Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 2380

  • Un militant de Troisième Voie agressé et laissé pour mort

    Anthony, un jeune militant du mouvement solidariste « Troisième Voie » a été assassiné à Argelès-Gazost dans les Hautes-Pyrénées.

    Ses agresseurs, environ une quinzaine d’individus, l’ont poignardé dans le dos.

    Serge Ayoub, le leader du mouvement « Troisième Voie », a exprimé ses « plus profondes et sincères condoléances ».

    Les agresseurs ont revendiqué leur acte par le cri d’ « antifa ».

    Nous présentons toute notre amitié et nos condoléances à la famille de notre camarade.

    Géraud Escorailles http://www.voxnr.com

    Nous avons appris de source officielle la bonne nouvelle à l’instant. Le jeune Anthony qui s’est fait agresser parce qu’il a le malheur d’aimer son pays et d’en être fier, Anthony qui s’est fait poignarder dans le dos par une bande de quinze lâches antifas a survécu à ses blessures. Les témoins horrifiés par l’importante flaque de sang l’ont cru mort. La joie de l’annonce de sa survie ne doit pas occulter l’agression avec arme qu’a subi notre camarade et je tiens dès à présent, à remercier personnellement toutes les personnes anonymes et militantes qui nous ont soutenu dans cette épreuve.

    12 mars 2013 Géraud Escorailles http://www.voxnr.com

  • Cérémonie des Bobards d’or 2013 : le 19 mars à Paris

    Découvrez ici la sélection 2013 des pires bobards des gros médias.

    La cérémonie sera retransmise en direct sur Conte-info.
    Elle aura lieu à 20h00, salle Athènes-Services, 8 rue d’Athènes 75009 Paris. Participation volontaire sur place. Pour s’inscrire, envoyer nom et prénom à contact@bobards-dor.fr

    http://www.contre-info.com/

  • En défense de Civitas

    Dans un papier nauséabond publié et mis en avant dans Le Plus du Nouvel Obs sous le titre « Civitas : nos impôts financent l’intégrisme et la haine. Il faut que cela cesse ! », l’auteur, manifestement un militant gauchiste, laisse transparaître sa vraie nature, celui d’un petit totalitariste haineux.

    Aujourd’hui, c’est Civitas qui en fait les frais : avec cette tribune et une pétition qui revendique plus de 10.000 signatures en moins de deux jours, il ne veut rien moins que d’empêcher les remises fiscales sur les dons qui lui sont alloués, affirmant que l’État n’a donc pas à financer « l’intégrisme et la haine ».

    On sait déjà que les gauchistes sont fascinés par l’Institut Civitas : des chapelets, des croix, des soutanes, des jeunes filles et jeunes hommes biens peignés, des vieux cathos, bref, toute la France qu’ils détestent, qu’ils vomissent même, et qui pourtant existe encore – et même de plus en plus, à voir les chapelles traditionnelles se remplir. La stratégie consiste à les soupçonner a priori, à interpréter leur comportement de façon à les présenter comme des provocateurs, des individus qui menacent la paix de la société et dépassent les limites admises. Une phrase résume tout cela : « Devons-nous encore une fois tolérer qu’un tel déferlement d’homophobie, d’intolérance et de haine puisse se tenir devant le Sénat, symbole de notre République laïque, égalitaire et fraternelle ? » [...]

    Vivien Hoch - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • A Dijon : "M. Hollande, elles sont où vos promesses ?"

    Ce n’est pas exactement le scénario qu’il espérait. François Hollande, en déplacement deux jours à Dijon pour renouer avec le terrain, a été interpellé dès son arrivée dans le quartier populaire des Grésilles, par des personnes mécontentes de sa politique.

    Ce n’est pas exactement le scénario qu’il espérait. François Hollande, en déplacement deux jours à Dijon pour renouer avec le terrain, a été interpellé dès son arrivée dans le quartier populaire des Grésilles, par des personnes mécontentes de sa politique. Tout avait pourtant été cadré par ses conseillers. Arrivée en train, déambulation parmi la population, dispositif de sécurité léger, la mise en scène vantée par l’Elysée n’était pas sans rappeler "l’homme normal" de la campagne présidentielle. Mais dès le début, l’ensemble sonne un peu faux. Parmi les gens présents, les trois quarts sont en réalité des militants socialistes, venus plaider la cause de M. Hollande, réclamant de la patience et de l’indulgence pour le gouvernement qui bataille avec la crise.

