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lobby - Page 1504

  • Connaître, comprendre et déconstruire les éléments de langage de l’immigrationnisme

    Plaidoyer pour le bon sens et l’intelligence.

    ♦ Un contributeur a fait parvenir à Polémia un article émis par Nord Actu.fr, un site d’information régional indépendant du Nord Pas-de-Calais. Cet article analyse d’une façon claire et pédagogique les éléments de langage de l’immigrationnisme empêchant la vraie réflexion sur « la crise migratoire ».

    Il s’inscrit dans la ligne et la volonté de Polémia : décrypter l’actualité et le vocabulaire qui s’y attache.

    Polémia

    La crise migratoire que nous subissons depuis des mois s’enlise et s’embourbe ; chaque jour qui passe des milliers de clandestins continuent à arriver, rendant la situation chaque jour plus compliquée, et les solutions semblent s’éloigner toujours plus loin. Celles-ci semblent abstraites, difficiles, voire impossibles, tant d’une part la propagande et la désinformation sont fortes (« intellectuels », artistes, politiques, « experts », universitaires, télévisions, radios, journaux, etc.) pour défendre le modèle immigrationniste, tant d’autre part les solutions possibles sont peu voire pas défendues par les grandes voix reconnues par le système (fausse opposition parlementaire, etc.).

    Cette propagande s’appuie sur des évidences qu’elle a décrétées, des raisonnements inconséquents, une morale plus que douteuse, mais arrive à désarmer ses adversaires qui peinent alors à défendre un point de vue différent voire opposé.

    Or l’ensemble des éléments de langage constituant cette propagande doivent être dénoncés pour leur absurdité, afin de redonner les armes intellectuelles à la lutte contre l’immigration et retrouver notre instinct de survie, trop souvent mis à mal par un moralisme d’arrière-cuisine. Une fois les bases du débat rediscutées et le bon sens revenu, il sera possible de parler sereinement des politiques à mener, loin du terrorisme intellectuel.

    Logement, emploi, dette publique

    Le premier argument de bon sens face à ceux qui nous expliquent que nous devons les accueillir et que nous en avons les moyens est de rappeler l’ensemble des problèmes de logement et d’emploi rencontrés en France et qui rendent cet accueil concrètement impossible : comment faire venir des millions de gens alors même que des milliers de familles françaises attendent un logement et que nous avons de plus en plus de SDF ? Comment les accueillir alors que nous avons des milliers de milliards d’euros de dette et que nous avons une population à aider ? Comment les faire travailler alors que les chiffres du chômage sont faramineux, et que les emplois non pourvus sont dû à des salaires trop bas (loi de l’offre et de la demande) ? Les accueillir en masse est donc criminel puisqu’ils seront en Europe des chômeurs, dans des bidonvilles, aux crochets de la société. A moins d’exproprier les Français pour les loger…

    « Il faut être généreux »

    Nous entendons régulièrement cette formule: la générosité est un acte personnel, lors duquel quelqu’un fait le choix d’un sacrifice pour donner à son prochain, et aucunement un acte d’Etat, l’Etat étant juste une structure dont se dote une population pour garantir sa sécurité. Ceux qui prônent la générosité la proposent avec l’argent des autres, des contribuables français, qui jusqu’à preuve du contraire font ce qu’ils veulent avec leur argent, n’ont peut-être pas la même conception de la générosité que des gauchistes internationalistes, et ont le droit d’attendre de l’Etat qu’il fasse le travail pour lequel il est payé. Si l’Etat commence à ne plus faire cela et à financer l’idéologie, au détriment de ses administrés, il encaisse alors l’argent mais ne procure plus le service attendu : cela s’appelle du vol.

    « Ce sont les valeurs de l’UE »

    Quelles valeurs ? Il est intéressant de remarquer que celles-ci ne sont jamais citées, comme si elles étaient évidentes, alors qu’elles sont surtout inexistantes. Cet argument rappelle des incantations religieuses, utilisées mécaniquement sans réflexion critique. De plus, on nous assène des « valeurs » à respecter, mais pourquoi alors oublie-t-on volontairement les racines culturelles de l’Europe, qui elles ont donné une véritable morale et de véritables valeurs à l’Europe?

    Ceux qui invoquent ces valeurs peuvent-ils décrire ce qu’est pour eux l’Europe, étant donné qu’ils ne considèrent ni sa dimension culturelle, historique, géographique, spirituelle ? Eux qui passent leur temps à insulter le monde occidental en général invoquent les « valeurs » de ce monde-là? Tout cela est un non-sens. Leur Europe semble pour eux se résumer à la Commission européenne, sorte de super-Etat, de super-structure bénéficiant d’un pouvoir de propagande gigantesque au service de la destruction de l’Europe réelle : les valeurs qu’ils évoquent sont au service d’une invasion et d’une destruction. Depuis quand les valeurs d’une civilisation sont-elles au service d’une autre ? Elles servent, normalement, précisément à structurer cette civilisation et à la rendre pérenne, à faire face aux menaces qui pèsent sur elle.

    « Il faut agir avec humanité »

    Dans la bouche des promoteurs de l’immigration, agir avec humanité consiste à les accueillir massivement. L’homme, puisque c’est l’homme en général dont il est question, n’a-t-il pas de racines, d’origines, de peuple, de terre ? Encourager l’immigration n’est-ce pas encourager le déracinement, alors que ces populations aimeraient peut-être une aide sur place, afin de ne pas briser des familles et détruire un peuple ? Les autochtones en Europe n’aimeraient-ils pas qu’on les laisse vivre en paix, selon leurs coutumes, sur leur territoire,  entre eux ? Importer le chaos, mélanger des populations qui ne souhaitent pas cohabiter, créer les ferments d’une guerre civile et d’une explosion ethnique et sociale c’est « agir avec humanité » ? Encourager des gens à partir de chez eux, à risquer leurs vies en mer, voire à mourir, transformant ainsi la Méditerranée en cimetière, c’est « agir avec humanité » ? Endetter des générations entières pendant des décennies en accueillant des gens que l’on n’a pas les moyens d’accueillir c’est être juste et humain ? Semer le chaos dans des pays, poussant des populations vers l’exode, c’est humain ?

    Comme nous pouvons le voir, leur pseudo-morale est surtout l’occasion de passer pour des gens bien à peu de frais (ce n’est pas eux qui payeront ni qui subiront les conséquences de l’invasion) mais elle est immorale car irresponsable. Agir moralement et humainement, c’est être ferme, responsable, c’est garantir la paix sociale.

