a encouragé cette fuite du religieux face à la laïcité. Bloqué en 1905 contre les catholiques, il a créé le Conseil français du culte musulman et ses représentants se sentent obligés chaque année de ployer le genou devant le CRIF.

    • Une identité nationale qui explose face à la diversité ethnique

    Tout commence par les mots. L’oligarchie est passée du concept d’assimilation à celui d’inclusion en passant par ceux d’intégration et d’insertion. Ainsi a pu être consacrée l’idée de « diversité » présente dans la Charte de la diversité instituée par Jean-Pierre Raffarin en 2004 mais que Sarkozy a échoué à inscrire dans le préambule de la Constitution.

    Cela ne l’a pas empêché de créer un Commissariat à la diversité ni ses ministres de pousser de manière insidieuse la discrimination positive et une politique des quotas. On assiste à l’émergence d’une préférence étrangère qui se transforme sur le terrain en une discrimination négative, fruit d’une politique d’inégalité imposée par les gouvernants au détriment des Français.

    Deux mouvements se conjuguent : l’un consiste à glorifier ce qui n’est pas français et l’autre à dénigrer ou mépriser ce qui l’est. La bien-pensance mène également une politique de culpabilisation sur le fondement d’une Histoire de France tronquée et falsifiée afin de faire disparaître la fierté d’être français. Comment dans ces conditions les jeunes immigrés ne se tourneraient-ils pas vers leurs origines contre la France ?

    • La nationalité a été dissociée de l’identité

    Selon les « élites », l’assimilation des enfants de l’immigration serait un fait acquis en application du droit du sol, puisqu’ils sont nés en France.

    Sorel-Sutter affirme pour sa part qu’il s’agit d’une idée fausse et que l’assimilation n’est jamais globale mais résulte d’un choix individuel. Au cours d’un entretien entre A. Sinclair et le roi du Maroc Hassan II, celui-ci a bien expliqué à la journaliste que les immigrés marocains ne seront jamais intégrés à 100% et qu’ils feront de mauvais Français, ce qui condamne la double nationalité.

    Désormais, en France, la citoyenneté a été dissociée de l’identité et les conditions du maintien de la cohésion nationale ne sont plus réunies.

    • L’effondrement des piliers du système républicain de l’assimilation

    Les acteurs du Système s’accordent à affirmer que c’est à l’école qu’incombe le devoir de former les citoyens français mais dans le même temps ils font tout pour rendre sa mission impossible. En raison de l’importance des flux migratoires, les familles ont perdu toute liberté d’agir et demeurent enchaînées à leur groupe culturel d’origine. Or sans l’appui des familles le rôle de l’école dans le processus d’assimilation est voué à l’échec.

    Il en va de même de l’Université qui connaît les mêmes phénomènes de communautarisme et d’islamisation, le point d’orgue étant l’IUT de Saint-Denis dont le courageux directeur a fait l’objet de menaces de mort.

    • La lâcheté et la complicité des politiques et des pouvoirs publics

    C’est le comportement d’un Etat résigné et démissionnaire, incapable de faire respecter les lois françaises qui a conduit à l’invasion migratoire. La lâcheté de l’Etat dans l’affaire de la crèche Baby-loup l’a bien montré.

    Sorel-Sutter dénonce la complicité des pouvoirs publics :

    -c’est la politique du fait accompli par laquelle on laisse enfreindre les lois et puis on place les Français devant l’obligation d’accepter ce qui est ;

    -c’est la politique des accommodements qui guide en particulier la modification et la rédaction des programmes d’enseignement ;

    -c’est la pratique répétée de la repentance publique de préférence à l’étranger ;

    -la loi SRU « qui prive les Français de leur droit de vivre dans ces territoires où ce sont leurs normes qui fondent les règles du jeu constitue l’un des meilleurs symboles d’une forfaiture qui ne dit pas son nom » ;

    -enfin, n’oublions pas les cinq volets du monstrueux et terrifiant rapport de refondation, en fait l’abandon, de l’intégration dont M. Sorel-Sutter résume son approche primaire en une équation : « extra-européen=bien ; européen=mal ».

