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lobby - Page 933

  • Permanences ou domiciles de parlementaires visés: les députés LREM paient leur trahison

    images.jpgJ’ai établi une petite liste chronologique des députés LREM menacés depuis le  17 novembre, jour où le mouvement Gilet jaune commença.
    Il y a un mois, j’évoquais la fin de la légitimité des institutions. Car des institutions qui ne sont plus reconnues par le peuple ne sont plus légitimes, on ne le répétera jamais assez. D’autant que les députés ne servent pas le  peuple qui les a élus  mais leurs seuls partis qui ne sont pas des représentants du peuple, cela conduisant aujourd’hui une bonne partie de nos élus à adopter des mesures opposées aux légitimes intérêts des Français.
    Je donnais alors quelques noms  de députés contestés et plus ou moins menacés. Aujourd’hui, leur nombre a sensiblement augmenté. J’en ai certainement oublié un certain nombre, mais la liste suivante montre que partout sur le territoire national, dans toutes les régions, du nord au sud et de l’est à l’ouest,  la contestation bat son plein. Le message est clair : « démissionnez, partez, foutez le camp, on ne veut plus de vous ». J’ai établi une petite liste chronologique des députés LREM menacés depuis le  17 novembre, jour où le mouvement Gilet jaune commença.
    Le 20 novembre  2017, il semble que ce soit  Carole Bureau-Bonnard, députée de l’Oise, qui ait été la première à se trouver contestée, lorsqu’une trentaine de Gilets jaunes vinrent scander devant son domicile  « Bonnard au placard ». On appréciera la rime.
    Deux jours après, le 22 novembre, Christophe Lejeune, député de Haute-Saône, crut sa dernière heure venue lorsqu’une vingtaine de Gilets jaunes tentèrent de forcer la porte de son domicile, finissant par la cadenasser.
    – Le même jour, Olivier Gaillard, député du Gard, eut le bonheur de voir devant sa permanence un cercueil avec la pancarte: « Macron, Gaillard, dehors ».
    – Le 23 novembre  Mireille Robert, députée de l’Aude, fut effrayée quand une quarantaine d’hommes casqués et cagoulés menaçants parvinrent à s’introduire chez elle.
    Pendant la nuit du 26 au 27 novembre à Carpentras, la permanence du député de la 3e circonscription du Vaucluse, Adrien Morenas, fut murée par des parpaings colmatés avec de la mousse expansive.
    Le lendemain 28 novembre, ce fut le  député de la Moselle, Ludovic Mendes, qui reçut un courrier d’insultes commençant par « Ludovic Mendes la petite pute de Macron ».
    Le 29 novembre, la députée LaREM de l’Eure,  Claire O’Petit,  raconta  que sa permanence de Vernon avait  été vandalisée à coups de masse après son passage sur LCI où elle critiqua les Gilets jaunes. « Mon discours n’a pas plu à certains et ils ont voulu se venger. Ce sont des actes inadmissibles ».  
    Le 2 décembre,  ce fut la députée vendéenne Patricia Gallerneau qui eut la mauvaise surprise de trouver une dizaine de poubelles déversées devant sa permanence de La Roche-sur-Yon.
    De son côté le 3 décembre  Florian Bachelier, député d’Ille-et-Vilaine  et premier questeur de l’Assemblée nationale, se plaignit  d’intimidations physiques : « vers 7 h 30 du matin,  je sortais de mon domicile à Rennes pour me rendre à ma permanence pour recevoir une nouvelle délégation de Gilets jaunes, quand un homme cagoulé posté devant chez moi me lance une mise en garde sans ambiguïté. Il me prévient que si je continue à défendre la politique d’Emmanuel Macron,  je prends des risques énormes. »
    Le même jour Élise Fajgeles, députée de la 5e circonscription de Paris, dit avoir reçu des menaces de mort  après avoir reconnu sur le plateau de CNews ignorer le montant du Smic.
    Le 5 décembre la députée de Paris Olivia Grégoire, compagne d’Emmanuel Valls, affirme avoir reçu par mail des messages d’une « violence incommensurable […] Ceux qui m’ont le plus touchée disaient que le fait que je n’aie pas d’enfant me disqualifiait en tant que parlementaire ».
    Ce même 5 décembre Matthieu Orphelin, député du Maine-et-Loire, aurait vu les numéros de téléphone de ses proches diffusés sur les réseaux sociaux.
    Le 6 décembre Émilie Chalas, députée de la 3e circonscription de l’Isère, aurait  annulé à la dernière minute une réunion publique après avoir été victime de menaces dites « sérieuses ».
    Le 7 décembre à Saint-Omer (Pas-de-Calais) le député Benoît Potterie a reçu dans son courrier une cartouche de fusil accompagnée d’un mot menaçant.
    Le 8 décembre la députée Jacqueline Dubois a vu sa voiture et celle de son époux s’enflammer devant leur domicile de Vézac (Dordogne).
    Le même jour c’est la permanence du député Marc Delatte, à Chauny (Aisne) qui a été vandalisée, et taguée avec les mots  « Démission FDP, Gilet jaujaune ».
    Dans la nuit de samedi 8 et dimanche 9 décembre, la permanence d’Anne-Laure Cattelot députée du Nord, fut également  vandalisée et taguée avec les mots « En marche racketteur », la députée se plaignant en outre que ce n’était pas la première fois. « J’ai déjà été victime d’intimidations et de menaces, lors des 80 km/h ».
    Le 15 décembre, le député de l’Eure Bruno Questel s’est plaint d’une tentative d’intimidation de 40 Gilets jaunes, de coups de feu tirés devant son domicile, et d’un cortège de  20 voitures défilant en klaxonnant.
    Dans la nuit du dimanche 30 au lundi 31 décembre, des inconnus s’en prirent  à la permanence du député de Gironde, Florent Boudié, dans le centre de Libourne, inscrivant à la peinture jaune fluo  « Bonne année islamo-collabo » .  
    Le 4 janvier le député de la Vienne Sacha Houlié annonça sur Twitter avoir porté plainte pour  dégradations commises sur sa permanence à Poitiers, avec  des inscriptions et de la paille déposée.
    Le même jour 4 janvier la députée de Paris Olivia Grégoire constata également des dégradations sur  sa permanence.
    Le 12 janvier, Élisabeth Toutut-Picard, députée de Haute-Garonne, Mickaël Nogal, député LREM de Haute-Garonne et Jean Terlié, député LREM du Tarn, se plaignirent de se sentir sans cesse menacés.
    Si l’on ajoute à cette liste non exhaustive les menaces pesant sur des ministres et un président honni de presque tous, on voit que le système est arrivé à sa fin, le dernier épisode concernant la maison de Ferrand qui aurait failli brûler.
    Certes nous ne pouvons personnellement cautionner des voies de fait, mais peut-être tous ces gens devraient-ils enfin écouter le peuple au lieu de le mépriser, de le maltraiter, et de vouloir ignorer que lorsqu’on ne fait plus qu’un repas tous les deux jours comme aux pires années du XIXe siècle pour pouvoir nourrir ses enfants (lisez ou relisez Jean Christophe, de Romain Rolland), lorsqu’on doit vivre en manteau ou en blouson dans des appartements glacials car on ne peut plus se chauffer, le coût de l’énergie étant déraisonnable, lorsqu’on laisse ses dents se gâter parce que les frais dentaires sont trop élevés, on ne s’étonnera pas de la haine que peuvent susciter les privilégiés d’un système qui a largement fait son temps.
    Louise Guersan pour ripostelaique.com