    « Ce sont des réfugiés qui fuient la guerre »

    Certains d’entre eux fuient la guerre, d’autres non, car ils ne viennent pas de pays en guerre. Parmi ceux qui fuient la guerre, certains obtiendront le statut de réfugiés, les autres non, on ne peut donc pas parler de réfugiés pour l’ensemble.

    De plus, qui a cautionné ou financé ces guerres (Libye, Syrie, Irak, etc.) ? Les nations occidentales n’ont-elles pas semé le chaos ? Ne refusent-elles pas de discuter avec les forces politiques en place pour faire revenir l’ordre politique régional (Syrie, Iran, Russie) afin de lutter contre un ennemi commun (Etat islamique) ? De plus, un réfugié qui fuit la guerre ne traverse pas tout un continent, il se réfugie en général dans une ville ou pays voisin. Or aucun pays du Golf ne les accueille, ils viennent tous en Europe : n’y a-t-il pas autre chose que la guerre dans cette arrivée massive ?

    « L’Europe doit prendre sa part de responsabilité »

    En acceptant de les accueillir en masse, en refusant de reconduire les bateaux vers les ports d’origine, l’Europe encourage l’arrivée de nouveaux immigrés illégaux, et  fait surtout le jeu des passeurs qui savent qu’ils peuvent compter sur cette « générosité » des Etats européens pour faire vendre du rêve à des populations qu’ils font passer en les détroussant. Le jour où l’Europe dit : « nous n’accueillons plus personne », les réseaux de passeurs s’effondrent.

    « L’immigration est une chance pour la France »

    Si c’est une chance, pourquoi se limiter à 300 000 ou 500 000 et ne pas accueillir 5 millions de personnes ?

    « Arrêter les arguments démagogiques », « avoir un débat serein »

    Pour les immigrationnistes, est démagogue celui qui n’est pas d’accord avec eux, alors même que ce sont eux qui cherchent à plaire à certaines communautés, à certains lobbies et associations. Qu’y a-t-il de démagogique pour un Etat à prendre ses responsabilités face à une menace réelle qui risque de peser économiquement, socialement, sanitairement, etc. sur une société ?

    Pour eux, être démagogue consiste à être responsable.

    De même, nous entendons régulièrement qu’il faut « un débat serein, loin des propositions démagogiques et extrémistes » : avoir pour eux un débat serein consiste donc à réunir autour d’une table tous ceux qui sont d’accord avec eux et à mettre de côté ceux qui ont de vraies propositions responsables et fermes.

    « Il faut faire de la pédagogie »

    Endoctriner le peuple et tuer tout bon sens et tout instinct de survie, voilà ce qui pour notre élite est de la « pédagogie ». On parle de faire de la pédagogie uniquement lorsqu’il s’agit de défendre le modèle immigrationniste ; on ne voit en effet personne dire « il faut expliquer et faire de la pédagogie sur les dangers de l’immigration ».

    « L’Europe a toujours été une terre d’immigration »

    Et l’Europe s’est toujours défendue contre les invasions… Mais, pour quelles raisons valables quelque chose qui a toujours eu lieu devrait se répéter pour l’éternité ? N’est-ce pas le mythe du progressisme et de la gauche en particulier que de « faire du passé table rase » ?

    De plus, ce mythe de l’Europe perpétuellement sujette aux migrations est faux : il y a eu avant que l’homme ne se sédentarise des mouvements, néanmoins il s’est depuis enraciné, sédentarisé, permettant de créer des civilisations. La nôtre est le fruit de cette sédentarisation : un peuple au fil des années trouve un équilibre politique sur lequel s’appuyer (lois, culture, institutions), or l’accueil de gens en masse perturbe la réalité de ce peuple, donc fragilise cet équilibre (ces personnes n’étant pas issues de cette longue histoire) en instillant un désordre culturel.

    Il faut être conscient que durant la période comprise entre la fin de l’empire romain et les années 1960, la constitution du peuple français n’a pas changé (Eugène Dupaquier).

    De plus, on parlait alors d’invasions, il est intéressant de voir les immigrationnistes mettre sur un pied d’égalité les invasions d’antan et l’immigration d’aujourd’hui, peut-être un lapsus…

    Il faut aussi considérer que lorsque nous avons accueilli du monde comme à la fin du XIXe siècle, nous accueillions alors des gens extrêmement proches géographiquement, culturellement, spirituellement, et nous avions un réel besoin de ces gens qui étaient des travailleurs (l’immigration de travail est aujourd’hui minoritaire, la majeure partie est une immigration de peuplement). A partir du moment où nous n’avons pas besoin d’immigration et que l’accueil de certaines populations pose des problèmes il n’y a aucune raison d’ouvrir grandes ses portes. C’est là la grande escroquerie des immigrationnistes que d’avoir transformé en question morale l’immigration alors qu’elle était une question simplement politique.

    « Vous voulez mettre des barbelés aux frontières »

    Nous voyons bien là le raccourci historique scandaleusement facile, permettant au passage de passer pour le gentil en traitant les autres de méchants extrémistes. Il ne s’agit pas de mettre des barbelés aux frontières mais tout simplement faire en sorte que l’Etat arrête d’encourager cela, qu’il maîtrise ses frontières comme n’importe quel pays du monde, bref qu’il fasse tout simplement son travail d’Etat pour lequel il est payé, ni plus ni moins : appliquer la loi, renvoyer les clandestins, maîtriser ses frontières, en un mot être pragmatique. C’est une exigence démocratique : faire le contraire s’appelle une tyrannie.

    Echec du multiculturalisme partout et tout le temps

    Enfin, il est temps de rappeler que le multiculturalisme est partout un échec : partout où l’on a essayé de mélanger les gens cela a fini en tensions entre communautés, en guerres ethniques, en territoires fragmentés : Afrique du Sud, Liban, Etats-Unis, Kosovo, Palestine, Algérie, et la liste est longue.

    Promouvoir le multiculturalisme c’est promouvoir le désordre social, comme cela avait été théorisé il y a 2500 ans par Aristote : « Parmi ceux qui ont, jusqu’à présent, accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux ou pour les agréger à la cité, la plupart ont connu des séditions ».

    Quelques citations :

    Houari Boumediene, président  algérien: « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère Sud pour aller dans l’hémisphère Nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »

    Recep Erdogan : 1996, cite le poète Ziya Gökalp lors d’un meeting : « Les minarets seront nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées seront nos casernes et les croyants seront nos soldats. »

    Recep Erdogan : « Nous vous conquerrons par vos valeurs démocratiques et nous vous dominerons par nos valeurs musulmanes ». « On ne peut pas être musulman et laïque à la fois ».