    A l’arrivée sur place du président de la République, la tension monte d’un cran. Des syndicalistes de Solidaires se sont notamment réunis "pour lui rappeler qu’il est socialiste". Plusieurs personnes lui lancent des reproches, l’accusant de "faire la politique du patronat", et de se soucier davantage de la guerre au Mali et du mariage pour tous que des problèmes quotidiens des Français. L’un d’entre eux crie : "M. Hollande, elles sont où vos promesses ?"

    La suite sur le site du Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net

  • Feue la démocratie, la « post-démocratie » est bien là

    Nous ne vivons plus en démocratie mais en « « post-démocratie » : tyrannie du droit, fin de la souveraineté, dénaturation de la citoyenneté, régime oligarchique et dictature des minorités s’imposent aux peuples et contre les peuples…


    Les Français ne vivent plus en démocratie mais en « post-démocratie » , comme de plus en plus d’Européens, d’ailleurs. La « post-démocratie »  emprunte les mots de la démocratie : on parle toujours d’élections, de Parlement et de République française. Mais la « post-démocratie »  prend le contrepied de la démocratie car elle programme la disparition de la souveraineté du peuple au profit d’un système oligarchique, qui vise à l’instauration d’un gouvernement mondial utopique.
    Depuis la fin de l’URSS et l’accession des Etats-Unis au rang de surpuissance mondiale, cette vieille utopie a libre cours car elle ne rencontre plus d’obstacles doctrinaux ; et aussi parce qu’elle sert les intérêts stratégiques américains (notamment pousser les pays à s’ouvrir au commerce international, empêcher l’Europe Puissance, contenir la Russie, etc.).

    La démocratie a été tuée par les idéologues libéraux

    Les vrais assassins de la démocratie ne sont pas les réactionnaires, les factieux ou les partisans de la dictature. Non : ils se recrutent parmi les partisans de la « société ouverte », de la « fin de l’histoire », du « doux commerce », des « droits de l’homme » et du « gouvernement mondial ». Car la « post-démocratie »  pousse jusqu’à ses ultimes limites la logique libérale initiale et pave notre enfer de plein de bonnes intentions affichées.

    L’utopie « post-démocratique » repose sur une anthropologie pessimiste et réductrice : pour éviter à l’homme de faire le mal, il faut lui ôter les moyens institutionnels d’agir sur ses semblables et promouvoir un ordre qui soit le plus axiomatiquement neutre ; il faut donc substituer le gouvernement des choses (économie, marché) au gouvernement des hommes.

    La politique, les frontières, les communautés et l’Etat sont mauvais pour l’homme, tel est le credo « post-démocratique ». Cette idéologie postule aussi que l’homme prélude à la société et dispose pour ce faire de « droits » propres, indépendamment et préalablement à toute organisation politique, voire à toute communauté et à toute famille.

    La « post-démocratie »  découle de l’esprit libéral, dans sa version anglo-saxonne. On ne peut, certes, exclure que les libéraux souhaitaient réellement, à l’origine, protéger l’homme des méfaits de la tyrannie – comme les fondateurs de l’Europe unie voulaient empêcher le retour de la guerre sur notre continent. Mais la morale des intentions ne suffit pas : le système qu’ils ont contribué à mettre en place déroule sa logique implacable.

    La tyrannie du droit

    L’affirmation de droits humains préalables à tout ordre social porte en elle en effet des conséquences politiques majeures : la suprématie du droit sur les lois, celle des juges sur les législateurs et finalement la remise en cause de toute souveraineté politique.

    Comme on le voit tous les jours, l’affirmation des droits de l’homme débouche sur la fin de la citoyenneté, puisque l’étranger – on dit « immigré » – en tant qu’homme dispose désormais des mêmes « droits » que le citoyen : prétendre le contraire reviendrait à le discriminer injustement. Les « droits » ainsi entendus ne garantissent plus vraiment contre la tyrannie, comme on le pensait à l’origine, mais deviennent un moyen de déstructurer tout ordre politique.

