Le tribunal administratif du canton de St-Gall en Suisse a reconnu deux hommes comme étant les parents d'un enfant né aux Etats-Unis d'une mère porteuse. Les 2 hommes vivent en partenariat enregistré en Suisse.
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Location d'utérus : ils y viennent à coups de décisions judiciaires
L'Office fédéral de la justice (OFJ) a recouru contre la décision et porté l'affaire auprès du Tribunal administratif, qui vient donc de donner raison aux 2 hommes contre l'intérêt des enfants puisque cette décision légitime le recours à la location d'utarus, l'achat d'enfants et l'esclavage des femmes. Le jugement n'est pas encore définitif, puisque l'OFJ peut porter l'affaire devant le Tribunal fédéral. -
La tragédie du vol MH17 : une vérité gênante…
Le 22 août, la Malaisie a commémoré les victimes du vol MH17 de Malaysia Airlines. Le roi en personne s’est rendu à l’aéroport de Kuala Lumpur pour accueillir l’avion qui transportait les corps de ses sujets morts. Entre-temps, Washington et Kiev qui, aussitôt après le crash du 17 juillet, avaient accusé les insurgés du sud-est ukrainien d’avoir abattu le Boeing, n’ont fourni aucune preuve de leurs allégations. Les experts sont sûrs que le fait que les Etats-Unis refusent de rendre publiques leurs preuves témoigne du contraire.
La porte-parole adjointe du département d’Etat américain Marie Harf a déclaré au cours d’un point de presse que le gouvernement des Etats-Unis n’avait pas changé son idée sur les causes du crash du Boeing de Malaysia Airlines, à savoir que l’avion aurait été abattu par des « combattants pro-russes ». Invitée à commenter un mémorandum adressé à la Maison-Blanche par des vétérans du renseignement US, la porte-parole a déclaré que le contenu de ce document « ne collait pas avec l’appellation » de l’organisation qui l’avait initié. De fait, elle a accusé les anciens officiers du renseignement de manquer de patriotisme.
L’organisation publique américaine Veteran Intelligence Professionals for Sanity (VIPS) a adressé dès le mois de juillet un mémorandum à Barack Obama, l’appelant à en finir avec la rhétorique anti-russe et à dévoiler la totalité de l’information sur les circonstances de la catastrophe. L’ancien analyste de la CIA et porte-parole de VIPS Ray McGovern note que les vétérans ont été inquiétés par le refus du gouvernement de présenter à la société les conclusions faites sur la base des données du renseignement :
« Il n’y a eu que des déclarations de John Kerry comme quoi cela avait été fait par les pro-russes. Mais aucune preuve confirmant ces déclarations n’a été présentée. Il y a un an, quand on a appris que des armes chimiques avaient été utilisées près de Damas, John Kerry a aussitôt déclaré : nous savons que c’est Bachar el-Assad. Cette déclaration était un mensonge. Aujourd’hui nous savons que les armes chimiques ont été utilisées par des rebelles. John Kerry a aussitôt déclaré sur le crash du Boeing malaisien : +ce sont les Russes+. Depuis, silence total dans tous les médias américains. Et néerlandais aussi ».
La majorité écrasante des passagers du Boeing 777 de Malaysia Airlines effectuant la liaison entre Amsterdam et Kuala Lumpur, à savoir 196 personnes, étaient des ressortissants des Pays-Bas. Les Hollandais ont ouvert une enquête, formellement de concert avec la partie ukrainienne. Le Conseil de sécurité des Pays-Bas a déclaré récemment qu’il ne publierait pas intégralement les données des enregistreurs de bord du Boeing écrasé et qu’il publierait seulement l’information « ayant affaire à l’établissement des causes de la catastrophe aérienne ». On ne sait toujours pas quand sera publié le rapport des experts. Kiev, pour sa part, a expressément refusé de publier les enregistrements des conversations entre le pilote et le contrôleur aérien. Le professeur de l’Institut de hautes études internationales et du développement de Genève André Liebig trouve qu’un tel comportement est du moins étrange si les autorités de Kiev n’ont rien à cacher :
« Cette composante importante de l’enquête pourrait, semble-t-il, confirmer la version ukrainienne. Mais peut-être que les enregistrements des conversations ne confirment pas la version ukrainienne. Peut-être renferment-ils une autre information qui pourrait placer les Ukrainiens dans une situation délicate ou bien qui revêt un caractère stratégique. En tout état de cause c’est un obstacle capital au processus d’éclaircissement des événements véritables ».
