Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1468

  • Vous avez aimé Cologne, vous aimerez la jungle de Calais

    6a00d83451619c69e201b7c806a83b970b-320wi.jpgQui a dit que les agressions sexuelles se limitaient au territoire allemand (et suédois, et suisse, et autrichien, et...) et que la France coulait des jours paisibles avec ses nombreux immigrés ? Dans son numéro d'aujourd'hui, Minute décrit l'horreur de la jungle de Calais, devenue un bordel à ciel ouvert, avec des esclaves sexuels. Extraits :

    "Le 13 août dernier, le journal « le Monde » a annoncé la couleur: « Dans la “jungle” de Calais, l’ombre de la prostitution ». Dans cet article, des responsables d’associations et des policiers témoignent que, dans la jungle, les nuits sont chaudes. Le Secours catholique s’inquiète d’un petit bois où Erythréens et Ethiopiens feraient la bête à deux dos avec des femmes contraintes et forcées. Une bénévole de l’association « La Vie active » s’étonne de la tenue que certaines réfugiées arborent à la nuit tombée: « J’en vois sortir maquillées alors que, quand elles vont au tunnel, elles ont trois pantalons, des sacs à dos, des bonnets… » Ce marché du sexe, géré par des proxénètes sans-papiers et sans scrupule, serait ouvert à toutes les bourses! Un policier assure que certains chauffeurs routiers sont devenus des clients réguliers. Un autre rapporte que des jeunes garçons albanais se vendaient à un notable local pour financer leur passage en Angleterre. En conclusion de cet article édifiant, Pierre Henry, directeur général de l’association France Terre d’asile, avouait que la prostitution faisait malheureusement partie du tableau offert par cette immigration sans toit ni loi : « Les femmes sont bien souvent une monnaie d’échange, un moyen de payer le passage d’autres hommes. Mais la situation dans le Calaisis prend naissance ailleurs, notamment à Paris. Deux femmes auraient subi des viols en réunion à la halle Pajol (alors illégalement occupée par une centaine de réfugiés) en juillet. Il n’y a pas eu de plainte mais c’est remonté à la préfecture. On pense qu’il y avait aussi de la prostitution forcée. »

    [...] L’ancien ministre Jacques Toubon [...] a rendu un rapport sur « la situation sur le territoire de Calais ». Il y consacre un chapitre aux violences sexuelles dont sont victimes les femmes réfugiées dans la jungle. En préambule, Jacques Toubon écrit que les femmes ne seraient cependant pas les seules victimes: « Même si les informations portées à ma connaissance concernent exclusivement des femmes ou des filles mineures, il n’est toutefois pas possible d’exclure que ce phénomène puisse également concerner les garçons. » [...] L’exemple d’une jeune Erythréenne de 25 ans est donné. La première nuit qu’elle passe dans le bidonville, elle est harcelée par des hommes qui veulent l’emmener de force sous une tente. Alors la seconde nuit, elle trouve refuge sous la tente d’une compatriote érythréenne, mais quand le mari de cette dernière arrive, c’est le drame… Le lendemain, la jeune fille abusée se rapproche de l’association Médecins du Monde, qui rapporte l’incident: « Le mari de celle qui avait accepté de lui faire une place dans la tente était revenu ivre dans la nuit. Elle pleurait et n’a pas voulu nous raconter ce qui s’était passé. » On peut facilement l’imaginer. Mais la victime tiendra sa langue. Car malheur à la femme qui oserait raconter les actes qu’elle a subis. Jacques Toubon évoque un danger de mort: « Il convient de prendre toute la mesure du danger auquel s’exposent ces femmes qui décident, parfois au péril de leur vie, de s’engager dans une démarche de dénonciation de leur proxénète ou de la personne les exploitant. » Voilà pourquoi à Calais, la loi de la jungle, c’est la loi du silence.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/01/vous-avez-aim%C3%A9-cologne-vous-aimerez-la-jungle-de-calais.html

