Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1896

  • La théorie du genre et l’influence mondialiste en Belgique : entretien avec Alain Escada.

    L’équipe belge du Cercle des Volontaires propose un entretien vidéo avec Alain Escada, président de Civitas, à l’occasion du lancement d’une antenne Civitas en Belgique. Alain Escada explique notamment comment la théorie du genre se propage en Belgique de la même façon qu’en France et comment tout cela s’organise à l’échelon international. Le président de Civitas dénonce une fois de plus le mondialisme qui s’oppose au christianisme, à la Famille et à la Patrie, et appelle à la mise en place de réseaux de résistance à travers les Nations.

  • Le jour où l’armée dira non !

    L’armée est actuellement un élastique tendu à son maximum qui n’attend plus qu’une torsion supplémentaire pour casser. 

    Pourtant le gouvernement avait promis, en échange d’un budget gelé à 31,4 milliards d’euros jusqu’en 2019 et de nouvelles réductions d’effectifs, de respecter les engagements financiers pris dans le cadre de la loi de programmation militaire. De toute façon, à partir de 2017, cette promesse aurait été caduque car les élections présidentielles auraient refilé le bébé au suivant.

    Pour mieux emporter l’adhésion des militaires au ministère, on précisait même : « Cette loi est un tout : si on retire une brique, l’ensemble s’effondre ! » Or, ce n’est pas une brique mais un mur entier que le gouvernement envisage d’enlever, suite à la nécessité d’économiser 50 milliards d’euros en trois ans.

    Il suffit pour cela d’entendre Valls et Bartolone parler, pour la Défense, « d’effort supplémentaire ». Voilà bien le problème : depuis des années, sous tous les gouvernements, on demande à l’armée de se saigner en lui promettant quelques années plus tard le monde des bisounours ! [...]

    J.-P. Fabre Bernadac - La suite sur Boulevard Voltaire

     
  • Italie : La bibliothèque municipale n’a pas le Coran, le Sénégalais la détruit

     

     C’est arrivé – vraiment arrivé – à Busalla, une petite ville de 5 700 habitants, dans la province de Gênes en Ligurie. Jeudi après-midi, un immigré Sénégalais de 24 ans est arrivé à la bibliothèque municipale. Il y a cherché en vain le Coran et « des livres de culture islamique ». Furieux, il a passé à tabac, à coups de poing et de pied, les deux responsables présents : une femme de 43 ans, bibliothécaire bénévole, et un homme de 64 ans, animateur de l’association « Pro loco » (l’association culturelle locale). Puis il a mis la bibliothèque à sac, renversant les étagères et jetant les livres par terre, avant de les déverser dehors, sur le trottoir. Le tout en hurlant « Allah akbar! »

     

    Alertés, les carabiniers et les vigiles de la Police municipale ont eu la plus grande peine à maîtriser ce musulman convaincu. « Après une lutte brève mais violente, il a été arrêté et inculpé de dommages aggravés, de résistance à la force publique et de coups et blessures sur les forces de l’ordre ». Il a ensuite été emmené à la prison de Marassi. L’un des policiers municipaux a 7 jours d’ITT.

    Examiné samedi, sur ordre du procureur, par les spécialistes du Centre d’hygiène mentale de Gênes, le Sénégalais a été « jugé parfaitement lucide et en état de comprendre et de vouloir ». Il comparaîtra lundi devant le juge d’instruction. « Les carabiniers travaillent actuellement à vérifier que le geste était isolé et qu’il n’y avait pas de commanditaires, ou de compatriotes qui auraient poussé l’individu à agir de la sorte ».

    Relayé par toute la presse locale, l’épisode a fait l’objet d’une brève dépêche de l’agence ANSA. Une première réaction politique est arrivée,celle de Francesco Bruzzone, président du groupe de la Ligue du Nord au Conseil régional : « Le moins que je puisse dire est que je suis déconcerté en apprenant des épisodes de ce genre. Mais il fallait un peu s’y attendre. Ce sont des exemples clairs de gens qui arrivent chez nous et qui veulent être les maîtres. Je souhaite que la justice suive son cours et que cet individu ne soit pas remis en liberté après quelques jours ». Francesco Bruzzone a également exprimé sa solidarité aux personnes agressées. « Je suis saisi d’horreur, a-t-il conclu, et j’espère que des nouvelles de ce genre réveilleront le cerveau des gens »

    http://fr.novopress.info/166886/italie-bibliotheque-municipale-na-pas-coran-senegalais-detruit/#more-166886

