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magouille et compagnie - Page 1057

  • Arabie Saoudite : vers un nouveau choc pétrolier ? – Journal du lundi 16 septembre 2019

     

    Arabie Saoudite : vers un nouveau choc pétrolier ?

    Une attaque de raffinerie en Arabie Saoudite fait monter le cours du brut ! Ce nouvel épisode de tension régional qui laisse envisager le pire en termes de possible conflit ouvert au Proche Orient mais aussi pour les économies européennes.

    Le Rassemblement National en ordre de bataille à Fréjus

    C’était la rentrée politique du Rassemblement National. A moins de 7 mois des élections municipales, le parti de Marine Le Pen lançait la bataille dans la ville de Fréjus, une des communes administrées par le parti depuis 2014.

    L’oubli patrimonial de Nicole Belloubet

    Le ministre de la justice, Nicole Belloubet, est accusé par Jean-Luc Mélenchon d’avoir oublié de mentionner trois biens immobiliers dans une déclaration de patrimoine en 2017. Simple oubli ou tentative de fraude? l’indépendance de l’appareil judiciaire est une nouvelle fois mise à mal.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/arabie-saoudite-vers-un-nouveau-choc-petrolier-journal-du-lundi-16-septembre-2019

  • Justice indépendante : le lapsus très révélateur de Nicole Belloubet …

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    Interrogée sur LCI, ce dimanche midi, Mme Belloubet a eu un lapsus très révélateur : « Je parle à mes procureurs… pardon, aux procureurs. » Elle évoquait l’indépendance du parquet… 

    Pour rappel, Mme Belloubet utilise couramment ce terme « mes procureurs », cas unique pour un garde des Sceaux, et elle s’est reprise en la circonstance, vu la question posée…
    Simple lapsus ? Jugez plutôt le reste de l’entretien.
    – Sur Balkany : « Il serait malvenu de changer de position quant à la remise en liberté du maire de Levallois. » Un garde des Sceaux qui donne son avis sur une affaire jugée et pour laquelle l’intéressé va faire appel. Qui plus est sur un dossier éminemment politique. Vous voyez les juges statuer en toute quiétude, après cela ? Rendre une décision contraire ?
    – Sur Richard Ferrand, dont il faut rappeler que les juges ont relancé le dossier après que le parquet de Brest l’avait enterré il y a deux ans : « Il est mis en examen, donc pas coupable définitivement, il n’a pas à démissionner. Un député, ce n’est pas comme un ministre. » Peu importe, donc, que les députés soient probes ou pas, leur implication judiciaire n’est pas de nature à nuire à leur image, donc à leur fonction… Allez comprendre ! En tout cas, chacun pourra apprécier cette réflexion au regard de l’assainissement de la vie politique, auquel le « nouveau monde » devait aboutir. Rappelons que, sur ce dossier, c’est Macron qui a directement pris position pour Richard Ferrand : que faudrait-il faire de plus si on voulait intimider les juges ? Mme Belloubet a juré ses grands dieux qu’il n’y a pas de justiciable privilégié.
    – Sur son oubli de mentionner une maison et deux appartements lors de sa déclaration de patrimoine : « C’est une omission, ce n’est pas volontaire et, d’ailleurs, la Haute Autorité a dit qu’il n’y avait rien de douteux. » Évidemment, la Haute Autorité est totalement indépendante, elle aussi, et cette décision en atteste formellement.
    – Au sujet du procès Fillon, qui sera audiencé juste avant les élections municipales, le ministre a affirmé qu’il fallait y voir une simple coïncidence de calendrier, rien de plus ! Comme le déclenchement des affaires Fillon et Marine Le Pen, en février 2017, devaient l’être aussi… Au vu de ce qui précède, si j’étais à la place de M. et Mme Fillon, je m’inquiéterais sérieusement…
    En réalité, jamais la Justice n’a été à ce point aux ordres, et les succès électoraux de Macron ne reposent que sur une instrumentalisation de la Justice contre l’opposition. Voila trois ans que Macron est apparu sur l’avant-scène du pays, l’actualité politique se résume, depuis, à une litanie d’affaires judiciaires, poussées à fond et surmédiatisées lorsqu’il s’agit d’opposants, absoutes ou euphémisées quand il s’agit des proches du pouvoir…
    Olivier Piacentini pour bvoltaire.fr
  • Les Français contribuent, sans le savoir, au financement des bateaux de réfugiés