Bref, tout est clair : l’affaire est renvoyée aux calendes grecques. Les raisons sont également évidentes : les faits si minutieusement cachés par Washington, ses alliés et Kiev, sont contraires à la version qu’ils ont eux-mêmes avancée. Le directeur général du Centre de la conjoncture politique Sergueï Mikheev en est convaincu :
« L’enquête ne confirme pas la version donnée par la partie ukrainienne et les Américains avec. A savoir que le Boeing aurait été abattu par les miliciens ou les forces armées russes. La campagne médiatique qu’ils avaient engagée s’est avérée fallacieuse, mais maintenant personne ne veut en parler. Des faits qui confirmeraient leur version n’existent pas ».
Aussitôt après la tragédie, la Russie a remis à toutes les parties intéressées ses données de contrôle, qui évoquaient l’implication dans l’accident d’un avion des forces aériennes d’Ukraine. Le professeur Liebig note cependant que cette version n’a pas trouvé de partisans officiels en Occident :
« La version alternative qui est actuellement la moins développée, c’est que le Boeing a été abattu par des tirs de canon de l’avion ukrainien qui l’accompagnait. Certains indices témoignent en faveur de cette version, mais ils ne sont pas nombreux. Un défaut de pièces à conviction se fait de nouveau sentir ».
La position de Washington n’a étonné qu’au début. Cependant sa certitude selon laquelle la tactique du silence lui permettra d’éviter des problèmes est dénuée de fondements. Des problèmes, l’administration pourra les avoir de la part des vétérans du renseignement. L’organisation VIPS regroupe de nombreux spécialistes prestigieux aux Etats-Unis, plus particulièrement d’anciens employés de la CIA. Si l’administration Obama continue de négliger leurs appels, cela pourra provoquer un immense scandale. De nombreux vétérans bénéficient toujours d’une grande influence au sein du Congrès.
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_08_22/La-tragedie-du-vol-MH17-une-verite-genante-0728/source : La Voix de la russie
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Location d'utérus : Catherine Dolto tire la sonnette d'alarme
Catherine Dolto, pédiatre et spécialiste de la relation mère-foetus, répond auTélégramme :
"On évoque souvent la situation des mères porteuses, l'aspect contestable de la transaction commerciale, mais rarement les conséquences pour l'enfant. Sur quoi vous basez-vous pour recentrer le débat ?
Sur 30 ans d'expérience clinique en tant qu'haptothérapeute, c'est-à-dire une personne qui accompagne les grossesses en organisant la rencontre entre les parents et l'enfant avant la naissance (...). Je suis très surprise que, dans ce débat, personne ne se pose la question du vécu de l'enfant. La GPA ne peut pas être sans trace, non seulement pour l'enfant mais aussi pour sa descendance (...). L'importance du début de la vie ne fait plus débat. Comment un enfant se construit-il dans le ventre d'une mère qui doit, au terme d'un contrat, s'en séparer ?
Pourtant cet enfant est lié à la mère porteuse...
Qu'on le veuille au non, cet enfant est en lien permanent avec elle. Il partage sa vie (...). Le foetus guette tout ce qui fait signe. Il est beaucoup plus poreux qu'on le croit au monde extérieur. (...) Cela laisse des traces très profondes. L'enfant in utero se prépare à entrer dans le monde de sa mère.
Et cette relation s'arrête brutalement...
Le bébé perçoit ce que sa mère perçoit. Cette mère porteuse est essentielle à son stade de développement. Elle est sa planète d'origine. C'est son être même qui s'est construit dans cette relation à cette femme. Et là, on l'oblige à faire un saut héroïque dans le vide, quand arrive la réalisation de ce contrat, la livraison de cet enfant."
