Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 2023

  • ¡ Viva España ! Le ministre de la Justice espagnol, à propos du projet de loi sur l’avortement : « Cette loi nous situera à l’avant-garde du XXIe siècle et elle va rouvrir le débat ailleurs en Europe. »

    Avec le soutien du premier ministre Mariano Rajoy, Alberto Ruiz-Gallardón défend l’avant-projet de loi adopté quelques jours avant Noël par le gouvernement espagnol conformément à sa promesse électorale de restreindre l’accès à l’avortement.

    Si la gauche espagnole, parti socialiste (PSOE) en tête, parle d’un terrible retour en arrière et promet de refuser en bloc toute remise en cause de la libéralisation de l’avortement jusqu’à la 14e semaine instaurée par le gouvernement Zapatero alors que cela n’avait pas fait partie de son programme électoral, le ministre de la Justice du Parti Populaire (PP) estime lui que son projet sera la loi la plus avancée et la plus progressiste qu’il lui aura été donné de soutenir en 30 ans de politique. Malgré quelques voix discordantes au sein du PP, et même si le premier ministre a promis que l’avant-projet de loi pouvait encore être modifié dans le cadre du débat parlementaire, Gallardón semble convaincu qu’il n’y aura pas de modification majeure puisque le projet actuel est déjà le fruit de deux ans de discussions au sein du PP et que son parti votera en bloc pour cette loi conformément à une de ses promesses électorales pour lesquelles les Espagnols lui ont donné la majorité absolue au parlement il y a deux ans. [...]

    La suite sur Novopress

  • L’avortement doit faire partie du débat aux européennes

    C’est Najat Vallaud-Belkacem qui le déclare :

    « Interrogée sur le projet de loi du gouvernement espagnol remettant en cause le droit à l’IVG, la ministre a mis en garde sur France 3 contre «un certain nombre de lobbies très conservateurs qui, partout en Europe, essayent de remettre en cause les acquis fondamentaux» en matière de liberté des femmes. Dans ce contexte, «il faudra clairement nous exprimer parce que les élections européennes devront être l’occasion aussi de parler de ces sujets-là, des libertés fondamentales», a-t-elle ajouté. » 

    Notez que les tenants de la culture de mort ne parlent plus de droits mais désormais de libertés fondamentales… C'est plus facile pour museler les mal-pensants. Le temps n’est plus très loin où il sera interdit de défendre la vie de sa conception à sa fin naturelle. La dictature socialiste est proche…

    Le 19 janvier prochain est donc l'occasion idéale pour les futurs candidats aux européennes d'être présent à la Marche pour la Vie afin de montrer que ce sujet préoccupe les Français. 

    Rendez-vous le 19 janvier 2014 à 14h30 place Denfert-Rochereau !

    L-avortement-devient-un-enjeu-politique-europeen_visuel

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/lavortement-doit-fait-partie-du-d%C3%A9bat-aux-europ%C3%A9ennes.html

  • Dieudonné : la fuite en avant d’un pouvoir sous influence

    Comme si l’antisémitisme était arrivé au terme de son évolution, il se nourrit désormais de la lutte exercée contre lui.

     
     

    Jusqu’où faudra-t-il rogner sur les principes fondateurs de la démocratie – égalité entre les citoyens, liberté d’opinion, présomption d’innocence, non-rétroactivité de la loi… – pour satisfaire aux exigences de la lutte contre l’antisémitisme ?

    Nous ne nous attarderons pas sur la question de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité (accord de Londres 1945 et loi du 26 décembre 1964), crimes dont la définition n’a cessé de s’étoffer et le champ d’application de s’étendre, y compris de manière rétroactive (jurisprudence Klaus Barbie du 26 janvier 1984).

    Lire la suite ....

