Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1814

  • #5oct : en direct des manifs [rafraîchir la page]

    "Tous à Paris et Bordeaux contre la GPA, le gender à l'école, le matraquage fiscal anti-famille." 

     D'après Le Figaro :

    "A 17h10 la Préfecture de police de Paris n'avait pas encore communiqué sur cette mobilisation.

    Le 2 février dernier, le collectif revendiquait le même nombre de manifestants quand la police en avait compté 80 000".

    Les paris sont ouverts : combien de manifestants la PPP va-t-elle nous concéder ?

     Les chiffres tombent pour Bordeaux : 30 000 personnes. Enorme !

    BzMUzoyIEAEBAJO

    Et nous attendons encore les chiffres de la mobilisation bordelaise.

    Alors que tout le cortège n'est pas arrivé à destination :  Entendu sur @BFMTV:"Du monde, bcp de monde, alors que la fin du cortège est en train d’arriver loin très loin d’ici"

    BzMTgcpCIAArTII

     Aujourd'hui, nous étions ...

    BzMTYCsCAAE_GOU

    Et aujourd'hui, les amis, nous étions ... nous étions ... (suspense)

    Lire la suite

  • Depardieu déclare qu’il a quitté la France car on allait le tondre comme en 45

    Dans une interview à l’hebdomadaire Le Point paru jeudi,  l’acteur a balancé ses 4 vérités à l’occasion de la sortie d’un récit autobiographique, « Ca s’est fait comme ça » (XO Editions) :

    Depardieu

    Il est tout d’abord revenu sur son exil en Belgique : « Je suis à l’extérieur de tout ce merdier. Je ne vis pas là-bas (en France). Je plains les  quand j’entends ce qu’ils me racontent. [...] Ils ont perdu leur bonheur, ils n’y croient plus. [...] Je suis parti parce que j’avais l’impression qu’on allait me tondre. Comme après 45, comme un collaborateur. , je suis un homme libre. Je ne veux pas, à 65 ans, payer 87% d’impôts. Je trouve ça normal de payer, mais pas à des cons qui pensent qu’ils font le bien. Il y a ici une haine de l’. »

    Après qu’il eut opté pour un exil fiscal en Belgique, il déclare  « On est quand même allé jusqu’à vouloir m’ôter la nationalité française. Et sur ce, un colin froid me traite de minable. Ça, c’est trop. J’ai même appelé . Je l’ai eu et je lui ai dit : ‘T’es content de toi ?’. Il m’a dit : ‘Je ne suis pas tout à fait d’accord avec mon .’ Je lui ai dit qu’il avait de la chance d’être là, parce que ç’aurait dû être Strauss-Kahn s’il ne s’était pas fait pincer la quéquette. ‘Vive  ! j’ai dit, je me barre’.  »

    « Je suis parti parce que j’avais l’impression qu’on allait me tondre. Comme après 45, comme un collaborateur », déclare l’acteur français qui a obtenu la citoyenneté  en 2013.

    Quant aux Français, ils « ont perdu leur bonheur, ils n’y croient plus. Ils ont même perdu leur ouïe, leur odorat, leur vitalité », ajoute le monstre sacré du cinéma français, qui se dit « pas mécontent que les Bretons aient foutu le feu, l’autre jour ».

    « Depuis qu’ils ont fait sauter les péages, il y a une vraie âme qui revient », déclare l’acteur en référence aux incendies provoqués fin septembre dans l’ouest de la France par des producteurs de légumes mécontents.

    Il regrette que la France soit « devenue une petite chose dont on ne parle plus »

    http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2014/10/coup-de-gueule-depardieu-declare-quil.html

     

    Source Article from http://reseauinternational.net/coup-gueule-depardieu-declare-quil-quitte-france-car-on-allait-tondre-en-45/

    http://www.altermedia.info/france-belgique/reseauinternational/depardieu-declare-quil-a-quitte-la-france-car-on-allait-le-tondre-comme-en-45_118086.html

  • Des étrangers utilisent des réseaux pour se faire soigner gratuitement en France

     

    Nous vous vous l’avons déjà indiqué, le gouvernement socialiste a décidé d’être généreux avec les clandestins en augmentant le budget de l’Aide médicale d’Etat. Cette augmentation passe mal alors que le gouvernement socialiste ne cesse de demander aux Français de se serrer la ceinture et décide ainsi de réduire la prime de naissance et de rendre plus contraignant le recours au congé parental. Cette décision déjà anti-familles est surtout complètement irénique quand nos confrères de Valeurs actuelles nous indiquaient déjà en juin dernier que des malades étrangers s’organisaient pour se faire soigner gratuitement en France.

