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magouille et compagnie - Page 1121

  • Institut islamique à Lyon : complicité et soumission de la France au grand jour...

    Andréa Kotarac Conseiller Régional Auvergne-Rhone-Alpes nous révèle que l’Institut islamique inauguré à Lyon est financé par l’Arabie Saoudite ET la France.

    En soutenant ce projet, Castaner et sa clique se rendent ainsi complices des exactions commises par le gouvernement saoudien sur leur population.

    En mars 2020, lors des municipales, dans votre ville où votre village, votez utile, votez souverainiste !

    Action française Lyon

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/01/institut-islamique-a-lyon-complicite-et-soumission-de-la-france-au-grand-jo.html

  • HOPITAL PUBLIC : LES VRAIES RAISONS DE LA CRISE (Dr Jean Philippe de la Ribausière)

    L’hôpital public traverse aujourd’hui une crise sans précédent, que certains qualifient même d’existentielle, c’est dire ! D’abord révélée par les services d’urgence saturés (chaque année, 21 millions de personnes se présentent aux urgences, dont 4 millions sans en avoir besoin), elle s’est étendue à la majeure partie des services, au point qu’un Collectif Inter-Hôpitaux s’est récemment créé parmi les professionnels de santé hospitaliers et les patients (appelés dans la novlangue « usagers de santé ») afin d’organiser une rébellion contre les politiques d’austérité mises en œuvre depuis déjà de nombreuses années.

    UNE CRISE EXISTENTIELLE…

    D’après ce Collectif, l’état des lieux est le suivant : les économies demandées aux hôpitaux publics, année après année, ont entraîné des difficultés majeures d’accès aux soins, une dégradation de la qualité et de la sécurité des soins, un épuisement des personnels hospitaliers.

    Ils estiment que les pertes de chances pour les patients, par manque de moyens, sont devenues réelles. Effet pervers de cette dégradation chronique, les soignants et les médecins quittent l’hôpital, entraînant des vacances de poste et une majoration des sous-effectifs en personnel dans les services, l’hôpital public devenant de moins en moins attractif.

    L’INSUFFISANCE DES CREDITS N’EST QU’UN ASPECT DU PROBLEME

    C’est pourquoi ce Collectif associé au Collectif Inter-Urgences demande un plan d’urgence pour l’hôpital public avec un financement à hauteur des besoins de santé.
    Ce mouvement de protestation tombe à pic dans le calendrier, avec le vote prochain de la loi de financement de la sécurité sociale qui ne prévoit qu’une augmentation de 2,1 % de l’ONDAM (Objectif National des Dépenses d’Assurance Maladie) hospitalier, alors qu’il faudrait une augmentation d’au moins 5% pour compenser l’argent non affecté des années précédentes.
    Si la loi est votée en l’état, les restrictions budgétaires pour les hôpitaux se poursuivront, avec l’aggravation du phénomène décrit précédemment.

    L’opposition entre directeurs d’hôpitaux et personnels risque de se renforcer, dans la mesure où les directeurs cherchent avant tout à réduire les déficits et n’évaluent les services qu’à partir de lignes budgétaires, ce qui n’empêche pas certains, comme Martin Hirsch, de se gargariser dès lors qu’il peut mettre en avant (avec toute sa coûteuse « com ») la qualité et l’innovation dans les soins dans les hôpitaux de l’AP-HP.

    Les directeurs d’hôpitaux, soumis aux diktats des Agences Régionales de Santé (ARS), organisent d’énormes groupements hospitaliers, qui facilitent la fermeture progressive des lits et donc la réduction du personnel, motivant leur décision en ne jurant à l’avenir que sur la prise en charge ambulatoire, alors que cette dernière ne peut en fait s’étendre à tous les types de pathologies ni à tous les patients.

    La question des moyens alloués aux hôpitaux publics est certes d’importance majeure, mais ne demeure dans le fond qu’une partie du problème. En effet, si l’Etat se décidait enfin à accorder un budget décent aux hôpitaux, les personnels se plaindraient encore et toujours de conditions de travail dégradées et de souffrances au travail, avec à la clé un manque d’attractivité persistant et préoccupant.