     

  • « Qu’est-ce qui se passe dans ce pays ? »

    Marine Le Pen tenait hier à Paris une grande réunion publique au cours de  laquelle elle a de nouveau exhorté nos compatriotes à se rendre aux urnes pour les élections européennes. Les Français doivent voter a-t-elle précisé afin notamment  que l’abstention élevée ne soit pas prétexte pour les partis du Système et leurs relais à minorer la nouvelle poussée du FN qui se dessine dimanche prochain. Dans l’enquête  d’opinion quotidienne réalisée pour Le Monde, le Cevipof, Terra Nova et publiée vendredi, les listes FN restent créditées d’une moyenne de 24 %  des suffrages, devant l’UMP (21,5%), le PS (17 %), Europe Ecologie-Les Verts ( 8,5 %), l’attelage UDI-MoDem (8 %) et le Front de gauche (7 %).

     Cette poussée patriotique  réactive une frousse mêlée de haine chez les adversaires de l’opposition nationale. Sans aller jusqu’à parler de «fantasme antisémite», comme le font Anne Sinclair et certains médias au sujet du film Welcome to New York d’Abel Ferrara avec Gérard Depardieu, inspiré du volet new yorkais de l’affaire DSK, notons que l’article paru surMediapart hier dénonçant les «thématiques  FNisantes » «d’Alain Finkielkraut », «Elisabeth Lévy» et « Eric Zemmour » pratique un curieux amalgame.

     Amalgame et mensonges qui sont les deux axes de communication de Martin Schulz, président du parlement européen, incarnation de l’aile gauche du parti eurobruxellois dont il est le candidat à la présidence de la Commission européenne. Interrogé par Metronews, il a réitéré ses affirmations grotesques, systématiquement contredites par les faits : le FNn’a pas de programme, ses élus sont des feignants, la philosophie  ultra libre échangiste de l’UE permet de défendre les Français dans la mondialisation, de lutter contre  le chômage et  la spéculation

     Actuellement en campagne en France contre le Front National, M. Schulz avait décidé avec ses amis socialistes français vendredi la tenue d’un Grand meeting de mobilisation àForbach (Moselle) contre le « populisme » et «pour l’Europe », en présence de Catherine Trautmann, numéro deux sur la liste PS dans le Grand Est et d’autres figures du parti. Cette réunion a été un  flop calamiteux et selon Le Figaro a réuni péniblement 150 personnes !

     Maigre motif de consolation pour ce dernier et ses amis, le meeting commun anti FN à Marseille, qui a réuni également vendredi l’idéologue sectaire  Vincent Peillon, tête de liste PS-PRG dans le Sud-Est et Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti Socialiste, s’est déroulé dans la même morne atmosphère et n’a pas non plus attiré les foules militantes.

     Un « étonnement planétaire » selon M.  Cambadélis, dimanche sur France 5. « Aux yeux du monde un signal terrifiant » selon le conducator du Front de Gauche,  Jean-Luc Mélenchon dans Direct matin ce lundi. Les deux hommes n’évoquent pas ici l’Académie de Nantes invitant la semaine dernière les garçons scolarisés à porter une jupe pour lutter contre le sexisme, mais la probabilité d’un FN en tête le 25 mai. 

      Sur France 5, Jean-Christophe Cambadélis a ajouté que dans cette hypothèse, «La patrie des droits de l’Homme sera d’un seul coup devenue la patrie de ceux qui veulent exclure les autres». Il a repris quasiment mot pour mot les éléments de langage de l’UMP,notamment de la tête de liste francilienne du parti de M. Copé,  le  fédéraliste EuropéisteAlain Lamassoure.  «A partir du moment où l’on voit le Front National en tête a-t-il dit, les investisseurs, les hommes et les femmes qui, à l’échelle mondiale, font de la France leur référence, les dispositifs économiques, tout le monde s’inquiète en se disant qu’est-ce qui se passe dans ce pays? » (sic).

