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lobby - Page 2163

  • Dossier spécial Nice/bijoutier (màj)

    Addendum 19.09.2013 : Editorial de François Sergent (Libé)

    Mais, comment des hommes politiques qui tiennent fond de commerce de la lutte contre la délinquance, Estrosi ou Ciotti pour ne citer que les locaux, peuvent-ils défendre un criminel ? Un règlement de compte à Marseille devient un acte de justice à Nice.

    Les réseaux sociaux dont on avait salué l’importance et la leçon de liberté à l’heure de la révolution iranienne et du printemps arabe fédèrent aussi des milliers de soutiens à Stéphan Turk, un homme qui selon le procureur de la République de Nice «a agi volontairement pour donner la mort à un malfaiteur».

    On n’est pas devant un cas ambigu de légitime défense mais devant un meurtre. […]

    Libération

    Addendum 18/09/13

    [...] Le bijoutier de Nice Stephan Turk s’exprime pour la première fois depuis le drame. Au micro d’Europe 1, il affirme ne pas sentir « coupable » du meurtre du jeune cambrioleur même s’il le « regrette ».

    « Pourquoi coupable ? Je me défends. C’est lui qui décide de venir chez moi avec des armes et m’agresser. Il a violé mes droits au magasin. Il a pris mes marchandises, mais bon c’est un accident », affirme-t-il.

    Le bijoutier donne des précisions sur les circonstances du drame. « Je ne sais pas ce qui s’est passé, ça a été trop rapide. Je voulais arrêter le scooter c’est tout. Je ne voulais toucher personne. Si j’avais voulu tirer sur lui, j’en avais l’occasion. Il était devant moi à un mètre ».

    Stephan Turk donne son sentiment sur la jeune victime et ses responsabilités.

    « Ce n’est pas lui le responsable, mais c’est son père ! Le jeune homme avait déjà été impliqué dans 14 affaires. Où est sa famille ? Où est son père ? Qu’est-ce qu’il dit son père au journal ? ‘Mon fils avait besoin d’argent’. Mais ça ne va pas ça » [...]

    TF1 News

    Addendum 17/09/13

    La famille d’Anthony Asli, le malfaiteur de 18 ans tué mercredi par le bijoutier de Nice, s’est constituée partie civile. Pour la première fois, Alexandra Asli, la sœur aînée de la victime, s’exprime.

    Le Figaro – Que vous inspire ce mouvement de soutien au bijoutier ?

    Alexandra Asli – Je ne comprends pas comment on peut le considérer comme un héros alors qu’il a tué mon frère. On nous téléphone à la maison pour nous insulter, on poste des choses horribles sur Facebook, on fait la fête place Masséna alors que mon frère est toujours sur la table d’autopsie. C’est indécent.

    Faites-vous confiance à la justice ?

    Oui, nous avons même appelé les jeunes au calme. Si on l’avait voulu, cela aurait pu vraiment dégénérer. Mais nous avons été élevés ainsi, dans le respect de la justice. [...]

    Le Figaro

    [...] « La justice, c’est pas Facebook, c’est pas Twitter », s’est insurgé lundi l’un des quatre avocats de la famille d’Anthony Asli, le braqueur tué par un bijoutier à Nice, estimant que la justice « ne peut être rendue sous la pression de l’opinion publique ». [...]

    Hebergeur d'image

    A ses côtés, en pleurs, Alexandra Asli, la soeur du jeune homme tué, dont le corps n’a pas encore été autopsié. Elle dit ne pas « comprendre l’ampleur » que cette affaire a prise, ni pourquoi « on salit la mémoire de (son) frère ». « Il n’était pas violent, les armes qu’il avait sur lui, c’était des fausses », a-t-elle assuré devant les journalistes.

    « Il était plein de vie, il était amoureux », a-t-elle ajouté, dressant aussi le portrait d’un  jeune homme « influençable », qui « n’avait pas 19 ans dans sa tête ». « D’accord c’était un petit délinquant. Mais aujourd’hui on prend la défense d’un assassin ! », s’est insurgée la jeune femme, faisant allusion au bijoutier mis en examen. « Qu’il aille en prison comme n’importe quel délinquant. Il lui a tiré dans le dos, l’a abattu comme un chien », a-t-elle dit, réfutant la thèse de la légitime défense.

