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lobby - Page 2094

  • 17 novembre : journée nationale de la trisomie 21

    A l’occasion de la journée nationale de la trisomie 21, dimanche 17 novembre, la Fondation Jérôme Lejeune rappelle le paradoxe dramatique propre à cette pathologie : la généralisation du dépistage avant la naissance dont elle fait l’objet ne conduit pas à guérir les patients qui en sont atteints mais à éliminer 96% d’entre eux.

    "En 2013, ce constat est d’autant plus inacceptable : alors que la recherche thérapeutique marque des avancées significatives, des nouveaux tests sanguins de dépistage prénatal de la trisomie 21 sont mis sur le marché français.

    Un diagnostic qui élimine le patient plutôt que la maladie

    Dans le domaine médical, le dépistage est l’outil nécessaire pour poser un diagnostic, préalable indispensable pour mettre en œuvre le soin adapté en vue de guérir un patient. Une exception vient noircir le tableau : le diagnostic prénatal de la trisomie 21. Pour cette pathologie, le mécanisme du duo gagnant dépistage+traitement est enrayé depuis 30 ans : le diagnostic pendant la grossesse est généralisé, remboursé, promu par les politiques de santé publique quand la recherche thérapeutique est uniquement privée, sous-financée et mal considérée.

    Une politique de santé publique qui privilégie l’industrie technoscientifique

    Les arbitrages politiques ont systématiquement fait pencher la balance en faveur du dépistage aux dépends de la recherche thérapeutique. L’arrivée du diagnostic prénatal non-invasif (DPNI) de la trisomie 21 creuse encore l’écart (coût estimé pour l’Assurance Maladie : 1 milliard d’euros par an selon le CCNE). En mai dernier, un arrêté pris par la Ministre de la Santé oblige les professionnels de la santé à utiliser un logiciel qui centralise les données sur le dépistage prénatal de la trisomie 21. Dans la perspective de l’arrivée du DPNI, tout porte à croire qu’il vise à améliorer la performance quantitative et rationalisée des tests de détection prénatale. Ce fichage des femmes enceintes porte atteinte à la vie privée et stigmatise la trisomie 21. Aussi la Fondation Jérôme Lejeune a-t-elle formé un recours en justice contre cet arrêté.

    Pourtant, la recherche thérapeutique progresse !

    Rassemblés à Paris à l’occasion du Prix international Sisley-Jérôme Lejeune 2013, les co-lauréats Pr Yann Hérault et Pr Lynn Nadel accompagnés du lauréat 2012, Pr Roger Reeves, ont fait part de leur enthousiasme quant aux progrès accomplis et aux perspectives qui s’ouvrent. Ainsi, en janvier 2014, la Fondation Jérôme Lejeune lancera un appel à projet sur le lien entre trisomie 21 et maladie d’Alzheimer."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Retour sur l’affaire Leonarda, une fable obscure

    Instrumentalisée de toutes parts, une jeune fille d’origine kossovare est devenue, quelques jours durant, la coqueluche des médias. Son histoire met en lumière le rejet du pouvoir, la rigueur sélective de l’État et le faux humanisme des responsables politiques.

    La jeune fille kosovare ( ?) se retrouve oriflamme de tant de combats qu’elle n’existe plus, sinon déconstruite, instrumentalisée par fragments. De quoi Leonarda était-elle le nom ?

    Leonarda est d’abord le nom d’une double fiction politique : cet épisode grotesque aurait précipité un peu plus François Hollande au fond de l’impopularité, impopularité qui viendrait du manque de lisibilité de l’action du gouvernement et du Président. Mais l’exaspération des Français, en l’espèce, ne vient pas du jugement à la Salocon du Président, réussissant une fois de plus à être à la fois incompréhensible (il faut lire le texte de son allocution sur le site elysee.fr), sentencieux et odieux : elle vient de leur sentiment d’être une fois de plus abandonnés par des élites acharnées à apparaître généreuses et attentives quand tout le pays est rançonné par un pouvoir sourd et aveugle. Comment en effet ne pas se scandaliser du déploiement de générosité indignée devant le sort de Leonarda quand 60 % de la population (hors les grandes métropoles) est en passe de descendre sous le seuil de pauvreté ? Leonarda est le symbole superfétatoire du divorce entre pays réel et pays légal.