     Ce qui se passe est très simple à comprendre : les Français entendent reprendre en main le contrôle de leur destin, les  fantasmes malsains agités pendant des années pour les dissuader de voter FN ne fonctionnent plus avec la même efficacité qu’avant.  La propagande du Système s’est fracassée sur le mur du réel. Ce qui menace la France disent nos compatriotes chaque jour plus nombreux,  ce n’est pas le programme du Front National, les défenseurs de l’Europe des patries,  mais la  doctrine euromondialiste portée par ses adversaires,  qui détruit nos identités, nos libertés, nos  forces vives

     L’ «insurrection démocratique et républicaine» à laquelle appelait M.  Peillon vendredi se fera, qu’il n’en doute pas. Mais certainement pas dans le sens  qu’il espérait  prédit Bruno Gollnisch.

    http://gollnisch.com/2014/05/19/quest-ce-se-passe-ce-pays/

  • Sans-papiers : à plusieurs, c’est mieux !

    400 sans-papiers, sous la houlette du collectif éponyme de Paris, ont fait irruption, le 17 mai, dans les locaux de la mairie du VIIe arrondissement.   

    Si, un jour, vous avez eu à solliciter le maire de votre commune, la secrétaire de mairie vous aura donné un rendez-vous en bonne et due forme, tel jour, telle heure. Cela ne se passe pas toujours ainsi.

    Environ 400 sans-papiers, sous la houlette du collectif éponyme de Paris, ont fait irruption, le 17 mai, dans les locaux de la mairie du VIIe arrondissement, pour demander la régularisation de 1.100 personnes. Brigitte Kuster, maire UMP en opération de tractage à l’extérieur, est revenue séance tenante à l’hôtel de ville : pas question de faire poireauter dans ses locaux 400 personnes venues sans rendez-vous ; on ne sait jamais ce qu’il pourrait arriver.

    « Ce n’est pas parce qu’il y a pression qu’il y a régularisation massive », leur a-t-elle expliqué. C’est bien dit. Mais, sans doute, ces 400 clandestins au grand jour ont-ils toujours dans les oreilles le discours du candidat Hollande excluant toute « régularisation de masse », et n’ont-ils pas eu vent de la circulaire du 28 novembre 2012 du ministre de l’Intérieur, assouplissant les conditions de régularisation ? Si vous vivez dans la clandestinité depuis cinq ans et que vos enfants sont scolarisés depuis trois ans, si vous êtes salarié clandestin mais que vous êtes en mesure de fournir des fiches de paie – ce qui est, il faut bien l’admettre, un peu compliqué aussi –, vous aurez droit à des papiers.

    Lire la suite

  • Face au gender, l'unidualité du couple

    L'abbé Guillaume de Tanoüarn, directeur du Centre Saint-Paul, a publié en janvier dernier une Histoire du mal. Il a été interrogé dans L'Action Française 2000. Extrait :

    "Critiquant les deux voies du féminisme, que sont l'enfermement dans le genre ou, au contraire, la volonté de détruire les genres, vous rejoignez l'actualité brûlante en évoquant « l'unidualité du couple » : « le masculin et le féminin » n'ont de sens que dans la perspective « du couple et de la famille »...

    HL'enfermement dans le genre, c'est bien le programme de Julius Evola, qui va jusqu'à penser une nature masculine et une nature féminine. Je trouve à ce monsieur bien peu d'expérience de la biodiversité humaine. Depuis des années, je répète en préparation au mariage qu'il y a des couples modèles mais qu'il n'y a pas de modèle de couple. Chaque couple est une histoire, avec deux tempéraments qui ont trouvé une modulation sur laquelle ils s'entendent et se répondent. Chacun a ses qualités et ses défauts et, contrairement à une idée trop répandue, les époux se choisissent autant sur leurs défauts que sur leurs qualités. L'unidualité de "l'une seule chair", c'est cela : chacun accepte non seulement les défauts de l'autre, mais les siens propres, dans un jeu de compensation où l'amour devra avoir toujours le dernier mot. Et dans cette harmonie duelle, pourquoi faudrait-il que les rôles soient fixés à l'avance, que l'homme fasse les comptes et la femme la cuisine ? C'est absurde. Il y a sans doute un mystère de la femme, c'est celui de sa maternité. Mais il y a aussi un mystère du couple, mystère inaccessible à la raison et qui défie toutes les prévisions. De ce point de vue, je dirais volontiers qu'il y a deux sortes de divorce, le divorce qui n'est qu'un constat d'immaturité persistante et le divorce qui exprime un refus de ce mystère du couple, de cette alchimie du couple, une volonté de tout rationaliser qui se transforme en instinct de destruction et d'autodestruction…"

