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lobby - Page 2077

  • Une poignée de compagnies contrôle l’industrie alimentaire

    Les centaines de marques que nous retrouvons sur les tablettes des supermarchés nous donnent l’impression que notre argent va à un nombre aussi grand de compagnies différentes. Or, ça n’est pas le cas: une grande majorité de ces marques appartiennent à une poignée de compagnies. Le graphique suivant donne un aperçu d’où notre argent va réellement (cliquez ici pour une version pleine résolution):

    Pourquoi cette convergence est-elle néfaste?

    Cette question est légitime: en quoi le fait que ces marques soient contrôlées par si peu de compagnies est-il une mauvaise chose ? N’est-ce pas simplement le résultat fonctionnel de notre système économique ?

    En fait, nous croyons que cette convergence est néfaste pour diverses raisons, à plusieurs niveaux qui sont tous plus ou moins interreliés. En voici cinq:

    1 – Ces compagnies sont si grosses qu’elles ont un pouvoir politique dangereux

    Cette raison est celle qui, d’une certaine façon, englobe toutes les autres. Les profits engendrés par ces compagnies sont gargantuesques: à elle seule, Nestlé a engendré plus de 37 milliards de dollars de profit en 2010. Or, cet argent se convertit rapidement en pouvoir politique. De fait, dans notre système politique, des groupes de pression font sans relâche des efforts afin de faire passer ou bloquer des projets de loi. En général, plus les groupes de pression sont bien financés et organisés, plus ils ont les moyens d’avoir une grande influence sur les décisions prises au final.
    L’industrie alimentaire mène des activités de lobbying à toutes les échelles: internationale, nationale et locale. De plus, de grands montants sont investis par ces compagnies dans les campagnes référendaires de plusieurs candidats politiques, tous partis confondus. Il serait naïf de croire que ces compagnies investissent tout cet argent (en 2010, Kraft a dépensé un demi-million de dollars en contributions à des candidats politiques américains; Nestlé a, à elle seule, donné près de 300,000$ à la campagne de Schwarzenegger en Californie) sans rien attendre en retour: elles souhaitent avoir leur mot à dire sur les lois qui seront ou ne seront pas adoptées.

    Quant à savoir pour ou contre quels projets elles feront de la pression, le seul critère qui semble s’appliquer dans leurs choix est celui du profit. Cela est logique et semble légitime, puisqu’il s’agit de compagnies qui, après tout, ont pour mission de faire du profit. Cependant, la pression politique exercée en vue du profit entre souvent en conflit avec l’intérêt de la population, pour qui les politiciens devraient pouvoir travailler sans pressions contraires. Il est néfaste pour tous que l’intérêt de compagnies passe avant celui de la population, surtout lorsqu’il s’agit de domaines aussi importants que celui de la santé publique.

    Le dossier de l’étiquettage des produits qui contiennent des organismes génétiquement modifiés (OGM) en est un bon exemple: à ce jour, il est impossible de savoir si les OGM ont un effet dangereux sur la santé ou non. Malgré cela, une majorité des produits disponibles sur les tablettes des supermarchés contiennent déjà des OGM. L’État américain de l’Oregon a tenté, en 2002, d’introduire une loi pour obliger les compagnies à indiquer lesquels de leurs produits contiennent des OGM. On ne parle pas ici de bannir les OGM, ou même d’en réduire l’utilisation, mais seulement d’informer les consommateurs sur leur présence dans les produits achetés, et de leur laisser le choix d’en acheter ou non.
    Un immense lobby représentant les géants de l’alimentation s’est alors formé, chaque compagnie y contribuant à coups de dizaines de milliers de dollars (Pepsico y a investi 127,000$, Procter & Gamble, 80,000$). Au final, le projet de loi n’est pas passé.

    Les élus, qui devraient en principe protéger la population, deviennent vite impuissants, surtout si leur élection dépend de fonds avancés par ces mêmes compagnies. Cela devient une forme détournée et légale de corruption, et il est facile de croire que si cela était possible, ces multinationales utiliseraient des moyens plus directs.
    Unilever a d’ailleurs admis au New York Times avoir donné des pots-de-vin, ou “facilité des paiements” à l’endroit de membres de gouvernements dans certains pays en voie de développement. Unilever a affirmé ne pas encourager ce genre de pratique, mais la tolérer lorsqu’elle est une « coutume locale ». Autrement dit: si les politiciens en place sont corruptibles et reçoivent déjà des pots-de-vin, aussi bien en profiter!

