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lobby - Page 2093

  • Le seul portique écotaxe qu'Ecomouv' veut voir disparaître

    Le Printemps français a construit un portique devant le siège d'Ecomouv, l'entreprise chargée de collecter l'écotaxe, qui se trouve dans le 8e arrondissement de Paris.

    Ecomouv

    Le communiqué du Printemps français.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Manifestation interdite à Amiens : entretien avec le secrétaire général du PdF

    Depuis l’accès au pouvoir des socialistes, nous assistons à un fort regain de répression contre les opposants politiques.
    Trois mouvements politiques ont été arbitrairement dissous (pour rappel : Troisième voie, l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes) et les interdictions de manifestation sont de plus en plus fréquentes.
    La dernière manifestation interdite est celle du 16 novembre à Amiens, organisée par le Parti de la France.
    Nous avons donc interrogé son secrétaire général, Thomas Joly.
    C-I : Que comptiez-vous faire le 16 novembre ?
    T. Joly : le 16 novembre, le Parti de la France comptait organiser un grand rassemblement à Amiens-Nord, devant l’emplacement de la future grande mosquée d’Amiens au doux nom pacifique de « La Conquête » (« Al Fath »), pour dénoncer la colonisation migratoire et l’islamisation de la ville d’Amiens mais aussi de notre pays tout entier. Une forte et encourageante mobilisation s’était mise en place et plusieurs centaines de participants étaient attendus. Le Parti de la France estime que la politique se pratique avant tout sur le terrain et pas seulement derrière un clavier d’ordinateur ou sur les plateaux télés, où d’ailleurs nous ne sommes jamais invités ; notre discours de résistance nationale et civilisationnelle n’étant pas médiatiquement compatible, contrairement à celui de Madame Le Pen totalement acquise à l’idéologie républicaine, laïcarde et franc-maçonne.
    Que s’est-il passé avec la préfecture ?
    Visiblement affolé par cette annonce de manifestation déposée dans les règles à la préfecture, le préfet de la Somme, qui avait déjà interdit notre conférence de presse l’année dernière devant les ruines encore fumantes d’une école maternelle incendiée à Amiens-Nord lors des traditionnelles émeutes ethniques estivales, a entamé un « dialogue » via la DCRI avec moi. L’objectif était clairement de me faire renoncer à notre rassemblement ou bien de le déplacer dans un autre quartier d’Amiens considéré comme moins « sensible ». J’ai évidemment refusé de me plier à ces recommandations guidées uniquement par le fait que les autorités publiques sont tout bonnement incapables de maintenir l’ordre dans cette zone de non-droit que sont les quartiers nord d’Amiens. Le Parti de la France estime qu’il a le droit et même le devoir de se rendre partout en France où il le souhaite pour délivrer son message de reconquête nationale. Le représentant de l’État socialiste a donc interdit notre rassemblement et s’est donc lamentablement couché devant la racaille étrangère, l’islam conquérant et l’extrême-gauche xénophile. Refusant de donner l’occasion à Manuel Valls de persécuter nos militants et un motif pour dissoudre notre mouvement, nous avons pris la décision de respecter cette interdiction. Carl Lang et moi-même avons tout de même organisé le 16 novembre à Amiens une conférence de presse et un déjeuner-débat qui a connu un grand succès.
    Que cela vous inspire-t-il ?

    Le pouvoir socialiste est totalement aux abois, prisonnier de ses délires idéologiques antifrançais et de la nullité sidérante du Président de la République autiste face à la légitime colère populaire. Comme dans toute dictature ébranlée, la répression policière et judiciaire à l’égard de ceux qui veulent réellement en finir avec ce système pourri jusqu’à la moelle s’intensifie en cette période de crise économique, sociale, politique, morale, identitaire, etc. Nos gouvernants souhaitent museler les véritables forces d’opposition et entreprennent donc d’interdire nos rassemblements, de persécuter nos militants, de dissoudre nos organisations. Mais ils ne pourront éternellement nous empêcher de dire la vérité à nos compatriotes et, tôt ou tard, toute cette engeance devra être balayée pour que se mette en place un processus salvateur de décolonisation migratoire et de reconquête nationale.

    http://www.contre-info.com/manifestation-interdite-a-amiens-entretien-avec-le-secretaire-general-du-pdf#more-30147

  • [Pétition] Avortement : refusons le négationnisme !

