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lobby - Page 1463

  • Valls: La préférence nationale… à la racaille![Léon]

    Une nouvelle étape a été franchie ce week-end en francarabia. Jusqu’alors, le gouvernement montrait un semblant de respect de l’ordre républicain, en condamnant, certes mollement, les exactions des racailles immigrées. Bien sûr les actes ne suivaient pas les déclarations martiales, mais Valls avait au moins le mérite de simuler, et les plus naïfs des français – 80% d’entre eux! – se sentaient rassurés!

    Ce week-end, le masque est tombé, et Valls affiche clairement la préférence nationale à la racaille immigrée. C’est ainsi qu’en Corse, toute manifestation est désormais interdite. Soulignons en passant que puisque la fracarabia est sous le régime de l’ « état d’urgence », les manifestations étaient déjà, en principe, interdites… Mais passons!

    Que s’est-il passé en Corse? Ne comptez pas sur les merdia francarabiens pour vous informer! La situation est simple:

    1- Les gnoules tendent une embuscade aux pompiers dans une cité d’Ajaccio.

    2- Les citoyens Corses descendent dans la rue, distribuent quelques raclées aux gnoules qui ont le malheur de jouer aux cadors, et en passant commettent quelques incivilités dans une « salle de prière » enregistrée, bizarrement, comme « centre culturel » et où se trouve en fait … un sauna gay, comme l’a révélé EuroCalifat. Des slogans patriotiques sont scandés, ce qui est bien entendu totalement inacceptable.

    3- La racaille politicarde toute classe confondue, hurle au scandale et condamne vigoureusement l’action civique des citoyens corses, que ce soit Valls, Taubira, Estrosi, et même le leader gauchiste « indépendentiste » Talamoni. C’est l’union sacrée des racailles.

    4- Et donc hier Valls interdit les manifestations en Corse… Sans bien entendu interdire les exactions des racailles dans les cités, que ce soit d’ailleurs en Corse ou ailleurs en métropole.

    Nous voila dans un pays où la racaille immigrée a le droit de semer le bordel, de violer, piller et tabasser, et où le petit Peuple n’a plus même le droit de manifester. Valls affiche donc cette fois très clairement sa préférence, avec notons-le le soutien très actif de l’ensemble des merdia et de la classe politicarde.

    Notons également le silence assourdissant du Front National, qui avait ici l’occasion unique, rêvée même, d’appeller à descendre dans la rue aux côtés des citoyens de Corse. Mais les mignons et leur Cour ont préféré une fois de plus garder le silence.

    L’une des conclusions que l’on peut tirer de cela est qu’il est plus que clair que le Salut, s’il y en a un, ne viendra en aucune façon d’un quelconque parti politique mais ne pourra venir que d’une mobilisation des citoyens. En Corse, cette mobilisation a eu lieu. En métropole, la seule mobilisation notable a été dans les bouchons ce week-end pour gagner les stations de ski.

    Léon

    https://eurocalifat.wordpress.com/2015/12/28/valls-la-preference-nationale-a-la-racailleleon/#more-4232

  • Corse : la République molle

    Se rendent-ils compte que « ça n’imprime plus », c’est-à-dire que leurs propos péremptoires, déclarations solennelles et autres mâles attitudes ne rencontrent que l’incrédulité de leurs auditeurs ou au mieux l’ironie ? « Ils », ce sont les princes qui nous gouvernent. Ecoutons-les commenter les événements dont la Corse a été le théâtre ces derniers jours. Valls : « l’agression contre la police et les pompiers, tout comme le saccage de la mosquée sont inacceptables ». Que faire ? Le premier ministre a la réponse : « Respect de la loi républicaine ». C’est simple, il suffisait d’y penser, frappe-toi le cœur, c’est là qu’est le génie. Il suffit en effet que la loi républicaine soit respectée pour qu’elle ne soit pas violée et qu’en conséquence les pompiers ne soient pas lapidés et que la « mosquée » demeure intacte. A l’Elysée, on est sur la même longueur d’ondes : « Respect de la loi et respect de l’ordre public. » Du côté du ministre de l’Intérieur, on assure que, c’est promis « La lumière sera faite, les auteurs en répondront, ainsi sont nos règles de droit et vie commune. »

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  • La cage aux phobes

    Voilà un certain temps que je m’inquiète de l’étrange propension du débat public à tourner à ce qu’on pourrait appeler l’inquisition lexicale.

