Les incidents de cette semaine à la Sorbonne m’ont rappelé de mauvais souvenirs : ceux d’une précédente occupation de la célèbre et symbolique université parisienne, en mars 2006, qui avaient (déjà) donné lieu à des dégradations importantes du patrimoine culturel et universitaire des lieux et, en particulier, des bibliothèques. Rebelote, donc, jeudi dernier. L’argument des vandales se voulait politique : « Contre Macron et contre Le Pen, contre les résultats du premier tour de l’élection présidentielle », disaient-ils. Au regard des dégâts et de l’attitude de ces petits messieurs de l’antifascisme autoproclamé, je doute que leur message ait été entendu, bien au contraire. Sans doute sont-ils les « idiots utiles » d’un régime ou d’un système qu’ils prétendent combattre mais que, en définitive, ils renforcent dans ses certitudes et ses attitudes, tout aussi fausses et déplorables que les leurs.
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Le vandalisme des imbéciles, encore ! (Sorbonne 2006-2022)
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Jordan Bardella dans « C à vous » : « Pourquoi ne dites-vous pas que les études utilisées pour dézinguer notre projet économique sont réalisées par des soutiens d’Emmanuel Macron ? »
Jordan Bardella sur le plateau de « C à vous » : « Pourquoi ne dites-vous pas que les études utilisées pour dézinguer notre projet économique sont réalisées par des soutiens d’Emmanuel Macron ? ».
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Emmanuel Macron, une comète dans la galaxie Soros ?
Quelle est la proximité idéologique entre le président de la République française, Emmanuel Macron et le milliardaire américain George Soros ? Si cette question mérite d’être posée, c’est parce que certains faits mis en lumière par l’Observatoire du journalisme en avril 2021 sont pour le moins troublants. D’un côté, un milliardaire qui ne cache pas sa stratégie d’influence libérale libertaire. De l’autre, un président de la République française qui partage de nombreuses convictions de George Soros et les met en application. Il nous a paru important de sortir de l’oubli deux articles de l’OJIM publiés l’année dernière, quelque peu remaniés, consacrés à cette question.
George Soros, agent d’influence
Faut-il encore présenter George Soros ? Pour les uns, il figure « parmi les plus grands philanthropes du monde ». Pour d’autres, il utilise sa fortune au profit d’une stratégie d’influence résolument politique.
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L’indignation à géométrie variable de Reporters sans frontières
Chaque année, l’ONG Reporters sans frontières dresse sa liste des « prédateurs de liberté de la presse ». Elle désigne 37 chefs d’État ou de gouvernement imposant une répression massive de la liberté de la presse. Vincent Bolloré n'est pas chef d'État et ne peut donc figurer sur cette liste. Pour autant, Reporters sans frontières part aussi en guerre contre lui, reprochant aux pratiques de l’homme d’affaires de créer « un précédent dangereux pour la démocratie, par sa conception d’un journalisme aux ordres et d’une télévision d’opinion ».
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Twitter adopte un plan pour empêcher Elon Musk de racheter facilement ses actions (MàJ)
15/04/2022
Le plan doit “réduire la possibilité qu’une entité, une personne ou un groupe ne prenne le contrôle de Twitter en accumulant des titres sur le marché sans payer à tous les actionnaires une prime appropriée ou sans donner suffisamment de temps au conseil d’administration pour prendre des décisions éclairées”, précise le groupe dans un communiqué.
Cette clause, surnommée “pilule empoisonnée” dans le jargon financier, se déclenchera si l’actionnaire hostile dépasse les 15% d’actions de la société sans l’accord du conseil d’administration (CA).
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I-Média n°391 – Marine Le Pen : la re-diabolisation en marche
L’image de la semaine
La campagne présidentielle semble remuer violemment le président sortant Emmanuel Macron. Son déplacement à Denain nous a donné une image très drôle !
Marine Le Pen re-diabolisée par les médias ?
Eric Zemmour semble avoir servi de paratonnerre à Marine le Pen pendant la campagne du premier tour, attirant sur lui les ires et les foudres du système médiatique. La candidate du Rassemblement national est-elle en passe d’être à nouveau diabolisée par le cartel des médias ?
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« Un danger pour les familles » : La Manif pour tous appelle à faire barrage à Emmanuel Macron
BI – Natalité, filiation, droits de l’enfant, éducation, solidarité, justice, dignité, fin de vie, éthique… le bilan et le programme d’Emmanuel Macron sont particulièrement inquiétants pour les familles. Premier lieu de solidarité et refuge pour les plus vulnérables, irremplaçable pour accueillir, aimer et éduquer les enfants, la famille mérite d’être soutenue par une politique ambitieuse au contraire de la politique désastreuse menée depuis 2017, marquée par la déconstruction anthropologique et les régressions éthiques, ainsi que par l’exclusion d’un nombre croissant de familles des bénéfices de la politique familiale.
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Le coût de l’immigration est passé de 17,4 milliards d’euros en 2012 à 40,3 milliards
Le coût de l’immigration est passé de 17,4 milliards d’euros en 2012 à 40,3 milliards d’euros aujourd’hui, selon une étude publiée par l’association Contribuables Associés, en collaboration avec le chercheur Jean-Paul Gourévitch :
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Face à la meute, Marine Le Pen fait front (Présent)
Déclarations politiques outrées, articles bâtis à coups d’énormités, improbables appels à la mobilisation : jour après jour, l’entre-deux-tours prend des airs de 2002. Il s’agit de rediaboliser fissa la candidate de la droite nationale… qui reste sereine face à des attaques qui n’ont qu’un effet relatif sur l’électorat.
Comme c’était prévisible – et désormais habituel – l’accession de Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle a immédiatement provoqué la mobilisation pavlovienne de toutes les composantes du système à tuer la France, terrorisées à la perspective d’une possible remise en cause de leurs prébendes et de leurs sinécures.
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En France et aux Etats-Unis, la violence des bien-pensants
Il n’a pas manqué grand-chose à Jean-Luc Mélenchon pour atteindre le second tour de l’élection présidentielle. Ses militants, en rage, ont attaqué des permanences du PCF et d’EELV, accusés d’avoir trahi la gauche. Des méthodes violentes qui ne surprendront que les naïfs mais qui en disent long sur l’état d’esprit du « camp du bien ».
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