    Pétition À DIFFUSER SANS MODÉRATION : plus de négationnisme sur l’IVG, respect du délai de réflexion !!!

    Le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh) remettait un rapport jeudi 7 novembre, au gouvernement, pour améliorer la prise en charge des interruptions volontaires de grossesse (IVG).

    Après un premier volet, remis mi-septembre, le Haut conseil propose cette fois des pistes pour préciser la loi et réorganiser les soins.

    L’auteur du document, Françoise Laurant, présidente de la commission Santé, droits sexuels et reproductifs du HCEfh, en détaille les grandes lignes. "L’IVG a toujours été perçue comme une concession et non comme un droit à part entière. Le code de la santé publique dit qu’une femme "placée dans une situation de détresse peut demander à son médecin le droit d’interrompre sa grossesse". Nous suggérons de revoir l’obligation de délai de réflexion pour les femmes souhaitant avorter. La loi prévoit en effet un délai de huit jours (qui peut être réduit à deux jours en cas d’urgence) entre la première consultation médicale en vue d’une interruption de grossesse et le deuxième rendez-vous, qui permettra soit de délivrer les comprimés pour une IVG médicamenteuse, soit de fixer la date d’une intervention en cas d’IVG chirurgicale. Pour certaines femmes, ce délai est indispensable et elles doivent impérativement être accompagnées dans leur réflexion. Mais pour d’autres, la décision est prise depuis longtemps et ce délai, qui rallonge le parcours de soins, peut être vécu comme une humiliation."

    "Nous proposons aussi que la première consultation, qui donne lieu à la délivrance d’une attestation et au déclenchement de ce fameux délai de huit jours, soit transformée en consultation d’information (et non plus en consultation médicale) réalisée par une structure habilitée et un personnel formé, dans un centre de planification ou un centre de santé. On constate en effet que beaucoup de femmes ne savent pas à qui s’adresser pour ce premier rendez-vous : médecin généraliste, hôpital… Or cette consultation a d’abord pour but d’informer les patientes sur les possibilités qui s’offrent à elles et de les orienter vers les bonnes structures, ce que peuvent très bien faire des centres qui fonctionnent en réseau. Cela permettrait de raccourcir les délais".

    La logique des auteurs de ce rapport est claire : rendre l’IVG comme l’acte le plus banal qui soit, et empêcher les femmes enceintes de réfléchir de manière posée et éclairée au geste qu’elles vont poser. Nous vous sollicitons pour diffuser plus encore cette pétition qui demande qu’un VRAI DROIT A L’INFORMATION soit offert aux femmes, et qu’un RESPECT DU DELAI DE REFLEXION SOIT MAINTENU !

    SIGNEZ ICI

    N’hésitez pas à vous rendre sur http://www.ivg.net pour nous soutenir !

    EN EFFET, il est important qu’IVG.net, site de réinformation sur l’avortement puisse, face aux attaques d’un gouvernement dirigé par l’instinct de mort, continuer d’aider les femmes en détresse. Pour cela, il doit rester le premier site d’information et d’écoute en matière d’avortement accessible sur la Toile, face à la politique agressive du gouvernement. Plus vous vous rendrez régulièrement sur ce site, plus vous lui conserverez sa lisibilité sur internet et plus vous participerez à sauver des enfants !

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Petition-Avortement-refusons-le

  • Un outrage au génie français

    Le tribunal de Bobigny vient de condamner Alain Soral et sa maison d’édition, Kontre Kulture, pour l’édition et la réédition de cinq ouvrages.

