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lobby - Page 1643

  • Du bon usage du terrorisme, ou la « doctrine Fabius »

    Elevée à la dimension d’une crise planétaire depuis l’ascension fulgurante du prétendu « Etat islamique », la crise syrienne a fait l’effet d’un révélateur chimique. Des protagonistes de cette conflagration majeure, elle dissipe peu à peu les faux-semblants en projetant une lumière inaccoutumée sur leurs stratégies les plus retorses. Dernière en date des supercheries dont la politique occidentale est coutumière : la transformation supposée de la branche syrienne d’Al-Qaida en respectable organisation combattante.

    Le Front Al-Nosra, lit-on dans la presse française et internationale, se « normaliserait », il oscillerait désormais « entre terrorisme et pragmatisme ». Son affiliation revendiquée à Al-Qaida, son idéologie haineuse et sectaire, sa pratique répétée des attentats aveugles frappant civils et militaires ? Ce seraient de lointains souvenirs. Cette mutation génétique vaudrait à l’organisation jihadiste concurrente de « l’Etat islamique », en somme, un véritable brevet de respectabilité.

    Ainsi la diplomatie occidentale accomplit-elle des miracles : elle fabrique des terroristes modérés, des extrémistes démocrates, des coupeurs de tête humanistes. Nous fera-t-elle découvrir, demain, des mangeurs de foie philanthropes ? Comme par hasard, cette opération concertée de blanchiment du Front Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaida, se déroule au moment même où cette organisation conforte son hégémonie politique et militaire dans le nord de la Syrie. La prédestinant à jouer un rôle majeur au lendemain de l’effondrement attendu de l’Etat syrien, ce succès lui vaut les faveurs particulières des puissances occidentales et régionales qui ont juré la perte du régime baassiste. Peu importent alors le coût humain et le prix politique de ce consentement anticipé à l’instauration en Syrie d’un pouvoir ultra-violent, sectaire et mafieux : la chute de Bachar Al-Assad est un jeu, nous dit-on, qui en vaut la chandelle.

    En dépit de déclarations hypocrites qui n’abusent personne, le terrorisme jihadiste remaquillé pour les besoins de la cause rend ainsi des services inespérés à la vaste coalition anti-Assad. Bien sûr, cette connivence des Etats occidentaux et des monarchies pétrolières avec les rejetons frelatés d’Al-Qaida a d’abord une signification politique inédite. Elle signe en effet la réinscription simultanée des deux avatars contemporains du jihadisme transnational dans l’agenda stratégique occidental. En clair, la destruction du régime baassiste, objectif numéro un de l’axe Riyad-Paris-Washington, est non seulement une fin qui justifie tous les moyens, mais la perspective d’un Etat jihadiste incluant Damas fait partie de ce plan stratégique. Il est vrai que cette alliance reconduite avec le terrorisme présente aussi un avantage inattendu qui doit son importance à la conjoncture militaire. Elle rend possible, en effet, la prise en tenailles de l’armée loyaliste syrienne par les combattants de « l’Etat islamique » à l’est et ceux du Front Al-Nosra au nord. [....]

    La suite dans Oumma

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Du-bon-usage-du-terrorisme-ou-la

  • Projet de mosquée de Mantes-la-Ville : la guerre de propagande se poursuit

    Dénoncé par le Bloc Identitaire, le passage en force de Paul Martinez pour implanter une mosquée sur le territoire de Mantes-la-Ville continue de susciter des remous. Le président de la Communauté d’Agglomération de Mantes en Yvelines a tenu à se justifier dans un communiqué diffusé à ses administrés.

    Face à l’opposition du maire de Mantes-la-Ville de voir un bâtiment de sa commune transformé en mosquée, Paul Martinez a organisé un vote au niveau de la communauté d’agglomération, dont il est président, pour vendre ladite ancienne trésorerie à l’Association des Musulmans de Mantes Sud (AMMS) pour la transformer en mosquée. Dénoncée par le Bloc Identitaire, la manœuvre fait clairement fi de la démocratie locale lorsqu’il s’agit de construction de mosquée.

