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lobby - Page 1501

  • Le jihadiste Ahmad Almohammad a été aidé par des « bénévoles » français pro-migrants

    Le kamikaze a été accueilli à terre en Grèce et a reçu de l’aide et des vêtements par des Français de Médecins Sans Frontières.

    L’article complet du journal « The Sun » : Un des kamikazes a été aidé sur l’île grecque et habillé par des bénévoles français avant de faire son chemin à travers l’Europe.

    Via FDS

    http://www.contre-info.com/

  • De Jean-Marie à Manuel : la sécurité, première des libertés

    Ne pas revenir sur la politique migratoire, alors que trois des huit terroristes "se sont glissés" parmi les migrants, fait sérieusement douter de la sincérité de Manuel Valls.
    En 2011, Manuel Valls publiait son livre Sécurité : la gauche peut tout changer. Et, s’il écrivait trouver « toujours un peu creuse » l’opposition entre « sécurité et liberté », il brocardait cependant ceux qui tentaient « d’échapper à ce piège idéologique en affirmant, rapidement, que la sécurité est la première des libertés ».
    Stupeur ! Quatre ans plus tard, ce 19 novembre, à l’Assemblée nationale, Manuel Valls devenu Premier ministre reprend la formule à son compte et, même, la martèle devant les députés. Les socialistes au pouvoir, après six attentats commis sur notre sol en moins d’un an, prendraient-ils enfin conscience des limites de leur idéologie libertaire ? Ou ne serait-ce pas là, aussi, et peut-être avant tout, une formidable occasion de lancer un slogan de tout temps particulièrement payant au plan électoral ?

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  • Un professeur de l’IUT de journalisme de Lannion compare les terroristes djihadistes aux militants anti-IVG

    Suite aux attentats, un débat était organisé entre environ 130 élèves d’Info-Com de l’IUT de Lannion – une filière dont l’une des options prépare de futurs journalistes et leurs professeurs.

     

    Parmi les propos rapportés par le quotidien régional Ouest-France, l’on relève cette question d’une élève sur le traitement de l’information : Comment faire pour que les Arabes ne se sentent pas stigmatisés ? » Enseignante-chercheuse de l’IUT, Béatrice Damian-Gaillard lui fait alors cette réponse pour le moins étonnante : « Parce que vous, on ne vous demande pas de vous prononcer chaque fois que des catholiques intégristes font un mouvement anti-IVG », l’appelant ensuite à réfléchir à qui il convient de donner la parole.

    Comme le relève le journal régional indépendant Breizh Info, le parallèle fait par l’enseignante est choquant, puisque les anti-IVG n’ont jamais tué personne en France : « Mme Damian-Gaillard a sans doute oublié de rappeler à ses élèves que l’intégralité des attentats terroristes ayant tué des centaines d’individus en France ces 20 dernières années ont été perpétrés par des individus de confession musulmane et pas du tout catholique ».

    Au cours du même débat, un autre professeur, Pierre-Yves Bulteau insistait sur le fait que « la prise de recul, c’est aussi de réfléchir à qui on donne la parole quand on est journaliste ». Aux propos de ce militant de gauche assumé dont les engagements oscillent du catholicisme social au parti communiste, on pourrait rétorquer que la prise de recul consiste aussi à réfléchir et à rester neutre et objectif plutôt de faire des parallèles maladroits et biaisés. Probablement trop difficile pour ce journaliste qui ne cache pas ses opinions, mais qui a théoriquement la dure tâche d’apprendre à ses élèves l’objectivité et la neutralité… Inutile donc de s’étonner de la crise de confiance dans les médias du système qui perdure, et qui ne surprend que ceux qui en font partie : le ver est dans le fruit depuis le stade de la formation. [....]

    La suite sur L’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Un-professeur-de-l-IUT-de

  • Paris, 13 novembre 2015 : la plus grande boucherie perpétrée sur le sol de France depuis la Seconde Guerre mondiale est halal

    Ces attentats sanglants ont fait, selon un bilan encore provisoire, 130 morts et 351 blessés, jeunes pour la plupart. Rappelons-en brièvement la chronologie.

