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lobby - Page 1935

  • « La mafia juive et la révolution ukrainienne » – par Laurent Glauzy

    [article de Laurent Glauzy en exclusivité pour Contre-info]

    Dans l’article Mafia ebraica a Kiev, e loro animali parlanti (La mafia juive et leurs animaux parlants), Maurizio Blondet, journaliste et écrivain catholique traditionaliste italien, expose que l’Ukraine a elle aussi son propre milliardaire, un juif louche, à la façon de Mikhaïl Khodorkovski : nommé Viktor Mykhaïlovytch Pinchouk, le plus riche oligarque d’Ukraine soutient l’entrée de ce pays dans l’Union européenne (UE).

    Né en 1960, à Kiev, dans une famille d’ingénieurs métallurgistes ayant appartenu à la nomenklatura communiste de la ville industrielle de Dniepropetrovsk, Viktor Pinchouk suivit l’exemple de ses parents en devenant lui-même ingénieur en métallurgie.

    Les privatisations frauduleuses

     

    Juste après la chute du communisme, en 1990, Pinchouk fonda une entreprise privée, Interpipe, qui produit de la tuyauterie, notamment pour le secteur pétrolier et gazier. Cette société profita du pillage opéré lors de la première privatisation « suggérée » par les consultants libéraux de la Chicago School of Economics.

    Maurizio Blondet mentionne que « Pinchouk, à la tête d’un petit empire métallurgique, collabore avec la blonde à la fausse natte, Ioulia Tymochenko, d’origine juive, protégée du gouverneur et tyran de la province de Dniepropetrovsk, Pavlo Lazarenko. Ce milliardaire juif, devenu Premier ministre ukrainien en 1997, acquit une villa de 60 millions de dollars, en Californie, pour blanchir ses capitaux ». Dans les années 1990, Pinchouk et Tymochenko fondèrent la société Commonwealth, qui importe du gaz naturel d’Asie centrale. En 2004, Interpipe est la première société ukrainienne à participer au World Economic Forum de Davos.

    Quand Tymochenko entra au gouvernement, en 2005, Pinchouk la délaissa pour s’associer au deuxième oligarque du pays, Rinat Akhmetov (un Tatare). Pour 800 millions de dollars, ils s’adjugèrent la gigantesque aciérie Kryvorizhstal,récemment privatisée et qui employait 57 000 ouvriers. Néanmoins, Viktor Iouchtchenko, le nouveau et troisième président (2005-2010), qui avait chassé Tymochenko du fauteuil de Premier ministre, contesta cette acquisition devant les tribunaux. Résultat : la méga-aciérie fut vendue à Arcelor Mittal pour 4,8 milliards de dollars, sa vraie valeur !

    En 2006, Pinchouk fonda la EastOne, une société financière avec un portefeuille spécialisé dans le métal, la sidérurgie, les tuyaux et le matériel ferroviaire, dont le siège est à Londres. Le milliardaire possède aussi quelques médias, quatre chaînes de télévision, ainsi que Fakty i Kommentarii, journal à scandales russophone avec un tirage d’un million d’exemplaires. Comme Khodorkovski ou encore George Soros, Pinchouk utilise aussi ses médias comme instruments pour ses ambitions politiques.

    La Shoah au détriment des Koulaki

    En 2004, il créa une organisation internationale indépendante, la Yalta European Strategy (YES), lobby qui œuvre pour l’adhésion de l’Ukraine à l’UE. Chaque année, la YES tient un forum fastueux auquel sont conviés de grands noms de la politique comme Bill Clinton et son épouse Hillary Clinton, Tony Blair, Condoleezza Rice, Paul Krugman, Shimon Peres ou Dominique Strauss-Kahn. En outre, Pinchouk est marié à Elena, la fille de Leonid Koutchma, président ukrainien de 1994 à 2005.