    Abdullah Gül président turc : « On changera définitivement le système laïc. La république vit ses derniers temps »

    Benoit XVI : « Les États ont le droit de réglementer les flux migratoires et de défendre leurs frontières en garantissant toujours le respect dû à la dignité de chaque personne humaine». «Les immigrés ont le devoir de s’intégrer dans le pays d’accueil, en respectant ses lois et l’identité nationale.» « les migrations internes ou internationales, (…) ont produit un brassage de personnes et de peuples sans précédent, avec des problématiques nouvelles non seulement d’un point de vue humain, mais également éthique, religieux et spirituel.» ; «Les migrants doivent se confronter à de nouveaux styles de vie et à des difficultés d’intégration ».

    Jean Jacques Rousseau : « Défiez-vous de ces cosmopolites qui vont chercher au loin dans leurs livres des devoirs qu’ils dédaignent de remplir autour d’eux. Tel philosophe aime les Tartares, pour être dispensé d’aimer ses voisins ».

    Alain Finkielkraut : « L’antiracisme est le communisme du XXIe siècle. C’est l’idéologie de notre temps »

    Colonel Kadhafi : «Nous devrions arrêter cette immigration illégale. Sinon, l’Europe deviendra noire, elle sera suffoquée par des gens de religions différentes, elle changera (…) Si on n’aide pas la Libye, l’Europe, demain, avec l’avancée de millions d’immigrés, pourrait devenir l’Afrique».

    SAR Hassan II, roi du Maroc :« Les immigrés seront de mauvais français, ils ne seront jamais integrés ».

    Rédaction de Nord Actu, 28/10/2015

    Source : Nord Actu

    http://www.polemia.com/connaitre-comprendre-et-deconstruire-les-elements-de-langage-de-limmigrationnisme-2/

  • Une catastrophe sanitaire programmée…

    Je vous raconte une histoire belge qui circule sur le net :

    "Dans le village flamand de Sijsele il y a un supermarché Lidl. En face il y a un centre pour requérants d’asile. Les pensionnaires du centre pour requérants d’asile vont flâner entre les rayons du supermarché, ouvrent des bouteilles et les boivent, ouvrent des confections et en mangent le contenu et quand ils arrivent à la caisse ils disent “no money”. Alors on appelle la police mais la Croix Rouge intervient pour expliquer que “c’est leur culture”… Alors les habitants de Sijsele ne font plus leurs courses dans leur supermarché Lidl mais vont les faire dans le village voisin de  Moerkerke et les seuls clients qui restent à Sijsele c’est ceux qui ne payent pas…

    Un commentateur ajoute “et chez nous ils ouvraient même les pots de confiture et les vidaient comme ça”…

    Un autre précise qu’on a engagé un cuisinier mais celui-ci a été refusé, d’ailleurs “la nourriture est trop belge”…

    Un autre ajoute qu’ils n’ont ni faim, ni soif mais ce qu’ils veulent c’est de l’argent…

    Et vous savez quoi ? Ben, on constate un mécontentement croissant parmi la population… "

     Signé “Wannes”

    Une histoire allemande. Ma voisine est allemande et écoute l’heure pendant laquelle les auditeurs peuvent s’exprimer à la radio. Et vous savez quoi? Ben, il y a un médecin qui a dit que les hôpitaux sont bondés et posent la question “qui va payer tout ça?” Mais c’est pas tout, ce médecin dit que ces gens qui arrivent de partout dans les conditions les plus désastreuses apportent avec eux des germes qui peuvent faire réapparaitre chez nous des maladies qui ont été éradiquées grâce à des décennies de soins, campagnes d’hygiène, vaccinations etc.

    Les gens commencent à oser en parler…

    La santé c’est mon domaine alors je vais y ajouter mon grain de sel. Comme je l’ai raconté dans mon livre “Les oiseaux noirs de Calcutta”, dans les pays du Tiers Monde il y a des maladies endémiques comme la gale ( scabieuse) qui est une maladie de la peau extrêmement contagieuse qui est une véritable calamité quand elle se répand dans une école, un home, un hôpital… à tel point qu’un chirurgien refusait d’hospitaliser les enfants qui en étaient porteurs de peur de contaminer tout le service et de devoir le fermer.

    Il y a aussi la tuberculose qui est résistante aux médicaments dont nous disposons. Il y a aussi tout ce qui est amibes, bactéries ou vers intestinaux. A côté de ça le SIDA semble moins grave car c’est une maladie que nous connaissons mieux.

    Il y a quelque temps un médecin français expliquait que le tourisme médical voit arriver en France des maladies graves comme des insuffisances rénales qui vont finir par la dialyse et des médicaments à vie mais que, étant donné que dans leur pays d’origine ces gens ne peuvent pas se soigner, il était impossible de les renvoyer chez eux, par contre ils ont  le droit de faire venir leurs familles. Qui paye ? Ca c’est un type de problème. Le problème des maladies importées par les “migrants” est d’un autre type: il s’agit de l’importation de germes qui peuvent produire des contaminations et ensuite des épidémies. Ces gens n’ont pas non plus une constitution physique adaptée à nos conditions de vie, ni à notre environnement climatique.

    Voici ma cerise sur notre gâteau: la poliomyélite ou paralysie infantile.

    Je ne vais pas vous faire un cours de médecine mais le sujet est tellement grave que je vous recommande chaudement d’aller lire ce que dit Wikipédia de tout ça.

    Toujours est-il que quand j’étais à l’école primaire dans mon petit village flamand de Strijtem, en 1952 nous, les petits élèves nous avons été vaccinés contre la polio – j’ai encore ma carte de vaccinations. Depuis, grâce à la vaccination, chez nous, la polio a pratiquement disparu mais il y a eu des épisodes d’épidémies surtout au sein de sectes religieuses qui refusent les vaccinations. J’ai un cousin qui n’avait pas été vacciné, qui a été contaminé, en a gardé des paralysies aux jambes et maintenant à l’âge de 55 ans il souffre d’un syndrome de post polio. C’est là qu’on se rend compte du caractère terrible de la polio car non seulement elle laisse des séquelles graves comme des paralysies, mais elle ne disparait jamais et avec l’âge reprend vigueur et continue la lente destruction les muscles jusqu’à ce que la personne se retrouve en chaise roulante. Pire: si le virus attaque les muscles de la cage thoracique c’est soit le poumon d’acier, soit la mort par asphyxie.