  • Allemagne : Justice et police contre le T-shirt anti-violeurs

    CYTNJKQWMAAoc0k.jpg

    En Allemagne, les immigrationnistes ont leurs valeurs et, très logiquement, leurs priorités. Mercredi 6 janvier, après la révélation forcée de l’assaut immigré contre les femmes allemandes à Cologne, Ralf Jäger, ministre de l’Intérieur social-démocrate du Land concerné (celui de Rhénanie-du-Nord-Westphalie), avait tenu uneconférence de presse pour dénoncer… « les spéculations prématurées sur le groupe dont sont originaires les auteurs ».
    Il s’en était pris avec véhémence aux forums de discussion « de droite populiste » sur Internet. Selon lui, « ce qui se passe en ce moment sur les forums orientés à droite sur Internet est pour le moins aussi abject que les actes de ceux qui ont agressé les femmes. Cela empoisonne l’atmosphère de la société. Les réfugiés sont diffamés en bloc ». « Pour le moins aussi abject », c’est une litote bien sûr : il faut comprendre « bien plus abject ».

    La même échelle de valeurs particulière aux immigrationnistes a inspiré l’avocat Jürgen Kasek, porte-parole des Verts à Leipzig. Vendredi, sitôt qu’il a vu une photo du responsable de PEGIDA, Lutz Bachmann, portant un T-shirt « Rapefugees Not Welcome », il s’est précipité sur son fax et a envoyé une dénonciation au Procureur de Dresde. Pour incitation à la haine raciale, bien sûr.
    Kasek s’est immédiatement vanté de son geste sur twitter : « Tous les jours une bonne action. Aujourd’hui une dénonciation contre Bachmann ». De la bonne conscience immigrationniste…

    L’avocat Vert a en outre envoyé copie de sa dénonciation à la préfecture de police de Leipzig. Une manifestation de la branche locale de PEGIDA (Legida, « Leipzig contre l’islamisation de l’Occident ») a eu lieu lundi. « Kasek espère que sa plainte permettra à la municipalité d’empêcher la distribution du T-shirt lundi ». Il y avait effectivement là une urgence de sécurité publique.

    reportage_cnn_sur_manif_pegida_rapefugees_not_welcome.jpg

    http://fr.novopress.info/196869/allemagne-justice-police-contre-t-shirt-anti-violeurs/

  • Les statistiques sur la criminalité ont été truquées

    Selon le Bild, qui en donne la cause : les crimes commis par les réfugiés

    Image-4

    Mais les langues se délient :

    • Un demandeur d'asile débouté, originaire du Maroc, a agressé sexuellement une femme, dimanche dans une forêt près de Zürich en Suisse.
    • En Allemagne, les problèmes avec les migrants sont pires que ceux indiqués par les chiffres officiels. Selon des "demandes" venues d'en haut, la police fédérale ne doit pas arrêter les migrants.
    • En Allemagne, la presse parle désormais de plus de 600 plaintes pour le 31 décembre.
    • Dans Libération (oui, Libération !), on apprend que, deux étés de suite, un festival de rock en Suède a été marqué par des agressions sexuelles(comme en Allemagne). Et, deux étés de suite, les autorités ont préféré cacher les faits car les auteurs étaient... des migrants

    Face à cette débauche d'agressions sexuelles commises par des immigrés et la tentative de gouvernements de masquer cette réalité, nous pouvons donc nous attendre à ce que de tels scandales soient désormais révélés pour la France. La France a en effet enregistré 79 130 demandes d'asile en 2015, en hausse de 22% par rapport à 2014.

    Michel Janva

  • Viols de masse à Cologne : La réalité de l'invasion barbare dévoilée

  • L’immigration et l’enrichissement du pays d’accueil

    Dr Bernard Plouvier

    Même si les Français (et les autres peuples d’Europe occidentale) sont censés avoir la mémoire courte, il est peu probable que les quadragénaires aient oublié les beaux discours sur l’immigration de masse (alors d’origine africaine, noire et surtout maghrébine) destinée à fournir des travailleurs à une Europe en déclin démographique, du fait d’une absurde conception de la féminité, qui excluait les grossesses répétées et prônait à tout-va l’avortement de complaisance. A-t-on assez répété l’argument selon lequel les travailleurs immigrés venaient payer les retraites, dans un système de répartition !