    En « post-démocratie »  le droit procédural supplante donc la loi : l’Etat de droit, comme on dit en novlangue, annonce le gouvernement des juges, celui que nos ancêtres justement récusaient.
    Le droit procédural est de nature libéral car il doit garantir la bonne exécution des contrats et non pas protéger la société. En « post-démocratie » , comme dans les films américains et pour les mêmes raisons, tout se termine donc au prétoire.
    Les juges s’arrogent le droit de censurer les lois ; on appelle cela le contrôle de constitutionnalité des lois : comprenez le contrôle idéologique des législateurs élus, par des juges non élus et qui revendiquent en outre le droit à l’inamovibilité et à l’impunité.

    Les anciens Grecs hausseraient les épaules si on leur disait qu’un tel régime est démocratique !

    Les valeurs contre la démocratie

    La « post-démocratie »  a hérité du puritanisme anglo-saxon, la mise en place d’un régime de prohibitions et de surveillance généralisé, avec la pénalisation des opinions ou des comportements dissidents (proscription des prétendues « phobies »…) et le retour des procès en sorcellerie : car avec les lois mémorielles et liberticides, les intentions cachées comptent désormais plus, face au juge, que les faits.

    En « post-démocratie »  on considère comme « démocratique » non pas un gouvernement issu d’élections libres et qui applique la politique voulue par la majorité des électeurs, mais un gouvernement qui respecte les « valeurs », c’est-à-dire l’idéologie dominante fondée sur le libéralisme, l’égalitarisme et le cosmopolitisme.

    Le gouvernement hongrois l’a appris à ses dépens : Bruxelles l’a placé au ban de l’Europe parce qu’il voulait réguler l’activité de sa banque centrale. Car en « post-démocratie » , les banques relèvent du sacré !

    Tous ceux qui contestent cette idéologie se retrouvent ainsi placés en dehors de la normalité, sinon de l’humanité. Car les puritains libéraux érigent leurs « valeurs » au rang de nouveau Décalogue !

    La haine des peuples

    Les premiers libéraux se méfiaient de l’Etat et de l’Eglise, qu’ils suspectaient de tyrannie. Mais la « post-démocratie »  a érigé en principe la suspicion à l’égard des peuples autochtones. Elle leur préfère les nomades, les migrants et les minorités.

    Le vote populaire n’est, en effet, un processus valide en « post-démocratie »  que s’il va dans le sens du politiquement correct.
    La démocratie ne se définit donc plus comme un processus mais comme un programme. Sinon on diabolise le vote en l’accusant de « populisme ». Car quand le peuple veut s’écarter du dogme libéral et cosmopolite, ceux qui haïssent la démocratie y voient la marque du populisme.

    On n’hésite pas non plus désormais à faire revoter le peuple jusqu’à ce que le résultat soit conforme (comme dans le cas de l’Irlande avec les traités européens) : car il ne peut y avoir d’alternative aux fameuses « valeurs ».

    Le plus simple en « post-démocratie »  consiste évidemment à ne tenir aucun compte de ce que souhaite la majorité des électeurs et à ne pas la consulter. L’élection ne sert plus qu’à donner une onction, un label, « démocratique », au pouvoir : mais elle ne sert pas à fixer un cap politique. Le peuple français a rejeté par référendum la constitution européenne ? Pas de problème : on la lui impose via le Traité de Lisbonne, ratifié par les parlementaires. Et puis, le mieux n’est-il pas de ne pas le consulter par référendum sur des sujets qui le concernent ?

    Le principe du consentement, qui fondait la démocratie en Europe et plongeait ses racines au plus profond de notre histoire, cède la place au principe de soumission (on ne doit pas remettre en cause les « valeurs » et ceux qui s’en réclament) comme base du nouvel ordre post-démocratique.

    La fin de la citoyenneté

    La démocratie suppose la participation et l’engagement des citoyens, leur « vertu » : leur désintéressement au service du bien commun et leur solidarité. Mais l’idéologie libérale a détruit tout cela depuis longtemps en le remplaçant par la valorisation du calcul égoïste et la promotion des droits créances, antithèse de la citoyenneté.

