
Iris Bridier. Récemment, des membres du GODF et du CESE (Conseil économique, social et environnemental) ont déjeuné ensemble. Qu’est-ce que cela vous inspire ?
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Iris Bridier. Récemment, des membres du GODF et du CESE (Conseil économique, social et environnemental) ont déjeuné ensemble. Qu’est-ce que cela vous inspire ?

C’est épuisant.
En France nous confondons tout, surtout à gauche.
On peut être de gauche ou être sensible à la justice sociale et au fait de ne laisser personne sur le bord du chemin par humanisme et c’est mon cas.
Mais il est possible d’avoir cette sensibilité sans avoir de détestation du riche ou sans dire des âneries économiques.
Dans le classement de Challenges, il y a les 500 familles françaises les plus riches. Cette richesse n’est pas un flux de revenus, mais la valorisation au moment de la clôture du bilan des actifs détenus.
La valeur d’une entreprise va fluctuer dans le temps à la hausse comme à la baisse.

À Angers, de jeunes patriotes ont été agressés devant leur local à coup de mortiers et de machettes. Ils se sont défendus. Ils ont été placés en garde à vue.
Partout en France, des citoyens qui payent leurs impôts et leurs amendes vont devoir refinancer des équipements publics détruits dans des quartiers de l’immigration sous contrôle des dealers.
Et une semaine d’émeutes ethniques va être utilisée par le pouvoir pour restreindre les libertés publiques et la liberté d’expression.
Ce régime d’extrême centre porte un nom : l’anarcho-tyrannie.
En 2021, Jean-Yves Le Gallou accordait un entretien à Breizh-Info à propos de ce concept d’anarcho-tyrannie, mélange de laxisme et d’autoritarisme décrit parfaitement la logique de l’État français et du régime Macron. Quel meilleur moment pour publier à nouveau cet entretien, plus que jamais d’actualité ?
Polémia
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Il apparaît que les Etats-Unis nous piétinent – cela nous le savions – mais qu’en plus, ils nous méprisent de nous laisser piétiner.
Un sursaut est nécessaire.
Il ne peut se faire dans la configuration politique actuelle car, la politique étrangère étant confisquée par le président et le président étant le président des bourgeois compradores, le peuple est, par construction, baisé.
Seul le peuple est porteur de la dignité, dépositaire de la fierté ; les autres ne pensent qu’à une chose : faire du pognon. « Pourvou qué ça doure ! »

La chronique de Philippe Randa
Je relatais dernièrement (Nouveau Présent du 20 juin 2023 « Poor lonesome wokistes »), les soucis outre-atlantique des « M’sieurs-dames tout en un » avec le conseil municipal 100 % musulman de Hamtramck dans le Michigan qui a interdit le déploiement du drapeau LGBTQ+ Pride sur les propriétés publiques de la ville… Mais outre-Manche également, tout ne va pas pour le mieux dans le meilleur des paradis fantasmé LGBTQXYZ (et plus si affinités).

Le président de la République s’est rendu dans la nuit de lundi à mardi auprès des forces de l’ordre, dans le XVIIe arrondissement parisien. Emmanuel Macron a découvert l’eau froide :
« Mais les gamins, ils écoutent qui ? »
« Les dealers monsieur le président »

Il s'agit donc au mieux d'approximations qui, la plupart du temps, s'écartent des observations de terrain. Ou les infirment totalement. D'où la tentation de « compenser les écarts » (= tricher en novlangue) pour ne pas perdre la face. C'est aussi une des méthodes de prédilection des sondeurs politiques.
Des modèles trompeurs à ne pas suivre !
Les béotiens matraqués par la propagande médiatique ont fini par tenir pour infaillibles les modèles du GIEC.

A l’Assemblée, le député LR Alexandre Vincendet a interpellé le gouvernement sur l’attitude de l’extrême-gauche durant les émeutes :
[…] Alors que les voyous font l’objet de poursuites, qu’entendez-vous faire à l’encontre des émeutiers par procuration, ceux qui ont refusé d’appeler au calme, ceux qui, à force de tout excuser en permanence ont mis de l’huile sur le feu – quitte à se renier, comme M. Mélenchon qui, en 2012, fustigeait les hordes de casseurs, les traitant de crétins, de bouffons et de larbins de la société capitaliste. Aujourd’hui, il les incite à la violence en sélectionnant pour eux les cibles à viser. Les appels à la sédition par des responsables publics et politiques sont intolérables ! […]