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lobby - Page 1504

  • Abrogation de la loi Taubira : l’entrisme au sein des Républicains n’a pas porté ses fruits

    Tribune de maître Frédéric Pichon pour Boulevard Voltaire. Extrait : :

    "À supposer que l’abrogation de la loi Taubira soit l’alpha et l’oméga de l’engagement politique (...), force est de constater que l’entrisme au sein des Républicains n’a pas porté ses fruits sur ce sujet.

    Après les déclarations de Copé, puis le rétropédalage d’Estrosi, c’est maintenant Sarkozy qui vient d’annoncer qu’il ne reviendrait pas sur le mariage homosexuel après avoir dit le contraire devant des militants de Sens commun quelques mois auparavant, tout en précisant de manière cynique que cela « ne coûtait pas cher ».

    Certes, il fallait être bien naïf pour croire en la parole d’un homme qui a dit tout et son contraire depuis qu’il fait de la politique.

    Que vont-ils faire, maintenant ? S’accrocher à un Hervé Mariton (que Sens commun avait snobé en misant sur Sarkozy) ou un Jean-Frédéric Poisson qui, au moins sur ce sujet, ont le mérite d’être restés fidèles ? Sauf miracle, ces candidats à la primaire ne seront pas les candidats à la présidentielle. Les électeurs auront donc le choix entre un Juppé qui subventionne les associations LGBT dans sa ville et un Sarkozy qui vient de les trahir. La solution serait peut-être d’aller voir ailleurs.

    Marine Le Pen, en dépit de son absence aux Manifs pour tous, a toujours dit qu’elle abrogerait la loi Taubira et, à ce jour, elle est la seule présidentiable à rester fidèle à cette position. Alors pourquoi, en toute logique, ne pas franchir le Rubicon ?

    Je le dis sans haine : il y a un atavisme bourgeois au sein de cette frange conservatrice. On est abonné à Valeurs actuelles, on a lu le dernier Zemmour ou le dernier Villiers mais on continue toujours à rester un brave petit soldat des Républicains parce que le logiciel psychologique de cette famille de pensée ne permet pas de casser les « barrières mentales » dans lesquelles elle s’est enfermée.

    Il y a quelque chose qui relève de la conversion, dans ce franchissement de la ligne jaune. Nous avons affaire, ici, à des gens plutôt honnêtes et patriotes, mais quelque chose les retient encore : ils ont trop à perdre. Pourquoi la France des oubliés dont parle Christophe Guilluy dans Fractures françaises rejoint-elle en masse Marine Le Pen ? Parce qu’elle n’a plus rien à perdre. « À ceux qui n’ont plus rien, la patrie est le seul bien », rappelait Jaurès.

    Il faut parfois passer par un certain dépouillement, une certaine ascèse mentale pour acquérir une véritable liberté intérieure vis-à-vis du prêt-à-penser et des codes sociologiques. Peut-être seraient-ils inspirés d’aller à la rencontre de cette France qui souffre : les éleveurs affamés par une Union européenne dictatoriale, les ouvriers de l’Est et du Nord, leurs compatriotes qui tentent de survivre sur ces morceaux de territoire que la République a abandonnés au communautarisme et à un islamisme conquérant. Cette France-là n’a peut-être pas autant reçu que les militants de Sens commun. Mais elle a du bon sens, des valeurs – ce qu’Orwell appelait la décence commune.

    Alors peut-être que si cette rencontre s’opérait entre les classes populaires et cette frange conservatrice, en laissant les marchands du temple et les élites qui ont bradé la France sur l’autel de la mondialisation patauger dans leur mare de compromis et de trahisons, ils travailleraient véritablement pour le bien commun"

    Philippe Carhon

  • PROPAGANDE - "Nous sommes tous manipulés" selon un ancien officier de la DGSE

  • « Agressions de Cologne » ou le politiquement correct devenu fou

    Le silence médiatique et politique qui a d’abord succédé aux violences de Cologne le soir du 31 décembre, n’a pas fini de faire polémique. Et si l’une des causes était la dérive du politiquement correct ?

    Tartuffe n’était pas à Cologne la nuit du 31 décembre, mais, pendant quelques jours, policiers, journalistes, politiques ont tiré de leur poche son célèbre mouchoir pour se voiler la face. Comme si une consigne dictée par l’inconscient : « Couvrez ces viols que je ne saurais voir » avait eu raison quelques jours de la réalité. Rappelons rapidement les faits. Le soir du 31 décembre, à Cologne entre la gare et la cathédrale, la foule des fêtards découvre un phénomène crapuleux qui, dans les pays arabes, porte le nom de taharrush gamea, sorte de « harcèlement sexuel collectif ». Des centaines de femmes prises au cœur d’une terrifiante mêlée subissent attouchements, violences, viols. Le premier janvier au matin pourtant, nul, sinon les victimes, ne peut imaginer cette agression de masse. Sur l’air de « Tout va très bien, Mme la Merkel » la police de Cologne établit le bilan positif de la soirée. Silence radio chez les politiques et les journalistes. Les réseaux sociaux vibrionnent mais nul ne sait quel crédit leur apporter.