  • Dictature grecque : deux députés de l’Aube dorée, Giorgos Germenis et Panagiotis Iliopoulos, emprisonnés

    « Giorgos Germenis et Panagiotis Iliopoulos, deux députés du mouvement nationaliste de l’Aube dorée ont été arrêtés samedi et incarcérés après plus de 12 heures de comparution devant un juge. Ils ont nié les charges retenues à leur encontre, la prétendue appartenance à un « groupe criminel », et dénoncé le caractère fallacieux des preuves qui les relieraient à la mort d’une racaille antifasciste en septembre 2013.
    Un montage grossier puisque c’est cette racaille, Pavlos ‘Killah P’ Fryssas, qui avait agressé des supporteurs attablés à un bar au soir d’un match de football et qui avaient perdu la vie durant des incidents qui avaient suivi.

     

    C’est le programme du mouvement, nationaliste, défendant la famille, l’ordre social, moral, luttant contre l’invasion et la finance internationale, qui est au cœur de l’accusation. Le pouvoir grec, désormais totalement aux ordres du FMI, du Congrès juif mondial et de l’Union “européenne”, qui contrôle les finances du pays, a reçu des ordres clairs pour éliminer la résistance.

    Au contraire, le même gouvernement a, par laxisme, laissé s’évader il y a quelques jours l’un des pires tueurs de l’histoire grecque, le terroriste marxiste Christodoulos Xiros, impliqué dans 23 assassinats et une dizaine d’attentats. A l’inverse, l’enquête sur la mort de deux jeunes patriotes le 1er novembre 2013, Giorgos et Manos, n’a été suivi d’aucune interpellation.

    « Nous ne reculerons pas. L’Aube dorée vaincra – la Grèce vaincra » a déclaré Panagiotis Iliopoulos au moment de son arrestation.

    Ce dimanche, Stathis Boukouras, un troisième député, pourrait être arrêté après sa comparution devant un juge. Il affirmait hier : « Tous ces mensonges seront dévoilés et la vérité éclatera ».

    C’est la première fois depuis la dictature des colonels, soutenue déjà à l’époque par la CIA, qu’un groupe de députés est arrêté et incarcéré en Grèce. Cette nouvelle phase de la répression intervient alors que l’Aube dorée a atteint des niveaux encore plus importants qu’avant la première vague de manipulation politico-médiatique de l’automne dernier.

    Evgenia Christou, l’épouse de Yorgos Germenis, a pris la parole samedi soir devant plusieurs dizaines de militants dénonçant la dictature Samaras. Elle a exhorté les militants de l’Aube dorée et les Grecs à se battre et à soutenir les prisonniers :
    « Ils luttent pour nous tous, pour tous les Grecs, pour vous et vos enfants. Je crois qu’à la fin la vérité brillera et la justice trouvera son chemin » »

    D’après Jeune nation

    http://www.contre-info.com/dictature-grecque-deux-deputes-de-laube-doree-giorgos-germenis-et-panagiotis-iliopoulos-emprisonnes#more-30947

  • Interdiction de Dieudonné / Clash entre Plantu et Finkielkraut

  • La dérive fasciste de Manu le chimique

    Quoi qu'on pense de Dieudonné, les évènements juridico-médiatico-exécutivo-policiers (on ne sait plus très bien où on en est au pays de la sacro-sainte "Sépâratiooon des pouvouâârs") de la semaine passée sont extrêmement graves - et en même temps une bénédiction.

    Extrêmement graves car ils consacrent l'accélération du passage de la dictature molle de la pensée unique, celle que nous vivions depuis que les 68ards s'étaient emparés officiellement de la machine à lobotomiser au début des années 80, à une forme plus répressive, en cours de durcissement manifeste, de l'exercice de la totale-démocratie par la Ripoublique franchouillarde. Nous en avions eu un avant-goût au printemps dernier avec les rafles perpétrées sur les militants anti faux mariage. Toutefois, ce n'étaient là que des excès policiers, en distorsion plus ou moins manifestes avec le droit en vigueur, et sanctionnés comme tels, dans la plupart des cas, par les juridictions compétentes. Ici, nous franchissons un pas, puisque c'est l'exécutif, le premier flic de la Ripoublique (ne pas confondre avec la France, merci), qui tord le bras (bras complice, acquis à la cause, ...) à la plus haute juridiction administrative pour obtenir une décision d'exception de restriction d'une des libertés proclamées à temps et contre-temps par la même Ripoublique comme l'un de ses fondements. Quand l'on met ça en parallèle avec les projets d'interdiction totale d'information alternative sur l'IVG, on peut être légitimement très inquiet sur ce qui nous attend.