    Il s’agit, en effet, de prendre à tout prix en défaut celui dont la tête ne vous revient pas, pour ce qu’on considère être un dérapage verbal. Le but est de le disqualifier, et plus encore de le mettre hors-jeu, en le faisant condamner par les tribunaux. Ce disant, je ne plaide évidemment pas pour la diffusion des discours de haine, pour l’apologie de ce qui est d’évidence insupportable. Je m’insurge contre une forme de police lexicale, qui finit par être dangereuse pour la liberté d’expression. En ce sens, je me sens assez proche de la mentalité américaine, farouchement attachée à cette liberté, garantie par la Constitution dans son célèbre Premier amendement, qui date de 1791.

    S’il y a excès et même faute, est-il absolument nécessaire de recourir aux tribunaux, dès lors qu’on a la faculté de répondre et d’expliquer franchement en quoi quelqu’un a dépassé la ligne jaune et peut être, pour cette raison, incriminé moralement ? Mais il est un autre aspect de l’inquisition lexicale, qui met en danger la probité du débat : c’est la psychiatrisation de l’adversaire, que l’on veut absolument convaincre de « phobie ».

    Gérard Leclerc

    La suite sur La France Catholique

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-cage-aux-phobes

  • Plan américain pour évacuer les chefs de Daesh de la ville de Ramadi par hélicoptère

    Il y aurait aussi, à ce qu’il semble, des djihadistes modérés en Irak. Comment font-ils, à la Maison Blanche et au Pentagone pour ne pas se mélanger les pinceaux avec les bons, les méchants, les modérés et les durs de durs ? Heureusement que la Russie est là pour nous aider à y voir clair. RI

    ***

    Aime ton ennemi ? Découverte d’un plan américain d’évacuation de chefs djihadistes de Ramadi

    Un complot américain pour évacuer les dirigeants de Daesh de la ville stratégique de Ramadi au centre de l’Irak aurait été divulgué par un commandant des forces des volontaires.

    Un commandant irakien des forces volontaires a révélé des plans américains pour évacuer les dirigeants de Daesh (ISIL / ISIS) de la ville de Ramadi au centre de l’Irak, selon  l’agence de presse iranienne FARS.

    Cette divulgation a eu lieu alors que l’armée irakienne et les troupes populaires tentent de conforter leur victoire sur le groupe djihadiste à Ramadi.

    FARS a cité le commandant du Bataillon de l’Imam Khamenei Haidar al-Hosseini al-Ardavi qui a déclaré que « le ralentissement dans les opérations de libération des villes de Ramadi et Falloujah dans la province d’Anbar était dû à l’ingérence des États-Unis ».

    Les forces de sécurité irakiennes et les Forces de Mobilisation populaires alliées ont tiré des roquettes sur les positions de Daesh dans un champ de pétrole près de Beiji, à environ 250 kilomètres (155 miles) au nord de Bagdad en Irak, le samedi 24 octobre 2015

    « Il semble que les Etats-Unis ont l’intention d’évacuer en secret les infâmes meneurs du groupe terroriste ISIL (avec des hélicoptères) de la ville de Ramadi pour les mener dans des lieux inconnus », a-t-il dit, selon FARS.

    Ses remarques ont été faites au milieu des efforts déployés par les forces de sécurité irakiennes pour continuer à gagner du terrain dans le centre de Ramadi, où des centaines de terroristes Daesh sont pris au piège grâce au siège.

    Le mercredi, il a été signalé que les troupes irakiennes avaient réussi à faire des progrès significatifs dans Ramadi après avoir atteint le Tigre, et avaient commencé à entrer dans le centre-ville après avoir traversé le pont Al-Khor.

    Dans un autre développement, les forces spéciales de l’armée ont attaqué des cachettes de Daesh dans le quartier al-Zubat de la ville, et ont commencé à libérer des bâtiments gouvernementaux dans le quartier al-Hoz de Ramadi.