    Les plaintes cependant affluent et, en quelques jours, prennent des proportions impressionnantes (plus de 750 à ce jour dont 40 % pour agression à caractère sexuelle). « L’insécurité culturelle » (Laurent Bouvet) éclate au grand jour et emporte tout avec elle : la télévision publique fait son mea culpa, la chancelière est l’objet d’attaques venant de toute part, Henriette Reker, maire de Cologne, ajoute l’absurde au tragique en recommandant aux femmes de sa ville de se tenir à un bras tendu des réfugiés. Cette irruption du réel ébranle les plus grandes certitudes. Les réseaux sociaux charrient le désarroi des manichéens qui avaient tracé à jamais la ligne qui sépare le Bien du Mal. On se raccroche désespérément à la branche de l’analogie historique : « Entre avril et septembre 1945, deux millions d’Allemandes violées par des soldats. La faute à l’islam ? » tweete l’élue communiste Clémentine Autain. Ou à celle des causes sociales : « Les jeunes migrants ont connu chômage et misère culturelle » explique Thierry Pech, le patron de Terra Nova à l’émission « Esprit public ». [....]

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Agressions-de-Cologne-ou-le

  • La Manif pour tous a encore frappé

    Les opposants au mariage homosexuel se font une place dans le paysage électoral et témoignent d'une vraie capacité de représailles à l'égard de ceux qui ont trahi leur camp.
    Le bruit qui a entouré les dernières élections régionales, ayant surtout porté sur le Front national, a occulté un fait qui touche d’abord « les Républicains » mais qui a une portée plus large : l’échec de Dominique Reynié, que ce parti avait désigné comme tête de liste dans la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées et qui, avec 18,8 % au premier tour, a réalisé le plus mauvais score des Républicains en France.
    Professeur à Sciences Po Paris et président de la Fondation pour l’innovation politique, Reynié avait consacré la première année de son mandat à la tête de cette fondation de droite (2005) à organiser un colloque en faveur du mariage des homosexuels, ce qui avait facilité son introduction sur les plateaux de télévision. Puis il avait pris parti pour la GPA, proposant seulement de l’encadrer. Il s’était aussi manifesté comme un fervent partisan de l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne.

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  • 17 septembre 2016 : marche pour la vie à Berne en Suisse

    Samedi 17 septembre 2016, 14h30, Berne, Place fédérale.

    Michel Janva

  • Le 21 janvier 1793…

    fut guillotiné un homme intelligent, très cultivé (à son époque, il était l’un des rares Français à écrire sans truffer ses textes d’une multitude de fautes d’orthographe et un grand connaisseur des choses maritimes, de l’histoire antique et moderne, de la géographie physique et humaine), par ailleurs excellent époux et père, pieux au-delà du raisonnable et même fort peu dépensier (contrairement à son épouse) : Louis XVI, passé du statut de roi de France et de Navarre à celui de roi des Français (1791), « restaurateur des libertés » (1790).
    Il avait parfaitement mérité le sort que lui réserva la Convention Nationale ! Cet excellent homme était un faible, un irrésolu, incapable de diriger un État et de réprimer l’agitation de quelques privilégiés (1787-1788), puis celle de quelques dizaines d’intrigants, œuvrant pour son très ambitieux et très lâche cousin (1788-92), enfin l’embrouillamini créé à dessein par quelques centaines d’excités avides de sensations fortes, de publicité, de places et de richesses.
    Quand l’on est insuffisant pour la fonction que l’on occupe, pour la tâche échue par naissance ou par élection, la sagesse commande de se retirer en faveur d’un plus apte. C’est une « leçon de l’histoire » que certains de nos contemporains feraient bien de méditer.
    Car s’il est facile de « colérer le peuple » (c’est une expression empruntée à un expert : Maximilien Robespierre, qui – comme messieurs Danton, Marat et bien d’autres – avait usurpé la particule avant de se faire appeler « citoyen »), il est beaucoup plus malaisé de le faire réintégrer sa tanière.