    Car l’hôpital public souffre de maux qui sont très rarement mis en avant…

    DES PROFESSIONNELS DE SANTE PARASITES

    Il y a tout d’abord les nombreux professionnels de santé qui travaillent à l’hôpital public comme des parasites. On peut citer par exemple les médecins dont l’activité est essentiellement libérale et qui profitent de toutes les ressources offertes par leur service. C’est pour eux tout bénef ! Certains ont même le toupet de marchander leurs honoraires avec leurs patients comme dans un souk, d’une façon totalement éhontée. D’autres aggravent leur cas lorsqu’ils sont universitaires, passant leur temps dans des congrès où ils aiment faire les beaux, alors que la majorité des publications scientifiques présentées lors de conférences scientifiques ne valent pas grand-chose…

    On ne les voit pas souvent dans leurs services (pourtant, pour l’administration hospitalière, ils sont bien là, sur le papier !). Les hôpitaux publics étant très souvent des centres hospitaliers universitaires, les doyens des facultés des sciences de la santé, irresponsables, favorisent toujours plus le recrutement de jeunes médecins universitaires ayant un pur profil de chercheur, à l’activité hospitalière fantomatique, alors qu’ils sont pourtant payés pour !

    DES SOIGNANTS PLANQUES

    Il y a aussi tout un tas de soignants planqués. Dans une équipe d’infirmières et d’aides soignantes, il n’est pas rare de voir des professionnels faisant en plus de leur boulot une bonne partie du travail du collègue, la palme de la fainéantise revenant sans doute aux Antillais (qui n’ont un rythme de travail efficace que lorsqu’ils travaillent au black…), très (trop !) nombreux dans nos hôpitaux publics.

    Certains sont assez adroits pour faire bonne figure jusqu’à leur titularisation, et après, ne font plus aucun effort. Et sauf faute grave, ils peuvent ainsi glandouiller dans leur service jusqu’à la retraite.
    L’idéal serait de pouvoir virer tous ces vilains petits canards.

    L’ISLAMO-AFRICANISATION

    L’autre mal qui mine nos hôpitaux publics, c’est le phénomène d’islamo-africanisation. Au fil des années, il est devenu de plus en plus frappant, y compris dans les hôpitaux parisiens des beaux quartiers. Si, individuellement, cela peut ne pas poser de problème, à plus grande échelle, c’en est toujours un, d’autant plus prégnant dans le contexte actuel où la France est soumise à des attentats de façon récurrente.

    Au point de donner presque raison à Brenton Tarrant, qui écrivait en substance dans son manifeste que les allogènes non-armés sont plus dangereux que ceux qui ne le sont pas. Les professionnels de santé de confession musulmane ne sont-ils pas en effet montrés en exemple aux Français quand il est question de « ne pas faire l’amalgame » ?  

    urgences-islam-300x150.jpgPourtant, l’islam est un vecteur constant de violences de toutes sortes, y compris psychologiques, du fait qu’il s’agit d’un système politique et juridique d’essence totalitaire. Ces violences qui n’épargnent personne sont responsables d’une maltraitance chronique des personnels hospitaliers qui finissent par craquer.

    Patients ou familles de patients mahométans véhiculent à longueur de temps, en particulier aux urgences, des revendications communautaristes de plus en plus agressives.

    Côté personnel, on ose certifier des hôpitaux alors que de très nombreux médecins pratiquent le ramadan, mettant en danger la sécurité des patients pendant un mois chaque année. Sans compter que rien n’empêche que l’un d’eux ne se radicalise (tout musulman étant un djihadiste en puissance) et fasse un carnage dans un hôpital, un fusil d’assaut à la place du stéthoscope.

    Ce phénomène d’islamo-africanisation des hôpitaux est un facteur majeur de leur perte d’attractivité, sachant qu’il est directement responsable d’un processus de « shitholisation » * au quotidien que tout Français de cœur et d’esprit, même formaté façon bobo gauchiste, finit par fuir comme la peste.

    750 M€ DANS LES 2 ANS ? MOINS QUE LE COUT DE L’AME (1 Milliard €) !

    Confrontés à cette situation inadmissible (dont certains sont conscients, d’autres encore dans le déni), les directeurs d’hôpitaux, les ARS, le ministère de la santé ne font rien, strictement rien.

