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magouille et compagnie - Page 1143

  • L’écologisme, faux-nez des mondialistes, par Ivan Rioufol

    Les mondialistes, rejetés par les peuples fragiles, se maquillent désormais en vert forêt. Sans doute espèrent-ils ainsi, sous la bannière écologiste, passer inaperçus, voire sympathiques. Les plus exaltés, qui annoncent la fin du monde si l’actuel système libéral et financier n’est pas démembré en urgence, ont néanmoins la subtilité des promoteurs du communisme de jadis. Ceux-ci promettaient un monde meilleur à coups de triques et de propagandes. A l’époque, la jeunesse embrigadée n’était pas en reste pour sublimer le nouvel universalisme fraternel du prolétariat. Celle d’aujourd’hui, qui partout dans le monde répond aux peurs (“I want you to panic”) du jeune robot Greta Thunberg, a gardé un même air de famille, avec son fanatisme juvénile et sa croyance post-religieuse en l’apocalypse.

    Difficile à ce stade de faire la part entre l’endoctrinement, la rééducation, l’inquiétude raisonnée. Reste néanmoins un profond malaise devant cette nouvelle idéologie mondialiste, qui ne supporte pas les contradictions. Qui ose émettre des réserves sur l‘urgence climatique est bon pour la camisole et le cabanon. Or c’est ce monde enfiévré qu’est parti rejoindre, ce lundi à New-York, Emmanuel Macron, à l’occasion du sommet des Nations-Unies sur le climat.

    L’échec de la Marche pour le climat, samedi à Paris, rassure sur la lucidité de la jeunesse française. Il est vrai que l’infiltration du défilé par les black blocs et leur violence a pu avoir un effet répulsif. Encore que ceci mériterait d’être approfondi. Car il existe des similitudes entre le projet révolutionnaire des black blocs – lutte contre le capitalisme, le libre-échange, les démocraties libérales – et celui des écologistes radicaux qui rêvent pareillement de la table rase au nom d’une conviction totalitaire. En revanche, ceux qui espèrent une convergence des luttes avec les Gilets jaunes n’ont rien compris de cette autre révolte populaire : elle rejette la mondialisation et ses effets dévastateurs pour les nations souveraines.

    Les Gilets jaunes du 17 novembre 2018 – qui ont progressivement laissé le terrain à l’extrême gauche – se sont d’abord mobilisés contre l’écologisme punitif, qui entendait faire payer à la classe moyenne française les pollutions en CO2 de la Chine, de l’Inde ou d’ailleurs. Si leur mouvement s’est inscrit en rupture avec des élites aveugles et sourdes, il est resté libéral dans son essence : ce sont des additions d’initiatives privées et de débrouillardises individuelles qui ont su ébranler la République. Et ce n’est probablement pas fini.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 23 septembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • La Cour des comptes dresse un bilan accablant de la fusion des régions

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    Quatre ans après la fusion des régions, c'est un bilan accablant que publie la Cour des comptes. 

    La Cour des comptes estime que le passage de 22 à 13 régions n'a pas permis de réduire les budgets. Bien au contraire, il y aurait notamment des surcoûts sur la question des salaires des agents. C'est le cas en Occitanie.

    Retrouver toutes les infos sur la vidéo sur : 
  • PMA sans père – La Manif Pour Tous estime que le gouvernement doit maintenant apporter des réponses

    Dans un communiqué publié le 24 septembre 2019, La Manif Pour Tous estime qu’après avoir été alerté en vain sur les conséquences de la PMA sans père, le gouvernement doit désormais répondre aux interrogations et inquiétudes exprimées par les Français depuis plusieurs années.

    Voici le texte du communiqué intitulé “PMA sans père : au pied du mur, le gouvernement doit maintenant apporter des réponses” :

    L’heure des réponses a enfin sonné. Après avoir été alerté en vain sur les conséquences de la PMA sans père, le gouvernement doit désormais répondre aux interrogations et inquiétudes exprimées par les Français depuis plusieurs années. Resté sourd aux questions soulevées par les associations familiales, les pédopsychiatres, les juristes, les scientifiques, les philosophes…, la majorité va devoir se montrer non seulement à l’écoute mais aussi entendre les nombreuses réserves exprimées par la société civile.