    On a aussi abandonné le principe majoritaire au profit de la loi des minorités, approche qui convient parfaitement à la petite oligarchie qui a pris le pouvoir. La « post-démocratie »  se résume à la protection des droits des « minorités », car ce levier peut se retourner ensuite contre la volonté de la majorité. On le voit bien, aujourd’hui, ce processus à l’œuvre dans le cas du mariage homosexuel ou de l’immigration clandestine, par exemple.

    Il s’agit, bien sûr, d’une logique de déconstruction individualiste de la démocratie, fruit naturel mais néanmoins amer de l’idéologie des droits de l’homme et du cosmopolitisme.

    La « post-démocratie »  correspond à un totalitarisme soft (« soft power », comme dit l’Union européenne) car elle repose sur la lente destruction de tout ce qui fonde l’identité, le libre-arbitre et la responsabilité de l’homme. Ce mouvement de destruction (on dit « déconstruction » en novlangue) vise à créer une société d’individus, donc un oxymore, une contradiction dans les termes. Car ces individus déracinés deviennent des atomes sociaux, des sujets et une ressource humaine pour l’oligarchie.

    Le gouvernement mondial relève aussi d’une démarche totalitaire qui revient fatalement à placer une partie de la population hors de l’humanité, car il n’y a pas de politique et donc pas de gouvernement sans une logique d’inclusion et d’exclusion.

    La « post-démocratie »  réalise ainsi les plus sombres prédictions de G. Orwell ou d’A. Huxley.

    L’Union européenne laboratoire de la « post-démocratie »

    La « post-démocratie »  ne se résume pas à une théorie, aussi fumeuse soit-elle. Elle entre aussi dans les faits : l’Union européenne en constitue le laboratoire.

    La dynamique de l’Union européenne repose en effet sur la dissolution progressive de la souveraineté des Etats-membres, mais sans la création en contrepartie d’un Etat fédéral voire confédéral. L’Union européenne se veut comme un anti-Etat qui a, certes, un drapeau mais pas de tête, pas de constitution, pas de gouvernement, pas de défense, pas de frontières, pas de citoyenneté : elle veut se définir seulement par ses « valeurs », c’est-à-dire par son idéologie.

    Cet ensemble n’a ni centre ni périphérie : des autorités non élues le régissent, que la majorité des Européens ne connaît pas, qui fixent des procédures contraignantes qui s’imposent à tous, dont les juges également non élus contrôlent l’application et que les parlements nationaux doivent seulement « transcrire ».

    L’Union européenne est un modèle de « post-démocratie »  où la souveraineté se dissout dans le néant et, avec elle, la liberté des Européens.
    Car il n’y a pas de démocratie sans libertés nationales, sans souveraineté et sans politique, donc sans limites.

    La « post-démocratie », symbole de la décadence européenne

    En « post-démocratie » , la démocratie, vidée de son sens, devient un spectacle virtuel : spectacle des élections, spectacle des fausses alternances, spectacle des fausses oppositions gauche/droite au sein d’une oligarchie interchangeable qui conduit sans faiblir le même programme. Car les politiques et les peuples autochtones ne décident plus rien : les marchés, les médias et les juges le font à leur place

    Il ne faut pas s‘étonner si ce spectacle du fantôme de la démocratie intéresse de moins en moins de spectateurs autochtones et si l’abstention politique s’accroît.

    La « post-démocratie »  apparaît de plus en plus comme une curieuse maladie occidentale, d’autant que le reste du monde – donc la majorité de l’humanité – ne se reconnaît pas du tout dans les lubies néolibérales. Le reste du monde s’efforce, au contraire, de retrouver identité, puissance et souveraineté. C’est d’ailleurs pourquoi il vit de mieux en mieux, pendant que le grand hôpital occidental s’enfonce dans le marasme.

    Les pays émergents font aussi de plus en plus obstacle à la toute-puissance américaine et ses « valeurs », tandis que l’islamisme s’affirme comme un universalisme concurrent. L’utopie libérale anglo-saxonne ne fait plus rêver l’humanité. Voilà une vérité que les cosmopolites de la rive gauche, petite minorité ridicule d’enfants gâtés, se gardent bien de révéler !