    Ils accordent tout au plus une aumône, comme l’a fait récemment Agnès Buzyn avec son annonce de débloquer 750 millions d’euros d’ici 2022 pour tenter de résoudre cette crise. C’est en fait se moquer du monde, quand on connaît le montant de l’AME destinée à assurer des soins aux clandestins pseudo-réfugiés toujours plus nombreux ainsi que le coût de l’immigration pour l’Etat, que certains économistes évaluent à plus de 100 milliards d’euros par an.

    Une bonne partie de ces milliards pourrait être investie prioritairement dans la santé si la France disposait d’un Etat sain gouvernant selon une politique fondée sur la raison et non sur cette superstition mortifère de la dignité et de l’égalité entre tous les hommes. Il faudrait les consacrer en priorité à la santé de tous les Français respectueux des lois de la République et sachant garder leurs croyances religieuses dans la sphère privée lorsqu’ils consultent à l’hôpital public.

    A défaut d’une prise de conscience de nos gouvernants que ce n’est absolument pas le rôle des hôpitaux français de soigner la moitié de l’Afrique (véritable tombeau de l’humanité au XXIe siècle), les professionnels de santé pourraient déjà réduire de façon simple et rapide leur charge de travail, en particulier aux urgences.
    Il suffirait en effet de faire appliquer dans les hôpitaux publics des règles drastiques de laïcité, afin que toute manifestation ostentatoire d’une religion soit formellement interdite (en particulier vestimentaire, à commencer par le voile).

    Emmanuel Macron s’est d’ailleurs lui-même récemment prononcé à ce sujet en soulignant le devoir de neutralité dans les services publics. Les patients de confession musulmane ne seraient pris en charge dans les hôpitaux publics que s’ils font passer les lois de la République au-dessus de la charia. Ceux pour qui la charia passe avant tout pourraient toujours se soigner avec de la pisse de chameau, dont les sciences islamiques ont démontré l’efficacité. Si, si !

    L’état désastreux actuel de l’hôpital public n’est que le reflet tragique de notre société en proie à une œuvre politique de destruction amorcée dès les années 70-80.
    Il faudrait une révolution pour enrayer le processus, à commencer par une révolution spirituelle.

    Mais je crains que les choses ne se clarifient qu’une fois nos hôpitaux civils transformés par la force des choses en hôpitaux militaires…

    * de l’anglais : « shit hole » ; en français : fosse à purin ; « purinisation », pourrissement…

    Dr Jean Philippe de la Ribausière
    30 octobre 2019

    https://www.minurne.org/billets/21894

  • Il faut sauver la France de la mort!

    L’image contient peut-être : texte
     
    Michel Daniel Batail

  • Impôts : Virginie Pradel dénonce l’« expansion de l’obscurantisme » fiscal

    http://www.contre-info.com/impots-virginie-pradel-denonce-l-expansion-de-lobscurantisme-fiscal

  • Robert Ménard : « Je suis abasourdi et en colère, c’est un crime de brûler une école, c’est inacceptable ! »

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    Dans la nuit de jeudi à vendredi, une école primaire, un collège et plusieurs véhicules ont été incendiés dans le quartier de la Devèze, à Béziers.

    Le maire de la ville, Robert Ménard, exprime sa colère et son incompréhension au micro de Boulevard Voltaire.

  • Édouard Philippe : son plan rantanplan pour la Seine-Saint-Denis

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    « 10.000 € à celui qui réussit à tenir cinq ans dans le département de la  ! Approchez, Mesdames, Messieurs les fonctionnaires ! Par ici, les téméraires, par ici, les valeureux ! Qui veut tenter sa chance ? »

    Pour les besoins de son plan pour la Seine-Saint-Denis, Édouard Philippe se fait bateleur de fête foraine. À la manière de ces attractions d’antan où, juché sur une estrade, un bonimenteur faisait miroiter une prime mirobolante à toute personne qui parviendrait à terrasser le colosse maison, debout à ses côtés en maillot léopard, le Premier ministre promet monts et merveilles aux agents des services publics qui réussiront à survivre cinq ans dans l’enfer de la banlieue nord.

