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lobby - Page 1895

  • Djihadistes aujourd’hui en Syrie. Et terroristes demain en France ? (vidéo)

    19/05/2014 – PARIS (NOVOpress) - Dans le cadre de sa dernière campagne politique, réclamant la déchéance de la nationalité pour les djihadistes partis en Syrie, le Bloc identitaire vient de publier sa dernière vidéo, « Aujourd’hui djihadistes en Syrie, demain terroristes en France ». Le Bloc identitaire insiste sur la menace terroriste élevée que font peser les combattants musulmans de retour de Syrie, évoquant au passage Mohamed Merah ou le gang de Roubaix. Cette campagne a été reprise à l’Assemblée nationale par le député Jacques Bompardqui a déposé le 14 mai une proposition de loi visant à élargir la déchéance de la nationalité française :

    « Des individus ayant une double nationalité partent désormais faire la guerre au profit de groupes terroristes. La menace est grande que ces combattants perpètrent à leur retour des attentats sur le sol français. Les articles 25 et 25-1 du code civil permettent la déchéance de nationalité d’un individu. L’article 25 du code civil doit être modifié pour permettre d’inscrire clairement la possibilité de déchoir de la nationalité française un individu ayant la double nationalité et ayant agi au sein d’un groupe terroriste. Cette modification est indispensable car le cadre légal actuel est trop strict. À l’instar du Royaume-Uni, la France doit protéger l’ordre public en permettant la déchéance de nationalité pour toute participation à une action terroriste. »

    http://fr.novopress.info/166901/djihadistes-aujourdhui-terroristes-demain-video/

  • L'utopie d'une Europe sans peuples ni nations

    L'Europe de Bruxelles est-elle le laboratoire du nouveau totalitarisme qui se met en place avec une évidence croissante à l'échelle du monde entier ? À considérer l'évolution du projet supranational européen et la manière dont les « États membres » et les peuples sont toujours davantage dépouillés de leur souveraineté (avec la complicité des gouvernements), on peut malheureusement le penser.

    À cet égard, le traité de Maastricht, signé en 1992, a représenté une étape décisive. Jamais encore on n'avait vu, dans les pays de l'Union européenne, un tel déferlement de propagande. En France, le président de la République lui-même, François Mitterrand, n'épargna rien pour faire gagner le camp du « oui » lors du référendum, misant sur les sentiments de compassion et de solidarité des Français en rendant publique la maladie dont il était atteint, et engageant le prestige présidentiel lors d'un débat qui l'opposa à Philippe Seguin, alors chef de file des « nonistes » - qui ne devait pas tarder à retourner sa veste. En dépit de ces efforts et de ce qu'il faut bien appeler un bourrage, de crâne massif, le « oui », en France, l'emporta de très peu.

    La « revotation », ou « bon » vote

    Mais au Danemark, c'est le « non » qui gagna. L'on y appliqua alors une recette qui devait faire florès ailleurs au cours des années suivantes : la revotation. Le principe en est simple : lorsqu'un peuple, à l'occasion d'un référendum, se prononce à rebours du sens de l'histoire concocté par les européistes, il est invité à retourner aux urnes quelque temps plus tard, après quelques aménagements du traité qui fait l'objet du vote. C'est ce procédé qui a été utilisé en Irlande après le rejet par le peuple irlandais du traité de Lisbonne, en 2008. Lors du deuxième référendum danois, il n'en alla pas aussi simplement : une partie de ceux qui avaient voté « non » au premier tour, s'estimant joués - ajuste titre -, manifestèrent leur colère dans la rue, la police tira, il y eut deux morts dont on parle très peu dans les médias français.

    Une autre stratégie a été utilisée, en France, pour effacer les conséquences du rejet par le peuple français du projet de Constitution européenne concocté par l'ancien président Valéry Giscard d'Estaing : Nicolas Sarkozy fit adopter le traité de Lisbonne, qui en reprenait l'essentiel, par le Parlement réuni en Congrès. La méthode a mis en évidence le fossé qui sépare les élus - censés représenter le peuple, mais qui représentent essentiellement les intérêts des partis qui leur délivrent l'investiture nécessaire à leur réélection - et le peuple lui-même. Les grands médias, très favorables au projet européiste, évitèrent de le souligner.