    2 – Impacts sur la santé

    C’est logique: notre santé passe en très grande partie par les aliments que nous consommons, c’est d’eux que finit par se constituer notre corps. Dans la mesure où une grande majorité des aliments que nous achetons sont fournis par un très petit nombre de compagnies, chacune d’elles a une immense part à jouer sur notre santé, qui repose en partie entre leurs mains. Or, contrairement à ce qu’elles pourront bien affirmer à travers diverses publicités, notre santé ne fait pas partie de leurs préoccupations sincères, bien au contraire.
    En 2005, à peu près toutes les multinationales de l’alimentation se sont réunies pour mettre de la pression sur le gouvernement français, qui s’apprêtait à faire passer une loi interdisant les distributrices de sodas et de collations de type « junk food » dans les écoles, ainsi qu’à modifier le genre de publicité entourant les aliments néfastes pour la santé. Une grande partie du projet dût être abandonnée suite aux pressions de l’industrie alimentaire.

    Pire, malgré des études de l’Organisation Mondiale de Santé et de l’UNICEF démontrant que l’utilisation d’un substitut au lait maternel pour nourrir les bébés contribue à la mort de 1,5 millions d’enfants par année dans les pays sous-développés. Nestlé, le plus grand fabriquant de substituts de lait maternel au monde, fait ouvertement la promotion du choix d’utiliser ses substituts même si la mère est en mesure d’allaiter. Ils vont jusqu’à financer les cliniques médicales de pays sous-développés qui acceptent de faire la promotion de leurs subsituts au lait maternel. Ces pratiques sont directement responsables de la mort ou de la santé fragile de millions d’enfants; un boycott international de Nestlé a d’ailleurs cours depuis les années 80 en raison de cette controverse.

    3 – Impacts sur l’économie

    Économiquement, le nombre restreint de compagnies sur le marché de l’alimentation nous place en situation d’oligopole. Deux conséquences majeures en découlent:

    Premièrement, un marché contrôlé par un petit nombre de compagnies présente des « barrières à l’entrée », c’est-à-dire que toute nouvelle compagnie qui tente d’entrer sur ce marché aura la vie difficile, sinon impossible. Par exemple, si un nouveau producteur est assez chanceux pour que son supermarché local accepte de vendre son produit, c’est souvent sur des tablettes quasi inaccessibles que son produit sera placé, ce qui encourage très peu les gens à l’acheter, car de fait, les endroits bien en vue sont réservés aux multinationales, qui payent cher pour avoir ce privilège. Un petit producteur n’a simplement pas le budget pour rivaliser avec elles.
    De plus, les gens sont habitués aux marques des grandes compagnies, et ont d’emblée le réflexe d’acheter ces marques (qui bénéficient aussi d’appui publicitaire massif), ce qui rend la compétition avec elles beaucoup plus difficile. Et si finalement un producteur réussit à percer le marché avec un produit qui intéresse les gens, il est fort probable qu’il soit vite racheté par l’une des multinationales, et sa marque n’en deviendra qu’une autre parmi les centaines qu’elles possèdent déjà. Tout ceci empêche la saine concurrence du marché.

    Deuxièmement, un oligopole mène souvent à un cartel, c’est à dire un petit groupe de compagnies qui fixe les prix à un montant plus élevé que ceux du marché, afin d’augmenter leurs profits sur le dos des consommateurs. C’est une pratique qui est généralement illégale et relève de la collusion, mais cela n’empêche pas les compagnies de s’y adonner.
    En avril 2011, Procter & Gamble a dû payer 211 millions d’euros d’amende après avoir été reconnu coupable d’un cartel de fixation des prix en Europe avec Unilever et Henkel. Henkel, la plus petite compagnie des trois (et donc celle qui en profitait le moins), n’a pas été pénalisée, car c’est elle qui a dénoncé le cartel aux autorités.

    4 – Impacts sur l’environnement

    Les compagnies qui contrôlent l’industrie alimentaire n’ont, en général, pas un dossier environnemental reluisant. En 2001, Kraft a décidé d’investir massivement dans une entreprise de lobbying auprès de l’administration Bush afin de militer contre le protocole de Kyoto. En Chine, Pepsico et Nestlé ont été condamnés pour pollution de cours d’eau. Unilever ont, quant à eux, illégalement déversé 7,4 tonnes de déchets contaminés au mercure à l’entrée de la forêt Pambar Shola en Inde, juste à côté d’une ville à forte densité de population. Unilever a été forcé de fermer cette usine de mercure pour cette raison.
    C’est aussi sans surprise que Procter & Gamble a milité afin d’affaiblir des projets de lois environnementaux européens à l’endroit des produits chimiques. En raison des pressions de P&G, la loi adoptée au final en 2003 par le parlement européen ne protège que très peu les citoyens et l’environnement de substances toxiques présentes dans les produits ménagers.

    Ce “militantisme” anti-environnementaliste dont font preuve ces compagnies n’a qu’un but: s’assurer que la production soit la moins chère possible à court terme. Les dommages causés à plus long terme à la population globale de notre planète, incluant celle des animaux, n’a aucun poids, sinon celui de bien paraître.

