Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 2382

  • Livre : Mourir pour Sarajevo, de Maya KANDEL

     

    Un conflit qui oppose une armée à des civils, l’ONU paralysée par ses divisions, le monde entier saisi d’effroi face au drame des réfugiés et à la mise en œuvre du « nettoyage ethnique »… C’était la dernière guerre européenne du XXe siècle, conséquence sanglante de la chute du mur de Berlin et jalon essentiel pour comprendre les débuts de l’après-Guerre froide.

    Vingt ans après, Maya Kandel de voile les dessous de la guerre de Bosnie et de l’intervention américaine. L’histoire d’une paralysie européenne qui marque aussi l’apogée de l’« effet CNN », avec la diffusion des images de camps de prisonniers et le parallèle avec l’Holocauste pour mobiliser les opinions publiques. Une guerre d’un genre nouveau, soulignant le poids des lobbies américains, l’implication des cabinets de relations publiques au service de chacune des parties, de Milosevic a Tudjman, le rôle des organisations juives américaines aux cotés des musulmans de Bosnie…

    Après trois années de tergiversations et de massacres, les Américains vont recourir aux vieilles méthodes pour renverser la situation : faire la guerre aux Serbes par Croates interposés. Sur la base d’archives inédites, Maya Kandel révèle qu’en 1994, pour contourner l’embargo onusien, Clinton donne son feu vert aux livraisons secrètes d’armes iraniennes et turques aux Croates puis aux Bosniaques.

    Un décryptage historique à rebours des interprétations dominantes sur la désintégration de la Yougoslavie.

    Prologue écrit par le colonel Michel GOYA (IRSEM).

    Editions du CNRS, 384 pages, 25 €

    L’auteur

    Docteur en histoire de l’Institut d’Études politiques de Paris, Maya Kandel est également diplômée de Columbia University, chargée d’études à l’Institut de Recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM) et chercheuse associée au sein de l’Observatoire de la Politique américaine de l’université Sorbonne Nouvelle (Paris 3)

    http://theatrum-belli.org

  • Aile gauche du PS : vers un rapprochement avec l’extrême gauche

    À quelques heures de la motion de censure contre le gouvernement, sous l’appellation « Maintenant la Gauche », l'aile gauche du PS a pressé hier Jean-Marc Ayrault d’« annoncer au plus vite un grand plan de relance de croissance et de l'emploi", invitant le Premier ministre à engager « le tournant de la relance ».

    Jean-Marc Ayrault doit « annoncer au plus vite un grand plan de relance de croissance et de l'emploi fondé sur un programme accéléré d'investissements publics et industriels, sur des mesures d'amélioration du pouvoir d'achat et une réforme fiscale d'envergure », écrit « Maintenant la Gauche », dont les principales personnalités sont Emmanuel Maurel, Marie-Noëlle Lienemann et Jérôme Guedj.
    « Il est urgent de sortir du dogme paralysant de la réduction accélérée des déficits publics à 3%. Différer d'un an cette échéance revient à +reculer pour mieux sombrer+ », poursuit leur communiqué.
    Évoquant la riposte du Premier ministre à la motion de censure des partis de droite, mercredi après-midi, « Maintenant la Gauche » considère qu'il « est essentiel que Jean-Marc Ayrault dénonce d'une part les graves conséquences de leurs décisions passées, de leurs choix européens et nationaux mais aussi qu'il engage le tournant de la relance, une politique économique vraiment différente ».
    Emmanuel Maurel, Marie-Noëlle Lienemann et Jérôme Guedj ont ainsi manifesté leur vive inquiétude, lors de la réunion du Bureau national du PS, mardi soir, devant les « prévisions désormais concordantes et répétitives qui annoncent une croissance quasi-nulle et une forte hausse du chômage cette année ».
    Une « Assemblée des gauches et des écologistes », en présence notamment de Marie-Noëlle Lienemann, de Jean-Vincent Placé (EELV) et Pierre Laurent, le numéro un du PCF, se réunira lundi soir prochain à l'Assemblée nationale pour dénoncer les reculs sociaux que présentent, selon les organisateurs du forum, l'accord national interprofessionnel signé en janvier entre partenaires sociaux et qui va faire l'objet d'un projet de loi soumis prochainement aux députés.
  • Manif pour tous : des manifestants forcent les barrages pour aller sur les Champs-Elysées