    Une Commission européenne frappée d'autisme

    Les traités de Maastricht, d'Amsterdam (signé en 1997), de Lisbonne, ont représenté autant d'étapes sur le chemin qui mène au fédéralisme et à l'instauration d'un gouvernement européen, qui couronnerait en quelque sorte une Europe supranationale. La création de la zone euro, la banque de Francfort, les pactes de stabilité et budgétaires, qui dépouillent les gouvernements nationaux de leur souveraineté en matière financière, la Cour européenne de justice qui juge et sanctionne les États « coupables » de n'avoir pas appliqué les traités ou le droit européens, les bureaux bruxellois depuis lesquels des fonctionnaires inconnus (combien de citoyens français connaissent-ils seulement les noms des commissaires européens ?) édictent des réglementations qui priment sur les lois votées par des assemblées paraît-il démocratiquement élues : tout cela va dans le même sens. Depuis la présidence de Valéry Giscard d'Estaing, les gouvernements français se sont prêtés à ce jeu, multipliant sans vergogne les abandons de souveraineté.

    Certes, les peuples rechignent, échaudés par l'augmentation du coût de la vie consécutive à l'adoption et à la mise en circulation de l'euro, dont on leur avait promis monts et merveilles, ainsi que par l'accumulation de règlements et de normes qui compliquent la vie des citoyens et entravent l'activité industrielle et économique, aggravant ainsi le chômage. Mais comme le remarque Paul-Marie Couteaux, la machine eurocratique n'a pas besoin de l'enthousiasme des peuples pour fonctionner. La Commission européenne paraît d'ailleurs frappée d'autisme lorsque, malgré ce désamour et ce désabusement des peuples à l'égard de l'eurocratisme qu'elle incarne, et tandis que le fossé se creuse entre les « pigs » du sud et les riches du nord, elle n'a de cesse que de rêver à de nouveaux élargissements de cette Union aux pieds fragiles et de tenter d'attirer l'Ukraine dans son sillage, au prix d'une querelle avec la Russie qui ne bénéficiera qu'au maître américain.

    Ne serait-il pas temps d'en revenir à l'Europe des nations ?

    Eric Letty Monde & Vie 

  • Le "processus paisible et tolérant"

    Emission révisionniste :

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Désinformation du Monde sur les jeunes « happés par la guerre »

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "Le Monde publie un article sur les sept jihadistes « strasbourgeois » qui viennent d’être arrêtés et mis en examen. Sous le titre :

    A la Meinau, sur les traces des jeunes Strasbourgeois happés par la guerre en Syrie

    On élimine les mots "musulmans" et "jihad". Exit l’islam, qu’il faut dédouaner à tout prix. Il ne reste que des « jeunes happés par la guerre ». Malgré eux… Le Monde leur dénie leur libre arbitre.

    Et on commence par verser une larme : « Deux membres de l'équipée, les frères Yacine et Mourad B., y ont perdu la vie, laissant derrière eux une mère veuve et un petit frère. »"

    Michel Janva

  • OK COMPUTER – Des images très compromettantes pour la NSA

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    Le cliché est accablant. Parmi les fichiers de l'Agence nationale de sécuité (NSA) américaine révélés par le livre Nulle part où se cacher de Glenn Greenwald, une photo montre des techniciens de l'agence au travail. Elle a été publiée mercredi par le site américain Ars Technica. On y voit des employés d'un des départements de la NSA baptisé Tailored Access Operations (TAO), mettre sous surveillance un routeur de marque Cisco. 

    Source de l'image : Capture d'écran du site http://arstechnica.com/ 

    Cette photo date de 2010. Elle faisait partie d'une newsletter envoyée en interne par le chef du TAO. La légende explique que le cliché de gauche montre les "colis interceptés ouverts précautionneusement" et celui de droite une "station implantant une balise" de surveillance. 

    Les multiples révélations de la presse alimentées notamment par Edward Snowden ont décrit minutieusement la façon dont la NSA espionnait les communications des chefs d'Etat et les organisations. Un dirigeant de la NSA cité dans l'article explique que les routeurs et serveurs étaient "interceptés" avant leur livraison à différentes organisations. Ils étaient ensuite "emmenés dans un endroit secret" où on y installait un "cheval de Troie". "Ces composants étaient ensuite reconditionnés et postés vers leur destination initiale", décrit ce manager. Selon lui, ce travail constituait une grande partie de l'activité du TAO. 