    Mais l’impact le plus considérable que ces compagnies ont sur l’environnement est peut-être relié à l’utilisation massive d’huile de palme dans leurs aliments. En effet, les impacts dévastateurs (déforestation à grande échelle, délocalisation de communautés locales menant à des situations violentes, extinction d’espèces animales, émission de gaz à effet de serre) de l’industrie de l’huile de palme ont été révélés dans les dernières années, mais l’huile de palme est toujours massivement utilisée dans un foule de produits transformés, principalement en raison de son coût très bas et du fait qu’elle représente un substitut (tout aussi malsain) aux gras trans.

    5 – Impacts humains

    La réputation de plusieurs multinationales quant aux conditions de travail qu’elles imposent à l’étranger n’est plus à faire. Au fil des ans, des compagnies opérant dans de multiples domaines ont été sur la sellette, au centre de plusieurs scandales. Le fait que l’industrie alimentaire se comporte aussi de la sorte n’aura donc probablement rien de surprenant. Malgré cela, la sévérité des actions de certaines de ces compagnies risque d’en surprendre plus d’un.
    En 2005, Nestlé a été poursuivie par l’ILRF (International Labor Right Fund) pour trafic d’enfants. Ces enfants sont amenés en Côte d’Ivoire à partir des pays environnants pour travailler sur les plantations de cacao utilisées par la compagnie. Malgré plusieurs avertissements lancés à l’endroit de Nestlé afin de les informer de ces pratiques, Nestlé n’a jamais vraiment réagi sur la question avant la poursuite.

    Une autre poursuite a été lancée aux États-Unis, où Nestlé est accusé de complicité pour esclavage, enlèvement et torture d’enfants dans plusieurs pays d’Afrique de l’ouest. C’est sans parler du meurtre d’un dirigeant syndical en Colombie. Ce dernier avait publiquement dénoncé une stratégie sournoise qui permettait à Nestlé de changer l’étiquettage de poudre de lait importée pour qu’elle paraîsse être un produit local. La poudre, souvent passée date, était importée à rabais de pays voisins. La plainte mena à une enquête policière qui confirma les faits et traduit Nestlé en justice pour avoir miné la santé publique. Plusieurs autres meurtres ont mystérieusement frappé les travailleurs qui ont déposé des plaintes contre Nestlé. Mais ce genre de pratiques n’est pas le monopole de Nestlé: le dossier de Coca-Cola n’est pas plus reluisant.
    Comment réagir ?

    Difficile de ne pas se sentir impuissant face à des multinationales qui disposent de budgets aussi immenses, d’une grande influence politique et qui peuvent systématiquement se payer les meilleurs avocats pour contrer toute poursuite.
    Mais les revenus exorbitants de ces compagnies, qui maintiennent ces pratiques, ne poussent pas dans les arbres… ils proviennent de nos poches! Ce sont nous qui leur donnons lorsque, chaque semaine, nous achetons les centaines de produits qu’ils nous offrent au supermarché.

    L’alimentation représente un marché gigantesque: chacun de nous doit se nourrir pour rester en vie, et ce, à répétition! Nos visites au supermarché sont régulières et représentent, à la somme, une grande partie de nos budgets. Il serait donc erroné de croire que l’impact que chacun de nous a sur cette industrie est minime. Faites l’exercice, et calculez combien d’argent vous consacrez à l’épicerie par année. Mieux encore, tentez de remarquer, à votre prochaine visite, quel pourcentage des produits que vous achetez sont vendus par ces quelques multinationales: vous pourrez ainsi calculer environ combien d’argent vous leur donnez. Le résultat risque d’être surprenamment élevé. Ainsi, même si un seul de nous coupe sa contribution, l’impact sera de plusieurs milliers de dollars!

    Deux obstacles se posent cependant :

    - Il est difficile d’éviter les produits vendus par cette poignée de compagnies. Ils sont partout, et parfois il peut sembler qu’aucune alternative ne s’offre: si on n’achète pas le produit de Nestlé, alors on achète celui de Kraft ou de Pepsico. Mais des alternatives existent, il suffit de les rechercher. Elles demandent parfois un effort supplémentaire, surtout l’effort de faire un peu de recherche sur la provenance des produits que nous choisissons d’acheter (et sur la compagnie qui les fabrique). Cet effort se voit toutefois récompensé au niveau individuel par la conscience de faire un bon choix, et au niveau collectif par de l’argent investi ailleurs que dans ce système oligopolistique.

    - Les marques détenues par ces compagnies font partie de nos vies depuis longtemps, elles sont partout. Nous y sommes habitués, parfois attachés. La publicité nous encourage sans cesse à les acheter. Très souvent, il est très difficile de s’imaginer les bannir toutes de nos vies, tout d’un coup, et de changer entièrement nos habitudes en un tournemain; ça n’est tout simplement pas réaliste.