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    Ocean VikingOpen ArmsLifelineAlan KurdiMare JonioSea Watch 3… Vous connaissez sans doute le nom de certains de ces « navires humanitaires » qui aident les réfugiés à traverser la Méditerranée, mais savez-vous que vous participez tous à leur financement, bon gré mal gré ? C’est, du moins, la conclusion qu’on peut tirer d’une enquête du Figaro, intitulée « Que sait-on des bateaux qui aident les migrants en Méditerranée ? »

    On apprend ainsi que l’Ocean Viking, qui appartient à SOS Méditerranée, est financé par 98 % de dons privés, dont 59 % venant de particuliers et 39 % d’entreprises, fondations et associations (notamment Emmaüs et la fondation Abbé-Pierre). Restent 2 % de subventions publiques, parmi lesquelles se distinguent la Nouvelle-Aquitaine, l’Occitanie et la mairie de Paris, dirigées par des coalitions de gauche. Vérification faite, la région de Nouvelle-Aquitaine a bien voté une subvention de 50.000 euros à SOS Méditerranée, lors d’une commission permanente qui s’est tenue le vendredi 16 novembre 2018. Seuls les élus du Rassemblement national s’y sont résolument opposés.

    L’ensemble des contribuables de certaines régions, quelle que soit leur opinion sur l’arrivée massive de migrants, ont donc contribué, sans le savoir, à alimenter les caisses d’ONG dont ils n’approuvent pas nécessairement l’action. Le pouvoir politique a décidé pour eux. Mais la contribution des Français ne se limite pas aux régions concernées. Les dons aux associations humanitaires bénéficient de réductions d’impôt : un manque à gagner pour la collectivité nationale, ce qui revient, en quelque sorte, à faire supporter par l’ensemble des contribuables ce cadeau fiscal. Il est vrai que ce n’est pas le seul domaine où l’État engage des dépenses sans demander l’avis des simples citoyens.

    On apprend aussi que le bateau Alan Kurdi (du nom du petit garçon mort noyé, dont la photographie avait fait le tour du monde), affrété par l’ONG allemande Sea Eve, est entièrement financé par des dons. Parmi les sponsors publics, plusieurs communautés chrétiennes allemandes, principalement protestantes, ainsi qu’un groupe de rock alternatif. De même, les missions du Sea Watch 3, qui a défrayé la chronique ces derniers mois, étaient financées à 100 % par des dons de particuliers et d’entreprises, avec l’appui de l’Église protestante d’Allemagne et de plusieurs personnalités de gauche ou des Verts.

    Toutes ces ONG et associations n’ont apparemment guère de peine à trouver des fonds. Carola Rackete, qui était entrée de force dans le port de Lampedusa, a trouvé en moins d’une semaine plus d’1,4 million d’euros pour payer ses frais de justice et poursuivre les activités de son ONG. On a le sentiment, sans sombrer dans le complotisme, que des réseaux politiques, économiques, voire religieux soutiennent ces actions. On ne sache pas que le pape François, fervent défenseur des migrants, en fasse partie. En tout cas, l’Aquarius, privé de pavillon, n’avait pas exclu de naviguer sous pavillon… du Saint-Siège.

    Tout se passe comme si les subventions accordées allaient de soi et n’étaient pas discutables. Le bien est défini par la pensée unique. Au diable ceux qui s’en détournent et s’interrogent sur le bien-fondé d’une politique migratoire laxiste ! En connaissant les dessous de ces financements, au moins ne mourra-t-on pas idiot.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/les-francais-contribuent-sans-le-savoir-au-financement-des-bateaux-de-refugies/

  • L’art de vous manipuler (reportage)

     
     par   15 septembre 2019
     
    Reportage consacré aux techniques de manipulation de l’opinion publique mises au point par Edward Bernays (1891-1995), l’un des inventeurs du marketing, théoricien de “la fabrique du consentement”.

