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lobby - Page 1641

  • L’esprit PEGIDA

    Pierre Cassen, l'un des fondateurs de Riposte laïque, est l'une des voix les plus percutantes de la résistance contre le rouleau compresseur de la conquête islamiste.

    —Travaillez-vous à l'implantation d'une branche du mouvement allemand Pegida en France ?

    — Non. Riposte laïque a son existence propre, avec quelques belles réussites à son actif, dont ses Assises et les très populaires « apéro saucisson pinard ». Faire du Riposte laïque, qui est tout de même une référence, sous l'appellation de Pegida, n'offre aucun intérêt. Toutefois, s'il y avait eu plusieurs courants de notre bord décidés à unir leurs forces pour lutter contre l'islamisme sous le label de Pegida, nous l'aurions fait. Ce n'était pas le cas. Pourquoi alors faire du neuf quand nous avons de l'ancien bien établi et en pleine croissance ?

    Le mot d'ordre de Pegida, « Non à l'islamisation, nous sommes le peuple » ne fait-il pas écho à « la France aux Français », lancé par le FN il y a quarante ans ?

    —La condamnation de l'immigration par le FN est effectivement constante depuis la création de celui-ci, en 1972. Mais Jean-Marie Le Pen a longtemps considéré que l'islam était compatible avec les valeurs de la République. Il y a là une conception propre à la génération qui s'est battue pour l'Algérie française et qui se souvient notamment des harkis, demeurés fidèles à la France. « On est français par le sang reçu ou versé. » Certes... Mais ces musulmans avaient reçu un enseignement fiançais, qui les avait en partie occidentalisés. Le colonialisme avait quelque peu rogné les serres de l'islam.

    Ce dernier, qui a aujourd'hui retrouvé toute sa vigueur conquérante et son intolérance pathologique, n'a plus grand-chose à voir avec celui que pratiquaient les peuples arabes sous administration coloniale. L'islam contemporain, c'est celui du ressentiment de la revanche, de la conquête, du fanatisme et d'une haine anti occidentale sans limite. C'est celui qu'expriment ces djihadistes nés en Europe, dont plusieurs milliers d'entre eux en France, devenus des tueurs et des bourreaux de l'Etat islamiste.

    —Marine Le Pen pas assez virulente donc, selon vous, contre l'islam ?

    Le FN m'a toujours paru beaucoup plus hostile à l'immigration, dans son ensemble, qu'à l'islam en particulier. En outre, devenu l'un des trois grands partis de France, il représente aujourd'hui une alternative sérieuse au pouvoir. Ce qui oblige ses dirigeants, et on peut très bien le comprendre, à pondérer leurs discours. Par exemple, Marine Le Pen tenait il y a quelques années, sur l'interdiction du voile dans l'espace public, des propos beaucoup plus clairs et plus fermes qu'actuellement. Un parti aspirant à gouverner a besoin, pour arriver au pouvoir, d'une stratégie électorale plus consensuelle. Mais tout de même : lorsque, dans un sondage du Monde, 74 % des Français estiment l'islam incompatible avec les valeurs de leur pays, on peut regretter que le principal parti qui incarne l'indépendance nationale se trouve sur cette question primordiale un peu en dessous de ce que ressent une grosse majorité de nos compatriotes. Et je ne parle pas des discours chevènementistes particulièrement imbéciles que tiennent certains dirigeants de second rang, mais à l'influence grandissante, selon lesquels ce n'est pas l'islam qui pose problème, mais seulement ses extrémistes. Pour ceux qui ne supportent plus l'envahissement de l'espace public, tout voile dehors, par les sectateurs de Mahomet l'exécutoire de leur exaspération et de leur colère, en dehors de leurs appartenances politiques, ce sont des mouvements comme Riposte laïque ou Pegida. 

    Face à l'immigration, une seule solution ; la remigration ? 