    Rappelez-vous, ce n’est pas si lointain : c’étaient les arguments récurrents des années 1983-2010. Certains y ajoutaient leurs réflexions venimeuses sur la nécessaire régénération des Européens par les membres de la race africaine (et quand on n’a plus voulu parler de « race », on a employé le mot « ethnies »). Ce mixage des races-ethnies était particulièrement encouragé par ceux-là même qui, depuis 33 siècles, au nom des stipulations du Deutéronome, des Livres d’Esdras et de Néhémie, s’y refusent majoritairement et pratiquent avec dévotion l’endogamie (que l’on pourrait aussi bien qualifier de racisme matrimonial), comme le font les Yézidis du Kurdistan (qui, du moins, ne gênent personne, accrochés à leurs terres ancestrales depuis 27 siècles, jusqu’à ce que la folie furieuse musulmane tente de les exterminer).

    De la « pureté dangereuse » (brevetée Bernard-Henry Lévy) à l’idéal de « Panmixie » (de Pierre-André Taguieff) en passant par « le métissage avantageux » (de Jean Bernard) en a-t-on assez disserté des bienfaits de la race humaine unique (Juifs inclus ? Cela reste à déterminer), de la vie politique et culturelle mondialisée, de l’économie globalisée, bref du « grand village planétaire ». Tous ces beaux esprits ne faisaient que reprendre les élucubrations du métis eurasien Richard Coudenhove-Kalergi, chantre dès 1925 (in Idéalisme pratique) de la « race eurasiatico-négroïde… avec les Juifs pour personnalités dirigeantes » et celles des penseurs (presque tous juifs) des années 1943-50 qui appelaient de leurs vœux la « nécessaire disparition des États nationaux » : c’était la lubie du faussaire juif Imre Rosenbaum (devenu ‘’Emery Reves’’, après avoir réécrit les faux Mémoires de Fritz Thyssen et transformé les souvenirs de l’ex-nazi Hermann Rauschning) et l’espoir des théoriciens de même origine Robert Strausz-Hupé et Stefan Possony… Rien de bien nouveau sous le soleil !

    À côté de cet « enrichissement génétique », de cette « régénération » des populations européennes par « l’immigration de masse » (cf. les élucubrations de Valérie Rabault, directrice de banque, et de Karine Berger du monde merveilleux de l’assurance-crédit), l’on insistait sur le gain matériel. Tout d’un coup, l’Afrique « boulet économique de la planète » devenait, d’un coup de baguette magique, la grande pourvoyeuse de super-travailleurs qui allaient enrichir l’Occident amolli, aveuli, en voie de vieillissement accéléré. Il eût été plus simple d’encourager les jeunes femmes européennes à passer de l’option zéro ou un enfant à celle de leurs mères : trois enfants en moyenne… mais il était plus amusant de parler de planning familial et de vanter la « grande avancée sociale » de l’avortement de complaisance.

    En 2016, le bilan est accablant. Rien qu’en France, nous sommes « riches » de 8 à 10 millions d’immigrés d’origine africaine (le flou statistique est dû au sectarisme « antiraciste » des services du ministère de l’Intérieur et des Cultes), dont 7 à 9 millions de musulmans. Environ 2000 cités de non-droit se sont installées en 35 années de gabegie mondialiste. La délinquance et la criminalité, nettement orientées contre les Blancs (juifs et goyim pour une fois confondus), atteint des sommets qui ne demandent qu’à être dépassés. Le terrorisme, breveté califat nouveau, frappe depuis 2014 en France métropolitaine (même si les pouvoirs publics semblent ne s’en être aperçus qu’en janvier 2015). Les viols de masse de femmes et d’adolescents des deux sexes, blancs, sont bien connus en France depuis les années 1980, mais il a fallu un pic de criminalité de ce type, survenu en Allemagne la dernière nuit de l’An 2015, pour qu’on veuille s’en ressouvenir.

    Quant à l’économie, elle est effectivement « florissante ». Plus de 5 millions de chômeurs (soit 10% de la population en âge de travailler) ; une croissance nulle (voire négative) ; un produit du travail des immigrés estimé en 2011 à 83 milliards d’euros à rapporter à 89 milliards d’euros dépensés par l’État et les collectivités (30 en dépenses de santé ; 52 en aides sociales, dont 3,2 milliards d’euros pour les seuls clandestins) ; l’exportation annuelle d’énormes sommes vers les familles demeurées en Afrique ; voilà le curieux « enrichissement » de l’État français.