    Les ouvrages sont les suivants :

    - L'anthologie des propos contre les juifs, le judaïsme et le sionisme de Paul-Eric Blanrue

    - La France juive d’Edouard Drumont

    - Le Salut par les Juifs de Léon Bloy

    - Le juif international d’Henry Ford

    - La controverse de Sion de Douglas Reed

    Il n’est guère surprenant que le système mette à l’index certains ouvrages, au fond c’est ce que fait toute institution qui cherche à se préserver. Cela permet simplement de se rendre compte que contrairement à une idée reçue et couramment véhiculée, le système libéral, issu des Lumières, n’est clairement pas plus permissif que ne l’était l’Ancien Régime. Il démontre aussi par ce bornage qu’il est loin d’être désacralisé, étant donné qu’il y a des choses avec lesquelles nous ne devons pas plaisanter et qu’il ne faut pas écrire.

    Aujourd’hui, le Rubicon a surement été franchi (une nouvelle fois?) par le tribunal de Bobigny pour au moins deux raisons.

    La première, c’est le fait de condamner des rééditions d’ouvrages ou une « anthologie » (c'est-à-dire une compilation d’extraits d’ouvrages ou de textes) relève du pur délire. On s‘expose donc à une condamnation pour « racisme » ou « antisémitisme » parce qu’on réédite des ouvrages tombés dans le domaine public et vieux de plus d'un siècle? Mais dans quel pays sommes-nous ? Alors que certains sont surement disponibles en libre accès sur des bibliothèques numériques ? Qu’ils doivent probablement être référencés dans les bibliothèques de certaines universités ? C’est quoi la prochaine condamnation ? La réédition du Code Noir ? Lorsque le CRAN sera venu pleurnicher à son tour ?

    La deuxième, c’est qu’on condamne Léon Bloy, qui est un grand représentant du génie français. Fervent catholique, grand pourfendeur de la bourgeoisie, c’est un écrivain et un pamphlétaire d’un immense talent, dont jamais aucun ouvrage n’a au véritablement de vocation politique. Nous avions d’ailleurs écrit un article à son sujet, très éclairant, par un de nos camarades, grand lecteur et connaisseur de l’auteur.

    Cliquez ICI.

    bloy1.jpg

    Ainsi, voila ce que nous proposons à notre aimable lectorat :

    - Commandez les ouvrages sur Kontre Kulture tant que c’est encore possible pour ceux qui en ont les moyens.

    - Signez la pétition contre la LICRA.

    - Diffusez cet article et surtout notre article sur Léon Bloy.

    - Offrez à vos proches un peu conscientisés un ouvrage de Léon Bloy comme Le Désespéré, Le sang du pauvre, Jeanne d’Arc et l’Allemagne ou Exégèse des lieux communs.

    - En réponse à l'offensive des officines de la bien-pensance qui se nourrissent de l'anti-racisme pour  masquer la grande offensive du capital, n’hésitez pas à mettre en avatar sur les réseaux sociaux la main jaune « Touche pas à mon Bloy ».

    touche pas bloy copie.jpg

    Œuvrons pour que cesse les outrages à la France et au génie français par des associations qui ne représentent personne !

    Le Cercle Non Conforme

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • L'irruption des bonnets rouges