    Docteur Bernard Plouvier

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVFVFFuVAdUosyGDO.shtml

  • La mèche est allumée

    TP_66_couverture.jpgLes hommes du Système ont eu chaud aux fesses. Gauche et droite ont révélé, de façon particulièrement spectaculaire en Nord-Pas de Calais-Picardie et en PACA, leur connivence profonde, avec le seul souci de sauver leurs prébendes (c’est ce qu’ils appellent « sauver la République »…).
    Leur victoire est une victoire à la Pyrrhus : le quotidien La Provence (14 décembre) est obligé, la mort dans l’âme, de reconnaître que « le paysage politique ressemble bien à un champ de ruines ». Mais nous, nous sommes les hommes au milieu des ruines…
    Les chiffres sont là : le Front National, en rassemblant 6,82 millions de voix, passe de 118 à 358 conseillers régionaux. Et, quand on regarde de près les résultats, on voit se dessiner des réalités de terrain. Ainsi, dans le département des Alpes de Haute-Provence, Marion Le Pen est en tête dans 54 communes. Cela signifie que le secret des futures réussites est dans l’ancrage territorial, local. Avec la perspective de prendre des mairies et de tisser des réseaux efficaces.
    Mais le plus important n’est sans doute pas là. Il est dans les perspectives qui s’ouvrent pour ceux qui, comme nous, considèrent les enjeux électoraux comme de simples leviers destinés à contribuer – mais seulement à contribuer – à faire s’écrouler le Système. Cet écroulement deviendra possible quand, dans les têtes, aura progressé la mentalité révolutionnaire (on ne discute pas avec le Système, on le détruit).
    L’essentiel est la conquête culturelle des esprits, qui prépare, comme l’enseigne Gramsci, la conquête politique. De ce point de vue là, nous sommes sur la bonne voie et les moins stupides des gens d’en face le savent fort bien (c’est même ce qui les inquiète le plus). A nous d’enfoncer le clou.
    En clair, le sentiment de frustration né de la déception d’une victoire volée doit déboucher, chez les électeurs du FN, sur une prise de conscience allant dans le sens d’une radicalisation, totale et irrémédiable. Radicalisation des convictions, radicalisation des projets. Qui permette d’en finir, enfin, avec l’illusion que la droite peut sauver quoi que ce soit dans le naufrage d’une société que nous sommes en train de vivre. Marion Le Pen, cette frêle jeune femme qui a révélé qu’elle était en acier trempé, a bien résumé la situation en déclarant : « Ils ont gagné une élection mais ils ont perdu leur âme (…) Il y a des victoires qui font honte au vainqueur (…) Ces régions que la gauche a fait gagner à la droite est un cadeau empoisonné (..) S’ils pensent nous effrayer, nous décourager, ils se trompent… Nous allons redoubler d’efforts et de combativité ».
    Alors que le chômage, la misère, l’insécurité, l’immigration-invasion vont continuer, immanquablement, à répandre toujours plus leurs ravages, il n’est plus temps de faire la fine bouche sur l’impératif de l’engagement car il existe, clairement, désormais en France, deux camps et seulement deux : les agents (et les victimes consentantes, bêlantes) du Système et les Patriotes. Quand l’ennemi est là, dans nos murs, nous ne sommes pas du genre à couper les cheveux en quatre et à discuter du sexe des anges. C’est pourquoi nous marchons au son du canon.

    Pierre Vial 

    http://www.terreetpeuple.com/terre-et-peuple-magazine-communaute-6/571-terre-et-peuple-magazine-n-66-hiver-2015/1371-editorial-tp-mag-n-66.html

  • Oskar Freysinger : « On ne peut pas faire venir un millions d’étrangers comme Mme Merkel et croire que tout va bien aller » – référendum sur l’expulsion des criminels étrangers le 28 février

    La suisse est un pays souverain , la cours européenne doit donc être soumise au droit suisse selon l’élu. Le référendum sur « l’Initiative populaire fédérale sur le renvoi des étrangers criminels « qui aura lieu le 28 février en Suisse à l’initiative du parti UDC dont Oskar Freysinger est le vice-président, est l’objet principal de cette interview, elle fait suite à la précédente initiative de l’UDC sur le renvoi des étrangers criminels qui fut adoptée en 2010. Elle est combattue par une écrasante majorité des formations politiques, de la gauche à la droite. Mais cette opposition n’effraie visiblement pas l’UDC. Ancien conseiller national, le conseiller d’Etat valaisan Oskar Freysinger est vice-président de l’UDC Suisse.