    Mais, étant donné que cette maladie a pratiquement disparu chez nous, elle n’est plus enseignée dans les universités et les médecins ne la connaissent pas. Il n’est pas rare que les patients, comme mon cousin,  soient considérés comme des simulateurs… Pendant mes études de physiothérapie j’ai eu la chance d’avoir comme professeurs des kinés qui avaient encore participé à la lutte contre la polio avant la découverte du vaccin.

    Puisque la polio ne se rencontre plus, de nombreux parents refusent de faire vacciner leurs enfants. Je suis tout à fait d’accord, les vaccins ne sont pas inoffensifs et il faut bien peser les pours et les contres. Mais en l’occurrence  les conséquences de la polio peuvent être beaucoup plus graves que celles de la coqueluche ou de la grippe.

    Actuellement l’OMS a beau se gargarise avec “L’éradication de la polio”, elle n’est pas éradiquée du tout dans le Tiers Monde et par exemple pour un tas de raisons, voir Internet, en Afghanistan les talibans s’en prennent aux vaccinateurs.

    Tout ça pour dire que parmi les chercheurs de vie meilleure il va fatalement y avoir des porteurs de germes de toutes sortes mais aussi de la polio et nous ne sommes pas du tout à l’abri d’épidémies, ni préparés à les affronter.

    Ce n’est pas leur faute: ces gens ne savent pas d’être porteurs, mais ils peuvent contaminer puisqu’ils circulent dans les transports publics, les magasins, les WC etc. Le pire c’est quand ils ne connaissent pas les règles d’hygiène et ne font pas leurs besoins naturels dans des WC et ne se lavent pas les mains avec du savon…Dans leurs pays … s’ils n’ont pas de quoi acheter à manger, ils n’ont  certainement pas de quoi acheter du savon, serviettes hygiéniques, tampax, ni même des WC ou du papier WC… Ces gens s’essuient avec la main gauche… et mangent avec la main droite…  A Calcutta, dans Park Street, la rue chic, devant la Oxford Library, j’ai vu un monsieur descendre du trottoir, s’accroupir et déféquer. A l’arrêt du bus j’ai vu un jeune homme bien habillé genre employé, s’arrêter et uriner, même pas derrière un arbre, ni un poteau, non comme ça. Ils toussent et crachent tout le temps et partout. Cela signifie une dissémination et une prolifération de germes inimaginable à laquelle nous ne sommes pas préparés, nos hôpitaux non plus, notre assurance maladie non plus. Qu’est ce qui va se passer, qui va payer, comment allons-nous empêcher notre système sanitaire de s’écrouler ? A la limite, allons-nous disposer d’assez de vaccins ?

    Pourquoi je vous brosse un tableau aussi effrayant? Parce qu’il faut décider de priorités et la priorité la plus urgente, c’est, avant toute autre chose, d’enseigner à ces personnes les règles d’hygiène pour éviter une catastrophe sanitaire. Il est beaucoup plus urgent qu’ils apprennent à ne pas cracher par terre qu’à parler français. Dans ma profession j’ai appris qu’il faut prévoir le pire pour ne pas être pris au dépourvu. Je ne sais pas si nos gouvernements le font, bien que gouverner ce soit justement…  prévoir. En tous cas je conseille aux parents qui n’ont pas fait vacciner leurs enfants d’en parler avec leur médecin.

    Anne Lauwaert

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2015/10/29/une-catastrophe-sanitaire-programmee-5707271.html

  • Hors des clous républicains le FN?

    C’est une vieux gimmick de la droite chiraquienne, usé jusqu’à la corde,   réutilisé sans vergogne  depuis   par la droite sarkozyste ou juppéiste : voter FN ce serait  ainsi  faire le jeu du PS, quand bien même la  proximité idéologique entre les dirigeants des  deux principaux partis du Système est une évidence, perçue comme telle  par un nombre croissant de Français.  Invitée avant-hier  de l’émission Questions d’info sur LCP, Valérie Pécresse, la tête de liste Les Républicains-UDI-MoDem aux élections régionales en Ile-de-France, a ressorti ses vieilles fiches pour asséner  que le gouvernement s’applique à  «faire monter le FN» pour «zapper l’alternance réelle (sic) que nous (Les Républicains) représentons.» «Des personnes dans les villages ruraux me hurlent leur colère en me disant : vous nous avez abandonnés. On est la France d’à côté, personne ne se soucie de nous» a encore confié la très comdienne Mme Pécresse. Les Français sont réputés avoir «la mémoire courte» mais espère-telle vraiment convaincre les électeurs que ce phénomène d’abandon de la France d’en bas et périphérique trouve sa genèse dans l’élection de M. Hollande en 2012 ? Le maire de Paris, Mme Hidalgo, invitée le même jour de  BFMTV a confirmé de son côté  les menaces de Manuels Valls qui a réaffirmé  qu’il était «hors de question de laisser le Front National gagner une région»,  que «tout devra être fait pour l’empêcher» -voir notre article publié hier.

    «Vous imaginez ce que ça signifie d’avoir le FN aux portes du pouvoir dans les régions, et peut-être au-delà, dans le pays de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme» a déclaré Anne  Hidalgo, ce serait « une mauvaise image pour la France dans le monde », « un message de fermeture d’un pays qui serait en train de se refermer sur lui-même (…). Vous imaginez le signal qu’enverrait la France en mettant le FN aux portes du pouvoir alors que l’exercice des Jeux Olympiques, qui s’inscrivent dans les valeurs universelles et qui sont en résonance avec celles de notre République. Vous croyez vraiment que ce message serait un message d’hospitalité ?»

    Mme Hidalgo, qui  manque  de culture générale ou qui  ment sciemment (l’un n’empêche pas l’autre),  serait  bien inspirée de se pencher sur les motivations et l’idéal  du  baron Pierre de Coubertin lorsqu’il ressuscita les Jeux;  un nationaliste  qui n’était pas vraiment un progressiste à la sauce socialiste…Ce qui lui permettrait au passage de comprendre que le valeurs universelles de l’olympisme  ne sont en rien incompatibles avec le message national qui est porté par le FN.

    Cette parenthèse étant fermée, de «culture» il était encore question dans le décryptage par Jean  Guarriges sur le site atlantico, de l’offensive anti FN du PS. Professeur d’histoire contemporaine à l’université d’Orléans et président du Comité d’histoire parlementaire et politique, M.  Guarrigues, résume atlantico, s’interroge sur cette question centrale : «Peur pour la République ou peur que le FN fasse ses preuves à la tête d’une région ? La nature trouble des pulsions de retour au Front républicain.»