    Les Bretons ont retrouvé le goût de la contestation. Leur mouvement anti-fiscal pourrait faire tache d'huile.
    À peine quelques mois après les « Manifs pour tous » et la lutte contre l'instauration du mariage homosexuel, la contestation de rue est repartie cet automne depuis un foyer de luttes que l'on n'attendait pas, en Bretagne. La Bretagne, c'était il y a encore quelques années, la régionalisation heureuse, un développement économique et socioculturel donné en exemple pour une région « périphérique » de l'Europe, longtemps laissée pour compte par la centralisation jacobine. Il y avait eu, dès les années 1950, un réveil breton rompant avec plus d'un siècle de mépris parisien envers l'ancien duché celte. Agriculture intensive, filière agro-alimentaire, industries de pointes, haut niveau de formation se sont conjugués pour que la Bretagne redevienne économiquement aussi puissante qu'aux XVIe et XVIIe siècles, à l'époque où elle exportait ses toiles dans l'Europe entière.
    30 000 personnes a Quimper
    Empruntant le couvre-chef légendaire d'une révolte fiscale de paysans bas-bretons, issus principalement de la Cornouaille du XVIIe siècle, c'est-à-dire un bonnet de laine rouge, les paysans et ruraux du Finistère et des environs ont manifesté en masse le 26 octobre et surtout le 2 novembre. Le fabricant de vêtements Armor Lux s'est trouvé en rupture de stock de ces fameux bonnets qui ont également essaimé sur les réseaux sociaux.
    Les manifestants bretons se sont d'abord attelés à détruire les portiques radars permettant de récolter l'écotaxe, puis se sont rassemblés devant la préfecture de Quimper, notamment à l'appel de la FNSEA (et de son président départemental Thierry Merret) et de FO. N'oublions pas que c'est un des proches conseillers de François Hollande, le catholique de gauche Bernard Poignant, qui est actuellement maire socialiste de Quimper. Autant dire que l’Élysée est au courant de ce qui se passe sur les bords de l'Odet !
    De nombreux militants catholiques, nationalistes ou identitaires étaient présents aux côtés du monde rural et ouvrier à Quimper. Certains avaient même fait le déplacement depuis Paris. Histoire de rappeler au gouvernement que l'été n'a pas fait retomber les revendications du printemps dernier !
    Résultat de cette belle mobilisation : les élus bretons de la majorité présidentielle ont obtenu en un temps record la suspension de l'écotaxe. À l'approche des élections municipales, ils étaient en effet gagnés par la peur panique d'une gigantesque claque électorale.
    La droite, bien qu'elle ait voté en son temps l'écotaxe, n'a pas manqué de soutenir les révoltés bretons, notamment par la voix de Marc Le Fur, député UMP des Côtes d'Armor. De son côté, dans un communiqué du 30 octobre, le président du CNIP, le député-maire de Cholet Gilles Bourdouleix, a déclaré : « Le gouvernement socialiste a une telle culture étatiste et jacobine qu'il ne perçoit pas la profonde souffrance de la ruralité française. Je soutiens donc la révolte des paysans bretons contre l'écotaxe comme je critique depuis des années à leur côté le projet d'aéroport de Notre-Dame des Landes. Paris doit cesser de vouloir imposer ses dogmes, ses lubies et sa fiscalité à des territoires qui connaissent de grandes difficultés économiques et de grandes souffrances sociales. » Effectivement, le poids de la fiscalité est aujourd'hui ressenti dans de nombreuses couches de la population française.
    Nouvelles chouanneries
    Bien sûr, l'agriculture intensive qui a été encouragée par la FNSEA, par les industriels agroalimentaires, l'Europe de Bruxelles et par la grande distribution atteint ses limites. Les agriculteurs, les éleveurs surtout, sont aujourd'hui victimes des marges aberrantes des hypermarchés. Le ministère de l'Agriculture ménage les grands groupes. C'était déjà le cas au temps de Bruno Lemaire et de Nicolas Sarkozy !
    Espérons donc que les paysans bretons prendrons conscience qu'ils ont tout à gagner en faisant primer la qualité sur la quantité, et donc en exigeant de leurs élus moins de mansuétude envers la grande distribution qui les exploite trop souvent. Ils ont tout intérêt à se rapprocher de la Coordination rurale, syndicat paysan nullement européiste et aux accents traditionalistes qui a fait une belle percée aux dernières élections des chambres d'agriculture.
    Le Front de Gauche de Jean-Luc Mélenchon et la CGT ont tenté une contre-manifestation le 2 novembre à Carhaix, accusant le rassemblement de Quimper d'être « patronal » et « clérical », suite au soutien mesuré des évêques bretons au mouvement. Ce fut peine perdue : ils n'attirèrent que quelques centaines de permanents syndicaux et d'élus locaux. Même les trotskistes du NPA préférèrent défiler à Quimper, où l'on approchait les 30000 manifestants !
    « Si le mouvement social des Bonnets rouges fait la jonction avec le mouvement sociétal de la "Manif pour tous" cela va barder pour le pouvoir », prévient le journaliste Alain Lemoal, qui compte lancer prochainement en kiosque un journal intitulé Le Bonnet rouge. Il n'est pas le seul observateur à arriver à cette conclusion de bon sens. Il reste aux Bretons à maintenir la pression, et à développer ces nouvelles chouanneries...
    En attendant, après le sweat-shirt de la « manif pour tous », courrez donc acheter le bonnet rouge siglé « Armor Lux », si toutefois ils sont encore disponibles près de chez vous. Vous compléterez ainsi votre panoplie insurrectionnelle et contre-révolutionnaire à la fois !
    Jacques Cognerais monde & vie 12 novembre 2013