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La laïcité : un instrument de combat contre toute religion qui n’est pas d’Islam
Communiqué de Gilbert Collard, Député du Gard :
"Un laïc, c’est étymologiquement [...] un membre du peuple chrétien qui n’appartient pas au clergé. Drôle de voir les bouffeurs de curé revêtir un mot qui leur va comme une mitre. [...] Aujourd’hui, en même temps que la laïcité est attaquée de toute part, ce mot prend un sens différent, partisan, comme s’il y avait la bonne et la mauvaise laïcité. L’idée de neutralité, chère aux pères fondateurs, n’existe plus. La laïcité n’est plus neutre. Elle n’est même plus historique. Elle veut déraciner les racines judéo-chrétiennes de la France : Jeanne d’Arc, le souvenir que chez nous « La Patrie est née du cœur d’une femme, de sa tendresse et de ses larmes, du sang qu’elle a donné pour nous… », que Clovis a reçu le baptême en l’an 500, que de Gaulle déclarait : « Pour moi, la France est un pays chrétien » ; nos églises, vieilles pierres des prières de nos pères, s’effondrent dans l’indifférence. Au nom de la laïcité, on interdit ou on tolère, on condamne ou on encense, empêchant l’émergence d’une laïcité apaisée, aboutissant à une laïcité à géométrie variable. Elle est un instrument de combat socialiste contre toute religion qui n’est pas d’Islam, pourquoi ? Alors que chacun a le droit de vivre sa foi, chacun dans le respect, pourquoi ? Une juridiction à Colmar rétablit le délit de blasphème en condamnant Christine Tasin à 3000 euros d’amende parce qu’elle a dit : « l’Islam est une saloperie » ! Voltaire et son « écrasons l’infâme », adressé au christianisme, 3000 louis d’amende ! Condamnera-t-on demain l’outrancière comme elle, qui affirmera : « le christianisme, le judaïsme est une saloperie ! », ce que ne se privent pas, du reste, de beugler des manifestants pro-palestiniens. Ménard, qui n’a rien d’un maire pénard, organise le 15 août 2014, une messe dans les arènes de Béziers ; scandale ! Soutane ! Satan ! L’inconsumable, Alexis Corbière des ânes trempe sa plume dans son bénitier pour fulminer : « Mépris évident de la laïcité, la féria de Béziers est née en 1968 à l’initiative d’un élu SFIO, laïque reconnu qui n’aurait pas toléré cela. La fausse laïcité version Le Pen et Ménard n’est que le masque d’un racisme institutionnel. » Vous remarquerez, au passage, que le Corbière des Ânes distribue des baptêmes de « laïque reconnu » ! Un nouveau label. Ainsi organiser une messe en faveur des chrétiens d’Orient persécutés par le fanatisme religieux est un acte « de racisme institutionnel » ! Ce même 15 août 2014, comme chaque année, une messe est organisée à Metz, jour de la fête de l’Assomption de la Vierge Marie ; des élus y assistent ! Cette messe commémore un événement tragique de l’occupation.Des militants d’une association « les profanes », inconnue jusqu’alors, en profitent pour distribuer des « kits laïcs » avec des bouchons d’oreilles pour dénoncer la présence, profanatrice de la laïcité, des élus… Toute la presse en parle ! Que ne peut –on distribuer des kits anti-connerie pour nous boucher les oreilles. Pourquoi tous ces chantres de la laïcité ne s’indignent-ils pas quand la mairesse de Paris dépense aux frais du contribuable, peut – être laïque, 70 000 euros pour fêter le ramadan, que je respecte ? Pourquoi n’exigent-ils pas qu’on honore dans les mêmes conditions le Vendredi saint où la fête de Kippour? Pourquoi acceptent-ils que Hollande souhaite un bon ramadan ? Pourquoi tolèrent-ils que le premier ministre participe au repas de rupture du jeune ? Pourquoi supportent-ils le communautarisme qui tétanise l’école ? Pourquoi ont-ils admis, sans rien moufter, qu’au sein du conseil du culte musulman existe une commission chargée « de proposer des orientations sur l’enseignement du fait islamique destinées aux établissements scolaires » ?
Ils ont des bouchons d’oreilles sélectifs ou ils sont bouchés à l’émeri ?