    Face à la mobilisation du Bloc Identitaire contre son projet de mosquée à Mantes-la-Ville, Pascal Martinez  tente de se justifier auprès de ses administrés.

    Face à la mobilisation du Bloc Identitaire contre son projet de mosquée à Mantes-la-Ville, Pascal Martinez tente de se justifier auprès de ses administrés.

    Également maire de Buchelay, Paul Martinez a cru nécessaire de se justifier en diffusant vendredi dernier une lettre à ses administrés, expliquant notamment qu’il n’avait nulle intention de construire une mosquée sur le territoire de sa commune. Argument fallacieux, puisque c’est bien sur le territoire de Mantes-la-Ville que le projet doit se déployer contre la volonté de la municipalité locale, laquelle a d’ailleurs annoncé sa volonté de faire jouer le droit de préemption pour réaménager l’ancienne trésorerie en commissariat municipal. Soutenu par une partie des habitants qui commencent à se mobiliser, ce projet voulu par le maire Front National sera soumis au vote du conseil municipal aujourd’hui.

    De plus, Paul Martinez tente de minimiser la portée de son intervention en expliquant qu’il s’agit d’un simple transfert (souligné par lui) d’un lieu de culte vers un autre. Or, il n’y a pas d’équivalence entre la salle de prière qu’occupe actuellement l’AMMS dans un pavillon et le projet de vraie mosquée que promeut cette association :

    L’approche sera contemporaine avec intégration harmonieuse de symboles de décoration de l’architecture islamique.

    Explique l’AMMS sur son site, dont les illustrations ne laissent pas de doute quant aux symboles à intégrer harmonieusement : minaret, dôme surmonté d’un croissant, encadrements de portes et fenêtres à l’Orientale, etc. Souligons au passage que l’actuel lieu de culte aurait dû être évacué depuis plus d’un an pour des raisons de salubrité publique.

    À noter que le maire de Mantes-la-Ville, Cyril Nauth, n’avait jamais exprimé son opposition à la présence de tout lieu de culte musulman sur sa commune, mais simplement à ce projet précis. Des alternatives portées par d’autres associations musulmanes (El Fethe, en l’occurrence), jugées porteuses de moins de problèmes que celle soutenue par l’AMMS et le président de la communauté d’agglomération, sont aussi à l’étude à Mantes-la-Ville.

    Le projet d’El Fethe poserait moins de problèmes a priori que le projet de l’AMMS. La trésorerie sur laquelle l’AMMS a jeté son dévolu est située à côté d’un cimetière, sur un des axes de la ville et en face d’une des principales salles des spectacles : on déplace le problème. D’autres élus avaient émis des réserves, le Front national n’a fait que dire les choses de façon plus directe et plus virile. Le projet d’El Feth sera étudié, mais, dans un premier temps, mon objectif est d’empêcher la vente de la trésorerie.

    Déclarait ainsi Cyril Nauth dans un entretien au quotidien « Présent » daté du 19 mai.

    http://fr.novopress.info/

  • Délit de faciès, arme politique de l’anti-France ? – Par Fabrice Robert

    Nombreuses sont les associations antiracistes qui exultent depuis quelques jours. L’État a été condamné pour “faute lourde” pour cinq cas de “contrôles au faciès” par la cour d’appel de Paris. Pour expliquer les faits, les médias n’hésitent pas à parler de 13 hommes “noirs ou d’origine arabe” ayant décidé de dénoncer des contrôles d’identité qu’ils estimaient discriminatoires. Le choix des mots est assez surprenant. D’habitude, les journalistes préfèrent parler de “jeunes” tandis que les responsables politiques veulent nous faire croire que les races n’existent pas. D’ailleurs, pour appuyer sa décision, la cour d’appel de Paris précise que les contrôles litigieux auraient été réalisés “en tenant compte de l’apparence physique et de l’appartenance, vraie ou supposée à une ethnie ou une race”.