  • Christianophobie : que fait l’Etat? – Journal du mardi 12 février 2019

     

    Christianophobie : que fait l’Etat?

    Nîmes, Lavaur, Dijon, Maisons-Laffitte et Houilles, les églises saccagées se succèdent en France. De la simple dégradation à la profanation, ces actes restent la plupart du temps impunis.

    Ligue du LOL : la face cachée de la bien pensance

    C’est un petit scandale dans le monde des rédactions parisiennes. Toujours prompte à donner des leçons de bien pensance et de vivre ensemble, une trentaine de journalistes s’est fait prendre la main dans le sac. Pendant près de 10 ans, un petit entreprise de cyberharcèlement s’était constituée. Montages pornographiques, insultes, menaces physiques, des dizaines de victimes témoignent peu à peu.

    Le droit européen à la rescousse d’Airbnb

    Nouvelle passe d’armes entre Anne Hidalgo et Airbnb. Alors que la mairie de Paris réclame 12 millions d’euros à la plateforme de locations pour avoir mis en ligne des annonces non conformes, le géant américain invoque le droit européen pour mettre la municipalité à genoux.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/christianophobie-que-fait-letat-journal-du-mardi-12-fevrier-2019

  • La RAIE-PUBLIQUE Macroniène

    jeunes-migrantsRennes, grande ville et bastion PS et gaucho-bobo, n’en finit plus de subir les affres de l’immigration de masse. 
    Un policier de la Bac, qui vit sur place, écrit quelquefois des articles sous le pseudo de « Geronimo » dans Riposte Laïque et il cite souvent des chiffres assortis de faits divers.
    La ville, compte dit-il, 600 « mineurs isolés » qui comptabilisent 80% des délits, pour un coût de 22 millions d’euros. 
    Ils arrivent d’Albanie, du Maroc, de Tunisie, d’Algérie, d’Erythrée, du Soudan, du Pakistan, de Libye, d’Afghanistan et d’ailleurs. 
    Ils sont tous pris en charge à 100% par les services sociaux.
    Aucun papier, aucune certitude de l’âge, mentent sur leur provenance, et la majorité d’entre eux est musulmane. 
    Ils sont souvent toxicomanes. 
    Ils passent leurs soirées à voler, à agresser des noctambules, à cambrioler et à dealer.
    Rennes, ville droit de l’hommiste et bien pensante, pleine de compassion pour ces chérubins qui peuvent avoir quelquefois 25 ans ou plus, en a placé une partie dans une ancienne gendarmerie. 
    Mais comme ils n’ont pas « les bons codes », dixit une ministre En Marche, ils cassent allègrement et régulièrement les lavabos, les douches, les WC, les carreaux, comme ils se cassent la figure entre ethnies, tout en détestant en commun les locaux, qui sont assez idiots pour les loger et les nourrir.
    Ce qui n’empêche pas toute une équipe d’éducateurs formatés gauchistes de les entourer de leur compassion pédagogique.
     Ils trouvent ainsi, avec cette nouvelle migration un bon plan de carrière.
    Avec eux, ces joyeux jeunes gens ne manquent de rien. 
    Ils sont soignés comme des touristes exigeants : Petit déjeuner avec jus de fruits, croissants, café, thé, chocolat, céréales bio, de préférence, et bien sûr, les autres repas garantis le meilleur possible. 
    Alors que les poubelles des supermarchés sont régulièrement fouillées par des pauvres, biens de chez nous.
    On apprend aussi que dans une faculté de Montpellier, 2 profs ont été sanctionnés pour avoir chassés des casseurs, dont plusieurs extérieurs à la Fac, afin que celle-ci puisse reprendre les cours. 
    Cela avec peut-être des méthodes quelque peu musclées, mais efficaces.
    Un des profs est interdit d’enseigner pendant 5 ans, l’autre est carrément radié, comme s’il avait été lui-même casseur. 
    L’addition est salée : 300 000 €, compte tenu du vandalisme de ces bons à rien. 
    Portes défoncées, locaux ravagés, ascenseurs vandalisés et j’en passe. 
    Avec les slogans récurrents de ces « intellos » démolisseurs « Ce qu’on fait en Palestine c’est du fascisme ».
    Avec pour résultat, 2000 étudiants bloqués par 80 gauchos crasseux. 
    Mais pour eux, ce sera l’indulgence assurée, comme pour les petits malfrats de Rennes.
    Et comme le signale un intervenante du débat municipal de Béziers: « Je suis resté à la rue avec mon fils, alors que  des clandestins étaient logés dans des hôtels à 1200 € par mois. Quand va t’on briser le silence ? »
    Pour le moment, aucune réaction des GJ, ni des français en général. 
     » C’est comme s’ils se laissaient envoyer à l’abattoir, mais s’indignaient du prix du transport  » disait Renaud Camus.
    J’ajouterai, « Sans théorie révolutionnaire, pas de mouvement révolutionnaire ».
    Onyx