    Et l’action du gouvernement, à cet égard, est très lisible : augmentation des impôts sans établir une véritable justice fiscale, abandon de l’économie au libéralisme, exaltation des vertus de la France réformatrice mais abandon de la souveraineté. Sur le terrain, une France pauvre voit ses impôts s’envoler, les ouvriers étrangers la remplacer et les subventions pleuvoir sur la famille Dibrani, dont les mérites paraissent minces, avec en prime quelques discours insultants à l’égard de ceux qui refuseraient de se laisser dépouiller un peu plus. Hollande, Valls, Peillon, Taubira, Moscovici sont très clairs : la tartufferie consistant à promettre toujours plus d’explications pour toujours moins écouter les Français se cristallise dans cette affaire Leonarda. Dans le rejet massif de la jeune fille et de sa famille, sujet précis et tangible, les Français affirment que la coupe est pleine. L’épiphénomène Leonarda signe le rejet du pouvoir. Leonarda est aussi le nom de la double-pensée systématique de l’État et de ce gouvernement. A travers la transparence sélective, par exemple : l’État fait très vite produire un rapport accablant sur la famille Dibrani, propre à scandaliser tous ceux qui se demandent pourquoi ils n’ont pas reçu autant, si longtemps, de tant d’administrations et de travailleurs sociaux, outrepassant même leurs devoirs. Si le rapport est révélateur (et révèle, en creux, la démesure de ces mesures prodigues), une telle transparence et une telle rapidité restent l’exception. Il n’y a que les rapports de la Cour des comptes qui soient aussi précis – mais ils restent obstinément vains. A travers aussi la rigueur sélective : l’État a choisi de stigmatiser une population nomade, les Roms, rejetée dans son propre pays, mal accueillie dans toute l’Europe, identifiable par son mode de vie homogène. Une de ces faciles postures de fermeté complaisante dont Valls a le goût et qui lui permet, symétriquement, de favoriser une population sédentaire musulmane, de réorganiser même la vie politique en fonction de cette population. La famille Dibrani tombe à point pour montrer la prétendue fermeté du ministre de l’Intérieur, débordé sur tous les autres fronts.

    Enfin, Leonarda est le nom de l’inhumain humanisme de la gauche et de la droite, quand elles se mêlent de décréter ce que doit être l’homme : différent, mais de la bonne différence. Tous humains, mais certains plus que d’autres. Tous égaux, mais certains plus que d’autres. Dans un de ces délires si français consistant à absolutiser une personne en la transformant en cause et en éliminant, au passage, tout examen approfondi du vrai bien commun et du réel bien particulier. Quel intérêt de sanctuariser l’école, devenu la plus vaste fabrique d’exclusion sociale ? Pourquoi plus défendre Leonarda, qui a au moins une famille, que tous les Mineurs Étrangers Isolés (que Claude Bartolone ne voulait plus accueillir en Seine-Saint-Denis en juillet 2011) ? Pourquoi accueillir quand on accueille mal ?

    Leonarda va devenir une de ces affaires pénibles, faites de tractations obscures et d’indignations au grand jour, dont aucun bien ne sortira, mais bien quelques règlements inutiles et des décisions inconséquentes, et où par principe l’État jugera son action meilleure car gouvernée par la Raison – en oubliant les faits.

    Philippe Mesnard - L’Action Française 2873

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Retour-sur-l-affaire-Leonarda-une

  • « Ces criminels qui défendent la pédophilie » par Laurent Glauzy

    « On devient des adultes équilibrés seulement si l’on a eu une enfance heureuse » (Maria Montessori)

    Les rapports sexuels avec des mineurs deviendront-ils une pratique normale ? Les défenseurs de la pédophilie prônent cette « unique voie de libération ».

    Le 25 avril, Alice Day, marque la journée officieuse de la « prédisposition », des pédophiles qui aiment les petites filles. Cette date ne doit rien au hasard. C’est le 25 avril 1856 que Lewis Carroll, membre de la secte satanique de Théosophie, rencontra une petite fille, Alice Liddell, qui inspira son œuvre Alice au Pays des Merveilles. Alice devint ainsi le symbole, bien malgré elle, de cette journée immonde et ignoble.