    Michel Janva

  • Une Libye toujours aussi chaotique

    Alors que des affrontements ont fait au moins 79 morts et 141 blessés vendredi à Benghazi, dans l’Est libyen, le chef d’une force paramilitaire en Libye s’est dit déterminé à poursuivre son offensive contre ces mêmes milices islamistes. Seul petit problème, les autorités libyennes ont affirmé que son opération était une tentative de coup d’État. Tripoli considère cette offensive comme « un agissement en dehors de la légitimité de l’État et un coup d’État. » Khalifa Haftar est un général à la retraite ayant pris part à la révolte contre le régime de Mouammar Kadhafi en 2011.

    Entre islamistes, milices paramilitaires et instabilité politique, la Libye reste toujours aussi chaotique depuis 2011 et sans pouvoir trouver une solution.

    http://medias-presse.info/une-libye-toujours-aussi-chaotique/10108

  • Le mouvement « Les Mères Russes » apporte son soutien à la Journée de Retrait de l’Ecole (JRE)

    Le mouvement « Les mères russes » vient de faire savoir son soutien au mouvement français Journée de Retrait de l’Ecole (JRE) ainsi qu’au mouvement allemand « Parents Inquiets ». Des contacts sont pris en vue de coordonner une structure internationale pour la protection des enfants face aux entreprises mondiales de sexualisation des enfants dans les établissements scolaires.

  • Un étrange avion US à Téhéran : livraison d’uranium pour les ayatollah ? – par Laurent Glauzy

    L’information provient des articles duNew York Times intitulés Iran Gets an Unlikely Visitor, an American Plane, but No One Seems to Know Why (« L’Iran reçoit un visiteur inattendu, un avion américain, mais personne ne semble savoir pourquoi ») du 17 avril 2014 etPaper Shows U.S.-Flagged Plane in Iran Has Ties to Ghana (Le journal montre que l’avion portant le drapeau américain qui a atterri en Iran a des liens avec le Ghana) du 18 avril 2014. Quatre journalistes ont participé à sa rédaction, dont deux furent envoyés en Iran. Cette intrigue, ignorée de notre presse des caniveaux bien poussiéreuse, est donc prise avec le plus grand sérieux outre-Atlantique.

    Le 15 avril 2014 au matin, l’Iran a un étrange invité : un avion, propriété de la Bank of Utah, une banque de la secte mormone ayant treize filiales dans tout l’Utah. Portant une cocarde américaine, l’engin était immobilisé sur une partie visible de l’aéroport international de Mehrabad, à Téhéran.

    Cette observation est d’autant plus incompréhensible que les sanctions des États-Unis et de l’Union européenne à l’encontre de l’Iran - les mêmes qu’ils voudraient imposer à la Russie (nation n’ayant pas de banque Rothschild) - rendent improbables un tel évènement.

    Pour entrer sur le territoire iranien, le jet aurait eu besoin d’un permis de séjour délivré par l’Office of Foreign Asset Control, un service du département du Trésor américain où sont en vigueur les ITSR (Iranian Transactions and Sanctions Regulations), qui prohibent toute exportation américaine de nourriture, de services et de technologie vers l’Iran. L’éventualité qu’un jet américain atterrisse sur le territoire iranien est donc nulle. De plus, cet avion est un jet d’affaires Bombardier Challenger 600 de fabrication canadienne, équipé d’un moteur de la General Electric.

    Le département du Trésor, interpellé sur l’affaire par plusieurs journalistes, n’a pas souhaité réagir. Les autorités iraniennes demeurent tout aussi muettes. Le porte-parole de la délégation iranienne à l’ONU répond que « nous n’avons pas d’informations ». Quant aux sources internes de l’aéroport, elles affirment qu’à bord de l’avion, seuls des VIP étaient présents.

