Le vice-président du Rassemblement National et député européen a évoqué la gestion de la crise du coronavirus par le gouvernement français. «Je vois que depuis plusieurs semaines, les gens qui nous dirigent ont menti aux Français en leur expliquant pendant des mois et des mois que le masque ne servait strictement à rien. (…) Cette crise n’a absolument pas été anticipée», a-t-il expliqué.
magouille et compagnie - Page 1057
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Jordan Bardella (RN): «Les gens qui nous dirigent ont menti aux Français en leur expliquant pendant des mois et des mois que le masque ne servait strictement à rien»
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Les médias entretiennent par leur matraquage le choix du gouvernement de gérer la crise par la peur et la culpabilisation
Selon les Antigones :
Les media reprennent à l’envie le répertoire guerrier des allocutions officielles. Nous sommes en guerre : combattons ensemble le virus… en restant chez nous – pendant que le personnel soignant paye le prix fort, ces héros ! Voilà pour les articles de fond. Pour le reste, les gros titres comptent plus souvent les morts que les survivants, relatent plus volontiers les drames que les pistes d’action. En somme, les médias se font les hérauts d’une psychose collective dont nous nous passerions bien.
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A Sète, les obsèques en grande pompe d’un dealer musulman
Ceux qui refusent encore de croire que la crise du Covid-19 aura été l’occasion pour le gouvernement d’officialiser la bipartition de notre pays, entre des Français de souche soumis à un confinement strict et mis à l’amende et des banlieues ethniques bénéficiant d’un régime allégé et de nombreuses exemptions, devraient méditer sur l’affaire scandaleuse mais ô combien révélatrice des obsèques du dealer musulman Ayoub à Sète. En effet, alors que les restrictions imposées par le confinement interdisent quasiment aujourd’hui à des milliers de familles françaises d’enterrer dignement leurs morts et de leur rendre un dernier hommage, ce multirécidiviste, lui, aura eu droit à une cérémonie funéraire musulmane en bonne et due forme, rassemblant au moins une centaine de personnes équipées de masques par la mairie et sous protection policière !
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Le confinement, une occasion de faire passer des lois liberticides
Si le gouvernement du président Micron aura montré toute son incapacité et sa légèreté à gérer la crise du coronavirus, entre volte-face incessants, contradictions permanentes, flou tenace malgré les discours fleuves, inconsistants et ennuyeux au possible du Premier ministre Edouard Philippe, il est en revanche ingénieux pour instaurer un état de droit dictatorial.
Car outre le confinement strict à cause de l’incompétence de ceux qui nous gouvernent, qui aura privé les Français de nombre de leurs libertés fondamentales dont la pratique du culte public catholique, le vote des lois liberticides dans un parlement à moitié vide pour cause de crise du coronavirus est prévu au programme du 13 mai 2020 par Macron and Co.
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Marion Maréchal : “Peut-on continuer avec cet Etat inapte à remplir ses missions fondamentales, alors qu’il prélève 50 % de la richesse nationale ?”
Depuis mon lieu de confinement, j’observe avec attention et inquiétude ce que cette crise du coronavirus révèle de l’état de notre pays. Occultant totalement la pression migratoire aux portes de la Grèce ou le débat sur les retraites, cette pandémie ébranle nos certitudes et met en lumière nos multiples faiblesses. Au-delà des mesures immédiates qu’imposent l’extinction de cet incendie sanitaire, il sera aussi temps de nous pencher sur les solutions structurelles qui devront suivre ce drame.
La France, le jour d’après
J’assiste, heure après heure, au défilé des experts, politiciens, journalistes sur les plateaux de télévision.
Je les entends constater et déplorer la désindustrialisation de la France devenue incapable de produire des masques et des respirateurs sur son territoire. La menace de dizaines de milliers de morts leur ouvre enfin les yeux sur les vertus de l’indépendance nationale. Cet objectif politique, recherché par toute grande nation, n’est pas un simple slogan réactionnaire mais la liberté de ne pas être soumis au bon vouloir de pays étrangers pour sa survie. La France, sixième puissance mondiale, se voit contrainte de quémander l’aide de la Chine pour recevoir en urgence 1 million de masques. Que serait-il advenu de cette précieuse livraison si les chinois n’étaient pas parvenus à endiguer l’épidémie sur leur sol ?