  • Augmentation continue de l’Aide Médicale d’Etat pour les clandestins, au budget prévu pour 2014


    PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – Mercredi soir, dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances 2014 de la Sécurité sociale à l’Assemblée nationale, les crédits alloués à l’Aide Médicale d’Etat (AME) ont cette année encore été nettement augmentés.

    L’AME, instaurée en janvier 2000 par le gouvernement socialiste de Lionel Jospin, permet à tous les étrangers en situation irrégulière, autrement dit des clandestins qui violent délibérément les lois de la République, de bénéficier de soins médicaux gratuits en France. Depuis sa mise en place, le budget consacré à l’AME n’a cessé de croître. La ministre déléguée aux personnes âgées Michèle Delaunay a défendu mercredi une augmentation de 2,9 % par rapport à 2013, soit 605 millions d’euros (sous réserve d’important dépassement comme en 2013, voir plus bas). Selon la ministre, cette augmentation se justifierait par le nombre de bénéficiaires en constante augmentation. Fin 2012, on comptait plus de 260.000 clandestins bénéficiaires de l’AME. En Guyane, les dépenses relatives à l’AME sont les plus importantes et concernent environ 30.000 clandestins selon les estimations de l’hôpital de Saint‑Laurent‑du‑Maroni.

    Les contrôles de la Sécurité sociale autour de l’AME sont de moins en moins effectués

    L’évaluation du nombre de bénéficiaires de l’AME reste évidemment très approximative. L’attribution des crédits n’est donc pas sincère, budgétairement parlant, et oblige le gouvernement à voter des rallonges en cours d’année. Ainsi, la loi de finances pour 2013 avait initialement fixé à 588 millions d’euros les crédits pour l’AME. Après rallonge, les dépenses de l’AME pour 2013 seront finalement de 744 millions d’euros, soit un dépassement du budget prévisionnel de plus de 26 %. Pour le député Dominique Tian « Comment expliquer à nos concitoyens cette inégalité entre un bénéficiaire de l’AME en situation irrégulière en France, pris en charge à 100 %, et un travailleur français ou européen aux revenus modestes, qui n’est pris en charge qu’à 70 % par la Sécurité sociale ? »

    Face à de tels abus, la députée frontiste Marion Maréchal‑Le Pen a demandé la suppression pure et simple de ce dispositif

    « Il n’est pas supportable pour les Français de payer la prise en charge de soins pour les clandestins » a ainsi déclaré la benjamine de l’Assemblée. A noter que cette prise en charge ne va pas aller en diminuant, notamment avec le déploiement prochain du dispositif à Mayotte, 101e département français, où l’immigration illégale explose littéralement.

