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lobby - Page 1899

  • La médecine de ville ravagée, c’est la faute à Juppé de la note

    On oublie vite… Alain Juppé, parait-il, est désormais très apprécié et présidentiable Or il est le grand responsable de la situation catastrophique dans laquelle est actuellement la médecine de ville.

    On oublie la Loi Juppé du 15 novembre 1995. Rappelons que l’intéressé était à cette époque premier ministre de Chirac. Cette loi très intelligente, concoctée par des fonctionnaires qui n’avaient pas rencontré un malade de toute leur vie, a eu un effet absolument ravageur. Vous allez comprendre pourquoi il vous faut huit mois pour obtenir un rendez-vous chez l’ophtalmologiste et un an chez l’allergologue. Pourquoi il n’y a plus de médecins en campagne et qu’il faut prendre sa voiture et faire des dizaines de kilomètres pour être soigné.

    Le point de départ idéologique de technocrates irresponsables était le suivant. Il fallait faire des économies dans le cadre du déficit de la Sécurité Sociale. Alors que l’hospitalisation publique représente à elle seule plus de 30 % de ces dépenses, on a rendu la médecine responsable des déficits. Trop de dépenses trop de médecins

    Cette réforme avait deux axes. Le premier avait instauré un numerus clausus des entrées en faculté de médecine pour limiter le nombre de médecins. Le calcul est vite fait. Les années d’études en médecine durent dix ans en moyenne. Dix ans après la loi Juppé commence la pénurie.

    Le deuxième axe était le suivant : le Mouvement d’incitation à la cessation d’activité appelé aussi MICA. Tout simplement il était demandé aux médecins de plus de 58 ans de partir en retraite alors que celle-ci est prévue à 65 ans. Ils partent alors selon les tranches d’années dans des conditions de moins en moins favorables. Quoiqu’il en soit 10660 (sur 80.000 en exercice) quitteront la profession. Partent en priorité les spécialités difficiles : anesthésistes, chirurgiens, obstétriciens, ophtalmologistes (déjà surchargés), médecins de campagne. La pénurie s’installe alors très progressivement et profonde.

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  • La phrase du jour...

    ELLE EST DE GUILLAUME DE PRÉMARE, consultant en communication et ancien président de la Manif pour tous. « La construction européenne est un projet politique, qui a été préempté par l’Église. Défendre l’Europe au nom des valeurs de l’Évangile relève de l’imposture. 

    Une citation bienvenue dans un article eurobéat sur l’Europe, à lire dans La Croix.

    Non, les catholiques ne sont pas plus stupides que la moyenne des Français ! Arrêtons d’instrumentaliser l’Eglise et la foi au service d’une imposture !

    Rappelons que Guillaume de Prémare nous a fait l’amitié de participer à notre première table ronde, samedi 10 mai.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-phrase-du-jour,7471

  • 2,5 M€ de subvention pour la Grande Mosquée de Tours grâce à l'UMP

    Information de Valeurs actuelles (via) :

    "Fin 2013, malgré le fort endettement, le maire Jean Germain a annoncé une subvention de 2,5 millions d'euros, en coopération avec la région, censée alimenter les activités culturelles et non cultuelles de la mosquée. L'arrivée d'un maire UMP, Serge Barbary, n'indique aucun revirement. Selon Chérifa Zazoua-Khames, adjointe au nouveau maire UMP en charge de la politique de la ville : "la subvention a été décidée en accord avec Philippe Briand, président UMP de la communauté d'agglomération et sera sans doute maintenue"

    En revanche, trois bâtiments chrétiens (deux églises et une chapelle) menacés de destruction ou fermés pour "décrépitude" ne pourront pas, eux, compter sur le soutien des pouvoirs publics, qui en ont pourtant la charge".

    A titre de comparaison, le nouveau maire FN de Mantes-la-Ville Cyril Nauth compte rompre l'engagement de la ville concernant la vente d'un bâtiment à une association musulmane.

    Michel Janva

  • MIEUX QUE LA JUPE, C’EST LE PAGNE POUR TOUS QU’IL FAUT EXIGER !

    Bernard Antony, président de l‘AGRIF ET du Cercle du Rire Gaulois, communique :

    Ainsi, l’Académie de Nantes demande aux garçons de se mettre en jupe le 16 mai, tandis que les filles seront sans doute autorisées à rester en pantalon ou en short.

