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magouille et compagnie - Page 1005

  • Pouvons-nous encore leur faire confiance ?

    Pouvons-nous encore leur faire confiance ?

    De Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique :

    « Au fond comme chef de l’Etat, deux choses lui avaient manqué : qu’il fût un chef ; qu’il y eût un Etat. » Ne les croirait-on pas écrites par un historien du futur, à propos de notre Jupiter élyséen, ces lignes qui sont, en réalité, le jugement peu amène que porte le général De Gaulle sur son prédécesseur, le président Lebrun, dans Les mémoires de guerre. Emmanuel Macron s’agite, visite les hôpitaux et les usines. Il parle beaucoup, sans doute trop. Il ne sait pas faire synthétique et impose à son public de longs monologues moralisateurs, en jamais moins de 25 minutes. Au lendemain du putsch des généraux, le général De Gaulle était intervenu à la télévision, le 23 avril 1961, pendant 6 minutes 20 secondes. Ce fut clair, direct et percutant : j’ordonne, j’interdis, j’ai décidé, par tous les moyens. Trois jours plus tard le putsch était avorté, les condamnations pleuvaient, « l’ordre républicain était rétabli. »

    Le fiasco du coronavirus

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  • Des financements pour les hôpitaux , pas pour les promoteurs éoliens !

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    Des chiffres édifiants et dramatiques puisque "la vie et la mort sont en cause..." pour des milliers de personnes victimes de la situation actuelle dans toutes les structures de santé, et particulièrement dans les hôpitaux.... 
    Un seul mot résume la situation actuelle :  "SCANDALEUX..."
    Ci dessous les calculs de "l'équivalent santé" pour seulement.... 7 éoliennes…
    Calculez bien, il y en a 8000 éoliennes en France
    « On est arrivés désarmés" face au coronavirus. Invité jeudi 26 mars sur France info, le diabétologue André Grimaldi, membre des Collectifs inter-hôpitaux, a vivement critiqué la politique hospitalière de ces dernières années. "
    Les  hôpitaux  ont été affaiblis depuis des années par des reformes  pour "faire des économies"
    Pendant ce temps des subventions gigantesques étaient  allouées aux promoteurs de l’éolien. Certains d’entre eux  sont devenus milliardaires
  • « Nous sommes en guerre »… Mais pas trop ! (2)

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    4) Atteinte à la forme républicaine des institutions

    La souveraineté de la nation et la séparation des pouvoirs sont les piliers de notre République. L’autorité émane exclusivement de la collectivité des citoyens qui s’exprime par la loi votée par ses représentants. La loi sur l’état d’urgence sanitaire promulguée le 23 mars, dans des conditions de représentativité plus que contestables, donne ainsi les pleins pouvoirs à l’exécutif qui peut, dans ces conditions, restreindre les libertés individuelles par décrets ou par ordonnances. Autant dire qu’à ce stade, le Parlement ne contrôle plus rien. Ainsi, les confinés de droit que sont les personnes en détention provisoire peuvent voir ce temps de privation de liberté prolongé de six mois sans débat contradictoire…

    5) Atteinte aux moyens de la défense de la nation

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  • Dans Valeurs Actuelles, La France vendue à la découpe - Laurent Izard.

    La pénurie de pompes pour les tubes de gel hydroalcoolique nous a ramené à la réalité. La France n'est plus souveraine économiquement. Par les délocalisation et la vente à la découpe de son patrimoine économique, la France s'est désindustrialisée et s’est rendu vulnérable.

    Interview de Laurent Izard, auteur de "La France vendue à la découpe", paru chez l'Artilleur en 2019.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • « Coronavirus : les chiffres sont faux » :

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/04/04/coronavirus-les-chiffres-sont-faux-6226859.html

  • « fake news » made in Amazon

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    La chronique de Philippe Randa

    Amazon-ci, Amazon-ça… Incontournable Amazon, géant yankee de diffusion, d’abord de livres, puis de tout ce qui peut se vendre via internet. Tout, absolument tout… C’est dire si la pandémie coronavirienne doit être, objectivement, une aubaine pour cette société. À tel point que le 17 mars dernier, elle annonçait le recrutement de 100 000 personnes afin de faire face aux commandes en ligne.

    Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, a même un temps envisagé l’autorisation de réouverture des librairies afin que le monstre ne dévore pas tout crû le marché, accédant ainsi au monopole de la distribution des livres ; un objectif dont il ne s’est jamais caché et dont il se serait rapproché en récupérant les ventes des librairies indépendantes qui seraient donc, elle, deux fois victimes du coronavirus.