    — Même si nous fermions aujourd'hui le robinet de l'immigration, ce qui n'est pas à l'ordre du jour, par le seul fait du dynamisme démographique évoqué ci-dessus, le cauchemar annoncé par Zemmour, Onfray, Houellebecq et beaucoup d'autres arriverait de façon inéluctable, mais un peu plus tardivement : dans cent ans au lieu de cinquante... Ce qui s'est produit depuis plusieurs décennies, la déferlante d'une immigration massive, sauvage, incontrôlée, sans intégration et majoritairement islamisée, apparaît comme un accident de l'histoire sur lequel les Français non jamais eu à se prononcer. Notamment parce que leurs dirigeants leur ont menti en trichant délibérément sur les statistiques. Et en imposant une sorte d'embargo sur ce sujet. Pour éviter que les musulmans ne deviennent majoritaires chez nous, à court terme ou à moyen terme, oui, la remigration s'impose.

    —Par quels processus ?

    —A périodes exceptionnelles, mesures exceptionnelles. Mêmes si celles-ci peuvent être conflictuelles. Il existe plusieurs parallèles historiques, par exemple la population germanophone des Sudètes ou celle des pieds-noirs d'Algérie... Nous disposons de trains, d'avions et de bateaux. Expulsons vers leurs pays d'origine, sans violence mais fermement, tous ceux qui se comportent mal dans nos hôpitaux et nos écoles, tous les délinquants, tous les propagandistes du djihad, tous ceux qui multiplient les revendications communautaires... Il y a dans le monde 57 pays musulmans où ces gens-là pourront vivre en toute conformité avec leurs idéaux. Faisons donc leur bonheur, malgré eux s'il le faut...

    Propos recueillis par Jean Cochet PRESENT Hors-série Avril-mai 2015

     

    jean-cochet@present.fr

  • Les opposants au Front national sont-ils crédibles ?

    Pour convaincre les Français de ne pas voter pour le Front national, il faudrait commencer par démontrer que ses orientations politiques et les solutions qu’il propose sont mauvaises.

    Avant les départementales, les médias ne parlaient que du danger que représentait le Front National. Depuis quelques jours, chaînes publiques en tête, ils suggèrent que Marine Le Pen pourrait ne pas être présente au second tour de l’élection présidentielle. Et d’insister sur la mise à mort du père par la fille, tandis que sortent quelques affaires financières. Le 1er mai, lors de l’hommage rendu à Jeanne d’Arc, les micros se tendaient dans l’espoir de retransmettre quelque déclaration illustrant la zizanie familiale. Peine perdue. Mais on a pointé des gestes hautement symboliques ! Voyez ! Le père et la fille déposant une gerbe séparément : la rupture est consommée ! Le père montant sur la tribune pour saluer la foule : quelle nique à sa fille ! Et cette brutalité du service d’ordre à l’égard des Femen : quelle atteinte à la liberté d’expression ! Vous rendez-vous compte ? On se rend surtout compte de la bêtise et du parti pris d’un grand nombre de commentateurs.

    Les critiques contre le Front national gagneraient peut-être en crédibilité si elles se fondaient sur des arguments de fond. Dire, pour couper court à toute discussion, que le Front national est un parti fasciste, antisémite et xénophobe tient du recours à l’amalgame, l’arme des faibles et des lâches, procédé au demeurant totalitaire. De même, reprocher à quelques militants leurs sympathies passées est tout aussi ridicule que de rappeler aujourd’hui les anciennes amitiés d’un Gérard Longuet ou d’un Patrick Devedjian. Mais ce n’est pas un parti démocratique ! Le Comité central a pourtant été directement élu par les adhérents – qui ont d’ailleurs choisi de placer en tête Marion Maréchal-Le Pen, ce qui n’était pas forcément attendu. Mais c’est un parti népotique ! Le patronyme de Le Pen est sans doute un atout pour réussir dans ce parti, mais si Marine Le Pen ou Marion Maréchal-Le Pen n’avaient été que des filles à papa, gâtées et incapables, y auraient-elles percé comme elles l’ont fait ?