    Dans sa version moderne, l’annonce peut s’apparenter à une épreuve de « Fort Boyard ». En plus difficile. Le colosse, les tigres, les araignées et le saut à l’élastique réunis en un seul lieu. À la porte d’Aubervilliers, Olivier Mine retournera la clepsydre remplie d’eau bleutée et les malheureux entreront dans le département maudit. Sur un écran, quelques collègues restés au dehors encourageront les concurrents… « Allez, tu peux y arriver ! Plus que quatre ans et demi ! »

    Vidéosurveillance renforcée, installations des médecins prises en charge jusqu’à 100 %… Des ponts d’or pour les inconscients prêts à s’aventurer en ce territoire hostile. Matignon passe en mode « Française des jeux » : 100 % des gagnants ont tenté leur chance dans le 93. Certains en reviennent indemnes ! Et cousus d’or !

    Une fois de plus, le satané Zemmour vient dire tout haut ce que beaucoup osent à peine penser tout bas : « Le problème de la Seine-Saint-Denis, c’est l’immigration, pas la police ou le logement. » Face à lui, sur le plateau de CNews, les mêmes faux-semblants. Pour ceux qui auraient raté les épisodes précédents, revoici la faute à l’urbanisme, la faute aux transports, la couleur des murs, l’âge du capitaine… À venir : la faute au dérèglement climatique.

    En tant que copier-coller des gouvernements précédents, la Macronie perpétue le folklore désormais bien établi du plan banlieue. À défaut d’en finir avec le laxisme ambiant, avec la peur de l’embrasement et autres terreurs de poules mouillées, le gouvernement Philippe ressort le biniou cracheur de fric. Cette finance miraculeuse qui, d’un seul coup d’un seul, transformera le loup en agneau, le cannabis en pâte à modeler et la mosquée salafiste en temple bouddhiste.

    Dans son numéro de pyromane qui finance la caserne des pompiers, Édouard Philippe fut impeccable. Plan, plan, plan, rantanplan… Et quel sens du rythme !

    Jany Leroy

    https://www.bvoltaire.fr/edouard-philippe-son-plan-rantanplan-pour-la-seine-saint-denis/

  • Les preuves de la réalité du grand remplacement, par Jean-Yves Le Gallou

    Les preuves de la réalité du Grand Remplacement

    Si la désinformation est extrêmement répandue, l’immigration est assurément le domaine où elle est la plus forte, notamment sur la question du grand remplacement.  Sur ce point, curieusement, les grands médias tiennent conjointement des propos contradictoires puisqu’ils affirment à la fois que le grand remplacement n’existe pas… mais également qu’il n’est pas voulu !

    2133997750.jpgJean-Yves Le Gallou

    1. « Le grand remplacement n’existe pas »

    Pour discréditer ceux qui affirment l’existence du grand remplacement, les médias utilisent, là encore des arguments contradictoires puisqu’ils soutiennent d’une part que la France a toujours été une terre d’immigration mais, d’autre part, que la structure de la population n’a pas fondamentalement changé.

    « La France a toujours été une terre d’immigration »

    638039703.jpgComme il ressort de la monumentale étude (1) dirigée par Dupâquier (2), c’est une contre-vérité. En réalité, pendant 5.000 ans, la population française issue d’un peuplement indo-européen a très peu varié : quelques pourcents en quelques siècles. L’essentiel des mouvements migratoires s’est fait à l’intérieur du continent européen, y compris ce que l’on a nommé « les grandes invasions ».

    Il est vrai qu’à la fin du XIXème et au début du XXème siècle la France a connu des phénomènes d’immigration mais il s’agissait pour l’essentiel de populations catholiques venues de Pologne, d’Italie, d’Espagne ou du Portugal. Cela est resté vrai jusqu’aux années 1960.

    « La population immigrée est stable »

    Même à s’en tenir aux statistiques officielles, c’est faux. En 1911, la population étrangère représentait 3 %, aujourd’hui 5 à 6 %. Cette évolution pourrait sembler minime mais, en réalité, ce chiffre – dont les immigrationnistes se plaisent à souligner la constance au cours des dernières décennies – dissimule une réalité bien différente. A chaque fois qu’arrivent sur le sol français 100 ou 150 000 étrangers, autant sont naturalisés.

    dupaquier.jpg

    Jacques Dupâquier

    Dès lors, si la réalité administrative ne change pas (la proportion d’étrangers) il est une autre réalité qui change considérablement : la réalité culturelle, politique, sentimentale, civilisationnelle. Aujourd’hui le terme « Français » a perdu beaucoup de son contenu, car on peut avoir la nationalité française sans avoir le moindre attachement à la France, en tous cas en ne participant guère à sa civilisation.