    Devant une Commission du Sénat, la ministre de la Santé Marisol Touraine ne peut que dire la vérité. Sans retenue, elle déclare : « C’est incontestable, nous avons constaté en 2013 un fort dépassement par rapport à l’objectif de ces dépenses puisque nous avions prévu une dépense de 588 millions d’euros et que les dépenses constatées seront à l’arrivée de 744 millions d’euros ». Ces dépenses ? L’AME, ou Aide Médicale d’Etat, destinée aux étrangers en situation irrégulière et précaire. Sur le site internet de l’Assurance maladie, les conditions sont simples : « Tout enfant mineur de parents en situation irrégulière est d’office éligible. L’AME est attribuée sans condition aux mineurs dont les parents sont en situation irrégulière même lorsque ces derniers n’en bénéficient pas encore ou dépassent le plafond de ressources».

    Le budget alloué à l’AME a donc explosé, passant de 744 millions d’euros en 2013 au lieu des 588 prévus au budget. La raison ? Marisol Touraine, là encore, ne la cache pas : elle a indiqué sa « préoccupation » face à « des filières de personnes étrangères venant se faire soigner dans certains hôpitaux français (…) cela amène à la nécessité d’enclencher très rapidement un travail diplomatique de coopération internationale avec les pays d’origine »En clair, la ministre a reconnu l’existence de filières de patients venus d’autres pays qui abusaient de l’AME. Cette constatation est rappelée aujourd’hui par Le Parisienqui consacre une enquête à ces filières.

    Pour lire l’article dans son intégralité

    Ce qui est en indiqué en gras l’est par nous, Novopress

    http://fr.novopress.info/176042/etrangers-utilisent-reseaux-se-faire-soigner-gratuitement-en-france/

     

  • Pour un référendum sur la loi Taubira

    Madeleine Bazin de Jessey, agrégée de Lettres classiques et porte-parole de Sens Commun, propose un référendum sur la loi Taubira :

    "[...] les sondages sont clairs: le mariage et l'adoption pour les couples de même sexe sont loin de constituer un «acquis». Et le simple fait de soulever systématiquement le sujet de la loi Taubira dans les interviews politiques manifeste bien que le dossier n'est pas clos.

    Il a d'ailleurs été rouvert la semaine dernière, lorsque la Cour de cassation a donné un avis favorable à l'adoption d'un enfant issu d'une PMA réalisée à l'étranger. Cet avis constitue sans doute la preuve la plus éclatante qu'il a toujours été vain de prétendre séparer le mariage de la filiation, et toujours illusoire de ne pas voir dans la loi du «mariage pour tous» une véritable boîte de Pandore, la porte ouverte à la légalisation de la PMA, mais aussi, demain, à celle de la pratique des «mères porteuses», dite GPA.

    Nathalie Kosciusko-Morizet affirmait le même jour ne pas être favorable à l'abrogation de la loi Taubira, mais souhaiter que la droite dise plus clairement «qu'on n'empruntera pas le chemin de la GPA et la PMA», car «ce n'est pas un bon chemin».

    Ce chemin, la loi Taubira l'a déjà tracé, et nous en suivons la pente, lentement mais sûrement. C'est pour cette raison qu'il est nécessaire de faire marche arrière. [...]

    «Je crois qu'il est temps de réintroduire le référendum. Le référendum, c'est la clé», affirmait il y a deux semaines Nicolas Sarkozy. La Manif pour tous ne réclamait pas autre chose lors de son lancement, en novembre 2012. Il est en effet temps de réaffirmer l'importance de l'outil référendaire, capital en temps de crise et de méfiance à l'égard de la sphère politique. La droite, quand elle reviendra au pouvoir, devra organiser le débat apaisé que la gauche a refusé aux centaines de milliers de Français qui sont descendus dans la rue et qui y descendront encore dimanche. Elle devra organiser ce référendum que la gauche a balayé d'un revers de la main, parce qu'elleen craignait à l'évidence les résultats. Quand on aime la France, on ne craint pas d'entendre sa voix."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/10/pour-un-r%C3%A9f%C3%A9rendum-sur-la-loi-taubira.html

  • Dimanche 5 octobre TVL se mobilise pour la défense de la famille.

    Les équipes de TVLibertés seront au coeur de la manifestation parisienne de La Manif pour Tous.

    Elles interrogerons les personnalités présentes, suivront des familles venues manifester, seront dans les coulisses de l’organisation de la manifestation.

