lobby - Page 2013
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FR - La Franc-Maçonnerie contre l'Église et la France
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7 cars de CRS pour Béatrice Bourges [Addendum : Béatrice Bourges expulsée]
Toujours au Mur de la Paix, Béatrice Bourges a reçu la visite... de 7 fourgonnettes de police. Il y en a qui n'ont que cela à faire.
Elle répond au Figaro :
Une grève de la faim pour demander la destitution du président de la République, n'est-ce pas un peu excessif?
Je pense que la France le vaut bien. Moi je me bats vraiment pour mon pays, car je pense qu'on est en train de tuer l'âme de nos enfants. Cela fait un an que l'on proteste et qu'on ne nous écoute pas. Que puis-je faire de plus que donner ma personne ? Ce sera dur mais cela prouvera qui je suis et qui sont les gens qui m'entourent.
Je m'appuie sur quelque chose d'ultra non-violent et d'ultra-légitime. Deux mois et demi avant les élections, j'aimerais savoir si les députés, comme certains le disent souvent, souhaitent vraiment le départ de François Hollande. Je leur offre sur un plateau d'argent la possibilité de montrer leur loyauté: l'article 68 de la Constitution autorise les élus des deux assemblés à engager une procédure de destitution du président de la République pour «manquement grave» à l'exercice de ses fonctions. Si je n'avais pas fait ce geste, les députés n'auraient rien tenté. Là une vie non-violente est en jeu. [...]
Avec mon jeûne, je voudrais prouver que la colère, ce n'est pas la violence. On nous a traités d'extrémistes, on a trouvé que j'étais radicale. Aujourd'hui je pars avec mes armes à moi, des armes spirituelles. Le jeûne spirituel, c'est une arme extrêmement puissante."
Le mur de la paix surveillé toute la nuit pour empêcher de planter la tente :
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La police barbouze a cherché l'incident
Un témoin raconte la scène hier soir vers 18h :
"Quittant difficilement la manif par l'avenue de Villars, à hauteur du 12, au travers d'un barrage filtrant de CRS et gendarmes, j'ai vu et entendu un commandant arriver vers ce barrage et dire à ses hommes :"allez maintenant on y va !". Incroyable, car a ce moment, les intervenants étaient toujours en train de témoigner au micro et la foule les écoutait calmement.
Mais au même moment j'ai vu un groupe d'hommes en noir sans signes distinctifs, passer "amicalement"ce barrage policier, arriver au contact de la foule et se retourner pour attaquer fictivement les CRS..."
Si Valls condamne les violences, il peut s'en prendre à sa propre police. A moins que ce soit lui-même qui ait donné ces instruction.
Un autre lecteur me signale que ces provocations étaient bien programmées :
"En effet, au début de la manif, place de la Bastille, il y a eu plusieurs fouilles de personnes qui arrivaient sur place, par des CRS. Sur quels critères pourquoi ceux-ci et non pas ceux-là, je ne sais pas. Comme je demandais au CRS, pourquoi ces fouilles, il m'a été répondu que cette manifestation était "très hétéroclite... et qu'il me conseillait de quitter rapidement la manif, une fois que celle-ci serait terminée. Je n'ai pas compris tout de suite ce que cela voulait dire mais, rétrospectivement, il m'apparait que les CRS savaient, à 14h30, qu'il se passerait quelque chose, à la fin de manif. Pourquoi m'avoir prévenu ? C'est une autre question."
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Journaliste, cette profession qui a trahi la France
Figurez-vous, ma bonne dame, que 77 % des Français ne croient plus les médias.