  • En toute transparence? LOL!

    cinema.jpgAh les donneurs de leçons de la gauche progressiste ! Le lièvre a été soulevé par une enquête de Libération publiée le 8 février… pour éviter peut-être que l’information ne soit diffusée par d’autres.  Un groupe facebook baptisé La ligue du LOL, regroupant une  trentaine de journalistes, de membres d’agence de communication travaillant à Paris,   a sévi à la fin des années 2000. Ils se sont livrés à des cyber-harcèlements dirigés principalement contre des femmes, et, circonstances aggravantes,   contre des militantes féministes. Patron de la rédaction de Libération, Laurent Mouchard-Joffrin s’est fendu d’un éditorial car son quotidien a été éclaboussé par l’affaire puisque au moins deux de ses journalistes (Vincent Glad et le rédac chef Alexandre Hervaud, aujourd’hui suspendus à titre provisoire) étaient affiliés à cette Ligue. « Honteux » à écrit M. Joffrin. « Le traitement infligé à plusieurs jeunes femmes ou jeunes hommes par certains membres d’un groupe informel appelé la Ligue du LOL soulève le cœur. Harcèlement, insultes, canulars graveleux, toute une panoplie d’agressions numériques a été utilisée dans cette entreprise. L’humour a bon dos. D’abord parce qu’il consiste, en principe, à se moquer de soi-même plus que des autres. Ensuite parce que, sous couvert d’une ironie qui se perd dans les limbes byzantins du 22e degré, il véhicule en l’espèce une tripotée de clichés sexistes, machistes, homophobes et parfois racistes. Enfin parce qu’au travers d’une agressivité systématique dont on proclame qu’elle constitue «une culture» alors qu’elle traduit surtout une régression de la culture, elle a blessé la sensibilité de jeunes gens honorables, souvent en situation plus fragile que celle de leurs courageux agresseurs. » Plusieurs des membres de cette Ligue ont depuis publié un mea culpa.

    L’on apprend ces dernières heures qu’un magazine comme Vice,  faisant la promotion de toutes les avancées sociétales  , de toutes les déviances de la contre-culture californienne,  avait lui aussi sa propre Ligue du LOL se signalant par « un déferlement de haine, de racisme, de misogynie, d’homophobie». Pour l’heure, les confrères des harceleurs ont d’ores et déjà balancé les noms de leurs petits camarades:  Stephen des Aulnois, fondateur du Tag parfait, « le magazine de la culture porno »,  Christophe Carron,  le  féministe-rédacteur en chef de Slate.fr qui expliquait que « l’écriture inclusive est  un des chemins qui conduit à l’égalité » (sic),  David Doucet, qui n’est pas, disons-le,  le plus fanatiquement  antinational de cette petite bande, rédacteur en chef aux Inrockuptibles,  Guillaume Ledit (Usbek & Rica), Renaud Loubert-Aledo (Publicis Consultants), Guilhem Malissen (Nouvelles Ecoutes), Vadim Poulet (les Inrocks), Olivier Tesquet (France Inter)…

    La  député LREM Laetitia Avia  n’a rien perdu  de son mordant  pour se saisir de cette affaire, divine surprise,  afin de légitimer le vœu présidentiel d’imposer la transparence sur internet. Le 18 janvier, lors d’une session   du Grand Débat à  Souillac (Lot),  Emmanuel Macron  s’est prononcé devant des maires  en faveur d’une « levée progressive de tout anonymat »  pour améliorer la qualité de la démocratie participative, cette tarte à la crème de la gauche.   Le 7 février,  il  prenait prétexte du   harcèlement scolaire  pour préciser   que « (le gouvernement allait) continuer à travailler avec les plateformes internet, pour sanctionner ce qui est fait sur ces plateformes ». « Moi je ne veux plus de l’anonymat sur les plateformes Internet » a-t-il ajouté, en référence de nouveau  au futur projet de loi cuisiné par Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État au Numérique, « relatif aux propos haineux » et qui devrait être adopté par les députés LREM cette année.

    La quadrature du net, dont nous avons déjà relevé le combat légitime contre le loi Hadopi,  notait à notre avis  justement qu’ « en reprenant l’idée grotesque que l’État pourrait trancher le vrai du  fake , le gouvernement français s’est embourbé (avec sa loi orwellienne contre les fausses nouvelles,  dite « loi contre les fausses informations, NDLR)  dans une hasardeuse tentative de se faire arbitre de la vérité en ligne »… on ne saurait mieux dire!  Jean-Yves Le Gallou (Polemia) voit pour sa part derrière cette volonté des macronistes de chasser l’anonymat d’internet  une nouvelle offensive liberticide. Il a estimé   sur twitter que  « l’ anonymat ne déshonore que les régimes politiques dont l’autoritarisme, l’aveuglement et le totalitarisme vous contraignent à y recourir. »

    Dans un article consacré à ce sujet  Stéphane Ruscher, sur le site frandroid.com, relève  que « la foule anonyme virtuelle fait peur, c’est naturel. Elle peut être dangereuse. Elle peut polluer un débat avec des propositions hors sujet. Elle peut être le véhicule de fausses informations. Elle peut harceler un individu, mais aussi une entreprise, avec des conséquences parfois graves (…). Elle peut aussi commettre des actes de cyber criminalité, comme  (les) hackers (…). D’accordMais l’anonymat sur Internet… C’est aussi un des fondements d’Internet et on serait peut-être bien inspiré de s’en souvenir. L’anonymat, c’est la possibilité de ne pas être traqué à chaque coin de site, d’être un peu oublié par les algorithmes de ciblage. C’est un moyen de se protéger contre des régimes autoritaires qui répriment la liberté d’expression et qui fichent les individus. Et c’est surtout une garantie de se sentir en sécurité pour émettre une opinion qui deviendrait dangereuse si on l’écrivait à visage découvert. Parce qu’on ne peut pas toujours, par peur des représailles, et ça n’est pas qu’une question de courage. »

