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lobby - Page 2021

  • Rebelles syriens d’Hollande et Fabius :« Les croix doivent disparaître, sinon la mort »

    «Toutes les croix doivent disparaître. Il est interdit de sonner les cloches. Les femmes ne doivent pas quitter la maison sans se couvrir le visage et les cheveux. Les statues doivent disparaître. En cas de défaut, nous allons appliquer la loi islamique. En bref : qui ne s’adapte pas, soit il s’en va, soit il est mort».

    Ceci est le texte du message lu par le cardinal Leonardo Sandri , préfet de la Congrégation pour les Eglises orientales, transmettant les ordres donnés par les chefs jihadistes au père Hanna et au père Dhiya, les deux franciscains retenus prisonniers avec les fidèles de trois villages.

    La lettre aux tons dramatiques, a été envoyée par le père Pizzaballa, Gardien de Terre Sainte. Il annonce que désormais le Nord de la Syrie est entre les mains des extrémistes rebelles qui ne tolèrent pas la présence de non-musulmans dans la région.

    Les ordres sont adressés particulièrement aux habitants des villages chrétiens de Knayem, Yacoubieh et Jdeideh, près du fleuve Oronte. Ce sont des endroits où le christianisme a existé depuis les tous premiers siècles. Et c’est ici que deux mille chrétiens de Syrie ont été encerclés et faits prisonniers, et sont susceptibles d’être tués s’ils ne respectent pas les préceptes de l’Islam.

    Le journaliste Gian Micalessin écrit : «Le téléphone du père Hanna est silencieux depuis plusieurs jours. On a plus de nouvelles des douze religieuses de Malula enlevées par les soldats. Une chape de silence enveloppe les villages chrétiens de l’Oronte. Mais derrière ce silence deux mille vies sont en danger. Si elles seront emportées le christianisme et l’Occident vont perdre leurs racines. Dans l’indifférence d’une Europe pusillanime et lointaine» (“Il Giornale”, 19 décembre 2013).

    Source Correspondance européenne

    http://www.contre-info.com/reblles-syriens-dhollande-et-fabius-les-croix-doivent-disparaitre-sinon-la-mort#more-30997

  • Une raison supplémentaire de se rendre à la Marche pour la vie

    Communiqué de AFC :

    "La question de l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) revient dans les débats depuis quelques mois, au niveau national comme au niveau européen.

    En France, le projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes, qui doit être prochainement discuté à l’Assemblée nationale, a fait l’objet d’amendements en commission qui modifient substantiellement le droit existant en inscrivant l’IVG comme un simple droit relevant d’un « souhait » et non plus un recours en cas de détresse. Dans le même temps, après la décision du gouvernement espagnol, et malgré la résolution adoptée au PE le mois dernier, des pressions sont à nouveau faites pour introduire à l'ordre du jour de la session plénière de cette semaine, le sujet  de la non-discrimination dans le domaine de la santé et les « droits » sexuels et reproductifs; également au nom de l’égalité homme-femme, l'objectif est, entre autres, au travers d'une déclaration de la Commission, de faire la promotion et ériger en norme l’accès à la contraception et aux services d'avortement sûr et légal. Ainsi un débat aurait lieu ce jeudi en séance plénière.

    Les AFC s’inquiètent de la banalisation de l’IVG dont ces textes se font l’écho, du nombre de campagnes publiques en la matière. Dans ce contexte, on évacue complètement le fait que l’avortement consiste à arrêter la vie d’un enfant à naître. De même, il n’est pas question des alternatives à l’IVG, qui sont pourtant une condition à la liberté de choix.

    Par ailleurs, les AFC rappellent que le recours à l'avortement prend naissance en particulier dans des conceptions erronées de la sexualité : seule une véritable éducation affective, relationnelle et sexuelle est susceptible de faire régresser l'avortement et représente l’action efficace de prévention, pour autant qu’on ne l’aborde pas seulement sous un prisme hygiéniste et de consommation de l’autre, mais bien affectif et de relation.