Figurez-vous, ma bonne dame, que 77 % des Français ne croient plus les médias. De source sûre, puisque c’est l’organe principal de diffusion de la pensée unique qui le dit : Le Monde. Comment expliquer pareil désamour, quand nos journalistes font le job avec une conscience toute professionnelle ? Regardez i>Télé et ses 300 manifestants à la Marche pour la vie. Elle, qui vient de mettre en une La passion française qu’est soudain devenue Julie Gayet, et fait poser ses journalistes sur Internet avec des affichettes pro-IVG d’une indigence intellectuelle rare. Jean-Luc Hees qui confesse que, pour stopper l’hémorragie d’auditeurs, France Inter devrait donner la parole à ceux qui pensent autrement. Et aurait sans doute dû traiter la question de la filiation lors de la loi Taubira…
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Du ras-le-bol populaire à la revanche des peuples
Vendredi, c’est un accueil sans chaleur que le pape François a réservé à François Hollande au Vatican. Comment pouvait-il en être autrement eu égard à l’activisme des socialistes et de leurs complices depuis 2012 ? La liste des griefs est longue : mariage et adoption pour les couples de même sexe, offensive des réseaux socialo-maçonniques en faveur de la PMA, de la recherche sur les embryons, de l’euthanasie, modification de la loi Veil sur l’IVG… Pour ne rien dire du silence des autorités sur les profanations d’églises et de l’impunité laissée aux Femen. Un Hollande pataud et mal à l’aise face au chef de l’église catholique, qui comme nous le notions en fin de semaine, a achevé de détruire le petit capital de sympathie qui était encore le sien avec son communiqué lapidaire, d’une sécheresse bien maladroite, annonçant la répudiation de Valérie Trierweiler qui en deviendrait presque sympathique…L’électorat féminin –mais pas que- appréciera. Des Français qui, plus largement, sont sans illusions sur l’annonce qui sera faite aujourd’hui par l’exécutif sur les chiffres du chômage, nouvelle occasion de tordre le cou à la réalité pour se livrer aux bidonnages habituels. Qui peut encore le (les) croire ?
Tromperies et menées nocives d’une gauche agressive dans tous les domaines que Marine Le Pen est venue dénoncer samedi lors de son intervention au colloque baptisé «L’universel déni des identités ». Celui-ci était organisé Maison de la Chimie à Paris par la petite formation affiliée au RBM, Souveraineté Indépendance et Libertés (SIEL) de Paul-Marie Coûteaux, en présence notamment de Béatrice Bourges, Alain de Benoist, Christian Vanneste, Renaud Camus, Olivier Dejouy , Henri de Lesquen, Wallerand de Saint Just, le professeur Gilles Lebreton, l’abbé de Tanoüarn….
Une image d’unité, au-delà de leurs sensibilités respectives, des opposants au socialisme et des défenseurs de nos identités , qui contrastait fortement avec celle d’une UMP tiraillée entre des aspirations contraires, en pleine guerre des chefs (et des sous-chefs), à l’occasion de son Conseil national qui se tenait le même jour dans la capitale.
Si le FN n’avait pas appelé officiellement à y participer, la manifestation de ce dimanche contre Hollande et sa politique, baptisée Jour de colère, était aussi le grand évènement politique de cette fin de semaine. Ce rassemblement hétéroclite de 17 000 personnes selon la police (chiffre à l’évidence très sous-estimé), 160 000 selon les organisateurs, a démontré par son hétérogénéité même, la profondeur et l’étendue du rejet du hollandisme.
Le temps exécrable n’a pas découragé militants d’extrême droite, manifestants néophytes, habitués des Manifs pour tous (en tour de chauffe en attendant la grand manifestation du 2 février) , soutiens de Dieudonné , bourgeois, ouvriers, patrons, mères de famille, jeunes (très nombreux) , chômeurs, ruraux, banlieusards, commerçants, artisans, opposants au fiscalisme confiscatoire et/ou à l’immigration , défenseurs de la liberté d’expression et/ou des valeurs catholiques …Bref, la France dans toute sa diversité était présente, pluralité qui n’est pas sans rappeler celle de l’électorat fronto-mariniste.
Electeurs nationaux, patriotes, souverainistes, défenseurs de nos libertés essentielles qui s’apprêtent à envoyer un grand coup de massue dans le mur de l’Etablissement si l’on en croit le dernier sondage Ifop/ JDD réalisé entre le 14 et le 17 janvier.
Confirmant l’enquête précédente publiée au mois d’octobre, le Front National devancerait les deux principales formations européistes avec 23% des suffrages, contre 21% pour l’UMP et 18% pour le PS. En quatrième position, l’alliance des partis bruxellois centristes, UDI et Modem, totaliserait 11 % des voix, les altermondialistes d’Europe Ecologie Les Verts 7 %, les altermondialistes eurosceptiques ( ?) du Front de Gauche recueillerait 9 % des intentions de vote, le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) 2 %.
Si ce résultat se confirmait en juin dans les urnes, malgré la propagande européiste éhontée des démagogues de la caste politico-médiatique, il s’agirait bien, affirme Bruno Gollnisch, d’un véritable tsunami à l’échelle européenne. La dictature même des cénacles bruxellois, sans légitimité démocratique, en serait forcément ébranlée, signant le sursaut, la revanche des peuples européens bien décidés à secouer leur joug.