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  • Le djihadisme ne se combat avec des coloriages

    Jacques Bompard écrit sur Le Rouge et Le Noir :

    "Les élites dirigeantes françaises sont responsables de l’énorme phénomène djihadiste apparu dans notre pays. En laissant se développer le grand remplacement, en détruisant la transmission du roman national, en inculquant la haine de soi à plusieurs générations, les gouvernements successifs ont alimenté un terreau islamiste dont ils se refusaient à voir les méfaits.

    Aujourd’hui les islamistes maîtrisent certains quartiers : c’est là le véritable apartheid. Aujourd’hui les islamistes ont organisé des systèmes de représentation et d’expression médiatique sollicités par des représentants politiques avides de communautés électorales. Aujourd’hui les islamistes français ont pleinement intégré la mondialisation et s’exportent au Proche Orient, en Afrique, et ailleurs peut- être.

    Notre territoire n’est pas épargné. Hier un islamiste voulait s’attaquer à des paroisses, d’autres saccagent sans vergogne des cimetières catholiques, quelques semaines à peine après l’attaque sanglante en plein Paris qui a profondément marqué notre société. Face à cela, les Français étaient en droit d’attendre ordre et fermeté des pouvoirs publics. Las, la gauche se refuse encore à prendre la mesure des dangers qui menacent notre pays.

    A Beyrouth, Jean-Yves Le Drian a rappelé que la France avait pour meilleur partenaire au Proche Orient le royaume rétrograde d’Arabie Saoudite. François Hollande y souleva, bien étrangement, un sabre en fin d’année dernière. C’est un comportement international au moins oublieux de l’idéologie islamiste promue et propagée par certains dignitaires saoudiens. 

    Mais sur notre territoire même, nous entendons un gouvernement favorable au doublement du nombre de mosquées et qui voudrait maintenant traiter le phénomène des djihadistes par l’accueil en centre de réadaptation sur la base du volontariat. Est-on au niveau de la légitime angoisse des Français devant l’inertie politique face aux djihadistes ?

    On parle de 1500 à 3000 Français de papiers ou étrangers résidents en France qui seraient partis tuer au nom d’Allah au Levant.Nos ressortissants étrangers deviennent la cible d’une surveillance accrue dans ces pays, qui étaient pourtant nos alliés historiques. Mais qui leur fera le reproche de douter des mesures de notre gouvernement quand on entend Manuel Valls déclarer à l’AFP : « Par un accompagnement individualisé, une prise en charge psychologique et un encadrement renforcé, ces jeunes devraient retrouver toute leur place dans notre société. » 

    J’ai proposé de multiples initiatives : législatives en supprimant la nationalité aux djihadistes ou encore en ouvrant une commission d’enquête parlementaire sur le soutien de la France aux rebelles syriens, sociétales en luttant contre le Grand Remplacement, pratiques en mettant en place la suppression des aides sociales à des individus partis commettre des atrocités au Proche Orient. Mais les socialistes leur préfèrent la politique de l’autruche.

    L’islam combattant pose un problème civilisationnel et spirituel à notre pays et à l’Europe. On ne le réglera pas avec des coloriages pour anciens participants aux massacres des minorités et des communautés musulmanes chiites au Proche Orient."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La soeur de Manuel Valls témoigne de l’enfer de la drogue

    Alors que son frère met en place des salles de shoot en France, Giovanna Valls témoigne contre l’enfer de la drogue :


    La sœur de Manuel Valls raconte l’enfer de la… par rtl-fr

    « Héroïne, hépatite C, prison, dans Accrochée à la vie, journal d’une renaissance, Giovanna Valls Galfetti, raconte ses années d’errance dans l’univers de la drogue. Un parcours chaotique qui contraste avec la réussite fulgurante de son frère, Manuel Valls.

