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lobby - Page 2073

  • Au Pérou, la jeunesse défend le vrai mariage !

    RealCouples-MPI

    En réponse à une campagne intitulée «Couples imaginaires», dans lequel des hétérosexuels célèbres sont dépeints comme des duos homosexuels afin de promouvoir le « mariage » homosexuel, un groupe de jeunes Péruviens anonymes a lancé sa propre campagne de promotion du vrai mariage sur Facebook, campagne intitulée « Les vrais amoureux. »

    La campagne sur Facebook, lancée le 25 novembre, a déjà rassemblé des dizaines de milliers de « j’aime ».

    « Au Pérou, le vrai mariage n’est qu’entre un homme et une femme, et nous sommes de plus en plus nombreux à le défendre. Le nombre croissant de sympathisants qui nous envoient leur photo le démontre », a déclaré l’un des administrateurs de cette page Facebook.

    Pour envoyer votre photo et joindre la campagne, visitez le page Facebook .

    http://medias-presse.info/au-perou-la-jeunesse-defend-le-vrai-mariage/3505

  • La jeunesse ne marche pas pour la République

    Lu ici :

    "Des organisations de jeunesse de gauche et du centre ainsi qu'une organisation de jeunes gaullistes sociaux appelaient à une "marche des Républicains" ce dimanche 8 décembre. Une initiative "transpartisane" qui n'a pas rassemblé les foules. (...) Selon Libération.fr, un à deux milliers de personnes ont défilé. Sur Twitter, un journaliste assistant à la marche a estimé qu'entre 400 et 500 personnes ont participé au défilé."

    Louise Tudy

  • Gender - Fortes réactions contre le texte "Estrela" au Parlement Européen

  • Une méta-étude chinoise confirme le lien avortement-cancer du sein

    La publication d'une nouvelle étude chinoise sur le lien entre l'avortement provoqué et le cancer du sein va changer la donne dans un monde où l'on a préféré jusqu'ici le passer sous silence : méta-analyse d'autant plus intéressante qu'elle montre un accroissement du risque selon le nombre d'avortements subis.

     

    Le Dr Joel Brind, professeur d'endocrinologie au Baruch College de l'Université de New York, l'a déclaré à LifeSite en soulignant que les partisans de l'avortement devraient se montrer très inquiets des résultats de l'étude puisque des « millions et des millions de femmes en Asie » ont été ainsi affectées par une opération supposée « sans danger » pour elles, tout en notant que chaque constat des effets dangereux de l'avortement est systématiquement minimisée ou discréditée.

     

     

    Dans ce cas précis, ce sera difficile. C'est dans la revue scientifique Cancer Causes and Control que les résultats de la méta-étude ont été publiés d'après des recherches de Yubei Huang et autrres du département d'épidémiologie et de biostatistiques de l'hôpital universitaire d'oncologie de Tianjin. Les chercheurs se sont lancés dans leur enquête après avoir noté que le taux de cancers du sein, traditionnellement plus bas chez les femmes chinoises que chez les femmes occidentales, s'est accru « de manière alarmante » depuis deux décennies, au même rythme que le resserrement de la politique de l'enfant unique imposée par les autorités.

     

     

    Cette politique entraîne de nombreux avortements, y compris des avortements forcés : depuis les années 1980, plus de 336 millions d'enfants à naître ont été avortés en Chine.

     

     

    Les chercheurs ont analysé 36 études du lien entre avortement et cancer du sein. Chez les femmes ayant eu un avortement, le risque de développer une telle tumeur était 44 % plus important que chez celles n'ayant jamais avorté. Pour deux avortements, le risque s'accroissait de 76 %, pour trois avortements, il atteignait 89 %.

     

     

    Une étude réalisée en 1996 par Joel Brind avait évalué l'accroissement du risque lié à l'avortement à 30 %, avec certes moins de recul.
  • L’Histoire de France à la poubelle

    Les Soviétiques n’avaient pas fait pire que ce qu’a entrepris depuis des décennies ce qu’il est convenu de nommer l’Éducation nationale de France : dilapider l’héritage de ‘’notre’’ histoire, la découper en tranche et rejeter ce qui ne correspond pas à la vision idéologique qu’elle cherche à imposer à la jeunesse française, tout autre chose que la simple vérité.

    Car l’histoire de la France, notre patrie, ne lui appartient pas : elle ‘’nous’’ appartient’’, elle est l’âme de ce peuple que nous sommes, comme l’est également sa langue. Notre droit à notre histoire est absolu et la ‘’massacrer’’ – comme l’écrit Fabrice Madouas dans Valeurs actuelles de cette semaine – est à la fois un viol et une sorte de génocide culturel. (La nullité de l’enseignement général comme de la langue française en particulier participe au même crime dont l’État français est responsable ‘’et’’ coupable.) [...]