    La quadrature du net cité plus haut s’inquiète plus largement  que  sous prétexte de lutte bien légitime  contre le terrorisme « un nouveau projet de règlement européen (souhaite)   imposer de lourdes obligations à tous les hébergeurs, notamment le retrait en une heure des contenus signalés par la police. Il banalise la censure privée et le contournement de la justice. Il fait des filtres automatiques la clé des politiques de censure. Il fera disparaître le Web décentralisé en le mettant sous la tutelle forcée d’une poignée de géants, qui en sortiront seuls et grands gagnants (…). L’Union européenne est en train d’adopter une nouvelle directive pour imposer une censure automatisée aux grandes plateformes qui hiérarchisent les contenus qu’elles diffusent. En plus de sacraliser la surveillance généralisée inventée par les géants du Web, ce texte soumet l’économie culturelle et la presse à un modèle économique publicitaire reposant aujourd’hui sur une large violation de nos données personnelles. »

    Alors bien sûr, nos compatriotes ont des préoccupations matérielles, tangibles, immédiates qui apparaissent plus graves et/ou plus pressantes. Exemple parmi d’autres,  celui du fiscalisme confiscatoire qui a les faveurs  de ce gouvernement et notamment  de Brune Poirson, secrétaire d’Etat au près du ministre de la Transition écologique et solidaire qui milite pour le retour de la taxe carbone.   Virginie Pradel,   membre de l’Institut Vauban,  rappelait entre autres joyeusetés   qu’ «en raison des coups de rabot successifs (plafonnement des niches et du quotient familial, augmentation du taux maximal, etc) les recettes de l’impôt sur le revenu ont bondi de 40% en 7 ans, passant de 55,1 milliards d’euros  en 2010 à 77,6 milliards d’euros en 2017.»

    Mais n’en doutons pas, les menaces qui  pèsent  sur la libre expression sur internet  sont lourdes de conséquences. Elles menacent directement  les possibilités dans  l’avenir de défendre  des idées nationales qui, comme telles, sont de plus en plus criminalisées constate Bruno Gollnisch. La  dénonciation de l’immigration  massive est (déjà) considérée, malgré son coût financier abyssal et ses ravages sur le plan social,  humain et culturel,  comme une incitation à la haine, une attaque  contre le vivre-ensemble  de  la   ( plus en plus)  totalitaire société ouverte et transparente  que promeuvent  les euromondialistes, à Paris comme à Bruxelles.

    https://gollnisch.com/2019/02/12/en-toute-transparence-lol/

  • La démocratie légale d'Etat face aux Gilets jaunes.

    Les démocraties occidentales sont malades, et elles sont d’abord malades de leurs classes dirigeantes, de ce que nous nommons en France « le pays légal » et qui, depuis des décennies, prend la forme d’élites dirigeantes et dominantes, autant sur les plans financier et économique, autant que sur ceux de la politique et de l’idéologie, élites de moins en moins engagées par les notions de service et d’humilité. Depuis quelques années, la séparation entre les catégories sociales (doit-on parler de « classes » ?) se fait plus visible et, aussi, plus vive : le creusement des inégalités, conséquence sociale de la mondialisation et de son imposition au sein même des sociétés anciennement constituées, a débouché sur la montée des injustices, qui ne sont rien d’autre que des inégalités démesurées, bien loin des inégalités justes et protectrices qui ordonnent toute société humaine et politique.

    Dans son éditorial de Marianne de cette semaine, Natacha Polony valorise la thèse de David Adler, chercheur en science politique, selon laquelle « ce sont les centristes qui sont les plus hostiles à la démocratie, pas les extrêmes » : une formule étonnante mais qui ne surprendra pas vraiment ceux qui connaissent leur histoire contemporaine et qui ont suivi les évolutions idéologiques des classes dirigeantes depuis la fin de la Guerre froide. Effectivement, et la récente crise des Gilets jaunes, à la fois crise sociale et éminemment politique, l’a amplement démontré, parfois au-delà de toute raison, les propos des partisans du président Macron et de ses « ralliés récents » n’ont guère brillé par leur sens de la nuance, au risque de jeter régulièrement de l’huile sur le feu quand il aurait fallu apaiser sans mépriser les révoltés des ronds-points. Bien sûr, il y a eu, au début décembre, ce « réflexe de la peur » qui a parcouru les catégories centres-urbaines des métropoles devant cette colère parée de jaune et qui a fait trembler jusqu’aux ors de l’Elysée : l’épisode de l’hélicoptère prêt à évacuer le locataire des lieux, le 8 décembre dernier, est aussi révélateur qu’il est triste… Mais les réactions des lecteurs des grands journaux sur leurs forums de discussion respectifs sont encore moins rassurantes sur l’état de division de notre pays, et la violence des propos des « assiégés » (comme certains se définissaient eux-mêmes) contre les manifestants « ignorants, vulgaires, gueux » ont pu légitimement choquer ceux qui cherchent plutôt le dialogue (même sans concession) que la brutalité. Les réseaux sociaux en ont aussi été la lice virtuelle, non moins parcourue des fureurs et tremblements que la rue, de Rennes à Paris, de Bordeaux à Lille…