    Mais ces obstacles ne doivent pas nous arrêter! D’abord, il peut être pratique d’imprimer notre grand graphique et de le traîner à l’épicerie pour faire le diagnostic de nos habitudes, mais aussi pour regarder les produits disponibles qui n’appartiennent pas à ces compagnies: on prend ainsi conscience des alternatives possibles.
    Ensuite, il est possible d’essayer les produits qui s’offrent à nous comme alternatives, peut-être que plusieurs nous plaîront, et que nos habitudes seront ainsi plus faciles à changer. Il peut aussi être profitable de tenter de changer nos habitudes une par une: au fil du temps, notre impact s’agrandira de plus en plus, et nous ne serons pas aussi déstabilisés. Cette façon de faire est du moins plus réaliste qu’un boycott soudain et inflexible, même si celui-ci est idéalement souhaitable.

    Informons-nous !

    Ne nous laissons pas manipuler par la publicité, car c’est par l’ignorance que ces compagnies réussissent à avoir un si grand pouvoir. De fait, si tous étaient au fait de leurs agissements, leurs profits seraient en baisse constante: très peu de gens accepteraient d’endosser leurs actions. Une foule d’informations et d’articles sont disponibles sur internet, qui n’attendent que d’être recherchés. Pour ceux que ce sujet intéresse, nous recommendons aussi l’excellent documentaire Food Inc. qui dresse un portrait très large de l’industrie alimentaire aux États-Unis (la situation américaine est fortement similaire à la nôtre).

    Finalement, n’hésitez pas à consulter les pages que nous avons créées sur quelques-unes des compagnies, où nous dressons une liste sommaire (et incomplète) de faits intéressants sur chacune. Nous y avons inclus ConAgra, qui ne se trouve pas dans le grand graphique du fait qu’elle est une moins grosse compagnie. La décision d’y consacrer une page relève de son bulletin éthique scandaleux: nous vous invitons à consulter sa page pour en juger par vous-mêmes.

    Convergence Alimentaire

  • Victoire judiciaire pour les opposants à la loi Taubira

    Communiqué de l'AGRIF :

    "Après la manifestation de la Manif pour tous du 23 avril 2013, plusieurs opposants pacifiques au gouvernement avaient été interpellés, gardés à vue 48h, et déférés devant le procureur après une nuit supplémentaire dans les cachots du Palais de justice, pour une prétendue infraction de non-dispersion d’un attroupement après de prétendues sommations de dispersion que personne n’a jamais entendues.

    Ce matin venait l’un de ces procès devant le tribunal. Les prévenus, une femme enceinte et son mari, déjà parents de 5 enfants, étaient soutenus financièrement par l’AGRIF et défendus par notre avocat Maître Jérôme Triomphe qui a soulevé une question prioritaire de constitutionnalité autrement appelée QPC. Cette QPC, élaborée en concertation avec d’autres avocats intervenant dans des dossiers similaires, mettait en cause l’inconstitutionnalité de l’infraction de non-dispersion.

    En effet, les textes qui punissent cette infraction d’un an d’emprisonnement et de 15.000 € d’amende permettent à un simple officier de police de porter atteinte à la liberté individuelle et à la liberté de manifestation en décidant unilatéralement, sans même le contrôle d’un juge judiciaire, pourtant gardien constitutionnel de la liberté individuelle, de mettre fin à un rassemblement quelconque au motif totalement subjectif qu’il pourrait être « susceptible » de troubler l’ordre public.

    De même, la loi ne définit en rien quelles sont les modalités d’avertissement des manifestants d’avoir à se disperser, renvoyant à un simple décret, en violation de l’article 34 de la Constitution qui ne permet qu’à la loi de définir les termes d’un délit.

    La défense a notamment rappelé la spectaculaire résolution n° 1947 de l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe du 27 juin 2013 qui a condamné fermement les répressions policières arbitraires commises tant en Turquie qu’en France à l’occasion des manifestations anti-loi Taubira. Cette résolution a rappelé le droit fondamental de manifester y compris si les manifestations sont non déclarées ou interdites et a rappelé que le rôle de la police est de protéger les manifestants. Cette résolution a réclamé que notamment la France mette son droit en conformité avec ces exigences.

    C’est ici tout l’objet de cette QPC à laquelle le procureur de la République s’est associé devant son caractère particulièrement fondé. Le Tribunal de grande instance a ainsi fait droit à cette requête qui va être examinée dans les 3 mois par la Cour de cassation. Si cette QPC aboutit, elle permettra de renforcer la liberté fondamentale de manifestation tout en mettant fin à un certain nombre d’abus policiers."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/victoire-judiciaire-pour-les-opposants-%C3%A0-la-loi-taubira.html

  • L’hébergement d’urgence : un tsunami socio économique assuré. 58% des hébergés sont étrangers hors UE Màj

    Tribune libre d’Anthonin

    Addendum du 24.11.2013 :

    Une étude de la DRIHL rapporte ceci sur l’hébergement d’urgence en 2012 :

    Une part significative du public accueilli est d’origine étrangère non ressortissante de l’Union Européenne (57,9 %), alors que les personnes de nationalité française représentent 28,4 %.