    Pour convaincre le lecteur du caractère fasciste du procédé employé (fasciste: nous ne nous priverons pas de l'utilité, et du plaisir savoureux aussi, avouons-le, de récupérer cet épouvantail à notre profit et nous en abuserons sans vergogne), nous lui conseillons fortement de lire cet article qui résume bien les procédés d'exception employés. Extrait.

    « De plus, la quasi-totalité des magistrat(e)s qui purent s’exprimer sur les média ce jour-là étaient clairement choqués par l’incroyable brutalité a laquelle Valls soumit le processus judiciaire et ses institutions à son agenda politique (à savoir interdire le spectacle à tout prix avant qu’il ne commence). C’est ainsi en extrême urgence qu’il saisit le Conseil d’État à Paris vers 3 heures dès que le tribunal administratif de Nantes eut annoncé sa décision d’autoriser Dieudonné à jouer. L’audience fut convoquée pour 5 heures à Paris ce même après-midi, ne laissant aucune chance aux avocats de préparer leur mémoire écrit. Et la totalité de la session, plaidoiries, décision, et annonce, dura à peine 90 minutes ! Une belle justice à la hussarde que Valls et Stirn nous donnent là. Et une chronologie hallucinante pour qui connaît le droit. Du jamais vu dans toute l’histoire du Conseil d’État, sauf un seul cas, en 1962, pour une condamnation a mort.

     Encore plus grave, surtout pour un individu qui entend un jour devenir notre Président et nous gouverner, fut le mépris total avec lequel Valls, dans sa rage à faire interdire le spectacle avant qu’il ne débute, piétina allègrement les droits de l’accusé Dieudonné. Imposant l’audience parisienne à 5 heures alors que les avocats de l’humoriste étaient encore à Nantes à 3 heures 30 sans aucune possibilité d’arriver à temps à la capitale, on empêcha de fait, et bien évidemment en toute connaissance de cause, l’avocat principal de Dieudonné, Jacques Verdier, de pouvoir venir défendre son client. »

    Bénédiction car, dans sa suffisance et son autisme, le régime ne se rend pas compte qu'il permet au Pays réel, qui était privé de cette possibilité depuis longtemps, de multiplier les anti-corps, de réagir, de se rendre compte qu'il n'est pas mort, et, petit à petit que la Ripoublique, qu'on lui présente depuis toujours comme la vraie France, pourrait ne pas l'être vraiment, voire même pourrait se révéler le cancer qui la ronge. Comme au Printemps dernier, le régime qui ne connait plus le pays, qui l'imagine aussi mentalement corrompu (et qui l’aimerait aussi spirituellement inverti) qu'il l'est lui-même, va trop loin au regard des effets qu’il cherche à réaliser. C'est l'image de la grenouille dans l'eau qui chauffe. Si l'eau chauffe lentement, la grenouille s'engourdit irrémédiablement jusqu'à ce qu'elle soit cuite. Si la température monte d'un coup, la grenouille réagit et peut sauter hors de la casserole. L'autisme système version socialiste l'a faite sortir une première fois au Printemps dernier (La gamelle UMP essaie bien de la récupérer - avec la complicité plus ou moins consciente de certains mouvements), et il récidive maintenant avec l’affaire Dieudonné. Ce qui nous permet de le percevoir dans toute sa réalité d’hystérie, de haine, de service d’intérêts particuliers, et tentative de contrôle de la pensée: nous qui le savions déjà, et tous ceux qui n’en avaient pas encore suffisamment conscience, et là est la bénédiction.

    Quelques conclusions pratiques, partielles.