    Les AFC poursuivent leurs actions de terrain, notamment dans le domaine de l’éducation affective et sexuelle. Dans ce contexte également, les AFC voient une raison supplémentaire cette année de participer à la prochaine Marche pour la Vie qui aura lieu à Paris le 19 janvier prochain."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Dieudonné: le député belge Laurent LOUIS répond à Manuel Valls

  • Non à la théorie du genre – tournée de conférences d’Alain Escada

    - 15 janvier à Toulouse, salle Barcelone, 22 allées Barcelone, 20 heures 30
    - 1er février à Besançon, villa Blanche (1ère sortie rond-point de Chaleze), 20 heures
    - 8 février à Chartres, 11 bis rue des Jubelines, 20heures
    - 15 mars à Noisy le Grand, 10 rue Jules Ferry, 20 heures
    - 20 mars à Lyon, 56 Bd d’Inkermann, 6ème, 20 heures
    - 28 mars à Villechauve (près de Vendôme) à « La Lune et les Feux », 11 rue Pasteur, 20 heures

    Une offre promotionnelle est proposée. Son précédent ouvrage « Mariage homosexuel, homoparentalité, etc – Décryptage d’une révolution sexuelle » vendu à 12 euros et son nouvel ouvrage « Théorie du genre – L’idéologie qui voulait détruire la Créationet libérer toutes les perversions humaines » vendu à 6 euros, sont proposés à la vente ensemble pour 15 euros, frais d’envoi compris.
    Achat en ligne ici ou par chèque à envoyer à notre secrétariat CIVITAS – 17 rue des Chasseurs – 95100 Argenteuil.

  • Alliance Vita soutient la Marche pour la Vie et appelle à manifester le 19 janvier

    Sur son site

    "Pour Alliance VITA, manifester contre des dispositions législatives injustes est à la fois légitime et nécessaire. VITA encourage les Français à se mobiliser et soutient la Marche pour la vie.

    Alliance VITA formule le souhait que la manifestation, organisée à Paris le dimanche 19 janvier 2014 soit un succès :

    - qu’elle contribue à sortir l’avortement du silence, sans qu’aucune femme ou famille ayant l’expérience de l’avortement ne se sente jugée ou condamnée, car l’IVG est déjà la source de grandes souffrances morales ;

    - qu’elle favorise la prise de conscience d’une urgence : la mise en place d’une véritable politique de prévention de l’IVG, mobilisant tous les acteurs des domaines sociaux, médicaux, éducatifs, etc."

    Lahire

  • Rendez-vous le 19 janvier Place Denfert Rochereau à Paris à 14h30

    Nous montrerons aux responsables politiques français, espagnols et européens que de nombreux citoyens veulent :

    • REFUSER l'inscription dans la loi française des avortements de complaisance, des avortements eugéniques, et de l'obligation de présenter la vie et la mort comme deux réponses équivalentes.
    • DENONCER l'omerta sur cet enjeu en France et la modification en douce de la législation alors même qu'il s'agit d'un "véritable bouleversement" selon le constitutionnaliste Bertrand Mathieu.
    • ENCOURAGER les rares députés français qui vont s'opposer à ces dispositions inscrites dans le projet de loi Egalité Femmes/Hommes voté à partir du 20 janvier à l'Assemblée nationale.
    • SALUER le courage du gouvernement espagnol qui vient de présenter un projet limitant l'avortement et qui ira le présenter à Bruxelles en février.
    • INSCRIRE la défense de la vie au programme des élections européennes, après le succès des mobilisations ONE OF US et anti-ESTRELA et alors que la Commission européenne fait du forcing pour relancer le débat sur le rapport Estrela, remettant en cause « l’autorité de la chose votée ».

    Michel Janva

  • Endoctrinement et desinformation : 11 janvier

     

    Alors que d'une main l'oligarchie frappe et se sert de l'épouvantail de l'antisémitisme pour tester la résistance du peuple français à l'oppression du moralement correct, premiers pas de la dernière phase du mouvement vers une mise sous coupe réglée de la liberté d'expression et de manifestation - au fond la finalisation de l'esprit de la loi Gayssot -, autant sur internet que dans le monde "réel" ; de l'autre elle reprend les bonnes vieilles méthodes du conditionnement positif en travestissant ses lubies totalitaires futures. On retrouve tout l'usage subversif du libéralisme dans ce conditionnement médiatique de fonds, dont on observe par période les plus grosses ficelles.

    Dont le cas d'une euthanasie joyeuse, "fun", d'un soit-disant plus vieil athlète de Belgique, qui a 95 ans a le bon goût de fêter sa mort en famille, un verre de champagne à la main, ce qui, soit dit en passant, est bien la mort que nous pouvons souhaiter au plus grand monde, mais qui, au service des utilitaristes capitalistes, devient un fait divers politiquement progressiste poussant à l'acceptation d'une nouvelle règlementation nécessaire, si et seulement si elle se faisait sur des principes nobles et dans une société dont le cadre serait sain. Car pour un joyeux luron ayant estimé à raison, par lui-même, que sa vie devait prendre fin, usant de l'une de ses libertés les plus fondamentales, combien de vieillards malades et déprimés attendent la mort dans la solitude la plus complète, réifiés, soignés tant bien que mal - et plus mal que bien - et feront alors, grâce à une future réglementation, les bataillons d'euthanasiés pour raison de restrictions budgétaires?