    Vendredi 13 novembre, à 21 h 20, aux abords du Stade de France pendant la première mi-temps du match amical de football France Allemagne, un terroriste actionne sa ceinture d’explosifs, tuant une personne. Cinq minutes plus tard dans le Xe arrondissement de Paris, les terrasses d’un bar et d’un restaurant sont mitraillées à la Kalachnikov : 15 morts, 10 blessés dans un état grave. À 21 h 30, de nouveau aux abords du Stade de France, un nouveau kamikaze actionne sa ceinture d’explosifs. Dans les minutes qui suivent, des tirs éclatent successivement à deux endroits dans le XIe arrondissement : 5 morts, 17 blessés graves. Puis un autre kamikaze se fait exploser boulevard Voltaire.

    Vers 21 h 40, le Bataclan devient à son tour le théâtre d’un carnage. Une voiture se gare devant la salle de concert. Quatre hommes en sortent, pénètrent dans la salle de spectacle et tirent sur les spectateurs depuis le balcon intérieur de l’établissement : 89 morts et des centaines de blessés. D’après certaines sources policières, certaines victimes auraient été égorgées. Le journal Le Parisien rapporte que les terroristes ne visaient que les blancs. À minuit vingt, la police donne l’assaut. Les terroristes se font alors exploser.

    L’enquête a mené à plusieurs arrestations en Belgique dans le quartier bruxellois de Molenbeek, totalement ethnicisé depuis de nombreuses années, et à une arrestation en Allemagne. Trois personnes ont été mises en garde à vue à Toulouse et une perquisition a eu lieu à Bobigny. Plusieurs terroristes ont la nationalité française. Omar Ismael Mostefai est l’un des kamikazes du Bataclan. Il faisait l’objet depuis 2010 d’une fiche « S » (Sûreté de l’État) pour radicalisation. Il a été condamné 8 fois entre 2004 et 2010 pour des infractions de droit commun, mais sans jamais aller en prison, ce qui prive les journalistes du système de l’un de leurs arguments favoris : « c’est la prison qui radicalise ». Bilal Hadfi est l’un des kamikazes du Stade de France et Ibrahim Abdeslam celui du boulevard Voltaire.

    Deux autres terroristes, les frères Ahmed et Mohammed Almuhamed, sont arrivés de Syrie profitant de l’afflux de clandestins. Ce sont les autorités grecques qui l’ont révélé dès dimanche : ils ont rejoint l’île grecque de Lesbos, les 3 et 4 octobre avant de passer par la Serbie. Dans un communiqué publié hier soir, le parquet de Paris confirmait ces révélations.

    Ces attentats ont été revendiqués dès le lendemain par l’État islamique. Les raisons de ces attaques sont clairement énoncées. Le Bataclan était bien visé comme lieu de perversion. Il faut dire que, lorsque le carnage a commencé, le groupe « Eagles of Death Metal » jouait « Kiss the Devil ». Moralité : quand on invoque Satan, il finit toujours par arriver. Mais la France était aussi attaquée parce qu’elle est considérée comme la première des nations chrétiennes. Dans la rhétorique islamique, nous sommes les « croisés ». Un terme qui devrait galvaniser l’énergie et la fierté des Français s’ils n’étaient hélas endoctriner à mépriser leur histoire, entre autres la glorieuse épopée des Croisades.

    Sur le site Atlantico, le criminologue Xavier Raufer voit dans l’État islamique une force mercenaire. « Pour le compte de qui frappe-t-elle ? » s’interroge-t-il. Jeudi, à ce même micro, le journaliste et écrivain Gilles Varange n’hésitait pas à évoquer un « Pearl Harbor français », en référence au cynisme criminel avec lequel Roosevelt a forcé le peuple américain, ultra-isolationniste, à rentrer en guerre contre l’Allemagne.
    L’état d’urgence reconduit de trimestre en trimestre au gré de probables futurs attentats, autorise le gouvernement à aller fouiller dans les mails, SMS et disques durs de tout un chacun, sans autorisation de la justice. Du pain bénit pour nos socialistes, gavés d’argent qatari si l’on en croit Philippe de Villiers, pour régler son compte au mouvement patriote. On se souvient que peu de temps avant les attentats, Valls avait déclaré que tout devrait être fait pour empêcher le Front national d’accéder au pouvoir. « Oui, avait-il martelé, je dis bien : tout devra être fait ». Les mots ont un sens…