    53,8% des ménages hébergés n’ont aucune ressource (pas de RSA ou de salaire) et un tiers bénéficie de l’AME.

    Dans le même temps, des associations défendant les femmes victimes de violence se plaignent de ne pas trouver de place d’hébergement. Il existe 650 places pour elles en IdF, soit le quart des places réservées aux femmes.

    Cécile Duflot a changé les règles d’hébergement d’urgence. Dorénavant, les structures accueilleront toute l’année les personnes sans hébergement -en situation régulière ou non- et le dispositif augmentera en fonction des événements : camps roms démantelés ou arrivées massives de clandestins. De même, les « hébergés » pourront être basculés vers les départements n’étant pas encore saturés.

    Cela revient à dire que n’importe quel clandestin, étranger en situation régulière ou rom a la garantie d’être logé et nourri (l’hébergement d’urgence garantissant l’alimentation).

    Pour 2013, cette forme d’hébergement coûtera 182 millions d’euros (70 de plus que prévu). La loi oblige également l’état à loger ou reloger en sortie de dispositif d’hébergement : accès à un logement social autonome.

    Cette décision arrive dans un contexte où la France a déjà besoin d’un million de logements sociaux. Actuellement, la France gère 80.000 places et prévoit de doubler celles-ci pour atteindre 158.000. Toutes les personnes hébergées devront donc être relogées prioritairement afin de quitter le dispositif : un peu plus de 150.000 personnes passeront devant ceux qui sont sur les listes d’attente des sociétés HLM. Duflot rejoint le dernier rapport sous le gouvernement UMP parlant « de priorité collective accordée aux personnes sans domicile et sans abri ».

    Sachant qu’il n’y a que 5% de reconduites sur l’ensemble des demandes d’asile, on sait donc que 95% des étrangers restent en France.

    Pour rappel, les personnes accueillies en hébergement bénéficie d’une prise en charge tant sur le plan logement, sanitaire, alimentaire que social. Des travailleurs sociaux s’assurent de leurs accès au droit tels que la santé, l’emploi, la priorité sur le logement ou l’inscription dans les écoles. en Île de France, c’est la DRIHL qui chapeaute l’ensemble des dispositifs d’hébergement et les sorties vers le logement. Un de ses rapports précisait que 80% des personnes relogées en IDF étaient étrangères, dont 75% de personnes venant d’Afrique sub-saharienne.

    L’état a déjà triplé le budget pour accueillir les clandestins entrés illégalement et dépensera 670 millions d’euros pour les demandeurs d’asile avec une augmentation de 60% de leur nombre.

    Sachant qu’en dix ans, le coût de l’aide médicale d’Etat a été multiplié par dix et que le nombre de bénéficiaires a augmenté de 188%, le nombre de personnes demandant à bénéficier de l’hébergement d’urgence risque d’exploser.

    Si la France a vu le nombre de bénéficiaires de cet hébergement doubler en dix ans et qu’elle garantie de reloger malgré la crise du logement, les Français devront payer une facture pharaonique sans jamais voir la situation s’améliorer avec l’arrivée massive sur le territoire d’étrangers dispatchés par l’Etat.

    La France, sur endettée avec un taux d’imposition les plus hauts du monde et cinq millions de chômeurs, vient de garantir -en plus des soins gratuits- l’accès au logement pour tous les étrangers. Je ne parlerais pas de la volonté de naturalisation et de donner le droit de vote du gouvernement.

    Anthonin
    http://www.fdesouche.com/435757-lhebergement-durgence-un-tsunami-socio-economique-assure#more-435757

  • Vous avez dit islamophobie ?

    Voici quelques actes "islamophobes" recensés (1) par le Collectif contre l’islamophobie en France :

    Une femme inscrite dans un club sportif se voit exclue pour cause de port du voile
    Un élève est renvoyé d’un lycée privé catholique pour port de djellaba
    Une proposition de loi est déposée en vue d’interdire le versement de prestations sociales aux foyers polygames.
    La ville de Cannes impose un cahier de charges extrêmement rigoureux relatif à la construction d’une mosquée : pas de minaret, pas de muezzin, pas de fonds étrangers.
    L’école nationale d’ingénieurs de Metz affiche sur ses murs une note d’interdiction du port du voile en son sein.
    Une agence bancaire refuse l’entrée à une cliente voilée sous prétexte de sécurité
    Plusieurs femmes se voient obligées de retirer leur voile lors des examens de conduite.