    Dominique Daguet - La suite sur France Catholique

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Histoire-de-France-a-la-poubelle

  • Instinct de mort : Hollande prépare la légalisation de l' euthanasie

    La « conférence citoyenne » sur la fin de vie fait polémique

    La « conférence citoyenne », organisée par le comité d’éthique, donnera lieu à un avis publié lundi prochain, sur fond de controverse quant à la méthode. Ces travaux doivent éclairer la réflexion avant la présentation d’un projet de loi, sans doute mi-2014.

    C’est une nouvelle étape dans le débat sur la fin de vie. Lundi 16 décembre, la « conférence citoyenne » organisée cet automne par le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) prendra fin, avec la publication d’un avis, ou plutôt d’une synthèse des travaux menés dans ce cadre. Durant quatre week-ends, 20 citoyens tirés au sort par l’Ifop selon des critères de diversité se sont réunis à huis clos pour réfléchir ensemble, avec l’aide d’experts, aux grands enjeux de la fin de vie. On connaîtra donc dans quelques jours le fruit de leur réflexion.

    CRITIQUE DE LA MÉTHODE

    Certains ont critiqué la méthode. Dans son blog régulier publié sur la-croix.com, Bertrand Galichon, président du CCMF (Centre catholique des médecins français), déplore « une conférence citoyenne limitée à quelques “happy few” », du « vite fait, bien fait  ! Et après quid  ? Quelle confiscation de la parole citoyenne a été prévue  ? », interroge-t-il, provocateur. De son côté, le député UMP Jean Leonetti considère que le temps imparti était trop limité et regrette qu’il n’y ait eu qu’un seul panel citoyen, et non plusieurs, comme lors des états généraux de 2009 sur la bioéthique. [...]

    La suite sur La Croix

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Instinct-de-mort-Hollande-prepare

  • Les clandestins pourront prétendre au droit au logement

    Alors que le Gouvernement, reconnaissant lui-même une carence de logements pour les actuels ayant-droit, a lancé une utopique et coûteuse politique du logement, un amendement veut élargir ce droit au logement aux futurs clandestins...

    "C’est le député UMP du Loiret Claude de Ganay qui a levé le lièvre : le projet de loi de Cécile Duflot pour l’accès au logement et un urbanisme rénové (Alur) permettra aux immigrés clandestins non européens d’obtenir une attestation d’élection de domicile permettant de faire valoir le droit opposable au logement. À l’origine de ce qui constitue, selon le député, « une bombe économique et sociale » aux« conséquences dramatiques sur l’engorgement des demandes de logements sociaux », un amendement « adopté en catimini », le 14 octobre, au Sénat, sur proposition de l’écologiste Aline Archimbaud, élargissant les possibilités de domiciliation aux droits civils (dont le droit au logement), alors que le texte de Cécile Duflot prévoyait de le limiter aux droits communs (aide juridictionnelle, etc.)".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/les-clandestins-pourront-pr%C3%A9tendre-au-droit-au-logement.html