    Les responsables

    Sorel-Sutter désigne les responsables de la transformation du projet politique de la France qui vise la mise en minorité progressive du peuple autochtone dans son propre pays :

    -les organisations internationales font tourner le même logiciel depuis des décennies dans leurs rapports et leurs recommandations ;

    -l’Union européenne a joué dans les années 1980 un rôle majeur de réflexion et de recommandation. La Cour européenne des droits de l’homme détient le pouvoir de sanctionner les Etats qui n’appliqueraient pas les engagements qu’ils ont souscrits ;

    -mais, comme le souligne M. Sorel-Sutter, la véritable responsabilité revient aux Etats européens qui ont décidé en 2004 de tourner le dos au modèle d’assimilation qui passe par l’intégration culturelle ;

    -la classe dirigeante a précipité la France dans le multiculturalisme par opportunisme. C’est ce que dénonce M. Sorel-Sutter en évoquant les thèses de Terra nova, l’action immigrationniste du Conseil d’Etat d’où provient T. Tuot, auteur d’un rapport transgressif sur l’intégration, et l’énarchie qui empêche tout renouvellement des élites de l’appareil d’Etat.

    Enfin, M. Sorel-Sutter se montre particulièrement sévère sur la responsabilité de l’Eglise dont l’ingérence continue et orientée des évêques dans le débat sur l’accueil des migrants contribue à créer le malheur des Français et des migrants eux-mêmes. Les déclarations du pape sont particulièrement irresponsables et, une fois de plus, la hiérarchie de l’Eglise se retrouve du côté des puissants.

    Une gauche sectaire responsable et coupable

    Sans esquiver les fautes d’une droite veule et suiveuse, M. Sorel-Sutter consacre un chapitre cinglant sur les responsabilités de la gauche française. Elle dénonce le sectarisme qui lui est consubstantiel. Avant d’être français ou républicains ses membres sont de gauche. C’est une communauté de pensée, de comportement et d’intérêt qui n’a aucun goût pour la vérité et qui chasse en groupe fermé.

    L’auteur accuse l’hégémonie culturelle de la gauche qui se manifeste depuis trois décennies notamment dans les médias et lui permet de manipuler l’opinion publique. C’est ce qui lui a permis, après l’échec patent du projet socialiste en 1983, d’imposer les idéologies de substitution de l’Europe et surtout de l’antiracisme qui donnait un supplément moral à la politique libérale que suivait désormais le pouvoir socialiste.

    Cette idéologie de l’antiracisme a servi à imposer l’esprit de repentance, à décourager les Français de défendre leur culture et leur société. Elle a constitué une aubaine pour les descendants d’immigrés qui n’avaient pas envie de s’intégrer.

    La décomposition française est la conséquence directe de l’antiracisme et le fruit pourri d’une gauche dont la culpabilité est éclatante mais qui, comme celle de la gauche des années 1930, ne sera jamais punie.

    En définitive le livre de M. Sorel-Sutter est l’expression d’une fureur intime et sincère contre la lâcheté et la trahison de ceux qui avaient le devoir de protéger et défendre la France et sa civilisation. C’est un ouvrage d’une grande portée.

    Il est cependant dommage que son auteur n’ait pas franchi un pas de plus pour faire apparaître que ce qui se passe en France et en Europe est le fruit d’une volonté d’envergure mondiale et qu’il s’agit d’une substitution de peuples et de civilisation conceptualisée, organisée et planifiée.

    André Posokhow, Consultant, 13/01/2016

    Malika Sorel-Sutter, Décomposition française/ Comment en est-on arrivé là ?, Fayard, Coll. Documents, novembre 2015, 312 pages

    http://www.polemia.com/decomposition-francaise-de-malika-sorel-sutter/

  • Police politique : acte de naissance

    Source : Boulevard Voltaire

    Il y a des élus suffisamment tordus pour avoir pensé qu’une mesure de pure police politique pouvait passer dans notre « patrie des droits de l’homme ».

    « Les députés dont les noms suivent, ainsi que les membres du groupe socialiste, républicain et citoyen, sont heureux de vous faire part de la naissance officielle de la police politique en France. »
    Jusqu’à présent, je pensais que les dispositifs sécuritaires pris, en urgence, par le gouvernement ne visaient que les gens douteux, ceux qui savent qu’ils ont quelque chose à se reprocher, terroristes ou pas, ceux qui tripotent un peu trop la loi à leur profit, bref, les « méchants », comme on dit dans les westerns. Je nous voyais, nous les gens normaux et limpides, hors-jeu de cet état d’urgence.
    Eh bien, j’avais tort. Je suis dans le collimateur ! En plein dedans !