    Crédit image : Konk, (cc).

    http://fr.novopress.info/145094/augmentation-continue-de-laide-medicale-detat-pour-les-clandestins-au-budget-prevu-pour-2014augmentation-continue-de-laide-medicale-detat-pour-les-clandestins-au-budget-prevu-pour-2/

  • Bulgarie : “Chers amis de Londres et de Paris, les réfugiés syriens sont à vous”

    Depuis cet été, la Bulgarie a vu arriver un nombre sans précédent de clandestins, essentiellement fuyant la guerre en Syrie. Leur présence provoque des craintes, parfois à la limite de la psychose, mais aussi un vif débat sur le rôle de l’Europe dans cette crise humanitaire.

    Par Rossen Petrov, 24 Tchassa.

    Il y a quelques semaines, les habitants de plusieurs localités pressenties par les autorités pour accueillir des réfugiés syriens [dans des casernes désaffectées, notamment à Telish, dans le nord, Harmanli, dans le sud, et Kazanlak, au centre du pays) ont violemment protesté, certains n'hésitant pas à bloquer les routes d'accès à leur ville.

    Cela a beaucoup fait jaser dans les médias : sont-ils si racistes, si nationalistes ?

    Débattons, nous aussi un peu.

    Nous, les Bulgares, sommes un peuple hospitalier. Nous n'avons jamais fait la guerre pour nous approprier les richesses d'autrui. En revanche, nous avons toujours bataillé pour conserver ce qui nous appartient. On nous serine sans arrêt que nous devrions nous comporter comme la Grande-Bretagne, la France, l'Italie et la Belgique, et accueillir les immigrés illégaux. Que nous aussi, nous avons une dette morale envers ces pauvres gens

    Engagement moral

    Et puisque c'est l'Histoire qui guide les peuples et qu'elle est, somme toute, l'éternel indicateur de la morale, je voudrais souligner que ceux qui ont un engagement moral envers les peuples d'Afrique, du Moyen-Orient et d'Asie, sont justement ces pseudo-libéraux, ces europhiles gnangnan, qu'ils soient de gauche ou de droite, qui nous accusent aujourd'hui d'être xénophobes.

    Avez-vous déjà entendu parler d'un empire colonial bulgare ? Non, n'est-ce pas ? Parce qu'un tel empire n'a jamais existé. En revanche, la France, l'Angleterre, la Belgique, les Pays-Bas, l'Italie, l'Espagne, le Portugal et l'Allemagne ont bien dirigé de tels empires. Prenons ne serait-ce que la France : elle a régné sur près de la moitié de l'Afrique, jusqu'à Madagascar. Soit dit en passant, la Syrie et le Liban sont également d'anciennes colonies françaises.

    Ou encore l'Angleterre, un autre pays qui nous sermonne souvent sur la question des droits de l'homme. Sans parler de l'Inde, du Pakistan, de la Birmanie, de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande, Londres a régné sur toute l'Afrique de l'Est : l'Egypte, le Soudan, le Kenya, la Tanzanie... jusqu'à l'Afrique du Sud. Et comment Londres et Paris se sont-ils imposés dans tous ces pays ? La réponse est simple : par la force. Les navires accostent, les repris de justice descendent, plantent le drapeau français ou celui de l'Union Jack et disent : "A partir de maintenant, tout ça, c'est à nous."

    Ceux qui ne sont pas d'accord ont le choix entre la soumission, l'esclavage ou la mort. Toute tentative de rébellion a été violemment matée ; toute aspiration à la liberté a été étouffée dans l'œuf. Les pays soumis ont fait l'objet d'un "pillage économique systématique", ce n'est pas moi qui le dis, mais des historiens bien plus érudits : or, diamants, épices, minéraux rares... Comment croyez-vous qu'ont été bâties des villes comme Paris, Londres, Versailles, Bruxelles et Amsterdam. Grâce à ce pillage. On pourrait ajouter encore beaucoup de griefs à cette liste. Vous voulez que je vous rafraîchisse la mémoire sur les exactions des paras français en Algérie ou sur celles des mercenaires belges au Congo ?