    On peut évaluer à 20 %, la part de la population qui n’est pas originaire de France ou d’Europe. Chiffre que plusieurs sources viennent confirmer. Ainsi, le CSA a reproché aux médias de ne faire apparaître dans les émissions de télévision « la diversité » que pour 18,5%, preuve qu’il considère qu’en réalité son poids démographique est bien supérieur !

    De même l’INED et l’INSEE chiffrent à 19,5 % les étrangers et descendants d’étrangers.
    Certes, ces chiffres prennent en compte les descendants d’européens parfaitement assimilés et donc ce chiffre devrait, dans une certaine mesure, être revu à la baisse. En fait, pour l’essentiel, c’est à la hausse qu’il doit être revu !
    D’abord parce que l’étude en question remonte à la période 2008-2011 et que depuis la situation s’est aggravée.
    Ensuite parce que la population d’origine extra européenne est mal connue. Un rapport parlementaire admet qu’à 30 % près, on ne connaît pas la population de Seine-Saint-Denis !
    Enfin parce que cette étude ne prend en compte que trois générations : les parents, les enfants et les petits enfants d’immigrés, supposant qu’après l’assimilation est complète. Cela était assurément vrai dans le contexte d’une immigration européenne, cela l’est beaucoup moins s’agissant d’une immigration extra-européenne.

    On prétend également que les entrées sont stables alors qu’en 2008 on a recensé 210 000 entrées et en 2018 410.000 (3) entrées soit près du double !

    Ce chiffre de 20 % que j’évoquais plus haut est également corroboré par 2626626302.jpgJérôme Fourquet dans son dernier livre au titre d’ailleurs très révélateur : L’Archipel français – Naissance d’une nation multiple et divisée (4). Le directeur du département Opinion et Stratégies d’Entreprise de l’institut de sondages IFOP constate que 18,5 % des nouveau-nés de sexe masculin ont un prénom musulman. Ce chiffre, il faut le souligner, ne tient pas compte des prénoms ambigus et ne donne une idée que de l’immigration musulmane et non pas extra-européenne dans son ensemble, tant il est vrai que celle-ci n’est pas exclusivement musulmane.

    Autre indicateur : le test de la drépanocytose intéressant parce qu’il est effectué à la naissance et qu’il s’agit d’une maladie concernant essentiellement les extra-européens.
    Ce chiffre assurément est à prendre avec prudence car nos compatriotes antillais et une petite minorité de nouveau-nés européens peuvent être concernés, mais à l’inverse les Chinois par exemple ne le sont pas.  Ce qu’il faut retenir, c’est que ce test qui était positif pour 20 % des nouveau-nés en 2001 en concerne 38 % en 2017.

    Toutefois les chiffres de la démographie, assurément très révélateurs, sont loin de dire toute la réalité du grand remplacement. Ce n’est pas seulement une partie de la population qui change, c’est notre civilisation : la part croissante du ramadan dans la société, la charia qui devient la loi dans certains quartiers, la progression du port du voile, la généralisation du halal (50 % des animaux de boucherie qui sont abattus selon ce rite).

    2. « Le grand remplacement n’est pas voulu »

    Les médias, tout en niant l’existence du grand remplacement, affirment que l’immigration massive n’est pas la conséquence d’une volonté politique, ce qui serait une vision « complotiste ».

    Cette question mérite assurément le débat, même s’il existe des indices difficilement contestables. En premier lieu, chacun peut constater que, à rebours de l’opinion publique (ainsi que le révèlent tous les sondages), le pays légal est infiniment plus favorable aux partisans de l’immigration qu’à ses adversaires. Ces derniers n’auront pas beaucoup accès aux principaux médias ni aux grands éditeurs. En revanche, ils seront souvent accueillis devant les juridictions notamment la fameuse XVII° chambre correctionnelle !
    L’actualité fourmille d’exemples révélateurs. Ainsi, récemment, des identitaires se retrouvent 48 heures en garde à vue pour avoir manifesté pacifiquement. À l’inverse, pour un militant favorisant des entrées illégale sur le territoire, le Conseil constitutionnel fait obstacle à la loi pénale en donnant valeur constitutionnelle au principe de fraternité !