    Avec des faits comme ceux là, pas étonnant que l'islamophobie grimpe, sans blague.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/vous-avez-dit-islamophobie-.html

    1) http://www.fdesouche.com/438223-l-islamophobie-en-hausse-exemple-dactes-recenses-pour-les-statistiques-du-ccif

  • Loire : l’égorgeur maghrebin du supermarché déclaré « irresponsable »

    Il n’y aura pas de procès.

    L’Algérien de 42 ans, qui a tué d’un coup de couteau à la gorge une cliente d’hypermarché, âgée de 68 ans et qu’il ne connaissait pas, à La Ricamarie (Loire), en janvier dernier, a été déclaré pénalement irresponsable, selon des sources judiciaires jeudi.

    Il sera interné dans un hôpital psychiatrique jusqu’à ce que les psys décident qu’il va mieux…

    Bien sûr, nous ne nions pas que ce monsieur puisse être mentalement déséquilibré (qui égorge les gens sans l’être ? Question à 1000 francs…)
    Mais il est un fait que ces « déséquilibrés » qui sévissent (comme à Nantes ou à Marseille) de plus en plus, chaque année, en massacrant dans la rue, en égorgeant, en poussant sur les rails du métro, sont rarement français contrairement à leurs victimes, et donc que leur folie semble orientée par des critères ethniques…

    http://www.contre-info.com/

  • Fonds régionaux: « une mécanique dispendieuse, au service de la propagande européenne »

    Explication de vote de Bruno Gollnisch sur le Rapport van Nistelrooij, Krehl (A7-0274/2013) portant sur les Dispositions commune et générales pour les fonds régionaux

    Je n’ai voté aucun des rapports sur les fonds européens destinés à financer la politique régionale de l’Union européenne.

    La nouvelle politique régionale est supposée être plus efficace et rationnelle que la précédente. On y trouve même parfois de bonnes choses. Mais elle reste fondamentalement une politique de saupoudrage et de clientélisme, visant à créer des liens de dépendance politique et financière entre bureaucratie bruxelloise et entités infranationales, tout en occultant les Etats.

    Elle a un autre défaut rédhibitoire : elle vise à mettre en œuvre la stratégie EU 2020 qui consiste, entre autre et pas seulement, à « flexibiliser » le marché du travail, donc précariser les travailleurs, et finir de livrer à la concurrence ce qui reste des services publics.

    Elle a enfin un effet pervers : son cofinancement obligatoire est une incitation à la dépense publique, comme l’avouent à demi-mots les rapports concernant les pays en difficulté : Grèce, Espagne, etc. Et le choix des programmes financés relève plus souvent de leur possibilité de bénéficier du financement européen que de leur réelle utilité économique et sociale. Bref, une mécanique dispendieuse, au service de la propagande européenne.

    http://www.gollnisch.com/2013/11/29/fonds-regionaux-une-mecanique-dispendieuse-au-service-de-la-propagande-europeenne/

  • Le gouvernement français sur les traces de la NSA !

    Ce que François Hollande dénonce, il le met en œuvre aujourd’hui.

    Le 22 octobre, le gouvernement français fait mine de découvrir que la NSA espionne l’Élysée et d’autres institutions françaises et européennes. Quant à notre Président, il dénonce « des pratiques inacceptables » de la part des États-Unis. Seul problème : ce que François Hollande dénonce, il le met en œuvre aujourd’hui.

    Cela, il va sans dire, au nom d’une hypothétique « menace terroriste »… À croire que le gouvernement estime que l’ennemi est désormais à l’intérieur. Comme dans toutes les guerres, l’espionnage est prépondérant. D’où ce texte de loi, discrètement examiné par le Sénat en octobre dernier, sans trop provoquer polémique, seulement évoqué par Le Figaro du 23 novembre dernier.

    Le but de ce projet de loi consisterait donc à officialiser le vol de vos données numériques personnelles. Comment ? En ne limitant plus cette prérogative à l’institution militaire, mais en le rendant accessible à d’autres ministères, assez lointains des traditionnelles prérogatives régaliennes. Pis, le gouvernement interdit tout recours judiciaire aux citoyens concernés. En résumé, vous n’aurez pas votre mot à dire si le ministère du Budget, parmi d’autres, se permet de pénétrer dans votre vie privée.

    Lire la suite http://www.bvoltaire.fr/colinfrancpain/le-gouvernement-francais-sur-les-traces-de-la-nsa,42856

  • Esclavagistes et totalitaires d'aujourd'hui

    Le souvenir m'est resté du titre d'un brûlot, remontant à 1959 : "de Hanoï à Leipzig un milliard d'esclaves". Ceci décrivait alors, le lecteur l'a compris, la situation des pays occupés par l'armée rouge en 1945, puis par les armées de Mao Tsé-toung en 1949 et celles du Vietminh en 1954, aux applaudissements hélas de notre si chère intellocratie parisienne.