    Manif 5 octobre

    Dès dimanche 5 octobre, 13 heures, toutes les informations et interviews pourront être consultées sur le fil d’actualité disponible sur le site tvlibertés.com
    Dès dimanche 5 octobre, 13 heures, retrouvez une émission spéciale « rétrospective de deux ans de combat contre la loi Taubira »
    Dès dimanche 5 octobre, 13 heures, retrouvez les commentaires de nos reporters présents sur place
    Et le lundi 6 octobre en continu à partir de 19H, un Journal Télévisé spécial : “on ne lâche rien”

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/dimanche-5-octobre-tvl-se-mobilise-pour-la-defense-de-la-famille_118102.html#more-118102

  • Fabrice Nicolino : « Face à l’industrie chimique, tout le monde est tétanisé » (màj audio)

    Mise à jour du 04 octobre 2014

    Dans l’émission de France Inter “CO2 mon amour”, le 20 septembre 2014, Denis Cheissoux recevait le journaliste Fabrice Nicolino, au sujet de son nouveau livre consacré à l’industrie chimique. Également présent, Stéphane Sarrade chef du département de physico-chimie à la Direction de l’énergie nucléaire du CEA.

    France Inter

    90 millions de substances : tel est l’héritage, non définitif, que nous lègue l’industrie chimique depuis son inexorable essor, lors de la Première guerre mondiale. Parmi elles, combien de substances toxiques – DDT, phtalates, bisphénol A, cancérogènes et autres perturbateurs endocriniens… ? Pourquoi un tel silence, une telle absence de contrôle ?

    Dans son livre « Un empoisonnement universel », le journaliste Fabrice Nicolino raconte l’histoire de cette industrie et comment elle a, impunément et littéralement, inondé nos vie de molécules.

    Une situation dont nous prenons conscience seulement aujourd’hui en constatant ses terribles conséquences, de l’explosion des cancers à celle la maladie d’Alzheimer en passant par le diabète. Entretien.

    Basta ! : Votre nouveau livre traite de l’impact sanitaire des substances chimiques, omniprésentes dans notre vie quotidienne. Il constitue à la fois une histoire de la chimie de synthèse et un véritable réquisitoire contre l’industrie chimique. Quelle est l’origine de ce projet ?

    Fabrice Nicolino : [1] Cela fait très longtemps que je m’intéresse aux questions de contamination chimique. En 2007, j’ai notamment publié, avec François Veillerette, un livre intitulé Pesticides. Révélations sur un scandale français. Il y a une douzaine d’années, j’ai été profondément marqué par une étude publiée par une ONG américaine appelée EWG.

    Lire la suite 

  • Révélations à Wall Street : les enregistrements secrets qui font trembler Goldman Sachs et la Fed (ou quand les pires fantasmes se concrétisent)

    Depuis la diffusion de ces enregistrements, les analystes s’interrogent sur les relations un peu trop intimes entre la banque d’affaires et la Réserve fédérale de New York.

    Des documents audio gardés secrets ont été dévoilés ce vendredi aux États-Unis lors de l’émission de radio “This American Life”. Ils avaient été recueillis un an plus tôt par le site de journalisme d’investigation “ProPublica“.

    Ces enregistrements mettent au grand jour les possibles connivences entre la New York Federal Reserve Bank, la Fed, et les institutions financières qu’elle est censée surveiller et contrôler.

    “Si ces documents étaient authentifiés, cela voudrait dire que le contrôleur était complaisant avec les contrôlés. En clair que la Fed ne faisait pas le travail qui lui était assigné en manifestant une trop grande complaisance envers les organismes qu’elle est censée contrôler” explique Antoine Brunet, économiste et président de la société d’analyse de la conjoncture et des marchés AB Marchés.

    Michael Lewis, journaliste américain spécialiste de la finance, qualifie ces enregistrements “d’extraordinaires” dans un article publié sur le site Bloomberg View. Après avoir couvert la crise financière de 2008 aux Etats-Unis, le reporter a déclaré, une fois avoir écouté les bandes sonores : “l’équivalent de la vidéo de Ray Rice (joueur de football américain suspendu après la diffusion d’une vidéo le montrant en train d’agresser sa femme, ndlr) dans le secteur financier vient d’arriver“.

    Et c’est peu dire.

    Au total, quarante-six heures de conversations ont été enregistrées secrètement en 2012 par Carmen Segarra, une ancienne employée de la Réserve fédérale de New York, en charge de superviser la puissante banque d’affaires Goldman Sachs. Les bandes sonores révèlent que certains de ses collègues ont agi selon le bon vouloir de la banque.

    D’après ProPublica, ils en disent long sur “la tradition de déférence du plus grand régulateur de Wall Street vis-à-vis des banques“.

    Deux points de litige émergent des conversations que cette ancienne avocate a captées à l’insu de ses collègues. Le premier concerne une transaction entre Goldman Sachs et la banque espagnole Banco Santander.