    « Il ne faut pas  oublier que la culture de la gauche française » explique-t-il,  « a été nourrie par une opposition frontale vis à vis de l’extrême droite depuis la fin du XIXème siècle. Ces affrontements ont culminé au moment du Front populaire, qui est né après le 6 février 1934 d’un réflexe de défense antifasciste. Il y a donc une forte culture de la défense républicaine au PS, et cette culture a été spectaculairement réactivée face à Jean-Marie Le Pen lors du deuxième tour des élections présidentielles de 2002. Pour les socialistes, cela apparaît comme une évidence de constituer un barrage des partis modérés contre l’extrême droite. Mais évidemment c’est beaucoup plus difficile de le justifier auprès des électeurs d’aujourd’hui, après la mutation-normalisation du Front National. La ligne de Marine Le Pen et Florian Philippot accorde beaucoup d’importance aux préoccupations sociales, donc elle parle aux électeurs populaires que le PS prétend défendre (…).»

    La « crainte (de M. Valls, NDLR) estime encore Jean Guarrigues,  relève à mon sens davantage de l’ordre du fantasme que d’une réalité politique dans la mesure où le FN a connu une incontestable épuration de ses cadres. Le nouveau FN les a filtré et parfois de manière spectaculaire, y compris avec la mise à l’écart de Jean-Marie Le Pen. Maintenant il demeure tout autant incontestable qu’en dépit de cette épuration, le FN reste marqué par une culture de l’exclusion identitaire qui par bien des aspects peut être considérée comme extérieure au socle des valeurs de l’humanisme républicain. Pour dire les choses simplement, et sans même parler des dérives néo-fascistes ou néo-pétainistes, il y a des relents de fermeture, de racisme, de xénophobie et d’autoritarisme qui ne sont pas compatibles avec la culture républicaine. Mais plus encore que cette crainte plus ou moins fantasmée par la gauche de la culture frontiste, il y a la crainte de voir se diffuser les thématiques d’exclusion du FN par le truchement des réseaux d’élus territoriaux. Laisser se déployer un tel réseau d’élus frontistes porteurs de ces valeurs représente un risque à terme de voir ces valeurs devenir dominantes. C’est le problème de la dynamique acculturatrice du FN, un problème qui se pose de manière plus aiguë aux Républicains de Nicolas Sarkozy (et dont il est en grande partie responsable) car on voit qu’une grande partie des militants sont de plus en plus sensibles aux thèmes d’exclusion identitaire ».

    Dynamique acculturatrice ? Qu’entend M. Garrigues par cette notion  d’ «exclusion identitaire» qui serait en opposition avec la «culture républicaine»,  les «valeurs de l’humanisme républicain», cette creuse formule maçonnique agitée ici ? Beaucoup plus prosaïquement, rappelons de nouveau  que  le FN est un mouvement politique beaucoup  plus pragmatique qu’idéologique, qui constate comme Jacques Bainville  que «les théories politques sont changeantes comme les circonstances qui les déterminent»,  qui prend en considération les problèmes, les menaces qui pèsent  sur notre pays, ici et maintenant, pour y apporter les remèdes qu’il croit nécessaire à sa survie.

    Jean-Marie Le Pen, le rappelait dans la revue Réfléchir & agir il y a six ans, et le propos na pas pris une ride, «l’objectif du FN  est de renforcer la France, de la faire survivre et de lui donner les plus grandes forces possibles, aussi bien institutionnelles que charnelles. Mais le Front National n’est pas idéologue en lui-même. Il a un programme de gouvernement. Sa seule idéologie, c’est le patriotisme. Ce n’est pas une idéologie nouvelle.»

    Il est clair que  fustiger « l’exclusion identitaire» s’inscrit dans cette logique de «déconstruction des romans nationaux» pointé par Denis  Bachelot sur le site polemia. Ladite déconstruction note-t-il, «particulièrement exacerbée en France, a principalement servi à délégitimer le lien fusionnel qu’un peuple entretient avec son histoire et son territoire. Le but recherché est de conduire le sujet collectif à ne plus distinguer le Nous de l’Autre, ne plus faire la différence entre ce qui procède de mon identité et ce qui est extérieur à moi. Le fait que personne ne questionne, dans les univers politiques et médiatiques institutionnels, l’affirmation qu’il faille, absolument, compenser le déclin démographique européen par une immigration de masse est la preuve la plus manifeste d’un désinvestissement affectif total des dirigeants européens à l’égard de leur peuple. L’identification à un destin commun a disparu (…)».

    « Ce que proposent aujourd’hui les responsables européens à leurs peuples est un effacement de leur identité au nom d’une logique économique simpliste et courtermiste qu’ils camouflent sous des vocables désincarnés et pavloviens d’ouverture à l’autre et de diversité ; enrichissantes, forcément !Dans ce contexte, toute référence à un principe identitaire pérenne qui dépasse et transcende les intérêts immédiats et particuliers est une dissidence insupportable à l’achèvement d’un monde plat, nomade et indifférencié, qui sous-tend la vision politique des élites dominantes de la vieille Europe, celles de Bruxelles en tête ».

    Dans ce  contexte de guerre menée (entre autres)  aux  peuples européens, de volonté de certaines officines mondialistes de détricoter les nations,  il est évident que les bouleversements  démographiques, la politique de substitution de population  en cours, menée délibérément ou acceptée par impuissance ou résignation par les dirigeants de la Caste au pouvoir,  est un défi majeur, crucial pour notre avenir en tant que pays   libre et  souverain.

    Bref, note Bruno Gollnisch, il faut opérer un  singulier renversement conceptuel pour  estimer que le projet patriotique porté par le FN  est en rupture avec l’essence même de ce qu’est la France…à moins d’avouer que les valeurs qui sont le socle de  leur conception de la   république (hors sol)  sont en contradiction avec le  génie français et  la définition même d’une république FRANÇAISE.  Les attaques hystériques de la gauche et d’une certaine droite contre  les sains et légitimes  principes de priorité, de préférence, de protection nationales en disent long sur la nature de leurs auteurs.  Et démontre aussi qu’épuration ou pas, le FN restera largement infréquentable, l’ennemi à abattre  pour la Caste politico-médiatique tant qu’il ne renoncera  pas à «épurer», mettre à bas  la colonne vertébrale de son programme, à savoir  la défense résolue, complète et cohérente  de la souveraineté et de l’identité du peuple français, l’une n’allant pas sans l’autre.

    http://gollnisch.com/2015/10/30/hors-des-clous-republicains-le-fn/

  • L’extrême gauche tente d’interrompre Marine Le Pen à Besançon

    Intervention ratée de l’extrême gauche à Besançon.

    http://www.medias-presse.info/lextreme-gauche-tente-dinterrompre-marine-le-pen-a-besancon/42109

  • Régionales : le PS n’écarte plus l’idée d’un front républicain au second tour face au FN

    À moins de six semaines du premier tour des élections régionales des 6 et 13 décembre, la question de l’entre-deux tours continue à agiter la majorité socialiste. Aider la droite ou favoriser le Front national (FN) ? Le dilemme auquel risque d’être confronté par endroits le Parti socialiste (PS) embarrasse au plus haut point ses dirigeants.