    Plus tôt cette semaine, le chef d’état-major de l’armée irakienne, le lieutenant général Othman al-Ghanimi avait dit que ses troupes n’avaient besoin que de quelques jours pour complètement faire sortir Daesh de la ville de Ramadi qui a été sous le contrôle des terroristes depuis mai 2015.

    Traduction Avic – Réseau International

    Source : http://sputniknews.com/middleeast/20151227/1032365363/iraq-us-daesh-ramadi.html#ixzz3vZMLLmIU

    Source Article from http://reseauinternational.net/plan-americain-pour-evacuer-les-chefs-de-daesh-de-la-ville-de-ramadi-par-helicoptere/

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • « On est chez nous ! »

    Il est quand même formidable que l’Etat d’urgence serve à réprimer les manifestants corses plutôt qu’à empêcher le lynchage à mort des pompiers et des policiers la nuit de Noël. On comprend bien que le gouvernement soit très ennuyé. Très. Il ne gouverne quasiment rien en Corse. Pas plus qu’il n’a la moindre autorité républicaine sur les zones de non droit. Partant de là, la vendetta entre jeunes nationalistes corses et jeunes issus de l’immigration maghrébine risque d’être inédite, explosive et incontrôlable.

    C’est un guet-apens criminel qui a été tendu à Ajaccio par les « jeunes » de la cité de l’Empereur (qui avaient déjà vandalisé une école et allumé plusieurs incendies dans la journée du 24 décembre). Quand les policiers et les pompiers arrivent sur les lieux de l’incendie volontaire, 60 voyous encagoulés les attendent aux cris de « Sales Corses de merde, on est ici chez nous ! ». Dans un « déluge de pierres et de barres de fer », décrit l’un des pompiers, « il y aurait pu y avoir des morts ».

    Deux pompiers et un policier seront blessés. Mais pour ne pas troubler les valeurs du vivre ensemble de Noël, il n’y aura aucune interpellation. L’intervention des forces de l’ordre dure jusqu’à 2 h 45 vendredi.

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  • « Que fait donc SOS Racisme à part porter plainte ? »

    Puisque la grosse presse se contente de condamner Robert Ménard sans lui donner la parole, laissons-le s'exprimer :

    Michel Janva

  • Racisme à sens unique

    La chronique barbare de Philippe Randa

    S’il est évident que le saccage dans le quartier des Jardins de l'Empereur à Ajaccio d’une salle de prières pour les musulmans et d’un restaurant kebab durant le week-end, tout autant que plusieurs slogans entendus dans les manifestations de ce week-end, sont à l’évidence à caractères racistes – qui le nient ? – il est tout aussi évident que l’agression de deux pompiers et d’un policier, tombés dans un guet-apens vendredi soir, était tout autant – voir davantage encore ? – à caractère raciste.

    C’était alors l’occasion ou jamais, mais non ! Gauche et droite n’ont pas franchi le pas de renvoyer dos à dos tous les racismes ; ils se sont contentés, comme à leur habitude, de fustiger le seul racisme « blanc ».

    Tandis que Christophe Mirmand, préfet de Corse, s’est empressé de « relativiser le climat d'insécurité dénoncé par certains », ni le Ministre de l’Intérieur, ni le Premier Ministre, ni aucun élu socialiste, écologiste ou Républicain, ne l’a ne serait-ce que sous-entendu !

    Et pas un seul commentaire dans les « grands » médias pour appeler un chat un chat, soit en l’occurrence indiquer que les agresseurs du camion de pompier étaient d’origine extra-européenne… et reconnaître que leurs seules motivations étaient le mépris de la République française, la haine des Français de souche et leur refus évident et assumé de ce « vivre ensemble » dont on ne cesse de nous rabattre les oreilles.

    Quant aux faits bruts, rappelons tout de même que les témoignages des pompiers agressés vendredi soir étaient unanimes pour décrire une tentative avérée de lynchage physique… tandis que les manifestants du week-end, n’ont, eux, cherché à agresser personne physiquement.