    Le promoteur de l’évènement est la Nambla (Association nord-américaine pour l’amour entre les hommes et les jeunes garçons). Cette structure de pédophiles homosexuels revendique les droits des militants « pro-pédophiles ».
    Implantée aux États-Unis, elle recueille des prosélytes au Canada, aux Pays-Bas et dans beaucoup d’autres pays. L’objectif est l’abolition des limites d’âge en matière de rapports sexuels, et de combattre la criminalisation des adultes qui pratiquent la sexualité avec des mineurs. Ces criminels sans scrupules demandent la relaxe de tous les prisonniers détenus pour ce délit. Les organisations pro-pédophiles, composantes du groupe Ipce (International Pedophile and Child Emancipation), sont par ailleurs impliquées dans des actions illégales de trafic international de pédophilie.

    La Nambla fut fondée en 1978 par le Juif David Thorstad. En 1970, il est un activiste politique du mouvement des droits homosexuels aux côtés d’Harry Hays, membre du Communist Party USA. Les deux hommes suscitent l’attention des forces de l’ordre. En 1977, à Boston, la police fait irruption dans un de leurs sièges, et arrête vingt-quatre suspects. Une centaine d’autres personnes furent inculpées les jours suivants pour viol sur des garçons âgés de huit à quinze ans.

    En 1995, des agents infiltrent les organisations implantées à San Francisco et New York. Le journaliste Mike Echols réussit à pénétrer ces cercles. En 1991, il publie, dans son livre I Know My First Nameis Steven (Je sais que mon prénom est Steven), les noms, adresses et numéros de téléphone de quatre-vingts membres de Nambla.

    En 2000, un couple de Boston, Robert et Barbara Curley, poursuit en justice Nambla pour l’homicide volontaire de leur fils Jeffrey, en octobre 1997. Charles Jaybes et Salvatore Sicari, condamnés pour ce meurtre, avouèrent avoir torturé et mutilé le jeune homme. Le jugement mentionna que « Nambla servait de canal pour un réseau souterrain de pédophiles aux États-Unis, qui utilise les associations et leurs contacts sur Internet pour obtenir et promouvoir l’activité pédophile ».

    L’Italie n’est pas non plus épargnée par des politiciens nauséabonds réclamant le « droit des enfants à avoir leur sexualité ». Si le parti radical italien est un des mouvements faisant la promotion de la pédophilie, le communiste Nicola Vendola, président de la région des Pouilles, fondateur du Movimento per la Sinistra (mouvement pour la gauche), déclara en 1985 : « La liberté communiste est le dynamisme. Je suis devenu consciemment homosexuel, pour redevenir hétérosexuel, et pour enfin rechercher une sexualité sans adjectif. Je voudrais que l’on comprenne la sexualité, non en parlant des membres et des organes génitaux. Berlinguer [secrétaire général du PCI, mort en 1984] est quelqu’un qui comprend. Nous avons discuté ensemble de ce sujet. Il répétait tout le temps que l’on a besoin d’aller au fond, que l’on a besoin de parler, de se confesser davantage – non pas avec des prêtres – car il s’agit de se priver du poids de tous les résidus de l’intolérance. Il n’est pas facile d’affronter un thème comme celui de la pédophilie en exemple, c’est-à-dire du droit des enfants à avoir leur propre sexualité, à avoir des rapports entre eux ou avec des adultes » (Republicca du 13/3/1985).

    Le 3 mai 2013, lors des débats parlementaires portant sur les projets de loi contre l’homophobie, Luisa Santolini, députée de l’Union démocrate du centre, reprenant les propos du docteur d’origine belge Hubert van Gijseghem, ancien professeur de psychologie à l’université de Montréal, affirma : « L’homosexualité est une orientation sexuelle comme tant d’autres : il y a ceux qui sont gays, hétéros ou pédophiles ». Cette déclaration ne donna lieu à aucune indignation publique.

    La petite Croatie est également touchée par ce torrent d’immondices. En janvier 2013, le gouvernement de Centre-gauche, financé dans cette initiative par la Soros Foundation, a imposé l’introduction dans les programmes scolaires d’un module sur la sexualité rédigé par des pédophiles.

    Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/ces-criminels-qui-defendent-la-pedophilie-par-laurent-glauzy#more-30140

  • L’Etat promeut davantage l’avortement et s’attaque aux consciences !

    Le « rapport du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes relatif à l’accès à l’avortement volontaire dans les territoires » a été remis le 7 novembre 2013 au ministre des Droits des femmes.

    Ses rédacteurs ont été largement invités dans les gros médias pour déverser leur propagande pro-mort. Un de leurs leitmotiv était qu’il fallait faire de l’IVG « un acte médical comme un autre ».
    C’est bien sûr absurde et surtout, il ne s’agit pas d’un acte médical tout court ! Dans une inversion toute satanique des mots, les modernes veulent oublier que la médecine est là pour guérir.
    Donner la mort, mettre un terme à la vie – qui n’est pas une maladie -, n’a rien de médical.

    Au sujet de ce rapport, voici ce que nous communique l’AGRIF :

    « Celui-ci commence par un état des lieux qui est d’emblée une manipulation puisqu’il affirme que l’avortement est un « événement assez courant de la vie sexuelle et reproductive d’une femme puisque 1 femme sur 3 y aura recours dans sa vie ». De fait 2 femmes sur 3 n’y aura donc pas recours ce qui ne fait pas de cet événement un acte si courant que cela puisque les 2 tiers des femmes ne le connaitront pas. Mais tout est permis pour faire accepter l’inacceptable, ce qui est évident lorsqu’on analyse les 3 recommandations du rapport qui doivent faire de l’avortement un droit à part entière et qui est en fait un véritable retour à la barbarie.

    La première recommandation propose de remplacer dans l’article L2212-1 du code de la santé publique l’expression «  la femme enceinte que son état place dans un état de détresse peut demander à un médecin l’interruption de sa grossesse » par l’expression « La femme qui ne souhaite pas poursuivre une grossesse peut demander à un médecin de l’interrompre ».

    La précédente formulation excluait déjà de la décision le père de l’enfant qui n’était déjà plus reconnu comme le cogéniteur. Désormais, toute condition à la mort de l’enfant est abolie. La situation de détresse de la femme n’est plus requise. C’est le fait du prince, en l’occurrence de la princesse, qui détient désormais un pouvoir absolu de vie et de mort sur l’enfant qu’elle porte. Ce droit de vie et de mort sur les enfants était sous l’Empire romain l’apanage exclusif du père. Il est désormais l’apanage exclusif de la mère. On ne voit pas en quoi cela constitue un progrès. Il s’agit plutôt d’un retour à la barbarie avec un changement de barbare. Et comme il n’est pas toujours facile d’assumer ce rôle, la formulation du texte permet de supprimer tout lien entre la victime et son bourreau en puissance, la mère, par un procédé stylistique qui transforme la grossesse dont il est question en un événement indéfini comme le souligne l’utilisation de l’article indéfini « une » qui vient remplacer l’article possessif « sa ».

    La deuxième recommandation propose de « supprimer l’obligation de délai de réflexion de 7 jours prévus aujourd’hui entre les deux premières consultations avec un médecin avant l’IVG ».

    Cette période de 7 jours qui est un peu comme le couloir de la mort des condamnés à la peine capitale des prisons américaines qui permet parfois des revirements heureux pour ceux qui ont été injustement jugés coupables, est là aussi supprimée. Pour l’enfant à naitre, il n’y a pas de sursis possible. Il est innocent. Il n’a déjà pas eu de procès pour faire entendre sa voix. Il n’aura pas non plus de délai avant son exécution. Autre retour à la barbarie.