    Manif pour tous : des manifestants forcent les barrages pour aller sur les Champs-Elysées

    PARIS (NOVOpress) - A l’instant, on apprend que des manifestants veulent forcer les barrages de police et de gendarmerie pour accéder coûte que coûte aux Champs-Elysées pour autant interdits aux partisans de la Manif pour tous.

    http://fr.novopress.info

  • Irak, l’ombre de la guerre

    Anne Nivat, grand reporter de guerre indépendante, nous plonge au cœur de la société irakienne. Auteur de nombreux livres sur la question, elle est retournée en Irak cette fois avec une caméra pour retrouver certains de ses amis. Pendant dix ans, elle avait appris à les connaître en partageant leur quotidien, même au plus fort de la guerre. Toujours seule, sans autre protection que celle des familles qui l’accueillaient, Anne Nivat est restée volontairement discrète, par respect pour ses hôtes et pour ne pas devenir une cible.

    Une mère, un pharmacien, un prêtre, un ancien amiral déchu de l’armée de Saddam Hussein, osent pudiquement témoigner. Dix ans après l’entrée en guerre des Américains, un an et demi après le départ des derniers soldats étrangers, on se rend compte que la guerre en Irak n’est pas vraiment terminée.

    http://theatrum-belli.org/

  • Accablant ! Quand Sophie Coignard dénonce, sur France info "L'oligarchie des incapables"....

           Pas "tous pourris", mais le Système, lui, est pourri jusqu'au trognon.....

           Réveillle-toi, Saint-Just, toi qui a cru que tu allais régénérer la France "sur un monceau de cadavres", et regarde ta créature, deux siècles après : elle est tout simplement le contraire de régénérée : elle est, tout simplement, pourrie.....

            Nous sommes sur France info, ce jeudi 5 janvier : Sophie Coignard dénonce "L'oligarchie des incapables" (qu'elle a écrit avec Romain Gubert), c'est-à-dire le Système, notre Système.....

    (Attention : patientez une minute vingt et supportez le Bulletin météo qui, pour une raison qui nous échappe, nous est imposé au début de cette vidéo...)


    Sophie Coignard : « L’oligarchie des incapables » par FranceInfo

    sophie coignard,l'oligarchie des incapables

    Albin Michel, 300 pages, 20 euros

    Ils monopolisent les postes les plus importants, cumulent les privilèges et font de l'argent leur principale passion. 
    Ils se servent de l'Etat pour aider leurs amis, fabriquent des lois sur mesure pour leur bon plaisir et laissent le pays aux mains de bandes rivales. 
    Patrons, hauts fonctionnaires, élus ou experts, ces oligarques nous gouvernent avec un mélange d'incompétence et de lâcheté.

    Sophie Coignard, co-auteur de L'Omertà française, dont les enquêtes font trembler le monde politique, et Romain Gubert, journaliste au Point, nous révèlent vingt ans de compromissions et d'affaires cachées qui ont permis à une caste de maintenir son règne malgré ses échecs répétés. En toute impunité.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com

  • Intégrisme économique : La grande illusion

    Une tentative de remise en cause du modèle idéologique dominant de croissance.

    Mauvaise nouvelle : le Père Noël n’existe pas. Et puisqu’on en est aux vérités qui fâchent : la croissance ne repartira pas. A l’origine de cette annonce à contre-courant des promesses officielles : Olivier Berruyer. Un spécialiste des chiffres et des risques, actuaire de son état – autrement dit expert en risque financier – créateur d’un blog économique, les-crises.fr – totalisant 200 000 visiteurs mensuels et auteur de deux livres sur les crises et leurs origines qui, il y a quelques années, entreprend une vaste démarche de recherche sur la base d’un désir impérieux. “Comprendre ce qui s’était passé” – en 2008 et avant cela, en 1971 et en 1929.