    Le Collectif Stop le Contrôle au Faciès, qui fédère un certain nombre d’associations antiracistes en lutte contre les “violences policières”, parle d’une victoire inespérée. Dans son communiqué, le message est très revendicatif. “Du terrain au tribunaux, une victoire historique : les associations se battront jusqu’à la victoire politique !“. Pour rappel, le Collectif Stop le Contrôle au Faciès avait lancé, en octobre 2014, un guide d’action à destination du grand public. Ce document était, tout de même, présenté comme la première étape d’une semaine de sensibilisation destinée à rendre hommage à Zyed Benna et Bouna Traoré, morts en 2005 après être entrés dans un site EDF à Clichy-sous-Bois pour avoir fuit un contrôle de police.

    Pour certains militants associatifs de la “diversité”, l’uniforme, c’est l’ennemi. Les policiers sont des hommes à abattre, mais pas seulement : les pompiers se font régulièrement caillasser au coeur des cités. Dans une société où les violences explosent, tout semble bon pour désarmer un peu plus l’État. “Je suis noir donc tu ne me contrôles pas. Sinon, je porte plainte pour racisme !“. “J’ai une barbe et je porte la djellaba donc pas de contrôle d’identité. Sinon, je porte plainte pour islamophobie !“. Voici la France de l’assimilation qui n’assimile plus grand chose à part les germes de la haine entre les différentes communautés présentes sur notre sol. Les contrôles de femmes en niqab provoquent déjà régulièrement des émeutes. Les policiers peuvent-ils alors être poursuivis pour contrôle au faciès alors que ces femmes voilées refusent – il faut le rappeler – de se soumettre à la loi ?

     

    Face aux initiatives développées par certaines associations antiracistes, il serait judicieux de traiter aussi des contrôles au faciès dont sont victimes les Blancs dans les quartiers où ils sont devenus minoritaires. Le racisme antiblanc est une réalité. Les “faces de craies” ou “babtous” sont régulièrement la cible de bandes de racailles qui pensent que la France est devenue une colonie africaine.

    Le 10 juin 2015, les députés ont approuvé une proposition de loi visant à instaurer une action de groupe contre les discriminations afin d’encourager les victimes à porter plainte. Celles-ci peuvent alors s’adresser à un syndicat ou une association de lutte contre les discriminations qui a au moins cinq ans d’existence. Le Collectif Stop le Contrôle au Faciès veut s’appuyer sur cette mesure pour faire avancer sa cause.

    Face au phénomène du Grand remplacement, il serait temps de s’organiser pour mettre en place des actions de groupe afin de défendre les intérêts de citoyens blancs, victimes de discrimination sur la terre de leurs ancêtres.

    http://fr.novopress.info/189872/delit-facies-arme-politique-lanti-france-fabrice-robert/#more-189872

  • L'heure de vérité, pour la Grèce, mais aussi pour l'UE

    Très intéressant point de vue développé à ce sujet par Jacques Sapir.

    "Les événements de ces derniers jours ont permis de voir en pleine lumière les divers aspects du différent entre la Grèce et ses créanciers. La décision d'Alexis Tsipras de provoquer un référendum le 5 juillet donne néanmoins à ce différent une dimension nouvelle, et dramatique.

    Le différent entre la Grèce et les créanciers a désormais une dimension politique tout autant qu'une dimension économique. C'est la question de la démocratie au sein de la zone Euro et de l'Union européenne qui est aujourd'hui directement posée. Une des conséquences de cette nouvelle situation est que les leçons que l'on doit en tirer sont extrêmement importantes pour la suite des événements, tant en Grèce naturellement que dans d'autres pays qui entreraient à leur tour en conflit avec les différentes structures de l'Union européenne.

    L'Union européenne et l'Eurogroupe ont toujours poursuivi un objectif politique.