    D’après les documents, la Fed n’a pas réussi à réglementer les banques, car elle n’encourageait pas ses employés à signaler des problèmes ou à poser des questions. Bien au contraire : les employés ne sont pas parvenus à convenablement surveiller ces puissantes banques, non pas parce qu’ils n’avaient pas les outils à leur disposition, mais parce qu’ils ont été dissuadés de les utiliser.

    Carmen Segarra avait été engagée par la Fed en octobre 2011 afin d’aider la banque à améliorer son système de surveillance. Dès son premier jour de travail, on lui a assigné la tâche d’observer Goldman Sachs. Au cours d’un certain nombre de réunions, elle apprend que les employés de la Fed avaient pour objectif de minimiser ou même d’ignorer les propos alarmants tenus par des employés de Goldman Sachs.

    Une fois, raconte-elle, un employé de la banque avait déclaré : “pour nos riches clients, certaines lois de protection des consommateurs ne s’appliquent pas“. Choquée, Carmen Segarra avait fait part de sa surprise à un de ses collègues, qui lui avait répondu : “Tu n’as rien entendu“.

    Un scandale en puissance qui fait dire à Michael Lewis, sur Bloomberg View : “Vous deviniez déjà confusément que les régulateurs étaient plus ou moins contrôlés par les banques. Maintenant, vous le savez. Et la raison pour laquelle vous le savez est qu’une femme a été assez courageuse pour combattre le système” écrit-il sur Bloomberg. Ces révélations sont d’autant plus importantes que, comme le souligne l’économiste Antoine Brunet, “jusque-là, dans les grands noms de la finance américaine, Goldman Sachs est certainement la banque qui a le mieux traversé tous les évènements depuis 2007. Elle n’avait encore jamais été impactée ni par la crise, ni après celle-ci“. Ce n’est donc plus le cas.

    D’autant plus qu’un autre point litigieux a été mis au jour par ces enregistrements, Carmen Segarra estime que Goldman Sachs n’a pas de garde-fou interne visant à éviter de possibles conflits d’intérêt, contrevenant ainsi aux règles de régulation bancaire. Mais, comme le prouve les enregistrements, alors qu’elle en averti sa direction, son manager, plutôt que d’en prendre note, lui conseille de “réfléchir un peu plus sur le choix de ses mots” lorsqu’elle lui explique que Goldman Sachs contrevient aux règles de la régulation.

    Selon Carmen Segarra, sa volonté de bien faire son travail lui a valu d’être renvoyée en mai 2012. En effet, alors qu’elle a tenté coûte que coûte de convaincre Goldman Sachs de respecter les règles de la régulation bancaire, elle a été licenciée. Elle a, depuis, saisi les tribunaux pour obtenir réparation mais sa demande a été rejetée en avril dernier.

    De son côté, la Fed, comme le relaie le site This American Life, s’est défendue de toute irrégularité. “La Fed de New York dément catégoriquement les allégations faites concernant l’intégrité de sa supervision des institutions financières“, a-t-elle déclaré dans un communiqué. La banque centrale américaine a aussi affirmé que le licenciement de Carmen Segarra était “entièrement lié à ses performances“. Une défense somme toute logique pour Antoine Brunet car si la Banque centrale était amenée à dire autre chose “elle perdrait en crédibilité“.

    “Si la source est vérifiée et si la teneur des documents est bien celle retranscrite, cela voudrait dire que la Fed a échoué dans la mission qui lui était confiée et peut-être même qu’elle avait une complaisance excessive à l’égard des institutions qu’elle devait contrôler” poursuit l’économiste.

    Suite à la diffusion de ces enregistrements secrets, un membre influent du Sénat américain, Elizabeth Warren, a voulu engager des auditions sur les questions “perturbantes” soulevées par ces conversations entre des responsables de la banque et des contrôleurs de la Fed. Et d’affirmer : “Quand les régulateurs sont davantage préoccupés d’éviter aux grandes banques d’avoir à rendre des comptes que de protéger le peuple américain des comportements risqués et illégaux à Wall Street, c’est une menace pour toute notre économie“.

    Une menace confirmée par Antoine Brunet : “Si les grands organismes bancaires américains, considérés comme too big to fail, sont trop gros pour qu’on les laisse faire leur vie, si les dirigeants des grands organismes financiers américains savent que le contrôleur n’exercera pas son contrôle jusqu’au bout et savent qu’ils seront impunis en cas d’infraction à la réglementation, cela donne à ses dirigeants une impunité excessive. Une impunité qui ne peut que les encourager à des pratiques néfastes pour l’économie américaine dans son ensemble“.

    Atlantico

    http://fortune.fdesouche.com/357305-revelations-wall-street-les-enregistrements-secrets-qui-font-trembler-goldman-sachs-et-la-fed-ou-quand-les-pires-fantasmes-se-concretisent#more-357305