    La « post-démocratie »  suscite en outre une opposition croissante en Europe même, qu’accentue la persistance de la crise occidentale puisque, en réalité, les deux phénomènes découlent l’un de l’autre.
    Les peuples veulent en effet des Etats qui les protègent et non pas des ectoplasmes qui démontent les frontières et se soumettent aux banques et aux marchés. Ils veulent que l’on respecte leur volonté et leur identité aussi, au lieu de les diaboliser.
    La coupure entre pays réel et pays légal et entre peuples autochtones et oligarchies ne cesse donc de s’approfondir en Occident sur fond de montée des tensions ethniques.

    Vers la quatrième théorie politique ?

    En d’autres termes, la « post-démocratie » , loin de s’inscrire dans la marche triomphale du progrès mondial, peine de plus en plus à s’imposer. Cet échec résulte des principes erronés sur lesquels elle repose et aussi de l’arrogance de l’oligarchie occidentale, qui se croyait légitime à imposer sa vue du monde à toute la terre, au besoin par la guerre.

    Après l’échec du communisme, du fascisme et maintenant du néo-libéralisme cosmopolite occidental, toutes idéologies liées les unes aux autres, il y a besoin d’une nouvelle théorie politique, comme l’écrit l’essayiste russe Alexandre Dougine : une nouvelle théorie qui tienne compte de la vraie nature de l’homme, des vrais rapports entre les peuples et qui soit à son tour universelle, c’est-à-dire dans laquelle une majorité de peuples puisse se retrouver.

    Une nouvelle théorie dont on sent confusément déjà poindre les principales composantes d’une nouvelle Déclaration d’émancipation de l’humanité : droit des peuples à la souveraineté et au maintien de leur culture et de leur identité, égale dignité des cultures, gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple, soumission de l’économie au politique, solidarité des ensembles continentaux, refus de l’ingérence, régulation de l’immigration, primauté des lois, etc.

    A l’âge de la sinistre « post-démocratie » , la démocratie redevient une idée neuve en Europe.

    Michel Geoffroy
    11/03/2013

    http://www.polemia.com – 12/03/2013

  • Quand le mondialisme passe, l’emploi trépasse – par Pieter Kerstens

    Il y a déjà 15 ans, en mars 1997, la fermeture brutale de l’usine Renault à Vilvoorde en Belgique avait vu se profiler le consensus politique du lobby mondialiste. Depuis, les groupes Général Motors, Ford, Peugeot-Citroën ou Renault ont multiplié les fermetures de sites de fabrication et ce n’est pas terminé, étant donné que sur une centaine d’unités de production automobile en Europe, plus de 40 sont en surcapacité depuis de longs mois.
    Pour les élites politiques, il ne s’agit pas de vilipender la fermeture d’une usine, mais bien de stigmatiser hypocritement la manière inélégante, sans référence au monde ouvrier, des patrons de ces marques automobiles, MM Varain, Goshn & C°.
    N’oublions pas que depuis de très nombreuses années, les chefs d’États ou de gouvernements, les Chirac, Dehaene, Prodi, Zapatero, leurs copains de la Commission Européenne et leurs successeurs, ont été  les complices d’une politique d’ensemble qui s’est traduite par de larges et drastiques suppressions d’emplois, ainsi que par une atomisation des marchés nationaux au sein d’une conjoncture mondiale toujours plus contraignante. 
    Mais ce que ces valets du Nouvel Ordre Mondial ont réussi à nous cacher pendant des décennies éclate au nez et à la figure des peuples européens maintenant que la crise affecte profondément les familles et les structures de nos économies : le village mondial est une chimère et l’Organisation Mondiale du Commerce (ex-Gatt) l’instrument du bradage de produits de mauvaise qualité vendus à vil prix… dont le résultat est le chômage en Europe !
    Semaine après semaine, mois après mois, les travailleurs se rendent compte que « l’Europe du bien-être et de la prospérité », vantée par  les charlatans qui nous gouvernent depuis plus de 30 ans, n’est qu’un vaste leurre et bien évidemment que notre avenir et celui de nos enfants sera loin d’être rose. Bien au contraire, ces imbéciles aux commandes s’obstinent à gaspiller les deniers publics dans de fumeuses politiques « sociétales » et de « solidarité » afin de capter le vote de clients/électeurs qui seraient redevables de ces prébendes, pour les maintenir plus tard dans leurs fonctions rémunératrices.
    Pour ces saltimbanques de la gestion à courte vue, l’austérité ou la rigueur sont des anathèmes, des « provocations », des « insultes » aux travailleurs, bref en d’autres termes, inadéquats et impensables pour redresser la barre des finances publiques mises à mal par leur faute. Pourtant, ce sont quand même ces pourriticards et ces socialauds-humanistes qui ont conduit nos économies au fond du gouffre financier où nous sommes aujourd’hui. Ils ont et ont toujours eu la faculté  d’imposer, à temps, des mesures drastiques et certes impopulaires, mais  indispensables au redressement des entreprises nationales ou européennes.
    Il n’est pas trop tard pour tenir un langage de vérité ni pour sauver l’essentiel des structures sociales dans les pays européens, encore faudra-t-il trouver un certain courage politique pour éviter une catastrophe. En effet, peut-on refuser l’austérité pour favoriser la facilité ?
    En 1860, Abraham Lincoln déclarait devant le Congrès américain : «  Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur. Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. »