    Enfin, la troisième recommandation propose de « supprimer de l’article L2212-8 du code de la santé publique la mention explicite de la clause de conscience formulée ainsi : « un médecin n’est jamais tenu de pratiquer une interruption volontaire de grossesse » ainsi que pour les autres personnels de santé mentionnés dans le même article. « La possibilité du recours à la clause de conscience est déjà accordée de manière générale à tout le personnel soignant pour l’ensemble du personnel médical », précise hypocritement le texte. Car si le but était de maintenir cette clause on ne voit pas ce que cette recommandation viendrait faire dans un texte qui doit permettre de trouver une solution à un obstacle objectif à l’avortement qui est que peu de médecins acceptent de le pratiquer, malgré les revalorisations financières régulières et successives. Il faut donc obliger tous les médecins à le pratiquer et c’est bien l’objectif de cette 3ème recommandation. Contraindre les consciences : autre constante de la barbarie totalitaire.

    http://www.contre-info.com/letat-promeut-encore-lavortement-et-sattaque-aux-consciences#more-30136

  • « Les Français ruinés par l’immigration », le dernier livre de Gérard Pince

    Mon dernier ouvrage, intitulé Les Français ruinés par l’immigration, vient de paraître aux éditions Godefroy de Bouillon. À partir de la comptabilité nationale de l’année 2011 (nous ne disposons pas de données plus récentes), j’ai analysé l’impact de l’immigration sur l’emploi, les revenus, les finances de l’État et le produit intérieur brut (PIB) qui correspond à la richesse créée par les Français en un an.

    Le titre évoque le spectre de la ruine. C’est le mot juste ! Ce document taille en pièces les arguments des « élites » qui prétendent que l’immigration nous avantage. Il démontre au contraire d’une manière irréfutable qu’elle entraîne la faillite de nos finances publiques et pénalise lourdement le niveau de vie de votre ménage. Je ne vous cite pas les chiffres qui illustrent l’ampleur du désastre. Il est préférable de se plonger dans l’ouvrage pour comprendre l’engrenage qui nous broie.

    Au terme de cette lecture, vous découvrirez que les efforts d’austérité imposés aux Français proviennent du refus de réguler l’immigration extracommunautaire. Comment interrompre cette hémorragie ? Des solutions existent et j’en évalue l’impact, mais qui aura le courage de les appliquer ?

    Au prix d’un long travail, j’ai ainsi édifié un barrage contre le mensonge. Je m’attends à un silence des médias. À vous de faire connaître cet ouvrage que vous pouvez commander en cliquant sur le lien suivant : www.godefroydebouillon.fr/crbst_5.html

    Gérard Pince

    Source  http://desinformation.over-blog.net/-les-fran%C3%A7ais-ruin%C3%A9s-par-l-immigration-le-dernier-livre-de-g%C3%A9rard-pince

    http://www.altermedia.info/france-belgique/desinformation-over-blog-net/les-francais-ruines-par-limmigration-le-dernier-livre-de-gerard-pince_89369.html#more-89369

  • Observatoire de l’intolérance et de la discrimination : la France mauvaise élève

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "L’Observatoire de l’intolérance et de la discrimination contre les chrétiens revient sur le rapport de l’OSCE concernant les crimes antireligieux. Il remarque que seuls 15 pays membres de l’OSCE distinguent dans leurs données entre les diverses religions, et que seuls 6 pays ont fourni leurs données à l’OSCE. (La France ne fait partie ni des 6 ni des 15 : chez nous on distingue bien, mais seulement entre crimes antisémites et crimes anti-musulmans…)"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Pourquoi Israël a assassiné Arafat

    Il semble qu’il y ait encore beaucoup de parties qui préféreraient que la mort d’Arafat continue à être traitée comme un mystère plutôt que comme un assassinat. Il est difficile, cependant, d’éviter de tirer la conclusion logique de la découverte la semaine dernière par des scientifiques suisses que le corps du leader palestinien contenait des niveaux élevés d’un isotope radioactif, le polonium – 210. Une étude concluante et beaucoup plus limitée par une équipe russe publiée immédiatement après l’annonce suisse suggère également qu’Arafat est mort d’un empoisonnement.

    Il est temps d’énoncer une évidence : Arafat a été tué. Et les soupçons tombent carrément sur Israël. Seul Israël avait les moyens, les antécédents, l’intention déclarée et le motif. Sans les empreintes digitales d’Israël sur l’arme du crime, ce sera insuffisant pour obtenir une condamnation devant une cour de justice, mais ce devrait être une preuve suffisante pour condamner Israël devant la cour de l’opinion mondiale. Israël avait accès au polonium de son réacteur nucléaire de Dimona, et il a une longue expérience dans la réalisation d’assassinats politiques, certains ostentatoires et d’autres secrets, souvent à l’aide d’agents chimiques difficiles à tracer. Plus notoirement, Israël a essayé de tuer tranquillement un autre leader palestinien, Khaled Mechaal du Hamas en Jordanie en 1997, en injectant un poison dans l’oreille. Mechaal n’a été sauvé que parce que les assassins ont été arrêtés et Israël a été forcé de fournir un antidote.

