Doctorant en philosophie et conférencier, Lucien Cerise défend des positions souverainistes hostiles à l’Union européenne (« qui n’a rien d’européenne », souligne-t-il) et à l’OTAN en s’inspirant d’idées provenant de philosophies politiques parfois opposées. Ses travaux l’amènent à s’interroger sur des concepts tels que la « gouvernance par le chaos » ou « l’ingénierie sociale » pour analyser les méthodes de manipulation et de contrôle social utilisées par les milieux politico-médiatiques en vue d’instaurer un « nouvel ordre mondial » tyrannique.
Dans son dernier livre, Le suprémacisme blanc – Peuples autochtones et Great Reset, il tente de déterminer les raisons pour lesquelles les quatre formes historiques de « suprémacisme blanc » se sont finalement soldées par autant d’échecs.
L’homme malade du continent
Lucien Cerise dresse un constat dramatique sur la situation en Europe de l’Ouest, où une « épuration ethnique » contre les populations d’origine est en cours, « organisée au plus haut niveau du pouvoir par d’autres Blancs, au moyen de non-Blancs », les sociétés d’accueil se contentant de subir plus ou moins consciemment leur propre disparition quand elles ne vont pas jusqu’à la désirer.