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Madone des sans-papiers, Duflot les loge à l'hôtel

     
    S
    elon la presse, l'hébergement d'urgence dans la seule Ile-de-France serait réservé entre 80 et 95 % à des étrangers en situation irrégulière. Duflot loge les clandestins dans des Hôtels à 150 euros… De plus, parce qu’ils refusent de « souiller » une mosquée on les met dans les Églises!
    Cela coûterait annuellement 410 millions d’euros, et Duflot réclame un plan d’urgence supplémentaire de 50 millions d’euros. Entre autres bonne idées, la Ministre du Logement suggère de régulariser les 8000 clandestins, ce qui, paraît-il, leur donnerait accès plus facilement à des logements sociaux. On croit rêver !!!¢
    Sur le sujet, voir aussi les articles du Gaulois

  • Nouveau reportage russe : « Dans 23 ans, la Ve République sera musulmane ! »

    La télévision russe revient sur l’islamisation de la France. Extraits tirés de la vidéo ci-dessous :

    « Ici, une personne sur cinq est musulmane. Dans cette course démographique, l’islam a depuis longtemps vaincu l’Europe ! En général, les Français de souche ont un enfant par famille, alors que les musulmans en ont cinq ! »

    « A ce rytme-là et d’après les sociologues, dans 23 ans, la cinquième république sera musulmane, les Français n’auront plus qu’à se résigner ! »

    « En France, il y a 2.200 mosquées, qui occupent une surface de 300.000 m². Selon l’évaluation du conseil des musulmans de France, chaque musulman a besoin d’au moins un mètre carré pour l’accomplissement des rites religieux, ce qui signifie qu’il faudra multiplier par deux le nombre de mosquées. »

    http://www.contre-info.com/

  • Récidive : les fauves sont relâchés

    Assassin d'Anne-Lorraine Schmitt, Thierry Devé-Oglou aurait dû se trouver en prison à l'heure où il a tué la jeune fille. Cette affaire emblématique repose le problème de la récidive et des réductions de peine.

    Le 15 décembre dernier, Thierry Devé-Oglou a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une peine de sûreté de 22 ans. Le 25 novembre 2007, dans une rame de RER, cet homme de 44 ans avait assassiné de 34 coups de couteau, faute de parvenir à la violer, Anne-Lorraine Schmitt, une étudiante de 23 ans. Le meurtrier avait été appréhendé d'autant plus rapidement que cette jeune femme courageuse l'avait blessé en se défendant. Devé-Oglou est un récidiviste : en janvier 1995, toujours dans une rame de RER, il avait déjà violé une autre jeune femme après l'avoir blessée d'un coup de couteau à la main. « Il n'avait aucune pitié. J'avais une bombe en face de moi », témoignera celle-ci au procès de l'assassin d'Anne-Lorraine. Pour ce premier crime, l'homme fut condamné à cinq ans de prison, dont deux avec sursis. Par le jeu de remises de peine, il n'en fit que deux ...