    La secte Illuminati des Mormons

    Du jet au Boeing 747, la Bank of Utah possède 1 169 avions. Sous le manteau protecteur du Trust, des magnats peuvent ainsi s’envoler avec la plus grande discrétion. C’est dire que le cas du Bombardier Challenger 600 est étonnant. Il faut également rappeler qu’en 2012, la banque britannique HSBC, qui avait signé un accord avec les autorités fédérales, fut accusée du transfert de milliards de dollars vers l’Iran. Les capitaux provenaient des cartels mexicains de la drogue. HSBC a dû payer une amende de 1,92 milliard de dollars.

    Les Mormons sont des gens minutieux, considérant même le thé comme une « boisson enivrante », prohibée par leur « prophète » maçonnique John Smith. Il est par conséquent inimaginable qu’ils aient loué le cœur léger, à de mystérieuses VIP, un avion que l’on retrouve en Iran.

    Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Marziyeh Afkhan, déclara que tout l’équipage et les passagers du Bombardier Challenger 600 « étaient non américains » ; ils se seraient composés d’« une élite d’officiels ghanéens œuvrant pour des actions de coopération entre les deux pays ».

    Des journaux, comme le Christian Science Monitor, se contentèrent des déclarations du porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères. Le titre du quotidien est péremptoire : « Utah Plane in Iran Mystery Solved » (Le mystère de l’avion de l’Utah en Iran est résolu). Et pour cause : leChristian Science Monitor est l’œuvre, en 1908, de Mary Bakker Eddy, fondatrice de la secte maçonnique et templière de la Science chrétienne[1].

    En réalité, ces nouvelles révélations laissent imaginer un scénario bien plus important et tout à fait effroyable.

    Le président du Ghana

    Les journalistes du New York Times obtinrent un document confidentiel : il y est communiqué l’identité des passagers appartenant à une compagnie minière ghanéenne, Engineers and Planners, dont le siège est à Accra. L’administrateur délégué de cette société d’ingénieurs est Ibrahim Mahama, le frère du président du Ghana, John Dramami Mahama.

    En 2012-2013, dans les derniers mois à la présidence de la République islamique d’Iran, Mahmoud Ahmadinejad avait entrepris plusieurs visites diplomatiques en Afrique, dans le but de construire de solides bases relationnelles avec le riche continent oublié par les Américains, et maintenant en proie aux intérêts chinois. Le président de la République islamique visita aussi le Bénin (longtemps lié à la Corée du Nord de Kim II Sung), le Ghana et, enfin, le Niger. Le président irakien Saddam Hussein (1979-2003) voulait y acheter le Yellow Cake[2], produit final du procédé d’extraction de l’uranium avant transport et purification. Dans ce contexte, le voyage d’Ahmadinejad au Niger souleva des spéculations selon lesquelles il aurait cherché des gisements d’uranium pour le programme nucléaire de l’Iran.

    L’Académie de Quantico, base du FBI

    Une fois le scandale découvert, Engineers and Planners déclarait dans le journal Modern Ghana : « L’avion n’est pas associé, de façon directe ou indirecte, avec le Président, Son Excellence John Dramani Mahama, qui, incidemment, est le grand frère de notre administrateur délégué, M. Ibrahim Mahamana ». Le communiqué de presse était signé Adi Ayitevie, directeur exécutif de la société d’Accra.

    Qui est Adi Ayitevie ? D’après le réseau social professionnel Linkedin, il a travaillé plusieurs années pour une société dont le siège est au Maryland, la MNM Corporation, spécialisée notamment dans la communication haute-technologie et la sécurité des supports informatiques. La MNM Corporation a œuvré à la reconstruction de l’Académie de Quantico (Virginie), la base du FBI, une des artères du pouvoir américains.

    Par ailleurs, le Ghana est l’une des nations africaines à avoir d’excellentes relations avec Washington, à la différence par exemple de l’Ouganda ou du Nigeria. De plus, le Ghana est composé de 35 % de musulmans, ce qui peut faciliter les relations avec la République islamique de Téhéran. En somme, le pion ghanéen dans l’échiquier de Washington serait à privilégier pour négocier avec Téhéran. La présence de la Bank of Utah, propriétaire de l’avion, ne fait qu’abonder dans le sens de négociations secrètes entre Washington et Téhéran, deux nations ennemies sur le devant de la scène. De plus, comme cela est mentionné dans l’ouvrage Témoins de Jéhovah, les missionnaires de Satan (2013), le Département d’État américain s’est toujours servi de sectes illuminati et templières pour établir des liens avec des pays sulfureux, à l’instar de la Chine. La banque mormone n’échapperait pas à cette logique.