    1/ Ni Dieudolâtre, ni Dieudophobe (merci à Gabrielle Cluzel), notre combat catholique et français doit saisir toutes les occasions de multiplier les coups de boutoir contre le système qui tue la France. Se réfugier sur l’Aventin est contre-productif, à moins de se mettre dans une posture exclusivement communautariste, qui est celle que le système attend, pour mieux nous réduire. Cette posture n’est pas politique.

    2/ Il ne s’agit en aucun cas de cautionner les excès de l’humoriste, ni de lui donner plus d’importance qu’à un humoriste, précisément. En revanche il s’agit de prendre le régime dans ses contradictions, et d’en jouer le plus systématiquement possible pour qu’elles apparaissent aux méninges du plus grand nombre possible de nos compatriotes, en contournement de la censure médiatico-politicienne « mainstream ».

    3/ Il est vital de traquer, dénoncer, mettre en lumière, sans répit les magouilles, abus de pouvoir, vilenies et manigances de Manu le chimique qui a notre sens est l’un des plus dangereux représentants-système, vindicatif, haineux, sans aucun scrupule, gonflé d’orgueil, d’ambition et ayant partie liée à des intérêts qui se nourrissent de la décomposition française. 

    Paula Corbulon

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Manuel Valls piégé ? Après l’offensive anti-Dieudonné, l’offensive anti-Valls ?

    En laissant Valls orchestrer seul l’offensive, son propre camp semble espérer autre chose que la mise au pilori médiatique du saltimbanque...

    Les commentaires sur « l’affaire Dieudonné » se font autour de quelques arguments rabâchés de part et d’autre, mais personne, semble-t-il, n’envisage qu’elle ne serait peut-être qu’un simple prétexte : et si Manuel Valls, obsédé qu’il est par ses ambitions personnelles – Matignon au plus tôt, l’Élysée dans trois ans – n’avait pas vu le coup venir ? S’il était tombé dans un piège ?

    Piège nullement tendu par le sulfureux humoriste, mais par une (grande) partie de son propre camp qui supporte de moins en moins sa morgue et ses ambitions ? Depuis deux ans, on ne cesse de s’interroger sur la popularité de Manuel Valls dans l’opinion publique, tandis que celles du Premier ministre ou du Président se sont effondrées et peinent à ne pas être englouties… Ne suppute-t-on pas à tout bout de champ qu’il pourrait bientôt remplacer Jean-Marc Ayrault à la tête du gouvernement ? Ce, alors même qu’il est loin de faire l’unanimité au PS qui regorge d’ambitieux, d’hier et d’aujourd’hui… sans parler de la détestation qu’il inspire aux dirigeants d’Europe Écologie Les Verts après quelques tirades – sans suite ! – sur les Roms.

    Lire la suite ....