    Dans le cadre du fumeux projet de loi pour une « République numérique », les socialistes viennent de glisser l’amendement n° CL387. Il y est question des « hoax » – vous savez, ces messages que vous recevez par dizaines et qui présentent une information qu’en toute bonne foi on peut croire vraie alors qu’elle ne l’est pas. Selon les socialistes, « ces canulars informatiques revêtent un caractère de particulière gravité lorsqu’ils visent à diffuser, à grande échelle, une information erronée sur le contenu d’une politique publique ».
    Sanction pour le petit rigolo qui aura fait partager la nouvelle à son carnet d’adresses : 135.000 euros d’amende.
    Et voilà ! Le tour est joué. On est tous fliqués. Dès lors, toute critique d’une politique gouvernementale, diffusée par Internet à ses copains, est punissable. Et, dans le doute, on préférera s’abstenir de faire suivre une information plutôt que de risquer la colossale amende. C’est cela, la police politique.

    Questions ? Qu’est-ce qu’une « information erronée » ? Doit-elle être complètement erronée ? Un peu, beaucoup, sur les bords ? Qu’est-ce que le « contenu d’une politique publique » ? Le gouvernement s’occupe-t-il d’autre chose que de mettre en œuvre une politique publique ?
    Donc, il est désormais interdit de « parler politique » sur Internet. Qu’est-ce qu’une diffusion « à grande échelle » ? À partir de combien de destinataires sort-on la grande échelle ? Dix ? Vingt-huit ? Cent trente ? Qui va juger de tous ces critères ? Le gouvernement ? Exemple concret : « Je promets d’inverser la courbe du chômage. » Est-ce une information erronée sur le contenu d’une politique publique, diffusée à grande échelle, et donc passible d’amende lourde ?
    Alors, avant de faire suivre une info, branchez-vous sur « Hoaxbuster », « Hoaxkiller » ou « Hoax-ce-que-vous-voulez », tournez sept fois votre doigt sur la touche « Envoyer » avant d’appuyer. Ce geste, jusqu’alors anodin, peut vous coûter extrêmement cher.

    Sur le site de l’Assemblée nationale, face à cet amendement discuté il y a deux jours, figure la mention « Retiré ». Peut-être ? Impossible de savoir.
    Il n’empêche qu’il y a des élus suffisamment tordus pour avoir pensé qu’une mesure de pure police politique pouvait passer dans notre beau pays « patrie des droits de l’homme ».
    Cela fait froid dans le dos.

    Yannik Chauvin

    http://fr.novopress.info/

  • Xavier Raufer : « Ces gens-là nous ont désarmé moralement »

    Xavier Raufer, docteur en géographie est enseignant et conseiller de plusieurs hommes politiques. Il est unanimement reconnu comme l’un des meilleurs experts du terrorisme international.

    Monde et Vie : Le Président de la République nous a décrétés en guerre avec l'État islamique. Mais que sait-on de l'État islamique ?

    Xavier Raufer : Il y a un principe qui n'est pas nouveau, qui est connu depuis l'origine de la civilisation européenne, depuis la Grèce antique, c'est : Connais ton ennemi. C'est un principe fondamental que ce soit dans la pensée stratégique chinoise (Sun Tse) ou dans la plus ancienne pensée grecque de la guerre. J'observe que depuis l'émergence en 2013 de l'État islamique, on nous bassine sur ce que cette entité fait mais on ne nous dit pas ce qu'elle est. Alors que c'est le point fondamental pour avancer vers la compréhension des deux grands problèmes actuels: le terrorisme au Moyen-Orient et la question des migrants. Beaucoup fuient ou disent fuir l'État islamique. Bien sûr il y a beaucoup de réfugiés économiques qui veulent selon les mots de la bienséance « avoir une vie meilleure » mais ils disent fuir les coupeurs de têtes et c'est l'État islamique qui coupe les têtes. Il y a à la fois un problème sécuritaire et un problème d'invasion.