    Il est temps de lever les ambiguïtés entretenues par le gouvernement depuis trop longtemps. L’embarras du gouvernement suite à la publication de l’avis de l’Académie nationale de médecine s’est traduit par un amalgame scandaleux. Des ministres n’ont pas hésité à comparer la situation des enfants vivant dans des familles monoparentales avec celles d’enfants nés par PMA sans père. Heureusement, ces deux situations n’ont rien à voir. Les enfants vivants dans des familles monoparentales connaissent souvent leur père. Mais pour de multiples raisons, ils en sont séparés. Ces situations n’ont rien à voir avec le fait d’organiser la conception d’enfants volontairement privés de leur père. C’est bien ce caractère volontaire qui est au cœur du projet de loi. Qui a le droit de décider qu’un enfant peut être privé de son père avant même sa conception ? Comment l’accepter ? Comment peut-on envisager un seul instant de priver volontairement un enfant de l’amour de son père pour toute sa vie ?

    Le gouvernement entretient également une ambiguïté autour de la GPA. Il affirme que ce n’est pas un sujet puisque le projet de loi ne prévoit pas la légalisation de la GPA. Mais, en même temps, il prépare une circulaire sur la reconnaissance des enfants nés par GPA dans un pays étranger. Il ne doit pas fuir ses responsabilités et être clair :

    Oui ou non, le gouvernement est-il réellement opposé à la GPA ?
    Oui ou non, le gouvernement est-il opposé à ce que des Français aillent faire une GPA à l’étranger ? Par souci de cohérence, et parce que la dignité des femmes n’a pas de frontières, parce que la GPA est effectivement intolérable en France, elle l’est aussi à l’étranger et nos ressortissants ne doivent pas être autorisés par la loi française à y recourir.
    Oui ou non, le gouvernement est-il prêt à reconnaître les enfants nés d’une GPA à l’étranger à l’état civil, ce qui reviendrait à encourager les Français à aller faire des GPA à l’étranger et donc au développement de ce business sordide ?
    Oui ou non, le gouvernement veut-il s’engager pour l’abolition universelle de la GPA, au nom de la dignité et du droit des femmes ?

    Bien d’autres questions sont encore soulevées par la PMA sans père à l’occasion du débat parlementaire : la PMA post mortem, la PMA pour les personnes transgenres, l’autoconservation des ovocytes, la réponse à la pénurie de gamètes… Concrètement, comment le gouvernement entend-il garantir aux femmes que l’autoconservation des ovocytes ne va pas déboucher sur des pressions de leurs employeurs ? Comment le gouvernement peut-il garantir que la pénurie de gamètes ne va pas se traduire par la rémunération des fournisseurs de sperme ou l’achat de sperme à l’étranger ? Comment le gouvernement compte-t-il s’assurer que ce commerce des gamètes sera interdit en France, y compris sur internet ?

    Enfin, le gouvernement doit cesser de chercher à museler toute forme d’opposition à son projet au nom de la recherche légitime d’un « débat apaisé ». Il y a eu plusieurs glissements forts regrettables du côté de la majorité qui cherche manifestement à réécrire l’Histoire. S’il s’est déclaré favorable, à titre personnel, à la PMA sans père, Emmanuel Macron a toujours conditionné tout projet législatif à l’existence d’un large consensus. Aujourd’hui, plusieurs ministres cherchent à remplacer ce consensus par le caractère « apaisé » du débat. C’est un tour de passe-passe grossier et indigne du gouvernement. Le Président du CCNE (Comité Consultatif National d’Éthique) a lui-même souligné, à l’issue des États généraux de la bioéthique, qu’il n’existe pas de consensus sur cette mesure. Les Français sont profondément divisés sur cette question. Comment en outre parler de débat « apaisé » lorsque ni les conclusions des États généraux de la bioéthique, ni le contenu de la mission d’information parlementaire, ni les auditions de la commission spéciale mise en place à l’Assemblée nationale n’ont été pris en compte. Comme pour les retraites, la position du gouvernement consiste à organiser un débat mais à ne surtout pas en tenir compte dans ses décisions. C’est parfaitement anti-démocratique.