    Un des terroristes identifiés avait déjà été mis en examen dans un dossier lié au terrorisme. Sami Amimour, né sur le territoire français, avait été mis en examen en 2012 pour « un projet de départ avorté vers le Yémen ». Il n’avait pas été incarcéré. Rappelons le tweet du Premier ministre cet été « Loi renseignement : la France a désormais un cadre sécurisé contre le terrorisme et respectueux des libertés. C’est un progrès décisif ! » s’enflammait-il. Sacré progrès, en effet…

    Mercredi, à 4 h 20, le RAID déclenche un assaut contre un appartement où était retranché Abdelhamid Abaaoud, considéré comme l’instigateur des attentats. Il est abattu par les policiers du RAID, avec deux autres terroristes, dont sa cousine, Hasna Aït Boulahcen. Ce sont, semble-t-il, les services marocains qui ont mis la police française sur la piste de l’appartement de Saint-Denis. Commentant l’événement hier sur LCI, Marine Le Pen a salué l’efficacité et le courage de nos forces de police, mais dénoncé l’échec total du gouvernement : Abaoud était considéré comme l’un des terroristes les plus dangereux. Il était activement recherché sur tout le territoire européen. Or il vaquait en toute liberté sur le territoire national, ses déplacements étant grandement facilités par l’absence de frontières.

    Pour la présidente du Front National, il est urgent de sortir de cette folie meurtrière que sont les accords de Schengen. Quand le journaliste aux ordres croit devoir souligner que près de 300 perquisitions ont eu lieu depuis les attentats, Marine Le Pen lui fait remarquer que, sur 12 700 individus ayant une fiche « S », 6 000 sont considérés comme « très dangereux ». Il aurait donc dû y avoir au minimum 6 000 perquisitions. Marine Le Pen a également brocardé le numéro vert et le site Internet stop-djihadisme.gouv.fr qui furent les seules réponses du gouvernement après les attentats de Charlie Hebdo. C’est au prix fort que le pouvoir fait payer aux Français son incroyable complaisance envers l’islamisme et l’islam.

    Alors que la presse du système a toujours nié les liens entre islamo-terrorisme et filières d’immigration de clandestins, Manuel Valls passait jeudi aux aveux dans le « 20 heures » de France2. À propos des auteurs des attentats sanglants de vendredi avant-dernier, il déclarait : « Ces individus ont profité de la crise des réfugiés (…) de ce chaos, peut-être, pour, certains d’entre eux, se glisser ». Comprendre : « se glisser en France et en Europe ».

    Le Premier ministre en personne reconnaissait ainsi que l’action de son gouvernement avait eu pour conséquence de faire entrer des troupes djihadistes sur notre sol. Le carnage du Bataclan est donc de sa responsabilité directe. Valls a également avoué ne pas savoir « Si des groupes, des individus, qui sont directement liés à l’attaque de vendredi soir sur Paris, sur Saint-Denis » étaient encore actifs. Ajoutant : « Nous ne le savons pas encore. On peut l’imaginer. Et c’est la raison pour laquelle la menace est toujours présente et va être longue et permanente ».

    Dans un entretien que vient d’accorder Bernard Squarcini à l’hebdomadaire Valeurs Actuelles, l’ancien directeur central du renseignement intérieur affirme, « Il y a deux ans, les services syriens m’avaient proposé une liste des Français combattant en Syrie. J’en avais parlé à mon ancien service qui en a rendu compte à Manuel Valls. (…) On m’a opposé un refus pour des raisons idéologiques ». Au vu des attentats du 13 novembre, le refus de Valls d’obtenir du gouvernement syrien ces informations capitales est donc proprement criminel.