    La publication de cette photo conforte les informations du New York Times, qui, s'appuyant déjà sur des documents fournis par Edward Snowden, avait révélé que la NSA avait espionné le géant chinois de l'équipement réseau Huawei, notamment en pénétrant dans ses installations. Ces éloquentes images fragilisent aussi la position des Etats-Unis, qui ont longtemps montré du doigt les fabricants chinois d'équipements de réseau, les soupçonnant de n'être qu'un paravent du régime afin de surveiller Internet, et plus spécifiquement les intérêts américains. Une pratique à laquelle s'adonnent, à l'évidence, les Etats-Unis.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2014/05/ok-computer-des-images-tres.html

  • El Blanco censure tout humour

    Communiqué des Enfants des Terreaux :

    "Plus d’un ans après la publication d’un visuel humoristique détournant le logo d’une célèbre marque d’eau minérale en faisant la publicité de bombes lacrymogènes, nous apprenons qu’une enquête est diligentée suite à une plainte pour diffamation déposée par notre actuel premier ministre Manuel Valls, himself. Le visuel en question, signé des Enfants des Terreaux, a été créé au lendemain de la grande "Manif pour Tous" du 24 mars 2013 à Paris au cours de laquelle la police française, aux ordres de M. Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, s’est illustrée en gazant sans discernement jeunes gens, mamans et petits enfants en poussette.

    Mercredi dernier, une mère de famille a été auditionnée par la Police et ces dernières semaines plusieurs autres personnes indépendantes des Enfants des Terreaux nous ont rapporté avoir été auditionnées par la police pour avoir participé à des actions militantes organisées par les Enfants des Terreaux contre le mariage gay ou contre la théorie du genre.

    Aujourd’hui, lundi, c’est encore un militant qui a du aller répondre à un enquêteur mobilisé sur cette affaire prioritaire dont l’extreme gravité n’échappe à personne. Il est manifeste en tout cas que le Régime n’apprécie guère que soient dénoncés ses dérapages outranciers, ses excès et sa brutalité... surtout sous forme humoristique ! Au moment ou le climat d’insécurité se détériore en France et que l’avenir des français parait de plus en plus incertain, le prince de Matignon, dont la cote de popularité se dégrade de jours en jours, trouve pertinent de mobiliser la fine fleur de la Brigade Départementale de Protection de la Famille (!) pour retrouver les auteurs d’une plaisanterie qui a eu son petit succès sur les réseaux sociaux. Voici encore l'illustration que ce régime est décadent et à bout de souffle. Les Français apprécieront.

    T

    Michel Janva

  • Nouvelle « loi famille » : des apparences de vertu…

    La famille, on le sait, c’est l’enfant battu du gouvernement. Le souffre-douleur, sur lequel on cesse de s’acharner quelques temps quand, après un gnon plus gros que les autres, la maîtresse a fait les gros yeux, mais auquel on revient dès que celle-ci a le dos tourné. Avec plus de prudence. Rien que des pinçons sous le pull qui ne se voient pas.

    Arrive à l’Assemblée un nouveau texte : l’autorité parentale et « l’intérêt de l’enfant ». La précision dès l’intitulé, on le voit, cherche à convaincre… La garde alternée et le statut des beaux-parents, sujets épineux, s’appellent désormais « double-résidence de l’enfant » et « mandat d’éducation quotidienne ». Exit PMA et GPA, mais il n’est pas exclu qu’un jour ou l’autre elles-aussi reviennent, repeintes de frais, sous les noms pimpants – par exemple – « d’accompagnement à la conception » et de « délégation de grossesse ».

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  • Jean-Vincent Placé veut faire interdire E&R

    Incapables de discréditer le travail d’Alain Soral, de Dieudonné et des autres acteurs de la réinformation, les agents du système sont passés depuis peu à la vitesse supérieure en jouant l’une des dernières cartes de leur jeu : le contrôle judiciaire de l’Internet. Aujourd’hui, c’est Jean-Vincent Placé qui s’y colle.