    TF1 News

    16/09/13

    La manifestation en soutien au bijoutier qui a tué, à Nice, la semaine dernière, un braqueur, a débuté vers 14h. Un sentiment de ras le bol et d’insécurité. De nombreuses personnalités politiques sont présentes mais aussi des bijoutiers et des anonymes.

    http://www.fdesouche.com/406187-un-braqueur-grievement-blesse-par-un-bijoutier-a-nice#more-406187

    Rappel : je participerai à 14h au rassemblement Place Masséna, j'invite tous ceux qui le peuvent à être présents.

  • Dis moi ce que tu aimes…

    Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, partisan de la disparition de notre souveraineté nationale, membre du Siècle, humaniste,  nouveau chouchou des médias,  est forcement un mondialiste bien sous tous rapports.  Incapable de juguler l’explosion de la délinquance,  partisan de la poursuite de la dilution de l’identité française par l’immigration de peuplement, les  naturalisations  massives et de distribution  accrue de papiers français aux immigrés non européens, M. Valls  aime pourtant  jouer au dur. Il aime aussi donner en exemple sa  servilité vis-à-vis des mots d’ordre du Nouvel ordre mondial sous pavillon américain. Ce  fut le cas hier sur Europe 1 lorsqu’il a  accusé  Marine d’être  «dans le degré ultime de l’outrance et dans le degré zéro de l’analyse politique». Et ce, vous l’aurez compris au motif  que la présidente du FN   refuse de  soutenir  les  bellicistes atlantistes  qui veulent la mort de l’Etat laïc syrien.  Régime de Bachar el-Assad qui est effectivement « la moins pire de solutions » n’en déplaise au ministre de l’Intérieur  et à ses amis.

     Marine le Pen « n’aime pas la France et est incapable de porter un projet pour la France », a encore déclaré Manuel Valls récitant la petite phrase imaginée par ses communicants. Une   saillie qui ne manque pas de sel dans la bouche d’un homme qui a fait toute sa carrière au sein d’un PS qui est devenu au fil des ans une caricature de Parti de l’étranger. Soit un  agrégat de défense d’intérêts  clientélistes et communautaires,  chargé de vendre au bon peuple de gauche  les bienfaits  l’Europe de Bruxelles, de la monnaie unique,   de l’ultra libre-échangisme  mondialisé.

     M.  Valls sait aussi mettre les mains dans le cambouis pour verrouiller sa boutique. Selon Valeurs actuelles il a chargé Yves Colmou, ancien chef de cabinet de Michel Rocard à Matignon, ex conseiller de Lionel Jospin,  secrétaire national adjoint aux élections du PS, « récemment nommé préfet sans affectation, de s’occuper personnellement des nominations pour le corps préfectoral au sein de son cabinet ».

      M. Colmou a en effet un CV qui parle pour lui : «  Fondateur, en 1995, du département collectivité locales au cabinet Progress (dont le vice-président était Jean-Paul Huchon), Colmou s’est spécialisé dans le recrutement de hauts fonctionnaires de gauche pour les collectivités. »

     « Il refusait  dans le cadre de ses activités de consultant, de recevoir et d’aider les fonctionnaires classés à droite. Valls a  en outre, chargé son homme de l’ombre de superviser le redécoupage électoral (…).   Colmou va redécouper les circonscriptions des personnes qu’il a nommées dans ses activités privées et qu’il continue de nommer dans ses fonctions actuelles ». Bref précise Pierre Guyot sur le site Atlantico, M. Colmou est chargé de  « vérifier que cette nouvelle partition du territoire des départements ne portera pas préjudice aux élus locaux de gauche ».

     Tripatouillage électoral pour sauver les meubles l’année prochaine qui s’accompagne d’annonces démagogiques sans laquelle la gauche ne serait pas la gauche. Le Figaro se faisait l’écho aujourd’hui des réflexions du ministère de la Famille de  Dominique Bertinotti sur  un «statut de prémajorité» pour les adolescents de 16 à 18 ans.