    C’est à l’âge de 20 ans que Giovanna prend sa première dose d’héroïne. La décente en enfer est rapide. Soutenue par son entourage la jeune femme entame un sevrage à Barcelone. Mais 10 ans plus tard, elle rechute violemment. Les doses augmentent et son poids diminue jusqu’à atteindre 35 kilos. À l’âge de 40 ans, atteinte du VIH et de l’hépatite C, les médecins lui donnent deux semaines à vivre. Mais Giovanna résiste.

    Elle entame un exil au Brésil au sein d’une communauté. Petit à petit, l’ancienne toxicomane reprend des kilos et le virus de l’hépatite C diminue. Aujourd’hui, elle continue de vivre avec le VIH mais l’hépatite C a disparu. »

  • La France sans tête de Manuel Valls (1789-2015)

    Toujours en campagne, Manuel Valls a deux axes de discours : la lutte contre le Front national ; et la mise des religions sous la tutelle de la laïcité. Ce que le premier ministre appelle ainsi des valeurs, et qui ne sont que des affirmations négatives, ne saurait fonder, comme il le prétend, un programme, fut-il électoral. D'autant qu'il a, de la France, une vision réductrice.

    Parmi ces rencontres à but électoral que Manuel Valls affectionne désormais, et qui font toute sa politique, il est allé, début mars, à la rencontre des responsables musulmans de Strasbourg. Le choix du lieu n'avait rien d'innocent, puisque c'est là que réside Francis Messner, ce spécialiste du droit des religions, auquel il avait commandé un rapport lorsqu'il était encore place Beauvau, rapport qui préconise notamment de renforcer la formation à la laïcité des responsables religieux.

    En l'espèce, le premier ministre est à son affaire, et peut appeler à la création d'un « islam de France », qui soit, dans son esprit, un islam soumis à la laïcité.

    L'examen de conscience de l'islam

    « Les choses petit à petit se structurent. Des mosquées plus grandes, plus dignes, se sont construites », affirme, avec satisfaction, Manuel Valls. II appelle, en réponse, l'islam à « faire son examen de conscience » - pratique qu'on ignorait appartenir aux rites des sectateurs de Mahomet -, et leur demande notamment de faire en sorte que « ce réflexe consistant à demander le soutien d'Etats étrangers se perde ». Comme si l'islam n'était pas, pour ses fidèles, au-dessus des nations.

    Mais c'est ainsi que Valls comprend un « islam de France » : une intégration dans la société française « avec ses valeurs ». Qui sont, pour le premier ministre, l'affirmation de l'égalité hommes-femmes, et le droit de croire et de ne pas croire. Pour y parvenir, il est prêt à mettre « des moyens » au service de la formation qui est « la clé d'un islam qui se construit en France, en toute indépendance, libéré d'influences néfastes ». Et tout particulièrement de « l'obscurantisme » - qui est bien, dans son esprit, l'exercice d'une religion hors de la laïcité. Autrement dit, il faut libérer les religieux de ce qui fait le fondement même de la religion. Mais ça, Manuel Valls ne peut pas le comprendre.

    Et de dénoncer, pour enfoncer le clou, « la montée de l’islamisme radical et la montée de l'extrême droite, (...) deux dangers majeurs qui se nourrissent l'un l'autre », et contre lesquels « la seule réponse, c'est la laïcité ».

    A l'intention des naïfs, précisons tout de suite que la laïcité de Manuel Valls est une laïcité militante, une laïcité de combat : « La France est la seule démocratie occidentale dont l'identité politique moderne s'est construite contre la religion. »

    Au moins, les choses sont claires, il ne lui manque sans doute, pour être Robespierre, que la machine du bon docteur et jésuite Guillotin. Mais il lui reste, en définitive, la possibilité de mener des inventaires non plus de patrimoine, mais des esprits.

    Certes, il n'est pas faux que la démocratie française moderne se soit construite contre la religion, et même dans le sang des catholiques. Mais réduire la France à cette république, revenir à l'an I, c'est revenir à la Terreur, en laissant de côté le baptême de Clovis, la longue cohorte des saints et le « blanc manteau » d'abbayes, de couvents et d'églises ; c'est décapiter la fille aînée de l'Eglise.