    Elena Pinchouk est également connue sous le nom d’Elena Franchouk (du nom de son premier mari). Elle préféra porter ce patronyme quand elle devint une « dame d’affaires et une philanthrope » à Londres. Dans le district londonien de Kensington, elle acheta une résidence de 80 millions de livres sterling, où elle invita des amis comme Elton John, Miuccia Prada et Steven Spielberg. Avec ce dernier, propagandiste de la religion holocaustique, la famille Pinchouk finança un documentaire sur la shoah en Ukraine, conçu pour culpabiliser le peuple chrétien ukrainien sur « l’extermination des juifs », alors que ces chrétiens avaient subi l’holodomor (grande famine de 1932 et 1933 ayant causé entre 2,6 et 5 millions de victimes). Ce documentaire de Spielberg est distribué gratuitement à toutes les écoles. Des « volontaires », rétribués par Pinchouk, parcourent le pays pour découvrir et ouvrir les fosses communes dans lesquelles, expliquent-ils aux écoliers, « ce ne sont pas des restes de millions de kulaki morts de faim, mais plutôt des juifs innocents assassinés par des nazis ». L’un des propagandistes collaborant à cette réécriture de l’histoire est le « prêtre catholique français » Dubois, qui fonda l’organisation Holocaust by Bullets, subventionnée par Pinchouk.

    L’art dégénéré et le veau dans du formol

    À Londres, madame Franchouk et son second mari, Pinchouk, passent pour de généreux mécènes. Pour 10,3 millions de livres sterling, ils acquirent le « veau d’or », un véritable veau plongé dans du formol, avec un disque d’or massif entre les cornes. Cet Entartete Kunst(art dégénéré) est l’œuvre du juif britannique Damien Hirst.

    Forbes estime le patrimoine du couple Pinchouk à 3,8 milliards de dollars. Maurizio Blondet atteste que cette fortune s’est constituée grâce à la politique du père et du beau-père Koutchma, deuxième président ukrainien de 1994 à 2005. Ce vieux nomenklaturiste soviétique, qui devint tout à fait sincèrement partisan du libéralisme, entreprit les privatisations recommandées par l’Occident, avant d’être emporté par la « révolution orange ». Koutchma fut accusé, non sans raison, d’avoir fait disparaître quelques journalistes qui lui étaient hostiles, comme le goy Gueorgui Gongadzé, dont le corps fut retrouvé, en septembre 2000, des mois après son décès, dans une forêt située à soixante-dix kilomètres de Kiev. On découvrit qu’il avait été partiellement immergé dans de l’acide alors qu’il était encore vivant. Le 4 mars 2005, l’ancien ministre de l’Intérieur Iouri Kravtchenko, soupçonné d’être impliqué dans l’affaire, fut, retrouvé mort dans sa datcha de la banlieue de Kiev. La police conclut à un suicide.

    Pinchouk, le gendre de Koutchma, soutint ensuite le successeur de Koutchma, Viktor Ianoukovytch, qui devint le quatrième président de l’Ukraine (2010 à 2014). Ayant refusé l’accord avec l’UE, il fut chassé du pouvoir par la vague de « protestation populaire » de la place Maïdan.

    Le Pro-européen

    Au commencement des manifestations, Pinchouk ne se prononça pas personnellement, mais ses chaînes de télévision soutinrent les partisans de l’adhésion à l’Europe. Ensuite, quand Koutchma prit parti pour les manifestants de la place Maïdan, Pinchouk prit aussi sagement parti pour eux, leur fournissant même des boissons chaudes, afin de montrer qu’il était résolument redevenu pro-européen.

    En outre, Pinchouk est membre et financier de la Brookings Institutethink tank américain sioniste. Selon Maurizio Blondet, on pourrait donc penser que, grâce à l’instrumentalisation de la place Maïdan, la mafia talmudique livrera l’Ukraine dans la gueule de l’eurocratie. Toutefois, les choses sont plus compliquées. Le journaliste italien avance que « la mafia ukraino-juive est divisée par des rivalités d’affaires qui sont aussi politiques : Pinchouk est en conflit avec Gennady Bogoliubov et Igor Kolomoisky, deux autres oligarques juifs (respectivement les deuxième et troisième hommes les plus riches du pays) ». Pinchouk les traîna devant un tribunal de Londres, les accusant d’avoir fait disparaître l’équivalent de 143 millions de dollars. Ces oligarques résident tous les trois dans la capitale britannique.

    Il est étrange d’observer que, régulièrement, ces soi-disant mécènes et philanthropes couvrent d’or des avocats, ainsi que des artistes londoniens et américains, au détriment des Ukrainiens nécessiteux, qui n’ont droit à aucune attention. Bien au contraire, les goyim, saignés à blanc, sont dépossédés des immenses richesses du pays de leurs ancêtres.