    Que devra-t-il faire à l’issue du premier tour, dans les régions que l’extrême droite serait en mesure d’emporter et où la gauche, tout en pouvant se maintenir, aurait perdu toute chance de victoire ? Maintenir sa liste au risque de favoriser le FN, la retirer et renoncer au conseil régional pour six ans, fusionner avec Les Républicains (LR) ?

    Alors que les sondages favorables au FN se succèdent, notamment en Nord-Pas-de-Calais-Picardie et en Provence-Alpes-Côte-d’Azur, Manuel Valls a évoqué implicitement, mardi 27 octobre, la possibilité d’un front républicain pour faire barrage aux candidats du parti dirigé par Marine Le Pen. « Il est hors de question de laisser le Front national gagner une région. Tout devra être fait pour l’empêcher. Je vous donne rendez-vous le soir du premier tour », a déclaré le premier ministre, invité du Bondy Blog. Mais M. Valls a également affirmé qu’il allait s’engager dans la campagne car, « avant le second tour, il y a un premier tour ».

    Inflexion des discours

    Pas question, donc, de donner dès à présent une quelconque consigne ou de déterminer quelle sera l’attitude du PS dans le cadre de triangulaires au second tour des élections régionales si le Front national peut l’emporter. « La première des choses à faire, c’est de faire campagne, rappelle l’entourage du premier ministre. On ne peut pas s’arrêter à une photographie sondagière. »

    Mais l’expression « tout devra être fait » employée par M. Valls fait ressurgir l’hypothèse que les listes PS pourraient se retirer si elles arrivaient en troisième position et que le FN est en passe de l’emporter. Depuis quelques jours, les dirigeants socialistes avaient pourtant fermement écarté ce scénario. « Cela fait des mois qu’on est dans une tentative de disqualification du Parti socialiste », avait ainsi protesté Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du parti, lundi 26 octobre sur i-Télé.

    Mercredi 28 octobre, ce dernier a pourtant lui aussi infléchi son discours. « Je n’exclus rien, mais ma pensée première est pour gagner le premier tour », a-t-il déclaré sur Europe 1.

    Pas de retrait envisagé pour Les républicains

    Un bureau national extraordinaire du Parti socialiste doit se tenir le soir du premier tour et M. Cambadélis a indiqué que les décisions seraient prises à ce moment-là.

    Du côté du parti Les Républicains, les responsables écartent l’idée d’un retrait d’une de leur liste arrivée en troisième position. Mais ils ne préfèrent pas non plus se prononcer pour une possible fusion des listes avec le PS, ce qui donnerait des arguments à Marine Le Pen, toujours prompte à dénoncer un soi-disant « système UMPS ».

    « Quoi que fasse le Parti socialiste, ce n’est pas notre problème (…) En aucun cas nos candidats ne prendront langue avec le PS », avait ainsi expliqué le porte-parole LR, Sébastien Huyghe.

    Patrick Roger et Matthieu Goar

    source : Le Monde ::  lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuuypuFAlEbluZwBFV.shtml

  • Empêcher que la France soit définitivement une colonie américaine

    Petite leçon de géopolitique par Hervé Juvin, dans le cadre des conférences du cercle Aristote. Remarquable de synthèse et de mise en perspective. Où l'on retrouve l'idée que cette forme de colonisation est tout autant mortelle que invasion migratoire, dont elle est complémentaire.


    Hervé Juvin : Le mur de l'Ouest n'est pas tombé par webtele-libre

    Paula Corbulon

  • Robert Ménard : « Nadine Morano a eu un langage clairement de droite : elle a été éliminée »

    Source : Boulevard Voltaire
    Nadine Morano sera ce jeudi à Béziers pour y tenir une réunion publique avec ses sympathisants.

    Elle rencontrera ensuite Robert Ménard, le maire de la ville, qui lui a proposé « une grande alliance » de droite patriote…

    Nadine Morano est à Béziers ce jeudi. Qu’en pensez-vous ?

    Je crois que l’action de Nadine Morano est très importante. Son action est un révélateur. La liberté de parole dont elle a usé lui a valu les foudres de la gauche. Ce qui est normal. Mais aussi celles de son parti, y compris Nicolas Sarkozy. En d’autres termes, Nadine Morano a été sacrifiée par son parti, par cette droite parlementaire, sur demande de la gauche, pour satisfaire aux rites idéologiques de la gauche. C’est donc une affaire d’une grande importance qui dépasse de loin les querelles des primaires à droite. On l’a vu par le passé avec Vanneste, Millon et d’autres : dès qu’un élu de la droite parlementaire a un langage clairement de droite, notamment sur les questions migratoires ou de société, il est aussitôt éliminé par la droite. Qu’est-ce que cela veut dire ? Tout simplement qu’il faut recomposer la droite.

    Recomposer la droite ne veut pas forcément dire grand-chose. Très concrètement, entre le FN et l’ancienne UMP, peut-il y avoir autre chose que des variables d’ajustement ?

    En maçonnerie – je parle évidemment de la construction des murs… -, il faut du mortier pour unir les pierres. Le FN a besoin d’alliés. Il ne peut pas se contenter d’aspirer des cadres de LR. Dans ce contexte, des gens comme Nadine Morano ont vocation à représenter une force de droite qui aura sa spécificité, mais qui acceptera le jeu républicain des alliances pour faire battre la gauche qui, pour moi, à cause de sa volonté de confisquer la République, en est le pire ennemi. La droite se recomposera une fois qu’elle aura explosé. Sans doute au lendemain de l’élection présidentielle.

    Tel est mon souhait, tel est mon but. Non pas rassembler autour de moi, mais faire converger dans la même direction tous ceux qui veulent de la liberté : liberté de parole, liberté de conscience, liberté de briser les tabous.