    La République doit protéger tous ses enfants, sans distinguer ceux qui sont nés par PMA, elle n’a pas à en priver volontairement certains de l’amour d’un père. C’est ce message d’amour qui sera porté haut et fort dans la rue lors de la manifestation unitaire sous le label « Marchons Enfants ! » qui se tiendra à Paris le dimanche 6 octobre : « Liberté ! Égalité ! Paternité ! ».

    https://fr.novopress.info/

  • La mascarade Greta Thunberg

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    Par Franck Deletraz

    Insultant et donc inadmissible par son ton, insupportable par sa mise en scène pleurnicharde, et totalement inepte sur le fond, le violent discours prononcé lundi par la Suédoise Greta Thunberg à la tribune de l’ONU, en offrant le spectacle consternant de dirigeants de la planète à la tête chenue écoutant sagement avant de l’applaudir en chœur la ridicule leçon d’une écolière de 16 ans, restera peut-être dans les annales de l’organisation internationale comme le symbole de l’inversion des valeurs qui caractérise, hélas, notre époque. Culpabilisation, accusations, menaces : tout y est passé, sans même susciter la moindre réaction d’agacement de la part d’un auditoire visiblement béat d’admiration devant cette gamine insolente. Question : pendant combien de temps encore allons-nous devoir supporter les états d’âme et les invectives de cette marionnette du GIEC ?

    Greta, à la limite de l’hystérie

    Pour détendre un peu l’atmosphère, et aussi nous faire rire, on aurait aimé que cette brave Greta nous raconte encore une fois comment sa venue très médiatisée aux Etats-Unis à bord d’un voilier zéro carbone, censé polluer moins, avait en réalité produit davantage de CO2 que si elle et son entourage avaient pris l’avion. Mais la nouvelle égérie des écolos était là pour tout autre chose. Particulièrement agressive, elle n’a pas hésité à réprimander les dirigeants de la planète pour leur pseudo inaction contre le prétendu « réchauffement climatique ». En effet, a-t-elle déclaré, « vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos paroles creuses. [...] Des écosystèmes entiers s’effondrent, nous sommes au début d’une extinction de masse, et tout ce dont vous parlez, c’est d’argent, et des contes de fées de croissance économique éternelle ? Comment osez-vous ! » Et Thunberg de menacer alors : « Vous nous avez laissés tomber. Mais les jeunes commencent à comprendre votre trahison. [...] Je vous le dis : nous ne vous pardonnerons jamais. Nous ne vous laisserons pas vous en sortir comme ça. »

    La France visée par une plainte

    Une menace que la Suédoise et ses petits camarades en culottes courtes n’ont pas tardé à mettre à exécution puisque, dans la foulée, on apprenait que 16 jeunes, dont Greta Thunberg, conseillés par le cabinet international d’avocats Hausfeld et avec la bénédiction de l’Unicef, venaient de déposer une plainte auprès du Comité des droits de l’enfant de l’ONU contre la France, l’Allemagne, l’Argentine, le Brésil et la Turquie, pour... violation et non-respect de la convention de l’ONU sur les droits de l’enfant ! Une information que le président de la République, invité mardi matin sur Europe 1, s’est, hélas, abaissé à commenter en expliquant que si « toutes les mobilisations de notre jeunesse ou des moins jeunes sont utiles », « il faut qu’elles se concentrent maintenant sur ceux qui sont le plus loin, ceux qui essaient de bloquer ». Or, a-t-il ajouté, « je n’ai pas le sentiment que le gouvernement français ou le gouvernement allemand, aujourd’hui, sont en train de bloquer ». Et le chef de l’Etat, après avoir appelé les jeunes à agir concrètement sur le terrain, de lancer alors en direction de la harpie suédoise : « Là, des positions très radicales, c’est de nature à antagoniser nos sociétés. »

    Source : Présent 25/9/2019

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/25/la-mascarade-greta-thunberg-6178218.html

  • La scandaleuse affiche de la FCPE : "Et alors ?" Alors, NON !

    Si cette femme veut  vivre "à l'islamique", qu'elle aille vivre dans un pays islamique...

    En France, on est dans un vieux pays de tradition gréco-romaine, chrétienne et européenne, où les femmes n'ont jamais eu ce code vestimentaire.

    Le Système nous impose un changement de peuple, dont nous ne voulons pas, par une immigration massive délibérément voulue pour "casser" notre Société traditionnelle : il trouve des collabos chez les révolutionnaires pour qui l'immigré remplace l'ancien ouvrier, parti au Rassemblement national; chez les faiseurs de fric, qui veulent une main d'oeuvre bon marché; et chez des "idiots utiles" (le mot est de Lénine) comme cette FCPE et son affiche qui nous répugne : honte à elle !