    Voir aussi en quoi détermine-t-on l'intérêt vers où doit tendre la recherche et les fonds qu'on lui alloue, dans la découverte d'un médicament luttant contre la dépendance du cannabis, amenant de fait une future consommation encore plus "cool", dénuée du versant négatif de la drogue : un premier pas vers la synthèse d'une drogue obligatoire et sans effets secondaires qu'Aldous Huxley dans Le meilleur des mondes avait nommé Soma.

  • Patrick Klugman, l’avocat des Femen, de BHL, de Caroline Fourest et de SOS Racisme…

    Focus sur Maître Patrick Klugman. Celui-ci est à la fois l’avocat des Femen, de Caroline Fourest, de Bernard-Henri Lévy et de SOS Racisme.

    Cet avocat trouve naturel d’interdire les spectacles de l’humoriste Dieudonné mais considère que les Femen doivent pouvoir librement profaner les lieux de culte catholiques.

    Né en 1977, Patrick Klugman est ancien président de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF).

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  • Le « choc de la simplification » c’est ça ?

    « Un clou chasse l’autre, après les galipettes tonitruantes de Dieudonné, les galipettes amoureuses du Président ! » soulignait  Jean-Marie Le Pen samedi lors d’une conférence de presse aux côtés de Bruno Gollnisch et de la tête de liste du FN/RBM aux municipales de Lyon et responsable  rhodanien, Christophe Boudot. Alors que Marine Le Pen passera sa journée le 1er mars dans la capitale des Gaules et la clôturera par une grande réunion publique, le président d’honneur du FN répondait à l’invitation de la fédération du Rhône pour partager avec plus de 600  militants, une galette des rois  à l’Espace Tête d’Or de Villeurbanne. Comme il fit la veille au micro de RTL,  le «Menhir » a relevé que s’il n’avait pas à «soutenir » Dieudonné, «n’en déplaise aux cuistres de l’établissement politico-médiatique, c’est un comédien, un artiste, un créateur ». «L’année commence par une polémique subalterne. Le ministre de l’Intérieur étant incapable de faire face à la montée de l’insécurité, il dérive l’attention sur un comédien qui ne serait pas convenablement placé sur les rails de la pensée unique. Dans notre pays la comédie satirique est de très ancienne extraction ». « C’est (Manuel Valls)  qui (a  lancé) cette affaire afin d’embarquer toute la classe politique française dans une histoire d’antisémitisme, exactement comme son prédécesseur Monsieur Joxe avait essayé de piéger le Front National avec l’histoire de Carpentras ». « Toujours l’antisémitisme, ça mobilise et par conséquent on est considérés comme un nazi, désigné comme tel… On est victimes, voilà la vérité ! ».

    Précisons d’ailleurs que le journaliste politique Denis  Jeambar, consultant pour la chaîne LCP, affirme que c’est   un coup de fil de Jean-François Copé donné courant décembre au ministre de l’Intérieur, qui est à l’origine de ce déchainement. M. Copé aurait demandé à M. Valls de prendre des mesures contre Dieudonné , et le ministre aurait donné son accord en échange d’un soutien de  la « droite » dans cette affaire, qui ne s’est pas démenti depuis.

    Pour Jean-Marie Le Pen, «Dieudonné exerce son talent satirique tous azimuts, mais on sait qu’il y a des cibles qui sont taboues (…).  Il n’incite pas à la haine et à la violence. Il incite à la rigolade. » « Il faut avoir une certaine mauvaise foi pour nier que ce genre satirique a toujours déplu aux puissants ». Ce qui nous invite bien sûr à nous interroger sur les limites d’une  liberté d’expression censée être garantie par une  justice qui  en fait n’est jamais vraiment indépendante du pouvoir politique.

     Liberté d’expression dont Marine Le Pen a rappelé que sa défense était un des fondamentaux du Mouvement qu’elle  préside.  Mais une liberté   qui,  quel que soit le régime en place,  est toujours  encadrée, amputée, amodiée,  en fonction des intérêts des puissants du moment.