    Rappelons également les propos sidérants du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve en août 2014 sur RTL : « Prôner le djihad n’est pas un délit », ou encore celles de La Garde des sceaux Christiane Taubira, déclarant toujours : « Comprendre ces jeunes qui partent en Syrie faire le djihad ». C’est l’ensemble du gouvernement qui a du sang sur les mains. Ce qui n’a pas empêché l’Élysée d’annoncer, jeudi, l’arrivée de 30 000 nouveaux clandestins dans notre pays au cours des deux prochaines années. Une décision aberrante et criminelle.

    Le gouvernement se prépare à des attaques chimiques. L’annonce est passée quasiment inaperçue dans la confusion des événements de la fin de semaine dernière. Le JO du dimanche 15 novembre publie un arrêté ministériel en date du samedi 14, encadrant les mesures à prendre « En cas d’exposition d’un nombre potentiellement important de victimes à des neurotoxiques organophosphorés ». Rappelons que les « neurotoxiques organophosphorés » sont les agents actifs des gaz de combat de type sarin ou VX.

    Selon le Centre d’analyses du terrorisme, l’État islamique dispose d’un patrimoine de quelque 2 260 milliards d’euros et d’un budget annuel de 2,6 milliards d’euros. Il contrôle un territoire grand comme la moitié de la France, à cheval sur l’Irak et la Syrie. Pour plus de 60 % de son budget annuel, il tire ses richesses de son territoire : pétrole, gaz, phosphate, blé, orge et coton. Ces matières premières sont écoulées vers le reste du monde avec la complicité de la Turquie, soutien essentiel du terrorisme musulman avec le Qatar et l’Arabie Saoudite, par ailleurs alliés officiels des gouvernements occidentaux dans leur lutte contre l’islamisme…

    Les Français ne doivent plus compter sur leur armée pour les défendre. Dans son livre « La Dernière Bataille de France », le général Vincent Desportes se livre ainsi à un terrifiant réquisitoire. « Les Français croient être protégés, ils ne le sont plus… Les armées françaises n’ont jamais été aussi fragiles (…) Un avion sur deux ne peut décoller, un navire sur deux ne peut prendre la mer, un char sur deux ne peut plus rouler, quatre hélicoptères Tigre sur cinq ne peuvent prendre l’air ».

    Depuis 1990, en euros constants, le budget de l’armée a baissé de 20 %. En 2014, la France ne consacrait plus à son outil de défense que 2,2 % de son budget, un minimum historique, contre 3,5 % pour les États-Unis et 4,5 % pour la Russie. La loi de programmation militaire, décidée en 2013 par François Hollande, fixait un objectif de 34 500 postes à supprimer entre 2014 et 2019, s’ajoutant aux 45 000 déjà supprimés au cours de la précédente LPM du quinquennat Sarkozy. En tout, une saignée de quelque 80 000 postes.

    Chiffre qui se réduit à 61 500 compte tenu des dernières mesurettes décidées en la matière par François Hollande. Le compte n’y est évidemment pas. En termes de destruction de notre outil de défense, « Républicains » et socialistes font donc rigoureusement la paire. Rappelons que, sous son quinquennat, Nicolas Sarkozy a également supprimé 12 500 postes de policiers, et 2 000 de douaniers. Ce ne sont pas les 1 000 postes rétablis par Hollande qui changeront la donne.

    Impossible, amis auditeurs, de faire le point sur tous les aspects de ces actions terroristes. De par la folie immigrationniste du Système depuis l’après-guerre, des milliers de djihadistes sont désormais présents sur notre sol : ces attentats ne sont donc ni les derniers, ni les pires. « Vous avez voulu une société multiculturelle avec cent nationalités ? Eh bien, vous avez la guerre ! » Un constat sans appel signé Eric Zemmour.

    http://fr.novopress.info/

  • Attentats de Paris : Requiem pour la gauche

    Les horribles attentats de Paris auront sans doute pour effet durable, cette fois, d'achever ce qu'il peut rester de (la moins en moins) hégémonique pensée de gauche dans notre pays. Toujours dominante dans les sphères de pouvoir, en particulier dans les médias qui en sont le miroir, cela fait déjà un moment qu'elle se consume chez les gens ordinaires. Eric Zemmour a beau s'attirer toujours plus les foudres de ses collègues, son dernier ouvrage (Le suicide français) s'est vendu comme des petits pains, atteignant un succès que BHL et consorts ne pourront jamais prétendre ne serait-ce qu'effleurer...