    L’article de Natacha Polony a choisi d’insister sur les violences et appels à la répression issus des rangs du « pays légal » macronien, ce qui, d’une certaine manière, rompt avec la doxa de la grande presse, inquiète de la tournure prise par des événements qui semblent échapper à ceux qui tiennent le Pouvoir depuis si longtemps sous des masques divers. Il est vrai que la nouvelle loi anti-casseurs n’a rien de rassurant, en fait, comme l’a souligné le député conservateur Charles de Courson, « centriste catholique » qui n’oublie pas ses racines ni les leçons de l’histoire, y compris celle de sa propre famille, au point d’apparaître en dehors de ce « centrisme totalitaire » dénoncé par Mme Polony. Cela rejoint d’ailleurs la réflexion des royalistes qui considèrent que les traditions (au sens premier du terme, « transmission » d’un héritage immémorial et toujours vivant) sont les meilleures protections contre les dérives du moment présent, plus « immédiates » et souvent moins mesurées, faute de prise de hauteur temporelle ou historique. (1)

    La violence des casseurs des derniers samedis parisiens qui, par leurs actes étrangement impunis dans la plupart des cas, cassent d’abord de l’intérieur le mouvement des Gilets jaunes en s’en prenant de plus en plus aux manifestants « originels » de l’automne, donne des arguments faciles au Pouvoir dont ils sont les providentiels alliés pour déconsidérer le mouvement d’ensemble. Cela permet au gouvernement de M. Castaner de se poser en « garant de l’ordre et de la sécurité », ce qui est tout de même le comble quand on peut constater la montée incessante de la délinquance (et de sa relative impunité, faute d’une réponse adaptée et concrète) dans notre pays et son coût pour les victimes et la société ! Mais le gouvernement n’en a cure, et il renforce son arsenal répressif en visant explicitement les Gilets jaunes, ces « empêcheurs de politiser en rond » selon l’heureuse expression d’un orateur royaliste entendue il y a peu. Sans doute faut-il y voir effectivement un symbole, comme le souligne Natacha Polony qui ne prend guère de gants avec l’Etat macronien : « Derrière les mises en scène de démocratie participative, la volonté farouche de se prémunir contre un peuple qui a la fâcheuse tendance à mal voter. (…) Quand un candidat « raisonnable » propose de lutter contre les « prurits populistes », quels qu’ils soient, tous les moyens sont bons. Pourquoi ? Parce qu’il ne s’agit nullement de défendre la démocratie, mais de défendre un système économico-politique considéré comme le meilleur pour garantir la stabilité et la prospérité. Quitte à le défendre contre l’ignorance coupable des peuples, qui persistent à ne voir que le chômage de masse et leurs fins de mois difficiles au lieu de s’extasier sur le progrès garanti par l’avènement du grand marché global. Emmanuel Macron ne gouverne pas pour le peuple français mais pour la préservation de ce système, au besoin contre une large partie du peuple. » Ainsi, le Grand débat national, que les royalistes ne boudent pas car soucieux de présenter leurs points de vue et de crédibiliser leur force de proposition, n’est sans doute qu’une opération de diversion qui n’a pas pour vocation de remettre le système en cause mais de le remettre à flots, ce qui n’a pas exactement le même sens ni la même portée…

    La sévérité de Mme Polony ne s’arrête pas à ses quelques lignes reproduites plus haut : « Nulle « troisième voie » dans le macronisme. La colère engendrée par quatre décennies de marche forcée vers la dérégulation, le libre-échange, l’abandon de toute protection non seulement des salariés, mais surtout des filières industrielles et agricoles, la financiarisation de chaque domaine de l’action humaine, et la paupérisation par la logique du low cost, aboutit à des formes diverses d’insurrection (…). Et ces insurrections deviennent le prétexte pour réduire les libertés publiques, mais aussi les capacités de décision de citoyens considérés comme des irresponsables, ou pis, des ennemis du bien commun. Ce faisant, on ouvre un boulevard aux extrêmes, dans un concours de radicalité. » Si la révolte vient de loin, et l’on pourrait s’étonner qu’elle vienne si tard (trop tard ? Souhaitons que non !), la répression s’attache à « maintenir l’ordre présent du système », ce qu’Emmanuel Mounier, personnaliste chrétien du milieu du XXe siècle, baptisait de cette formule définitive de « désordre établi ». Maurras parlait d’utiliser toutes les possibilités offertes par la contestation ou par le système lui-même pour établir la Monarchie, mais c’est la République actuelle qui pratique le mieux sa formule bien connue « Par tous les moyens, même légaux » pour préserver sa domination sur le pays… 

    « On finira bien par restaurer la monarchie, un jour, contre la dictature et l’anarchie », écrivait jadis Eugène Ionesco dans un article célèbre du Figaro Littéraire paru en 1969. Si j’avoue ne pas considérer le président Macron comme un dictateur, à l’inverse de son ministre de l’Intérieur M. Castaner qui n’en est, pour l’heure, qu’un apprenti maladroit et violent, la situation de notre pays, elle, apparaît bien anarchique, entre le libéralisme sans frein (malgré quelques limites liées à notre histoire nationale et à celle de son Etat-providence) et les désordres urbains (à ne pas confondre avec les manifestations sur les ronds-points, entre autres), et, s’il y a dictature, c’est celle du règne de l’Argent, de cette « fortune anonyme et vagabonde » qui semble inaccessible aux notions de justice sociale et de partage équitable. Alors, oui, au regard de ce couple infernal qui asservit nos compatriotes et désordonne notre société historiquement constituée, c’est bien la Monarchie royale qui peut réaliser cette synthèse entre l’ordre nécessaire à toute cité pour être et durer, et les libertés publiques qui font battre le cœur de notre nation…

    « La Monarchie est aussi, elle est surtout, la dernière chance de la liberté », affirmait Thierry Maulnier dans les années trente : n’attendons pas le pire pour nous rappeler de cette sage et si politique réflexion… (2)

    Notes :

    (1) : c’est aussi ce qui explique que la Monarchie, par essence, est plus éloignée des tentations totalitaires que les Républiques qui s’appuient sur les « émotions de masse » et sur une sorte d’instantanéité sans mesure, privilégiant la passion à la justice qui, souvent, nécessite un enracinement dans le temps long pour être véritablement ce que l’on peut attendre d’elle, la légitimité de la décision arbitrale.