    Le désert radioactif de Moab

    The Tulse Luper Suitcases, film extravagant du cinéaste Peter Greenaway, se déroule dans le désert de Moab, dans l’Utah, dans les années 1900, où une famille de Mormons d’origine allemande captura un protagoniste et le tortura en l’attachant nu à un poteau en lui étalant du miel. Curieusement, l’abeille et la ruche sont les symboles de l’Utah, héritage de la symbolique maçonnique laissé à la secte mormone. Le metteur en scène, obsédé par les nombres et la kabbale, a structuré son long métrage autour des 92 valises de Tulse Luper, le personnage principal. 92 étant le numéro atomique de l’uranium.

    Le désert de Moab regorge de ce minerai. Il est la plus grande zone d’extraction et d’exportation de l’uranium aux États-Unis. Dans le sol de cet endroit aride sont enfouis d’importantes richesses minières ayant attiré, dans les années 1890, des générations de mineurs siciliens et calabrais. Dans les années 1950, alors que les effets des radiations étaient encore peu connus, les extractions d’uranium étaient encore très courantes dans l’État mormon.

    Après le boom, c’est-à-dire avant les années 2000, la grande majorité des mines fermèrent en raison du faible prix de l’uranium. En 2010, il ne restait qu’un seul lieu d’excavation, qui a repris son activité en 2010.

    Les États-Unis arment-ils l’Iran ?

    D’où la réflexion du New York Times, qui se demande si de l’uranium made in USA, provenant de l’Utah, ne servirait pas à approvisionner l’Iran. Les puissants du Ghana ne seraient que des hommes de façade de cette opération folle. L’Iran répondrait ainsi à la méthode de Brzezinski.

    Zbigniew Brzezinski, considéré comme un des marionnettistes de l’ombre de la géopolitique de Washington, apparaît derrière chaque guerre américaine, y compris derrière les troubles de l’Ukraine, avec laquelle le pleurnicheur polonais rêve d’une revanche personnelle intra-slave contre la Russie.

    Brzezinski, qui avait disparu dans les années de Bush jr, un pédo-sataniste (cf. Frits Springmeier, Alex Jones) adepte du Bohemian Club (droit annuel de 35 000 dollars) est revenu avec Obama. Il n’est pas incorrect de penser que les problèmes d’Israël avec Obama dépendent aussi de lui. Dans un entretien de septembre 2009 pour le site Daily Beast, il suggéra que le président Obama aurait dû avertir Israël que l’US Air Force arrêterait chaque tentative d’attaque des sites nucléaires iraniens !

    Il pourrait s’agir d’un cas Liberty inversé. L’USS Liberty était un navire de recherche technique de l’US Navy que des Mirage III israéliens, associés à une vedette sans enseigne et sans cocarde, attaquèrent lors de la Guerre des Six jours, en 1967. Il est désormais établi qu’il s’agissait d’une tentative « sous faux drapeau » pour faire intervenir les États-Unis aux côtés d’Israël, contre l’Égypte, durant laquelle moururent trente-quatre Marines. Beaucoup de survivants de l’USS Liberty furent achetés par des promotions ou disparurent physiquement.

    La méthode Brzezinski, conforme à l’affaire du Liberty, viserait à empêcher Israël de mettre un terme aux ambitions nucléaires iraniennes. L’affirmation est bouleversante, parce qu’elle contredit tout ce que l’on présume de l’attitude des États-Unis concernant l’uranium iranien. Doter l’Iran de la bombe nucléaire pousserait Téhéran dans une guerre contre la Chine et la Russie. Armer l’Iran n’est donc pas une idée absurde : la présence d’armes thermonucléaires engendrerait une atmosphère de Guerre froide entre des États apparemment alliés.

    Autoriser l’Iran à posséder la bombe atomique permettrait aussi d’appliquer une pression sur le voisin pakistanais, musulman mais pas chiite. De plus, Islamabad est un allié que les États-Unis ont envie de lâcher et que Samuel Huntington (1927-2008), l’auteur du très célèbre Le Choc des civilisations, considérait comme appartenant à l’axe infâme du complexe sino-islamique.