    Ce retour du réel, violent et macabre, signe en réalité l'acte 2 de l'effondrement idéologique de la gauche. Quel en était l'acte 1 ? Ce fut le renoncement au socialisme et même, au fil des ans, à la régulation du capitalisme devenu mondialisé et prédateur. Ce fut le grand tournant par lequel on proposa aux classes populaires les secours de l'Etat Providence plutôt que le travail et la réduction des inégalités économiques. Avec un résultat flamboyant qui consista à faire migrer progressivement les classes populaires du communisme vers le Front National. L'Histoire retiendra que le plus fou ne fut pas tant ce retournement que le mépris avec lequel la nouvelle gauche l'accueillit. Hier héros mythique du grand soir à venir, le prolo devint en l'espace de deux décennies le beauf, voire le facho, qu'il était de bon ton d'accabler. Ce fut l'heure de Terra Nova, des (inépuisables) combats de société, de l'antiracisme tonitruant (en réalité, de la xénophilie antifrançaise), de la lutte contre toutes les formes de discrimination, de l'art comme étendard de la branchitude et, bien sûr, de l'Europe marchande et monétaire sur fond de banalisation de la France dans un monde unipolaire.

    Et voilà que survient désormais, avec les attentats de Paris, l'acte 2 de la chute, par lequel les bobos vont cesser d'exercer leur hégémonie intellectuelle sur les classes moyennes. On essaiera encore, bien sûr, de faire passer les terroristes djihadistes pour des fous, sans lien véritable avec l'Islam. On tentera de nous faire le coup de la pathologie, de personnes mentalement fragiles qui se radicalisent et qu'il serait possible de "déradicaliser" (on attend de voir ça). On masquera le fanatisme religieux dont on ne prononce pas le nom pour lui préférer un vocable médical. On entendra toujours parler de laïcité "ouverte" ou "positive" et je parie même que nous subirons encore les mises en garde contre les "amalgames" pour éviter de nommer clairement les choses (à savoir le retour du religieux sur fond de ressentiment identitaire et social dans la société française par le truchement d'une religion importée, l'Islam). Tout cela ne nous sera pas épargné. Mais, contrairement à ce qui s'est passé à la suite du massacre de l'équipe de Charlie Hebdo, ça ne prendra plus. L'idéologie du multiculturalisme et du respect des différences qui tient lieu de pensée de substitution à la gauche contemporaine a vécu parce qu'elle n'apparaîtra plus comme une possible solution, mais comme un pas de plus vers la dissolution de la communauté nationale.

    Aussi, quand au renoncement d'un idéal fondateur (le socialisme) vient s'ajouter un aveuglement politique radical sur fond de bétise crasse (la traque du racisme dans une société qui ne fait qu'accueillir et s'ouvrir depuis quatre décennies), l'issue est inévitable. Elle a pour noms la défaite, la débandade, la chute. Et, à moins d'une révolution copernicienne initiée rapidement en son sein, la gauche n'évitera pas désormais ce funeste destin à laquelle sa constante bêtise, et sa morgue insolente, l'auront conduite. Le plus ironique, et le plus redoutable aussi, est qu'il n'est pas impossible que la fameuse "droitisation" tant et tant combattue ces 30 dernières années (la "lepénisation des esprits") alors qu'elle n'était largement qu'un épouvantail, devienne à présent réalité. Car enfin, quand nous nous réveillerons de l'horreur qui vient de nous abasourdir, qui peut savoir si l'inévitable basculement idéologique fera émerger un nouveau patriotisme républicain ou bien si nous assisterons au triste spectacle de luttes ethniques ? Combien tragique serait alors une telle ironie, qui verrait une sorte de retour aux années 30 issu des entrailles même d'une pensée de gauche mortifère...