    Il faut mesurer la singularité de l'Etat islamique, rien à voir avec d'autres entités de guérilla, d'autres groupes armés. En deux minutes je peux vous expliquer ce qu'est le Hezbollah. Je ne le peux pas avec l'État islamique. Et je ne suis pas le seul. Le Président de la République comme Barack Obama ne le savent pas. Or, le meilleur moyen de perdre une guerre est de ne pas connaître son ennemi.

    Je vous donne un exemple : il existe une étude sur les 50 plus hauts membres de l'État islamique. Il n'y pas d'islamistes parmi eux. Il y a des clowns, des leurres comme al-Baghdadi.

    Les autres sont des anciens officiers de l'armée de Saddam Hussein. Quand on étudie le résultat des écoutes sur la transmission des ordres, sur les lignes de commandements, Al-Baghdadi ne joue aucun rôle. La totalité du commandement est dans les mains des anciens officiers de Saddam. Ils ont eu une vie avant l'État islamique. Ils n'étaient pas spécialement religieux (cela aurait été mal vu), ils buvaient de l'alcool, leurs femmes n'étaient pas voilées. On nous dit : ce sont les méchants, mais leur réalité est beaucoup plus trouble que cela.

    Pourquoi ont-ils attaqué la France et pas un autre pays membre de la coalition ?

    Les gens qui sont dans l'illicite comme les criminels ou les terroristes agissent selon un principe immuable qui est l'effet de déplacement. Quand c'est trop dur à un endroit on va ailleurs. Dans cette optique la France a dû leur apparaître comme un ventre mou que l'on pouvait frapper.

    Maintenant que l'enquête commence à avancer, pouvons-nous retracer la somme d'erreurs d'analyse qui ont facilité l'action des terroristes ?

    Le 18 novembre devant les maires de France, le Président de la République a fait ce qu'il fallait faire : il a nommé l'ennemi. Quand le médecin pose un diagnostic, il nomme la maladie ; quand on découvre une comète, on lui donne un nom. Le fait de nommer fait exister. C'est le premier cours de science politique, la première heure de la première année : est souverain celui qui désigne l'ennemi. Le problème c'est que c'était le 7 janvier qu'il fallait le dire et pas le 15 novembre. Mais il y a eu un tel déferlement de « pas d'amalgame », une telle débauche de « vivre ensemble ». La bienséance a mis en place un dispositif d'aveuglement collectif. Ils nous ont désarmés moralement.

    Le Premier ministre nous dit qu'il va falloir s'habituer à la menace islamiste. Quels chantiers de réflexion sont encore devant nous ?

    Je ne veux pas entendre parler du fait que cela va durer, qu'il faut s'habituer. Rappelez-vous des groupes d'Abou Nidal, cette branche dissidente du mouvement palestinien, disparue après la guerre froide intitulée « Fatah conseil révolutionnaire ». Ils avaient commis des attentats contre nous, préparés depuis un camp retranché, dans le désert de Libye. Le Service action est descendu dans leur désert, 50 des leurs ont été exterminés et ils ne sont pas revenus chez nous. Il faut savoir porter la guerre sur le terrain de l'ennemi.

    Actuellement les bombardements sont de la communication, ils n'ont pas d'intérêt. Prenez un exemple. Il y a un mois, l'État islamique a eu un problème de trésorerie le poussant à réduire la solde de ses mercenaires de 300 à 100 dollars. Parmi eux il y a eu immédiatement 200 à 300 désertions vers Jabat-al Nosra qui reçoit encore l'argent de l'Arabie Saoudite. Ils sont comme les grandes compagnies de mercenaires du Moyen Âge et de la Renaissance. J'aimerai bien savoir qui nous bombardons car d'une semaine à l'autre les mêmes hommes, avec les mêmes barbes et les mêmes kalachnikovs sont chez les "méchants" et ensuite, selon les critères de M. Fabius, chez les "gentils".

    Il faut anticiper les menaces au lieu de courir derrière. C'est bien de trouver des appartements conspiratifs ou des fourgonnettes pleine de kalachnikovs mais c'est mieux de le faire avant qu'il y ait 130 morts. Dotons-nous des instruments pour arriver à ce résultat. On rougit d'avoir à formuler ce type d'évidence mais ceux qui nous gouvernent sont tellement K.O. qu'il faut bien les leur rappeler.