    La laïcité de Manuel Valls, c'est ni plus ni moins que la fille reconnue de la déesse Raison...

    Traiter le musulman comme le catholique ?

    Mais, ce faisant, espérant et revendiquant, le premier ministre commet une toute petite erreur d'anachronisme : nous sommes au XXIe siècle, et il paraît pour le moins délicat de comparer les musulmans de 2015 aux catholiques de 1792, ou même de 1905. On ne peut comparer la bible au coran, ni le dogme catholique à la charia, dans laquelle le seul martyr musulman qui soit est celui qui meurt en tuant les infidèles. Et, assurément, aux oreilles du dernier des fils d'Allah, le discours de Manuel Valls sonne comme celui d'un infidèle.

     

    Olivier Figueras monde & vie  18 mars 2015.

  • Caroline Fourest Vs Aymeric Caron : face à l’islamisation, la gauche se déchire


    04/05/2015 – SOCIÉTÉ (NOVOpress)

    Le clash entre Caroline Fourest et Aymeric Caron sur le plateau d’ONPC est révélateur. Face à la montée de l’islam en France, deux courants idéologiques s’opposent à gauche : les collabos et les laïcards. Malheureusement, aucun n’arrive à saisir les enjeux du problème.

    Samedi soir a eu lieu une passe d’armes entre Caroline Fourest et Aymeric Caron sur le plateau de l’émission On n’est pas couché animé par Laurent Ruquier. Venue présenter son nouveau livre Éloge du blasphème, la journaliste militante LGBT d’extrême-gauche s’en est prise vertement à Caron : « Ca me fait chier de parler avec quelqu’un d’aussi con que vous ! ». Ce « clash » qui ne manquera pas de buzzer révèle surtout une ligne de fracture idéologique à gauche de plus en plus marquée : de quelle manière doit-on appréhender la question de l’islam en France ?

    Caroline Fourest ne s’y trompe pas : il y a effectivement deux tendances.
    La première que l’on pourrait qualifier de « collabo » assumée avec en tête de gondole Edwy Plenel, qui avait notamment appelé quelques jours après la tuerie de Charlie Hebdo à « comprendre » les frères Kouachi. On y retrouve également Rokhaya Diallo, spécialisée dans la dénonciation (souvent imaginaire) de l’islamophobie et pour qui le racisme anti-blanc n’existe évidemment pas. La seconde, en apparence plus dure, la sienne, qui fait de la défense inconditionnelle de la laïcité l’étendard de la lutte contre les extrémismes religieux, ce dernier concept creux mélangeant tout autant les familles cathos ayant manifesté contre le mariage homosexuel que les salafistes fans de l’État Islamique.

     

    Gauche collabo contre gauche laïcarde : double aveuglement

    Une certaine gauche, parce qu’elle refuse de voir les problèmes culturels posés par une islamisation grandissante du fait de son logiciel antiraciste, se réfugie dans une posture jusqu’au-boutiste de défense des (pseudo)—opprimés. Pour elle, la question identitaire est le tabou ultime. Elle fera le choix du soutien à l’islamisation quoi qu’il en coûte, dans une négation totale du réel et une fuite en avant idéologique sur fond d’ethnomasochisme et de racisme anti-blanc larvé.

    Clement-Martin-Generation-Identitaire

    Cément Martin, conseiller fédéral de Génération identitaire et membre de Nissa Rebela

    Une autre gauche, plus cohérente avec ses propres idées, constate que la laïcité, sa valeur phare, est sans cesse attaquée par des groupes musulmans. Elle a donc fait le choix de défendre le droit de Charlie Hebdoà caricaturer le prophète Mahomet, mais tout en restant antiraciste et pro-immigration. Schizophrénie. Donc à être favorable à ce qu’un nombre toujours plus important de gens dont les valeurs sont aux antipodes de celles portées par le journal satirique s’installent chez nous. Contradiction insoluble qui s’est d’ailleurs révélée avec fracas un certain 7 janvier.