À quand une laïcité sans discrimination, sans arrière- pensées électoralistes, qui place chacun sur un pied d’égalité devant les divers modes d’emploi de l’accès à son Dieu !"
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Faut-il pousser du 6e étage celui qui en ferait la demande ?
Jean Fontant, président-fondateur de Soigner Dans la Dignité, écrit dans Le Figaro :
"Il n'est pas dans nos habitudes de nous arrêter sur des cas particuliers. Quelle qu'elle soit, la maladie est toujours une étape douloureuse dans la vie d'une personne et d'une famille, et elle ne doit pas être exposée aux yeux de tous. Nous ne pouvons que déplorer la publicité accordée sans retenue à certains cas difficiles, qui relève parfois de tentatives de manipulation de l'opinion publique. Madame Boucheton, vice-présidente de l'ADMD, a voulu toutefois, dans ce qui semble être un ultime acte de militantisme, donner à sa propre maladie un caractère public. Tout en regrettant cet état de fait, nous nous devons de réagir à ce billet, quelque pénible que soit le commentaire d'un tel cas.
La liberté d'une personne malade doit être respectée. Le droit français encadre et protège cette liberté, renforcé par les lois de 1999 et 2002. Le médecin se doit d'écouter, de prendre en compte et de respecter la volonté d'une personne malade, même lorsque celle-ci va à l'encontre de sa santé. À la lecture du billet de Madame Boucheton, on comprend qu'elle a pu faire usage de cette liberté, puisqu'elle a refusé le traitement chirurgical qui lui a été proposé, et que les conséquences ont été douloureuses. On a du mal à saisir la teneur du reproche fait aux médecins, qui semblent avoir respecté la volonté de la patiente, en conformité avec la loi et selon l'étendue de leurs connaissances médicales, limitées quand il s'agit de déterminer un pronostic. Ceux-ci se retrouvent alors dans l'impossibilité de donner des réponses précises à ces questions douloureuses.
Ayant fait le choix d'aller mourir en Suisse, profitant de la flexibilité des lois helvétiques sur le cas du «suicide assisté», Madame Boucheton s'emporte à l'encontre de cette inégalité qui ne permet qu'aux plus riches de profiter de ce dispositif, eu égard à son coût certain. Il est utile de rappeler que l'égalité entre les citoyens que garantit la constitution française est une égalité devant la loi, et non devant la transgression. Qu'il soit plus facile aux plus aisés de se mettre au-dessus des lois n'est pas nouveau, ce n'est pas pour autant qu'il faille autoriser en France tout ce qui est permis dans l'un ou l'autre pays étranger. Que l'on s'avise par exemple de transposer en droit français certaines dispositions législatives mauritaniennes ou saoudiennes relatives aux droits des femmes…
Pour en rester sur des bases juridiques, la fraternité affirmée par notre constitution et portée au fronton de nos monuments ne peut s'appliquer lorsqu'il s'agit de justifier ou de faciliter une transgression de la loi. Si la France fait preuve de fraternité dans ces situations de fin de vie, c'est en facilitant l'accès aux soins palliatifs, qui soulagent les douleurs physiques et les souffrances morales. Cette même fraternité est au cœur du devoir d'assistance à personne en danger, qui régit notamment la prévention du suicide. Comment qualifier de fraternelle l'attitude d'un homme qui, en réponse à l'appel à l'aide d'un ami traversant une passe difficile, le pousserait de sa fenêtre du sixième étage? La fraternité s'exerce également au sein des services hospitaliers où, chaque jour, l'équipe soignante met ses compétences et qualités humaines au service du patient.
C'est avec des regrets que nous observons cette affaire inutilement médiatisée, et s'il ne nous appartient pas d'en juger les protagonistes, nous devons faire savoir que le principe et les enseignements qui en sont tirés nous semblent fallacieux."
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La chape du politiquement correct remplace la censure de l’époque communiste
Le professeur Bogdan Chazan est ce gynécologue obstétricien polonais pro-viedémis de ses fonctions de l’hôpital de la Sainte-Famille en juillet, après avoir refusé de pratiquer un avortement dit "thérapeutique". Il répond à Présent du jeudi 21 août :
"Vous avez invoqué votre clause de conscience pour refuser d’indiquer à la patiente de votre hôpital un médecin avorteur comme l’exige la loi polonaise. Comment concilier la conscience des médecins et la possibilité offerte par la loi polonaise d’avorter, lorsque l’enfant conçu souffre de déficiences incurables ?