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVEkAEFkEQKNjovnD.shtml

  • Le principe de désinformation et ses causes

    L’on savait déjà que, sauf d’heureuses exceptions, la République française était fondée sur le Principe de Peter : c’est-à-dire que chaque politicien et chaque haut-fonctionnaire pistonné grimpe les échelons du cursus honorum jusqu’à son plus haut degré d’incompétence (et l’on retrouve la même proportion de compétents que de surdoués et très doués en Quotient Intellectuel : 25 à 30%, versus 75 à 70% de faiblards voire de nullards absolus). Mais il n’est que trop évident, depuis le début du grandiose quinquennat actuel, qu’un autre principe, hautement démocratique, régit notre Ripoublique.
    C’est celui de la désinformation, soit la distorsion de l’opinion publique par un bourrage de crânes sur certains sujets qui exacerbent la sensiblerie du bon (et très stupide) peuple de France et par une discrétion, qui confine parfois au mutisme intégral, sur d’autres qui risqueraient de lui faire froncer les sourcils. Au pays des bisounours, le gros marchand de sable hypnotise l’opinion, tandis que l’agité tremblotant (de rage, réelle ou simulée) la « colère » (un substantif qui fut employé comme un verbe par un grand praticien de la chose : Maximilien Robespierre, un révolutionnaire qui avait « emprunté » sa particule).
    Officiellement, l’on calme l’opinion pour éviter « d’aggraver les choses » et le postulat (ridicule pour qui a lu le coran) : « Pas d’amalgame entre gentils musulmans et vilains islamistes » sert d’alibi à une absence quasi-totale de sanction contre les imams et ulémas qui hurlent leur haine tous les vendredis soirs, électrisant leurs ouailles (qui en redemandent).
    Aux alentours du solstice d’hiver, une salle de prières musulmane a été saccagée en Corse. Nul – pas même l’athée – ne peut approuver un geste stupide : une grille, une porte, quelques meubles sont des objets, par définition, dépourvus de toute responsabilité… seul un grotesque oserait répéter la (très mauvaise) phrase d’un poète souvent pompier : « Objets inanimés, avez-vous donc une âme ? ».
    Pour une fois, on peut estimer que les musulmans de France méritent un peu de compassion… qui ne sera exprimée qu’une fois bouclée l’enquête de police, car l’on connaît énormément de précédents de soi-disant attentats antijuifs simulés ou organisés par des Juifs, pour en accuser des « néo-nazis » ou n’importe qui n’aimant pas les Juifs (pour amateurs, on peut rappeler la profanation du cimetière de Rishon Letzion, près de Tel-Aviv, perpétrée dans la nuit du 2 au 3 mars 1984, immédiatement attribuée à « des terroristes Palestiniens »… l’enquête de police, fort bien menée, a permis de faire condamner les auteurs de cette ignominie, qui étaient des fanatiques d’un de ces très nombreux groupuscules religieux juifs).
    Mais l’indignation ne doit pas être sélective, comme celle de notre sémillant premier ministre. En ces années 2014-15, plus de 200 églises catholiques, quelques temples réformés et quelques synagogues ont été vandalisés (on connaît même une église de village tourangeau incendiée en ce très grand cru du terrorisme musulman 2015)… le tout dans un silence que l’on qualifie volontiers de sépulcral, d’autant que de nombreux monuments funéraires surmontés d’une croix ont été ravagés.
    D’un côté, le silence ou la discrétion la plus grande ; de l’autre, trémolos et hurlements. On rappelle aux politiciens gouvernementaux que la première règle de la Démocratie est un égal traitement pour tous devant la Justice. Par extension, des faits similaires doivent recevoir le même traitement médiatique.
    Évidemment, dans notre Ve République agonisant dans la pourriture, nombre de clubs sportifs sont devenus propriété éminente de roitelets des pétrodollars ; les emprunts d’État se placent facilement dans les émirats et royaumes arabo-pétroliers et (murmurent certains) des fonds de même origine viennent remplir les caisses des partis français bien-pensants, ceux qui encouragent l’immigration musulmane.
    Récapitulons. Des ploutocrates musulmans financent le pain et les jeux des Français et même leur « élite politico-médiatique » (on est prié de se pas s’étrangler de rire en lisant cette antinomie). D’un autre côté, notre « élite » fait le silence sur les exactions quotidiennes des islamistes (leurs attentats meurtriers sont trop énormes pour être tus, mais l’on noie le poisson sous une sauce pseudo-humaniste : faire pleurer la Margoton a toujours été la bonne recette pour occulter la réalité) et, au contraire, elle hurle à la mort au moindre « attentat raciste », mais faisons attention à la définition d’icelui !
    Des musulmans volent et incendient, violent et mutilent, égorgent, décapitent et mitraillent des Blancs. Des Blancs répondent, rarement, par un gros mot ou un coup de poing. C’est, bien sûr, cette réponse (faiblarde) aux (énormes) agressions et provocations qui devient un « attentat raciste ».
    L’observateur autochtone, totalement indifférent au problème religieux, mais qui, n’étant pas tout-à-fait idiot, perçoit la réalité du double phénomène d’immigration-invasion et d’un nouvel élan de haine islamique dirigée contre « les infidèles », ce Français de souche et fier de l’être est en droit de se demander si nos « élites politico-médiatiques » n’ont pas adopté, vis-à-vis de leurs bailleurs de fonds arabo-islamiques, un comportement de prostitué(e)s.