    Si l’on reprend la logique selon laquelle les illuminati ont besoin d’une Troisième guerre mondiale entre les blocs sioniste et musulman (cf. lettre du 14 juillet 1871 du sataniste Pike au chef Carbonari Mazzini) pour organiser un chaos général et asseoir in fine l’antéchrist, un Iran détenteur de l’arme nucléaire engendrerait un retour à la Guerre froide qui déstabiliserait toute l’Asie, dirigée par des gouvernements paranoïaques. Un Iran nucléaire est une menace pour Israël et une ressource pour diviser et dominer le scène orientale. Pour ce rêve tordu à la Brzezinski, le pouvoir américain est en train d’employer un produit national, c’est-à-dire l’uranium de l’Utah.

    Who done it ?

    On peut se demander, comment cette mise en scène a été éventée, où et pourquoi ? Comme on le dit dans le langage des romans policiers : Who done it ? Le fait que cet évènement soit sorti dans le New York Times est significatif. En effet, ce quotidien appartient à la famille israélite Sulzerberger, qui entretient des relations avec Israël. En outre, les positions libérales du New York Times l’empêchent de souscrire servilement à la politique de Netanyahu. Ce n’est pas la première fois que le quotidien publie des scoops : il avait révélé que Ben Laden était en relation avec des trafiquants de diamants juifs.

    Donc, comment cette information est-elle parvenue au quotidien ? Est-ce grâce au renseignement israélien qui a mouchardé, ou bien sont-ce les reporters eux-mêmes qui, avec beaucoup de courage, ont trouvé cette piste grâce à des informations de passionnés de l’aviation ?

    L’article est accompagné d’une photographie de l’avion incriminé. Ce cliché a été pris soit de l’intérieur d’un autre avion, soit de l’extérieur, à savoir sur le tarmac. En tout cas, grâce à ce cliché, les journalistes ont pu reconstruire l’itinéraire de l’avion, pour aboutir à la secte des Mormons et à la société ghanéenne Engineers and Planners, celle du frère du président Mahama. Enfin, la Bank of Utah est une « state-government chartered » : semi-privée, elle appartient aussi à l’État de l’Utah.

    Cette intrigue internationale, qui est peut-être la plus grande de l’année, implique les plus hautes instances des États ghanéen et américain, par l’intermédiaire d’une secte maçonnique et d’une entreprise. Elle montre à n’en pas douter que les États-Unis ont des liens secrets avec Téhéran, comme s’il s’agissait de mener en coulisse le monde à une guerre certaine, correspondant parfaitement aux plans des Illuminati.

    Laurent Glauzy

    [1] (Cf. R. de Ruiter & L. Glauzy, Témoins de Jéhovah, les missionnaires de Satan, 2013, p. 84.)
    [2] art. Niger et nucléaire : le crime silencieux d’Areva [Cf. Atlas de géopolitique révisée, 2012, pp. 378-380]

    http://www.contre-info.com/un-etrange-avion-us-a-teheran-livraison-duranium-pour-les-ayatollah-par-laurent-glauzy#more-32703

  • Rappeurs armés dans les rues de Lille et de Paris…

    Les singes, c’est comme ça qu’ils se nomment eux-mêmes : des dizaines d’individus venus du 93 pour s’afficher dans un clip d’une violence peu commune…   

    Drogues, armes, violence, argent. Un clip de rap ordinaire, mais un de plus.

    Depuis le 8 mai dernier, le clip de la nouvelle chanson « Sombre dans le coin » du rappeur Maestro est en ligne sur le web. Il a été déjà vu plus de 11.000 fois. Une cinquantaine de « jeunes », comme les appelle Le Parisien, se pavanent dans un quartier de Lille, alignés, les armes à la main, prêts à tuer.

    « Avant que j’te massacre, c’est pas le rap qui nous fait grailler demande à la juge d’instruction […] la mort ne fixe pas de rendez-vous […] ça chauffe à Paris et Marseille, et alors ? »… Les paroles sont peu équivoques, elles déclarent la guerre. Le rappeur lui-même se décrit comme « un soldat sans treillis inconnu du public », avant d’ajouter que « les prisons sont saturées de nos soldats », le tout entrecoupé de tirs de kalach en rase campagne…

    Lire la suite