    Les Femen et l’Open World Leadership Institute

    Ce sont ces mêmes oligarques qui financent les Femen, dont l’une des fondatrices, Anna Hutsol, suivit une formation aux États-Unis, sur invitation de l’Open World Leadership Institute, organisme soutenu par le Congrès américain et George Soros. C’est cette même organisation qui prépara quarante représentants politiques et médiatiques pour faire de l’Ukraine une démocratie occidentale aux ordres d’une caste de francs-maçons, de pédocriminels, de banquiers et de satanistes. Bref, un monde pas du tout chrétien, adorateur du veau d’or.

    Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/la-mafia-juive-et-la-revolution-ukrainienne-par-laurent-glauzy#more-32349

  • Le ministre de la famille (sic) insiste « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents »

    La nouvelle secrétaire d’Etat chargée de « la Famille, des Personnes âges et de l’Autonomie », Laurence Rossignol, ancienne porte-parole du Parti socialiste, est revenue, dans une interview au JDD, ce dimanche 13 avril, sur une phrase très grave prononcée sur le plateau de France 3 :« Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents ».

    Elle ose insister :

    (Cette phrase) devrait pourtant faire consensus…

    Revenant par ailleurs sur les enseignements des ABCD de l’égalité, Laurence Rossignol énonce :

    <blockquote

    Le but de l’enseignement à l’égalité est de dire aux filles : « Rien ne vous est fermé car vous êtes des filles »,
    Et de dire aux garçons : « On est différents, mais personne ne doit avoir le dessus sur l’autre ».
    >La cour de récréation n’est pas un espace pour des apprentis petits coqs.

    On se doute que Rossignol préfère les chapons aux coqs…

    D’après Le Lab

    http://www.contre-info.com/le-ministre-de-la-famille-sic-insiste-les-enfants-nappartiennent-pas-a-leurs-parents

  • Les mairies FN et le « mariage » homosexuel : embarras et cacophonie

    Quelques semaines à peine après les élections municipales, le « mariage » homosexuel vient embarrasser le Front National,

    Jeudi dernier, Marine Le Pen était l’invitée de David Pujadas pour l’émission « Des paroles et des actes » diffusée par France 2.

    Au cours de l’émission, une séquence enregistrée montre Franck Briffaut prendre ses fonctions de nouveau maire de Villers-Cotterêts. Lorsqu’il est interrogé sur l’attitude qu’il aurait s’il était sollicité pour célébrer un « mariage » homosexuel, cet ancien militaire répond sans langue de bois qu’il ne le fera pas parce qu’il existe une « loi naturelle supérieure » à laquelle il ne dérogera pas.

    Immédiatement après la diffusion de cette séquence, Marine Le Pen est interrogée par Pujadas. Selon elle, existe-t-il une loi naturelle supérieure aux lois de la République ? La présidente du FN répond qu’il s’agit-là d’une conviction personnelle de Franck Briffaut. Selon Marine Le Pen, « la loi de la République doit être appliquée même quand elle nous est désagréable ». Une réponse indigne de la présidente de la formation politique qui prétend incarner le pays réel.

    Cependant, elle ajoute : « Mon but à moi est de changer cette loi si je suis élue ». Un peu facile. En gros, tant qu’elle ne siégera pas à l’Elysée et que le FN ne contrôlera pas l’Assemblée nationale et le Sénat, les élus du parti devraient docilement suivre les règles imposées par le pouvoir UMPS ?

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  • Libé : un enfumage sans modération de l’Élysée ?

    « Droguez-vous avec modération »   

    Les plus méchants diront que le quotidien Libération est tellement aux abois qu’il en est réduit à ce titre de une dont on ne sait si elle est plus affligeante que provocatrice, plus stupide que pitoyable : « Droguez-vous avec modération »…

    Ils en sont là ! Pour faire parler un « coup » ? Pour vendre une poignée d’exemplaires de plus ? Si au moins le journal annonçait dans la foulée son dépôt de bilan, les responsables – on ne sait plus très bien s’il y a vraiment un directeur ou si c’est un soviet de salariés qui entend dicter ses conditions au baron de Rothschild – pourraient ainsi finir en « beauté », mais non, il ne semble pas que le journal fondé par Jean-Paul Sartre et porté durant la Mitterrandie par Serge July en soit là… même si presque !