  • Kosovo : les Chrétiens empêchés de célébrer les offices de Noël

    Nada allume des bougies devant l'autel. L’église de l'Assomption de la ville de Djakovica au sud du Kosovo se prépare aux offices religieux de Noël, célébrée le 7 janvier fidèlement à l’ancien calendrier julien. Si la joie de la Nativité du Christ demeure, la cérémonie s’en tiendra à son minimum. Nada rejoint ses trois consœurs dans la nef. Le prêtre orthodoxe n’arrive toujours pas. 
    Dehors, 150 Albanais étouffent l’entrée de l’église. Les poings levés, chargés de pierres, la foule se compacte pour bloquer l’accès à la rue. 
     « Pas de Chrétiens à Djakovica ! Pas de Noël au Kosovo! » 
    Ils étaient 12.000 Serbes orthodoxes en 1999. Elles ne sont plus que 4 en 2014. Plus un seul foyer chrétien ne vit à Djakovica. Seules quatre rescapées sexagénaires appelées affectueusement les « grands-mères de Djakovica», entretiennent l’église de la ville. Une église emblématique pour les Serbes du Kosovo. D’abord refuge en 1999 pendant la guerre, l’église de l'Assomption fut détruite au cours des pogroms antichrétiens de mars 2004. Dix ans plus tard, à la veille de la Nativité, c’est une église condamnée par une marée humaine. 
    Des persécutions sans pitié ni appel 
    Pour la première fois depuis la guerre, une centaine de Chrétiens de Djakovica réfugiés en Serbie ont formulé le vœu de célébrer la veille de Noël dans leur paroisse d’origine. Ils auront voyagé un jour durant pour arriver jusqu’au Kosovo et atteindre enfin leur ville d’antan. Finalement, ils n’auront pu caresser le parvis de l’église de l’Assomption que du regard depuis leurs sièges. A leur arrivée, les deux cars spécialement affrétés pour l’occasion ont été la cible de jets de pierre et de mouvements de foule obligeant les chauffeurs à rebrousser chemin. Les réfugiés de Djakovica n’assisteront pas aux offices religieux de Noël, empêchés par le rassemblement de 150 Albanais. 
    Hier soir, les passagers serbes ont tous été contraints de repartir de Djakovica sans même y avoir posé le pied. Plusieurs d’entre eux ont été blessés dont un grievèment à l’œil par éclats des vitres des cars pris pour cibles par les jets de pierre des manifestants albanais. 
    Le dernier apartheid en Europe 
    Pour Aleksandar Vulin, ministre du gouvernement serbe, invité à commenter les faits de la veille pour la télévision du Kosovo : « Hier, ce fut une triste journée pour les Serbes qui représentent le seul peuple en Europe à ne pas pouvoir se rendre dans une église pour y célébrer la Nativité ». Interdit lui-même de séjour à Djakovica, le ministre rappelle dans son interview que depuis la guerre pas un seul Noël ne s’est déroulé sans incidents à l’encontre des Chrétiens avant de conclure « à quand la fin de l’apartheid au Kosovo-Métochie ? » 
    Alors que le Kosovo constitue le seul territoire du continent européen à apparaître sur l’Atlas de l’intolérance 2014, Solidarité Kosovo condamne sévèrement l’atteinte à la liberté religieuse dont les Chrétiens du Kosovo-Métochie ont été cette année encore victimes à la veille de la Nativité. Deux ans auparavant c’était le Président serbe, Boris Tadic, venu assister aux cérémonies de Noël au monastère de Visoki Decani qui fut accueilli à Pec dans les mêmes conditions. 
    Revenue tout juste de son 30ème convoi humanitaire, Solidarité Kosovo exprime son fidèle soutien aux hommes et aux femmes qui, la foi chevillée au corps, vivent un nouveau Noël sous tension.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2014/01/kosovo-les-chretiens-empeches-de.html

  • Dans la logique républicaine...

    Regardez le visage de ce ministre, il représente ce qu'un système où la liberté n'est plus que celle martelé sur les mairies. Il veut manipuler les plus faibles, les plus petits, bref nos enfants. Et pour en faire quoi, non pas ce qu'il dit, mais des esclaves soumis, des robots aux ordres de la finance, des muets devant la vie scandaleuse d'une ripoublique se vautrant dans les scandales et les tripatouillages de l'argent public. Regardez bien cet homme, c'est le même genre d'homme qui veut enlever les enfants de l'éducation parentale pour en faire demain des outils aux ordre d'un gouvernement antisocial. Durant la révolution, la misère régnait et sur simple dénonciation, le peuple défilait sous le couperet de la guillotine. On enlevait les enfants aux parents pour les former "à la spartiate" selon les vœux de conventionnels dégénérés, avant de les voir mourir par souffrance du froid et de faim. C'est cela les référence de cet homme une période durant laquelle ses héros circulaient devant la misère du peuple avec des pantalons en peau d'homme (les tanneries se trouvaient à Pithiviers, Meudon...), c'était le bon temps pour ce ministre...
    Ce genre d'homme représente en vérité ce qu'une dictature du "prêt à penser" est capable d'amener de pire, sous un regard bonhomme de bourgeois cossu, ce qu'en d'autres temps, on aurait expulsé d'une véritable cité autonome et démocratique...