    (2) : un prochain article évoquera la riche et profonde pensée de Thierry Maulnier sur la Monarchie, d’une grande actualité aujourd’hui pour « penser l’après-Gilets jaunes ».

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Valérie Pécresse tient son bouc émissaire : Éric Zemmour

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    Visiblement, la conférence d’Éric Zemmour, le 30 janvier dernier, au siège des Républicains, n’a pas fait plaisir à tout le monde dans le parti présidé par Laurent Wauquiez. Notamment à Valérie Pécresse, qui est aux LR sans y être ou – c’est selon – qui n’y est pas tout en y étant. Car, en effet, la présidente de la région Île-de-France est aussi présidente de son petit parti : Libres !

    Jeudi soir, à l’occasion des vœux de son mouvement, elle a prononcé un discours à la fin duquel elle a évoqué le chroniqueur. « Sachez-le, notre France ne sera jamais celle d’Éric Zemmour et des déclinistes, nostalgiques d’une société patriarcale qui n’est plus, et persuadés que c’était mieux hier et que ce sera pire demain. » Il est probable que cette pique visait moins l’auteur du Déclin français que Laurent Wauquiez, qui a eu l’outrecuidance d’inviter le journaliste rue de Vaugirard. Cela en dit long, en tout cas, sur l’unité idéologique de ce parti qui, selon un sondage OpinionWay/Tilder du 1er février pour Les Échos, est crédité de 12 % d’intentions de vote pour les élections européennes, quand le Rassemblement national est à 22 % et La République en marche à 20 %. N’est-ce pas, du reste, la caractéristique des groupuscules ou formations politiques en voie de « groupusculisation » : plus c’est petit, plus les chapelles se multiplient.

    Mais, plus encore, ne doit-on pas voir dans cette attaque en caponnière une grande confusion intellectuelle, consciemment ou inconsciemment entretenue, entre la maladie et le diagnostic ? On peut reprocher à Éric Zemmour son absence d’espérance dans ses écrits, mais son analyse clinique des maux qui frappent notre pays depuis des décennies ne repose-t-elle pas sur quelques faits tangibles ? Pour ne prendre que la question migratoire : les étrangers, qui arrivaient en France, autrefois, d’Italie ou de Pologne, s’assimilaient-ils en moins d’une génération ? Oui ou non ? Les étrangers qui arrivent en France, aujourd’hui, d’Afrique subsaharienne, s’assimilent-ils avec la même rapidité. Oui ou non ? Visiblement, les choses ne sont pas très évidentes, puisqu’on a renoncé à l’ambitieuse assimilation pour se contenter de l’intégration. Et qui est loin d’être gagnée ! Alors, effectivement, c’était peut-être mieux hier.

    En fait, Valérie Pécresse adore enfiler des perles de lieux communs dans son boudoir confortable de dame patronnesse bien élevée. C’est ainsi, avec une confusion intellectuelle qui peut friser la malhonnêteté intellectuelle, qu’elle n’hésite pas à déclarer, toujours dans ce même discours, que « Mélenchon, Le Pen, Dupont-Aignan », c’est « le même visage d’une France en faillite, d’institutions républicaines déstabilisées… » Malhonnêteté ou facilité intellectuelle qui consiste à mettre dans le même sac, d’une part Le Pen et Dupont-Aignan, d’autre part Mélenchon, histoire de rendre définitivement infréquentables les deux premiers aux yeux d’une bourgeoisie conformiste qu’elle sait charmer de ses yeux de biche. Malhonnêteté intellectuelle, enfin, si l’on admet un fait historique : ni Dupont-Aignan ni Le Pen n’ont jamais été au pouvoir et n’ont donc leur part de responsabilité dans cette « France en faillite ». Mme Pécresse fut ministre.

    Mais madame Pécresse fait partie de ces responsables politiques modernes, fiers de leur passé (tout en ayant la mémoire courte) et résolument tournés vers l’avenir, comme on dit quand on ne sait plus quoi dire dans un discours. Par exemple, en novembre 2012, elle voulait transformer le mariage pour tous en union civile. Pourquoi pas. En septembre 2017, elle déclarait : « Nous ne reviendrons pas sur la loi Taubira, tournons la page. » On peut même fermer le livre et le jeter au feu.

    Un twitto n’a pu s’empêcher de réagir aux propos de Valérie Pécresse sur sa France qui ne sera jamais celle de Zemmour : « Bien parlé, madame Autain ! » Franchement, c’est profondément injuste vis-à-vis de Clémentine Autain. L’Insoumise a des convictions.

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/valerie-pecresse-tient-son-bouc-emissaire-eric-zemmour/

  • Et si l’on donnait la parole aux Français ? (XXIX)

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    Chronique de Michel Geoffroy, essayiste, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples

    Malgré le lancement du grand débat, la répression des gilets jaunes et la propagande  gouvernementale, la défiance vis-à-vis d’Emmanuel Macron s’installe durablement dans l’opinion. Et la confiance dans les médias de propagande, soutien d’Emmanuel Macron, continue de chuter.