    Nous, comme pour le burkini ou tout autre signe visible de prosélytisme musulman, nous refusons de mettre le doigt dans l'engrenage de l'islamisation progressive et continue de l'espace public, prélude au basculement dans une nouvelle société régie par des lois, moeurs et règlements dont nous ne voulons pas...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Zemmour - Comment la mafia mediatico politique prépare les esprits

  • Les cinglés de Bercy

    Les cinglés de Bercy

    C’est la journée des déséquilibrés (et je ne parle pas de ceux qui cherchent le bar…). Ceux-là sont gratinés.

    A trois mois de Noël (et oui déjà), la secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, Agnès Pannier-Runacher, a signé mardi 24 septembre une charte avec les différents acteurs du secteur. Le texte vise à promouvoir la mixité entre filles et garçons et à lutter contre les préjugés de genre.

    À ses yeux, cette segmentation par genre est plus particulièrement marquée dans les jouets à connotation scientifique, très souvent dédiés aux petits garçons. Conséquence selon elle : les filles se dirigent peu vers les carrières scientifiques !

    «Aujourd’hui, vous avez 10% de femmes qui codent. Cela fait 90% d’hommes qui font les algorithmes de demain».

    Pour y remédier, les signataires de la charte s’engagent à faire évoluer ses jouets pour mieux y intégrer les filles.

    La charte liste 34 engagements, parmi lesquels :

    • «Préférer les formulations “pour faire comme les grands” à “pour faire comme maman” dans le cas d’un kit de ménage».
    • supprimer la catégorisation entre jouets filles et garçons dans les catalogues ou les magasins.
    • privilégier les emballages neutres ou mixtes.
    • Un travail de formation doit également être fait auprès des commerçants pour les sensibiliser sur leur manière d’aborder le client.

    Les brocantes et les sites de revente en ligne n’ont pas fini d’avoir du succès.

    Agnès Pannier-Runacher @AgnesRunacher

    Ce sujet est tout sauf anecdotique : l’égalité femmes-hommes commence avec les jouets. L’enjeu, c’est que les petites filles et les petits garçons puissent s’épanouir et aient le choix de se projeter sur les rôles modèles qui leur permettent de réaliser au mieux leur potentiel. https://twitter.com/agnesrunacher/status/1176496962977325056 

    Agnès Pannier-Runacher
    @AgnesRunacher

    L’imaginaire véhiculé par les #jouets 
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  • Le nouveau numéro de Conflits est consacré à la guerre du droit.

    Le numéro de Conflits n°23, (septembre-octobre 2019) est consacré à la guerre du droit. Affaire Alstom, piège américain, amendes imposées à BNP PARIBAS, le droit est plus que jamais une arme de guerre. Une arme de la guerre économique. Et le droit est utilisé par les grandes puissances, notamment les Etats-Unis, pour faire valoir leur ordre du monde et pour s'imposer à leurs alliés et à leurs adversaires. Le droit entre ainsi dans une configuration plurielle : il y a la question de la fiscalité, qui est une arme géopolitique au service des Etats ; c'est évidemment la question monétaire et en premier lieu le dollar, concurrencé par le renminbi chinois, ainsi que par l'émergence des crypto monnaies. Le droit pose également la question de la guerre et du droit de la guerre, de cette conception militaire qui a été forgée avec le procès de Nuremberg et qui continue aujourd'hui de prévaloir dans un grand nombre de conflits : peut-on intervenir au nom du droit ? Peut-on faire la guerre pour préserver le droit ? Pour rétablir un droit qui a été aboli ? Cela pose aussi la question des différents territoires, notamment l'espace et la mer. Le droit est ainsi pluriel et dans cette guerre du droit, ce sont deux visions juridiques différentes qui s'opposent, une tradition anglo-saxonne et une tradition romaine ; deux visions géopolitiques qui montrent que les idées sont toujours à la conduite de la géopolitique et façonnent le monde qui est le notre. Nous avons aussi voulu montrer dans ce numéro consacré à la guerre du droit qu'il y a la question de l'outil militaire, la question du cyber espace, et qu'il y a aussi la possibilité de répondre à cette guerre du droit, de l'affronter, afin de la gagner.