    Cette situation-là s'est largement améliorée depuis. On doit s'en féliciter, ou plutôt on doit prendre conscience de ce que nous devons aux gens qui ont combattu et largement vaincu le communisme. On devrait d'ailleurs cesser de ramener à la "chute du mur", ce que l'on doit à Lech Walesa, au pape Jean-Paul II et à Ronald Reagan. On ne saurait non plus considérer comme anecdotique à cet égard que Barack Husseïn Obama ait pris la décision de supprimer l'ambassade américaine au Vatican, créée en 1984 sous la présidence Reagan.

    Or l'une des découvertes qu'ont pu faire les lecteurs de "l'Archipel du Goulag" d'Alexandre Soljenitsyne, ou des bouleversants "Récits de la Kolyma" de Varlam Chalamov (1)⇓ c'est précisément l'horrible condition résultant de l'univers concentrationnaire mis en place par Lénine et dont très longtemps les belles et grandes consciences de notre Hexagone ont tout simplement, et pendant si longtemps, nié l'existence.

    Si on la compare à la "case de l'Oncle Tom" on découvre que le XXe siècle avait, en matière de servitude, réalisé de considérables "progrès", grâce à la mainmise de l'État sur la vie des individus.

    Aujourd'hui, au XXIe siècle les défenseurs de la liberté doivent se préparer à combattre de nouvelles formes de contrainte, d'oppression, et même à de nouvelles inventions dans le registre du totalitarisme.

    Jules Monnerot l'avait remarqué dans la première partie de sa "Sociologie du communisme" : l'entreprise de Lénine était structurée comme l'avait été au VIIIe siècle la vague déferlante des successeurs de Mahomet. (2)⇓

    La tentative en cours d'une renaissance politique de ce qui devrait n'être considéré que comme une religion aboutit notamment à la revendication du Califat mondial, c'est-à-dire à un pouvoir politique absolu.

    Ce que nous appelons, dès lors, "l'islamisme" donne dans ce contexte naissance à divers monstres. Dès 1986, nous avons connus à Paris les attentats aveugles, sanglants, contre Tati puis ceux de Khalid Kelkal en liaison avec le GIA algérien. Avec le World Trade center à New York en 2001, Madrid en 2004, Londres en 2005 cette forme extrême caractérise un véritable "islamo-terrorisme".

    Mais, au-delà de ces manifestations insupportables, on gagnerait sans doute à s'interroger sur le mépris élémentaires des droits humains qu'elles supposent.

    Tels que nous les pensons désormais en occident, les admirateurs, ou plus exactement les obligés du Qatar devraient en prendre conscience et reconnaître l'incompatibilité des pratiques de l'émirat avec les valeurs de l'occident.

    Dans un article consacré aux "esclaves du football" Laurent Glauzy décrit ainsi la situation abominable des malheureux mercenaires du sport spectacle. Il évoque notamment le sort de Zahir Bellounis ressortissant Français, attiré par un contrat mirifique, aujourd'hui retenu contre son gré, privé de rémunération. Confronté à ce pauvre concitoyen ruiné M. Hollande lui aurait conseillé de "rester fort. (3)⇓

    Hélas la situation va bien au-delà des cas de ces sportifs trompés par ce miroir aux alouettes. On doit mesurer que dans cette principauté cohabitent 300 000 sujets de l'émir, plus ou moins bénéficiaires de la rente du pétrole, en face de 1 700 000 immigrés, privés de droits, qui travaillent à leur service.

    Or,le Qatar prévoit d’investir dans la coupe du monde quelque 200 milliards de dollars. Les travaux sont effectués dans des conditions abominables. En quelques mois on compte soixante-dix ouvriers népalais morts d’épuisement.

    On se rapproche encore plus des conditions de l'esclavage dans l'affaire à peine croyable des trois femmes séquestrées durant trente ans par un couple, près de Londres. Les suspects, un couple d'ex-militants maoïstes avaient manifestement recrutés ces malheureuses dans le contexte de leur secte révolutionnaire, celui d'un squat communiste, le Mao Tse-toung Memorial Centre dans le quartier de Brixton. (4)⇓

    Mais au fait qui donc organise le transfert de ces victimes ? L'arrestation en Italie d'un chef de bande somalien jette un jour que les lecteurs de "Coke en Stock" connaissent bien.

    Le nommé Elmi Mouhamud Muhidin, 24 ans, dirigeait en effet un réseau spécialisé dans un commerce bien particulier. Sous ses ordres : une cinquantaine d'hommes, Somaliens et Soudanais. Arrêté en Italie, il est poursuivi pour viol et séquestration. Sa bande avait enlevé 130 érythréens candidats au paradis européen. Le groupe marchait dans le Sahara entre le Soudan et la Libye. Dans ce pays ils se sont retrouvés entassés dans une pièce pendant deux semaines. Ils y ont été torturés, la plante des pieds frappée au marteau. Ils ont également été soumis à des décharges électriques. Les 20 femmes du groupe ont été violées à plusieurs reprises et offertes "comme une tasse de thé" à des "visiteurs". Ces malheureux ont ensuite été forcés de payer une véritable rançon : plus de 3 000 dollars par personne pour être transportés à Tripoli, où ils ont été remis à d'autres trafiquants qui géraient un camp de 600 personnes etc. (5)⇓ Tout cela ressemble de plus en plus à la condition des esclaves d'autrefois. Mais pourquoi diantre les ligues de vertu ne protestent-elles pas ?