     
     

  • La Rackete contre Lois Démocratiques

    Carola-Rackete
    Carola Rackete, c’est le nom de cette gauchiste allemande, intrônisée capitaine du bateau Sea watch.
    Adepte du forcing sur les ports européens, elle s’est distinguée à Lampédusa pour imposer sa cargaison banboulesque à une Italie, qui n’en voulait pas.
    Jusque là, on savait qu’en Allemagne elle avait été reçue comme une héroïne, parce qu’elle aurait sauvé de la noyade un nombre important de candidats à l’immigration.
    En la circonstance, le terme « sauver » n’est pas approprié, car personne n’a obligé ces individus à se jeter à l’eau avec un canot en caoutchouc, pour traverser la Méditerranée.
    On sait quel est le rôle néfaste de ces ONG gauchisantes, lesquelles, sous couvert « humanitaire » se livrent à un trafic éhonté d’êtres humains, en s’association avec la maffia de passeurs sans foi ni loi.
    En Allemagne, comme en France, cette femme, d’ailleurs masculine dans son genre, est considérée comme un héroïne, une sorte d’Antigone ou de Jeanne d’Arc, par les immigrationistes.
    Le pape Bergoglio (alias François) doit être fier d’elle, alors qu’elle ne prend aucun risque.
    Elle bénéficie au contraire de l’approbation et du soutien des médias, de la Justice et des Etats soumis à Bruxelles.
    Car elle reste dans la droite ligne de la bien pensance et du Traité de Marrakech.
    Mais nous n’avons pas encore tout vu de cette énorme tromperie.
    Dernièrement, elle a été invitée, parmi des experts sur les migrations, le 3 octobre, à Bruxelles pour une conférence sur le sauvetage des « migrants ».
    Et récemment encore, le Parlement catalan, a remis un prix à cette passeuse qui crache allègrement sur la législation des pays, dits d’accueil.
    Félicitée et récompensée pour « ses actions humanitaires ».
    Comme quoi, il suffit maintenant de frauder les lois, en faisant entrer de gré ou de force, des indésirables pour être considéré comme quelqu’un de bien, et un parfait citoyen.
    Pour que l’action, autrefois punissable soit vue comme un fait héroïque.
    Les jeunes Identitaires, en voulant candidement faire respecter, sans violence, le non franchissement de la frontière franco italienne.
    Une action purement symbolique, devront pour cela faire de la prison avec une amende destinée à les anéantir.
    On croit rêver …
    En même temps que Rackete, le directeur de l’ONG Open Arm, a été aussi récompensé.
    Un doigt d’honneur (ou plutôt pour lui, de déshonneur) à toutes les victimes, passées et à venir de la délinquance de ces chances pour la France.
    Activité anti-nationale et frauduleuse de ces ONG que contredisent pourtant les paroles faussement rassurantes de Macron: « Les français et les françaises, qui se sentent oubliés, dans ce vaste mouvement du monde, devraient se voir mieux protégés. Tout ce qui forge notre solidarité nationale, sera refondé, réinventé, fortifié. »
    Justement monsieur Macron, 70 à 8O% des français attendent des actes et pas des paroles.
    Ils veulent l’arrêt de l’immigration.
    Ils ne veulent plus de ces bateaux transporteurs de clandestins.
    Mais on ne peut être un mondialiste sans frontièriste et en même temps assurer la protection des frontières.
    Cette submersion migratoire remonte à plusieurs décennies et le visage de notre pays s’en trouve déformé.
    Paris ne sait plus où mettre ces nouveaux arrivants et ne pense pas à remercier Rackete pour ses bons offices.
    Voilà le commentaire d’un blogueur sur le Net : « Paris est sale, Paris est dangereux, Paris craint… En 10 ans cette ville est devenue un cloaque.
    Des bobos, le nez dans leur smartphone, des roms voleurs, des pickpockets dans les gares, des frotteurs et des obsédés sexuels sans complexe, des clandos qui trainent partout, des racailles en recherche d’un mauvais coup, des vendeurs africains qui se précipitent sur le touriste, des escrocs en costard, des dealers et des toxicos, des rats énormes en plein jour, des poubelles qui débordent, des rues sales avec des détritus en décomposition. Bref, une ville de merde. Je suis mieux dans ma cambrousse ! »
    Serait-ce là, l’avenir environnemental des villes françaises ?
    Onyx

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/la-rackete-contre-lois-democratiques.html#more

  • Quand dix milliardaires détiennent et contrôlent les médias français

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    Par Michel Garroté  : Cela ne dérange apparemment personne que dix milliardaires détiennent – et donc contrôlent – les médias français, ou tout au moins une très grande partie de ces médias. Et cela ne dérange apparemment personne que la très grande majorité de ces médias racontent tous la même chose ; y compris, sur leurs sites Internet, où l’on trouve, jour après jour, les mêmes salades à propos des mêmes personnalités et des mêmes sujets.