     

    Si Nadine Morano ne vient pas vous voir, irez-vous à sa réunion ?

    Non, je ne veux rien faire qui puisse la gêner. En revanche, une délégation composée de certains de mes élus a prévu de s’y rendre. Ce sont des élus adhérents à LR ou anciens de l’UMP. C’est la spécificité de ma liste qui rassemble toutes les composantes de la droite. Et ça marche ! Pourquoi ce qui est fait à Béziers ne le serait pas pour la France ?

    Comment le FN prend-il sinon votre soutien, du moins votre sympathie pour Nadine Morano ? Dans le Languedoc, vous soutenez Louis Aliot, mais dans l’Est, elle est sur les terres de Florian Philippot.

    Je ne sais pas trop. Nous n’en avons pas vraiment parlé avec Louis Aliot. Je ne crois pas que mon poids électoral à Thionville ou Forbach soit démesuré et puisse nuire à Florian Philippot. De toute manière, dans cette affaire, je ne me place pas dans la perspective des régionales mais dans celle, beaucoup plus large, de l’avant et de l’après-2017. Par ailleurs, je pense qu’en fonction de l’évolution de la campagne, les prises de position de Nadine Morano et les réactions insensées de son parti ont des chances de profiter à Florian Philippot.

    http://fr.novopress.info/194329/robert-menard-nadine-morano-langage-clairement-droite-ete-eliminee/

  • Les Français friands de nazisme littéraire!

    C’était évident depuis le succès du Suicide Français d’Eric Zemmour : les Français, ces salauds, aiment lire des horreurs racistes et font un succès à n’importe quel livre prônant l’intolérance et la méchanceté gratuite. D’Astérix à Hitler, tour d’horizon de l'actualité de cette nauséabonde littérature. 

    Le triomphe des Décombres…

    Bien-pensants, étranglez-vous! Le remarquable pamphlet de Lucien Rebatet, Les Décombres, vient d’être réédité (détails ici). Et c’est une nouvelle fois un succès de librairie ! "Ce classique « aura réussi cet exploit sans doute sans précédent: être un best-seller à la fois sous Pétain et sous François Hollande » lit-on dans L’Express. Numéro 1 des ventes sous l’occupation (65.000 exemplaires vendus), « le brûlot antisémite de Rebatet » comme ils disent, continue indéniablement à intéresser les lecteurs. Les 5000 premiers exemplaires de la réédition se sont arrachés en une journée et l’éditeur (Robert Laffont) a dû lancer une réimpression de 3000 exemplaires supplémentaires pour répondre à la demande. Plusieurs causes expliquent ce succès : la qualité littéraire, l’intérêt historique mais aussi le côté sulfureux de cet ouvrage que tout esprit non-conforme se doit d’avoir lu. Lucien Rebatet est l’un des plus grands écrivains du siècle dernier et ce n’est que justice qu’il soit redécouvert par des Français rejetant de plus en plus les œillères imposées par le politiquement correct ! 

    … et celui de Mein Kampf !

    Mein Kampf, l’équivalant dans la vraie vie du Necronomicon de Lovecraft, va, horreur!, être lui aussi réédité en 2016. Les Français en ont déjà le sang glacé… Mélanchon, un bon Français comme on n'en fait plus, a d’ailleurs voulu se faire de la pub’ en jouant l’éternelle carte du fascismassassin! C’est plein de courage qu’il lança sur son blog, voici quelques jours, ce cri d’alarme : « Non ! Pas Mein Kampf quand il y a déjà Le Pen ! ». Jean-Luc n’a toujours pas compris que l’amalgame Le Pen – Hitler marchait de moins en moins… Mais les grosses ficelles de l’antifascisme pleurnichard, c’est son fond de commerce ! N’avait-il pas déjà traité Marine Le Pen de fasciste ? N’ose-t-il pas décrier  les prétendues « persécutions antisémites et anti-musulmanes » dont souffrirait notre pays ? Les fantasmes de Jean-Luc tournent autour de ça, on ne l’en guérira pas. C’est donc tout logiquement qu’il part pourfendre la Bible satanique écrite par Adolf Hitler et bientôt rééditée par les éditions Fayard. Impossible à digérer pour lui : Fayard étant son éditeur, il doit les convaincre d’abandonner ce criminel projet qui est le leur et pourrait fort bien livrer la France à la barbarie nazie et à « la guerre civile » dans un futur proche. Ses arguments sont de taille : 

    « Mein Kampf est l’acte de condamnation à mort de 6 millions de personnes dans les camps nazis et de 50 millions de morts au total dans la deuxième Guerre Mondiale. Il est la négation même de l’idée d’humanité universelle. »

    « Editer, c’est diffuser. La simple évocation de votre projet a déjà assuré une publicité inégalée à ce livre criminel. Rééditer ce livre, c’est le rendre accessible à n’importe qui. (…) Car vous savez aussi bien que moi dans quel contexte cette édition va intervenir : dans toute l’Europe et en France, l’ethnicisme le plus ouvert et barbare s’affiche de nouveau. »

    Snif snif… Mélanchon se ridiculise complètement car le livre n’a jamais été interdit en France et est trouvable dans n’importe quelle librairie. Il est donc depuis toujours « accessible à n’importe qui ». Même Christian Ingrao, historien du système et chercheur au CNRS, a répondu dans Libération aux délires de notre Jean-Luc en lui faisant remarquer que « la recherche «Mein Kampf PDF» est la deuxième plus populaire quand on tape les premiers mots du titre dans Google, et il faut deux clics de souris pour y accéder ».  « Allez-vous écrire une lettre aux fondateurs de Google ? » ajoute-t-il avec humour. Quoi qu’il en soit, les Français n’en auront rien à cirer des délires du Jean-Luc et la réédition de Mein Kampfapparaît déjà comme un succès assuré.

    Hitlerix le gaulois nazi

    Les craintes de Mélanchon seraient-elles exactes ?  Les Bandes dessinées lues en France par petits et grands sont en effet bien troubles… Vous souvenez-vous d’Antoine Bunéo ? Ecrivain et chercheur de l'Institut d'Études Politiques de Paris (ce qui en dit long sur le sérieux de cette institution…), il avait « travaillé » sur les Schtroumpfs il y a quelques années. Sa thèse était la suivante : la société Schtroumpf « est un archétype d'utopie totalitaire, empreint de stalinisme et de nazisme». Il précisait ainsi ses idées sur les sympathiques petits bonhommes bleus :

    «Les Schtroumpfs vivent en autarcie, dans une société repliée sur elle-même et autosuffisante. Ils travaillent tous ensemble, pour la collectivité et ne connaissent pas la propriété privée. Enfin, ils sont dirigés par un chef unique et respecté: le grand Schtroumpf.»