     L’objectif serait de «passer progressivement à l’âge adulte (…).  Il ne s’agit pas de basculer tous les droits de 18 à 16 ans, mais de  grappiller  ce qu’il serait possible de faire dès 16 ans. Les experts réfléchiront aussi à la façon dont on pourrait associer les mineurs aux décisions qui les concernent, en matière d’éducation et d’orientation professionnelle notamment (..). »

     Est  ainsi  étudié  «  la possibilité d’accorder de nouveaux droits aux enfants.» Une idée qui est venue à (Dominique Bertinotti)  après son expérience de maire du IVe arrondissement de Paris, où elle avait institué des conseils d’enfants et des conseils de jeunes. Une idée qui correspond aussi au souhait de François Hollande de faire de la jeunesse sa priorité»…

     La priorité de la jeunesse ce ne sont pas des mesures gadgets  de ce type, le mariage pour tous, les assemblées bla-bla, mais de pouvoir s’insérer dans la vie active grâce à des filières d’études d’études et/ou d’apprentissages  performantes.La priorité de la jeunesse   c’est de trouver du travail dans un pays dont l’Etat défend la souveraineté,  la prospérité,  l’identité,  les intérêts nationaux d’abord . Un Etat qui au lieu de l’attaquer,  défende aussi la famille, lieu  de transmission des valeurs, d’éducation, de protection,  au sein de  laquelle les enfants sont les plus aptes à s’épanouir.

     Bruno Gollnisch le rappelait, « encore faut-il que l’Etat ne favorise pas le désordre moral. Je crois que dans la vie sociale, il y a un certain nombre d’équilibres à faire respecter,  que la famille est la cellule pour l’accueil de la vie, et pour l’éducation des enfants, et  qu’elle constitue notamment  la meilleure prévention contre la  délinquance. »

     Dans ce domaine là également, la rupture avec les  politiques menées par l’UMPS sont  d’une urgente nécessité.

    http://www.gollnisch.com/2013/09/24/dis-ce-tu-aimes/

  • Une ancienne présidente d'Act-Up à la tête des Verts ?

    Lu ici :

    Emmanuelle Cosse"Alors qu'il se murmure que Pascal Durand, poussé vers la sortie, jetterait l'éponge en novembre, un nom circule déjà pour le remplacer à la tête d'Europe Ecologie-les Verts : Emmanuelle Cosse. La vice-présidente du Conseil régional d’Ile-de-France chargée du logement pourrait être candidate. Selon une source citée par l'AFP, ce serait même "joué d'avance" : "Ce sera elle". "Elle fait la synthèse entre plusieurs courants. Elle est proche de la ligne de l’actuelle direction et elle est la compagne de Denis Baupin (député de Paris), faiblement critique du gouvernement", analyse un membre de la direction pour Le Monde.

    A 39 ans, cette proche de Cécile Duflot se présente sur son compte Twitter comme une "ancienne activiste contre le sida, écolo, féministe, amatrice de rugby". Emmanuelle Cosse est une militante née. Ses parents, kinésithérapeutes, anciens soixante-huitards, ont toujours été engagés à gauche. "Elle se sensibilise rapidement à la cause de tous les laissés pour compte des années 80. Entre les affiches de Karl Marx et du Che qui trônent sur les murs de l’appartement, la politique chez les Cosse, c’est une affaire de famille", écrit Technikart en 2000.

    Elle a seulement 17 ans lorsqu'elle croise la route d'Act up. "Je militais alors à la Fidl (Fédération indépendante et démocratique lycéenne, ndlr). C'était les grands mouvements du début des années 1990, où j'ai été même négocier avec Jospin. Mais bon, il fallait toujours suivre l'avis du chef", expliquera-t-elle à Libération en 1999. Année où elle se présente à la tête de l'association de lutte contre le sida. Du haut de ses 25 ans, elle devient la première fille, hétéro et séronégative à diriger Act up. Jusqu'en 2001. Un an après, la juriste de formation passe au journalisme engagé : Têtu, Regards...

    C'est en 2009 qu'elle rejoint Europe-Ecologie. "Fidèle des fidèles", sa désignation montre que "Cécile Duflot reprend la main sur la direction du parti", estime, à regret, un responsable des Verts cité par l'AFP. "L'objectif (de Cécile Duflot, ndlr) était d’écarter Durand jugé incontrôlable", abonde une députée citée par Le Monde. On verra le score qu’ Emma [Cosse] va faire au congrès. Elle est connue pour son autoritarisme." Un autoritarisme qui ne ferait pas l'unanimité au sein du parti."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le Front National continu sa "purge"

    Le Front National s’écarte encore de sa ligne doctrinale de départ, une récente affaire de purge (à comprendre dans le mauvais sens du terme !) l’a confirmée.