    Les folies de Mister Trump ; la malédiction du Brexit ; le merveilleux look de Madame Macron (et la méchanceté des Brésiliens qui osent faire de l’humour à son égard) ; la mort lente, mais définitive (définitive, bien évidemment) de l’Amazonie, patrimoine universel de la verte humanité (patrimoine détruit au lance-flamme par de méchants Brésiliens, encore eux) ; les exploits de Super-Greta ; le racisme de vilains blancs contre d’innocentes victimes non-blanches ; le populisme qui va finir par plonger la planète entière dans une effroyable guerre (mondiale, bien évidemment).

    A ce propos, l’essayiste français Arnaud Raffard de Brienne écrit notamment [extraits adaptés ; cf. source en bas de page] : Même si l’on peut légitimement s’interroger sur le bienfondé de telles fortunes aussi rapidement acquises, forcément au détriment des salariés de ces groupes industriels et financiers mais aussi de leurs fournisseurs trop chichement rémunérés et de leurs clients auxquels il est sans doute vendu trop cher, on ne peut que s’interroger sur l’engouement de ces milliardaires pour les entreprises de presse dont la rentabilité s’avère pourtant de plus en plus problématique.

    Qu’une dizaine parmi ceux-ci, Bouygues, Xavier Niel, Dassault, Bernard Arnault, Bolloré, feu-Pierre Bergé, Patrick Drahi, François Pinault, Matthieu Pigasse et Lagardère détiennent la quasi-totalité des médias devrait quand même éveiller les soupçons des plus placides de nos contemporains. En effet, selon l’adage connu, “qui tient la presse tient l’opinion”, et, dans ces circonstances, comment oser évoquer encore une liberté de presse et d’opinion lorsque l’ensemble des titres appartiennent à une caste microcosmique et pour le moins endogamique ?

    Bernard Arnault, propriétaire, entre autres, des titres Les Échos, Le Parisien et Aujourd’hui en France, s’était fait la main, avec La Tribune, Investir, l’Expansion. Sa fille, Delphine Arnault, partage la vie de Xavier Niel, l’un des propriétaires du quotidien de gauche Le Monde, accessoirement milliardaire lui aussi et 18ème fortune française.

    Daniel Kretinsky, quant à lui, est entré au capital du Monde en octobre 2018 à la faveur d’une alliance avec Matthieu Pigasse ; Kretinsky a investi dans plusieurs médias français l’an dernier : les magazines Marianne, Elle, Version Femina, Art & Décoration, Télé 7 Jours, France Dimanche, Ici Paris et Public.

    Avant de créer Free, Xavier Niel, géant d’Internet, avait bâti sa fortune dans la pornographie, notamment le Minitel rose, et, la création, de peep-shows et de sex-shops. Digne fille de son père, sa moitié, Delphine Arnault, cumule les fonctions les plus valorisantes au sein du groupe, dont celle de membre du conseil d’administration de LVMH. Cerise sur le gâteau, elle appartient aussi au puissant club Le Siècle, créé en 1944 par Georges Bérard-Quélin, membre du Grand Orient de France.

    Pour mieux appréhender l’idée que se font ces milliardaires de la liberté de la presse, il suffit juste de citer Xavier Niel, co-propriétaire du Monde, qui avait publiquement avoué que « quand les journalistes m’emmerdent, je prends une participation dans leur canard et après ils me foutent la paix ». Un style mais aussi tout un programme.

    Quant à son beau-père, Bernard Arnault, il avait, fin 2017, retiré toute publicité au Monde dont un article le concernant lui avait déplu, soit un manque à gagner de 600’000 euros pour le quotidien dit « de référence ». On imagine l’ambiance des fêtes de famille qui s’ensuivirent.

    On imagine surtout les enjeux d’influence et de formatage des esprits des citoyens-consommateurs que permet pareille concentration de la presse dans les mains des magnats de l’économie et de la finance, ajoute Arnaud Raffard de Brienne [fin des extraits adaptés ; cf. source en bas de page].