    Malgré la répression et la diabolisation , le soutien aux gilets jaunes ne faiblit pas

    • 60 % des personnes interrogées soutiennent toujours le mouvement des Gilets Jaunes , même si le soutien baisse de 10 points en 3 semaines. 78 % des personnes interrogées condamnent les violences en marge des manifestations et 38% les comprennent (Sondage Elabe/ BFMTV L’opinion en direct des 8 et 9 janvier 2019)
    • 67 % des personnes interrogées soutiennent le mouvement des Gilets Jaunes : 36 % (+5 par rapport à la mesure du 9 janvier) des Français soutiennent la mobilisation, 31 % (+2) expriment de la sympathie pour la mobilisation, 13 % (-2) y sont opposés, 12% (-4) y sont hostiles et 8% (-1) y sont indifférents. (SondageElabe BFMTV du 14 janvier 2019)
    • 69 % de personnes interrogées approuvent le mouvement des Gilets jaunes, tandis que seulement 22 % ont une opinion «plutôt positive» du grand débat national. Le chef de l’Etat se hisse  à 31% d’opinions favorables et se situe donc au même niveau que celui de François Hollande au même moment de son mandat. En revanche, 69 % des personnes interrogées ont une mauvaise opinion de lui (Sondage BVA pour Orange, RTL et La Tribune des 23 et 24 janvier 2019)
    • 60 % des personnes interrogées ne veulent pas d’une liste Gilets Jaunes aux élections européennes (Sondage Opinion WayTilder du 17 au 25 janvier 2019)

    Le grand débat peine à convaincre

    • Un tiers des personnes interrogées seulement croit en la capacité d’Emmanuel Macron à “agir dans le bon sens” pour les réformes à venir. Dans le détail, ils sont 33 % à le penser pour la réforme des institutions, 32 % pour l’assurance maladie et 29% pour les retraites. Seule une personnes interrogée  sur deux pense que le gouvernement tiendra au moins partiellement compte des avis émis lors du grand débat lancé par l’exécutif en réponse au mouvement des Gilets jaunes. 67 % pensent que le gouvernement doit “avant tout aider le pouvoir d’achat des Français”. Globalement, moins d’un sur deux (47 %) se dit “optimiste” pour l’année à venir, soit une chute de 12 points par rapport à la même enquête il y a un an, contre 51 % (+13) de “pessimistes” (sondage Harris interactive, M6 et RTL des 27 et 28 décembre 2018)
    • Seuls 40 % estiment qu’Emmanuel Macron et son gouvernement tiendront compte des points de vue qui seront exprimés dans le cadre du grand débat national , et 34% qu’il permettra une sortie de crise. (Sondage Elabe BFMTV du 14 janvier 2019)
    • 64 % des personnes interrogées se disent sceptiques sur l’utilité du « grand débat national », et moins d’un tiers (29 %) ont fait part de leur intention d’y participer (Sondage OdoxaDentsu consulting des 16 et 17 janvier 2019)

    La défiance vis-à-vis d’Emmanuel Macron s’installe durablement

    • 60 % des personnes interrogées n’ont pas trouvé Emmanuel Macron convaincant lors de ses vœux télévisés du 31 décembre 2018 :  27 % « peu convaincant » et 33 % « pas du tout convaincant ». (Sondage  OpinionWay réalisé pour LCI des 31 décembre 2018 et 1er janvier 2019)
    • Pour 63 % des personnes interrogées, Emmanuel Macron devra retrouver en priorité « la confiance et de la crédibilité auprès des Français » et « prouver qu’il est parvenu à baisser les impôts et à améliorer le pouvoir d’achat » (55%). Seuls 25 % se disent « satisfaits » de l’action du gouvernement depuis l’élection d’Emmanuel Macron, soit 15 points de moins qu’en avril 2018. En outre les ministres français apparaissent plus que jamais impopulaires et atteignent « des niveaux de méconnaissance spectaculaires ». L’augmentation du pouvoir d’achat (54 %) s’inscrit en tête des priorités des personnes interrogées, qui veulent également voir « diminuer la pauvreté et la précarité en France » (45 %) et « baisser le niveau des impôts et des taxes » (41 %).(Enquête Odoxa-Dentsu Consulting  Le Figaro/France Info des 2 et 3 janvier 2019)
    • 75 % des personnes interrogées se déclarent mécontentes (42 % très mécontentes) de l’action du gouvernement depuis l’élection d’Emmanuel Macron : soit 16 points de plus depuis avril 2018. Selon le sondage, le gouvernement mécontente non seulement les Français les moins aisés (87 %) et les ouvriers (82 %), mais aussi les cadres (54 %) et les CSP+ (67 %), ainsi que la France rurale et périurbaine (77 à 79 %), et les citadins (70 % à 74 %) (Sondage Odoxa Dentsu consulting pour Le Figaro et France info, réalisé les 2 et 3 janvier 2019)
    • La cote de popularité d’Emmanuel Macron remonte de quatre points en un mois, à 27 %. Mais 72 % des personnes interrogées restent “mécontentes”, dont 40% de “très mécontentes” (-5) et 32% de “plutôt mécontentes” (+1). 1% ne se prononcent pas  (sondage Ifop pour le JDD du 11 au 19 janvier 2019)
    • L’image d’Emmanuel Macron dans l’opinion se dégrade fortement depuis juillet 2018 :
      « Vous inquiète : 62 %  (+ 6 points)
      « A de l’autorité » : 54 % -15 points
      « Sait où il va » : 47 % -10 points
      « Compétent » : 42 % -9 points

    Sympathique : 38% -12 points

    Proche des préoccupations des Français : 22% -6 points

    (Sondage Ifop Opinion Fiducial, Cnews, Sud Radio  des 29 et 30 janvier 2019)

    Et la confiance dans les médias de propagande continue de chuter

    Les journalistes sont jugés indépendants par seulement un quart des personnes interrogées.

    • La radio est à 50 % de niveau de confiance, soit  moins 6 points sur un an,
    • la presse écrite à 44 %,soit moins 8 points,
    • la télévision à 38 %,soit moins 10 points
    • Internet à 25 %, comme en 2018,

    (32e Baromètre de la confiance dans les médias réalisé par le groupe Kantar pour La Croix du 3 au 7 janvier 2019).

    Michel Geoffroy 03/01/2019

    Crédit photo : George Hodan via Public Domain

    https://www.polemia.com/et-si-lon-donnait-la-parole-aux-francais-xxix/

  • Pourquoi Emmanuel Macron protège-t-il encore Alexandre Benalla ?

    Pourquoi Emmanuel Macron protège-t-il encore Alexandre Benalla ?