Car d’autres enquêtes d’opinion soulignent que les listes dites eurosceptiques ont le vent en poupe chez nos cousins européens. « En Allemagne rapporte l’Afp, le plus grand pays de l’UE qui enverra 96 députés européens, les Eurosceptiques d’Alternative für Deutschland (AfD) pourraient réaliser un bon score. Les sondages leur accordent 7 à 8 % des intentions de vote, soit deux à trois points de plus que leurs 4,8 % réalisés en septembre lors des élections au Bundestag ».
«Aux Pays-Bas, le parti eurosceptique Parti de la Liberté (PVV) est donné par le dernier sondage à 17 % des voix, tandis que les eurosceptiques de gauche du Parti Socialiste obtiendraient 11 % des voix ». En Italie, le mouvement eurosceptique (de Beppe Grillo) Mouvement 5 Etoiles, est donné à 22 % des intentions de vote. En Grèce les anti-bruxellois d’extrême gauche (Syriza) et d’extrême droite (Aube Dorée), totaliseraient un tiers des suffrages (respectivement 22% et 10% des intentions de vote).
Au Royaume-Uni, le dernier sondage crédite le parti anti-bruxellois UKIP de 26 % des intentions de vote, derrière le Labour mais devant les Conservateurs, eux aussi gagnés par l’euroscepticisme. Le gardien du dogme Jean-Marie Colombani, ex directeur général du Monde, s’effraye ce lundi dans son éditorial du quotidien gratuit Direct Matin de la contagion anti-bruxelloise qui gagne les élites britanniques. Il garde cependant un motif d’espoir : «le gouvernement américain a fait sèchement savoir (au premier ministre David Cameron, NDLR) qu’il souhaitait que la Grande-Bretagne reste dans l’Union (européenne) » écrit-il.
Evidemment si Washington, déjà favorable à l’adhésion de la Turquie dans l’UE, l’exige…
http://gollnisch.com/2014/01/27/du-ras-le-bol-populaire-la-revanche-des-peuples/
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Nicolas Sarkozy mal-à-droite
Nicolas Sarkozy est-il de droite ? La question peut paraître insolite, à l'heure où une large partie de l'électorat conservateur place ses espérances dans le « retour » de l'ancien président sur la scène politique... Tout dépend pourtant de ce que l'on appelle la « droite ».
À en croire des confidences rapportées par le Journal du Dimanche le 3 novembre dernier, les personnalités de « droite » préférées de Nicolas Sarkozy seraient François Baroin, Alain Juppé et Nathalie Kosciusko-Morizet... Drôle de droite !
Ce choix ne surprendra pourtant que ceux dont la mémoire répugne à remonter plus loin que les six derniers mois du quinquennat, durant lesquels, cornaqué par Patrick Buisson, le président sortant réorienta son discours pour reconquérir un électorat passablement déçu par son action. Rappelons donc les positions qu'il adopta sur des sujets chers à la droite.
La souveraineté
L'on doit à Nicolas Sarkozy la vassalisation de la France au sein du commandement intégré de l'OTAN, ainsi que l'adoption par le Congrès du traité de Lisbonne, fidèlement inspiré du projet de constitution européenne rejeté en 2005 par le peuple français.