    L’identité au centre de tous les débats

    Caroline Fourest, sous ses apparences de réalisme et de discours ferme, fait en réalité également dans l’angélisme : « Je ne pense pas que les Frères Musulmans représentent l’ensemble des musulmans en France [...] Je pense que les musulmans laïques le sont. Je pense que la majorité des musulmans en France sont attachés à la laïcité ». Un tel constat démontre à l’évidence qu’elle prend surtout ses rêves pour des réalités. Au mois de février dernier, le Berlin Social Science Center avait réalisé une étude dont la conclusion était sans appel : parmi les musulmans français, ils étaient 73 % à considérer que les « règles religieuses » étaient « plus importantes que la loi ». En 2008, ils s’étaient prononcés à 54 % pour l’application, partielle ou intégrale, de la charia en France (sondage CSA pour le Monde des Religions). Majoritairement laïques, vraiment ?

    La leçon à tirer de ce débat entre Aymeric Caron et Caroline Fourest est que le clivage sur les thématiques identitaires structure l’intégralité du débat politique français. Partout, à gauche comme à droite, c’est sur cette unique question que se font les oppositions. À droite, le fond des différences entre un Sarkozy et un Juppé, entre une NKM et un Wauquiez, ou encore même entre l’UDI et l’UMP porte sur la manière de répondre aux problèmes posés par la société multiculturelle. À gauche, Caroline Fourest ou Michel Onfray n’ont pas de mots assez durs pour reprocher à leur camp sa soumission à l’islam conquérant. Aujourd’hui centre du débat, la question de l’identité s’imposera bientôt comme étant la seule solution pour répondre aux défis lancés à l’Europe par l’immigration massive et au mondialisme.
    Seul un retour à nos racines couplé à une réaliste projection dans le futur nous permettra d’éviter le naufrage. Et il y a urgence : pendant que ces journalistes bien-pensants s’invectivaient sur France 2 hier soir, des centaines de clandestins rentraient en Europe. Le temps presse.

    Clément Martin,
    Conseiller fédéral de Génération identitaire et membre de Nissa Rebela

    http://fr.novopress.info/186873/caroline-fourest-vs-aymeric-caron-face-lislamisation-gauche-se-dechire/#more-186873

  • Le système des partis est ainsi devenu un système des factions

    Extraits d'une tribune intéressante de Vincent Coussedière, agrégé de philosophie et auteur d'«Eloge du populisme» (Elya éditions) dans Le Figarovox :

    "[...] Il y a beaucoup d'inconscience, d'irresponsabilité et de mensonge à prétendre sans arrêt vouloir refonder la République ou la défendre à travers la ligne Maginot d'un prétendu «front républicain». Où la ligne de «front» pourrait-elle passer, dès lors qu'il apparaît qu'il n'y a plus rien à défendre, que les lignes ont été enfoncées depuis longtemps, et que la défaite a été consommée? Mais le FN se prête aussi symétriquement à cet exercice, et joue un rôle tout aussi important dans le maintien du dispositif d'une République fictive, dont on masque aux Français le mensonge foncier. La rhétorique révolutionnaire de la rupture ou de la «table rase» s'articule parfaitement avec l'hypocrisie du «front républicain», et permet de capter l'exaspération «populiste» provoquée par l'exercice irresponsable du pouvoir depuis 40 ans. [...]