    Les dirigeants israéliens se sont succédé pour nier qu’il y ait jamais eu la moindre intention maligne du côté d’Israël envers Arafat. Silvan Shalom, le ministre de l’énergie, a affirmé la semaine dernière : « Nous n’avons jamais pris la décision de lui nuire physiquement ». Shalom doit souffrir d’un trou de mémoire. Il y a plusieurs preuves qu’Israël voulait, dans l’euphémisme de cette époque, ‘’retirer’’ Arafat. En Janvier 2002, Shaul Mofaz, chef d’état-major de l’armée israélienne, a été surpris au micro chuchotant au Premier ministre israélien, Ariel Sharon, parlant d’Arafat : « Nous devons nous débarrasser de lui ». Avec le dirigeant palestinien enfermé pendant plus de deux ans dans son enceinte dévastée à Ramallah, entouré de tanks israéliens, le débat au sein du gouvernement israélien était centré sur le fait de savoir s’il devait être exilé ou tué. En Septembre 2003, alors que Shalom était ministre des Affaires étrangères, le cabinet a même émis un avertissement qu’Israël  » supprimerait cet obstacle d’une manière ou d’une autre et au moment de son choix « . Le vice-Premier ministre d’alors, Ehud Olmert, a précisé que tuer Arafat était  » une des options « . Ce qui retenait la main d’Israël, et alimentait son ton équivoque, était la vive opposition de Washington. Dans le sillage de ces menaces, Colin Powell, le secrétaire d’Etat américain, a averti qu’un mouvement contre Arafat déclencherait  » la rage partout dans le monde arabe, le monde musulman et dans de nombreuses autres parties du monde « . En Avril 2004, cependant, Sharon a déclaré qu’il n’était plus tenu par son engagement antérieur avec le président George Bush de ne pas « nuire physiquement à Arafat « . « Je suis libéré de cet engagement « , avait-t-il observé. La Maison Blanche a aussi montré un fléchissement de sa position : un porte-parole anonyme a timidement répondu que les Etats-Unis  » sont opposés à toute action de cette nature« . L’inconnu est de savoir si Israël était en mesure de mener à bien l’assassinat seul, ou s’il a eu besoin de recruter un ou plusieurs membres de l’entourage d’Arafat, qui étaient avec lui dans son QG de Ramallah, en tant que complices pour livrer le poison radioactif.

    Alors qu’en est-il du mobile? Que gagne Israël à  » retirer  » Arafat ? Pour comprendre la pensée d’Israël, il faut revenir à un autre débat qui fait rage en ce moment, parmi les Palestiniens. La direction palestinienne a été scindée en deux camps, centrés sur Arafat et Mahmoud Abbas, l’héritier apparent d’Arafat. Le couple avait des stratégies nettement divergentes pour faire face à Israël. De l’avis de M. Arafat, Israël avait renié les engagements qu’il avait pris dans les accords d’Oslo. Il était donc réticent à investir de manière exclusive dans le processus de paix. Il voulait une double stratégie : maintenir les canaux ouverts pour des entretiens tout en conservant l’option de la résistance armée pour faire pression sur Israël. Pour cette raison, il a gardé une emprise personnelle serrée sur les forces de sécurité palestiniennes. Abbas, en revanche, estimait que la résistance armée était un cadeau à Israël, et délégitimait la lutte palestinienne. Il voulait se concentrer exclusivement sur ​​les négociations et le renforcement de l’État, dans l’espoir d’exercer une pression indirecte sur Israël en prouvant à la communauté internationale que les Palestiniens pouvaient inspirer la confiance avec un Etat. Sa priorité était de coopérer étroitement avec les Etats-Unis et Israël en matière de sécurité. Israël et les Etats-Unis préféraient nettement l’approche d’Abbas, forçant même Arafat pendant un certain temps à réduire son influence en nommant Abbas au poste nouvellement créé de Premier ministre.