    Valeurs européennes

    Nous, chers frères européens, nous n'avons pas une dette morale envers les pays que vous vous êtes employés à coloniser puis à piller. C'est à vous d'en prendre soin maintenant, et non pas de laisser leurs ressortissants se noyer dans la Méditerranée. Nous n'avons rien à nous reprocher, notre conscience est tranquille ; la vôtre, non. La première fois que nous avons vu des gens de couleur différente, c'est lorsque vous les avez envoyés combattre en Macédoine, qui faisait encore partie de la Bulgarie [pendant la Première Guerre mondiale, Sofia était alors alliée de l'Allemagne]. Il s’agissait du 175e régiment de tirailleurs sénégalais. Et savez-vous à qui ils ont eu affaire ? Et bien, au 23e de Kazanlak, justement.

    Après les avoir défaits et constitués prisonniers, les soldats de Kazanlak ont d’ailleurs traité les Sénégalais comme des frères. En clair, lorsque vous, vous vous êtes gavés de richesses et d’esclaves, nous faisions encore paître nos moutons dans les confins de l’Empire ottoman. Ainsi, lorsqu’on me parle aujourd’hui de valeurs européennes, je suis mille fois plus fier de Telish que de Versailles.

    courrierinternational.com

    http://fortune.fdesouche.com/333461-bulgarie-chers-amis-de-londres-et-de-paris-les-refugies-syriens-sont-a-vous

  • L’avortement bientôt obligatoire ?

    Le docteur Lazimi est membre du Haut Conseil à l’égalité. Un de ces comités Théodule qui coûtent cher à la France, au mieux pour rien, au pire pour pondre des rapports mortifères. Ce Haut Conseil vient d’en remettre un à Mme Vallaud-Belkacem sur l’IVG (interruption volontaire de grossesse).

    Dans un entretien au Quotidien du Médecin du 12 novembre, ce médecin estime que « l’IVG n’est pas un problème, c’est une solution », qu’« il n’y a aucune raison que ce geste bénéficie d’une clause de conscience spécifique. C’est un geste médical comme un autre. » Que ne pas pouvoir avorter est une « perte de chance » (on en déduit qu’avorter est une chance). Que dire cela « n’est pas une banalisation, c’est une réalité de la vie ».

    La lecture de tels propos de la part d’un quidam quelconque me fait toujours froid dans le dos. Constater les progrès constants de la culture de mort est effrayant. Que ce soit un médecin qui les profère est encore plus terrible. Rappelons que la médecine est censée préserver, sauver, transmettre la vie. Pas tuer. Prétendre que demander à un médecin de supprimer une vie ne pose pas de problème de conscience, c’est montrer qu’on n’a pas de conscience. Qu’un médecin, nommé par le gouvernement dans un organisme officiel, nie de telles évidence montre le degré de décadence de nos pseudo-élites. [...]

    Pierre Van Ommeslaeghe - La suite sur Boulevard Voltaire

  • Marion, 13 ans, assassinée au collège par la gauchiasse et la racaille

    Victime de harcèlement et de persécutions au collège, comme des milliers de gamins livrés en pâture à la racaille par une gauchiasse libérale criminelle, Marion, 13 ans, avait fini par se suicider.

    Sa mère, Nora Fraisse, ignorée par Hollande, Peillon, Ayrault, Valls et Taubira, mais aussi les grand médias, trop occupés à condamner les lamentables âneries de Minute, livre un bouleversant témoignage. Même si elle ne dit pas tout de cette racaille chère à la gauchiasse -de Désir à Merluchon en passant par Besancenot, à toutes les officines tribalistes et victimaires, CCIF, CRAN, CRIF et autres Moualek, Diallo, Aram, BHL farcis de haine anti-française – qui partout en France, humilie ce pays. Une racaille produite par la rencontre hideuse entre libéralisme et gauchisme, sur fond de haine de la France.