    L’affaire Chatelain relayée par la "grande presse", notamment l’Express du 04/09/2013 signalant que M. François Chatelain, candidat aux élections municipales de Neuville-en-Ferrain, a été écarté pour avoir publié une image sur sa page Facebook que voici :

     Capture d'écran de la page Facebook de François Chatelain.

    Le secrétaire général du parti, Steeve Briois, a fait savoir par communiqué que "les images et les propos publiés par François Chatelain (Neuville-en-Ferrain) sur sa page Facebook sont en totale contradiction avec la ligne politique du Front National"

    Il est évident que le monsieur en question, François Chatelain, a clairement manqué de prudence dans la mesure ou l’état actuel du Front National ne permet absolument pas de se "dévoiler" publiquement de la sorte, mais, devons-nous comprendre dans cette histoire que pour la fifille, "ici ce n’est pas la France", mais plutôt "Ici c’est Israël" ?!
    Pour comprendre cette situation au sein du Parti il faut en revenir aux postures de Marine Le Pen, rappelons qu’avant même d’être élue présidente, lors de l’affaire des successions au Front National, elle nous avait pourtant bien prévenus : "A la faveur de l’élection du président du Front National, c’est toute une ligne politique qui va être choisie. Et c’est essentiel. Ceux qui ne sont pas d’accord avec cette ligne politique [pro sioniste intégral], soit ils se soumettent à la volonté des adhérents du FN, soit ils se mettent en retrait", puis elle ajoutait "J’ai joué le choix. Parce que moi je crois que les synthèses, c’est nul" affirmation qui justifié plus tard l’écartement de L’Œuvre Française au sein du Parti politique.

    La "course à la dédiabolisation", dont nous sommes désormais nombreux à la critiquer, c’est elle-même qui l’a voulue, rappelons que dès 2002 elle avait affirmé en entretien à l’AFP "Je représente un visage nouveau qui répond à une attente des médias".

    Après les évolutions néfastes du Front National, y compris sous Jean-Marie Le Pen, puis après les exclusions d’Yvan Benedetti et d’Alexandre Gabriac, le manque de doctrine et la "purge" antinationaliste continu pour laisser la place a des éléments contraires… (1)

    (1) A voir : Philippe Ploncard d’Assac, Histoire d’une trahison & Confnérence de M. Rouanet

    http://francenationaliste.wordpress.com/2013/09/14/le-front-national-continue-sa-purge/

  • Soutenons Jérémy, combattant contre le mémoricide ! Signez la pétition de soutien !

    Le parquet a réclamé deux mois de prison avec sursis et 1000 euros d’amende et la mairie 5000 euros de préjudice... moral ! Verdict le 21 octobre - SIGNEZ LA PÉTITION DE SOUTIEN !

    FAJ ABAT L’ARBRE DU BICENTENAIRE DE LA RÉVOLUTION À BERTHENONVILLE : Le procès de Jérémy Thebault a lieu devant le tribunal correctionnel d’EVREUX, AUJOURD’HUI lundi 23 septembre 2013 à 13h30 (30 rue Joséphine à Evreux 27000). Venez le soutenir nombreux ! Reynald Sécher y sera entendu comme témoin pour expliquer au tribunal ce qu’est un mémoricide et un génocide.

    Arbre du paganisme républicain

    Sur son site :

    Le 29 mars 2013, à l’occasion de l’anniversaire du Généralissime François-Athanase de Charette et du 220 em anniversaire des guerres de Vendée,j’ai abattu à Berthenonville à la frontière entre le Val d’Oise et l’Eure, le chêne du bicentenaire de la révolution française planté le 25 novembre 1989.

    Si j’ai commis cet acte, c’est parce que je considère qu’un peuple qui n’a pas de mémoire n’a pas d’avenir.

    "Être d’accord dans le passé, le présent et l’avenir, voilà ce qui ferait de nous de très bons matériaux pour la construction de la maison française" disait Barrès.