    La comparaison des moyens dont disposent les différents acteurs est également très révélatrice. L’agence européenne Frontex, en charge de la protection des frontières de l’Europe se voit attribuer moins de 500 millions d’euros, somme inférieure à celle dont disposent les associations immigrationnistes subventionnées par des milliardaires comme Soros mais aussi par des institutions publiques, comme l’Union européenne, des États et des régions.

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    Georges Soros

    Alors, qui veut ce grand remplacement ? Il est vrai que de plus en plus de responsables politiques affirment publiquement vouloir limiter l’immigration mais, en la matière, le droit est pour l’essentiel de nature jurisprudentielle. Il relève donc de la Cour européenne des droits de l’homme, du Conseil constitutionnel, du Conseil d’État, de la Cour de cassation ou encore de la Cour nationale du droit d’asile.
    Cette supériorité des juridictions sur le pouvoir politique a été particulièrement bien illustrée par la question du regroupement familial : instauré par le gouvernement Chirac en 1976, le gouvernement suivant a tenté de l’abroger ; en vain, car le nouveau décret a été annulé par le Conseil d’État. Ainsi, depuis quarante ans, le regroupement familial continue de s’appliquer. De même concernant le droit d’asile prévu à l’origine pour protéger des petites minorités persécutées dans leurs pays. Il est devenu un moyen commode pour s’installer en France car les juridictions construisent, décision après décision, un droit extrêmement favorable aux étrangers. C’est ainsi que contrairement au droit commun, ils n’ont pas à faire la preuve de leurs allégations que ce soit concernant leur identité, ou pour établir la réalité des persécutions dont ils se prétendent victimes dans leurs pays d’origine.

    Est-ce à dire que les pouvoirs politiques sont impuissants ?
    En réalité, sur la question de l’immigration des mesures énergiques sont indispensables : il faut privilégier non plus les droits individuels de l’homme, mais le droit des peuples à leur continuité historique et à leur civilisation ; l’État doit cesser de subventionner les associations immigrationnistes et abroger les lois Pleven et autres qui empêchent le libre débat sur une question aussi vitale pour l’avenir de notre peuple.

    En refusant de prendre de telles mesures, gouvernement et parlement permettent, qu’ils le veuillent ou non, la poursuite du Grand Remplacement.

    (1) : Histoire de la population française, Paris, PUF, 4 volumes, 1988

    (2) : Jacques Dupâquier, (1922 – 2010) est un historien français et membre de l’Institut (Académie des sciences morales et politiques), spécialiste de l’histoire des populations et de démographie historique.

    (3) : 240.000 titres de séjour délivrés, 120 000 demandes d’asile et 50 000 « mineurs isolés ».

    (4) : Éditions du Seuil, Février 2019

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/01/les-preuves-de-la-realite-du-grand-remplacement-par-jean-yve-6186830.html#more

  • Argent public : Emmanuel Macron fait déraper les dépenses de l’Elysée

    VOITURES, REPAS, MÉNAGE… COMMENT EMMANUEL MACRON FAIT DÉRAPER LES DÉPENSES DE L’ÉLYSÉE

    […]

    En 2018, 89.669 euros supplémentaires ont été déboursés pour l’achat de nouvelles voitures.

    […]

    Autre poste de dépenses important : les frais alimentaires. La facture est cette fois plus élevée de 500.000 euros. Le palais présidentiel explique cette fois avoir dû organiser beaucoup plus de repas de travail…

    […]

    Concernant les frais de ménage, ils ont eux aussi explosé depuis l’arrivée de Macron à l’Élysée, note L’Obs.

    […]

    À cela s’ajoutent les travaux entrepris dans le Palais. La salle des fêtes en tête. Sa rénovation qui a duré cinq mois a pesé lourd dans les finances, en particulier la nouvelle moquette rouge et or qui a elle seule a coûté pas moins de 300.000 euros.