    Le côut des  prisonniers étrangers (73% de des prisonniers) coûtent 730 millions par an de Francs suisses. Une loi qui est différente de la déchéance de nationalité qui va être débattue en France, car elle ne concerne pas les bi-nationaux qui ont un passeport suisse. Car elle concerne l’expulsion automatique des criminels étrangers coupables de faits graves. Avec cette procédure cela concernerait le renvoi de 10 000 étrangers par an dans leur pays respectifs.

    freysinger

  • Nicolas Sarkozy dit avoir « réfléchi » : soit c’est un gros mensonge, soit c’est une preuve supplémentaire de légèreté

    Tugdual Derville a accueilli sans surprise le revirement de Nicolas Sarkozy :

    "[...] Rappelons que, le 15 novembre 2014, Monsieur Sarkozy s’était engagé clairement, d’abord à « réécrire » cette loi, puis, cédant à la foule réunie par le mouvement Sens commun, à l’abroger. Mais, ce jour-là, il avait usé d’une formule un brin méprisante, révélatrice d’un état d’esprit versatile : « Si vous préférez qu’on dise qu’on doit l’abroger pour en faire une autre (…), si ça vous fait plaisir, franchement, ça coûte pas très cher ». Il faut lire entre les lignes.Dans ce contexte le mot « franchement » signe l’absence de sincérité. L’orateur entendait séduire, voire acheter l’adhésion « pas très cher ». Ce n’était ni le discours d’un homme de conviction, ni celui d’un homme de parole.

    Nicolas Sarkozy dit avoir « réfléchi »…

    Argument facile. Soit c’est un gros mensonge, soit c’est une preuve supplémentaire de légèreté. Je crois surtout que, comme tant d’autres leaders surannés, l’ancien président n’a rien compris à ce qui monte depuis 2012, ce puissant courant d’écologie humaine attaché aux repères anthropologiques. Comme François Hollande, il occulte la cause des enfants. Dans leur guerre de nombrils, les politiques recherchent la « posture » qu’ils croient la plus favorable à court terme. Les yeux rivés sur la concurrence, ils oublient le service du bien commun. Entretenir le flou reste un mauvais calcul à long terme… L’argument utilisé pour le retournement de veste (« Il ne sera pas question de démarier les mariés et de revenir en arrière ») n’est pas pertinent. M. Sarkozy cède à la dialectique de l’inéluctabilité utilisée par le lobby LGBT. C’est la loi Taubira qui est régressive. Des juristes – ceux de l’Institut Famille et République récemment – ont étudié comment abroger ou réécrire cette loi, pour protéger l’enfant. Au lieu de les suivre, Nicolas Sarkozy se laisse féliciter par Laurence Rossignol… En reniant sa parole, il joue contre son camp. L’impact est désastreux.

    N’est-ce pas un camouflet pour ceux qui l’ont alors cru ?

    Devant Sens commun, Nicolas Sarkozy était en campagne pour la présidence de l’UMP. Au jeu de la barbichette, la question était : qui tient qui ? Peu de participants furent dupes. Qui peut ignorer que les promesses politique de campagne sont devenues des attrape-mouches jetables ? La perte de crédit de la parole politique est telle que les Français sont habitués aux sincérités successives. Elles alimentent leur mépris pour les partis et leurs chefs. Les citoyens regardent ces derniers comme des acteurs plus que comme des hommes d’État. On raffole des joutes comme on aime le jeu. On assiste au spectacle sans croire à la chanson.

    Que faut-il faire pour ne pas désespérer ?

    Bien sûr, ne pas se laisser abuser par « La France pour la vie », et autres balivernes hypnotiques en forme de déclaration d’amour. Ensuite, renoncer à la quête éperdue du leader providentiel. Dans notre pays, elle gaspille une énorme énergie. Une maxime de Confucius nous aidera à écarter les inconstants et les inconsistants : « Si un homme sait se gouverner lui-même, quelle difficulté aura-t-il à gouverner l’État ? Mais celui qui ne sait se gouverner lui-même, comment pourra-t-il gouverner les autres ? » Enfin, sans attendre un sauveur chez nos contemporains, continuer la construction de cette « polis parallèle » que décrivait le dissident Tchécoslovaque Vaclav Benda. Tisser des liens et prendre des initiatives de terrain, humanitaires, sociales et culturelles, fondées sur une véritable anthropologie, c’est notre réponse aux démolisseurs de tout poil qui continuent de saper les fondements de la vie en société. Telle est la véritable politique capable d’établir ce que Vaclav Havel nommait « la vie dans la vérité »."

    Michel Janva

  • Marion Maréchal -Le Pen : "Quel est le sujet sur lequel Nicolas Sarkozy n'aura pas trahi ?"

    Philippe Carhon