L'identité nationale
En 2007, au soir de sa victoire, Nicolas Sarkozy déclare : « Je veux remettre à l'honneur la nation et l'identité nationale. Je veux rendre aux Français la fierté d'être Français. » Dans la foulée, un ministère chargé de l'immigration, de l'intégration et de l'identité nationale est créé au sein du premier gouvernement Fillon et confié à Brice Hortefeux. En 2009, au grand scandale des chers Juppé et Baroin, Sarko déclare « nécessaire » d'ouvrir un débat (soigneusement contrôlé) sur l'identité nationale, notion dont le contenu mérite paraît-il d'être précisé. Eric Besson, transfuge du parti socialiste et successeur d'Hortefeux à la tête de ce ministère, affirme à La Courneuve, devant un public pour l'essentiel issu de l'immigration, que « lui France n'est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c'est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n'y a pas de Français de souche, il n'y a qu'une France de métissage. » Il n'en perd pas son maroquin pour autant ; en revanche, l'identité nationale ne figure plus dans l'intitulé du ministère lors du remaniement de 2010. Sarko s'en explique sobrement : « J'ai renoncé à l'identité nationale comme mots parce que cela avait suscité des malentendus. »
L'immigration
Souvent Sarko varie... En 1991, député des Hauts-de-Seine, il s'écriait au cours d'une réunion publique : « Il faut déclarer comme objectif le quota zéro de l'immigration et cela, sans que nous ayons de leçon de racisme à recevoir de personne. » Le 5 février 2011, sur TF1, il affirme : « J'ai toujours été opposé à l'immigration zéro, ça n'a aucun sens », affirmation reprise sur RTL entre les deux tours de la présidentielle, le 3 mai 2012. Ce jour-là, le président annonce aussi son intention, s'il est réélu, de diviser par deux le flux migratoire, « pour pouvoir bien intégrer ceux qu'on accueille ». Il est dommage que ces bonnes intentions ne lui soient pas venues avant : jusqu'en 2012, en effet, 200 000 immigrés (sans compter les clandestins) sont entrés chaque année en France, soit l'équivalent de la population de Rennes, dixième ville de France...
Mêmes incertitudes concernant le droit de vote : le 24 octobre 2005, Nicolas Sarkozy considérait, dans Le Monde : « qu'il ne serait pas anormal qu'un étranger en situation régulière, qui travaille, paie des impôts et réside depuis au moins dix ans en France, puisse voter aux élections municipales. » Le 3 mai 2012, il a changé d'opinion : « Ce qui m'a fait changer, c'est la montée des tensions communautaristes », qui sont telles, dit-il, qu'il est « dangereux de donner le droit de vote aux immigrés aujourd'hui ». « Aujourd'hui » seulement ? Cette précision montre que, pour Nicolas Sarkozy, le droit de vote ne doit pas être réservé par principe aux personnes possédant la nationalité française.
« Je n'ai jamais plaidé pour une préférence nationale », affirme-t-il encore en mai 2012, toujours sur RTL. Il a, au contraire, encouragé la préférence étrangère, sous le nom de « discrimination positive », notamment en renforçant à cette fin les pouvoirs de la Halde (dissoute en 2011) et en nommant l'industriel musulman et franc-maçon Yazid Sabeg au poste de « commissaire à la diversité et à l'égalité des chances ».
La religion
Le 20 décembre 2007, lors d'un beau discours au palais du Latran, à Rome, Nicolas Sarkozy se prononce pour une laïcité « positive » et évoque, non sans courage, les « racines chrétiennes » de la France. Ce qui ne l'empêche pas de chercher par ailleurs le moyen d'apporter une aide publique à la construction des mosquées, sans déroger au principe de laïcité. « L'enjeu essentiel de l'intégration, affirme-t-il, c'est de faire émerger un islam de France », par opposition à un « islam en France ». Tout doit être dans la nuance...
La sécurité
Ancien ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy s'est fait élire en 2007 en tenant un discours sécuritaire (le « karcher »). On lui doit pourtant deux mesures particulièrement délétères : en premier lieu, l'abolition de la prétendue « double peine », qui permettait aux autorités d'envoyer les délinquants étrangers condamnés en France récidiver ailleurs à l'issue de leur peine ; et la libération des criminels condamnés à deux ans de prison, dans le cadre de la loi pénitentiaire Alliot-Marie ; la loi Taubira prolonge aujourd'hui cette logique laxiste.
La famille
La famille ne fait pas partie des principales préoccupations de Nicolas Sarkozy. Dans le premier gouvernement Fillon, aucun ministère ni secrétariat d’État ne lui était consacré (il faudra attendre mars 2008 pour que cette absence soit corrigée). Certes moins maltraitée sous sa présidence que sous celle de François Hollande - ce qui n'est guère difficile -, l'institution familiale est cependant mise à mal, non seulement par des mesures d'ordre matériel ou fiscal (réduction du congé parental, révision des prestations familiales), mais aussi par des projets qui menacent l'institution elle-même et préparent en quelque sorte la voie à la loi Taubira.