    Docteur Bernard Plouvier

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVEkEFEZlykEcWkoE.shtml

  • Bernard Cazeneuve, ministre de la dhimmitude

    D'Yves Daoudal :

    "Les chaînes de télévision nous ont montré avec insistance et complaisance des entrées d’églises gardées par des soldats en armes (en tout 120.000, nous dit-on, policiers et militaires confondus) pour les messes de Noël. Et l’on nous montrait les fidèles tout heureux d’être ainsi « protégés ». Donc, l’histoire retiendra que Noël 2015, en France, fut le premier Noël où les églises furent gardées par crainte des attentats. Comme au Caire. Comme à Bagdad. Comme dans un pays musulman. Avec cette énorme différence que dans les pays musulmans les chrétiens déplorent cet état de fait, s’en désolent, et non s’en réjouissent.

    Pus fort encore, en divers lieux, de Béziers à Lens, il y avait une garde musulmane à l’entrée de l’église. Et le ministre de l’Intérieur en personne, Bernard Cazeneuve, au lieu de condamner la formation de milices confessionnelles, de s’émerveiller de cette initiative : « Respect pour les musulmans qui ont protégé les églises pour Noël. Concorde et fraternité dans la République. » « Les musulmans qui ont protégé les églises », dit-il. C’est une autre première que l’histoire pourra retenir : la première fois qu’un ministre de l’Intérieur de la République française s’exprime officiellement en ministre de la dhimmitude.

    Dans les pays musulmans, quand on veut humilier les chrétiens, on les appelle « nazaréens », d’où le désormais célèbre noun. Quand on veut leur donner leur nom selon le droit musulman (comme le fait toujours l’imam d’al-Azhar, par exemple), on les appelle « ahl al dhimma », littéralement « les gens de la protection », ceux que l’on protège. Une protection analogue à celle de la mafia. C’est-à-dire que d’une part elle est arbitraire, pouvant cesser à tout moment, d’autre part elle n’est pas gratuite.

    Cette protection qu’assurent les musulmans contre des musulmans ne peut exister que moyennant une contrepartie, appelée jizya (strictement appliquée dans l’Etat islamique, de façon plus ou moins déguisée ailleurs). En bref, les musulmans qui ont fait mine de garder des églises, et dont on sait que ce sont, bien sûr, des salafistes et des proches des Frères musulmans, ne l’ont pas fait pour les beaux yeux des chrétiens, mais pour affirmer que la France est un pays islamique, et que si la jizya n’a pas été payée d’avance on saura présenter la facture, d’une façon ou d’une autre. En d’autres termes, c’est affirmer que la France est un pays islamique. Et dans ce contexte, le tweet de Cazeneuve en est une confirmation."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • I Média S2e38 - Zemmour condamné la justice au service de la censure médiatique