    Résumons-nous : l’immigration africaine et moyen-orientale a importé un racisme anti-Blancs, une délinquance et une criminalité hallucinantes, ciblées contre les autochtones. Elle a importé l’islam conquérant et les émeutes raciales, en plus de la querelle israélo-palestinienne. Racisme et terrorisme, émeutes raciales et criminalité : c’est sûr, notre vie de Français de souche européenne en a été bouleversée.

    Durant ce temps, grâce à la consommation – en partie parasitaire, c’est-à-dire alimentée (sans jeu de mots) par les allocations diverses et variées distribuées avec le produit des impôts soutirés aux contribuables – les grandes compagnies de distribution (agro-alimentaire, habillement, électro-ménager et informatique, automobiles et scooters, produits pétroliers etc.) se sont prodigieusement enrichies, comme l’ont fait les grossiums du trafic de drogues et d’armes. L’enrichissement a existé, mais nullement pour la Nation française autochtone !

    Il reste à examiner le cas de l’immigration asiatique : Indochinois, Japonais, Coréens, Chinois et Indous. Ceux-là, calmes et travailleurs, souvent très doués, se sont enrichis par leur travail en même temps qu’ils enrichissaient notre communauté nationale. N’eussions-nous eu que cette immigration qu’il n’y aurait jamais eu de problème.

    Nos politiciens, du règne de Giscard à celui de l’actuel Président de la République, ont des excuses à présenter à la Nation française pour lui avoir tant nui par leur bêtise et leur laxisme. Puis ils doivent prendre de très énergiques mesures pour rendre à la France la paix intérieure et la prospérité qui étaient siennes avant la plongée dans la globalisation-mondialisation. Il est des pilotages sans visibilité qu’il faut savoir interrompre avant la catastrophe.  

     
  • La Mairie de Paris condamnée à dédommager les contribuables parisiens pour ses aides déguisées à l’Institut des Cultures d’Islam : 14 millions plus les réparations!

    L’Institut des Cultures d’Islam a déjà couté 14 millions aux contribuables parisiens, mais un Parisien a porté plainte pour ce détournement de bien public et la Cour d’appel a cassé le bail, annulé les contrats, et demandé des réparations.

    voir copie du verdict ci-dessous: 

  • À Cologne et ailleurs les agresseurs sexuels étaient bien des « réfugiés »

    8521-Chard.jpg

    8521P1.jpgLes révélations de la presse allemande une semaine après les agressions sexuelles massives qui ont eu lieu à Cologne, à Hambourg et dans plusieurs autres villes allemandes sont accablantes pour le pouvoir. Les langues des policiers se délient face aux mensonges des politiques et des médias.
    À Cologne, les policiers en service dans le centre-ville pendant les graves événements qui ont perturbé la soirée du réveillon du Jour de l’An ont expliqué aux journalistes du Spiegel et de Die Welt que, contrairement à ce qu’affirment les autorités et à ce qu’en disait le chef de la police de la ville, qui a perdu son poste, une centaine de personnes avaient été interpellées sur le vif et… c’étaient presque tous des demandeurs d’asile avec des papiers de Syriens. « Je suis syrien, vous devez me traiter gentiment, c’est Mme Merkel qui m’a invité », se sont entendu dire des policiers. Un autre demandeur d’asile a déchiré devant les policiers son document attestant de son droit de séjourner en Allemagne, en leur jetant à la figure qu’ils ne pouvaient plus rien lui faire et que, de toute façon, on lui donnerait de nouveaux papiers.

    Pire encore, on apprenait en fin de semaine dernière du quotidien Bild que la police avait des ordres stricts pour couvrir les crimes et délits commis par les « migrants ».
    Pendant ce temps, les plaintes continuent d’affluer. Dimanche, la presse allemande parlait déjà de plus de 500 plaintes à Cologne (dont environ 40 % pour des agressions sexuelles), plus de 100 à Hambourg, plus de 40 à Düsseldorf… On apprenait aussi qu’à Bielefeld, un groupe de 500 « migrants » avaient investi de force une discothèque et y avaient commis des agressions sexuelles sur des femmes.

    Et ce n’est pas que l’Allemagne qui est touchée. D’autres villes européennes, en Suisse, en Finlande, en Suède et en Autriche, ont fait état d’actes similaires commis par de jeunes hommes « à la peau foncée » et parlant très mal la langue locale.