Il faudrait tout simplement que les autorités en charge des questions de santé publient une liste des établissements où il est possible de se faire avorter. Seulement, le ministère de la Santé et le NFZ [l’organisme qui finance les dépenses de santé des assurés sociaux en Pologne, ndlr] s’y opposent. Peut-être ont-ils peur que les hôpitaux de la liste ne soient alors stigmatisés. Mais d’un autre côté, dans la position où je me trouvais, moi, en tant que médecin et directeur d’hôpital, je ne pouvais pas donner le nom et les coordonnées d’un médecin qui accepterait de faire un avortement, car je ne connais pas les noms de ces médecins, je n’ai pas de liste de médecins avorteurs dans ma ville. Que fallait-il que je fasse ? Que je téléphone à mes collègues médecins et que je leur demande : « Vous ne feriez pas des avortements, par hasard ? » On pourrait alors m’accuser de harcèlement.
Comment expliquez-vous le contraste en Pologne entre, d’une part, la population qui s’oppose très majoritairement à l’avortement et, d’autre part, une partie importante de la classe politique, et surtout les plus gros médias, qui semblent plutôt en faveur d’une libéralisation de l’accès à l’avortement ?
Il y a plusieurs causes à cela. Il y a cette chape du politiquement correct qui remplace aujourd’hui efficacement la censure de l’époque communiste. Il y a la pression des organisations à sensibilité de gauche. Il y a l’action du lobby des sociétés qui produisent les contraceptifs, les pilules abortives et les produits utilisés dans les avortements. Et il y a aussi la pression exercée par l’Union européenne.
Je me souviens encore très bien de l’époque où les yeux des Polonais étaient tournés vers Moscou et où l’on se demandait toujours ce que notre « grand frère » communiste allait penser ou dire. Les Polonais ont une mauvaise estime d’eux-mêmes et, de la même manière, nos yeux sont aujourd’hui tournés vers Bruxelles. Nous nous demandons ce que l’Europe va penser de nous, ce que nos « grands frères » européens, réputés plus mûrs que nous, vont penser… Je crois que cela vient de notre caractère national, qui veut que nous nous sous-estimions souvent. Nous souffrons d’un véritable complexe d’infériorité. On parlait autrefois sans arrêt de l’aide de l’URSS, de l’exemple de l’URSS, et ainsi de suite.Aujourd’hui la situation est identique, sauf que l’UE a remplacé l’URSS.
Une autre chose, c’est que pendant les campagnes électorales beaucoup de candidats se disent chrétiens ou favorables aux valeurs chrétiennes mais, une fois élus, ils oublient leur discours et considèrent que leur conscience doit rester dans la sphère privée. Cela montre la volatilité de leur conscience, leur immaturité, mais aussi la fragilité de leurs valeurs et de leurs convictions. Ces personnes ne devraient pas être réélues.
En France, le gouvernement a créé un site internet soi-disant pour informer sur l’avortement, où il n’est question que du « contenu » de l’utérus, et pas d’un enfant ni même d’un fœtus. Du reste, en France, on préfère parler d’IVG pour ne pas dire le mot « avortement ». Vous êtes médecin gynécologue obstétricien. Que pensez-vous des termes qu’on utilise pour ne pas parler d’enfants ?
Il faudrait qu’on puisse nous dire quand ce « contenu » devient un enfant. Quel est le moment du changement radical qui transforme un simple contenu en être humain ? La réalité, c’est que ce moment n’existe pas. Le fil de la vie n’a que deux bouts : la conception et la mort. Il n’y a pas plusieurs commencements.
Ces techniques de langage dont vous parlez, le fait de parler de « contenu de l’utérus », ce sont des méthodes sociotechniques qui visent à nous insensibiliser. Ce sont des techniques de propagande. Il y a eu autrefois un monsieur dont le nom commençait par « G » [Goebbels, ndlr] et qui faisait ça très bien. Ces méthodes ne font pas honneur à ceux qui les utilisent encore aujourd’hui."