    Après deux plaintes à la gendarmerie puis auprès du parquet d’Evry, ses parents ont décidé jeudi de déposer à Paris une nouvelle plainte avec constitution de partie civile afin qu’un juge enquête. Une plainte pour « violences », « homicide involontaire » et « non-assistance à personne en danger ». Sur Europe 1, la mère de la jeune Marion revient sur ce jour terrible.

    Nora Fraisse : « Aujourd’hui, les bons élèves… par Europe1fr

    La jeune fille, scolarisée en 3e au collège Jean-Monnet, l’agent de la CIA symbole de la « construction européenne » à Bris-sous-Forges, dans l’Essonne, a laissé des lettres. « Elle disait que sa vie a dérapé, a basculé. Personne ne l’a compris. Elle décrit les principales insultes, les principales menaces. Elle donne les noms des principaux harceleurs. Elle garde cette douceur et cette sensibilité qui la caractérisaient. Elle trouve les mots justes, les mots doux, malgré sa souffrance. Et elle nous dit adieu. Et elle remercie, elle dit : « Merci pour ceux qui m’aimaient pour ce que je suis et non pas ce que je ne suis pas. », relate sa maman, la voix étranglée par l’émotion. On n’aura pas les noms, on s’en doute. Taubira, Valls et Hollande ne le permettraient pas. Les ligues anti-françaises non plus.

    Humiliée, rabaissée, menacée de mort

    Les parents de Marion veulent aujourd’hui la nomination d’un juge pour « faire toute la lumière sur ce qui s’est passé parce que nous avons, du fait de notre enquête personnelle, trouvé des preuves accablantes contre le collège, démontrant un grave dysfonctionnement, et nous portons plainte contre les élèves qui sont nommés dans la lettre ». Scolarisés dans la classe de 4e de sa fille, mais aussi dans d’autres classes, ils n’ont jamais été inquiétés après la mort de Marion. « Malgré tout l’amour qu’on lui portait, elle a été humiliée, rabaissée ». Le jour de son suicide, elle avait été violentée dans la cour de récréation, en présence des surveillants.

    « Elle m’a appelée, elle s’était réfugiée aux toilettes, en me disant : « Je ne vais pas bien, il faut que je rentre (….) elle a eu de vraies menaces de mort. (Le jour de son décès) elle était attendue au collège par ses harceleurs pour lui faire la peau », explique Nora Fraisse. Et de poursuivre ; « Je dis aux harceleurs : ce que vous avez fait est intolérable, inadmissible, inexcusable. Ca doit être sanctionné de manière très sévère. Il n’y a pas d’excuse de minorité. Quand on a 14 ans, que délibérément on pousse quelqu’un au suicide, on l’anéantit, on lui fait perdre l’estime de soi, et bien on se met face à ses responsabilités ».

    L’idéologie gauchiasse, perverse et criminelle

    Les parents de Marion ont décidé aussi de la mener cette démarche judiciaire pour dénoncer le « silence » et « le mépris » de l’Éducation nationale et des représentants de l’État. « Je peux vous dire aujourd’hui : 9 mois après le décès de Marion, aucun enseignant n’a pris contact avec nous. Aucun n’a donné un mot de condoléances », témoigne Nora Fraisse. Dénonçant dans un courrier des « carences et des lacunes gravissimes dans l’encadrement des élèves et la discipline », ils demandent à Peillon une inspection approfondie de l’établissement.

    Cette démarche, Nora Fraisse la fait aussi pour tous « les autres enfants » qui se trouvent aujourd’hui dans cette situation. Pour leur dire qu’il existe des tas de recours. « Je dis aux enfants qui nous écoutent : si vous avez peur, dites-le. Si vous ne voulez plus aller à l’école, n’y allez plus ! Il vaut mieux rater une année d’école que rater sa vie ».

    Pour la sécurité de nos enfants, mettons les bonnets rouges et débarrassons le pays de la gauchiasse !

    Source  http://www.medialibre.eu/france/marion-13-ans-assassinee-au-college-par-la-gauchiasse-et-la-racaille-video/13961