    […]

    Capital

    http://www.fdesouche.com/1288023-argent-public-emmanuel-macron-fait-deraper-les-depenses-de-lelysee

  • Et encore un nouveau « plan banlieue » : une nouvelle arnaque en perspective ?

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    Les plans banlieue se suivent et se ressemblent. À chaque fois, on déverse des millions d’euros pour plus de policiers, plus de professeurs, plus de services publics, plus de ceci et de cela.

    Cette fois, c’est le Premier ministre Édouard Philippe qui s’y colle. En ligne de mire ? La , dont il est dit qu’il serait le « département le plus pauvre » de France. Les mesures ? Toujours les mêmes ou à peu près : « Prime de fidélité pour les fonctionnaires », des « caméras de vidéosurveillance » par wagons, et de nouveaux moyens, financiers toujours, histoire d’en finir avec « le sentiment que l’on n’obtient pas justice en Seine-Saint-Denis ».

    Bref, si l’on additionne tous ces « plans » successifs, ce n’est plus en millions d’euros qu’il faut compter, mais en milliards ; ce, avec les piètres résultats qu’on sait. Il n’empêche qu’Emmanuel Macron, en campagne de réélection présidentielle permanente, tentant avec un indéniable succès médiatique – mais dont on ne sait pas trop bien s’il y aura transformation de l’essai dans les urnes – de se refaire la cerise auprès de l’électorat lepéniste. D’où son récent et tonitruant entretien accordé à nos confrères de Valeurs actuelles et ses propos « transgressifs » sur la question islamiste.

    Dans le même temps, on remarquera que d’autres départements, véritablement « pauvres », ceux-là – Lozère, Creuse et Allier, par exemple -, ne bénéficient pas des mêmes largesses, même si le phénomène gilets jaunes est passé par là et que le résident de l’Élysée doit également composer avec, éternelle quadrature du cercle…

    En attendant, le criminologue Xavier Raufer n’en finit plus de rappeler les limites de la politique du chéquier dans ces zones pudiquement désignées comme étant de « non-droit ». Y ramener l’ordre donné pour être « républicain » ? Certes. Mais l’ordre y règne déjà, celui des dealers et des diverses réseaux criminels. C’est l’ordre d’une minorité de voyous contre une majorité de gens qui voudraient bien continuer à être honnêtes, ordre qui vaut ce qu’il vaut, sachant que tout le monde en croque peu ou prou. C’est-à-dire assez pour que l’État le laisse gérer en roue libre des villes en voie de sécession. La paix des cités et le Yalta des racailles sont à ce prix : à chaque émeute urbaine, les coins les plus tranquilles étant ceux les mieux tenus par les véritables maîtres des lieux. Pas les forces du désordre établi, donc : les yeux crevés et les mains arrachées, c’est juste bon pour ces ploucs de gilets jaunes…

    D’où la démission de Gérard Collomb, naguère locataire de la Place Beauvau. Xavier Raufer : « Tous les jours que le Bon Dieu faisait, il nous faisait la pub de sa police républicaine de proximité. Il la présentait en belle marquise aux beaux yeux. En fait, cela ne servait à rien. Compte tenu de ce qui se passe dans les  hors de contrôle, celles-ci échappent au contrôle de l’État depuis vingt, trente et quarante ans et plus, il ne faut naturellement pas d’aimables gardiens de la paix avec des sifflets et des vélocipèdes. »

    Quant à démêler la question voulant que deux France puissent aujourd’hui vivre « côte à côte » avant de se retrouver « face à face », le même Raufer répond, à propos de l’édile lyonnais : « C’est un homme qui a une certaine forme de sincérité. Il a vu qu’il n’y arriverait pas et il a dit pourquoi… »

    Alors, ces « territoires perdus de la République » le sont-ils pour autant ? Xavier Raufer, toujours : « Il faut y installer à demeure des commissariats ou des brigades de gendarmerie sérieux, c’est-à-dire non pas des endroits où les voyous locaux viennent s’entraîner à jeter des cocktails Molotov. Ils y seront d’ailleurs accueillis en libérateurs. La population, bien souvent d’origine immigrée, est sous la coupe au jour le jour de voyous qui la font trembler. »

    Vaste chantier…

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/et-encore-un-nouveau-plan-banlieue-une-nouvelle-arnaque-en-perspective/