    On espère en la circonstance voir les autorités masculines de l’Académie et de la République se mettre également en jupe, et au premier rang le maire de Nantes Jean-Marc Ayrault et le ministre Benoît Hamon. Mais les grands penseurs de ce grotesque délire LGBT-OGM s’avisent-ils de ce que la jupe, si mini soit-elle, est tout de même un vêtement d’identité occidentale et donc ségrégatif ?

    La suite sur le site de l’AGRIF

  • MIEUX QUE LA JUPE, C’EST LE PAGNE POUR TOUS QU’IL FAUT EXIGER !

    Bernard Antony, président de l‘AGRIF ET du Cercle du Rire Gaulois, communique :

    Ainsi, l’Académie de Nantes demande aux garçons de se mettre en jupe le 16 mai, tandis que les filles seront sans doute autorisées à rester en pantalon ou en short.

    On espère en la circonstance voir les autorités masculines de l’Académie et de la République se mettre également en jupe, et au premier rang le maire de Nantes Jean-Marc Ayrault et le ministre Benoît Hamon. Mais les grands penseurs de ce grotesque délire LGBT-OGM s’avisent-ils de ce que la jupe, si mini soit-elle, est tout de même un vêtement d’identité occidentale et donc ségrégatif ?

    La suite sur le site de l’AGRIF

  • Les académies n'ont pas vocation à relayer la propagande de militants LGBTQI

    Question écrite n° 20-00149 du député Jacques Bompard :

    "M. Jacques Bompard attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur la journée "ce que soulève la jupe" qui doit avoir lieu le 16 mai prochain dans 27 lycée de l'académie de Nantes.Comme on peut le lire dans un dossier de presse publié par l'académie, cette journée consiste à mobiliser les lycées au nom de la lutte contre les discriminations. Le principe consiste notamment à "inviter filles et garçons, élèves et adultes, (...) à porter une jupe". Le Comité de la jupette (sic) du lycée George Clemenceau de Nantes les invite également à venir en cours avec du "rouge à lèvre rouge". Il est légitime de s'interroger sur l'utilité et le bien-fondé d'une telle initiative. Plusieurs raisons peuvent être invoquées pour s'opposer à une telle action. Premièrement, les académies n'ont pas vocation à relayer la propagande de militants LGBTQI. Deuxièmement, plusieurs études indiquent que les garçons ont plus de difficultés scolaires que les filles. Si discrimination il y a là, peut être le ministère devrait-il porter son attention là dessus. En effet, culpabiliser les garçons en les chapitrant constamment sur leur sexisme n'aidera certainement pas à améliorer leur niveau. Cette journée, soutenue et promue par le rectorat, et donc de facto par le ministère de l'Education nationale lui-même, illustre une fois de plus la progression de l'idéologie dans les écoles publiques. Il s'agit ni plus ni moins d'une volonté politique farouche d'imposer une nouvelle vision de la société où hommes et femmes seraient totalement indifférenciés au nom de l'égalité. Le fait d'inciter des garçons à porter une jupe marque clairement une volonté de nier l'altérité sexuelle qui est un fondement et un repère essentiel de notre société. On se sert de l'école, de la maternelle jusqu'au lycée, pour faire table rase de l'héritage culturel et des valeurs chrétiennes qui nous ont été légués. M. Jacques Bompard demande donc à M. le ministre de l'Education nationale s'il compte prendre des mesures pour que les académies cessent de propager l'idéologie du genre."

    Michel Janva

  • Manuel Valls, Premier sioniste de France

    Manuel Valls ne pouvait manquer l’occasion qui lui était offerte ce 13 mai 2014, à l’occasion du 66e anniversaire de l’indépendance d’Israël, de réaffirmer son engagement sioniste le plus complet.

    À la tribune, le Premier ministre a commencé par citer des extraits de la déclaration d’indépendance de l’entité sioniste, qui ne sont évidemment que des mots et dont on remarquera que Valls s’est bien gardé de juger de leur réalité actuelle :

    « Le texte de la proclamation de l’État d’Israël a une portée universelle : “liberté de culte, de conscience, d’éducation et de culture”. Et également “égalité sociale et politique pour tous les citoyens sans distinction de religion, de race ou de sexe”. »

    Les Palestiniens, privés de leurs droits élémentaires et victimes chaque jour de violences physiques, sociales, politiques pour des motifs autant religieux qu’ethniques, apprécieront probablement cette belle déclaration d’intention. Manuel Valls est d’ailleurs assez bien placé pour connaître l’abîme insondable qui sépare ces phrases creuses de la réalité en Palestine, puisqu’il dénonçait encore, en 2008, le « mur honteux », « la poursuite des colonisations », « le sort des prisonniers » et autres joyeusetés imposées par l’« État juif » aux Palestiniens. Que la simple proclamation d’un « État juif » soit d’ailleurs en complète contradiction avec le texte dont il se réclame ne choque visiblement pas notre Premier ministre. Se revendiquerait-il lui aussi du Talmud, de sa « logique » et de sa double éthique, à l’instar de son homologue israélien Benjamin Netanyahu ?