    Bref, le vœu de Evelyn Beatrice Hall, attribué de manière synthétique  à Voltaire, «Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire » (« I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it »), n’est certainement pas une devise socialiste, et encore moins celle d’un ministre de l’Intérieur de la Vème République…

     Les Français ne sont pas dupes de cette diversion  et sont ici de nouveau  en phase avec le FN. Selon le  sondage BVA pour ITele-CQFD paru en fin de semaine, 74 % de nos compatriotes  pensent que le gouvernement parle « trop » de cette affaire, 52 % (contre 46 %) sont hostiles aux interdictions des  spectacles de Dieudonné. Les sympathisants de droite sont plus particulièrement hostiles à ces interdictions (61 %), chiffre qui atteint 77 % pour les sympathisants du Front National.

    Français qui encore une fois, partagent le sentiment de Marine concernant le caractère essentiel de la protection de la vie privée. Un  principe réaffirmé par la présidente du FN lorsqu’elle fut interrogée sur les consternantes  révélations ( ?) sur la vie sentimentale de François Hollande, parues dans le  magazine pipole  Closer.  Selon celles-ci,   le président tromperait sa compagne officielle, Valérie Trierweiler,  hospitalisée ces dernières heures pour « prendre du repos »,  avec l’actrice Julie Gayet.

    Une affaire qui polluera inévitablement la conférence  de presse du chef de l’Etat prévue cet après-midi,  au cours de laquelle il doit présenter les mesures traduisant le  virage social-libéral qu’il entend parait-il  impulser pour la suite de son quinquennat.

    Un autre sondage  paru dans le   JDD  indique que pour   84% des personnes interrogées, l’opinion (elle est de toute manière très majoritairement extrêmement négative eu égard à la politique conduite) qu’elles ont du président n’a pas changé après les «allégations» de Closer ; 77% des sondés estiment qu’il s’agit d’une «affaire privée qui ne concerne que François Hollande».

    Une confirmation de la différence de mentalité  existant entre la France  notamment  et  les pays protestants  anglo-saxons.  Un président des  Etats-Unis ou un Premier ministre britannique,  doivent être exemplaires,  y compris dans leur  vie privée. Une exigence qui a comme corollaire  que les médias de ces pays n’hésitent pas  à exposer, fouiller, explorer leur vie intime et à la livrer en  pâture à l’opinion. Ce n’est pas là notre tradition  française, nos compatriotes  ayant généralement  une indulgence certaine  pour les frasques hors-mariage  de « nos » dirigeants ; il n’est pas nécessaire de remonter à Henri IV (dit le vert-galant)  et ses dizaines de maîtresses officielles, pour s’en convaincre.

    Cette affaire, il est vrai anecdotique au regard des  problèmes autrement plus importants et angoissants qui assaillent la France et les Français, n’en agit pas moins comme un révélateur de la décadence de cette ripoublique là, donneuse de leçons mais dont l’arrière cour est peu ragoutante.

    Certains avancent ainsi que Manuel Valls ne serait pas étranger à ce déballage,  lequel mènerait là aussi la danse à des fins personnelles comme il le fait dans le dossier Dieudonné. L’hebdomadaire Le Point s’interroge:  « comment la police ne pouvait-elle pas être au courant que le président se rendait rue du Cirque dans un appartement prêté à Julie Gayet depuis six mois par une comédienne qui y vivait jusque-là avec Michel Ferracci, ancien du cercle Wagram, réputé proche du gang de la Brise de mer et condamné à dix-huit mois de prison avec sursis ? (…). Manuel Valls a-t-il alors cherché à planter le président ? Ou à devancer ses désirs de séparation ? ».

     « Valérie Trierweiler peut-elle rester à l’Elysée ? » s’interroge la journaliste  Catherine Nay, pour qui  ce psychodrame  aurait une dimension  quasi psychanalytique, en révélant le caractère d’un chef d’Etat pâte molle,  incapable de prendre des décisions.

    Vendredi sur Europe 1,  elle a considéré  que « François Hollande doit être très content »  et évoqué des  « évènements » qu’il a peut être organisé. « Il sait très bien que cette rumeur était connue depuis très longtemps (…) si vous ne voulez pas être pris, il ne faut pas vous rendre au domicile de la dame ». Aussi, M. Hollande aurait cherché à sortir d’une « ambiguïté » qui le rongeait : « cette double vie lui pesait et il avait besoin que les évènements tranchent pour lui » croit savoir Mme Nay.  Ce serait donc cela «  le choc de la simplification » pour M. Hollande ?  On repassera…

    « Comment ne pas déplorer l’atteinte intolérable à l’image de la France, quand le chef de l’Etat, qui n’est pas un citoyen comme les autres, non content d’entretenir aux yeux de la terre entière une relation illégitime à l’Elysée, se fait surprendre casqué et à moto pour des rendez-vous galants, de surcroît entouré de gardes du corps rémunérés sur fonds publics?» a déclaré de son côté le député UMP Georges Fenech. « La liaison de François Hollande affaiblit la fonction présidentielle » a renchéri Jean-François Copé.  Nos deux compères ayant apparemment oublié l’affligeant storytelling sentimental que nous infligea Nicolas Sarkozy dans la première partie de son mandat.