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Propagande LGBT sur la pseudo-homophobie
Comme les témoignages sur l'homophobie sont peu nombreux, l'association subventionnée SOS Homophobie lance, avec le soutien du régime Hollande, un appel à l'aide pour obtenir des témoignages, au moyen d'une campagne financée par vos impôts. L'association qui est chargée de sa réalisation la présente ainsi sur son site : il s'agit de simuler une scène de crime (quel bon goût!) pour dénoncer un acte homophobe imaginaire (ce n'est pas étonnant : on sait que les idéologues de ce genre ne sont pas très attachés à la réalité).
Estimer que les actes homosexuels sont des moeurs dépravés, c'est de l'homophobie... A ce titre, continuer à enseigner, selon le catéchisme, que les actes homosexuels sont contre-nature, c'est certainement de l'homophobie "ordinaire" selon ces censeurs, ces idéologues, ces terroristes intellectuels.
Leur vision de l'homophobie, c'est le nouveau nom de la police de la pensée.
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Des vérités qui dérangent sur le crash du vol MH17?
C'est possible :
"L'organisation publique américaine Veteran Intelligence Professionals for Sanity (VIPS) a adressé dès le mois de juillet un mémorandum à Barack Obama, l'appelant à en finir avec la rhétorique anti-russe et à dévoiler la totalité de l'information sur les circonstances de la catastrophe. L'ancien analyste de la CIA et porte-parole de VIPS Ray McGovern note que les vétérans ont été inquiétés par le refus du gouvernement de présenter à la société les conclusions faites sur la base des données du renseignement :
« Il n'y a eu que des déclarations de John Kerry comme quoi cela avait été fait par les pro-russes. Mais aucune preuve confirmant ces déclarations n'a été présentée. Il y a un an, quand on a appris que des armes chimiques avaient été utilisées près de Damas, John Kerry a aussitôt déclaré : nous savons que c'est Bachar el-Assad. Cette déclaration était un mensonge. Aujourd'hui nous savons que les armes chimiques ont été utilisées par des rebelles. John Kerry a aussitôt déclaré sur le crash du Boeing malaisien : +ce sont les Russes+. Depuis, silence total dans tous les médias américains. Et néerlandais aussi ».
La majorité écrasante des passagers du Boeing 777 de Malaysia Airlines effectuant la liaison entre Amsterdam et Kuala Lumpur, à savoir 196 personnes, étaient des ressortissants des Pays-Bas. Les Hollandais ont ouvert une enquête, formellement de concert avec la partie ukrainienne. Le Conseil de sécurité des Pays-Bas a déclaré récemment qu'il ne publierait pas intégralement les données des enregistreurs de bord du Boeing écrasé et qu'il publierait seulement l'information « ayant affaire à l'établissement des causes de la catastrophe aérienne ». On ne sait toujours pas quand sera publié le rapport des experts. Kiev, pour sa part, a expressément refusé de publier les enregistrements des conversations entre le pilote et le contrôleur aérien. Le professeur de l'Institut de hautes études internationales et du développement de Genève André Liebig trouve qu'un tel comportement est du moins étrange si les autorités de Kiev n'ont rien à cacher :
« Cette composante importante de l'enquête pourrait, semble-t-il, confirmer la version ukrainienne. Mais peut-être que les enregistrements des conversations ne confirment pas la version ukrainienne. Peut-être renferment-ils une autre information qui pourrait placer les Ukrainiens dans une situation délicate ou bien qui revêt un caractère stratégique. En tout état de cause c'est un obstacle capital au processus d'éclaircissement des événements véritables ».
Bref, tout est clair : l'affaire est renvoyée aux calendes grecques. Les raisons sont également évidentes : les faits si minutieusement cachés par Washington, ses alliés et Kiev, sont contraires à la version qu'ils ont eux-mêmes avancée" (suite).
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La France glisse-elle vers une République islamique ? (partie 2)
Par La Voix de la Russie | La charia s'applique-t-elle en France ? Nous avons téléphoné au tribunal de Belfort pour avoir sa position sur « l'islam est une saloperie» de Christine Tasin et sur le souhait de « charia » plus sévère de la République du siteSaphirnews.