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/attentats-de-paris-requiem-pour-la-174406

  • Crèches interdites : « Moins de christianisme, plus de laïcisme, la pire réponse aux attentats »

    L’abbé Pierre-Hervé Grosjean réagit aux recommandations sur la laïcité de l’Association des maires de France.

    Notre pays vient d’être marqué par les attentats les plus dramatiques de son histoire. Les barbares de l’Etat Islamique ont déclaré la guerre à la France. Ils rassemblent dans une même haine notre culture, notre liberté, notre art de vivre, notre démocratie… mais aussi, si nous prenons le temps de lire leur revendication, la foi chrétienne qui est indissociable de l’histoire et de l’identité de notre pays. Paris, « capitale qui porte la bannière de la croix en Europe » était visée, au cœur d’un pays de « croisés ». Les mots sont clairs.

    Moins d’une semaine après, l’AMF - Association des Maires de France - que préside M.Baroin, sort un « Vade mecum sur la laïcité », qui se veut être le fruit d’une réflexion suite aux attentats de janvier. Or que propose ce document comme réponse à ces attaques islamistes ? Concrètement, s’il fallait résumer, ça tiendrait en quelques mots : « Moins de christianisme, plus de laïcisme ! ».

    Ainsi l’AMF veut faire disparaître une fois pour toute les crèches de Noël dans tout les bâtiments publics (p.16). Ces crèches constituent sans doute un danger pour le « vivre ensemble »… Mais comme les derniers jugement rendus au tribunal ont reconnu que ce n’était pas le cas, l’AMF veut une nouvelle loi ! L’AMF insiste par ailleurs pour que les élus adoptent une neutralité personnelle radicale lors des offices religieux (p.14). Un élu qui fait le signe de croix ferait donc trembler la république ? Mais l’AMF ne s’arrête pas là. A la même page, voici déjà un autre danger à contrer : les « entorses à la laïcité » quand les élus soutiennent des manifestations traditionnelles, mais qui ont gardé un sens spirituel : processions, baptême de navires, etc… Même si tout cela est accompagné de festivités ou de propositions culturelles ! Pensez à la Fête des Lumières du 8 décembre à Lyon…Voilà… traquez le religieux, traquez ces vieilles traditions chrétiennes, même populaires et culturelles. Et encore, je vous passe les consignes sur la programmation musicale (p.14 : pas trop d’œuvres d’inspiration chrétienne…) ! [....]

    La suite Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Creches-interdites-Moins-de

  • La France doit des excuses au Front national

    Il n’y aurait jamais eu de Bataclan si Jean-Marie Le Pen avait été élu président de la République en 2002.
    François Hollande amorce un virage sécuritaire et la droite applaudit. C’est sans doute une bonne nouvelle, mais d’un genre de bonnes nouvelles dont on ne peut que se lamenter. Car dans l’absolu, donc dans un monde imaginaire, ce que les députés de droite auraient dû faire au Congrès, ce n’est pas applaudir François Hollande, c’est au contraire lui tourner le dos et s’adresser à madame Marion Maréchal-Le Pen pour lui présenter leurs excuses.
    La France doit en effet des excuses au Front national, car c’est bien trente ans de diabolisation du FN qui ont jeté les bases du drame du Bataclan. Petit rappel:
    – Il n’y aurait jamais eu de Bataclan si les flux migratoires, dès 1981, avaient été strictement maîtrisés.
    – Il n’y aurait jamais eu de Bataclan avec 30.000 places de prison supplémentaires.

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  • La France doit des excuses au Front national

    Il n’y aurait jamais eu de Bataclan si Jean-Marie Le Pen avait été élu président de la République en 2002.
    François Hollande amorce un virage sécuritaire et la droite applaudit. C’est sans doute une bonne nouvelle, mais d’un genre de bonnes nouvelles dont on ne peut que se lamenter. Car dans l’absolu, donc dans un monde imaginaire, ce que les députés de droite auraient dû faire au Congrès, ce n’est pas applaudir François Hollande, c’est au contraire lui tourner le dos et s’adresser à madame Marion Maréchal-Le Pen pour lui présenter leurs excuses.
    La France doit en effet des excuses au Front national, car c’est bien trente ans de diabolisation du FN qui ont jeté les bases du drame du Bataclan. Petit rappel:
    – Il n’y aurait jamais eu de Bataclan si les flux migratoires, dès 1981, avaient été strictement maîtrisés.
    – Il n’y aurait jamais eu de Bataclan avec 30.000 places de prison supplémentaires.