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  • Khmers roses : L’Inter-LGBT veut criminaliser la critique d’un comportement

    Dans un entretien accordé au trimestriel Charles paru en avril, Christine Boutin déclare :

    « Je n’ai jamais condamné un homosexuel. Jamais. Ce n’est pas possible. L’homosexualité est une abomination. Mais pas la personne. Avec ma foi, la personne homosexuelle est autant aimée de Dieu que je le suis.

    Merci de me permettre de vous le dire, c’est là que se situe une importante confusion. L’homosexualité n’a rien à voir avec les jugements que je porte sur les homosexuels, qui sont mes frères, mes amis, et qui ont une dignité aussi grande que ceux qui ont d’autres comportements sexuels. Ils sont pécheurs comme je le suis, on est tous pécheurs. Je suis dans le péché moi aussi, je suis une pécheresse ! Mais jamais vous ne me verrez faire l’apologie d’un péché. Même si je peux pardonner un péché. » [...]

    Eric Martin - La suite sur NdF

  • La légende noire de la colonisation : le pillage économique des colonies ?

    Si la France a soutenu l’Algérie, n’est-ce pas parce qu’elle y trouvait son intérêt et voulait en profiter ? Car, c’est là que se situe le cœur même de la contre-histoire coloniale : la France a abusivement de sa situation de colonisateur pour asservir les populations et prendre les richesses du pays. De fait, si l’on en croit le très vendeur discours de Jules Ferry aux parlementaires français (1885) à l’heure de lancer la paix dans l’extension de la colonisation, c’est la vérité. Ferry se fait l’avocat de ces terres nouvelles, riches en matières premières, en produits agricoles, offrant tous les débouchés possibles à une industrie française en pleine extension. 

    Et la France manque, en effet, cruellement de matières premières : houille, laine, coton, bois, soie... « Ces produits – rappelle Daniel Lefeuvre, auteur du très éclairant Pour en finir avec la repentance coloniale – comptent pour plus de la moitié des importations de matières premières de 1885 à 1953, le pétrole s’ajoutant ensuite à cette liste ». De quoi alimenter l’argumentaire de ceux qui voient dans la colonisation la mère de tous les maux. Sauf que ce ne sont pas les colonies qui fourniront le charbon de l’industrie française, mais l’Angleterre, l’Allemagne, la Belgique. Le coton viendra bien pour partie de l’Algérie, mais un coton subventionné. Peu importe s’il avait pu assurer à la métropole ses besoins textiles. Mais, même subventionnée, cette culture ne prospérera jamais suffisamment pour assurer une autonomie industrielle. Le problème sera le même avec le coton africain, au point que la France se trouvera dans une situation difficile lors de la guerre de Sécession américaine. L’or blanc existait bel et bien, mais ailleurs que dans cet Eldorado tant vanté par Jules Ferry... La laine, la soie connaîtront, quant à elles, trop de maladies pour excéder une importation vers la métropole de plus de 5% au plus fort des années s’étalant de 1890 à 1958. Restent donc le caoutchouc et le bois qui tiendront toutes leurs promesses, notamment en Indochine. Peut-on, dès lors, parler sérieusement de pillage des terres coloniales d’Afrique noire et d’Afrique du Nord ? 

    Voilà qui est bel et bon pour la question des matières premières, on l’a vu, à peu près inexistantes. 

    Mais, qu’en est-il des productions agricoles ? « Blé, riz, raisins frais et secs, olives, liège, dattes, citrons, oranges, figues, bananes, chanvre qui serait d’un si grand secours pour la marine, coton, mûrier, indigo, tabac, aussi bon que celui de Virginie et de La Havane, abricots, prunes, pommes, poires, coings, melons, pastèques, haricots, fèves, pistaches, térébinthe, mangues, goyaves... figurent dans cette évocation du paradis terrestre. » Le rapport de la société d’horticulture de 1832 est une véritable publicité pour l’agriculture coloniale. Et, de fait, ce sont bien ces produits qui vont faire l’objet de l’essentiel des importations vers la métropole, avec le bois et le caoutchouc. La question est de savoir si la France y avait intérêt. Un intérêt économique... 