    Or, une partie de l’histoire de France est complètement occultée par le régime en place. Et pour cause, puisqu’il s’agit d’un génocide dont la république française est elle-même responsable. Grâce à un travail remarquable d’hommes comme Reynald Secher, nous avons toutes les preuves que ce génocide a eu lieu. Pourtant la république refuse de le reconnaître. Pire encore, depuis le génocide un véritable mémoricide a été instauré, c’est à dire "une politique de déni généralisé, globalisé et systématisé, ayant pour conséquence l’incapacité pour les victimes de se définir par rapport à ce génocide et pour corollaire l’impossibilité pour la justice de faire son oeuvre et donc de voir émerger une mémoire collective conforme aux faits".

    Mon acte est donc un acte anti-mémoricide afin de faire reconnaitre le génocide des Vendéens.

    Plus que jamais nous devons pouvoir faire le deuil de nos morts, mais surtout, nous devons faire reconnaître la cruauté excercée à leur encontre, le caractère spécifique de cette cruauté, et j’ajouterai même les valeurs prônées pour justifier de cette cruauté.

    Nous ne pouvons laisser plus longtemps des arbres, des monuments, des rues et des noms de lycée insulter cette mémoire en portant les noms d’acteurs d’un génocide franco-français au nom de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. Lorsque nous aurons réussi cela, la république sera démasquée. Elle sera discréditée. Elle n’aura plus de raison d’exister. Jérémy Thebault

    Président de France Action Jeunesse "

    http://www.actionfrancaise.net

  • France info: un cas d’école de désinformation européiste

    Les radios d’Etat françaises sont particulièrement engagées politiquement. Le mondialisme, notamment dans sa version européiste, y est souvent promu et défendu.
    Mais le plus gênant est que cela est fait de façon sournoise et malhonnête, par des pseudo-journalistes, sur un ton sérieux et convaincant.

    Ci-dessous un exemple, typique, de ces méthodes de manipulation mises en œuvre par l’oligarchie, avec ce passage sur France info, hier.

    L’animatrice y interroge un « expert » sur un bref extrait d’une déclaration de Marine Le Pen disant que « l’Union européenne nous vole 7 milliards d’euros par an ».
    « Vrai ou faux ? »
    A la question ingénue de sa collègue, le « journaliste » débute sa péroraison d’un radical et lapidaire « Eh bien c’est faux, l’Union européenne ne vole pas à la France 7 milliards d’euros ».
    Puis il part dans des commentaires censés étayer son assertion, mais qui ne sont que diversion (comment est utilisé l’argent, comment la gentille UE finance notre agriculture, l’Allemagne paye plus que nous, etc).
    Au final, il doit concéder en passant, que la différence entre ce que la France verse et ce qu’elle reçoit, est, à nos dépends, de… 6,5 milliards d’euros !
    Tout ça pour ça ! Et encore, avec les divergences d’estimation inéluctables, le chiffre – arrondi ou pas – de 7 milliards d’euros est très plausible.
    Mais l’impression que l’auditeur lambda gardera de cette séquence, c’est que la diatribe de Marine Le Pen sur l’UE – en l’occurrence très justifiée – est tout simplement fausse, donc que les opposants à l’UE sont des menteurs.

    http://www.contre-info.com/

  • FILLON … Il a osé le dire ! par Manuel GOMEZ

    Vous vous rendez compte, François Fillon a eu ce courage d’avouer qu’entre le Parti Socialiste et le Front National il demanderait de voter pour le moins sectaire.
    Manuel Gomez
    Immédiatement tollé général !
    Du PS d’abord et de l’extrême gauche qui, apparemment, se considèrent comme particulièrement visés. Se considèrent-ils comme plus sectaire que le FN ou pensent-ils que leurs électeurs les considèrent comme plus sectaire ?
    Ensuite des composantes de l’UMP…
    - Celle proche du centre qui voit s’éloigner son leader charismatique !
    - Celle soutenant Jean-François Copé qui voit Fillon le doubler sur sa droite, ce qui est absolument contraire au code de la route, et bien davantage en politique.
    Ensuite celle des partis centristes, qui jubilent.
    Et bien entendu des médias, en très grande majorité de gauche, qui ont immédiatement interprété cette déclaration comme : « Entre le PS et le FN je voterai Front National », ce qui n’a jamais été dit !
     