Gouverner c’est prévoir. Exercer le pouvoir, c’est anticiper dans sa globalité et non se contenter d’appliquer à la lettre, et en dernière minute, les préconisations « des scientifiques », pour reprendre un élément de langage inlassablement déroulé par nos ministres depuis plusieurs jours. L’Elysée n’est pas l’académie des sciences, pas plus qu’il ne devrait être une chambre de commerce. Nos gouvernants apprennent, à leurs dépends, ce qu’est l’action politique, la vraie. Eux qui espéraient que l’économie, ouverte de préférence, puisse pacifiquement régenter le monde et organiser les sociétés redécouvrent que c’est la décision humaine et non les flux livrés à eux-mêmes qui font l’Histoire et le devenir d’une Nation.
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Les plaintes s’accumulent contre le gouvernement
L’exécutif sur le banc des accusés. Ce n’est pas un secret, depuis le début de l’épidémie de coronavirus, le gouvernement est pointé du doigt pour sa mauvaise gestion de la crise sanitaire. Et certains Français ne comptent pas s’arrêter aux simples critiques… Près de 55 plaintes auraient d’ores et déjà été adressées à la Cour de justice de la République, seule instance capable de juger les ministres pour des faits commis dans l’exercice de leurs fonctions. Un nombre qui été multiplié par dix en seulement six semaines… Une majorité des plaintes vise le premier ministre, Edouard Philippe, et le ministre de la Santé, Olivier Véran. Une quinzaine vise également Nicole Belloubet accusée d’être à l’origine d’une gestion hasardeuse de la crise dans les prisons. Autres ministres dans le viseur : le ministre du Travail, Muriel Pénicaud, et le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner.
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Elisabeth Lévy : “Pourquoi il faut rouvrir les églises”
Le Premier ministre a parlé d’une éventuelle réouverture des églises pour la Pentecôte, tandis que le ministre de l’Intérieur estimait – en grand théologien – qu’il n’y avait pas besoin de lieu de culte pour prier. Pendant ce temps, la communauté catho s’impatiente, obéissante mais pas soumise, sans brûler de voitures.
Découvrez un extrait de cette tribune d’Elisabeth Lévy sur les ondes de Sud Radio.Encore une éventualité. Les cathos se rebiffent. En ont marre d’être traités « comme la dernière roue du carrosse de la nation française », dixit Monseigneur Lebrun, évêque de Rouen.
Déjà, ils étaient furax quand la police est entrée dans une église parisienne le 19 avril. «Il faut arrêter ce cirque, sinon on va aboyer très fort !», a prévenu Monseigneur Michel Aupetit, archevêque de Paris. L’annonce d’Édouard Philippe le 28 avril, selon laquelle il n’y aura pas d’ouverture des lieux de culte avant le 2 juin a fait monter la tension. La Conférence des évêques de France a tenu des visioconférences de crise avec 73 parlementaires. Il en ressort que les pratiquants ne sont pas des citoyens de seconde zone, qui vaudraient moins que des consommateurs.
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Emmanuel Macron : entre enfilage de perles et calinothérapie
Ce lundi-là, c’était donc atelier « enfilage de perles » à l’Élysée. Alors qu’Édouard Philippe n’avait pas achevé son discours devant les sénateurs, Emmanuel Macron donnait une conférence impromptue au pied du grand escalier du palais. Comme une envie qui vous prend entre deux rendez-vous et la signature du courrier. Le Figaro, qui est toujours poli, parle de « cacophonie » au sommet de l’État. On va dire ça comme ça.
Et Emmanuel Macron a pris la parole pour dire quoi ? Pour inviter les Français à aborder le déconfinement avec « beaucoup d’organisation », de « calme », de « pragmatisme et de bonne volonté ». Merci, on n’y avait pas pensé. Des fois qu’il leur prendrait l’envie, aux Français, d’aborder le déconfinement avec beaucoup de confusion, d’agitation, de poésie et de mauvaise volonté.
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Un non-confinement sous encadrement sanitaire serait plus efficace que le confinement contre le coronavirus
06/05/2020 – INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
C’est ce que semble montrer une comparaison qui a été faite sur Dedefensa.org entre la Belgique et les Pays-Bas. Dès le 17 mars, la Belgique a adopté un confinement radical à la Française. Les Pays-Bas, quant à eux, ont appliqué un minimum de mesures sanitaires obligatoires. Les chiffres publiés par l’OMS permettent de comparer l’efficacité sanitaire des mesures adoptées. -
Le freluquet savait, souhaitons que les familles des victimes du covid -19 n'oublient pas de lui présenter la note
Révélations très graves du Canard Enchainé : Emmanuel Macron savait les risques d'épidémie depuis décembre 2019, mais il n'a RIEN anticipé !Même pas la constitution d'un stock de masques préventif...L'exécutif n'a pas été pris au dépourvu : il est en-dessous de tout !