  • Affaire « Minute » : quand l'idéologie remplace la politique

    Parfois les médias s'embrasent dans une furie unanime, écrasant tout sur leur passage, exigeant de prendre parti immédiatement - en direct, entraînant le show-biz et jusqu'aux hommes politiques. Qui gagne, qui perd, qui commande à ce jeu de dupes grandeur nature ? L'hystérie s'est calmée... jusqu'à la prochaine.
    Personne n'aura été épargné : lorsque « la démocratie est en danger », tout le monde le sait. Radios, télés, journaux, Internet : comme un seul homme, tous se lèvent, tous se mobilisent, tous informent. La surenchère d'adjectifs est lancée et chacun rivalise d'émotions. Très vite pourtant, une impression de rabâchage, de déjà dit et déjà vu s'impose. On dirait que la machine s'essouffle. Pensez donc !
    Depuis les années 1980 que ça dure ! Lorsqu'Harlem délire, les nigauds prennent de la voix. Combien de fois, en trente ans, a-t-il ressorti les mêmes phrases, les mêmes imprécations, les mêmes avertissements à la France de droite toujours sur le fil du rasoir, toujours encline à dévoiler son vrai visage : le fascisme. Aussi pourrait-on croire que ces clowneries éculées n'amusent que le petit gotha parisien. Pourtant l'aventure récente d'Abdelhakim Dekhar prouve le contraire. En parfait disciple d'Harlem Désir, qui appelait à une « révolte des républicains [face à cette] banalisation de la haine », le « tueur fou » vient rappeler que les mots engagent et qu'ils sont aussi des actes. La révolte désirée passe aux actes : la plaisanterie a une face sombre et dangereuse. Oui, en France, une minorité avale ces fadaises avec tout l'aveuglement de papillons devant la lueur de l'écran, puis dansent. Ils dansent aux sons des tubes cathodiques, jusqu'à l'épuisement, jusqu'au plein défoulement. Ce sont « les 2 minutes de la haine » pour les crétins enrégimentés du roman d'anticipation de George Orwell, 1984. Oui des générations d'ultra gauche, gavées « des côtés obscurs de l'histoire de France », toujours prompts à répondre à l'appel de l'antifasciste, font résonner nos rues de cris de haine sous prétexte de tolérance, collent des affiches d'appels au meurtre sur nos murs en toute impunité : « un bon fasciste est un fasciste mort ».
    Il fallait voir ce déferlement de haine, d'appels au meurtre à l'occasion de l'enterrement de Clément Méric, jeune antifa - chasseur de skins plus précisément (1) -, persuadé que le sort de la civilisation se jouait sur le crâne brillant de ces quelques rares skinshead existant encore. Ces bœufs gavés d'anticonformisme et de subversion s'affirme en définitive comme les « idiots utiles » du capitalisme pour reprendre les mots de Lénine. « Affranchi de la tradition et de la transcendance, l'homme démocratique pense comme tout le monde en croyant penser par lui-même. Il ne se contente pas d'adhérer au jugement du public, il l'épouse jusqu'à ne plus pouvoir le discerner du sien propre » (Alain Finkielkraut, L'identité malheureuse).
    Le nouvel emballement médiatique
    En l'occurrence, en voulant dénoncer la stratégie médiatique de Christiane Taubira, « l'hebdomadaire d'extrême droite » - dénomination consacrée par le système - Minute osait ces quelques mots : « Maligne comme un singe, Taubira retrouve la banane ». Au sens strict, rien d'insultant. Au figuré non plus d'ailleurs. « Malin comme un singe » est une expression positive dans la langue française et « Taubira retrouve la banane » venait souligner que, grâce à l'idiotie de ces enfants à Angers avec leurs peaux de bananes à la main, Christiane Taubira avait réussi à faire l'union sacrée autour d'elle. La stratégie de la persécution fonctionnait à merveille. En déficit de notoriété, voilà l'occasion qu'il fallait ne pas manquer d'exploiter. En outre, Minute offrait une deuxième occasion d'en remettre une nouvelle couche. La gauche exsangue, sans idée, sans direction, n'a plus d'autre artifice que l'épouvantait à moustache. Le fascisme qui vient ! « Au loup, au loup! » La gauche sert les rangs derrière son leader charismatique à 15 %. L'occasion était trop belle : une nouvelle preuve de cette France profonde, « blafarde », « moisie », « d'en bas », en résumé raciste, venait d'être mise à jour. Comprenez : Minute et la Manif pour tous, c'est un iceberg : les morceaux qui cachent l'océan de l'armée des ombres aux bruits de bottes. Pendant que les entreprises continuent de délocaliser, que les agriculteurs continuent d'empoisonner nos sols, que les prisons sont surchargées, que certains quartiers vivent sous la coupe réglée de mafias criminelles, la France socialiste s'inquiète... du fascisme : le premier ministre, écumant aux micros de l'Assemblée nationale, son éminence Manuel Valls, tout le gotha en goguette se précipite au devant des micros, tweete, s'indigne. « J'ai mal à la France », « Honte ». Minute « viole les principes fondamentaux de la République », assène Montebourg sans rire. Toute la classe politique - jusqu'à... l'ONU ! - est venue rendre hommage à la vierge immaculée, bafouée : Christiane Taubira. Elle pavane désormais faisant croire que « ces propos dénient mon appartenance à l'espèce humaine ». Pfuit : la baudruche se rempli d'éloquence et de mots graves. Vous verrez qu'elle donnera son visage à la Marianne de l'an prochain.
    Ainsi, au pouvoir, des apprentis sorciers choisissent de ne pas voir, de ne rien entendre, préférant interdire le port du bonnet rouge après ce lui du maillot rose, parce qu'ils persistent à vouloir cacher leurs félonies derrière le mur de fumée de l'antifascisme. Des générations de gamins se sont succédé sur les bancs des écoles, élevées dans la honte et la haine de soi : les Français, blancs et catholiques sont des salauds. 
Peillon surenchérissait récemment sans honte : « On ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique » (2). Et nous verrons des gens de droite se faire lyncher avec l'approbation silencieuse de la presse, qui expliquera qu'ils l'ont bien cherché, que ce sont eux qui ont instillé la haine. La chasse aux sorcières que vient de subir Minute n'est que l'avertissement des désordres à venir de la part d'un pouvoir qui prend peur et ne peut tolérer la contestation.
    David Sellos monde & vie 3 décembre 2013
    1) . Aucun journal ne se scandalise de cette dénomination : « chasseurs de skins ».
    2) . www.youtube.com/watch ?v=Rj N 3XQZYNQ

  • En cas de légalisation de l’euthanasie, ne vous attendez pas à une liberté de conscience !

    Lors d’une réunion publique hier soir à Condom, Jean-Luc Romero, président de l’ADMD (aide à mourir dans la dignité), a été très clair en cas d’une éventuelle légalisation de l’euthanasie. Les médecins ou tout autre personnel médical, qui seraient réticents, sont avertis:


    Serment d'Hippocrate, code de déontologie... Rien n'est supérieur à la loi républicaine. Aucun texte ne doit la contraindre.