    Adaptation de Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 12.9.2019

    Source : https://www.noussommespartout.fr/bernard-arnault-un-francais-deuxieme-fortune-mondiale/tour-dhorizon/

    Cet article est initialement paru sur le site Présent dans la rubrique réservée aux abonnés.

    https://www.alterinfo.ch/2019/09/12/quand-dix-milliardaires-detiennent-et-controlent-les-medias-francais/

  • 82 migrants de l’Ocean Viking débarquent à Lampedusa. Pour Matteo Salvini, il s’agit de la reddition de l’Italie face à la volonté de l’Europe

    L’Ocean-Viking, qui recherchait un port pour débarquer les 82 migrants qu’il transportait, a été autorisé par l’Italie à accoster sur l’île de Lampedusa ce samedi 14 septembre. L’ancien ministre de l’Intérieur Matteo Salvini n’approuve pas ce débarquement et parle d’une « reddition »:

    « Manifestement, la promesse de Conte envers l’Europe était que l’Italie revienne dans le camp de réfugiés de l’Europe. Ils rouvrent les ports et pensent à taxer l’épargne de la banque, c’est de la folie. Renvoyons-les chez eux dès que possible. » Le chef de la Ligue ne se fait aucune illusion sur ce qui arrive: le débarquement à Lampedusa est « la reddition de l’Italie face à la volonté de l’Europe. Si la répartition d’immigrants doit se faire en Italie, où la Ligue gouverne, ce sera un « non ». Je dis aux maires de dire non: les réfugiés seront peut-être répartis en Italie, mais les administrateurs de la Ligue diront non.

    Il Giornale

    https://www.tvlibertes.com/actus/82-migrants-de-locean-viking-debarquent-a-lampedusa-pour-matteo-salvini-il-sagit-dune-reddition-de-g-conte-a-leurope

  • L’industrie de la procréation se frotte les mains

    L’industrie de la procréation se frotte les mains

    Les députés LREM et Modem de la commission spéciale bioéthique ont voté deux amendements autorisant les établissements de santé privés à but lucratif à conserver les gamètes destinés à une procréation médicalement assistée (PMA).

    Ce revirement, effectué contre l’avis du gouvernement constitue une grave entorse au principe de non marchandisation du corps humain.

    Pour Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA et auteur du Temps de l’homme, Pour une révolution de l’écologie humaine (Plon) :

    « Comme nous en avions alerté le président de la République, l’abandon du critère d’infertilité médicale pour accéder à la PMA fait glisser la France dans le marché de la procréation. Le gouvernement assurait qu’il serait « non lucratif », ce qui soumettait déjà la procréation, et surtout le corps des femmes, à une forme d’emprise étatique et technocratique. Et voilà que la majorité va plus loin en livrant la procréation artificielle sans motif d’infertilité au marché libéral.

    En réalité, l’autoconservation massive des gamètes est une bombe à retardement. Les femmes vont se retrouver de plus en plus jeunes sous pression pour donner ou vendre leurs ovocytes en échange de leur conservation, avec la perspective illusoire d’une grossesse tardive par FIV qu’on sait dangereuse et aléatoire (75% d’échec). Seul le soutien à la procréation naturelle, par la prévention de l’infertilité et les soins de restauration de la fertilité, peut préserver l’intimité et l’autonomie des femmes contre l’emprise de l’industrie de la procréation. Cette dernière favorise les riches au détriment des pauvres et table sur la fuite en avant technique pour réaliser le maximum de profits. Le tout dernier principe bioéthique qui honorait la France : la non-marchandisation du corps, est en passe de tomber. Il y a de quoi se révolter. »

    Alliance VITA est partenaire du mouvement unitaire Marchons enfants qui manifestera le 6 octobre à Paris.

  • Révolte de dix gouverneurs de la BCE contre Draghi pour éviter l’effondrement monétaire !

    1624555301.jpgMarc Rousset

    La Bourse de Paris a clôturé, vendredi 13 septembre, à 5655, soit pratiquement le plus haut annuel de 5672 du 25 juillet, avec une hausse de 19,55 % depuis le 1er janvier. Wall Street a terminé aussi au plus haut, rassuré par le grand jeu, pour relancer la croissance, de Mario Draghi qui a menti publiquement en proclamant que le « consensus entre les gouverneurs était tellement important qu’un vote eût été inutile » et dévoilé un vaste programme supplémentaire de laxisme monétaire.