    Le gouvernement grec a fait la démonstration que l'UE, l'Eurogroupe, et généralement l'ensemble des « institutions » européennes n'ont en réalité jamais admis le résultat des élections du 25 janvier 2015. Leurs actions n'ont eu de cesse que d'amener le gouvernement grec à se renier ou bien de provoquer un changement de gouvernement par des méthodes qui se situe en réalité hors de la sphère des principes démocratiques, même si elles en respectent formellement les codes. Le refus obstiné des « institutions » de prendre en compte les propositions du gouvernement grec, dont il est aujourd'hui clair qu'elles étaient raisonnables, et qu'elles étaient les seules capables de permettre à la Grèce de sortir de la crise, n'avait pas d'autre sens qu'un senspolitique. Il fallait faire la démonstration qu'aucune politique alternative n'est possible aujourd'hui dans l'UE. C'est ce à quoi s'est employé tant la Commission que l'Eurogroupe, renvoyant systématiquement les mêmes propositions au gouvernement grec et se refusant, en réalité, à toute négociation.

    Mais, récemment, un nouveau pas a été franchi. L'écho donné à l'accueil de « l'opposition » grecque à Bruxelles, que ce soit les dirigeants du parti de centre-gauche largement financé par les « institutions » européennes (To Potami), et qui ne représente que 7% de l'électorat, ou les dirigeants de la Nouvelle Démocratie, le parti de centre-droit qui gouverna la Grèce jusqu'aux dernières élections et qui est tombé aujourd'hui à moins de 15% des intentions de vote, ne représente pas moins que la tentative d'organiser un changement de gouvernement. Cela signifie que ces mêmes « institutions » européennes, si prompte à défendre la démocratie, complotent ouvertement avec un ensemble de politiciens faillis, souvent corrompus, et qui ont été rejetés par leur propre peuple pour remplacer un gouvernement démocratiquement élu. C'est une leçon importante, qu'il faudra apprendre par cœur, ne serait-ce que pour s'en prémunir. Elle décrédibilise totalement et complètement les discours sur la démocratie qui peuvent être tenus au seins des instances européennes.

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    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La liberté d’expression, c’est bon pour les dessinateurs de Charlie, mais ce n’est pas bon pour Zemmour

    Poursuivi en justice pour des propos tenus sur RTL en 2014 voici Eric Zemmourdans le texte lors de son procès le 24 juin :

    "Je vous avoue que j’ai longuement hésité à venir à l’audience. Mon avocat me déconseillait plutôt de me déplacer, pour conserver, disait il, aux débats leur caractère technique.

    J’ai décidé pourtant d’assister à cette audience. D’abord par respect des magistrats, de la cour, et au delà des institutions de la République. Mais aussi par curiosité. Je voulais comprendre ce qu’on me reprochait. Comprendre quelle loi ou quelle partie de la loi j’avais enfreint. Après tout, nul n’est censé ignorer la loi. Je voulais comprendre pourquoi le procureur, le représentant de l’Etat, m’attaquait pour des propos qui ne faisaient pourtant que décrire des faits, une réalité, amplement retranscrite: «des bandes étrangères venues d’Europe de l’Est écument notre pays», ça passe; mais quand on dit: «des bandes de tchétchènes, Kosovars, Roms dépècent, dévalisent, violentent, ou dépouillent», ça ne passe pas. Lui n’est pas déféré, moi, je le suis.

    Je comprends bien le point de vue du procureur : il favorise la concision. L’ellipse est préférée à la description clinique. Madame le procureur préfère la pudeur des impressions à l’impudeur du réalisme. Mais cette querelle littéraire est-elle de la compétence de ce tribunal ? Il faut alors qu’elle aille au bout de cette logique littéraire. Qu’elle m’indique les bons mots et les mauvais mots, les mots autorisés et les mots interdits. Qu’elle redéfinisse les canons de la profession de journaliste. Que celui-ci ne soit plus tenu d’informer de ce qu’il voit, mais d’abord d’informer ce qu’il ne voit pas, mais qu’il est bon de voir.