    Frédéric

    Winkler http://www.actionroyaliste.com/articles/republique-et-democratie/1304-dans-la-logique-republicaine

  • Avortement : le changement des valeurs est profond

     

    Voici la réflexion d'Uli Windisch sur le site Observateurs.ch à propos du référendum suisse du 9 février prochain demandant que l’interruption volontaire de grossesse ne soit plus remboursée par l’assurance de base:

    UWAvortementFoetus15_12_13-448x293"(...).En réalité, sans être obstinément d’un camp ou de l’autre dans cette votation, je pense que le fond du problème est ailleurs et que les partis dits bourgeois ne voient pas que les sensibilités collectives ont changé et que les vrais débats se situent de plus en plus au niveau des valeurs, et que certaines valeurs qui ont été dénigrées pendant des décennies dans la phase dite de  « libération générale des mœurs » depuis les années 1970, reviennent à la surface et reprennent une place parfois de première importance. Ce courant est général et ce serait une erreur que de n’y voir que conservatisme, attitude réactionnaire, vaine nostalgie, intégrisme religieux, etc.

    Le changement des valeurs en cours est profond, souvent implicite, et touche aux fondements mêmes de notre culture et civilisation. Cela au moment même où un maximalisme idéologique diamétralement opposé, emmené par exemple par les socialistes très à gauche au pouvoir en France, tente de s’imposer sur les questions de société. Le conflit ne peut être que frontal et total.

    Mais la droite devrait comprendre que des valeurs comme la nation, la patrie, la famille et la vie elle-même, et d’autres encore, redeviennent essentielles, et plus fortement encore face à ce maximalisme idéologique de gauche que même mai 1968 n’exigeait pas.

    Pour en rester simplement à la valeur de la VIE dont il est question ici, l'image en cause est celle de la vie, de la vie de l’enfant dès sa conception, et cette image a beaucoup changé, également sous l’effet des progrès technologiques qui offrent des images magnifiques de cette vie dès son origine et qui ne laissent personne indifférent. La vie redevient un phénomène extraordinaire, sacré pour beaucoup, dont on suit l’évolution précisément avec images à l’appui (amniocentèses, etc).

    Le problème posé par une personne confrontée à un avortement devient beaucoup plus préoccupant et important. Ce n’est plus un acte comme cela l’était dans les années 1970. Un tel acte ne va plus de soi. Les souvenirs, voire les séquelles d’un avortement  peuvent  poursuivre certaines femmes leur vie durant. Négliger ces changements, c’est ne pas voir la profondeur des mutations en cours, indépendamment des idéologies politiques, qu’on le veuille ou non.

    Cela se traduit jusque dans le langage : le mot avortement, bien plus concret et brutal que celui, délibérément euphémisé, d’IVG est de nouveau utilisé même par ceux qui n’en font encore qu’une banale opération chirurgicale. Ils ne s’en rendent même pas compte.

    Proposition : développer réellement et sérieusement des conditions permettant aux familles et aux femmes confrontées à ce terrible dilemme de pouvoir garder un enfant même quand cela semble impossible.Il nous faut une vraie politique nataliste. Plutôt que refuser des aides financières et autres, par exemple, aux femmes qui seraient prêtes à avoir trois enfants au lieu de deux, de même à celles qui souhaitent rester à la maison, même quelques années, pour élever leurs enfants  plutôt que de les confier mécaniquement et automatiquement à l’ETAT, sous une forme ou une autre. Mais de cela on n’en a pas voulu.

    L’immense bonheur que peut procurer un bébé et un enfant devrait retrouver tout son sens de même que les valeurs qui sont ici en jeu (...). Vouloir donner la vie plutôt que faciliter sa fabrication par d’autres ou faciliter sa suppression devrait se situer au-delà des idéologies.

    Au-delà des oppositions frontales sur ce thème, travaillons à plus essentiel : à une vraie politique nataliste, au lieu de compter sur l’immigration ou de demander simplement aux femmes d’entrer plus massivement sur le marché du travail. Il en va du type de société que nous voulons et des valeurs qui la fondent, plutôt que d’une opposition entre « progressistes » et « réactionnaires » (...)"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/