    Rapidement, il en retire une certitude : les mécanismes menant aux crises économiques tout comme ceux permettant leur résolution ne tiennent ni du hasard, ni du miracle. Uniquement d’une accumulation de faits. Ceux-là mêmes qu’il a passé près de deux ans à amasser dans les bases de données économiques mondiales – celle de la BCE, de la Fed, de la Banque mondiale… – avant de les réunir dans ce qu’il appelle “une photographie d’ensemble”.

    …“Les décideurs envisagent systématiquement les questions économiques selon un angle mathématique, explique-t-il. Avec la conviction qu’elles sont régies par des vérités absolues.” Résultat : les modèles économiques reposent sur des hypothèses de base erronées, parmi lesquelles celles voulant que les marchés soient efficients, que leurs acteurs disposent tous des mêmes informations, soient intègres…

     

    Une vaste démonstration qui présente le double avantage de la simplicité – des centaines de graphiques donnant littéralement à voir les différents facteurs de la crise – et de la mise en perspective. Car pour Olivier Berruyer, pas question de cantonner l’investigation au seul champ économique. C’est l’ensemble des facteurs – démographiques, politiques, sociétaux, historiques même – ayant contribué à l’émergence du phénomène qui l’intéresse. Ceux qui, regroupés dans un “même espace d’analyse”, offrent une vision globale de la réalité ; hors positions de principe et “hypothèses de base” erronées.

    Tâtonnement pragmatique

    Un travail pour lequel, selon lui, un économiste pur et dur n’est pas nécessairement le plus qualifié.

    “Un économiste est un type brillant qui se passionne pour les équilibres parfaits, résume-t-il. Quelqu’un doté d’une vision étroite et pointue. Or pour comprendre la crise, il faut l’appréhender sans religion attitrée. Il faut du recul. Un angle de vue aussi large que possible.”

    Tout l’opposé, en clair, de l’approche de dirigeants politiques comme de leurs experts économiques qui, selon lui, restent prisonniers de schémas figés et surtout, dangereusement dépassés.

    Les décideurs envisagent systématiquement les questions économiques selon un angle mathématique, explique-t-il. Avec la conviction qu’elles sont régies par des vérités absolues.” Résultat : les modèles économiques reposent sur des hypothèses de base erronées, parmi lesquelles celles voulant que les marchés soient efficients, que leurs acteurs disposent tous des mêmes informations, soient intègres…

    En réalité l’économie est l’interaction d’une multitude de facteurs dont certains, comme la confiance et tout ce qui a trait à l’humain, ne sont pas rationnels”, souligne-t-il. C’est pour capter cette multiplicité d’influences qu’Olivier Berruyer décide il y a quelques années de “travailler autrement”. Sans hypothèse de base mais “en tâtonnant de façon pragmatique”.

    Autrement dit, en explorant toutes les pistes, de la dégradation de la dette publique à l’augmentation des inégalités en passant par l’évolution de la participation électorale, du PIB, ou encore de la population mondiale. Une démarche de chercheur, rigoureuse et exhaustive, menée dans un objectif : comprendre ce qui fait la croissance et surtout son ralentissement amorcé au lendemain des Trente Glorieuses et poursuivi depuis au rythme moyen d’un point par décennie.

    L’idéologie de la croissance

    A l’origine de ce mouvement inéluctable, une série d’orientations stratégiques malheureuses. Mises en évidence par l’accumulation et la mise en perspective de données chiffrées, elles consisteraient, selon lui en une succession de choix politiques – en faveur de la finance, de la dérégulation, du court terme…, qui, privilégiés dans le but de relancer la croissance, auraient fini par lui porter atteinte en “contaminant l’économie réelle”.