    Après la condamnation du meurtrier de sa fille, le père d'Anne-Lorraine, le général Philippe Schmitt, a déclaré : « C'est une piètre victoire, mais il y aura désormais une personne dangereuse de moins dans les rames du RER D. » Pour combien de temps ? Vingt-deux ans, au moins, puisque telle est la durée de la peine de sûreté, réputée incompressible ? Ce n'est même pas sûr. Dans un livre intitulé « Plaidoyer pour les victimes », réalisé en collaboration avec Alain Bisbau, Me Marcel Normand, avocat honoraire qui fit une brillante carrière au barreau de Paris, écrit : « les peines de sûreté sont réputées, elles, incompressibles, irréductibles. Or, il suffit de lire attentivement les textes en cette matière pour constater que ces fameuses peines de sûreté sont elles-mêmes réductibles. Ce qui signifie que finalement, lorsque les jurés d'une cour d'assises prononcent une peine dite de perpétuité ou de sûreté, ils ignorent quelle sera finalement la durée réelle d'exécution de ces condamnations. »

    Le mécanisme des peines plancher, introduit en 2007 par le législateur en raison notamment de la multiplication des crimes perpétrés par des récidivistes, n'y change rien et souligne au contraire l'ambiguïté de la situation actuelle : le juge se voit imposer, pour certains délits, une peine minimale, sous laquelle il ne peut pas descendre (15 ans pour les crimes passibles de la perpétuité). Mais la « peine plancher » elle même fait systématiquement l'objet d' aménagements et de réductions de peine...

    Combien de victimes seraient encore vivantes ?

    Ainsi Pierre Bodein, multirécidiviste condamné en première instance, en 1994, à 30 ans de prison avec une période de sûreté de 18 ans pour avoir violé une jeune femme et grièvement blessé un policier, peine réduite à 28 ans par la cour d'appel puis à 20 ans par la Cour de Cassation, fut libéré le 14 mars 2004 par le jeu des remises de peine automatiques et placé en liberté conditionnelle. Ce qui lui permit, entre les mois de juin et de juillet de la même année, de violer et de tuer dans des conditions atroces une jeune femme, Hedwige Vallée, une petite fille de 10 ans, Jeanne-Marie Kegelin, et une adolescente de 14 ans, Julie Scharsch.

    Ainsi aussi, Michel Fourniret incarcéré en mars 1984 et condamné en juin 1987 à 5 ans de prison pour une dizaine de viols et d'agressions sur mineurs, fut relâché en octobre de la même année en raison des trois ans de préventive effectués et par le jeu des remises de peine, et put commettre deux mois plus tard, sur une lycéenne, Isabelle Laville, le premier d'une longue série de meurtres.

    Ainsi encore, Manuel Da Cruz, récidiviste condamné à 11 ans de prison en 2002 pour le viol d'une fillette de 13 ans, libéré en 2007 sous condition, ayant fini de purger sa peine en 2008 par le jeu des réductions de peine, est présumé avoir enlevé, violé et tué, près de Milly-la-Forêt, en septembre, Marie-Christine Hodeau.
    Les exemples abondent, hélas. Combien de victimes seraient-elles encore vivantes, si les criminels avaient effectué l'intégralité de la peine à laquelle les avait condamné le tribunal ?

    À quel âge Devé-Oglou sera-t-il libéré ? Au reste, que faire de ces fauves, qui, derrière les barreaux, se conduisent en général en prisonniers modèles ?

    Le magistrat avait perdu son pari...

    Au lendemain du meurtre de Natacha Mougel, tuée en septembre 2010 par Alain Pénin, récidiviste condamné en 2006 à dix ans de prison pour un viol, Michelle Alliot-Marie, garde des Sceaux, avait suggéré, dans une tribune donné au Monde, une réforme de la libération conditionnelle prévoyant entre autres choses d'associer des jurés populaires aux décisions de liberté conditionnelle et de procéder à des périodes de libération probatoire avec placement sous bracelet électronique avant de décider d'une libération totale en cas de succès.