    Samedi, le mouvement PEGIDA a organisé une manifestation qui a attiré quelque 4 000 personnes et aussi un bon millier de contre-manifestants « antifascistes » et 1 700 policiers armés de canons à eau. Les habitants auraient certainement aimé voir les mêmes forces de police dans le centre de Cologne le soir de la Saint-Sylvestre !

    La censure de l’information n’est pas passée inaperçue dans la Pologne voisine, accusée par les médias et plusieurs personnalités politiques importantes outre-Rhin de porter atteinte à sa démocratie à cause de sa loi sur ses médias publics.
    Le ministre de la Justice polonais a publié samedi une lettre ouverte à l’Allemand Günther Oettinger, le commissaire européen chargé des médias, pour l’inviter à condamner le manque de transparence et de liberté des médias dans son propre pays plutôt que de problèmes fictifs chez les autres.
    Lors d’un match de volley entre l’Allemagne et la Pologne pour les qualifications aux Jeux olympiques de Rio de Janeiro, des supporters polonais ont déplié une banderole où l’on pouvait lire : « Protégez vos femmes, pas notre démocratie ».

    Olivier Bault

    http://fr.novopress.info/196828/cologne-ailleurs-les-agresseurs-sexuels-etaient-bien-refugies/

  • COP 21 : un succès qui nous coûtera cher

     

    La COP21 s’achève à Paris avec l’adoption d’un accord présenté comme une victoire majeure dans la lutte contre le « réchauffement climatique ». Une réussite française attribuée à François Hollande, Laurent Fabius et Ségolène Royal…

    Commençons par le commencement. Y a-t-il un changement climatique, et l'homme en est-il responsable ? À la première question, il faut évidemment répondre par l'affirmative, étant donné que le temps à toujours connu des fluctuations. Il y eu une période particulièrement chaude aux temps médiévaux, où la vigne était répandue en Grande-Bretagne... Il y a une quarantaine d'années, des scientifiques prédisaient une catastrophique chute des températures sur un ton aussi alarmiste que les annonces actuelles du réchauffement « anthropogénique ». La réalité, c'est que depuis 18 ans et 9 mois exactement, alors même que les émissions de C02 continuent de progresser sur le plan global, la température mondiale stagne.

    Gaz indispensable à la vie, le C02 est un fertilisant des végétaux, et il compose notamment l'air que l'homme expire. Ce n'est pas un poison ; il représente une fraction de « l’effet de serre » principalement causé par la vapeur d'eau. Le C02 d'origine humaine représente quelque 3,5 % de la totalité du C02 naturellement émis dans l'atmosphère et moins de 1 % des gaz à effet de serre - nécessaires à la vie de l'homme sur terre ! La quantité de dioxyde de carbone mesurée à la dernière grande ère glacière était largement plus importante que celle relevée aujourd'hui...

    Tourner le dos à 86 % de l'énergie actuellement utilisée

    Mais parce qu'un groupe d'études sous l'égide de l'ONU - le GIEC - a décidé que l'homme faisait chauffer la terre avec « l’énergie fossile », près de 200 pays ont dit l'urgence d'opérer une véritable révolution. Aujourd'hui plus de 86 % de l'énergie qui permet à l'homme de faire tourner l'économie - c'est-à-dire de se nourrir, de se vêtir, de construire son habitat, de se chauffer ou de se rafraîchir - provient des dites énergies fossiles, abondantes, fiables et bon marché. Il s'agit de la remplacer par des énergies « renouvelables » : chères, incertaines lorsqu'il s'agit de profiter de l'ensoleillement ou du vent, destructrices des paysages comme les éoliennes, et nécessairement accompagnées de solutions de rechange telles des usines à charbon...

    Les négociateurs de Paris se sont donc mis d'accord pour lutter contre un fléau dont on n'est pas sûr qu'il existe, par des moyens dont nul ne sait s'ils vont réellement jouer un rôle sur la température du globe.

    Ce que l'on sait, en revanche, c'est que cette « grande peur des années 2000 » permet des décisions internationales très politiques et aux conséquences considérables pour les pays développés. Ces derniers se sont engagés à réduire progressivement leurs émissions de C02 en vue de maintenir la croissance de la température de la terre bien en deçà des 2°C par rapport à l'ère préindustrielle, sur la foi de calculs scientifiques appuyés sur des modélisations informatiques que la réalité ne vient pas actuellement vérifier.