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  • Macron, le donneur de leçons

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    Voilà notre Président super-écolo qui s’en prend aux manifs pour le climat. Selon Le Figaro, il se serait plaint de la mobilisation des jeunes et aurait dit : « Qu’ils aillent manifester en Pologne ! Qu’on vienne m’aider à faire bouger ceux que je n’arrive pas à faire évoluer », visant ainsi la République tchèque, la Hongrie, la Pologne, car ces pays refusent d’appliquer le plan carbone…

    L’écologie, c’est bon pour les Brésiliens, les Polonais, les Tchèques, mais quand ça se passe en France, là, ça ne va plus. Allez donc comprendre… On pourrait aussi pointer du doigt ses responsabilités sur la forêt amazonienne, lui qui a validé l’exploitation de mines d’or en Guyane, ou encore qui soutenait encore récemment le traité avec le Mercosur, jusqu’à son revirement de fin août, un traité qui va infailliblement favoriser les exportations agricoles brésiliennes en Europe, donc accroître la déforestation et l’empreinte carbone.

    Mais à y regarder de plus près, Macron est coutumier du double langage. C’est bien lui qui stigmatisait la politique migratoire de Salvini mais qui, en même temps, refoulait les migrants venant d’Italie. C’est aussi lui qui donne des leçons d’européisme à tous ses homologues de l’Union européenne mais ne respecte pas toujours scrupuleusement les critères de convergence de Maastricht. Le comble avait été atteint l’an passé, lors du bras de fer sur le budget italien, dont le déficit ne devait surtout pas dépasser les 2 %, pendant que celui de la France affichait éhontément plus de 3 %, comme d’habitude…

    Macron, c’est la duplicité érigée en système politique. On pourrait le comparer à Ubu roi si tout cela n’était pas, en réalité, voulu et pensé. Car Macron sait qu’il peut s’accommoder de la vérité, s’arranger avec ses propres principes, ses discours de la veille, au gré de son intérêt du jour : ses incongruités permanentes seront rarement relevées par les médias.

    Olivier Piacentini

    https://www.bvoltaire.fr/macron-le-donneur-de-lecons/

  • Sentinelles : Début de l’examen de la révision des lois de Bioéthique

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    Ce mardi 24 septembre de 20 h 23 h 30, place du Palais-Bourbon

    Les Sentinelles sont debout depuis 2013 pour l’intérêt supérieur de l’enfant. Celui-ci est menacé par une nouvelle loi scélérate.

    Scélérate par son objet : en ouvrant la procréation médicalement assistée aux couples de femmes et aux femmes seules, elle réifie l’enfant et crée un droit à l’obtenir incompatible avec sa dignité intrinsèque, elle ouvre encore plus la voie à l’eugénisme et à la marchandisaton du corps

    Scélérate par les méthodes employées : faire fi d’un consensus hostile clairement exprimé lors des états généraux de la bioéthique tenus en 2018 et laisser le Conseil Consultatif National d’Ethique conclure en posant des recommandations incohérentes avec toutes les objections clairement identifiées ; voir un député devenu secrétaire de la commission ad hoc’ insulter les opposants lors de la mission parlementaire d’information et prétendre aspirer à un débat apaisé et serein ; invoquer la démocratie et imposer une lecture chronométrée ; ne jamais répondre aux questions et aux objections formulées. Est-il nécessaire de poursuivre la litanie ?

    Les Sentinelles ne peuvent s’y résoudre. Elles ont décidé de s’associer au collectif #MarchonsEnfants qui s’est constitué pour s’opposer à cette nouvelle dérive législative. Elles s’associent en outre aux divers collectifs « Appel des pères » et « Sentinelles des Pères » qui œuvrent et se rassemblent aussi dans quelques villes de provinces.

    Toutes les Sentinelles peuvent veiller où bon leur semble (mais face à un lieu de pouvoir) et quand elles le peuvent.

    Elle pourront veiller le mardi 24 septembre, à partir de 20:00 et toujours place du Palais-Bourbon.

    Le samedi 5 octobre, veille de la grande journée de mobilisation, les sentinelles se retrouveront Place Vendôme à partir de 20 h 00.
    Les amis de province qui rejoignent la capitale un peu avant la journée de grande mobilisation #MarchonsEnfants facebook seront bien sûr les bienvenus pour veiller sur le pavé parisien.

    Le mode opératoire reste inchangé : se tenir debout et silencieux, respecter un espacement suffisant entre chaque Sentinelle afin de ne pas constituer une manifestation, ne porter aucun signe distinctif, n’afficher ou ne crier aucun slogan, ne pas troubler l’ordre public, répondre avec bienveillance aux questions des passants.

    Vous êtes les bienvenus.

    Des Sentinelles de Paris

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