    La principale préoccupation d’Israël était que, bien qu’Arafat soit leur prisonnier, il reste une figure unificatrice pour les Palestiniens. En refusant de renoncer à la lutte armée, Arafat a réussi à contenir, un tant soit peu – les tensions croissantes entre son propre mouvement, le Fatah, et ​​son principal rival, le Hamas. Avec Arafat disparu, et le conciliant Abbas installé à sa place, ces tensions ont violemment éclaté dans la foulée, comme Israël avait certainement prévu qu’il se passerait. Qui a abouti à une scission qui a déchiré le mouvement national palestinien et a conduit à un schisme territorial entre la Cisjordanie contrôlée par le Fatah et Gaza sous la domination du Hamas. Dans la terminologie souvent utilisée par Israël, Arafat était à la tête de l ‘«infrastructure de la terreur». Mais la préférence d’Israël pour Abbas ne provient pas du respect qu’il aurait pour lui ou d’une croyance qu’il pourrait réussir à convaincre les Palestiniens d’accepter un accord de paix. Sharon a eu cette déclaration célèbre que Abbas n’était pas plus impressionnant qu’un  » poulet plumé « .

    Les intérêts d’Israël en tuant Arafat sont évidents quand on considère ce qui s’est passé après sa mort. Non seulement le mouvement national palestinien s’est effondré, mais la direction palestinienne a de nouveau été ramenée dans une série de pourparlers de paix futiles, laissant à Israël le champ libre pour se concentrer sur l’accaparement des terres et la construction de colonies. Revenant sur  la question de savoir si Israël a bénéficié de la perte d’Arafat, l’analyste palestinien Mouin Rabbani observe :  » l’engagement exemplaire d’Abu Mazen [ Abbas ] vis-à-vis des accords d’Oslo au fil des années , et le maintien de la coopération sécuritaire avec Israël  contre vents et marées, n’ont-ils pas déjà répondu à cette question?  »

    La stratégie d’Abbas peut être confrontée à son test ultime maintenant, alors que l’équipe de négociation palestinienne essaie une fois de plus de cajoler Israël pour la concession du strict minimum pour un Etat, au risque d’être accusée d’être responsable de l’inévitable échec des négociations. L’effort semble déjà profondément mal orienté. Alors que les négociations n’ont accordé aux palestiniens qu’une poignée de vieux prisonniers politiques, Israël a déjà annoncé, en retour, une expansion massive des colonies et la menace d’expulsion de quelque 15000 Palestiniens de leurs maisons à Jérusalem-Est. C’est indubitablement un compromis qu’Arafat aurait amèrement regretté.

    Jonathan COOK

    Traduction Avic

    http://www.counterpunch.org/2013/11/13/why-israel-murdered-arafat/

    Source  http://reseauinternational.net/2013/11/15/pourquoi-israel-a-assassine-arafat/

  • Lorsque l’antiracisme s’attaque à une fillette de 11 ans !

    Un témoignage, dans la presse, a été peu relayé. Sauf dans quelques médias, pour le tourner en dérision. Celui, paru dans Le courrier de l’Ouest, des parents de la fameuse fillette angevine de 11 ans qui a crié vers Christiane Taubira « La guenon, mange ta banane » en brandissant sa banane.

    Ces parents parlent d’une « sottise de gamine » dont leur fille n’aurait pas « mesuré la portée », une « très grosse bêtise digne d’une cour d’école », que leur enfant « a comprise ». « Elle a été assez punie par cette histoire. Mais ça reste une petite fille espiègle, sensible, artiste dans l’âme, que nous devons protéger ».

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  • Répression contre SOS Tout-Petits

    SOS Tout-Petits m'informe :

    "A Paris, le Préfet de Police a notifié, le vendredi 15 novembre à 20h40, l'interdiction du rassemblement de prière prévu par SOS Tout-Petits ce jour, samedi 16 novembre 2013, à 10h30. Le Dr Dor et une dizaine de personnes ont été embarqués par les forces de l’ordre."