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Le Premier ministre vient d’annoncer, mercredi, l’arrêt d’un réacteur de Fessenheim le 22 février. En juin 2020, la centrale nucléaire aura cessé de fonctionner : les Verts auront gagné…
Examinons les circonstances et les conséquences de cette fermeture à la lumière des rapports des députés Mariton (UMP à l’époque) et Goua (PS à l’époque) ainsi que des publications de la Cour des comptes.
Le coucou est un oiseau opportuniste qui réussit à faire alimenter et élever sa progéniture par d’autres espèces. Pour ce faire, la femelle coucou pond son œuf dans un nid d’une autre espèce qui le couve bêtement avec ses œufs. Une fois le coucou sorti de sa coquille, son premier boulot consistera à virer par-dessus bord les œufs de l’espèce accueillante afin de supprimer la concurrence. Ensuite, les parents « accueillants » vont se fatiguer à nourrir le petit coucou qui a de gros besoins.
Pour vivre heureux, vivons cachés
C’est en quelque sorte la stratégie déployée par La République en Marche pour les prochaines municipales. Les consignes transmises aux futurs candidats pour cette élection, sont claires : éviter autant que faire se peut, de se réclamer du parti présidentiel et, si possible, c’est-à-dire si une liste « chimiquement pure » de ce type ne peut pas être constituée, proposer des « alliances » avec d’autres listes, y compris des sortantes.
Depuis l’évacuation du camp de migrant de la porte de la Chapelle à Paris en novembre 2019, des milliers de clandestin s’entassent au niveau de la porte d’Aubervilliers. Si une évacuation est bien prévue et devrait avoir lieu avant la fin du mois, ce sont près de 2500 personnes, migrants et toxicomanes de l’ancienne « colline du crack » qui se retrouvent dans un gigantesque bidonville.
Au fil des mois, la situation s’est dégradée porte d’Aubervilliers. Désormais, près de 2500 clandestins, hommes, femmes et enfants, survivent dans des conditions inhumaines au milieu de consommateurs de crack (qui seraient environ 140) dans ce qui est devenu un véritable bidonville en bordure de périphérique, improvisé avec des tentes et des cabanons de fortune, en proie a la violence.
L’organisation France terre d’asile, qui dénonce une situation « inacceptable », hésite parfois à se rendre dans les secteurs où les tensions sont les plus vives. « La situation est désormais intenable », affirme un membre de l’association.
Promis « avant la fin de l’année 2019 » par le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, le démantèlement de ce « camp de la honte » devrait finalement intervenir autour du 20 janvier. C’est en tout cas ce que le préfet de région, Michel Cadot, a assuré en inaugurant, il y a plusieurs jours, un nouveau centre d’accueil et d’examen des situations (CAES) dans le XVIIIe arrondissement de Paris.
Y a-t-il sur terre quelque chose de moins drôle qu’un humoriste de France Inter ? Ils sont nombreux, assurément, à s’être posé la question après la dernière polémique mettant en question cette station qui ne conjugue pas nécessairement service public et pluralisme idéologique.
La Commission européenne annonce via Twitter qu’elle «mobilisera» 100 milliards d’euros pour «changer» l’économie de l’Union dans ce qu’on appelle #EUGreenDeal. «Une folie pure» selon beaucoup.
La Commission européenne écrit qu’elle pense que leur «accord vert» entraînera jusqu’à 1 billion d’euros d’investissements.
Mais leurs espoirs se sont rapidement heurtés à des oppositions. Entre autres, le membre de l’UKIP, Chris French, souligne que les chefs d’entreprise ne sont pas disposés à investir en Europe car leurs «lois sur l’énergie» sont les plus chères au monde.
Le mouvement social, qui a débuté le 5 décembre de l’année dernière, n’en finit pas et a même dépassé les 42 jours : un record absolu dans notre histoire.
Parce qu’à l’évidence, la suppression (provisoire) de l’âge pivot, dans l’instauration du régime de retraite universel par points, a divisé le front syndical, ceci provoquant des tensions entre la CFDT et l’UNSA, d’un côté, puis la CGT et SUD Rail de l’autre. Quant au personnel hospitalier et aux avocats, sans oublier les enseignants dans une moindre mesure, les négociations avec les cabinets ministériels respectifs n’avancent franchement pas. Comme si toutes ces contestations avaient été savamment calculées par le Président Macron. Comme si le grand remplacement des salariés avait été magnifiquement orchestré : les contrats à durée déterminée et autres vacations ayant été intronisés progressivement, depuis des décennies, pour mettre fin aux contrats à durée indéterminée et aux différents régimes spéciaux.
Entretien du 16/1/2020 avec Michel Onfray, philosophe, essayiste, auteur de «Grandeur du petit peuple» (Albin Michel). Il analyse le mouvement de grève, en rejetant la thèse selon laquelle les grévistes feraient preuve d’incompréhension face à cette réforme. Il dresse aussi un tableau sociologique des manifestants, et revient plus généralement sur la crise sociale et ses expressions depuis le mouvement des Gilets jaunes (RT News).
Après un préambule à ne pas manquer, est ici défendue l’idée que les taux bas et négatifs révèlent le coût élevé du maintien artificiel de la solvabilité.
Pour comprendre les faits économiques, financiers et monétaires, il faut prendre de la hauteur et faire le vide dans son esprit.
En particulier il faut gommer totalement les narratives des élites et de leurs PHD à la solde. En effet leurs paroles n’ont pas pour objectif de refléter le réel et d’en débattre mais de l’influencer, de le tronquer et même de le truquer.
Toute décision économique ou monétaire s’analyse comme un transfert de ressources de la poche des uns vers celles des autres, rien n’est neutre.
C’est la raison pour laquelle la plupart des décisions sont présentées de façon partielle, unilatérale, comme des free-lunchs. Elles sont censées être bénéfiques mais ne rien coûter à qui que ce soit!
Avez vous entendu parler du coût des mesures de sauvetage des banques en 2008? Y a -t-il eu débat? Non!
La modernité pseudo démocratique est manchote ; alors que toute décision devrait être présentée en disant d’un coté il y a ceci mais de l’autre il y a cela, la modernité affirme qu’il n’y a que des récompenses. La modernité démocratique élude le négatif alors que tout est à la fois positif et négatif. C’est la loi du réel, l’ambivalence.
Elle rejette les coûts hors du champ du savoir et lorsqu’ils sont repoussés dans le temps, ce qui est fréquent, elle se contentent de parler de « risque » sans oser dire qui, en fait est l’assureur de ce risque !
L’une des phrases les plus profondes que l’on entend souvent est celle ci: « ils déplorent les effets dont ils chérissent les causes »; cette jolie affirmation serait de Bossuet. Elle montre bien l’opération scélérate des élites et de leurs conseils dans son fondement: la dissociation des causes et des effets.