    Bien entendu, le discours de Manuel Valls s’adressait autant aux représentants autoproclamés de la communauté juive en France qu’aux dirigeants israéliens proprement dits. Le Premier ministre a donc veillé à rappeler son engagement sans faille dans la lutte contre « l’antisémitisme » dans notre pays :

    « Vous connaissez ma vision exigeante de la République (...), celle du refus absolu des communautarismes, de l’intolérance, du racisme, de l’antisémitisme. Les juifs de France, les Français juifs ont tant contribué à édifier notre nation, et jamais la France ne tolérera, ne montrera la moindre faiblesse à l’égard de ceux qui s’en prennent aux juifs de France, car ils sont la France. Ce combat a été le mien comme ministre de l’Intérieur ; il sera toujours le mien comme Premier ministre. (...) Bien sûr, il y a beaucoup trop d’actes, de paroles antisémites. »

    L’affaire Dieudonné, les attaques contre Alain Soral et les récents projets de censure de l’Internetont montré que ce combat mené soi-disant pour protéger les juifs de France est en réalité un projet politique dictatorial d’étouffement de toutes les voix dissidentes, celles qui pourraient mettre à mal un système de domination oligarchique jusque-là bien huilé. Manuel Valls a donc semble-t-il l’intention de persévérer dans une stratégie qui, pourtant, s’est retournée contre lui en révélant à beaucoup de Français la puissance méconnue du lobby israélien en France.

    Une puissance qui s’appuie avant tout sur la diaspora, ce qui explique aussi, peut-être, la volonté de l’État d’enrayer la tendance à une Alya (le fameux « retour » des juifs en Israël) de plus en plus importante aux dires de la presse :

    « Un journal du matin a titré il y a quelques jours que l’Alya avait atteint en France un nouveau record. On a souvent ici, d’ailleurs, une vision caricaturale, celle d’une fuite, alors que l’Alya c’est aussi l’expression d’une réalité, de notre monde globalisé. De nombreux Français juifs sont attirés par Israël. Il n’y a pas que les juifs, d’ailleurs, car Israël est un pays dynamique, inventif, qui plaît aux Français, comme la France plaît aux Israéliens. Mais la place, le lieu, le rapport charnel des juifs de France, c’est en France qu’il doit se construire et qu’il doit en permanence vivre. »

    Enfin, le Premier ministre a conclu son discours en répétant la position officielle de l’État français vis-à-vis d’Israël, que l’on peut résumer ainsi : « Israël, c’est bien, mais la guerre, c’est mal. Vive la paix. » Quand même !

    L’allocution de Manuel Valls pour le 66e anniversaire de l’indépendance d’Israël, prononcée au Pavillon Dauphine le 13 mai 2014 :

    Petit rappel sur Manuel Valls :

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Manuel-Valls-Premier-sioniste-de-France-25365.html

  • L'Autriche réduit son budget éducation... pour sauver une banque

    Les Autrichiens sont en émoi : pour trouver les financements nécessaires au renflouement d’Hypo Alpe Adria, une petite banque nationalisée, le gouvernement a décidé de réduire le budget de l’éducation nationale. 

    Hypo Alpe Adria (HAA), qui a son siège à Klagenfurt, en Carinthie, le Land le plus méridional de l’Autriche, avait étendu son marché aux pays de l’ex-Yougoslavie (Slovénie, Croatie, Bosnie-Herzégovine, Serbie, et République de Macédoine) après la dislocation de ce pays, mais aussi à l’Italie, en Bulgarie et en Hongrie. Ces marchés lui ont assuré une croissance très rapide, souvent suspectée de reposer sur des activités mafieuses. 

    En 2007, la banque BayernLB avait acheté la moitié des parts d’Hypo Alpe Adria, mais après la faillite de Lehman Brothers en 2008, Hypo Alpe Adria ne parvient plus à se refinancer sur les marchés, tandis que les créances douteuses s’amassent dans son bilan. A la fin de l’année 2009, alors en grandes difficultés, elle est nationalisée pour un euro symbolique, mais les problèmes ne sont pas résolus pour autant, et la banque accumule les pertes. 