    Mario Draghi, prenant acte du ralentissement économique en zone euro, a abaissé le taux négatif de dépôt des banques à la BCE de -0,4 % à -0,5 % pour inciter les banques à prêter aux entreprises et aux ménages. Un système de taux par paliers a été prévu pour alléger les charges d’intérêt actuelles des banques européennes, soit 1,7 milliard d’euros. Draghi a aussi annoncé une reprise des achats d’obligations de dette publique et privée par la BCE, à raison de 20 milliards d’euros par mois, à compter du 1er novembre, « aussi longtemps que nécessaire ». Des prêts géants « LTRO » aux banques en quasi-faillite seront aussi accordés par la BCE.

    En fait, la zizanie la plus complète et la révolte règnent à la BCE, où les dissensions ont éclaté au grand jour ! « La BCE a dépassé les bornes »« il n’était pas nécessaire de recourir à des mesures d’une telle portée »« avec la décision d’acheter encore plus d’emprunts d’État, il sera encore plus difficile pour la BCE de sortir de cette politique. Plus elle dure, plus les effets secondaires et les risques pour la stabilité financière augmentent », a déploré le très sage et compétent Jens Weidmann, président de la Bundesbank, dans le grand quotidien allemand Bild, visant sans le nommer « Draghila » !

    Déplorant plus particulièrement le « redémarrage » des achats d’obligations qui ont déjà permis de déverser 2.600 milliards d’euros sur les marchés entre mars 2015 et fin 2018 pour faire baisser les taux et relancer l’activité, le gouverneur néerlandais Klaas Knot n’a pas hésité à lancer un pavé dans la mare de l’univers feutré de la BCE, sous forme d’un communiqué : « Cette large panoplie de mesures est disproportionnée par rapport à la situation économique, et il existe de bonnes raisons de douter de son efficacité. »

    Plus grave encore, avant la prise de fonction de la très diplomate et juriste – mais non compétente en matière monétaire – Christine Lagarde, le 1er novembre, la BCE se trouve contestée et fragilisée par dix gouverneurs sur vingt-cinq qui représentent au minimum 60 % du PIB de la zone euro. Se sont opposés au laxisme monétaire, entre autres – ce qui les honore -, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, et le Français Benoît Cœuré, membre ultra-compétent du Comité exécutif, qui devrait occuper la place de Lagarde. Les dix gouverneurs contestent l’urgence et les mesures prises unilatéralement par Draghi. Selon l’agence Bloomberg, « il s’agit d’un désaccord jamais vu dans le mandat de 8 ans de Draghi à propos d’une décision majeure de politique monétaire ».

    La triste réalité, c’est que les banques (diminution des marges et pénalité de 7,1 milliards d’euros sur les dépôts à la BCE) et les compagnies d’assurance-vie (mort lente avec la chute des rendements des fonds en euros et risque de faillite en cas de remontée des taux et donc de krach obligataire) sont en danger mortel. L’erreur de la Fed et de la BCE est de mener depuis trop longtemps une politique monétaire à seule fin d’éviter un krach boursier et obligataire, ce qui se traduit par des bulles boursières et immobilières encore plus élevées, le maintien en vie des entreprises zombies, la spoliation des épargnants.

    Le seul avantage est d’assurer la solvabilité des États qui, tels les paniers percés français et italiens, continuent à s’enfoncer dans la dette publique. Dès la moindre remontée des taux, avec une charge de la dette de déjà 40 milliards d’euros, la France sera en faillite !

    Il ne reste plus, en fait, à des pays comme la France, que le choix de sombrer de deux façons : soit par la fuite en avant monétaire actuelle qui se terminera par des krachs boursiers et obligataires, l’hyperinflation et la situation de l’Allemagne en 1923, soit par la hausse des taux et la fin du laxisme monétaire qui conduira à la récession, à la déflation, au chômage et à un krach mondial, style 1929, infiniment plus violent. Dans les deux cas, ne survivront économiquement que ceux ayant acheté de l’or et des actifs réels.

    Boulevard Voltaire cliquez ici

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