Ainsi, Nadine Morano, chargée en 2008 du secrétariat d’État à la famille, se déclare favorable au pseudo « mariage » inverti et à l'adoption des enfants par les homosexuels, et propose en outre un projet de loi accordant un statut au « beau-parent » octroyant des droits sur l'enfant au nouveau compagnon du père ou de la mère, qu'il soit « hétéro » ou homosexuel. La bronca que le texte provoque dans les rangs de la majorité conduit à son abandon... Cependant, en 2007, le programme du candidat Sarkozy prévoyait déjà ce « statut de beaux-parents, valable pour les familles recomposées et homoparentales »
Après ces quelques rappels, peut-on considérer Nicolas Sarkozy comme un homme de droite ? Certainement, mais seulement une fois tous les cinq ans - le temps d'une campagne électorale.
Hervé Bizien monde & vie janvier 2014 -
Manuel Valls déclare la guerre aux catholiques
PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) - Manuel Valls, ministre de l’Intérieur – et des cultes – a déclaré dans Le Monde du 23 janvier que « les intégristes de l’ultradroite catholique, rejoints par une partie de la droite » sur le discours de l’avortement représentent une des premières menaces pour la République. Dans son discours, les catholiques sont à mettre au même plan que les intégristes islamistes, évoqués par le doux mot de banlieue.
Être opposé à l’avortement et à sa banalisation suffit désormais pour recevoir l’infamante qualification et être mis dans le même sac que ceux qui veulent imposer la charia en France.
Les socialistes appliquent le processus qui consiste à pousser hors du débat tout ce qui s’oppose à leur projet sociétal. Ce qui était modéré hier sera donc mécaniquement extrémiste demain. Une pétition a été lancée par l’Observatoire de la christianophobie et demande au président de la République de désavouer les propos de Manuel Valls. Elle a réunis plus de 2.500 signatures.
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[Communiqué] Le pouvoir passe de la répression à l’oppression.
Tandis que le président « normal » affiche ses démêlées « crypto conjugales » sur toutes les chaines et toutes les ondes, Valls lâche ses flics sur les Français qui manifestent leur colère et leur accablement devant tant de mensonges, tant d’abus de pouvoir et tant de haine contre la France.
La manifestation s’étant déroulée de la Bastille aux Invalides sans le moindre incident, si ce n’est quelques provocations habituelles de la part des « femens » hystériques et autres « antifas » appointés par le ministère de l’intérieur, il fallait bien que le premier flic de France face du bilan. Ce gouvernement en effet ne supporte pas la contestation et il ne faut pas désespérer, non plus Billancourt, ça c’était avant le changement, mais le Marais…
Une fois que l’ordre de dispersion a été annoncé, les forces du désordre ont attendu sept minutes seulement pour verrouiller la place et charger les retardataires pris dans la nasse.
Résultat, 160 jeunes dont 15 de nos militants, parmi lesquels une jeune fille de 18 ans, ainsi que des journalistes indépendants, sans doute des témoins gênants, ont été raflés sans ménagements.
L’imposture républicaine, sans nous surprendre, étale ainsi au grand jour sa duplicité perverse. Les Français sont là pour payer, subir les idéologies babéliennes les plus tordues et surtout fermer leur gueule qu’en bonnes victimes de la démocratie ils n’auraient jamais dû ouvrir.
Les temps de résistance dure et acharnée sont arrivés et bien sûr l’Action française entend y prendre la plus belle part.
Nous appelons à la solidarité avec la jeunesse de France, qui est l’avenir et l’honneur de notre nation.
Nos avocats sont à la tâche pour aider ceux qui pourraient être poursuivis et nous appelons les patriotes , convaincus qu’il faut faire d’urgence cesser l’arbitraire de l’état policier, à envoyer leurs dons pour soutenir les nouvelles victimes du régime.
Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-Le-pouvoir-passe-de-la
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L’impression que l’on va faire au 20h, on finit par s’en moquer
Gabrielle Cluzel était en colère hier, elle raconte :
"Dimanche, de la Bastille aux Invalides, c’était Jour de colère. Alors ils sont tous venus, la carpe et le lapin, de Sarcelles à Versailles, avec leur colère en bandoulière, sous une pluie assortie à leur humeur. 17.000 selon la police, 160.000 selon les organisateurs. Des organisateurs que personne ne connaît. Car aucun parti politique, aucun mouvement d’envergure, ni bonnets rouges ni LMPT, n’a appelé à manifester. Le succès n’en est que plus inattendu, déconcertant, inquiétant… À cette manif un peu foutraque, pas de « tenue correcte », ni de carton d’invitation exigé à l’entrée. On y vient dans son jus, comme on est, avec la pancarte qu’on s’est bricolée sur un coin de table. Suffit d’être en colère. C’est le principe.