    Si l’on en croit le rapport du ministère des Finances de 1961, certainement pas. Car non seulement ces denrées pouvaient être achetées n’importe où dans le monde, mais elles pouvaient surtout l’être à moindre coût ! Le lien colonial, selon le rapport Debré de 1961, « a pour conséquence de faire payer par la France la plupart des exportations algériennes à des prix de soutien sensiblement supérieurs aux cours internationaux ». Pour être clair, ces cultures étaient non seulement subventionnées mais également achetées à un prix bien plus élevé que le cours normal. Au vu de ces tarifs, jamais l’Algérie n’aurait pu écouler ses productions, les autres marchés lui étant, bien évidemment, fermés... 

    A l’inverse, il est certain que la France saura utiliser ses colonies pour réguler ses exportations, comme le démontre Jacques Marseille dans Empire colonial et capitalisme français. Mais, ce même auteur précise que le solde des importations obligatoires était tel que, de toute façon, la métropole était perdante. Ainsi, « les déficits commerciaux cumulés s’élèvent à 44 milliards de francs-or, soit trois fois le montant total des aides accordées à la France par les Etats-Unis entre 1945 et 1955 ». 

    Pillage des colonies : vraiment ? Alors que la France subventionne, importe à un coût prohibitif, et investit des millions ? Car les écoles, les hôpitaux, les routes, les barrages sont financés par la métropole : des investissements qui serviront de tremplins aux économies locales à l’heure de l’indépendance. 

    Alix Ducret, Mythes et polémiques de l’histoire

    http://www.oragesdacier.info/2014/04/la-legende-noire-de-la-colonisation-le.html

  • Est-il permis de dire ce qu'est un avortement dans un établissement catholique ?

    Non, selon le lobby pro-mort. Une polémique agite le lycée catholique sous contrat Gerson, du 16ème arrondissement de Paris. Des enseignants, des élèves et leurs parents s'inquiètent du contenu des enseignements. En cause, des interventions de l'association Alliance Vita, aux séances de catéchèse, au cours desquelles la réalité de l'avortement est clairement enseignée.

    Réaction d'Alliance Vita :

    "VITA dénonce fermement le mensonge, la calomnie et le procédé lâche visant à salir son image et à jeter le discrédit sur son travail.

    Alliance VITA a accepté l’invitation du Lycée Gerson pour intervenir auprès des élèves sur des thématiques liées à son activité et son expertise : bioéthique, PMA, GPA, personnes en difficultés dont celles confrontées à l’avortement.

    Pour Henri Desoos, directeur des études d’Alliance VITA : « Alliance VITA est régulièrement invitée à prendre la parole sur ses sujets d’expertise depuis des années ; ces interventions suscitent toujours l’intérêt des jeunes et donnent lieu à des échanges ouverts et fructueux. Les personnes qui se sont exprimées à Gerson sont formées, responsables et respectueuses. Or, après l’intervention à Gerson, différents écrits, certains anonymes, ont circulé, prêtant aux deux intervenantes des propos outranciers qu’elles n’ont jamais tenus.

    D’une part, les accusations anonymes sont inquiétantes et inacceptables, et VITA souhaite que la lumière soit faite sur ces propos calomnieux.

    D’autre part, on dirait que certains souhaitent que le sujet de l’interruption volontaire de grossesse reste tabou. Pourtant, le sujet de l’avortement est un vrai sujet de société qui mérite d’être abordé auprès des jeunes. La prévention de l’IVG des mineures est une préoccupation nationale qui a donné lieu à plusieurs rapports ministériels et parlementaires ces dernières années. Alliance VITA aborde cette réalité sans stigmatiser personne, à partir de son expérience d’écoute et d’accompagnement des femmes et des couples. »

    Michel Janva

  • Les villes FN épargnées par Patrick Bruel…

    La terrible nouvelle est tombée sur les écrans des ordinateurs en surchauffe de l’AFP : Patrick Bruel n’ira pas chanter dans les villes dirigées par un maire FN. À l’annonce de la catastrophe, Robert Ménard n’a pu retenir ses larmes, le maire de Fréjus a avalé un tube d’antidépresseurs et Steeve Briois est retourné vivre chez sa mère. La proposition du ministre de la Culture d’envoyer un sosie s’est vu opposer une fin de non-recevoir. Les élus exigent le vrai, l’unique, celui qui joue du piano avec deux doigts en poussant cris rauques dans un micro.