    Mais que je trouve dommage, pour ma part, que Nicolas Sarkozy continue de se taire… et pourtant il devrait parler, ne serait-ce que pour signifier à l’UMP de s’intéresser davantage à sa propre unité bien compromise plutôt qu’à l’inventaire de ses cinq années de gouvernance.
    Et ensuite renvoyer à leurs embrouilles et à leur primaire ses soi-disant collègues et imposer sa volonté en s’adressant aux militants qui souhaitent en très grande majorité sa présence en 2017.
    Ce n’est pas aux « guignols » de l’UMP de se pencher sur le bilan de son quinquennat, c’est à SARKOZY de l’établir en toute honnêteté… puisqu’il n’a plus rien à perdre électoralement.
    Dire ce qu’il n’a pas fait et aurait dû faire (la liste est longue)
    Dire ce qu’il a fait et qu’il n’aurait pas dû faire (la liste est longue également) 2017 ??
    Un duel Sarkozy/Marine Le Pen ou un affrontement Hollande/Marine Le Pen ??

    Au moins le choix serait clair et sans ambiguïté !!!
    http://www.francepresseinfos.com/

  • Qui sont les journaux les plus subventionnés ?

    La Cour des comptes a publié les aides que verse l’État à chaque titre. ‘Le Monde’ et ‘Le Figaro’ reçoivent les subventions les plus importantes. Mais c’est ‘L’Humanité’ qui reçoit l’aide au numéro la plus élevée.

    Mercredi 18 septembre, la Cour des comptes a publié un épais rapport sur les aides publiques à la presse écrite. Elle y dénonce notamment la transparence insuffisante de ces subventions, et réclame que le montant des aides soit publié pour chaque journal. Joignant le geste à la parole, les magistrats de la rue Cambon ont publié le montant des aides reçues par chaque journal.

    La liste, reproduite ci-dessous, recèle quelques surprises. Ainsi, on apprend que les deux journaux les plus aidés sont Le Monde et Le Figaro. C’est en partie logique, car ce sont les plus lus du pays. Mais le rapport montre que les quotidiens régionaux qui se vendent presque autant sont bien moins aidés. Ainsi, Sud Ouest reçoit trois fois moins d’aides. Inversement, Ouest France, dont la diffusion est deux fois plus élevée que celle du Monde et du Figaro, touche autant de subventions qu’eux

    Tous les journaux ne sont pas égaux

    La Cour des comptes effectue aussi un autre calcul: elle rapporte le montant des subventions au tirage du journal. Elle aboutit ainsi à un classement totalement différent. Selon ce critère, le journal le plus subventionné est L’Humanité (48 centimes d’euro par exemplaire), suivi de La Croix (32 centimes), Télérama (29 centimes), Le Nouvel observateur (29 centimes), Libération (27 centimes), Pèlerin (24 centimes) et l’Express (23 centimes).

    Pour expliquer ces résultats, il faut comprendre que les journaux ne sont pas égaux entre eux face aux subventions. Certaines bénéficient d’aides auxquelles d’autres n’ont pas accès. Une des principales critiques de la Cour est justement la mauvaise répartition de ces aides, que le rapport propose de modifier. Revue de détail.

    1-les aides aux magazines de divertissement

    La quasi-totalité de la presse (8.799 publications) a droit à une TVA super réduite (2,1%) et à des tarifs postaux préférentiels. Ces deux aides sont celles qui coûtent le plus cher: respectivement 270 et 249 millions d’euros prévus au budget 2013.

    Pour cela, il suffit d’obtenir un agrément de la part d’une commission. Mais “les conditions légales d’octroi de cet agrément sont assez peu restrictives“, pointe la Cour.

    Ceci permet aux magazines de divertissement de bénéficier eux aussi de subventions, à côté de la presse d’information politique et générale. Selon le rapport, “les magazines de télévision apparaissent particulièrement aidés, avec une aide de 4 à 10 centimes par exemplaire” -chiffre qui n’inclut pas la TVA réduite.

    Pour la Cour, “la presse magazine demeure rentable, alors que les résultats des quotidiens nationaux sont proches de l’équilibre, voire déficitaires“. Or “le soutien aux familles de presse économiquement viables ne se justifie pas“.