    “Voilà des décennies que les politiques fondent leurs décisions sur une conviction : celle selon laquelle la croissance reviendra, ce qui n’est évidemment pas le cas étant donné qu’on est désormais dans une économie de services”, résume celui qui voit dans l’acharnement des gouvernements à prétendre le contraire une démarche relevant moins de la science économique que de l’idéologie politique. Idéologie qui, selon lui, explique nombre de nos difficultés actuelles, à commencer par l’augmentation des déficits budgétaires et d’explosion de la dette. Car au lieu de s’interroger sur la façon de “faire tourner l’économie sans croissance”, regrette-t-il, on a préféré parier, dès le milieu des années 80, sur l’avènement d’une économie financière.

    Apte à relancer la croissance à court terme, certes, mais pas à la pérenniser, bien au contraire. “Pendant dix ans il est vrai que la finance a créé de l’activité et des profits disproportionnés, reconnaît-il ; mais ceux-ci n’ont eux-mêmes créé aucune richesse et pendant ce temps-là l’économie réelle survivait par endettement.” Preuve de la fracture : en 2007, le poids des opérations spéculatives menées chaque jour sur la planète atteint 3210 milliards de dollars alors que celui des exportations ne dépasse pas 64 milliards.

    L’illusion de la relance

    Pour Olivier Berruyer, cette disproportion explique beaucoup : le poids de la finance – écrasant – sur le politique, la disparition de visées collectives comme de toute approche à long terme… Des dérives qui, rappelle-t-il, existaient déjà en 1929 : “Le politique le sait et pourtant, il n’a rien fait pour réguler la finance. Pour rétablir les équilibres.” Une aberration qui, selon lui, s’explique une fois encore par un choix idéologique. Celui consistant à vouloir “relancer la croissance par la finance” et pour cela, à parier sur un modèle dérégulé. “Or le passé l’a prouvé : maintenir les équilibres exige un cadre normatif, assène-t-il. On ne peut obtenir de croissance à long terme dans un système dérégulé.

    Une réalité rendue illisible par ce qu’Olivier Berruyer appelle “l’intégrisme économique et politique” de l’époque. Celui qui interdit de “penser hors croissance et persiste dans cette hypothèse de base erronée selon laquelle la relance est pour bientôt”. Un mirage qui a déjà mené à l’effondrement de 2008 et provoquera inéluctablement d’autres séismes, il en est convaincu. “Pour l’heure le système de dette publique maintient les équilibres de façon artificielle et permet à l’illusion d’une relance prochaine de perdurer, explique-t-il.

    Mais le fait est qu’après l’explosion de la croissance qui a caractérisé les Trente Glorieuses et l’explosion de la dette qui a caractérisé les trente années suivantes, il devient impératif d’inventer autre chose car désormais nous ne pouvons plus miser sur aucun de ces ressorts.” Reste à penser un autre modèle économique ; sans croissance ni dette. Autrement dit, à renoncer au “confort du toujours plus”. Chiche ?

    Le nouvel Economiste  http://fortune.fdesouche.com

  • Cette semaine un vrai festival judiciaire pour l’UMPS

    PARIS (NOVOpress/Bulletin de Réinformation)Le 25 février dernier, Jérôme Cahuzac, Ministre délégué au Budget, déclarait sur iTélé : « (…) la stabilité fiscale impose de trouver six milliards d’euros. On les trouvera dans les poches des uns et des autres, de tout le monde (…) ». Cahuzac qui entendait ainsi, sans état d’âme, faire les poches des Français de toute condition, est depuis mercredi sous le coup d’une information judiciaire du Parquet de Paris pour “blanchiment de fraude fiscale”. Alors qu’il envisageait très sereinement de demander toujours plus d’efforts à nos compatriotes qui croulent déjà sous les impôts et les taxes, c’est au contraire la larme à l’œil qu’il a démissionné.

