
Voici une analyse des Cubains qui décrivent l’absence de «temps morts» dans la propagande sous couvert de culture que livre la CIA. Et c’est encore plus facile quand celle-ci est installée à demeure avec ses porte-voix qui ne se cachent même plus au cœur de l’Humanité, le journal et à la tête du PCF. L’industrie du divertissement a pour fonction de nous faire avaler les crimes des États-Unis comme de simples dysfonctionnements que le cowboy Amérique voire UE corrige grâce à Superman et à le défense d’une coexistence pacifique où le méchant russe et le pervers chinois ont des chances d’être pardonnés s’ils se conduisent bien et se soumettent en riant et plaisantant.