    Le marxisme culturel passant son temps à feindre de voir le mal partout pour mieux salir et déconstruire tout ce qui lui paraît trop franchouillard, il devait bien traiter le cas d’Astérix ! Le petit Gaulois n’est-il pas blond ? Ne vit-il pas dans une société ethniquement homogène qui n’accepte pas les migrants ? Ne résiste-t-il pas à l’envahisseur ? C’en est trop, il est nazi, violent, drogué et hostile à la culture pour reprendre un autre génie à qui l’on prête le nom de philosophe :Michel Serres.

    Publié il y a quelques jours, le nouvel album d’Astérix, Le papyrus de César, permet une nouvelle fois à toute la lie antiraciste de s’acharner sur le petit héros. « Astérix est-il raciste ? » titre L’Express qui n’a pas peur du ridicule. Le principal problème est la manière dont les noirs y sont caricaturés (comme toutes les autres races) :

    Ils « sont dessinés dans la tradition classique néocolonialiste, à la façon de Hergé dans Tintin au Congo. En 2015, on peut s'interroger sur la pertinence d'une telle vision. »

    « Un constat: dans l'ensemble de la BD (NDLR : on parle ici d’Astérix chez les Pictes), les hommes noirs ont tous le même physique. La plupart du temps, ce sont des esclaves. Par ailleurs, un héros secondaire de la série, récurrent, le pirate Baba, chargé de guetter les bateaux depuis la hune, est doté d'un énorme accent africain - si l'on en juge par sa façon de ne pas prononcer les "R". Surtout, il ne sait pas lire. »

    Insupportable pour Lilian Thuram, imposteur se servant de l’antiracisme pour s’enrichir toujours plus (20.000 euros la conférence !). Insupportable également pour la Brigade Anti-Négrophobie pour qui "La représentation des noirs est toujours négative » dans Astérix. D’ailleurs, dans cette BD comme au cinéma : « On ne permet pas aux noirs de tenir des premiers rôles. Ils sont toujours des subalternes. »… Omar Sy appréciera !  

    Espérons toutefois que les sommités dont nous venons de parler nous permettront de mieux saisir le sens caché de toutes ces BD qui cachent bien leur jeu. Pensez aux Femmes en blanc où l’on présente des infirmières certainement inspirées par celles d’Auschwitz. Ou encore à Boule et Bill qui n’ont aucun ami coloré… et osez venir me dire que le ver n’est pas dans le fruit !

    Rüdiger/C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Bachar accuse la France de soutenir le terrorisme

    Le président syrien Bachar al-Assad a reçu trois députés français, Jean-Frédéric Poisson, Véronique Besse et Xavier Breton, hier pendant un peu plus d'une heure. A l'issue, il a accusé les pays occidentaux

    « dont la France de continuer de soutenir le terrorisme en donnant une couverture politique aux groupes terroristes en Syrie et dans la région ».

    Bachar al-Assad a jugé que

    « le terrorisme est la raison principale de la souffrance du peuple syrien, (...) ainsi que l'embargo imposé à la Syrie qui a influé d'une manière négative sur la vie des citoyens ».

    Jean-Frédéric Poisson a déclaré :

    « Le règlement de la situation politique syrienne passe nécessairement par un dialogue avec le président syrien qui est en place et qui est élu par le peuple syrien ». « Il n'appartient pas aux pays étrangers de décider qui doit diriger la Syrie, il appartient aux Syriens de décider ».

    Laurent Fabius devait s'entretenir mercredi avec son homologue russe Sergueï Lavrov sur la crise syrienne avant des pourparlers à Vienne vendredi. Pour la première fois l'Iran participera à ces pourparlers internationaux. 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 10 ans après les émeutes, n'oublions pas les victimes. Les vraies

    10 ans après les émeutes de banlieues, l'ensemble de la classe politico-médiatique ne semble se souvenir que de Bouna Traoré et Zyed Benna. Mais les victimes s'appellent en fait Le Chenadec et Irvoas :

    Z"Hier, 26 octobre, dix ans après les émeutes des banlieues, notre Premier Ministre réunissait aux Mureaux  un comité interministériel.

    C’est ainsi que nous avons pu le voir  accompagné de pas moins de  17 ministres et d’élus toutes écharpes tricolores dehors, marcher dans les rues  des Mureaux dans ce qui ressemblait  à une commémoration solennelle de ces événements qui ont sidéré le monde entier et dans lesquels une certaine presse étrangère voyait un conflit ethnique. [...]

    Alors en cette période d’anniversaire et à l’approche de la Toussaint, je voudrais combler un oubli de notre gouvernement. Bien involontaire, à n’en pas douter.

    Je voudrais rappeler le souvenir des deux vraies victimes. Je veux parler de Jean-Jacques le Chenadec et de Jean-Claude Irvoas.

    Qui sont-ils? Si vous les avez oubliés, vous avez des excuses, parce que ce sont les morts oubliés de ces événements, pire qu’oubliés, tus, escamotés, gommés.

    Alors pour rappel,Jean-Jacques le Chenadec, est cet homme âgé de 61 ans qui, à Stains, était descendu  en bas de son immeuble  parce que des jeunes mettaient le feu à des poubelles. Ils l’ont tué. Le meurtrier a été condamné à cinq ans de prison; il doit être libre à l’heure qu’il est.

    Jean-Claude Irvoas, 56 ans, a voulu prendre en photo du mobilier urbain, à Epinay-sur-Seine. Des trafiquants de drogue, croyant qu’il les prenait en photo, l’ont agressé. M. Irvoas, selon l’un des agresseurs, a prétendu être officier de police.Les quatre dealers l’ont achevé.

    A Clichy-sous-bois, on inaugure aujourd’hui une allée qui porte le nom des deux jeunes morts dans le transformateur. Il n’y aura pas de plaques commémoratives pour Jean-Jacques le Chenadec et Jean-Claude Irvoas.

    Une pensée pour les familles de ces deux hommes morts deux fois,  de l’incurie de l’Etat et de son silence. On préfère commémorer la jeunesse qui met la France à feu et à sang."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/10/10-ans-apr%C3%A8s-les-%C3%A9meutes-noublions-pas-les-victimes-les-vraies.html