    En 2013, celles-ci s’élèvent à 2,7 milliards d’euros, alors que l’Etat autrichien a déjà injecté 3,6 milliards d’euros dans la banque. Le gouvernement souhaite résoudre le problème, mais la banque est invendable en l’état, et elle jouit d’une garantie accordée par le Land de la Carinthie de 12 milliards d’euros, qui, si elle était actionnée en cas de mise en faillite d’Hypo Alpe Adria, pourrait entraîner à son tour une faillite de la région, un évènement impensable que la Constitution n’a pas prévu. 

    Le 9 mars dernier, la banque centrale autrichienne propose de regrouper les 17,8 milliards d’euros de créances douteuses dans une « bad bank » pour en assurer la liquidation. Cependant, l’Etat doit trouver 1,4 milliard d'euros pour financer la création de cette structure, mais la coalition au gouvernement refuse d’alourdir le déficit au risque de dépasser la limite de 3% prévue par le Traité de Maastricht. 

    Le gouvernement a donc décidé de trancher dans le budget de l’éducation, et de le réduire de 57 millions d’euros pour cette année, et de 60 millions d’euros pour l’année prochaine. L’une des mesures les plus importantes pour parvenir à cette économie porte sur le nombre d’élèves par classe, qui pourra désormais excéder le nombre de 30. Mais le plan prévoit également d’autres dispositions impopulaires. Selon certains députés, le gouvernement devra trouver 200 millions d’économies au total, ce qui pourrait se traduire par d’autres mesures, telles qu’un gel des salaires des professeurs. 

    Cette solution ne réjouit guère les Autrichiens. Les associations de parents d’élèves sont furieuses, et le syndicat des enseignants a indiqué «ne comprendre absolument pas pourquoi nos enfants devrait payer pour les banques et les spéculateurs ». Certains redoutent que les mesures ne dégradent encore davantage le classement de l’Autriche au PISA de l’OCDE, où l’Autriche se classe moyenne.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Les Nantais se mobilisent contre la journée de la jupe au lycée

    Plusieurs actions sont proposées :

    • La Manif Pour Tous organise un rassemblement aujourd'hui jeudi à 13 heures devant les grilles du lycée Clémenceau à Nantes en présence de Ludovine de La Rochère et d'Albéric Dumont pour manifester bruyamment notre détermination et demander le retrait de cette journée.
    • Les Sentinelles seront vendredi 16 mai devant le lycée Clémenceau de 12h30 à 13h30 à veiller debout en silence, de préférence alignées les uns derrière les autres pour que l'effet visuel soit plus impactant.
    • Les Nantais pour la Famille prendront le relais vendredi à 13H30 pour un rassemblement devant ce même lycée.
    • Les Veilleurs nantais veilleront jeudi de 20H30 à 21H30, cours des 50 otages, sur un thème qui devrait intéresser l'éducation nationale et le gouvernement : "le travail".

    A noter que hier, le ministre a (encore) accusé LMPT de manipulation et de mensonge. Inversion accusatoire facile. En clair, certains observateurs ou politiques accusent La manif Pour Tous d’avoir monté cette polémique de toute pièces en expliquant que non, les garçons ne seront pas obligés de venir en jupe au lycée vendredi. Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, réagit :

    « Il faut arrêter d’inverser la manipulation et le mensonge ». « Nous n’avons jamais expliqué que le port de la jupe était une obligation pour les lycéens. Encore heureux !Mais nous continuons de dénoncer une opération SCANDALEUSE soutenue par l’académie et le Ministère de l’Education Nationale qui consiste à inviter les garçons à porter une jupe au lycée. C’est déjà suffisamment grave. Alors halte là ! Que le gouvernement réponde sur le fond et cesse de se cacher derrière des attaques, des amalgames et des manipulations. Si l’Education national en est à faire du « potache » selon le mot du Ministre Benoît Hamon, c’est consternant. Cette opération doit être tout simplement annulée par le Gouvernement ».

    Suite à la vague d’indignation provoquée par cette initiative qui porte gravement atteinte au respect de la masculinité et de la féminité, le dossier de presse de l’événement sur lequel figure le logo de l’académie et celui du ministère de l’Education nationale a été subitement retiré du site internet de l’académie (voir ici). Mais les équipes de La Manif Pour Tous étant habituées aux manœuvres de ce type a pris soin d’enregistrer ce dossier de presse qui est donc disponible sur son site.

    Addendum : Visiblement, le dossier de presse a été remis en ligne sur le site de l'Académie.

    Michel Janva