    100 milliards par an pour les pays en développement

    Les « pays en développement », eux, « devraient » concourir à la baisse des émissions, mais avec davantage de latitude eu égard à leur industrialisation insuffisante. Ils recevront en outre à partir de 2020 une somme de 100 milliards de dollars annuels, et davantage si les objectifs sont révisés à la hausse, pour faire leur transition énergétique.

    Ou pour dire les choses plus exactement : les contribuables des pays riches, de plus en plus matraqués par le coût exorbitant des « renouvelables », en situation de concurrence encore plus défavorisée par rapport aux pays émergents aux bas salaires et aux systèmes de sécurité sociale hypothétiques, vont devoir payer. Qui exactement ? L'accord ne le dit pas. C'est une somme globale dont la répartition sera suivie comme le lait sur le feu par une multitude de mécanismes, d'organismes et d'autres « champions » travaillant sous l'égide de l'ONU. Y gagneront, naturellement, les fabricants de "renouvelables".

    Notez que la Chine et la Russie sont des pays en développement au sens du FMI. Elles ont toutes deux participé aux négociations et imposé leur point de vue, la première en annonçant qu'elle continuera d'émettre davantage de C02 en construisant de nouvelles usines à charbon, la seconde en annonçant une baisse de ses émissions... directement liée à sa désindustrialisation post-communiste. Toutes deux ont évidemment intérêt à voir les pays développés pieds et poings liés. Au fait, la Chine émet près de 30 % du C02 mondial par an, deux fois plus que les États-Unis.

    L'accord de la COP21, un leurre ? Sur le plan de la protection de la nature, certainement. Sa réussite est ailleurs, elle est politique et idéologique : dans sa promesse aujourd'hui partagée d'abandonner le « modèle de développement économique » que le monde a connu depuis la révolution industrielle - avec ses côtés négatifs, mais aussi l'amélioration de la santé, de la longévité, du niveau de vie. C'est Christiana Figueres, principale organisatrice de la Conférence des parties, qui l’a dit...

    Jeanne Smits monde&vie 14 décembre 2015

  • Quand la gauche s'identifie au Front républicain

    Au lendemain du second tour des régionales, une question émerge : pour quoi ont voté les Français ? La réponse est claire, et le gouvernement n’a pas tardé à le souligner : pour la gauche.

    Pour le comprendre, il suffit d'écouter le premier ministre. Manuel Valls, oubliant sans doute qu'il est le chef d'un gouvernement et non d'un parti, a résumé la question en une équation très claire : morale = gauche.

    L'explication de cette égalité a été assénée à plusieurs reprises par un premier ministre ravalé au rang de directeur de campagne. Les Français en ont eu un condensé révélateur le vendredi précédent le second tour, alors que Manuel Valls tentait de ne pas répondre aux questions que Léa Salamé lui posait sur France Inter.

    Première affirmation, péremptoire, le refus de répondre à l'agression verbale par laquelle le candidat socialiste en Ile-de-France Claude Bartolone s'en est pris à son adversaire Valérie Pécresse en lui reprochant de défendre tout à la fois Versailles, Neuilly et la fameuse race blanche.

    Manuel Valls refuse de répondre : Claude Bartolone est un homme d’État - excusez du peu ! -, et le premier ministre ne s'abaissera pas à entrer dans un jeu politicien qu'il prétend dénoncer.

    Appel à la guerre civile

    Deuxième propos, tout aussi radical : l'arrivée au pouvoir, ne fut-ce que dans une seule région, du Front national, déclencherait la « guerre civile ».

    En deux phrases et autant de coups de menton, le premier ministre a résumé les règles et les valeurs de la République.

    La première, et sans doute la plus importante, c'est que la gauche seule est habilitée à définir les règles. L'exemple de l’instrumentali-sation de la « race blanche » - qui, on l'a constaté depuis, n'a guère réussi à Claude Bartolone - est particulièrement typique. C'est le premier ministre qui, publiquement, clouait deux mois plus tôt Nadine Morano au pilori qui justifie la démarche du candidat socialiste. Le tort de l'ancien ministre de Nicolas Sarkozy : être de droite. La raison de Claude Bartolone : dénoncer la race blanche. C'est clair, et facile à comprendre...