     

    Parallèlement à cette affaire, qui devrait inciter de nombreux Français à participer à la manifestation monstre de demain dimanche sur l’avenue de la Grande Armée, les révélations de notre confrère Minute sur la lourde condamnation passée pour trafic de drogues, d’André Loncle, l’actuel chef du service audiovisuel de la présidence de la République, jettent un nouveau pavé dans les “affaires” socialistes. Le président Hollande avait fait la promesse solennelle: « Je n’aurai pas autour de moi à l’Elysée des personnes jugées et condamnées. » !

    Côté UMP, le tableau n’est guère plus reluisant…

    Christine Lagarde est en effet dans le collimateur des juges de la cour de justice de la république (CJR), l’instance habilitée à juger les ministres pour des actes dans l’exercice de leurs fonctions. Des policiers se sont rendus mercredi chez la patronne du FMI afin d’y mener une perquisition dans le cadre de l’enquête sur le rôle de l’ex-ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy dans l’arbitrage litigieux sur la vente d’Adidas qui a permis au multirécidiviste Bernard Tapie d’empocher 400 millions d’euros. Le volet ministériel de l’enquête, ouvert en août 2011 par la CJR pour “complicité de faux et de détournement de fonds publics”, vise nommément Mme Lagarde

    Et l’ex-président de la République vient d’être mis en examen avant-hier dans l’affaire Bettancourt…

    C’est dans la plus grande discrétion que M. Sarkozy a été interrogé avant-hier au palais de justice de Bordeaux par le juge Jean-Michel Gentil dans le cadre du dossier sur les abus de faiblesse dont aurait été victime Mme Bettencourt depuis septembre 2006. Après une confrontation de plusieurs heures, le juge Gentil a décidé la mise en examen de l’ex-président. Avec les affaires pendantes de l’attentat de Karachi et du financement occulte de la campagne d’Edouard Balladur en 1995, l’avenir de Nicolas Sarkozy pourrait passer par la case prison…

    http://fr.novopress.info

  • Islam. Robert Ménard : «Il faut chaque fois négocier, s’adapter et finalement céder. Et si on arrêtait de tout accepter ?»

    Robert Ménard appelle à ne plus faire de concessions face aux revendications communautaires musulmanes.

     

    Jusqu’où ira-t-on ? Que faudra-t-il faire pour amadouer les plus intransigeants des musulmans ? À quelles concessions, à quelles entorses, à quelles reculades serons-nous contraints pour satisfaire à l’idéologie du «vivre-ensemble» ?

     

    À la lecture d’une enquête dans Le Monde sur «la pratique religieuse au travail», je découvre, oui je l’avoue, je découvre le poids des pressions et l’ampleur des abandons.

     

    Sur la multiplication des absences les jours de fête religieuse, sur les exigences en matière de cantine (pas de porc dans les plats de viande, pas de vin dans les sauces), sur les lieux de prière, sur le port du voile… il faut chaque fois négocier, s’adapter et finalement céder. […]

     

    Qu’on ne nous réponde pas qu’il s’agit d’une «minorité» au sein des fameuses «minorités visibles». Pas du tout : selon l’Observatoire Sociovision 2010, 61 % des musulmans – puisqu’il s’agit bien d’eux et non des bouddhistes ou autres catholiques de l’Opus Dei – s’estiment «frustrés» et demandent davantage de «reconnaissance» et «d’affirmation de la religion»

     

    Et si on disait non, niet, pas question ? Et si on cessait d’avoir peur de passer pour des racistes ?

     

    Finissant ce petit papier, j’allais écrire que, bien sûr, je n’avais rien contre tel ou tel, qu’il ne s’agissait pas de pointer du doigt les uns ou les autres. Histoire de payer mon dû, mes gages à la doxa médiatique, bref de montrer patte blanche et aussi d’assurer mes arrières. Je ne le ferai pas. Ce serait, d’une certaine façon, capituler à mon tour. Et cela, je le refuse. Tout simplement.

    Boulevard Voltaire   http://www.fdesouche.com

  • Le harcèlement des femmes dans les rues « françaises »

    Un reportage, qui est édifiant quoique certainement en-dessous de la réalité (largement ethnique).