Mais le procureur Alexandre Chevrier, en charge de la presse, a refusé de répondre à la question de savoir si le droit français aurait évolué en direction de la charia, disant qu'il ne connaissait pas son interlocuteur.
La Voix de la Russie : Bonjour. Je souhaite avoir votre avis sur Christine Tasin qui a dit, « Il y a en France au moins un tribunal islamique, c'est le tribunal de Belfort ».
Procureur : Rien, que voulez-vous que je vous dise et que je réponde à ça ? Le tribunal a rendu sa décision je n'ai pas d'autres commentaires à faire.
LVdlR : Mon travail est d'avoir votre position.
Procureur : Je ne commente pas du tout les commentaires de Madame Tasin, voilà.
LVdlR : Sur le site du quotidien musulman Saphirnewsa été écrit,« Vivement que la charia de la République soit bien plus sévère contre l'islamophobie décomplexée ».Est-ce-que vous pouvez dire quelque chose par rapport à ces dires ?
Procureur : Non, je ne rentre pas dans ce genre de débat avec des interlocuteurs que je ne connais pas. Ce n'est pas mon rôle. Mon rôle est d'appliquer la loi de la République française et pas autre chose contrairement à ce qui est dit. Le tribunal a considéré que les poursuites qui avaient été exercées par le parquet étaient tout à fait fondées et a déclaré coupable madame Tasin. Elle a fait appel. La cour d'appel se prononcera. Je n'ai pas d'autres commentaires à faire. Je ne vais pas commenter ni la décision qui a été rendue, ni les commentaires qui sont faits.
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Ukraine : invasion russe avec des camions humanitaires
Lu sur IHS News :
"La Russie a perdu la tête, l’occident l’avait pourtant prédit, Moscou n’attendait qu’une chose, envahir l’Ukraine. C’est chose faite le Kremlin a lancé l’invasion…avec près de 300…camions humanitaires (sans doute que Poutine ne dispose plus de chars).
Redevenons sérieux quelques instants! Depuis hier les médias s’offusquent et crient à l’invasion.
Sur le fait en lui-même, le président russe a-t-il eu raison d’ordonner au convoi humanitaire de rentrer en Ukraine ou aurait-il dû attendre ?
Tout dépend sous quel angle on se place. Sous l’angle Atlantiste, cela n’arrangera pas les relations c’est certain, mais depuis le début de la crise ukrainienne et le putsch de Kiev (n’oublions pas que le précédent gouvernement a été renversé et que les occidentaux ont applaudi des deux mains), quoi que puisse faire Moscou, et surtout ne pas faire, est détourné et immédiatement sujet à des sanctions. [...]
Il aurait pu, c’est vrai attendre l’accord ukrainien qui ne serait sans doute jamais arrivé. L’Ukraine prétextant n’avoir pas eu le temps d’inspecter les camions, alors que ceux-ci attendent depuis une semaine… Il n’y a pas eu la même entrave pour l’aide humanitaire venant de Pologne, il faut dire qu’elle n’était pas destinée aux civils de l’est de l’Ukraine mais à l’armée ukrainienne comme l’explique le site du gouvernement polonais. Une aide humanitaire à destination de l’armée tandis que les civils connaissent famine et bombardements comme à Gaza.
Alors la réaction du Kremlin peut se comprendre, ce n’est sans doute pas la décision la plus porteuse de paix, mais devant une situation où de toutes façons la Russie aurait été critiquée, autant s’affirmer comme un chef d’état fort et venir en aide aux civils d’Ukraine.
Car, si l’on atteint les presque 3.000 morts à Gaza, ici on les a dépassés depuis longtemps…6.000 morts civils en quatre mois, plus de 400.000 réfugiés et tout cela à seulement 3.217 km de Paris ! Mais ceci, les médias n’en parle pas, préférant se focaliser sur les déclarations du président Porochenko qui affirme vouloir parler de paix alors qu’il bombarde le coeur de Donetsk. Ce scandale n’émeut personne en Europe, où en revanche la baisse du prix des fruits et légumes fait la Une des médias. [...]"