    Parce que l’ex-garde du corps détiendrait un certain nombre de secrets compromettants, selon la journaliste Ariane Chemin :

    Ariane Chemin était l’invitée de l’émission Clique, ce dimanche sur Canal plus, pour évoquer « l’affaire sans fin » Benalla. Pour elle, l’homme qui était chargé de la sécurité du président serait au courant de certains dossiers pouvant être compromettants. C’est ce qui expliquerait que le pouvoir fasse son possible pour le ménager. « Emmanuel Macron s’est encanaillé avec Alexandre Benalla, mais il sait aussi qu’Alexandre Benalla peut raconter des choses. », a t-elle affirmé.

    « Il a forcément entendu des discussions politiques. Il a pu entendre une discussion avec Bayrou, il sait comment Macron parle de tel ou tel homme politique. A minima, ces secrets-là, il les connaît. Quand quelqu’un a été viré, qu’est-ce que peut faire la personne virée si elle veut se venger ? Faire du chantage. » Voilà un avis tranché de cette journaliste au Monde, journal qui a révélé l’existence de cet homme chargé de la sécurité du président, et ses violences lors de la manifestation du 1er mai. Elle n’est pas la seule à estimer qu’Alexandre Benalla est protégé pour éviter qu’il ne dévoile des secrets, le président des Régions de France Xavier Morin l’avait déjà déclaré publiquement. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/pourquoi-emmanuel-macron-protege-t-il-encore-alexandre-benalla/

  • A-t-on payé 1.400 milliards d’intérêts sur la dette depuis 1979 ?...

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    C’est Jacques Cheminade qui l’affirmait en 2017 et c’est vrai. Comment paie t-on ces intérêts ? En empruntant et, ce qui est inquiétant c’est que Macron a décidé de mettre l’or de la France, notre or, sur les marchés. Charles Sannat nous en a parlé ICI. Et c’est la JP Morgan qui a mis la main dessus.

    Nous avons déjà la loi qui autorise les banques, à se servir sur le compte de leurs clients et, on nous spolie, en vendant tout ce que la France à de valeur, par petits bouts.

    Si nous avons des prêteurs, c’est parce que nous avons cet or, mis de côté depuis des décennies. Notre souveraineté déjà bien entamée, et c’est la disparition de notre nation (et de bien d’autres) qui sera l’aboutissement final de ce hold-up généralisé. Comment retrouver notre indépendance si notre pays n’a plus aucune garantie ? Tout ça pour faire leur Europe des riches, sur le dos des 500 millions d’européens, appauvris et impuissants (pour l’instant).

    Il faut que cette question, soit à l’ordre du jour dans le Vrai Débat initié par les Gilets Jaunes, qui n’a rien à voir avec le grand débat mascarade voulu par Macron. Personne ne semble se rendre compte de la situation critique, si on rapproche la rumeur de la fusion de la Deutch Bank, détentrice de swaps bien pourris, avec une grande banque européenne, de préférence française (la BNP ou la Société Générale ? CH. Sannat hésite) l’accord signé par le monarque (sans demander l’avis des français) avec Merkel pourrait-il le permettre ?. Quid en cas de gros souci et si notre or a disparu ? Serons nous des esclaves sous tutelle de la finance ?

    Vous avez aussi vu cette info : La France confirme le rapatriement des djihadistes français détenus en Syrie (dont 75% d’enfants (??)), En plus, la ministre de la justice Nicole Belloubet a d’une part confirmé, jeudi 31 janvier sur RTL, qu’une « trentaine » de djihadistes ayant purgé leur peine allaient sortir de prison en 2019. « Lorsque nous sommes face à des détenus de ce type, il y a une évaluation de leur dangerosité, il y a un placement dans un quartier étanche. A leur sortie, il y a évidemment un suivi extrêmement strict par les services de renseignement territoriaux », a précisé Nicole Belloubet.

    Comme nous savons que ces fichés « S » sont « étroitement » surveillés, que ce sont des bombes à retardement, que ça ne les empêche pas d’agir contre la France, nous l’avons vu à mainte reprises. Pourquoi ne pas les renvoyer dans les pays dont ils défendent les valeurs, après les avoir déchus de la nationalité Française, dont il se revendiquent quand ça va mal pour eux ? A t-on besoin de ces dangereux parasites, qu’ils faudra assister financièrement?

    Notre pays est face à un mouvement de contestation social sans précédent, et pendant ce temps là! Le « banquier » dilapide notre pognon et notre or, (il a été placé là dans ce but) nous insulte comme jamais un responsable ne s’est permis de le faire, quant au « filou la Castagne », il est d’accord pour que nous rapatrions des égorgeurs, coupeurs de têtes. Tout ça en mettant en avant, la « violence » des Gilets Jaunes et de leur soi-disant « radicalisation, pour camoufler ses méfaits, selon le principe d’un « clou chasse l’autre ». Bravo!! à cette équipe de bras cassés, qui sont entrain de détruire notre pays.

    Nous sommes au bord d’une guerre civile, que l’exécutif appelle de tout ses vœux vu son comportement, pour finir de mettre en place sa dictature dure. Nous avons affaire à une mafia corrompue qui a les moyens de l’état à sa disposition contre le peuple. Jusqu’à quand les « gardiens de la Paix » payés par le peuple, devenues « forces de l’ordre »au service des imposteurs, vont-ils protéger cette oligarchie nuisible ? Quelques syndicats minoritaires, dénoncent les agissements de ce panier de crabes, vont ils être rejoint par ceux qui considèrent être en priorité au service du peuple? On ne peut que l’espérer. D’autres français en appellent à l’armée. Continuez à vous informer, rapprocher les information, vérifiez et, tirez en les conclusions qui s’imposent.. Bonne réflexion !

    Volti

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2019/02/04/a-t-on-paye-1-400-milliards-d-interets-sur-la-dette-depuis-1-6126286.html

  • INFORMATION ET MÉDIAS BIENTÔT CONTRÔLÉS PAR L'ÉTAT : LA DICTATURE EN MARCHE ?