    Invité sur les ondes communautaires de Radio J au micro du militant sioniste revendiqué Frédéric Haziza, le président du groupe Europe-Ecologie-Les Verts au Sénat affirme vouloir déposer une proposition de loi pour rendre plus facile la répression de certains propos sur l’Internet :

    « On ne peut plus laisser faire, laisser tous ces gens insulter, diffamer sur les réseaux sociaux […]. Cet espace de liberté formidable [...] ça ne veut pas dire la liberté d’insulter, de diffamer et d’injurier. »

    Si des personnes peu informées ont encore un doute sur les cibles que la classe politico-médiatique se donne pour mission d’abattre en priorité afin de sauvegarder ses privilèges, Jean-Vincent Placé dissipe tout malentendu :

    « J’avais soutenu ce qu’avait fait Manuel Valls par rapport à Monsieur Dieudonné, à un moment ça suffit ! […]

    Il n’est pas acceptable que sur le territoire national, il y ait encore des blogs comme celui d’Alain Soral. »

    Quant aux moyens à mettre en place, Placé précise :

    « Je souhaite qu’il y ait une organisation entre la police et la justice de notre pays pour qu’à un moment, on ait les moyens que le parquet s’auto-saisisse de ces questions-là, pour, y compris, arriver tout à la fois à condamner et avoir évidemment des réparations, mais aussi pouvoir interdire ! »

    Rappelons qu’en France, le parquet ou ministère public est sous l’autorité du garde des Sceaux, et que selon la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, il n’est pas considéré comme une autorité judiciaire indépendante [1]. La France a d’ailleurs été condamnée en 2010 dans le cadre de l’affaire Moulin par la Cour européenne des droits de l’homme pour avoir conféré au parquet des fonctions juridictionnelles [2].

    Écouter l’extrait concerné :

     

  • Christiane Taubira ne peut s’en prendre qu’à elle-même…

    Le peuple est-il coupable parce que le pouvoir n'a tiré aucune leçon du désastre des élections municipales ?   

    Je sais, à force, c’est lassant. J’y viens, j’y reviens, je persiste, je m’incruste et je confirme. Ce n’est pas nous qui allons chercher des noises à Christiane Taubira, c’est elle qui vient nous causer du souci assez régulièrement.

    Nous ne sommes pas coupables des offenses profondes ou dérisoires qu’elle inflige à la justice et à la démocratie. [...]

    Parce qu’elle n’a pas voulu chanter « La Marseillaise » et que des polémiques ont surgi à ce sujet.

    Pour le président de la République, elles sont « ridicules ». Pour le Premier ministre, « absurdes ». Pour le ministre Rebsamen, il y a « un relent de racisme » et pour le ministre Filippetti, c’est « ignoble ». Pour le secrétaire d’État André Vallini, la polémique est « stérile et absurde » et « personne ne peut douter un instant que Taubira aime la République ».

    Fermez le ban !

    [...]

    Pour ma part, quoi qu’on pense de l’obligation ou non de chanter « La Marseillaise » pour un ministre – en soi, il me semble que ce serait convenable –, je suis surtout frappé par le fait que Christiane Taubira se complaît en permanence dans une posture de singularité, voire d’incongruité, presque de provocation (qui la rend chère à la gauche pure), d’évitement mais révèle un atypisme aux effets dévastateurs pour la mission qui lui a été confiée puis renouvelée.

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  • Marion Le Pen défend la famille biologique. Pour Jean-Jacques Bourdin, c’est « dogmatique »…

    Encore un beau numéro de manipulation médiatique !

    Ce matin, Marion Le Pen était l’invitée de Jean-Jacques Bourdin pour un direct sur RMC et BFMTV. Quand Marion Le Pen encourage la France à faire des enfants français, le journaliste oriente immédiatement la question en l’assortissant d’un sous-entendu racialiste.

    Mais le meilleur est à venir. Marion Le Pen dénonce la politique gouvernementale qui nous fait passer de la famille biologique à la famille sociale, avec des tiers auxquels on accorde des droits parentaux. Aussitôt, Jean-Jacques Bourdin bondit en présentant la famille biologique comme « dogmatique » !

    Vas-y Bourdin, dis-nous tout de suite ce que les Français doivent penser, ça ira plus vite…