    Paradoxalement, les électeurs ont accueilli la nouvelle dans la liesse. Six ans sans Patrick Bruel apparaissent comme une bénédiction, un don du ciel inattendu… Partout dans les rues, on loue les noms de Robert Ménard, Steeve Briois et consorts. Bien que pas un seul concert du chanteur n’ait été prévu dans les villes concernées, aucun habitant ne se sentait à l’abri d’un récital surprise, d’un quelconque « Casser la voix » assommant, d’un pseudo-message humaniste à la sauce « Feux de l’amour »…

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  • 17e chambre ou tribunal islamique ?

    Certains magistrats de la 17e chambre correctionnelle de Paris ont déjà adopté, par leurs verdicts, l’article 22 des droits de l’homme en islam.   

    Le verdict rendu par la trop célèbre 17e chambre correctionnelle de Paris contre Renaud Camus et Jacques Philarchein devrait interpeller tous ceux qui se réclament des principes laïques et de la défense de la liberté d’expression. Le premier a été condamné à payer 5.000 euros, entre amende et dommages et intérêts, le second à 3.000 euros. Comme je le disais avec humour à l’écrivain, c’est un petit joueur puisque, pour des raisons semblables, j’avais pris, en mars 2012, au total 7.350 euros, tandis que mon ami Pascal Hilout se contentait, lui, de 4.850 euros. Verdict inique, pour lequel nous avons fait appel, avons été rejugés le 5 mars, et nous connaîtrons le verdict de la cour d’appel le 5 juin.

    Au-delà de ces sommes, qui sont loin d’être négligeables pour des personnes qui n’ont que leur travail ou leur retraite pour vivre, il est intéressant de s’attarder sur les arrêtés inquiétants du procès Camus-Philarchein. Il faut d’abord rappeler que seul le MRAP avait porté plainte, alors qu’habituellement les associations dites antiracistes chassent en meute.

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  • Marseille : un élu FN ne souhaite pas revenir sur la loi Taubira

    Communiqué de Bernard Antony :

    "Dans la mairie du 7° secteur de Marseille où a été élu Stéphane Ravier du Front National, son adjointe, Evelyne Bettuzi, ne s’est pas contentée d’enregistrer le pseudo-mariage d’une paire d’hommes. Mais elle a félicité les jeunes époux (dont on ne peut certes dire : « ils seront heureux et auront beaucoup d’enfants »), ajoutant de surcroît qu’elle ne souhaitait pas «  que l’on revienne sur le mariage pour tous » (sic !).

    Ceci est affligeant mais hélas pas étonnant. J’avais il y a quelques mois émis un communiqué à propos du maire d’Arcangues qui, après s’être efforcé de ne pas accepter pareille chose, avait dû finalement s’incliner s’il ne voulait pas démissionner ou être démissionné.

    J’exprimais que je me refusais à lui jeter la pierre. Je pensais en effet, et je pense toujours, que le refus de la loi inique par seulement deux ou trois maires était voué à l’échec.

    Selon moi, seule l’organisation de la Manif pour tous aurait pu peut-être parvenir à faire triompher le droit à l’objection de conscience par une mobilisation de tous les maires, très nombreux, opposés à la loi Taubira, s’engageant solidairement et menant alors toute une résistance civile et judiciaire. Je ne croyais pas en effet judicieux d’exiger de ces bons maires en désaccord avec la loi perverse de démissionner pour être inéluctablement remplacés sans doute par des édiles moins bons.

    Mais une loi scélérate peut toujours être politiquement combattue même après son adoption. Le droit de revenir sur des lois mauvaises, c’est le propre même de l’action politique la plus démocratique !  L’interdiction ou le refus d’y revenir, c’est l’acceptation même du totalitarisme. Il est affligeant que sur ce point si important, comme sur celui de la loi Veil, le Front National ne soit en définitive pas mieux que l’UMP ou le PS. [...]"

    Sur cette question de l'objection de conscience des maires, seul le maire de Fontgombault a su tenir, alors même que certains maires de villes bien plus conséquentes auraient pu, s'ils l'avaient voulu, s'opposer à cette loi, avec la certitude d'être réélus dans un fauteuil.

    Michel Janva