    Propos recueillis par André Ringwald monde&vie  23 novembre 2015

  • La fabrique de l’aliénation : l’École techno-libérale

  • Le Gard, étrange laboratoire de la lutte anti-FN

    Laminé lors des élections régionales de décembre, le Parti socialiste a décidé de lutter, non pas contre le chômage et l’insécurité, mais contre le Front national. Il a ainsi confié à sa fédération départementale du Gard la mission d’expérimenter de nouvelles idées pour combattre le parti de Marine Le Pen. Amusant quand on sait que cette fédération gardoise est l’une des plus pourries de France…

    L’info a été révélée le 23 décembre sur le site du journal numérique « Objectif Gard » : « Il y a un mois, la fédération PS du Gard a candidaté auprès de sa direction nationale afin de participer à l’expérimentation de nouvelles mesures pour lutter contre le Front National. » La candidature a été retenue : « Hier, en conseil fédéral, le patron des socialistes gardois, Jean Denat, a annoncé que la fédération gardoise avait finalement été choisie par Solferino. Début février, plusieurs chargés de missions descendront à Nîmes pour exposer les axes de travail et fixer le calendrier. »
    On apprend ainsi qu’après la bérézina des élections régionales, le département du Gard sera le laboratoire de cette nouvelle guerre électorale. Ce choix est tout sauf un hasard. Jean Denat, le premier secrétaire de la fédération socialiste du Gard, a sans le moindre doute bénéficié de l’appui d’un ami inconditionnel, presque un frère, le premier ministre, Manuel Valls. Les deux hommes se sont connus au début des années 1990 quand ils gravitaient dans l’entourage du premier ministre Michel Rocard. Depuis, ils sont cul et chemise. C’est Manuel Valls en personne qui a décoré Jean Denat des insignes de chevalier de la Légion d’honneur lors d’une cérémonie à la préfecture du Gard où le futur premier ministre a rappelé que Denat lui avait été « un directeur de campagne précieux lors des primaires citoyennes de 2011 »…

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  • Après l’agression d’un jeune juif à Marseille, la réaction du Parti de la France :

    2425156361-1.jpgCommuniqué d’Olivier Bianciotto,  

    Délégué du Parti de la France pour les Bouches-du-Rhône

    Suite à l’agression d’un juif par un Kurde à Marseille, le Parti de la France tient à rappeler que tous les jours des Marseillais sans kippa sont victimes d’agressions verbales et physiques dans l’indifférence générale.

    Poignardés pour une cigarette refusée, un mauvais regard ou pour ne simplement pas être du bon « quartier ». Sans parler des femmes insultées ou agressées pour ne pas avoir répondu à un élégant « wesh cousine t’es bonne »…

    Le Parti de la France considère que l’indignation ne doit pas être sélective face à la délinquance et la criminalité qui gangrènent la Cité phocéenne.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

     
  • Moi pas vouloir visages pâles à France Télévisions

    Delphine Ernotte a déclaré la guerre à l’homme blanc.
    Parée d’un chapeau à plumes, la chef de la tribu France Télévisions, Delphine Ernotte, a déclaré la guerre à l’homme blanc. Plus de visages pâles de plus de 50 ans (à l’antenne). La déclaration est rapportée par Julien Lepers au micro de RMC. Blanche et âgée de 49 ans, l’apprentie cheyenne auteur de cette sortie fracassante devrait, selon toute vraisemblance, s’autolicencier d’ici quelques mois.
    À moins qu’elle ne s’envisage en esclavagiste fouettant ses animateurs noirs et métis dans le but d’obtenir encore et toujours plus d’audience. Dans la soute de la galère France 2, France 3, et cetera, la vie ne sera pas rose. Il va falloir ramer sec pour satisfaire la dame blanche de tout en haut. Une femme racialement intraitable. Soucieuse de disparaître le plus rapidement possible. Qu’il n’y ait plus, à la télévision, aucune personne à la peau claire. Elle-même ne se supporte plus. Dans sa salle de bains, les miroirs ont été recouverts par des posters d’Aretha Franklin et de Rokhaya Diallo. Ainsi, lorsqu’elle se maquille, l’illusion de ne plus avoir le visage pâle est totale.

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