Beaucoup de jeunes, énormément de jeunes. Derrière la banderole « lycéens et étudiants en colère », il y a les Hommen. Une trentaine de jeunes gens marchent symboliquement enchaînés par un homme casqué en scooter… Au-dessus de leur pantalon coloré, ils sont torse nu, certains grelottent, mais ils crient pour se tenir chaud. Dans la foule qui marche, les slogans sont souvent drôles, parfois graveleux, actualité oblige. Hasard de manif, des mères de familles cathos marchent derrière un « Pendant que la France part en c… Hollande promène les siennes ». Si vous croyez que ça dérange les petites dames… La respectabilité, le bon goût, l’impression que l’on va faire au 20 h sur les médias de bon aloi, on finit par s’en battre les roupettes, justement. Parce que quoi qu’on fasse, quoi qu’on dise, on aura toujours tout faux. Parce que même en mettant un tutu rose, en faisant les pointes devant la caméra, en ayant l’air jeune, sympa, sexy et ouvert d’esprit, on sera toujours un facho. Parce que quand la maison brûle, on ne fait pas taire le p’tit gars qui crie « au feu » avec vous, sous prétexte qu’il mettrait ses coudes sur la table ou aurait fait une quenelle au lycée. [...]
À 18 h, l’ordre de dispersion est lancé. À 18 h 10, les forces de l’ordre bloquent les avenues donnant sur la place et balancent les premiers gaz lacrymogènes. Pour apaiser la colère, sans doute ? Les grands médias, eux, n’ont rien vu, rien entendu. Quelle manif ? Quelle colère ? Préfèrent parler du dîner de gala à Bombay de madame Trierweiler que du jeûne de madame Bourges."
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Manuel Valls chute dans les sondages d’opinion depuis l’affaire Dieudonné
Elle devait être le coup de maître de Manuel Valls, la « quenelle » a frappé, muselant Dieudonné et la liberté de rire de tout, à géométrie variable comme l’est l’indignation affectée des hautes sphères, mais à la manière d’un boomerang qui revient aujourd’hui en pleine face de l’ambitieux ministre de l’Intérieur.
L’effervescence politico-médiatique passée, l’ahurissante chasse aux sorcières orchestrée par Manuel Valls l’a fait dégringoler de son piédestal, sa cote d'amour, qui était jusqu’ici invariablement au beau fixe, s’en trouvant fort amoindrie.
Le bon élève du gouvernement continue certes de distancer ses collègues dans les sondages d’opinion, mais il n'a pas là grand mérite, en enregistrant toutefois un recul inédit, révélateur d’un blason terni par la polémique disproportionnée autour d’un bouffon devenu la bête noire de la République.
Deux sondages consécutifs, réalisés à partir du 10 janvier, soit trois jours après la publication de la circulaire interdisant les spectacles de Dieudonné et au lendemain de l’arbitrage très politique du Conseil d’Etat qui a entériné la censure de son one-man-show à Nantes, mettent en lumière la chute irrésistible, voire vertigineuse de l'homme fort de la place Beauvau : dans le baromètre Ipsos pour Le Point, le ministre de l'Intérieur recule de six points, à 53 % de bonnes opinions, l'une des plus fortes chutes du mois. A l'unisson, dans l'enquête de YouGov pour le Huffington Post et iTélé, Manuel Valls perd 7 points d'opinions positives, tandis que sa cote de mauvaises opinions fait un bond notable de 6 points.
Les lettres de cachet du ministre de l’Intérieur ont davantage égratigné son image idéalisée de premier flic de France, sans peur et sans reproche, qu’elles ne l’ont embellie, à l’instar de l’enquête menée par Yougov qui a fait ressortir que seulement 38% des sondés soutiennent le principe de l’interdiction.
Voici ce qu’il faut retenir de cette dernière auscultation de l’opinion publique française, dont le sens du discernement est aussi saisissant que la baisse de Valls est significative : "64% des sondés sont d'accord pour dire que l'interdiction des spectacles «fait de la publicité» à Dieudonné et à ses idées (10% pensent le contraire) et 45% pensent que cette mesure «enfreint la liberté d'expression» (26% estiment le contraire). Enfin, 38%, contre 32%, jugent que cette méthode n'est pas efficace pour prévenir l'antisémitisme."Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, lobby 0 commentaire