    La seconde découle de la première : seule la gauche peut faire une politique républicaine. Là encore, la démonstration est limpide. Elire des candidats Front national, ce serait déclencher la « guerre civile ». Et la droite est fautive qui court après l'extrême droite. Et tant pis si, ce disant, on dresse les Français contre les Français...

    Au nom de la morale

    Faut avouer, c'est simple. Le problème, c'est que le peuple français est extrêmement bête puisque, malgré les éructations vallsiennes, il porte le Front national en tête au premier tour ; et lui accorde près de sept millions de voix au second - soit presque autant que le PS, pardon ! l'union de la gauche, les cinq régions en moins, c'est toujours une consolation.

    Aussi a-t-il fallu répéter, le soir des résultats, à l'attention de ceux qui n'avaient pas bien compris ; parce que, comme le dit l'inénarrable Manuel Valls, « il faut apporter la preuve que la politique ne reprend pas comme avant ».

    Ce qui signifie très clairement que les idées de droite n'auront plus cours en France.

    C'est ce que le ministre de l'Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a dit au nom du gouvernement, à savoir que jamais les présidents de régions élus avec les voix de la gauche ne pourront parler ou agir comme le Front national.

    Dans le Nord remporté face à Marine Le Pen, Xavier Bertrand a immédiatement obtempéré en affirmant, sous une (peu) énigmatique étiquette Le Rassemblement, que « l'Histoire retiendra que c'est ici que nous avons stoppé la progression du Front national ».

    NKM a fait de même en dénonçant la stratégie de Nicolas Sarkozy, ce qui lui a valu - faut pas pousser ! - d'être débarquée de la direction des Républicains.

    C'est cela le « sursaut citoyen » qui affirme à la face du monde que, en France, il n'y a qu'une politique morale, celle de gauche, et que les citoyens qui ne l'ont pas compris ne sont que des citoyens de seconde zone.

    Un sursaut qui affirme en fait que le seul Front républicain, c'est la gauche !

    Seulement, ainsi que l'a souligné François Fillon, ce sursaut « n'efface pas le 6 décembre qui reste le véritable baromètre de l'état du pays ».

    Il n'efface pas surtout le discours de Nicolas Sarkozy affirmant qu'il n'est « pas immoral » de voter Front national. L'homme a sans doute le regard fixé sur 2017, mais il n'entend pas admettre que l'on dise qu'un électeur de gauche vaut davantage qu'un électeur de droite.

    Il n'efface pas non plus l'affirmation, limpide, de Marion Maréchal-Le Pen : « Ne les écoutez pas, il n'y pas de plafond de verre ! »

    Hugues Dalric monde&vie 14 décembre 2015

  • France : Nigel Farage a été victime d'une tentative d'assassinat

    Nigel Farage n'a raconté cet incident qu'il y a quelques jours lors d'une interview avec la presse anglaise. 
    En octobre dernier, alors qu'il se trouvait sur une autoroute réduite à 2 voies pour cause de travaux près de Dunkerque, sa Volvo a soudain perdu son pneu arrière alors qu'il roulait à vive allure. Il a pu s'arrêter par miracle sans casse, mais il a dû sauter par dessus une barrière en catastrophe pour éviter un camion qui lui fonçait dessus sur la seconde voie. 
    La police locale a établi depuis que les écrous de ses pneus ont été volontairement dévissés, assez pour tenir à basse vitesse, et suffisants pour lâcher à haute vitesse et provoquer un accident grave. 
    Il va de soi que Nigel Farage dérange les plans des Européens car il est le seul homme politique dans toute l'Europe a s'être levé et haranguer les responsables de l'Union Européenne en mettant en évidence la destruction des pays et l'appauvrissement des citoyens par une machine Bruxelloise devenue totalement folle. 
    C'est la seconde fois que Nigel Farage échappe par miracle à un accident, le premier étant la chute soudaine de son avion du ciel, un crash dont il est sorti juste avec quelques égratignures. 
    Si le premier n'avait rien de politique (la bannière déployée de l'avion s'était prise dans l'hélice) celle-ci en revanche est clairement politique.