    J’avoue ma perplexité. Je n’ose penser que ce ne sont pas les mots qui comptent, mais ma personne. Il y a quatre ans, le procureur m’avait expliqué que ma notoriété fort grande avait pour corollaire une responsabilité aussi grande. Je constate qu’en quatre ans, j’ai encore pris du galon, puisque je suis davantage responsable, et donc davantage condamnable, qu’un ministre de l’intérieur lui-même.

    Mais j’ai compris en écoutant avec soin ces débats, que ce ne sont ni mes mots ni ma personne qui importaient, mais mes pensées.

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    Philippe Carhon

  • Le grand mufti Manuel Valls va nous enseigner le bon islam

    Ce n'est pas un sketch des Inconnus mais ça pourrait l'être. Manuel Valls a déclaré au JDD :

    "Nous ne sommes pas en guerre contre l’Islam". "La bataille se situe au sein même de l’Islam avec, d’un côté, un Islam pratiqué par l’immense majorité de nos compatriotes de confession musulmane qui revendiquent des valeurs humanistes universelles et, de l’autre, un islamisme obscurantiste et totalitaire".

    Quand est-ce que cet éminent islamologue, mufti à ses heures perdues, prendra en compte le besoin de sécurité des Français ?

    Michel Janva

  • Les soldats étrangers désormais les bienvenus en Ukraine

    Le président ukrainien, Piotr Porochenko, a signé une loi, autorisant l'accès de troupes étrangères au territoire ukrainien pour assurer des "opérations de maintien de la paix".

    Piotr Porochenko a signé une loi "sur l’autorisation d’accès et les conditions de séjour des forces armées de pays tiers sur le territoire ukrainien". Le document régit les questions liées aux opérations internationales sur le territoire ukrainien et élargit les raisons permettant de laisser entrer des forces armées étrangères, annonce le service de presse du gouvernement ukrainien.

    Rappelons, que cette loi a été adoptée par la Rada suprême (parlement ukrainien) le 4 juin. La loi dispose que l'objectif du séjour des forces armées doit être "de soutenir l'Ukraine en menant une opération de maintien de la paix et de sécurité à sa demande, suite à une décision de l'ONU ou de l'UE".

    De plus, cette loi interdit la participation des pays "qui ont déclenché un conflit armé contre l'Ukraine".

    Cette loi va à l’encontre des accords de Minsk II qui devraient permettre un cessez-le-feu.

    http://fr.sputniknews.com/international/20150626/1016735459.html#ixzz3eFtjiRP2

  • LMPT dénonce l’instrumentalisation de deux institutions par des lobbies

    Deux éminentes institutions, Le Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes et Le Défenseur des droits, s’apprêteraient, d’après le quotidien Le Monde, à rendre des avis favorables sur l'ouverture de la PMA aux femmes et aux célibataires, c’est à dire la PMA « sans père ».

    On ne peut que regretter que ces éminentes institutions soient ainsi instrumentalisées : laisser fuiter dans la presse la publication prochaine d’avis de cette nature à la veille de la gay pride parisienne décrédibilise l'objectivité de ces organismes, à moins qu’ils ne soient victimes d’une manipulation. Les gay pride sont organisées par le lobby LGBT, organisation ultra minoritaire et radicale qui ne représente pas l’ensemble des personnes homosexuelles, très loin s’en faut. En dépit des scandaleuses subventions et soutiens divers à leurs revendications extrémistes (comme lors de la gay pride de Rouen qui a défrayé la chronique en appelant ouvertement à la légalisation de la GPA !), les gay pride restent des évènements d’ampleur modestecomme le souligne également le quotidien Le Monde (« Deux ans après le mariage pour tous, les militants peinent à se remobiliser »).  Alors, pourquoi se laisser impressionner et céder ?