    Mais en cas d'insuccès ? Le projet de Michelle Alliot-Marie rappelle celui d'un représentant du parquet ayant consenti à la libération d'un criminel qui avait récidivé, et qui déclarait pour se justifier : « Libérer un condamné qui a déjà accompli une part essentielle de sa peine est un pari que nous devons faire dans l'intérêt de l'humanité. » Sur quoi Me Normand. qui rapporte le fait dans son livre « Plaidoyer pour les victimes », conclut : « Dans le cas d'espèce, le magistrat, lui, avait perdu son pari mais la nouvelle victime avait perdu la vie. »

    MAM n'avait pas osé ou voulu proposer d'en finir tout simplement avec les réductions de peine automatiques et les libérations conditionnelles des criminels sexuels. Un mois après le meurtre de Marie-Christine Hodeau, elle s'était déjà attirée les foudres des bien-pensants en proposant de faire de la castration chimique volontaire une condition de la libération. Elle a finalement quitté la place Vendôme, laissant sa place à Michel Mercier, sans que ces vertueux projets aient vu le jour.

    S'ils l'avaient vu, ils n'auraient par ailleurs constitué qu'un début de solution en aval ; en amont, la meilleure des préventions consisterait sans doute à éliminer les facteurs déclenchant du crime, que notre société - soit dit sans atténuer la responsabilité des criminels - encourage trop souvent. Peu avant de tuer Anne-Lorraine Schmitt, Thierry Devé-Oglou avait visionné un film pornographique.
    Hervé Bizien monde & vie 8 janvier 2011

  • De la pédophilie à l’ "homoparentalité"... Un même combat ? En tout cas, de mêmes combattants !

    Quand Libé, Le Monde et la gôche morale défendaient la pédophilie

    A la fin des années 70, les mêmes bien-pensants progressistes qui soutiennent actuellement la loi pour l’homoparentalité, le mariage homo et la PMA (procréation médicalement assistée), défendaient, au nom de la liberté, de l’égalité et contre les vilains réactionnaires, la pédophilie.

    24heuresactu a retrouvé les signataires et leurs revendications concernant la sexualité avec les enfants. Quand l’histoire se répète.

    Libération, le Nouvel Obs, Le Monde, le PS : tels sont les actuels défenseurs des lois prométhèennes sur la négation de l’altérité via l’homoparentalité. En 1977, c’étaient déjà les mêmes qui signaient des pétitions pour soutenir la pédophilie, au nom de la liberté et du progrès. On ne change pas une équipe qui gagne !

    Les leçons de morale sont toujours les mêmes : seuls les obscurantistes, les réacs, les fachos peuvent vouloir ralentir l’inéluctable chemin vers la modernité, le progrès, le lucre, et la jouissance sans entrave.

    Ainsi, Le Monde publiait, le 26 janvier 1977, une célèbre lettre ouverte aux Parlementaires, relayée, évidemment, par Libération, pour défendre dans « l’affaire de Versailles », 3 hommes qui étaient accusés de pédophilie, pour avoir couché avec des mineurs et pris des photos de leurs intimités. Les intellectuels progressistes parisiens s’étaient émus de cette entrave à la jouissance et à la consommation du corps. Comment une société peut-elle être heureuse si l’on fixe des limites morales au plaisir sexuel ?

    Le texte ignoble précisait ainsi que les enfants étaient « consentants », avant d’aller encore plus loin dans le progrès sociétal : « Si une fille de 13 ans a droit à la pilule, c’est pour quoi faire ? » et « trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit ». Ça a le mérite d’être clair ! Voici donc la liste des 60 signataires de cette pétition, qui font quasiment tous partie des fervents défenseurs du mariage pour tous et qui continuent à militer, sans honte, pour la marchandisation du corps. On y retrouve évidement toutes les idoles de nos bons vieux bobos soixante-huitards et quelques socialistes devenus ministres entre-temps. Une liste à garder en mémoire :
    - Alain Cuny
    - André Glucksmann
    - Anne Querrien [...]

    La suite sur 24heuresactu

    http://www.actionfrancaise.net