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  • Thuram : « Les attentats de Paris ? C’est la faute de Morano et Marine Le Pen »

    Les journalistes italiens sont aussi tristement prévisibles que les Français. Mardi 17 novembre, quand les animateurs de l’émission « Un giorno da pecora », sur Radio Rai 2, ont cherché un invité exceptionnel pour commenter la tuerie islamiste de Paris, qui croyez-vous qu’ils aient choisi ? Mais Lilian Thuram bien sûr ! Banalités et politiquement correct garantis – sans parler de la grammaire, que la chaîne a silencieusement corrigée dans la transcription « améliorée » mise en ligne.

    Comme il se doit, les mots « musulman » et même « islamiste » ne sont pas employés une seule fois dans tout l’entretien. De clandestins, même rebaptisés « migrants », il n’est pas non plus question. Les journalistes et Thuram affirment à l’unisson que ce sont « de jeunes Français qui tirent et font des attentats contre d’autres Français ».
    Dès la première question, le phare de la pensée antiraciste a déployé toute sa subtilité. Les journalistes : « Lilian Thuram, selon vous, il y a eu une erreur des services secrets français ? » (Pourquoi des services secrets, du reste, et pas des politiciens français ?) Réponse : « Je pense qu’il est très difficile de contrôler toutes les personnes qui sont dangereuses. Je crois que ce n’est pas le moment de chercher s’il y a eu des difficultés [sic] ou non. La chose la plus importante est de réfléchir au fait que les choses peuvent changer avec le temps ».

    En 1998, explique Thuram, « la victoire de l’équipe de France de football avait été le plus grand symbole d’intégration. Après 1998, les hommes politiques et certains journalistes ont joué sur le fait qu’il fallait un discours de non-fraternité. Par exemple, en France très récemment, il y a une femme politique qui est allée à la télévision pour dire que la France était un pays de race blanche et judéo-chrétien. Alors cela veut dire que les personnes qui ne sont pas de couleur blanche, ou pas catholiques et juives, sont disqualifiées » [la transcription de la RAI corrige « judéo-chrétien » en « chrétien » et supprime la mention des juifs]

    La journaliste italienne, qui a apparemment compris qu’il s’agissait de Marine Le Pen : « Ce que dit Marine Le Pen te fait peur ? »
    – Thuram : « Mais bien sûr, elle me fait peur, parce qu’elle nous porte la violence [la transcription de la RAI corrige en “parce que les divisions portent à la violence”]. Quand tu crées des divisions dans ta communauté, cela finit toujours par… Les personnes qui créent une division dans la communauté sont dangereuses. Parce que, vois, ces jeunes qui écoutent ce discours du terrorisme, la première chose qu’ils leur disent, c’est : “Voyez, vous n’êtes pas Français. Vous le savez bien ; tout le monde dit que vous n’êtes pas Français.” Toutes les personnes qui jouent le jeu de la non-solidarité à l’intérieur de la société sont dangereuses parce que, à la fin, quand tu tiens ce discours, cela finit par la violence. »

    Selon Thuram, c’est du reste pour cela qu’il avait refusé quand Sarkozy lui avait proposé d’être ministre. « Parce que je crois que la politique de M. Sarkozy est une politique qui n’aide pas à la solidarité entre les personnes. Je crois que les discours qui portent les gens à penser qu’il y a des groupes différents en France, qu’il y a eux et qu’il y a nous, je crois que ce discours n’est pas très intelligent en ce moment. Je crois qu’il faut porter une réflexion sur l’égalité, sur le vivre-Ensemble, sur le respect entre nous. »

    Une pensée d’une puissance originalité, on vous le disait.

    http://fr.novopress.info/195272/thuram-les-attentats-paris-cest-faute-morano-marine-pen/