    Car  si le président à le droit au respect de sa vie privée,  à charge pour lui de ne pas mélanger les genres et de sauvegarder  une dignité dans sa vie officielle qu’il doit tout autant aux Français qu’à sa fonction. Non en effet,  le président de la république n’est pas un citoyen normal, comme les autres. Cela est particulièrement vrai  dans un pays comme la France, sous  une Vème République dans laquelle l’esprit monarchique qui a façonné la représentation du pouvoir des Français  a perduré.

    Or,  cette affaire d’un président en scooter, le casque mal  attaché,  un paparazzi à ses basques,  se rendant à ses  rendez-vous amoureux,  poursuit  une pitoyable  évolution  qui a débuté sous la majorité précédente.

    Nous le notions sur ce blog  à la fin du quinquennat du mari de Carla Bruni, citant alors le journaliste François Bousquet,  la vraie rupture sarkozyste a consisté en  la « désacralisation du pouvoir ». « Des deux dimensions de la politique, la sacrée et la profane, Sarkozy a écarté d’emblée la première. C’est  son crime de lèse majesté. Plus rien en lui ne relève de l’éminence monarchique. Dans Les deux corps du Roi, l’historien Ernst Kantorowicz avait montré en quoi le monarque médiéval possédait un double corps : le corps naturel, mortel, et le corps surnaturel, celui qui incarne le principe dynastique et ne meurt pas. Sarkozy a mis fin à tout cela (…). »

    Et  comme nous l’affirmions déjà quelques mois auparavant,  évoquant  également  Kantorowicz,  c’est l’ensemble de la classe politicienne qui sombre à des degrés divers, dans  le dévoiement démagogique, dans la pipolisation, si ce n’est dans une certaine vulgarité,  passant du « du spectacle de la politique à la politique-spectacle ».

     Bruno Gollnisch souligne encore que ce mélange des genres entre la vie privée et la vie publique a été aussi initié  dés le départ par  François Hollande  qui en contradiction totale avec les usages, les règles protocolaires et surtout sans  le moindre respect des contribuables français,  a voulu que sa compagne Valérie Trierweiler l’accompagne dans ses voyages officiels et bénéficie à l’Elysée d’un bureau et de cinq collaborateurs affectés à son service. Les salaires nets de ces derniers    coûtent   officiellement  1 184 520 euros par an aux Français, somme qui n’inclut pas la domesticité et le personnel de sécurité veillant sur Mme Trierweiler.

    Or, rien ne justifie les avantages en  nature accordés  à  Valérie Trierweiler qui  ne bénéficie répétons-le  d’aucun statut officiel, n’est pas chargée d’une mission   ni dépositaire d’aucune autorité publique.

    De la vendetta  de Valls contre  Dieudonné, contraire à l’Etat de droit ,  aux virées  de M. Hollande, les  petits arrangements entre amis, le règne du deux poids deux mesures, le mépris des Français, l’insulte à leur intelligence encore et toujours, sont bien le  même fil conducteur de ce régime épouvantable.

    http://gollnisch.com/2014/01/14/le-choc-de-la-simplification-cest-ca/

  • La fin du monopole de la Sécurité sociale…

    L’ordonnance 2001-377 dispense de payer la CSG et la CRDS ceux qui choisissent un organisme dans un autre pays européen, et cela est caché...

     
     

    Il n’est pas question, dans cet article, d’inciter à fuir notre régime d’assurance obligatoire… cela est interdit par l’article L114-18 (2006) du Code de la sécurité sociale…

    Cependant, il n’est pas inutile de rappeler les éléments suivants…

    La Commission européenne a confirmé la fin du monopole des retraites et, implicitement, de la Sécurité sociale en France instaurée par de Gaulle en 1945 sous l’influence du Parti communiste français et des syndicats très puissants à l’époque. Nos avantages sociaux ont tenu bon durant plus de 60 ans tout en creusant régulièrement le trou de leur déficit. La Sécurité sociale est un État dans l’État et son budget est comparable à celui de la France. Son déficit entraîne le pays vers des profondeurs abyssales. Il est plus que probable qu’elle ne tardera pas à exploser, et il est donc urgent de rechercher des solutions avant l’effondrement total du monopole.

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