    L’annonce de ces rapports du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes et du  Défenseur des droits est d’autant plus choquante que le rôle du Défenseur des droits est explicitement de défendre les droits de l’enfant. Or, comme l’énonce dans son article 7 la Convention internationale des droits de l'enfant (convention la plus signée dans le monde et notamment par la France), "l’enfant a le droit d'être élevé, dans la mesure du possible, par ses parents." Nous sommes tous nés d’un homme et d’une femme ! Il est manifestement nécessaire de rappeler cette évidence. Aussi, deux femmes ou deux hommes ne peuvent être les parents d'un enfant.

    La PMA « sans père » revient à nier la réalité de notre humanité en privant délibérément des enfants de leur père. Pourtant, tous les psychothérapeutes ne cessent de dire et de répéter que la première cause, en France, des graves difficultés des enfants et des jeunes, est l'absence du père ! Il est par ailleurs notoire que les enfants nés de don anonyme de sperme souffrent de ne pas connaitre leur origine et leur père, comme les orphelins privés de parents par un accident de la vie. Les témoignages sont extraordinairement nombreux et nier cette réalité est aussi irresponsable qu’injuste pour les enfants à venir.

    Ludovine de La Rochere, Présidente de La Manif Pour Tous et elle-même mère de famille, rappelle qu’"un père et une mère sont irremplaçables et ne sont pas interchangeables : deux femmes, quelles que soient leurs qualités - ce n’est pas la question -, ne remplaceront jamais un père." Faire fi de l’intérêt de l’enfant, oublier nos responsabilités d’adultes vis-à-vis des enfants, n’est pas envisageable pour notre civilisation.

    La Manif Pour Tous anime actuellement un « Tour de France pour la famille » pour informer sur les dangers de la PMA sans père et de la GPA qui mettent gravement en cause la dignité des femmes et des enfants. Si d’aventure le projet de PMA « sans père » devait avancer à nouveau, de nouvelles manifestations d’ampleur seront organisées. Comme ils le démontrent régulièrement depuis l’automne 2012, les Français sont immensément nombreux à dénoncer sur les pavés de ces provocations que sont ces projets de déconstruction de la filiation et donc la famille et de la société.

    Courage, Monsieur le Défenseur des droits ! Osez défendre les droits des enfants à avoir un père et une mère !

    Michel Janva

  • Maison squattée à Rennes. Dix bénévoles évacuent les détritus chez Maryvonne

    Ils sont venus de toute la Bretagne pour donner un grand coup de balai dans la maison de Maryvonne à Rennes. Les squatteurs ont laissé un véritable taudis insalubre. 
    Lorsque l'avocate des squatteurs déclarait en juin que ses clients avaient « retapé une maison à l'abandon », elle n'avait sûrement pas mis les pieds au 94 rue de Châtillon à Rennes. En effet, avant de devoir quitter les lieux ceux-ci ont entièrement vandalisé la maison de Maryvonne Thamin. 
    Ce samedi, la dizaine de bénévoles n'ont pas été trop nombreux pour évacuer les détritus de toutes sortes qui encombraient l'habitation. 
    Pas habitable avant des mois 
    Des planches cloutées, des papiers gras, des vêtements, des sacs poubelles, des immondices à la pelle. On trouve de tout dans le pavillon squatté pendant dix-huit mois. Les murs ont été copieusement tagués, souvent avec des insultes à connotation politique. 
    Il faudra plus d'une journée aux bénévoles, venus surtout du Morbihan, pour rassembler et sortir les encombrants de la maison. "Nous n'appartenons à aucune formation politique, explique Sophie, de Lorient. Nous voulions apporter une réponse citoyenne concrète en venant ici aujourd'hui." 
    Les travaux ne font que commencer. La maison de Rennes ne sera pas habitable avant des mois. Les dégradations de toute nature sont trop importantes. 

  • La Neuvaine radiée de Facebook

    Communiqué de La Neuvaine :

    N"A tous ceux qui suivent notre actualité sur facebook : Nos pages France La Neuvaine et La Neuvaine ont été radiées sans préavis le 25 juin. Ce désagrément est sans conséquence sur votre inscription à nos envois hebdomadaires.

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    Michel Janva