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  • « Nous sommes en guerre »… Mais pas trop ! (1)

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    Le petit thaumaturge n’en rate pas une pour se pousser du col, perdu qu’il est dans ce costume présidentiel trop grand pour lui. En cette période de pandémie, le banquier d’affaires aux costumes taillés sur mesure se retrouve en slip, réalisant un peu tard que la gestion d’une crise sanitaire ne se mène pas comme une opération de fusion-acquisition. D’où la tentation d’endosser le treillis. Dans son allocution du 16 mars, il a répété à six reprises « Nous sommes en guerre », d’un ton martial visant à sonner « la mobilisation générale » contre « un ennemi […] invisible, insaisissable ».

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  • La Troisième Guerre mondiale a commencé : c’est la guerre des masques !

     Osant un vilain jeu de mots, je dirais bien qu’avec la pénurie, les masques tombent enfin… Si les Bourses du monde entier n’en finissent plus de dégringoler, le business n’est pas mort pour autant.
    Et à ce jeu-là, les vainqueurs sont évidemment ceux qui peuvent faire monter les enchères.
    Je rappelais hier cette phrase de Donald Trump : « Nous mettons en place l’effort le plus agressif et le plus complet de l’histoire moderne face à un virus étranger. »
     Je sais que bien des gens, ici, applaudissent : « Cet homme-là, au moins, s’occupe de son peuple ! » Je le redis pourtant : vu de l’intérieur, il est évident que le peuple dont Trump s’occupe, quand bien même il monte des murs à la frontière du Mexique, n’est certes pas le petit peuple.
    La « bonne santé » tant vantée de l’économie américaine – mais résistera-t-elle au Covid-19 ? – ne profite toujours pas aux petites gens mais aux grosses fortunes bien établies.
    S’il y a donc une vérité dans la phrase citée plus haut, c’est à coup sûr le mot agressif.
    On apprend, en effet, que, du fait de cet « effort agressif », nos commandes de masques à la Chine ont déjà en partie rejoint une autre destination que la France.

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  • Comment la France se prive de 150 000 à 300 000 tests par semaine

    Depuis le 13 mars, le gouvernement dispose d’une solution pour augmenter considérablement les capacités de tests de la France. Mais rien n’a bougé.

    Les biologistes médicaux sont des gens polis. Lorsque Le Point les a contactés il y a 10 jours, ils ont hésité à parler. « Nous sommes en contact avec le gouvernement, la situation va forcément se débloquer… » Et puis ? Et puis rien. Silence radio. Un silence « incompréhensible », pour plusieurs des directeurs de laboratoires départementaux que Le Point a entendus. Les Français les connaissent mal, mais ils sont un rouage essentiel de notre système de santé. Implantés sur tout le territoire, 75 laboratoires publics (et leurs 4 500 employés) dépendent des départements, et assument la lourde tâche d’effectuer les analyses de contrôle des eaux, d’hygiène alimentaire ou de santé animale. Contrairement aux laboratoires de santé humaine, qui ne traitent ordinairement qu’un faible nombre d’analyses, ils sont dimensionnés pour travailler « par troupeaux », à la chaîne : pendant les crises de la vache folle ou de la peste aviaire, ils ont réalisé des dizaines de milliers de tests… par jour ! Et justement : c’est cette spécificité qu’ils pensaient que le gouvernement prendrait en compte.

    Le Point

    https://www.tvlibertes.com/actus/comment-la-france-se-prive-de-150-000-a-300-000-tests-par-semaine

  • Jean-Frédéric Poisson : « L’Union européenne a prouvé qu’elle ne sert à rien en temps de crise, elle est inutile et nuisible »

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    Au micro de Boulevard Voltaire, Jean-Frédéric Poisson revient sur le rôle de l’ dans la gestion de la crise sanitaire du Covid-19. Il dénonce l’inaction flagrante de l’institution et le manque de solidarité à l’égard des pays les plus touchés.

    Il suggère également de « tirer des enseignements » de manière individuelle et collective, à l’issue de cette crise sans précédent.

    Alors que l’épidémie de Covid-19 continue de faire des ravages, cette crise sanitaire nous ferait-elle prendre conscience de la désindustrialisation de la France ?
    Est-il encore possible de faire machine arrière ?

    Il est bien sûr temps de faire machine arrière. Premièrement, il n’est jamais trop tard pour bien faire. Deuxièmement, cette crise fait émerger de tels besoins industriels pour notre pays que les Français doivent être convaincus de la nécessité de restaurer notre appareil industriel.
    Troisièmement, la dépendance à l’égard d’un certain nombre de pays étrangers doit nous faire réfléchir sur notre souveraineté industrielle. C’est le cas par exemple sur la question des masques à l’égard de la Chine. C’est aussi un des enjeux de cette crise. Là encore, je pense que les éléments sont réunis pour que les Français comprennent.

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