    Pourquoi les belles âmes, de Harlem Désir à Taubira, n'en font-elles pas des rassemblements à la Mutualité ?

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/2013/11/esclavagistes-et-totalitaires-daujourdhui.html

    Apostilles

    1 cf. "Récits de la Kolyma". ⇑
    2 cf. "L'islam du XXe siècle". ⇑
    3 cf. sur le site Contre Info .⇑
    4 cf. Le Monde.fr avec AFP | 25.11.2013 à 18h15 .⇑
    5 cf. sur le site de L'Expansion .⇑

  • Rien ne sert de se protéger de l’immigration si on a honte de soi

    Quand une nation a intégré un nouveau rapport de domination en acceptant l’image dévaluée d’elle-même, alors le déclin est proche.

    Une inflexion récente dans la pensée de Renaud Camus rend son concept de grand remplacement plus acceptable, même par ses détracteurs. Des ennemis qui – soit dit en passant – tournent casaque. Dernièrement, une Ségolène Royal plus nationale que jamais et un Michel Onfray connu pour son anticléricalisme qui se mettent à défendre la dimension chrétienne de la civilisation européenne et à nous alerter contre la conquête musulmane.

    C’est parce que notre civilisation doute, se complait dans la repentance, qu’elle offre un terreau favorable à la rétro-colonisation. C’est parce qu’il y eut au préalable le petit remplacement de la déculturation et de la non-transmission que le grand remplacement de population est rendu possible. D’autant que le terrain à conquérir est en friche : friche de traditions incarnées et de culture enracinée, d’esprits intelligents et raffinés, d’identité nationale bien définie. Je l’écrivais, voilà quelques mois : les barbares de l’extérieur prennent pied sur des territoires déjà saccagés par les barbares de l’intérieur, des Français au carré.

    Lire la suite http://www.bvoltaire.fr/stephanbrunel/rien-ne-sert-de-se-proteger-de-limmigration-si-honte-de-soi,42802

  • Le communautarisme homosexuel va-t-il s’étendre aux maisons de retraite ?

    PARIS (NOVOPress via Infos Bordeaux) – Le 27 juin 2013, le ministre Michèle Delaunay (photo) confiait une mission à plusieurs associations d’activistes de la cause gay, portant sur le « vieillissement de la communauté homosexuelle ».

    «C’est le rôle de mon ministère: faire que les personnes LGBT (Lesbiennes, gays, bisexuels et trans) vieillissantes ne souffrent pas de discriminations, qu’elles soient accueilli-e-s en connaissance de cause. C’est pour cela que j’ai demandé ce rapport», précisait aujourd’hui Michèle Delaunay en introduction à la présentation des 23 propositions qui lui ont été remises le 27 novembre.

    Pour la fille de l’ancien préfet de région, « certaines propositions pourraient être incluses à la loi sur l’autonomie», dont la concertation devrait débuter en fin de semaine prochaine. Parmi les 23 propositions, on retiendra « permettre et accompagner la mise en place de lieux d’accueil communautaires », « éviter de toujours écrire famille ou ayant droit dans les textes », « intégrer les questions des LGBT et du VIH dans la formation et l’accueil des personnes âgées en établissement », « proposer des campagnes de communication à destination des personnes âgées sur la sexualité », ou encore « encourager les politiques volontaristes et les communications ciblées en direction des publics LGBT » !

    Il y a quelques jours Christophe Barbier, dans un éditorial du magazine l’Express, déclarait : « Oui, le communautarisme est un fait minoritaire, limité à quelques lieux et à une phalange d’individus. Mais, comme un cancer commencé par une poignée de cellules viciées, il a besoin de peu de foyers pour être vite menaçant ». Si le journaliste proche de la gauche parlait de l’islam, cette mise en garde contre une évolution d’une société à l’anglo-saxonne devrait raisonner particulièrement aux yeux d’une gauche qui ne reconnaissait que l’individu au sein de la République. Cette gauche est définitivement morte, sa lutte sociale est devenue une lutte sociétale poussée par de puissants lobbys. Les centaines de milliers de retraités qui vivent en dessous du seuil de pauvreté apprécieront les priorités du ministre.

    http://fr.novopress.info/146938/le-communautarisme-homosexuel-va-t-il-setendre-aux-maisons-de-retraite/#more-146938