    Conclusion: “le soutien de l’État à des familles de presse économiquement rentables et présentant peu ou pas d’enjeux en termes de pluralisme paraît de moins en moins se justifier, a fortiori pour les deux mesures les plus coûteuses“.

    Le rapport propose donc de réserver ces subventions à la presse d’information politique et générale, et rappelle au passage que c’était le cas pour la TVA entre 1977 et 1989.

    2-les sites internet

    En 2009 a été créé un fonds d’aide aux services de presse en ligne (Spel), qui a distribué depuis 10,9 millions d’euros, dans des conditions critiquées par la Cour.

    Ainsi, ce fonds a accordé 68.464 euros de subventions à surfsession.com, 18.018 euros à moto-net.com, 53.573 euros à hoteletlodge.fr, 7.070 euros à lemondedusurgele.fr, 33.167 euros à pharedere.com (site sur l’actualité locale de l’île de Ré), ou 14.020 euros à frequence-sud.fr (guide des festivals des régions méridionales). “Des magazines de grands groupes qui, a priori, ne connaissent pas de difficultés particulières figurent parmi les bénéficiaires, tels les sites lejdd.fr (138.703 euros) et parismatch.com (57.390 euros) du groupe Lagardère”, pointe le rapport.

    En clair, la Cour estime que ce fonds n’est pas suffisamment ciblé sur la presse d’information politique et générale, qui n’a représenté que 60% des aides distribuées en 2011.

    Pour ne rien arranger, “le champ d’intervention était très large. En effet, les aides pouvaient concerner des dépenses d’exploitation telles que les rémunérations des journalistes concernés par les projets”.

    3-les journaux d’opinion avec peu de publicité

    Un fonds pour aider les quotidiens nationaux d’information politique et générale à faibles ressources publicitaires a été créé en 1986. En 2013, il devait distribuer 9,2 millions d’euros.

    Le principal bénéficiaire est l’Humanité (3 millions d’euros en 2011), suivi de La Croix (2,9 millions) et Libération (2,9 millions). Mais il y a aussi Présent (260.183 euros), qui reçoit la subvention la plus importante par exemplaire (31,2 centimes). Cette aide représente 27% des ressources du le quotidien d’extrême droite. Enfin, les derniers bénéficiaires sont les quotidiens pour la jeunesse Mon Quotidien, Le Petit Quotidien, et L’Actu.

    Selon le rapport estime, ces subventions sont attribuées de manière “incohérente”. En effet, l’aide n’est pas modulée en fonction du tirage, ni des recettes publicitaires encaissées, qui sont parfois non négligeables (22,5% des ressources totales pour Libération). “Une réforme complète de ce mécanisme paraît s’imposer“, conclut le rapport.

    4-l’acheminement du ‘Monde’ en province

    Enfin, il existe une aide au transport des journaux par la SNCF, qui représente 4,5 millions d’euros dans le budget 2013. Selon le rapport, Le Monde “est le principal bénéficiaire“, avec 3,9 millions d’euros d’aide par an en moyenne.

    Mais la Cour précise que “le ministère de la culture a d’ores et déjà décidé de supprimer cette aide“. Son montant décroît déjà régulièrement chaque année (il était de 7,3 millions d’euros en 2006).

    Notes: Subventions reçues par les journaux (en millions d’euros)

    LE MONDE 18,4

    LE FIGARO 17,2

    OUEST FRANCE 15,8

    LE PARISIEN & AUJOURD’HUI EN FRANCE 13

    LA CROIX 9,9

    LIBÉRATION 9,9

    TÉLÉRAMA 9,4

    NOUVEL OBSERVATEUR 7,8

    TÉLÉ 7 JOURS 7,3

    L’HUMANITÉ 6,8

    SUD OUEST 6,3

    L’EXPRESS 6,2

    NOUVELLE RÉPUBLIQUE DU CENTRE 5,6

    VOIX DU NORD 5,4

    PARIS MATCH 5,15

    DÉPÊCHE DU MIDI 5

    LES ÉCHOS 4,5

    LE POINT 4,5

    DAUPHINE LIBÉRÉ 4,5

    TÉLÉ STAR 4,45

    TÉLÉ LOISIRS 4,4

    DERNIÈRES NOUVELLES D’ALSACE 4

    BFM TV