    Le FN forme en réalité un système avec les partis qu'on dit à tort «républicains» alors qu'ils sont de purs simulacres, de simples écuries présidentiellesayant réussi à vider le débat politique de tout contenu, en détournant l'attention des Français vers un péril imaginaire, à chaque fois que de véritables choix politiques étaient nécessaires.Ces partis sont en réalité des factions, c'est-à-dire non des partis au sens de la partie au service du tout, poursuivant un véritable projet politique, mais des partis inféodés à l'ambition d'un homme ou de quelques-uns.Les divisions qui structurent le système des partis ne sont plus des divisions politiques, mais des divisions quant à la possession des places et l'obtention du pouvoir personnel. Le système des partis est ainsi devenu un système des factions -selon la fameuse distinction de Burke- incapable d'exprimer une véritable politique, et ne servant plus que des ambitions personnelles.Les Français sont conscients de cette évolution, d'où leur «populisme», c'est-à-dire leur refus de cautionner ce système des partis devenu système des factions.En cela ils ne font pas preuve d'extrémisme, mais d'un véritable désespoir républicain, selon la belle expression de G. Sartori: «Au cours de l'histoire les factions émergent comme le désespoir de la politique, au moins de la politique républicaine.» (Giovanni Sartori, Parti et systèmes des partis).

    Pour sortir de l'impasse dans laquelle nous sommes, il ne suffira donc pas de choisir entre une voie FN et une voie prétendument républicaine. [...]"

    Michel Janva

  • Manuel Valls reçoit une pétition signée par 119.000 Français contre la loi Renseignement

  • Les Grandes Gueules sur RMC : Raquel Garrido veut lutter contre le djihadisme bleu marine

    L’avocate, cofondatrice du Front de gauche, a un cv de militante d’extrême-gauche bien rempli : jeune dirigeante étudiante à l’UNEF-ID, vice-présidente de SOS-Racisme à 22 ans, c’est surtout dans les relations internationales qu’elle a ensuite exercé, notamment au sein d’une grande confédération syndicale. Elle fut, toutefois,l’avocate de Jean-Luc Mélenchon notamment dans un procès contre Marine Le Pen.

    Raquel Garrido participait à l’émission des Grandes Gueules sur RMC le 29 avril.

    C’est sur cette antenne, qu’elle s’est livrée à un effet de manche sémantique hors-norme puisqu’elle est partie des massacres perpétrés par l’État islamique en le qualifiant de fascislamisme pour les assimiler ensuite à la politique de Marine Le Pen via un détour par la doctrine politique fasciste des Italiens pendant les années vingt.

    Le FN et l’Etat islamique seraient donc pareils.

    Il lui fallait sortir une formule concoctée aux petits oignons qu’elle a répétée plusieurs fois jusqu’à obtenir un écho de ses pairs à l’antenne : « le djihadisme bleu marine ». Visiblement, l’ensemble de sa rhétorique tournait autour cet abus de langage avec lequel elle tentait de faire réagir.

    « Pour moi, Le djihadisme bleu marine, c’est un fondamentalisme qui génère de la violence

    « Quand vous avez un problème de vivre ensemble entre Français, quand les Français, eux-mêmes, s’entre-détestent » a t-elle reconnu, « dans notre patrie républicaine, nous devons nous aimer et être dans l’égalité ».

    http://fr.novopress.info/

     
  • La destruction des églises de France


    La destruction des églises de France from Reinformation.tv on Vimeo.

    10.000 édifices catholiques seraient menacés de destruction en France. Depuis 2000, une trentaine d’églises auraient déjà été détruites. Récemment, les églises de Gesté dans le Maine et Loire, celle, monumentale d’Abbeville en Picardie ont été démolies à la pelleteuse. Les maires concernés ont justifié ces destructions par le soi-disant mauvais état de ces édifices. Sur place, des habitants révoltés contestent cet argument. Destructions, abandons volontaires, beaucoup de politiques affichent clairement, désormais, un mépris pour le patrimoine religieux, pour l’histoire de leur pays. Résultat, il est à peu près certains que d’autres églises seront détruites en France. Dans ce reportage, un des représentants de l’Observatoire du Patrimoine religieux explique de quelle manière, certains maires s’y prennent pour justifier une démolition auprès de leurs administrés.

    Reportage d’Armel Joubert des Ouches pour  Reinformation.tv